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BRICOLAGE - Je fabrique mon Glory Hole personnel - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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NOTE :
Chers amis, voilà le premier épisode d'une longue série qui va nous emporter dans les délires fantasmatiques
du Glory Hole.
J'invite le lecteur a garder le sens du discernement pratique, intellectuel et spirituel.
Afin d'appréhender ces récits pleins de dérisions, sans passion et avec tout le recul nécessaire.

Chaque nouvel épisode, comme d'habitude, sera à poster à la suite du précédent lorsque celui-ci
sera passé en page 2.
Précisons que chaque commentaire fait remonter le sujet en haut de page.
Ce qui retarde d'autant l'épisode suivant.

Bonne découverte...

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BRICOLAGE

Je fabrique mon Glory Hole personnel - Mode d'emploi -

Je suis un fervent adepte du Gloryhole. Hélas, c'est une chose d'une extrême rareté.
Combien de fois, au hasard de mes balades, suis-je tombé sur des endroits qui en manquaient cruellement.
Combien d'opportunités ratées par l'absence d'un Gloryhole.

A présent, depuis quelques années, lorsque je vais randonner sur les petits sentiers de montagne,
lorsque je vais marcher sur les petits chemins de campagne, je porte un petit sac à dos.

Dans ce sac à dos, je dispose mes crudités dans des Tupperwares, des fruits,
des barres de céréales énergétiques et une grande bouteille d'eau.
Ce que je n'oublie jamais, c'est cette petite perceuse Black & Decker.
Perceuse dont la batterie est parfaitement chargée. Important...

Certes , il vaut mieux l'avoir blanche et raide que Black & Decker.
Aussi, cette petite perceuse, toujours dans mon sac à dos, n'est pas lourde.
Cet outil m'a permis de "décorer", "d'aménager", bien des endroits au fil de mes pérégrinations.

Il est très important de bien poncer, à l'aide d'une feuille de papier à poncer, les bords de notre Gloryhole.
Ce, afin de ne pas risquer de se blesser.

Il est très important de disposer un petit miroir permettant d'observer de l'autre côté.
Le petit miroir permet d'anticiper ...
Je suis hétérosexuel et je n'apprécie que la compagnie des femmes, exclusivement.
Ce paramètre entre en ligne de compte dans le choix de mes critères de sélection.
Surtout quand aux endroits où je fabrique le nouveau Gloryhole.
Je n'aimerai pas attirer ce qui ne m'intéresse pas !
J'évite donc les endroits proches des routes ou des endroits habités.

Combien de cabanons de jardins, possèdent, à l'insu de leurs propriétaires, un magnifique Gloryhole.
Une de mes créations murales, parfaitement ronde dans la cloison donnant sur le sentier qui passe derrière.
Combien de cabanons, au bord des étangs de pêche, se voient "customisés".
Agrémentés d'un magnifique Gloryhole, soigné, propre et très "professionnel".
Oui, je suis fier de participer à la décoration écologique de nos cabanons.
Constructions de bois, souvent livrées aux éléments , oubliées ou abandonnées.
C'est du beau travail. Du bon boulot. Une activité artistique...

Ensuite, bien sûr, nous pourrons passer des journées entières derrière ces cloisons de planches.
Derrière ces cloisons de bois sans qu'il ne se passe rien.
Sans la moindre visite d'une de ces promeneuses coquines et curieuses.
Sans l'arrivée de ces petites curieuses et voyeuses qui nous procurent tant d'émotions.

C'est là, qu'en "petit malin", il faut savoir faire une "publicité" discrète.
Une sorte d'itinéraire codé et initiatique. Un jeu d'orientation...

Mais, cet aspect des choses est mon petit secret .
A chacun de trouver son "truc". C'est très personnel.
C'est dans cette particularité qu'il faut faire preuve d'imagination. De "génie".

Il est très agréable de connaître son circuit et de faire des pauses derrière ses Gloryholes.
Un parcours de santé...

Je reste à la disposition des "bricoleuses" désireuses, elles aussi, de fabriquer leurs Gloryholes .
Pour des conseils avisés, n'hésitez pas à consulter le vieux "spécialiste" que je suis...

C'est gratuit .

Le créateur mural


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Homme, 53 ans, France
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La tournée de mes Gloryholes


En ce dimanche d'août, avec le retour du soleil, je suis parti en randonnée dans l'après-midi.
J'ai organisé mon parcours de façon rationnel. Je vais emprunter mes sentiers préférés.
Toujours selon un itinéraire très précis et élaboré depuis quelques années.

Dans mon sac à dos, je dispose ma bouteille d'eau, d'un litre et demi, "Cristalline".
Je n'oublie pas mes barres de céréales, mes fruits frais et des mouchoirs e papier.
J'aurais ma petite perceuse, du papier à poncer et un tube de peinture acrylique.

Je vais encore parcourir mon itinéraire, un parcours élaboré et précis.
Un itinéraire élaboré avec soin et passion.
Un itinéraire qui va me conduire dans tous les lieux où j'ai mes Gloryholes.
Comme je l'ai précisé dans le premier opus, ici même, sur cet épatent forum.
J'ai fabriqué moi-même mes propres Gloryholes.

Disposés le long d'un circuit balisé, ces Gloryholes, secrets et discrets, méritent une attention particulière.
Il faut penser à entretenir ces trous parfaitement ronds.
Leurs diamètres de six centimètres, doit rester net et précis.
Il faut également supprimer les échardes qui ne manquent pas de se former.

Aussi, c'est à l'aide de papier à poncer de grain 000, que je peaufine les arrêtes de mes Gloryholes.
Avec la peinture acrylique "Terre de Sienne", je peux procéder aux retouches éventuelles.
Il est important de respecter les couleurs de l'environnement naturel "bois".

Avec la perceuse, Black & Decker, je peux agrandir un trou éventuellement bouché pour différentes raisons.
Pousses sauvages de bosquets. Interventions humaines non souhaitées.
Effondrements ou encore occlusions végétales.
Pleins de facteurs peuvent être les causes de destructions inévitables.

J'en profite également pour vérifier si les indications sont toujours placées aux bons endroits.
En effet, c'est un code particulier qui permet aux promeneuses "motivées" de trouver leur Gloryhole.
Le trou de leurs souhaits du jour. Hélas, je ne peux pas être partout à la fois.
Il n'y a donc, le plus souvent, personne pour animer le lieu.

Je ne manquerais pas d'informer les lectrices de l'avancée de mes pérégrinations.
A bientôt pour des informations codées mais très précises.
En voilà une première : < Au-dessus du Dragon, le sentier du château est praticable >...

Votre obligé

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Petit rappel :

L'utilisation, toute ou partie, d'un texte, (ou photographie), par tous procédés
et notemment par "copié / collé", sans le consentement de l'auteur,
constitue une violation de la propriété intellectuelle.
Délit sanctionné par l'Article. L.335-2. du Code pénal.

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Homme, 53 ans, France
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Gloryhole - (Episode 3)

Contrôle de routine sur le circuit de mes Glory Hole

Hier après-midi, profitant de ce magnifique soleil de septembre, j'en ai profité pour partir en randonnée.
Dans mon petit sac à dos, en plus de mes fruits secs, de ma pomme, j'ai mes barres de céréales.
Ma bouteille d'eau gazeuse, ma perceuse, mon papier à poncer et quelques accessoires.

C'est en arrivant sur le circuit des cabanons de jardin, à flanc de colline, que je fus confronté à l'ignoble.
En effet, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu'un de mes splendides Gloryholes avait été fermé.
Si !
Un carré de bois, cloué ou vissé condamnait le trou magnifique.

Outre la malveillance évidente, l'acte de vandalisme ne fait pas l'ombre du moindre doute.
Le fait d'avoir bouché ce Gloryhole est un acte délibéré.
Il n'est pas rare que le propriétaire d'un cabanon soit furieux.
Désireux de marquer son désaccord avec cette pratique à la mode, il ferme le Glory Hole.

Aussitôt, contrarié et consterné, de mon sac à dos, j'ai sorti ma perceuse.
L'équipant d'une mèche de 3 mm, j'amorçais un premier petit trou.
Puis, prenant une mèche ronde, je creusais un trou d'un diamètre de 6 cm.
Avec le papier à poncer, fin, "000", je pratiquais une superbe finition des bords.

A présent que le Glory Hole est sauvé et reconstitué, il va me falloir être plus vigilant.
J'ai continué mon circuit des Glory Hole pour constater que tout était en ordre.
Les douze autres trous sont parfaits. Un peu d'entretien par ci et par là.
Nous voilà repartis jusqu'au début de l'automne.

Je peux donc continuer, dans la plus parfaite tranquillité d'esprit.
Je peux persister dans la conception et la réalisation de mes créations murales.
Les amateurs d'Arts, qui suivent et connaissent mes créations murales, sont ravis.
Un peu partout sur Internet, ils seront heureux d'êtres ainsi rassurés.
Je leurs présente toutes mes amitiés.

Le créateur mural

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Glory Hole - (Episode 4)


Randonnée sur le circuit des glory Holes

En ce mercredi après-midi ensoleillé de septembre, il faisait doux.
Je ressentais le besoin impérieux d'aller me dégourdir les jambes.
Aussi, prenant le prétexte de ce désir de randonner, je préparais mon petit sac à dos.
A l'intérieur, je disposais des barres de céréales et des fruits secs.
Sans oublier une pomme et une grande bouteille d'eau pétillante.
Je n'oubliais pas d'y placer ma petite perceuse, du papier à poncer et quelques accessoires.

Je garais la voiture au départ du sentier. De là, je pris ce petit chemin qui sillonnait à flancs de collines.
Cette randonnée est toujours source de joies, de découvertes et de surprises agréables.
Aussi, pour en égayer le parcours, j'y ai disposé mes glory Holes.
C'est en arrivant à la troisième station que je constatais un premier désagrément.
Quelqu'un avait saboté une de mes plus belles créations.

Sans doute à l'aide d'une riveteuse, un quidam avait fixé une plaque de fer sur l'orifice.
Une plaque de fer qui condamnait l'accès de ce superbe gloryhole.
Sans doute un de mes plus beaux. Impossible de percer cet acier de qualité.
Impossible d'en desceller les rivets. Sans doute le travail d'un intégriste.
Un intégriste partit en guerre contre les trous dans les murs.
Quelle ne fut pas ma profonde déception.
J'avais choisi ce cabanon pour son emplacement stratégique au bord d'un petit étang ravissant.

Rien à faire, il me fallait donc percer tout à côté.
Je sortais ma petite Black & Decker, je disposais une mèche de 3 et me mettais à l'ouvrage.
Une fois le premier trou d'amorce réalisé, je pouvais percer avec une mèche ronde de 6 cm.
En quelques minutes, j'avais percé un gloryhole de toute beauté.
Avec le papier de verre, je fis une magnifique finition, chanfreinant les bord avec beaucoup de soin.
Je passais mon doigt pour constater que c'était doux et lisse. Parfait.

Les cavalières qui passaient quelquefois près de l'étang avaient forcément découvert le glory Hole.
Elles pouvaient donc continuer à fantasmer tranquillement.
Elles pouvaient même s'arrêter pour en savourer les joies !

Je continuais mon circuit pour constater que tous les autres glory Holes étaient en parfait état.
A part débroussailler un peu, enlever le lierre ou les orties, les orifices restaient parfaitement fonctionnels.
J'étais de retour pour dix neuf heure.
Rassuré, la conscience tranquille, heureux de ma randonnée, je préparais le repas du soir.
Ma "coquine" n'allait pas tarder à rentrer.

Elle allait pouvoir me tenir la bite pour en diriger le jet contre le mur...

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Modifié 2 fois. Dernière modification le 14/12/15 20:48 par Oncle-Julien.
Tournée de contrôle de mes Glory Holes
Wednesday 23 December 2015 20:53

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Glory Hole - (Episode 5)


Tournée de contrôle de mes Glory Holes

Mercredi dernier, dans l'après-midi, j'étais désireux de profiter de cette météo plutôt favorable.
J'ai préparé mon petit sac à dos. J'avais en projet de partir en randonnée.
Je mets toujours à profit cet élan pour parcourir le circuit de mes Glory Holes.
Ainsi, je peux conjuguer les bénéfices de l'exercice et ceux du bricolage.
Je peux vérifier si tout est parfaitement fonctionnel.

Comme à chaque fois, dans mon petit sac à dos, je disposais quelques barres de céréales.
Une grande bouteille d'eau gazeuse. Une pomme, des abricots secs, des amandes et des noisettes.
Dès le matin, j'avais chargé la batterie de ma petite perceuse.
Ainsi, je n'avais plus qu'à la rajouter avec quelques mèches, du papier à poncer et un tube de pâte à bois.

Je partais pour quatorze heure. Je garais la voiture au départ du sentier.
Ce chemin sinueux qui me conduirait à travers bois et collines.
Mon petit sac à dos fixé, je commençais ma marche sous un ciel bleu ou régnait un soleil lumineux.
Mon circuit comporte dix huit Glory Holes.
Dix huit stations équipées de ces trous parfaitement ronds percés dans de belles cloisons de bois.
Une fierté artistique. De splendides créations murales...

J'avais déjà visité huit trous lorsque j'arrivais au neuvième.
Ce Gloryhole est dissimulé dans un cabanon ouvert, servant d'abri aux randonneurs.
La planche verticale dans laquelle le trou existait depuis six mois, avait tout simplement été remplacée !
Quelle ne fut pas ma stupéfaction mêlée d'une consternation fâcheuse.
Quelqu'un avait détruit une de mes créations murales !

Je m'asseyais à une des deux tables sur un des quatre bancs.
Longuement, je contemplais le gâchis.
Pour me consoler avant d'entreprendre les travaux nécessaires, je grignotais quelques amandes grillées.
Je fis appel à toute ma réflexion. Il faudrait percer et poncer.
Une petite demi-heure d'un labeur créatif et plaisant. Sur la table j'étalais mon matériel.
Faisant l'inventaire de ce qu'il me faudrait.

Je mesurais soigneusement les 80 centimètres réglementaires depuis le sol.
Je marquais l'emplacement du trou. La planche avait 28 centimètres de larges.
C'est donc exactement à 14 centimètres que je traçais le point à l'aide d'un marqueur noir.
J'installais une mèche de 6 millimètres à l'extrémité de la petite Black & Decker.
Je fis tourner au ralenti. Tout était fonctionnel. Je perçais soigneusement. Lentement.

Au bout d'une petite minute, la mèche passa au travers des trois centimètres d'épaisseur de la planche.
Un bois d'épicéa à peine sec qui n'offrit qu'une résistance médiocre.
Je fixais une mèche ronde, d'un diamètre de 6 centimètres à l'extrémité de ma perceuse.
Doucement, avec un soin maniaque, je fis tourner la machine. A la manière de Gégé-la-Branlette.
Les copeaux et la sciure volaient dans tous les sens. Je faisais très attention.

Au bout d'une dizaine de minutes d'un travail minutieux, la mèche passa soudain au travers de la planche.
Quel bonheur de voir ce trou parfaitement rond.
Quelle joie d'apercevoir, par cet orifice, à une trentaine de mètres, la table d'orientation.
Quelle joie d'apercevoir, dans le lointain, les ruines du vieux château.
Pour immortaliser ce chef-d'œuvre, je fis quelques photographies.
Assis, j'admirais ma réalisation en savourant ma pomme.

Il était grand temps de poncer les bords. Procéder à un chanfrein qui rendrait le bois lisse.
Il faut supprimer ainsi les angles qui pourraient blesser.
Pour achever ma création murale, du bout des doigts, j'appliquais de la pâte à bois à durcissement rapide.
De cette manière, les rares rugosités, une fois lissées, présenteraient le poli de l'ivoire.
Une véritable œuvre d'Art.

Je continuais ma promenade. Les neuf autres Gloryholes présentaient un état parfait.
A peine un petit coup de papier à poncer par ci, par là, pour l'entretien.
Je revins donc peaufiner la pâte à bois de mon neuvième trou.
Je repartais en chantant, heureux du travail accompli. J'étais de retour pour dix heure trente.
Fourbu mais content, satisfait et fier de mon labeur...


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Randonnée des Glory Holes Danser
Wednesday 30 December 2015 20:36

Oncle-Julien
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Gloryhole - (Episode 6)


Randonnée des Gloryholes

Je profite de ces journées d'automne pour organiser mes randonnées.
Les chemins forestiers sont encore secs.
De les parcourir ainsi est beaucoup plus agréable que lorsqu'ils subissent les pluies de plusieurs jours.
Rien n'est plus détestable que lorsqu'ils deviennent boueux.
Je mets donc à profit chacune de ces sorties pédestres pour faire le circuit de mes Glory Holes.
Ce mercredi après-midi, une fois encore, je préparais mon sac à dos contenant les victuailles et le matériel.

Je garais la voiture au bas des collines.
Au départ du sentier, il est toujours sympathique de découvrir les couleurs de la nouvelle saison.
A présent, quantité de feuilles jonchent le sol du chemin.
Le roux qui domine, par ses infinies nuances, confère aux arbres une beauté solennelle.
Je marchais d'un bon pas pour pouvoir faire mon circuit en pleine lumière.
Les journées raccourcissent et la luminosité déclinante de la fin d'après-midi peut s'avérer piégeuse.
Rédhibitoire pour un constat objectif.

Les dix premiers Glory Holes visités présentaient un état de conservation absolument parfait.
Par contre, lorsque j'arrivais à la station onze, je découvrais un accident.
La planche, véreuse et vermoulue, s'était effondrée.
Il fallait donc la remplacer ou percer dans une planche voisine.
J'optais pour la seconde solution. A ma prochaine visite, il me faudra emmener une planche en bon état.
Planche que je récupérerais dans la réserve de la station sept. Au cabanon de pêche.

Rapidement, je préparais mon matériel et je perçais l'orifice. Six centimètres de diamètre.
Je ponçais soigneusement les bords. Une vingtaine de minutes d'un labeur simple et rapide.
Je repris ma route. Le dix huitième Glory Hole, dernier du circuit, sur la descente, avait du servir.
En effet, sur la face extérieure, donnant sur l'étang, le long de la planche, il y avait des coulures.
Du sperme mélangé à du liquide séminal avait sans doute séché là, laissant des traces jusqu'au bas de la planche.

J'inspectais l'herbe au bas de la cloison afin de vérifier si rien n'avait été oublié là.
Soudain, entre les feuilles jonchant le sol, je trouvais un trousseau de clefs.
Deux clefs qui semblaient êtres celles d'une serrure de porte. Clefs standards.
Sans doute perdues par les protagonistes qui avaient profité de l'opportunité de mon Glory Hole.
Moi qui suit prêteur, partageur et altruiste, je ressentais une certaine fierté d'avoir pu rendre service.
Ainsi une de mes créations murales avait servi à quelques amateurs avertis.

Je ramassais les clefs en me promettant de les ramener, au retour, à la gendarmerie du bourg voisin.
Cette perte a peut-être été la cause d'un tourment sinon d'un souci certain.
Je revenais chez moi pour dix neuf heure, juste pour la tombée de la nuit.
Le lendemain soir, je recevais le coup de téléphone d'une dame.
Cette dernière me remerciait pour le dépôt des clefs à la gendarmerie.

Je lui expliquais que j'étais le Créateur Mural et que c'était moi qui décorait les cabanons.
Je lui avouais que c'était moi qui installait ces magnifiques Glory Holes le long du sentier. Elle fut ravie.
Je l'invitais à découvrir mon circuit, samedi après-midi, pour une randonnée commune.
Semblant toute heureuse, elle accepta avec joie...


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Glory Hole - (Episode 7)


Juliette est venue randonner avec moi

Vendredi soir, je reçois un appel téléphonique.
Un appel qui me confirme la participation de Juliette à ma randonnée "Glory Hole" du lendemain.
Je m'empresse de confirmer ma randonnée.
La météo, plutôt agréable, prévue pour le week-end, permettrait de passer un agréable après-midi.
Juliette est cette jeune femme qui avait perdu ses clefs sous un de mes Glory Holes.
Toute heureuse de les avoir retrouvé, grâce à moi, je devinais de sa part une certaine reconnaissance.
(Voir l'épisode précédent).

Je proposais à Juliette de passer la prendre à l'endroit de son choix.
Rendez-vous fut tout simplement fixé au départ du sentier.
Nous allions donc parcourir mon circuit "Glory Hole" tous deux. J'arrive pour quatorze heure.
Juliette, dans sa Toyota Yaris est déjà là.
Je suis agréablement étonné par une ponctualité plutôt rare. Je gare ma voiture derrière la sienne.
Elle sort de la voiture pour venir à ma rencontre.

Juliette est vêtue pour une randonnée. Un pantalon moulant, noir, qui met en évidence des formes sublimes.
Chaussée de chaussures de marche, ayant passé un pull, la jeune femme porte à la main un petite sac à dos.
Nous nous serrons la main. Juliette est grande, mince et plutôt belle.
Ses longs cheveux chatains sont attachés en catogan. Le son de sa voix est très agréable.
Nous mettons tous deux nos sacs sur le dos et nous nous mettons à marcher.

Sur le chemin, tout en bavardant, je découvre une jeune femme de trente cinq ans.
Une jeune femme divorcée, pleine d'humour et de dérision.
Ce qui me passionne immédiatement c'est la culture générale de Juliette.
Elle peut citer Oscar Wilde tout comme elle peut évoquer Gustave Courbet.
Tout en me parlant de la ville natale du peintre Ornans.
Je suis enchanté de me retrouver en si bonne compagnie.
Nous pouvons donc rester dans des préoccupations intellectuelles et cérébrales. Les meilleures...

Juliette est à la fois amusée et charmée par mes créations murales.
C'est suffisamment original pour susciter son intérêt.
Je lui explique la genèse de chacun des orifices percés par mes soins virtuoses.
Elle ne manque pas d'évoquer les petits plaisirs sous entendus derrière tous ces trous.
En parfait gentlemen, je reste volontairement dans la vue de l'esprit et dans l'hypothétique.
Qualités que semblent apprécier particulièrement la jeune femme.

A la septième station, je récupère, dans la pile, une planche en excellent état.
Je la prend sous le bras. Il me faut remplacer la planche de la station onze.
J'explique tout cela à Juliette qui est à se réjouir d'être, pour cette randonnée, mon assistante et ma partenaire.
Nous arrivons à la station onze. Rapidement, tirant le matériel de mon sac à dos, je me mets à la tâche.
La jeune femme, adroite de ses mains, m'aide avec une efficacité remarquable.

Nous arrachons la vieille planche vermoulue. Je dispose la nouvelle.
Juliette la tient fermement. Je prends ma visseuse-perceuse Black & Decker, et je fixe la planche avec quatre vis.
Puis, je perce le trou idéal de six centimètres de diamètre.
La jeune femme me demande de quand date ma passion pour la création murale.
Je lui explique ma toute première expérience, sur la Reeperbahn, à Hambourg, lorsque j'avais dix neuf ans.
Un endroit "spécialisé" dans le sous-sol d'un Salon de Thé à "thème".

Juliette me raconte sa découverte de quelques Gloryhole dans des toilettes publiques.
Toutefois ce n'est que la semaine dernière qu'elle a pu en comprendre le fonctionnement exacte.
Accompagnée d'un vieil ami, marié, entrepreneur et vicelard.
Elle en garde un souvenir mitigé puisque Jean-Claude, le vieil ami, est un éjaculateur précoce.
Je lui propose une prochaine randonnée. Une virée Glory Hole bien évidemment.
Je lui soumets l'idée de découvrir les longues joies que je sais offrir à mes partenaires.

Une fois le travail terminé, je propose à Juliette de tout vérifier.
Je lui demande si, du côté ou elle se trouve, tout est parfaitement fonctionnel.
Je passe derrière la cloison, j'ouvre ma braguette et je glisse mon sexe généreux par l'orifice.
< C'est super ! > fait la jeune femme en éclatant de rire. Je reste ainsi.
Une érection commence à gagner ma virilité. Contractant mes muscles fessiers, je fais bouger ma turgescence.
< C'est absolument superbe ! > rajoute Juliette entre deux éclats de rire.

Je me réajuste, je range mon sexe, je ferme ma braguette et je rejoins Juliette.
Nous continuons la tournée d'inspection. Nous arrivons à la station dix huit, le dernier Gloryhole du circuit.
Je lui explique que c'est là, au pied de la paroi, que j'ai découvert ses clefs.
La jeune femme me raconte sa seule et unique expérience, à genoux dans l'herbe.
Là, devant le magnifique trou que j'ai percé ici avec amour, l'été dernier.
J'en éprouve soudain une fierté plus grande encore.

Nous prenons le chemin du retour. Juliette m'invite à venir manger chez elle le lendemain, dimanche en soirée.
Premier dimanche des vacances scolaires de la Toussaint. J'accepte en proposant de ramener le dessert.
Une tarte aux noix de ma création. Excellent cuisinier, je suis également très bon pâtissier.
Nous nous séparons devant nos véhicules respectifs. Je lui fais les trois bises bretonnes réglementaires.
Nous nous suivons sur la petite route jusqu'à l'arrivée au rond-point...

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Glory Hole - (Episode 8)


Je vais manger chez Juliette

Comme convenu, j'arrivais chez Juliette en ce dimanche soir, pour dix neuf heure trente.
En pénétrant dans la petite maison, immédiatement, mes narines furent flattées par la délicieuse odeur.
La jeune femme avait préparé une flamiche. Aussi, assis à la table, j'étais émerveillé.
Lorsque je vis cette délicieuse tarte aux poireaux, encore fumante, mon appétit en fut aiguisé.
A un tel point que cela en frisait l'indécence. Et l'indécence, je connais bien.
C'est même une spécialité dont je suis très fier...

Juliette était vêtue d'un jean's bleu, d'un sweat-shirt bleu et chaussée de "baskets" blanches.
Ses longs cheveux, en parfaite liberté, flottaient sur le haut de son dos.
Je prenais conscience, avec plus de certitude encore, du charme et de la séduction de cette grande jeune femme.
Pour l'entrée, Juliette avait concocté une délicieuse salade d'avocat.
La laitue qui accompagnait la flamiche y apportait cette touche de fraîcheur printanière.
En plein automne. Un délice.

Pour le dessert, Juliette me proposa de passer au salon.
J'avais emmené une de mes fameuses tartes au noix.
J'excelle dans la confection pâtissière de qualité. Faite exclusivement avec des ingrédients d'origine biologique.
C'est moi, lors d'un de mes circuits Gloryholes, qui ai ramassé les noix.
Autant dire que j'adore voir les gens se régaler de mes petites préparations CUL-inaires.
Ce soir encore, ce fut le cas. Juliette se régalait.
Je lui laissais le reste de la tarte...

Juliette, enseignante en second cycle, se retrouve avec deux semaines de vacances.
Elle va passer dix jours, à partir de jeudi, chez sa maman, en Vendée. Nous bavardons.
Nous évoquons un peu de nos parcours. Nous parlons de nos cursus professionnels, sociaux et affectifs.
Petit salopiot que je suis, j'essaie d'orienter la conversation sur la sexualité débridée des bonobos.
Rapidement, en rusant, j'oriente la conversation vers la mienne.
En pure perte, car Juliette, trente cinq ans, me voit venir.
Elle me voit me pointer avec mes talons Louis XV, ma chemise à jabots Henri IV et ma perruque Louis XIV.
On ne la lui fait sans doute plus !

Nous restons donc dans l'essence des choses. Je parle de mon prochain circuit de contrôle Gloryhole.
A ma grande surprise, Juliette me propose de faire ce contrôle dès mardi après-midi.
Evidemment, si les conditions météorologiques le permettent.
Je lui fais part de mon désir de lui faire gouter, à mon tour, de ma cuisine.
Aussi, je l'invite à venir manger chez moi, en soirée, à notre retour de la randonnée Gloryhole.
Elle accepte avec plaisir.

Rendez-vous est donc fixé pour quatorze heure, mardi, au même endroit que la dernière fois...

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Randonnée Glory Hole avec Juliette Danser
Wednesday 13 January 2016 09:10

Oncle-Julien
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Glory Hole - (Episode 9)


Randonnée Glory Hole avec Juliette

J'arrivais au lieu de rendez-vous en ce début d'après-midi ensoleillé. Il était quatorze heure.
Juliette était déjà là. Je garais ma voiture derrière la sienne.
Elle sortit de son automobile pour venir à ma rencontre.
Juliette était vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt et chaussée de chaussures de marche.
La jeune femme portait son petit sac à dos. Je sortais de mon véhicule pour venir lui serrer la main.

Nous marchions tout en devisant de choses et d'autres.
J'aime beaucoup la compagnie de cette délicieuse jeune femme. Pleine d'optimisme, de joie de vivre.
Comme moi, elle apprécie l'humour et pratique la dérision.
Sa culture générale rajoute encore aux charmes de sa proximité.
Sportive, elle marchait à mes côtés d'un pas alerte et énergique. J'étais heureux.

Nous arrivons au premier Glory Hole. Tout semble parfaitement en ordre. Je fais le tour du lieu.
Quelques feuilles mortes se sont amassées au pied de la cloison.
Juliette me fait remarquer qu'il serait peut-être judicieux de passer un petit coup de papier de verre.
Ce, afin de lisser les bords du trou. De mon sac à dos je tire le nécessaire.
Cinq minutes d'un ponçage régulier et voilà le pourtour du trou parfaitement lisse et sans échardes.

Pour bien contrôler si tout est parfait, je me place derrière la cloison, j'ouvre ma braguette.
Avec soin, je passe mon sexe dans l'orifice. J'entends Juliette rire de l'autre côté.
Je constate donc que tout est en ordre et sans danger. Je remballe et nous repartons pour la seconde étape.
En route, nous évoquons ces fêtes de fin d'année qui s'annoncent à l'horizon de cette période de l'année.

Nous arrivons ainsi au second Glory Hole. Une fois encore, force est de constater que tout est en ordre.
Si des promeneurs utilisent mes œuvres d'Art, ils ont le bon goût de ne laisser aucune trace de leur passage.
Une fois encore, un petit coup de papier de verre. Je me place derrière la cloison pour y faire passer mon sexe.
De l'autre côté, Juliette, tout en riant, m'informe que du lierre, en poussant, pourrait masquer le trou.
Je décide de laisser le lierre pousser.

Nous continuons notre périple en arrivant à la troisième station.
Là, je constate qu'une araignée a tissé sa toile juste dans l'orifice. C'est beau.
Juliette prend quelques photographies. Nous décidons de laisser la bestiole tranquille.
Nous partons pour la quatrième étape. Tout y est en ordre. Nous nous mettons en route pour la cinquième station.
Tout est "nickel".

Nous gravissons à présent le sentier qui grimpe à flanc de colline.
Nous discutons de nos goûts pour les livres d'Arts. Nous arrivons au sixième Glory Hole.
Nous pouvons constater que tout est parfait. Nous continuons vers la septième station.
Idem, tout est en ordre. C'est en arrivant au huitième Glory Hole qu'il y a la surprise.
Je découvre qu'une fois de plus, quelqu'un a cloué une planchette sur le trou !
Juliette me conseille de laisser la planchette et de percer le nouveau trou dans celle-ci.

De mon sac à dos, je sors ma perceuse à piles, la vrille et le papier à poncer.
En cinq minutes le nouveau trou est percé. Juliette prend plaisir d'en poncer le pourtour.
Je passe derrière la cloison pour passer mon sexe dans le trou. Je reste ainsi quelques minutes.
Juliette, de l'autre côté me conseille quand au diamètre. C'est bien de respecter six centimètres.
Par contre, la jeune femme me fait remarquer que l'épaisseur, à cause de la planchette est plus importante.
Je dois donc me coller contre la planche pour faire dépasser plus de saucisse.

Nous nous mettons en route pour la neuvième station. Tout est parfait. Direction l'étape 10.
Là, il nous faut débroussailler. Des tiges sèches montent jusqu'au trou.
Juliette me fait remarquer qu'il peut y avoir un risque de blessure. Je passe mon sexe dans l'orifice.
En effet, il pend sur le haut des tiges. La jeune femme arrache les végétaux desséchés.
Sur la demande de Juliette, je lâche plusieurs jets de pisse. Ils viennent se briser dans sur la terre sèche.
Tout est bien. Elle prend des photographies pour immortaliser l'instant. Je prends la pose...

Nous passons à l'étape 11 et à l'étape 12. Nous constatons que tout est dans un état impeccable.
Juliette me fait remarquer des traces de coulures au bas du trou de la station 13.
La jeune femme me fait remarquer que ce Glory Hole est discret.
Il très proche du sentier du GR 5 qui va sur Compostelle.
Donc très fréquenté par des marcheurs, des randonneurs et quelques pèlerins.
Il y a certainement quelques marcheurs qui marquent une pause en ce lieu.
Il y a même de sacrés pèlerins...

Nous terminons notre circuit au dix huitième et dernier Glory Hole.
Là, Juliette me fait remarquer que l'herbe, où elle avait perdu son téléphone portable, est à présent bien sèche.
En effet, le peu de pluie de cet automne exceptionnellement doux a permis à la végétation de s'éteindre sans pourrir.

Un petit coup de papier à poncer. Juliette me fait remarquer que cet endroit lui laisse un très agréable souvenir.
J'y passe mon sexe en érection que je fais bouger dans tous les sens.
La jeune femme éclate de rire. Je lâche un jet qui manque de peu son appareil photo.

Nous reprenons le chemin du retour. Nous arrivons aux voitures vers dix huit heure. La nuit arrive.
Nous prenons la route de ma maison. Juliette est invitée à manger.
Elle va pouvoir assister à la préparations de ces délicieuses tomates farcies au pâté de lentilles.
Ce plat goûteux que je vais nous concocter pour le repas du soir. J'ai tout préparé.
Pour dix neuf heure trente, nous passerons à table...

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Un délicieux repas avec Juliette Danser
Friday 22 January 2016 16:51

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe

Glory Hole - (Episode 10)


Juliette et moi, nous découvrons ma messagerie

Juliette m'aidait à évider les tomates à farcir. Il y en avait quatre, de belles grosses tomates à farcir.
Pendant ce temps, dans une grande casserole, je faisais cuire des lentilles vertes. Deux grands verres.
Dans l'eau bouillante, il y avait également un gros oignon et de l'ail finement coupés.
L'odeur était des plus agréables. Dans une autre casserole, je faisais cuire des coquillettes complètes et Bio.

Lorsque la cuisson des lentilles fut terminée, je mélangeais les lentilles avec du fromage italien "Grana Padano".
Ce fromage coupé en petits morceaux est fabuleux. Qui connaît ce fromage connaît également ses qualités.
Qui apprécie ce fromage aime ses effluves et son goût.
Nous rajoutâmes de la ciboulette, des graines de sésames grillées et du persil.
Pour "fermer" les tomates ainsi emplies, j'y plaçais les "couvercles". Dessus j'y saupoudrais du parmesan.

Nous avons mis les tomates dans un plat.
Autour, j'y disposais les coquillettes que je saupoudrais du reste de parmesan grossièrement rappé.
Je disposais le plat au four à une température de 250° pour une trentaine de minutes.
Pendant ce temps, nous avons préparé la salade d'endives. Huile d'olive, moutarde à l'ancienne.
Quelques olives noires "à la grecque", petit oignon et gousse d'ail finement émincés.

Puis, lorsque tout fut préparé, j'ai proposé à Juliette de nous rendre devant l'ordinateur.
En ouvrant ma boîte mail, parmi les spams habituels, il y avait deux "contacts" depuis mon Blog.
Ce Blog dont je donne le lien sur demande par messagerie privée à qui me le demande gentiment.
En messagerie privé et en parfaite conformité avec la déontologie du site.
Un Blog torride, sulfureux et terriblement excitant. Hautement masturbatoire...

Je venais d'y poster un nouveau récit, justement intitulé < Découverte un Glory Hole >.
Une jeune femme m'écrivait pour me demander quelques détails supplémentaires.
Il y a chaque semaine, cinq ou six demandes de contacts.
Provenant le plus souvent de jeunes femmes intéressées qui me félicitent.
Des jeunes femmes qui, plus rarement, voudraient "savoir" et découvrir plus de choses.
Je me fais un devoir de répondre.

Là, dans un des deux messages, c'est une "Christine" qui a déjà connu une situation semblable.
Cette "Christine" se reconnaissait donc dans mon récit.
Seulement, voilà, son expérience en Glory Hole avait eu lieu dans un sauna !
Nous imaginons donc facilement la tristesse infinie de cette expérience.
Un sauna ! Avec son mari, en plus ! ! !

Juliette riait de bon cœur en lisant ce message.
Aussi, je lui proposais de répondre ensemble, proposant à "Christine" de venir découvrir un vrai Glory Hole !
Un Glory Hole sauvage et bien vicelard ! Un "vrai".
Un de mes Glory Hole disposés dans la nature enchanteresse.
Pas un Glory Hole dans un lieu aseptisé, formaté et payant. Comme un sauna par exemple !

Dès que le message fut envoyé, nous passions à table.
Juliette et moi, nous nous sommes régalés de nos tomates accompagnées de la salade d'endives.
Salade sur laquelle nous avions saupoudré de la levure diététique en paillettes.
Un délice supplémentaire. En dessert, ce fut une gigantesque coupe glacée.
Quatre boules. Vanille, pistache, pralin et nougat.

Juliette me quitta vers vingt trois heure après avoir découvert mon Blog et ses 135 récits.
Textes écrits et créés par mes soins. Pas de photographies.
Mon Blog s'adresse à l'intellect et aux cérébraux. Nous avons répondu au second message.
Une certaine "Academia" me faisait un gentil petit mot.
Une jeune femme qui, d'une orthographe plus qu'approximative, témoignait de son admiration pour mes récits.
Elle évoquait Estelle. Mon élève, (plus de 18 ans). "Academia" avait connu une telle aventure.
Ces cours de violoncelle que je donne en soirée, le mardi et le jeudi.
Récits terriblement évocateurs.

Juliette revient pour mercredi.
Nous retournons randonner sur le circuit des Glory Hole, si le climat le permet.
Rendez-vous au lieu habituel pour quatorze heure.
La jeune femme m'invite à dîner chez elle en soirée...


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Glory Hole - (Episode 11)

J'arrivais, comme d'habitude maintenant, au lieu de rendez-vous pour quatorze heure.
Juliette était déjà là. Une fois encore, j'admirais cette ponctualité si rare chez la gente féminine.
Je garais la voiture derrière la sienne. Aussitôt la jeune femme, sortant de son véhicule, vint à ma rencontre. Aujourd'hui, vêtue d'une leggings noir, merveilleusement moulant et d'un sweat-shirt.
Ses cheveux flottant sur ses épaules, elle me paraissait encore plus belle.

Chaussée de solides chaussures de marche, portant son petit sac à dos, Juliette me fit trois bises.
J'étais réellement content de la revoir. Elle aussi.
Elle m'en témoigna immédiatement la preuve en me précisant que nous allions passer toute la journée ensemble.
Ce soir, j'étais invité à partager un repas concocté par ses soins. Nous nous mettions en route.
Direction le premier Glory Hole.

Chemin faisant, la jeune femme m'entretenait de quelques amusantes anecdotes.
Des histoires ayant trait à sa profession d'enseignante. J'apprécie la compagnie des enseignantes.
Elles sont parfois cultivées, pleines de réflexions et, pour certaines d'entre elles, terriblement salopes.
Attention, ce n'est pas une généralité toutefois...
Chacun sait que j'adore les salopes, je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas.

Tout en marchant, Juliette évoquait également mon Blog.
Les récits concernant "Christine" ne la laissant pas indifférente.
Hautement masturbatoires, ces petites histoires, toujours vraies étaient authentiques et vécues.
Elles mettent en scène des situations "torrides". Juliette marchait devant moi.
Je regardais ce superbe cul, tout en haut de ces longues jambes merveilleusement galbées.
Je le lui fit remarquer. < Merci ! > me fit-elle, reconnaissante et enchantée.

Nous arrivons au premier Glory Hole. Tout est en ordre. Je passe derrière la cloison.
J'ouvre ma braguette et je passe mon sexe par l'orifice.
J'entends Juliette me préciser, en riant : < Ok, tout semble en ordre sur celui-ci ! >. Je me retire.
Je remballe et je ferme ma braguette. Nous partons pour la seconde station.
En cours de route nous devisons en évoquant les récits concernant "Lucie.
Lucie la fille de la cave", récits relatés dans mon Blog.
Une autre superbe salope. Le mot "Salope" étant, dans mes écrits, un compliment et jamais une insulte !

Nous arrivons au second Glory Hole. Je procède au même contrôle de routine.
Tout en lâchant un petit jet de pisse, pour rire. Nous aimons nous amuser...
Juliette, évitant le jet, m'affirme que tout est fonctionnel. Nous continuons notre route.
Nous parcourons ainsi le sentier qui nous mène aux huit premiers Glory Holes.
C'est à la neuvième station que nous constatons un fait de vandalisme évident.
Les agissements de quelques voyous.

Quelqu'un, avec une grosse branche sans doute, introduite dans le trou, faisant levier, a cassé la planche.
Celle-ci, fendue presque jusqu'au sol, devait être remplacée au plus vite.
Nous décidons immédiatement de revenir dimanche après-midi afin de procéder à une réparation bien nécessaire.
Il nous faudra récupérer une planche au cabanon de l'étang, la station numéro 8.

Nous continuons notre reconnaissance des lieux.
Les autres Glory Holes n'ont souffert d'aucune violence gratuite et inutile.
Aucun intégriste "anti-trou" n'a sévi là.
J'ai passé mon sexe dans chacun des dix sept trous pour constater que tout était parfait.
Juliette, par ses encouragements, me rassurait à chaque fois.
Elle me confortait quand à la parfaite fonctionnalité de mes créations murales. Pas d'échardes.

Nous sommes revenus à la voiture, fourbus mais heureux d'avoir respiré le grand air.
Satisfaits d'avoir procédé aux contrôles nécessaires. Suivant la voiture de Juliette, je roulais doucement.
Nous arrivâmes chez elle pour dix neuf heure.
Il n'y avait qu'à réchauffer ce gratin dauphinois et à préparer une délicieuse salade de tomates.
Activité qui sera relatée dans le prochain et palpitant épisode...


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Glory Hole - (Episode 12)


Nous arrivons chez Juliette. Il est dix neuf heure. Je gare ma voiture derrière la sienne, dans le jardin.
Nous entrons dans la maison. Il y règne une agréable odeur. Mélange de fleurs, de parfums et de cuisine.
Nous entrons à la cuisine. Nous nous lavons les mains à l'évier. La jeune femme sort un plat du réfrigérateur.
Enlevant la feuille de papier aluminium, elle me montre un magnifique gratin Dauphinois.

Avant de placer le plat au four, Juliette, y saupoudre du grana panado.
Ce délicieux fromage italien aux effluves parfumées qui sait nous ravir.
Je me propose de préparer la salade de tomates pendant la cuisson du gratin.
La jeune femme m'indique où se trouvent les différents ustensiles.
Saladier, couteaux couverts et assaisonnements.
J'adore préparer la salade, aussi, elle s'assoit pour me regarder faire.

Je verse deux cuillères à soupe d'huile d'olive dans le saladier.
Une cuillère à café de moutarde à l'ancienne. Je dépose deux grosses pincées de sel de Guérande.
Je verse un peu d'herbamare. Sur le tout, je dépose une cuillère à café de graines de sésame grillées.
Je mélange. Juliette relate quelques amusantes anecdotes de quelques expériences amoureuses passées.
Nous rions de bon cœur.

J'émince un petit oignon et une gousse d'ail, (un ail, des aulx). Je coupe finement.
Je procède de la même façon avec le persil et la ciboulette. Juliette se lève pour quitter la cuisine.
Elle me fait un clin d'œil et me dit : < Je vais chercher une surprise et je reviens ! >.
Je lave les quatre tomates d'un rouge éclatant et de culture biologique.
La jeune femme revient. Elle pose des photos sur la table.

Tout en coupant les tomates en fines lamelles, je regarde les photographies que me montre la jeune femme.
Ce sont les clichés qu'elle a pris lors de notre randonnée Glory Hole de la semaine dernière.
La coquine les a tiré sur son imprimante.
J'y découvre, admiratif, mon Zob qui dépasse de tous les trous que nous avons vérifié.
C'est de toute beauté. Je le reconnais bien. Avec ce prépuce luisant et fripé.

Je verse les lamelles de tomate dans le saladier. Pour en garder toute la saveur, j'évite de les mélanger.
Juliette me commente certaines photographies qui ont sa préférence.
Le cabanon, près de l'étang, par exemple est représenté de façon magistrale.
Dans le trou, au-dessus du lierre qui grimpe le long de la paroi, on distingue parfaitement mon sexe.
Ce dernier, fièrement dressé vers l'azur des cieux, est majestueux.

Juliette me monte le cliché qui nous dévoile le cabanon de jardin, sous les ruines du château.
Juliette me fait admirer l'ombre sublime que fait mon sexe sur la planche neuve.
En effet, j'avais passé mon Zob dans le trou et je me souviens de l'agréable chaleur du soleil.
Le soleil était haut dans le ciel et éclairait toute chose d'une lumière impudique, crue.
Cette photographie est magnifique. Elle sublime cette partie de mon anatomie avec grâce.

Juliette se lève pour préparer la table. Je sors le gratin du four. L'odeur est exquise.
Je mélange la salade de tomates. J'y rajoute quelques olives noires dénoyautées.
Je saupoudre de levure diététique paillette. Nous passons à table.
La jeune femme dispose les photographies sur la porte du réfrigérateur avec des petits aimants "magnet".
C'est ravissant. Je reste admiratif devant ces réussites.

Je quitte Juliette pour vingt deux heure.
Nous nous promettons une prochaine randonnée Glory Hole dès samedi après-midi.
La jeune femme me propose de faire une nouvelle série de photographies.
J'accepte avec joie et je lui promets de bien préparer le "modèle".
Nous nous faisons les trois bises réglementaires et je file.


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Glory Hole - (Episode 13)


Ce samedi arriva enfin.
Juliette et moi, nous étions tous deux assez pressés de nous revoir.
Nous avions échangé nombres de courriels depuis mercredi.
J'arrivais à l'endroit habituel pour quatorze heure. Toujours aussi ponctuelle, la jeune femme était déjà là.
Je me garais une fois de plus derrière sa voiture. A peine avais-je coupé le moteur que Juliette vint vers moi.
Elle me souriait. Je la regarde, comme elle est belle !
Je sors précipitamment.

Nous nous faisons la bise. Les trois bises réglementaires. Je garde en mémoire les effluves de son parfum.
A chaque moment avec Juliette, je peux régénérer cette souvenance.
La jeune femme, vêtue d'un leggings noir, d'un sweat-shirt est chaussée de solides souliers de randonnée.
Elle porte son sac à dos.
Sac duquel dépasse un trépieds qui permet de fixer un appareil photographique ou une caméra.

J'ai mon sac à dos dans lequel j'ai tout le matériel nécessaire.
Perceuse, papier à poncer, mèches de différents diamètres et victuailles.
Nous nous sommes mis d'accord par courriels. C'est moi qui assure les en-cas et la boisson.
Je suis vêtu d'un short kaki et d'une chemise de baroudeur.
Je suis chaussé de mes grosses chaussures de marche.
Nous nous mettons en route.

Nous arrivons au premier Glory Hole. Juliette me propose de faire une photographie.
Je passe derrière la cloison, je sors mon sexe et je le passe dans le trou qui est en parfait état.
La douce chaleur du soleil caresse agréablement ma "chose" délicatement déposée sur le bord de l'orifice.
< Ok, on ne bouge plus, le petit oiseau va sortir ! > me fait Juliette de l'autre côté. Riant aux éclats.
Quelques secondes passe et j'entends le déclic. < C'est dans la boîte ! > rajoute t-elle.
Je remballe et je viens la rejoindre.

Son appareil photographique, c'est du sérieux. Du lourd. Un gros Nikon noir.
< Je te montre les photos mercredi, tu veux bien, je les retouche pour te faire la surprise ! > me fait Juliette.
Elle me dépose une bise sur le bout du nez. Elle range son appareil et replie le trépieds.
Nous reprenons notre marche sur le sentier.

Nous arrivons à la seconde station. Nous procédons de la même façon.
Je passe derrière la paroi et je passe mon sexe dans l'ouverture en excellent état.
J'entends la voix de Juliette, de l'autre côté, qui me fait : < Prêt ? >. Je réponds : < Tout baigne ! >.
Quelques secondes passent et j'entends le déclic. < C'est dans la boîte ! > me fait la jeune femme.
Je remballe et je la rejoins.

Nous reprenons notre chemin.
Nous procédons de la même façon à chaque station jusqu'au neuvième Glory Hole.
Arrivés là, nous découvrons l'ignoble ! Une fois encore, ma création murale a été sabotée.
Décidément, l'intégriste anti-trou, fondamentaliste de la planche lisse, a encore sévit.
L'orifice est scellé d'une plaque de métal vissée contre le bois de la cloison.

< Laisse, on s'en fout, on le répare à la prochaine randonnée ! > me fait Juliette.
Elle me passe la main autour de la taille comme pour me consoler.
Nous reprenons notre route. Nous arrivons à la station 10. Tout est en ordre.
< Fais-toi bander, pour la prochaine photo, s'il te plaît ! > me fait la jeune femme.
Elle me dit cela tout en fixant l'appareil photo sur le trépieds.
Je passe derrière la cloison. Je me branle un peu. Je passe ma superbe turgescence par le trou.
< Superbe ! > me fait la photographe de l'autre côté. J'entends le déclic quelques secondes plus tard.

Nous continuons notre chemin et nous faisons des photographies à chaque nouvelle station.
Juliette me demande une érection à chaque fois.
Arrivés au Glory Hole No 18, le dernier, Juliette prépare son matériel.
Elle me fait : < Pour la dernière, si tu pouvais faire quelque chose d'étonnant ! >.
Je passe derrière la cloison, je me masturbe un peu afin de bander comme le voyou que je suis.
Je passe ma bite dans le trou.
Là, je lâche plusieurs jets de pisse vers l'azur des cieux.

< Absolument fameux ! Ne t'arrête surtout pas, pleins de petits jets s'il te plaît ! > me fait Juliette.
Elle rit de l'autre côté. Quelques secondes plus tard, j'entends quantités de déclics.
La jeune femme a réglé l'appareil sur "automatique".
Elle "mitraille" donc au rythme d'un cliché toute les deux secondes. Je bande comme un salop.
Je pisse par petits jets. C'est fabuleux.
< Je ne pisse pas sur l'appareil, au moins ? > demandais-je, espiègle et mutin.
< Non, pas de soucis ! > me réponds la coquine.

Lorsque j'ai épuisé le stock et vidé le réservoir, j'entends la voix de Juliette.
De l'autre côté, la jeune femme me fait : < Ok ! Super, c'est dans la boîte ! >.
Je lui réponds : < Tu veux de la jute aussi ? >.
< Si tu peux, là, pas de soucis, je mets sur position "caméra" ! > me fait la jeune femme.
Je me retire, je me branle un peu.
Je maîtrise parfaitement mon sexe, je le passe par le trou.
Je précise : < Attention, je jute ! >. J'entends glousser Juliette.
J'éjacule en bloquant l'épanchement afin que la jute coule plutôt qu'elle ne gicle.

< J'ai filmé ! C'est superbe. C'est dans la boîte ! > me fait Juliette de l'autre côté.
Je remballe et je la rejoins. Nous prenons le chemin du retour.
< Tu veux bien venir manger demain soir ? > me demande Juliette.
Elle rajoute : < J'aurais fait le montage des photos et du film ! >.
J'acceptais avec plaisir en proposant d'emmener le dessert.
Rendez-vous chez elle pour dix neuf heure.

Nous étions de retour aux voitures pour dix huit heure...


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Glory Hole - (Episode 14)


J'arrivais chez Juliette pour dix neuf heure. Ce dimanche soir était d'une grande douceur.
Lorsque je garais la voiture dans son jardin, devant la porte du garage, la jeune femme vint à ma rencontre.
Vêtue d'une jupe et d'un pull fin, c'était la toute première fois que je la voyais ainsi.
Je l'ai toujours vu en jean bleu.
Chaussée d'élégants souliers à légers talons, je trouvais sa silhouette absolument superbe.

Après les trois bises réglementaires, Juliette m'entraîna vers l'arrière de la maison.
Là, devant la véranda ouverte, étaient disposées une table et deux chaises.
L'odeur de cuisson arriva pourtant jusqu'à mes sens. A n'en point douter c'était une tarte aux poireaux.
Une de ces flamiches que la jeune femme préparait d'une manière remarquable.
La table était mise.

Dans la véranda, sur un guéridon, était posé le téléviseur. Ce dernier fonctionnait.
Sans doute quelque DVD nous offrait des images éblouissantes de l'Ecosse.
Je reconnaissais bien ces paysages qui me sont familiers.
J'y passe chaque année un mois dans ma famille.
Aberdeen, Saint-Andrew ou encore Edimbourg n'ont plus de secrets pour moi.
Juliette rêve de découvrir ce magnifique pays.

Je m'installais sur la demande de mon hôte. Elle revint avec un plat à tarte fumant.
Je ne m'étais pas trompé. C'était bien une flamiche. Cette tarte aux poireaux recouverte d'un couvercle de pâte.
Une spécialité picarde qui sait ravir n'importe quel palais.
Mon appétit aiguisé au plus haut point, je proposais de démouler le plat.
Celui-ci, en silicone souple, livra immédiatement sa proie sans coller.

Juliette débouchait une bouteille de vin rouge. Je disposais mon carton à pâtisserie sur une table basse.
J'avais préparé une tarte aux noix. Une de mes spécialités pâtissières.
Nous passions à table. Je découpais la flamiche en quatre parts. Je servais nos deux assiettes.
La jeune femme remua la salade pour en disposer aux côtés de nos parts de tarte.
La salive aux lèvres, nous nous mîmes à déguster.

Après le repas, un peu lourd, Juliette me fit : < Je vais te montrer une surprise ! >.
Elle se leva pour se rendre au téléviseur.
Elle brancha une clef USB et revint me rejoindre avec la télécommande à la main.
Effectivement, la "surprise" fut à la mesure de la curiosité que la jeune femme avait suscité par son affirmation.

Là, à l'écran, je vis le premier Glory Hole. Je reconnaissais le lieu.
La photographie était nette et de haute résolution. Sur le second cliché, quelle ne fut pas ma surprise.
Le visage de Juliette, à quelques centimètres de mon sexe, fixait l'objectif avec un sourire désarmant.
< Oh ! C'est formidable ! > m'écriais-je absolument enchanté de cette découverte.
< N'est-ce pas ! > fit la jeune femme.

Il y avait à chaque fois deux clichés. Le premier présentait le trou. Le second présentait ma bite.
A chaque fois, tout à côté, le visage rayonnant de Juliette fixait l'objectif.
Elle fixait l'objectif avec ce sourire innocent qui suscitait l'émotion.
Comme elle était belle ! (Juliette).
Je lui fis part de mon admiration et je la félicitais pour cette initiative farfelue mais très "professionnelle".
C'était vraiment superbe.

Nous avons ainsi visionné les dix huit trous, "avant et après".
Les commentaires amusants et inspirés que Juliette avait affiché au bas de chaque cliché me faisait rire.
Je riais vraiment de bon cœur. Quelle surprise ! < Maintenant, nous arrivons au "chef-d'œuvre ! > me fit Juliette.
Là, sous mes yeux ravis, sous mon regard plein d'admiration, commençait le film.
Ce film que nous avions réalisé à la fin, au dernier Glory Hole.

Je vis le trou noir, vide et cyclopéen se remplir de mon membre.
Je pouvais découvrir le visage de Juliette se rapprocher.
Elle regardait la caméra en faisant quelques clins d'œil appuyés.
Levant le pouce de sa main droite en même temps que je lâchais le premier jet de pisse.
C'était éblouissant. Une réussite. Exemplaire de simplicité et bon goût.
Je me souviens d'avoir obtempéré aux injonctions de la jeune femme lorsque j'étais derrière la cloison.

J'invite le lecteur à découvrir l'épisode précédent pour savourer, dans son intégrité.
Il pourra ainsi, lui aussi, découvrir ce que nous pouvions observer là, à l'écran.

A l'image, le film était remarquablement bien monté.
Les commentaires amusants qui venaient s'inscrire en surimpression rajoutaient encore au plaisir de la découverte.
On pouvait voir plusieurs jets de pisse jaillir avec une bonne puissance.
Le sexe en érection projetait ses giclées nettes et précises vers l'azur des cieux.
C'était beau.
Surtout qu'à chaque fois, comme par enchantement, le visage de la jeune femme déviait.
Elle évitait de justesse de s'en ramasser. Du grand Art !

Enfin, après la dernière giclée, il y eut un moment ou ma bite disparaissait dans le trou.
Le montage, habile et judicieux, la fit apparaître en même temps que s'en échappait un long filet de sperme.
De la jute qui vint s'écouler au sol.
Le visage de Juliette, toujours à quelques centimètres, échappa de justesse à une nouvelle giclée.
Une véritable virtuose de l'esquive.
Je me souviens avoir maîtrisé mon éjaculation avec grand soin pour offrir ce résultat digne d'un Oscar.

A la fin du film, je me levais pour applaudir à tout rompre ! < Bravo ! Bravo ! > m'écriais-je à plusieurs reprises.
Je déposais une bise sur la joue à Juliette en lui disant : < Merci pour cette surprise ! Tu es extraordinaire.
Quelle merveilleuse actrice tu fais ! >.
La jeune femme éclata de rire en rajoutant : < Il faut dire que j'avais un partenaire de choix ! >.
Nous avons rit longuement avant de passer à la tarte aux noix.

Nous décidions de nous revoir mercredi après-midi pour une nouvelle randonnée "Glory Hole".
Rendez-vous fut fixé pour quatorze heure, à l'endroit habituel. Je laissais Juliette pour vingt deux heure.
Elle me regarda partir en me faisant coucou de la main...


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Glory Hole - (Episode 15)

J'arrivais au lieu habituel de notre rendez-vous pour quatorze heure.
Je garais ma voiture derrière celle de Juliette qui était déjà arrivée.
Cette ponctualité, tellement rare dans la gente féminine, me ravissait une fois de plus.
Une femme arrivant à l'heure est déjà une "attraction", mais une femme arrivant en avance est un "phénomène".
Pure vue de l'esprit, évidemment...

Juliette sort de sa voiture pour venir à ma rencontre. Je sors de la mienne. Nous nous faisons la bise.
Visiblement la jeune femme est très heureuse de me voir. Le ciel est couvert mais pas menaçant.
Il fait plutôt doux. L'après-midi s'annonce sous les meilleurs auspices.
Juliette est vêtue d'une jupe, d'un sweat-shirt et chaussée de baskets.
Je suis vêtu d'un short, d'un T-shirt et chaussé de baskets.

Nous avons tous les deux notre petit sac à dos. Nous nous mettons en route.
Nous bavardons en montant le sentier.
Juliette m'apprend qu'elle a emmené son appareil photographique et un mini trépieds.
Passionnée de photographie, la jeune femme ne rate jamais l'opportunité de réaliser quelques clichés.
Elle me propose de refaire quelques "prises" aux Glory Holes. Je suis amusé.

Nous arrivons à la première station. Tout est en ordre. Le premier Glory Hole est en parfait état.
Juliette déplie son trépieds pour y fixer le gros appareil.
Je passe derrière la cloison, je me débraguette et je passe mon sexe par l'ouverture.
< On ne bouge plus ! > me fait la jeune femme de l'autre côté.
Je sens qu'elle se saisit de mon membre, j'entends le "clic". < C'est OK ! > me fait-elle.

Nous nous mettons en route pour la seconde station.
En marchant, Juliette me fait : < Tu comprends que je ne te propose aucune copie des photos que je prends ! >.
Je la rassure en lui précisant : < Aucun soucis, je n'en aurais jamais demandé de toute façon ! >.
Elle s'arrête pour me faire une bise en disant : < J'aime les gens plein de réflexions ! >.
Nous arrivons au second Glory Hole.

Tout est dans un état impeccable. Je dégage simplement un peu l'herbe haute.
Juliette prépare l'appareil photo. Je passe derrière la cloison, je passe mon sexe par l'orifice.
Une fois encore, je sens la main de la jeune femme qui le tient fermement en disant : < On ne bouge plus ! >.
Je réponds : < Le petit oiseau est sortit ! >.
Nous rions aux éclats et nous prenons le chemin de la prochaine station.

Nous arrivons au Glory Hole No 3. Là aussi, tout est au petit poil !
Je gratte une crotte d'oiseau et je passe derrière la cloison pendant que Juliette prépare l'appareil.
Une fois encore, je passe mon membre par le trou. La main de la jeune femme s'en saisit fermement.
j'entends le "clic" du déclencheur.
< C'est dans la boîte ! > me fait la jeune femme que je rejoins en fermant ma braguette.

Nous sommes en chemin pour la station suivante. Nous procédons ainsi à chacune des dix sept stations.
Superbe travail. Les Glory Holes sont tous dans un état irréprochable. Nous arrivons à la dernière étape.
Le Glory Hole No 18. Là, Juliette me propose, comme la dernière fois, de réaliser un petit film.
Un court métrage où mon sexe serait le "partenaire" de la jeune femme. Je suis enchanté.

Je passe derrière la cloison. < Attention, lorsque je dis "Moteur", nous faisons la prise ! > me fait Juliette.
J'attends en me masturbant doucement. Je suis détenteur d'une belle érection.
Soudain, la voix de Juliette fait : < Moteur ! >. Je passe mon sexe par l'ouverture.
J'essaie de deviner ce que 'l'actrice" est entrain de faire.
A tout hasard, afin d'animer l'image, j'improvise en lâchant un jet de pisse.

C'est toujours le silence de l'autre côté. Je ne sais pas ce qui se passe. Je lâche encore un petit jet.
Bref, net et court. Puis un autre et encore un autre. J'entends glousser de l'autre côté.
Je sens la main de Juliette. Elle me décalotte. Je lâche un nouveau jet.
J'entends des petits gémissements de ravissements. Que peut-elle bien faire ?

Juliette me masturbe. Je lâche plusieurs jets de pisse. La situation perdure quelques minutes.
< Tu veux bien juter ? > me fait la jeune femme. Je me concentre.
Moi qui ai pour habitude de "faire durer", et souvent au-delà du raisonnable.
Là, je suis obligé de fournir un véritable effort. Finalement, je m'apprête à éjaculer.
J'entends < Aaahhhhh ! > derrière la cloison. Je balance la purée...

Je referme ma braguette pour rejoindre mon "actrice".
Juliette, le visage dégoulinant de mon sperme est entrain de s'essuyer.
Tout en rangeant son matériel, elle me fait : < J'ai de quoi faire quelques superbes montages ! Je te montrerais ! >.
Je lui propose de manger ensemble dès samedi prochain. Je l'invite à partager un repas chez moi.
Toute contente elle me couvre de bises en me disant : < Oh oui, tu es un si merveilleux cuisinier ! >.
Je suis ému.

Nous nous mettons en route pour revenir à la voiture.
Sur le chemin, je vois que Juliette a un peu de sperme sec collé dans ses cheveux, juste au-dessus de l'oreille.
Je le lui fais remarquer. < Prends une photo ! > me fait-elle en me tendant l'appareil.
Nous arrivons à la voiture.
< Je mets le tout sur une clef USB et on se mâte ça chez toi, samedi soir, ok ? > me fait-elle.
Pour la première fois, Juliette se serre contre moi longuement.
Nous décidons d'aller manger chez moi déjà ce soir. En route...


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Classe
Homme, 53 ans, France
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Glory Hole - (Episode 16)


J’arrivais chez Juliette pour dix neuf heure. Je garais la voiture devant le garage.
La jeune femme laisse toujours le portail ouvert pour me permettre de stationner dans sa propriété.
Ce samedi soir était pluvieux et la fraîcheur ne donnait aucune envie à la promenade.
Aussi, au lieu d’aller randonner dans l’après-midi, nous avons différé notre prochaine promenade Glory Hole.
Nous ferons cette virée mercredi prochain.

Juliette vient me recevoir avec un parapluie.
Elle est vêtue d’un pantalon à pinces, d’un pull fin et chaussée d’escarpins à talons.
Sa silhouette est ainsi sublimée de la plus belle des façons.
Un soir, je veux m’asseoir dans un fauteuil et me contenter de la regarder évoluer autour de moi.
La contempler tout en me masturbant longuement. Je vais le lui proposer sous peu. Ce soir peut-être.
Elles ne sont pas nombreuses à comprendre le "compliment" que cela signifie.
Témoignage d’une admiration certaine.

Nous entrons dans la maison. L’odeur est délicieuse. Sans doute un gratin, mais de quoi ?
Je dépose le carton contenant le dessert sur la petite desserte à côté du réfrigérateur.
Pour le dessert, j’ai préparé une tarte aux noix. Une de mes spécialités. Nous mettons la table.
Juliette sait que j’adore préparer la salade. Elle me propose donc de nous y mettre. Nous conversons.
La jeune femme évoque quelques anecdotes concernant sa profession d’enseignante. Nous rions.


La salade est prête. Carottes râpées dans une purée d’avocat aux olives noires.
Je saupoudre de levure diététique. Juliette sort un somptueux gratin d’aubergines du four.
Je salive, l’appétit mis à rude épreuve. Juliette m’explique que les aubergines sont farcies au millet.
Cette céréale dorée est un délice. Nous nous servons.
Nous savourons à la fois le repas et la joie d’être tous les deux.

Après nous être régalés, Juliette me propose de déguster le dessert au salon.
Nous nous vautrons dans le canapé.
Sur la petite table basse, devant nous, les tranches de tarte aux noix invitent à la gourmandise.
Nous sommes tous deux de grands sportifs. Nous n’avons donc aucune crainte devant les calories inutiles.
Juliette s’empare de la télécommande et me fait : < La surprise ? >.

L’écran du téléviseur s’illumine.
Sur un fond de paysage que je reconnais bien, apparaît le titre < Glory Hole story >.
Nous éclatons de rire.
Je me tourne vers la jeune femme pour lui demander : < Mais tu as du temps pour faire des trucs pareils ? >.
Elle rit au éclats en me répondant :
< Oh oui, c’est rapide, j’ai l’habitude de faire des montages pour mon boulot de prof ! >.

A l’écran, apparaît la première photographie. Je découvre le premier Glory Hole.
Le visage de Juliette est tout près du trou. Du doigt, elle montre l’orifice en faisant un clin d’œil à l’appareil.
Sur le cliché suivant, il y a mon sexe qui dépasse de l’orifice. Lui, je le reconnais bien !
Sur le cliché suivant, Juliette le tient entre le pouce et l’index en souriant devant l’objectif.
C’est exquis ! Nous éclatons de rire.

Sur toutes les photographies suivantes, c’est un peu la même mise en scène.
Le visage de Juliette, radieux, souriant, est tout près de mon sexe.
Ce dernier est parfois en érection, parfois "mou" mais qui pend toujours du trou. SEX-traordinaire.
Nous rions aux éclats. Je découvre les commentaires qui s’inscrivent au bas de chaque image.
C’est surréaliste. La plupart du temps, sur les clichés, Juliette me tient entre le pouce et l’index.
Parfois je suis décalotté. Parfois pas. Du grand Art.

Maintenant, en découvrant ce magnifique montage, je comprends ce qui se passait derrière la cloison.
Tout ce que je ne pouvais voir m’apparaît à présent clairement. < C’est merveilleux ! > dis-je en applaudissant.
Surtout lorsque je découvre mon sexe collé contre la joue de Juliette.
Cette dernière qui regarde l’objectif avec un sourire désarmant.
Je me lève pour m’écrier : < Bravo ! Bravo ! >. J’applaudis à tout rompre. Une véritable ovation !

< Le meilleur reste à venir, mon cher ! > me fait Juliette en se levant pour venir s’accroupir à côté du téléviseur.
Je regarde avec attention. L’image s’anime soudain.
Ce ne sont plus des photographies mais le film que nous avons réalisé au denier Glory Hole.
Mon sexe apparaît lentement par l’orifice.
Un peu comme une taupe sortant de son terrier en hiver, il semble regarder sur la gauche et sur la droite !
Une sorte d’évocation de quelque documentaire animalier…

Je me souviens que je faisais bouger mon sexe en contractant mes muscles fessiers.
Là, à l’écran, le spectacle est une réussite.
Soudain, un premier jet de pisse, bref et précis, semble gicler tout près de l’objectif.
< De la virtuosité ! > me fait Juliette. Il y a plusieurs jets, nets, précis et parfaitement contrôlés.
Je me souviens que pour le rôle je m’étais concentré et préparé avec soin.
Dans les cascades je refuse toujours d’être "doublé" !

A quelques reprises mon sexe disparaît dans le trou pour réapparaître. C’est fabuleux.
L’image, en haute définition, permet d’en apprécier chaque infime détail.
Ce prépuce luisant et fripé qui semble s’animer de sa vie propre. C’est fantastique.
Soudain, pendant un de ces beaux jets, le visage de Juliette apparaît .
En anticipant les giclées, la jeune femme esquive avec grâce chacune d’entre elles.


Cela tient du miracle. Cette scène fabuleuse n’est pas sans évoquer un toréador esquivant le taureau.
Les deux derniers jets, guidés par les doigts virtuoses de Juliette, viennent éclabousser les feuilles de lierre.
Les pousses de jeunes plants sur la droite. Elle me masturbe un peu.
Je me souviens de toutes mes sensations derrière la cloison.
Je me demandais ce que la jeune femme était bien entrain de faire.
A présent, je le découvrais là ! La révélation…

Lorsque la jeune femme eut la certitude que la source fut tarie, je pouvais la voir s’approcher de mon sexe.
Elle s'en approchait jusqu’à en avoir la bouche à quelques centimètres.
Je me souviens que sur sa demande, je me masturbais.
Là, à l’écran, j’assistais à mon éjaculation sur le visage de Juliette.
< Un grand moment, non ? > me fit-elle en se redressant pour venir me rejoindre sur le canapé.
< Oui, un prodige ! > lui fis-je en lui serrant la main pour la féliciter.

Il y avait cette dernière photographie, près des voitures, où Juliette souriait à l’objectif.
Ce cliché où,montrant de son index le sperme sec sur ses cheveux, au-dessus de son oreille gauche, elle riait.
Un petit "bonus track" du plus bel effet !

Nous avons repris, chacun, une seconde tranche de tarte aux noix. Nous avons visionné le film une seconde fois.
Pour vingt trois heure, je proposais à Juliette de la laisser.
Demain, si la météo le permettait, nous pourrions partir pour une randonnée.
Pas forcément Glory Hole.
Il fut convenu que c’est par téléphone, le lendemain, dimanche matin, que nous aviserions dune éventualité.
Une nouvelle "expédition"…


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Homme, 53 ans, France
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Glory Hole - (Episode 17)

Dimanche matin, il était dix heure, j’étais entrain de passer l’aspirateur au salon.
Soudain la sonnerie stridente de mon téléphone "vintage" se mit à tinter.
Le petit marteau s’agitait frénétiquement entre les deux cloches de cuivre.
J’éteignais l’aspirateur pour décrocher. C’était Juliette.
Avec cette journée qui s’annonçait plutôt agréable la jeune femme me proposait une randonnée Glory Hole.

Rendez-vous fut fixé pour quatorze heure à l’endroit habituel.
Personnellement, ce circuit des Glory Holes je le connais par cœur.
Il reste toutefois toujours un grand moment de promenade.
Par contre, je suis étonné que Juliette se passionne autant pour cette même randonnée.
Certes, le sentier serpente dans des lieux enchanteurs, mais il pourrait en résulter une légitime lassitude.
Que nenni…

Je garais ma voiture derrière celle de Juliette qui était déjà là. Ponctuelle comme à son habitude.
Elle vint à ma recontre. Elle me fit les trois bises bretonnes réglementaires.
Elle était vêtue de son legging noir qui moulait ses formes, les sublimant.
Un sweat-shirt bleu. Chaussée de ses solides chaussures, elle ouvrit la marche.
Elle portait son petit sac à dos contenant son matériel.

Il était prévu de refaire une nouvelle série de photographies et quelques films.
Nous étions ravis de cette nouvelle opportunité.
Nous parcourions le sentier d’un pas ferme et plutôt énergique.
Juliette, marchant devant moi, donnait le rythme.
Bientôt, au bout d’une vingtaine de minutes, nous arrivions au premier Glory Hole.
Juliette fixa son appareil sur le trépieds. Je passais derrière la cloison.

Je passais mon sexe par l’orifice. Je m’attendais à entendre le "clic".
Non, subitement, je pouvais sentir l’indicible douceur d’une bouche se refermer sur mon membre.
Je sentais qu’on me pompait avec énergie. Cela dura environ trente secondes pour cesser subitement.
Le bout de mon sexe me procurait à présent une sensation de froid. La caresse avait cessé brutalement.
< C’est dans la boîte ! > me fit la jeune femme. Je remballais "l’accessoire" pour rejoindre Juliette.

Tout en marchant, je n’osais pas évoquer quoi que ce soit.
Juliette évitait consciencieusement de parler de ce qui venait de se passer.
Aussi elle me relata quelques anecdotes de son travail d’enseignante. Nous arrivâmes au second Glory Hole.
La jeune femme fixa une nouvelle fois l’appareil sur le trépieds.
Je passais derrière la cloison pour y passer ma turgescence dans le trou.
J’étais en érection à l’idée de ce qui pourrait éventuellement se répéter.

Presque de suite, je pu sentir la même chose. La jeune femme me taillait une pipe là derrière.
Put-Hein, c’était au-delà de mes pensées du jour les plus folles. Pour une surprise, c’était une sacrée surprise.
Une fois encore, cette fellation ne dura qu’une trentaine de secondes.
Lorsque tout cessa je restais avec cette impression de froideur sur la peau du prépuce.
Je pouvait entendre Juliette me signifier : < C’est OK, c’est dans la boîte ! >.
Je me réajustais pour venir la rejoindre. En route pour la troisième station.

Une fois encore, tout en marchant, la jeune femme, dans sa conversation, occultait toute allusion à la sexualité.
Elle évoquait à présent les plaisirs qu’elle éprouvait dans la pratique de l’équitation.
Moi qui avait l’esprit au fond de mon slip, je faisais semblant de m’y intéresser a ses histoires de chevaux.
Elle n’était pas dupe parce que, parfois, en se retournant, Juliette me faisait un clin d’œil.
Ah, les filles, comme c’est bon !

Tout au long des dix sept Glory Holes, se fut le même rituel.
Arrivée à la dernière station, le numéro 18, Juliette me fit savoir que nous allions "jouer" dans un film.
En effet, pour le dernier Glory Hole, la jeune femme voulait tourner un "documentaire" de qualité.
Elle prépara l’appareil en position "caméra". Je passais derrière la cloison.
< La totale ! > me fit-elle derrière les planches. Patronne et réalisatrice !

Je passais mon sexe dans l’orifice. Une fois encore je pouvais sentir l’indicible caresse.
Cette fois-ci, cela dura bien plus longtemps que les trente secondes réglementées.
Non, c’était une pipe, une vraie.
Je pouvais même entendre les gémissements caractéristiques qui indiquaient un plaisir partagé.
Je me concentrais longuement. Réunissant toute ma volonté, je lâchais un premier jet.
"La totale" avait-elle exigé !

Juliette m’avait demandé "la totale". C’est donc avec un profond plaisir que j’obtempérais.
Je pu sentir sa bouche se retirer prestement.
Le jet devait bien se briser quelque part ! Mystère.
Je n’aurais sans doute les réponses à mes interrogations que lors du prochain visionnage du film.
Je sentis la bouche chaude et douce se refermer sur mon sexe.
C’était une fellation de tout premier ordre.

Je me lâchais à plusieurs reprises par des petits jets nets, brefs mais puissants.
J’entendais glousser. La jeune femme pompait avec un talent que je ne lui connaissait pas.
Elle, toujours si réservée, presque distante, m’offrait là une facette insoupçonnée de sa délicieuse personne.
J’en profitais conformément à sa demande.
Je savais que les batteries de l’appareil n’offraient plus que quelques minutes.
J’éjaculais donc longuement, en plusieurs saccades qui agitèrent mon corps de plusieurs spasmes de plaisir.
Un réel orgasme "multiple".

Je pouvais sentir Juliette se régaler de mes coulées. Je pouvais la sentir récupérer longuement le "fond de cuve".
Enfin, elle se retira pour me lancer : < OK, c’est dans la boîte ! >. J’étais encore très excité.
Je rejoignais ma complice qui me fit encore :
< On a de la chance, il restait peut-être une minute. Regarde, on était sur "réserve" ! >.
J’appréciais le côté consciencieux de la jeune femme.
Son sweat-shirt était trempé, tout comme ses cheveux qui dégoulinaient encore de ma pisse.

De son sac, Juliette sortit quelques feuilles de sopalin et un sweat de rechange.
Je pu admirer ses magnifiques petits seins pointus lorsqu’elle se changea.
Elle mit son linge mouillé dans un sachet en plastique de la marque "Leclerc", (les plus solides).
Nous prenions le chemin du retour.
Avec la différence que la jeune femme ne me lâcha pas la main jusqu’à la voiture.

Pour la toute première fois, devant nos voitures, Juliette m’embrassa.
La jeune femme frottait son bas-ventre contre le mien. Ah, les amis, si vous saviez !
Rendez-vous fut fixé chez Juliette, mercredi soir, pour visionner le film après un délicieux repas.
J’emmènerais le dessert…


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Homme, 63 ans, France
Hummm sperbes recits
Mangnifique la Juliette
La prochaine fois allez a deux hommes avec une conclusion tous les neuf trous
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Glory Hole - (Episode 18)

Il était dix neuf heure. Il pleuvait. Je garais la voiture dans la propriété de Juliette.
Juste devant la porte du garage. La jeune femme vint me chercher sous un grand parapluie.
Bien à l'abri, elle nous entraîna vers l'escalier de l'entrée.
Aussitôt à l'intérieur, déjà dans le vestibule, une délicieuse odeur vint caresser mes narines.
Juliette me fit la bise, m'invitant à me débarrasser de mon blouson.

J'entrais à la cuisine. Sur la table étaient déposés tous les ustensiles nécessaires à la préparation d'une salade.
La jeune femme sait que j'aime préparer la salade. Aussi, elle m'invita à m'y mettre.
La cuisson des courgettes farcies n'allait pas tarder à arriver à son terme.
Juliette, assise à mes côtés, relatait quelques anecdotes amusantes en relation avec son activité d'enseignante.

Je coupais l'ail et l'oignon en fines tranches. J'éminçais le persil et la ciboulette.
Je versais le tout dans le mélange d'huile d'olive et de moutarde à l'ancienne.
Je coupais les olives noires dont je retirais les noyaux, l'œuf dur et les rondelles de bûchette de chèvre.
Il ne restait plus qu'à râper une grosse carotte.
Puis de couper deux tomates et de saupoudrer le tout de levure diététique en paillettes.

Juliette sortit le gratin de courgettes du four.
L'aspect doré, conjugué à une odeur subtile, achevèrent de nous mettre en appétit.
Nous parlions un peu de tout ce qui concernait nos vies professionnelles.
Tout en dégustant cette excellente création culinaire, nous mîmes au point notre prochaine sortie Glory Hole.
Samedi après-midi si la météo le permettait.

J'avais emmené une délicieuse tarte au kiwi que j'avais préparé le matin.
J'y avais déposé des rondelles de bananes et des cernaux de noix.
Quelques amandes grillées par la cuisson, achevaient de rendre cette préparation pâtissière délicate et goûteuse.

Juliette me proposa de prendre le dessert au salon.
Nous fîmes une rapide vaisselle en riant de nos aventures.

Confortablement installés dans le profond canapé, nous nous apprêtions à savourer la tarte.
Au préalable, Juliette avait allumé l'écran du téléviseur.
Elle avait préparé la clef USB dans laquelle il y avait le film.
Ce film qu'elle avait réalisé lors de notre précédente sortie.
J'invite le lecteur à découvrir l'épisode précédent pour en savoir plus et pour savourer celui-ci.

Assis l'un à côté de l'autre, dégustant notre tranche de tarte, (une réussite), Juliette me fit une bise.
Avec sa télécommande elle alluma l'écran. Presque de suite apparurent de magnifiques photographies.
Les clichés pris lors de nos magnifiques randonnées.
Nous pouvions y reconnaître chaque bosquet, chaque cabanon, l'étang, le haras au loin et les superbes Glory Holes.

Soudain, je pouvais reconnaître mon sexe par l'orifice du premier Glory Hole.
Le visage souriant de Juliette qui regardait l'objectif tout à côté.
Sur le second cliché, mon sexe était contre la joue de la jeune femme qui regardait l'objectif avec un sourire.
Un sourire terriblement évocateur.
Sur le troisième cliché, la jeune femme avait mon sexe en bouche et fixait l'objectif d'un regard vicelard.
Les joues creusées par la succion. Je posais ma tranche de tarte pour applaudir.
< Sublime ! > m'écriais-je, admiratif.

Nous passions au second Glory Hole.
La même scène bucolique invitait à quelques évasions champêtres et campagnardes.
L'éclat du regard de Juliette habitait chaque cliché d'une lumière élégiaque.
Une fois encore il y avait trois photographies de cette seconde station.
Sur la troisième, mon sexe en bouche, Juliette faisait un clin d'œil à l'objectif.
Une fois encore, debout en applaudissant, je m'écriais, plein d'admiration : < Bravo ! >.

En savourant le thé au jasmin, sucré d'une pointe de miel, nous pouvions découvrir la station 3.
Là encore, Juliette se surpassait.
En regardant ce film de toute beauté, je comprenais enfin ce que je ressentais derrière la cloison.
Ces moments mystérieux du jour de la prise de vue.
La révélation était là, sous mes yeux émerveillés.
Sur le troisième cliché, le regard de Juliette, tout en me suçant, semblait interrogateur.

La station 4 nous réservait les même émois.
Sur chacune des dernières photographies, la jeune femme, tout en ayant mon sexe en bouche, pompait.
Elle pompait de la plus belle des façons, offrant à l'objectif, un regard différent à chaque fois.
Elle revisitait ainsi tout le panel des expressions humaines.
Là, par exemple, nous eûmes droit à une expression d'indifférence.
Un peu comme si elle se contentait de regarder l'objectif.

Nous fîmes ainsi, tout le long du film, découverte après découverte, les dix sept Glory Holes du circuit.
Nous arrivâmes au dix huitième et dernier trou.
Au bas de l'écran défilaient des commentaires plus drôles les uns que les autres.
Je félicitais Juliette pour ses qualités de réalisatrice et pour ce montage prestigieux.
Du grand Art !

Là, sur l'écran, ce n'était plus un défilement de photographies. L'image s'anima soudain.
C'était le fameux film de la fin. Nous pouvions découvrir le trou noir du Glory Hole.
Au bout de quelques secondes, mon sexe fit son apparition.
Le prépuce fripé et luisant, une goute de liquide séminal en dégoulinait.
Le visage de Juliette, tout prêt, la jeune femme examinait la "chose" avec l'attention d'une entomologiste.

Son regard venait parfois caresser l'objectif. Un regard terriblement vicieux. J'en avais une érection.
J'en fis part à Juliette qui me confessa être bien mouillée.
A présent, sur l'image, nous pouvions voir "l'actrice" approcher sa bouche de mon prépuce.
Elle s'en approcha pour en lécher la goutte qui luisait au soleil.
Regardant à nouveau l'objectif pour nous montrer sa lèvre inférieure maculée de foutre.

A l'image, nous pouvions voir la jeune femme se saisir de mon sexe.
Elle se l'engouffra pour se mettre à le sucer avec passion. Juliette avait parfaitement orienté la caméra.
Ainsi, son regard pouvait de temps en temps fixer l'objectif.
Parfois, se retirant, Juliette ouvrait la bouche pour nous montrer de quoi elle était pleine.
Tournant sa langue dans le liquide visqueux avec un regard pathétique ou amusé.

J'applaudissais à tout rompre.
< Bravo ! Bravo ! Tu es merveilleuse ! > m'écriais-je avant de lui déposer une bise sur le front.
< Je sais ! > me répondit-elle avec un sourire lourd de sens.
Sur l'image, nous pouvions voir la jeune femme en train de déglutir en gémissant.
Là aussi, j'avais l'explication de ce que je devinais derrière la cloison, lors du tournage.
Des images merveilleuses...

Soudain, dans le film, se retirant précipitamment, Juliette évitait le premier jet de pisse.
Une esquive digne d'un toréador évitant la corne du taureau.
Par contre le jet vint se briser sur le haut de son T-shirt.
Dès le jet tarit, la jeune femme se précipitait pour sucer. Le spectacle était digne d'un Oscar.
Et dans n'importe quel festival. Il y eut ainsi plusieurs jets, brefs et désordonnés.

Les esquives étaient des instants de virtuosités remarquables.
Dans le film nous pouvions voir la jeune femme se régaler de tout ce qu'elle pouvait déglutir.
Oubliant même, dans sa dégustation, de regarder l'objectif avec ce regard "d'innocente".
Parfois, ne pouvant suivre, Juliette se retirait pour vider sa bouche dans l'herbe, juste sous le Glory Hole.
Je comprenais enfin tout ce qui s'était passé durant les prises de vue.

Là, soudain immobile, comme si l'image s'était bloquée, nous pouvions voir "l'actrice" savourant l'éjaculation.
Les yeux fermés, une expression d'extase sur le visage, notre "comédienne" jouait à la perfection.
Enfin, au bout de quelques minutes, elle se retira. L'image devenait floue.
< Nous arrivons à la fin de la batterie ! > me fit Juliette en coupant deux nouvelles tranches de tarte au kiwi.

J'étais debout, devant le canapé. J'applaudissais longuement.
< C'est sans doute un des meilleurs films que j'ai vu depuis longtemps ! > lui fis-je en serrant Juliette contre moi.
< Merci, mais je te propose d'essayer de faire encore mieux la prochaine fois, tu veux ? > me répondit-elle.
Elle me souriait de façon énigmatique en remettant le film à zéro.
Car nous allions l'admirer une seconde fois.

Je quittais Juliette vers vingt trois heure. Rendez-vous fut fixé pour vendredi soi.
Juliette m'invitait à revenir passer la soirée avec elle.
J'acceptais mais à la condition d'emmener tout ce qu'il fallait pour préparer notre repas du soir.
< Je te fais un courriel demain avec une "proposition". N'oublie pas d'aller sur ta messagerie ! > me fit-elle.
Elle se serra contre moi en me raccompagnant jusqu'à ma voiture.

Sous son parapluie, elle me regarda partir en me faisant "coucou" de la main...


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Glory Hole - (Episode 19)


En ouvrant ma messagerie, ce jeudi matin, parmi les spam, il y a les publicités.
Parmi les tentatives de racolages de putes, je découvrais le message de Juliette.
Cette dernière me proposait, vendredi, une soirée "loisirs" dont le détail me serait révélé durant le repas.
Il y était toutefois question d'une masturbation partie.
Les réjouissances s'annonçaient donc sous les toutes meilleures promesses.

J'arrivais chez Juliette pour dix neuf heure. Au préalable, j'avais fait les courses.
J'allais nous concocter des tomates farcies au millet doré.
La jeune femme vint m'ouvrir. Comme elle était belle !
Vêtue d'une jupe bleue, droite, arrivant au-dessus de genoux. Un pull fin, bleu nuit sur un chemisier crème.
Chaussée d'escarpins noirs fermés et à talons hauts, sa silhouette en était sublimée.

Moi qui est le plus souvent l'occasion de la voir en tenue de randonnée, je restais à la regarder avec admiration.
Une admiration dont je lui fis part. Enchantée et émue, Juliette me remercia.
Tout en me débarrassant de mon cabas et en m'entraînant à la cuisine.
Là, sur la table, nous déposions toutes les victuailles que j'avais emmené.
< Pour le dessert j'ai préparé des îles flottantes ! > m'annonça la jeune femme.

J'insistais pour que Juliette ne prenne pas le risque de se tacher. Je proposais de tout préparer. Cela irait vite.
< Pas question, je passe un tablier et je t'aide ! > me fit la jeune femme en nouant le tablier derrière son dos.
Je faisais cuire le millet dans un bouillon végétal. Nous évidions soigneusement les quatre grosses tomates.
Je préparais la salade "frisée" et son assaisonnement.

C'est pendant le repas que Juliette me fit part de son souhait.
Elle aimerait s'installer confortablement dans son canapé et me regarder me masturber.
Pour nous motiver et égayer un peu cette "masturbation partie", la jeune femme proposait un "best-off".
Un panel des meilleurs moments filmés lors de nos randonnées Glory Hole.
Je trouvais cette idée absolument divine. Mais inutile. Sa présence serait suffisante.

Nous avons fait la vaisselle en riant d'anecdotes diverses.
Juliette me proposa de passer au salon pour le dessert.
J'étais vautré dans le profond fauteuil en train de me faire servir ces appétissantes îles flottantes.
La jeune femme vint s'installer dans le canapé en face de moi.
Prenant la télécommande, elle alluma l'écran du téléviseur.
Gardant l'image fixe sur notre premier Glory Hole, station une.

Nous avons terminé notre dessert en riant de bon cœur. Nous aimons l'humour et le second degré.
Juliette était assise face à moi. Elle me fixait en me souriant. Doucement, elle écartait les cuisses.
C'est la première fois que je la voyais agir ainsi.
Un délicieux frisson, mélange d'appréhension, d'excitation et d'interrogation secoua tout mon corps.
La jeune femme le découvrit avec ravissement.

C'est la première fois que je pu discerner, sous la pénombre de sa jupe, son système pileux.
< Tu la sors ? > me fit la jeune femme. Devant une telle pertinence, j'hésitais un instant.
Nous avons beau être des "fiers-à-bras", dans ce genre de situations, nous, les mecs.
Il faut avouer que nous n'en menons jamais très large dans ces moments-là ! Finie la frime.
Terminée l'assurance. Il va falloir assurer le spectacle. Il faut en avoir dans le calbute.

Je me déboutonnais.
Avec peine, j'allais fouiller dans mon slip pour en retirer un sexe encore peu sûr de lui, un peu mou et fripé.
Après quelques contorsions du poignet, j'arrivais enfin à présenter la "chose" à la Dame.
Je restais ainsi, avec ce sentiment d'être ridicule, un long moment.
Juliette avec un sourire étrange, m'observait.
Son regard allait de mon sexe à mes yeux. Situation un peu gênante...

Enfin une femme qui "comprenait" !
Rapidement je me retrouvais avec une turgescence de style "démonte-pneu" de camion.
Je faisais bouger le "truc" par contractions répétées de mes muscles fessiers.
Muscles soigneusement entretenus, comme les autres, par un entraînement quotidien.
Juliette semblait très intéressée et son sourire amusé me rassurait.

Doucement, entre le pouce et l'index, je malaxais la peau de mon prépuce.
Cette action fut rapidement la cause d'une montée de liquide séminal.
Un épanchement dont mon excitation grandissante était responsable.
Doucement, comme j'aime à le faire, je débutais un léger mouvement masturbatoire.
Juliette posa ses coudes sur ses genoux et, penchée en avant, elle regardait avec attention.

Je pouvais deviner plutôt que voir, sa toison pubienne.
Ses cuisses, légèrement écartées permettaient une vue très agréable.
J'étais dans un enchantement réellement paradisiaque.
Du liquide séminal coulait de mon méat en mouillant mes doigts.
Il en coulait sur le tissus de ma braguette. Mon excitation augmentait encore.
J'appréciais vraiment ce moment à sa très juste valeur.

Ces situations, toujours si étonnantes, sont sources de tant de joies, tant de bonheurs et de tant de plaisirs !
Dire qu'avec beaucoup de femmes inhibées ou "coincées", ces merveilleux instants doivent être implorés !
Avec les plus pénibles, ces moments doivent même êtres quémandés, suppliés.
Donc, toutes les autres sont ici remerciées du fond du cœur, du fond de l'âme et du fond des couilles.
Merci à toutes celles capables de "comprendre".
Juliette faisait visiblement partie du "Club" de celles qui savent...

La jeune femme restait immobile sur son canapé.
Moi, tout en me masturbant, je la regardais, je l'observais et je l'admirais.
Je scrutais chaque détails des traits de son visage.
Ses longs cheveux l'entouraient pour lui donner cette apparence "angélique".
Parfois, dans mon excitation, j'arrivais à l'extrême limite.
Juste avant l'éjaculation, je cessais tout mouvement. Juliette me souriait.

La jeune femme paraissait impassible, pas du tout excitée par ce que j'étais en train de "bricoler".
Je lui posais la question la plus stupide du monde en cet instant : < Tu ne t'ennuies pas ? >.
Juliette éclata de rire avant de me répondre par une question toute aussi absurde : < Non, et toi ? >.
Je recommençais mes manipulation, tout de même rassuré, dans la joie et la quiétude d'esprit.
Juliette rajouta encore : < Toi, au moins tu n'es pas le genre de con à me sauter dessus ! >

Juliette m'encourageais à prendre du bon temps en jouant de ses cuisses qu'elle écartait plus ou moins.
Jamais dans l'excès, jamais dans la vulgarité et jamais dans le ridicule.
Je la connaissais maintenant suffisamment pour la savoir d'un grand raffinement.
Cette situation m'excitait de la plus délicieuse des façons.
Parfois, aux limites de l'extrême, mon corps était agité de frissons.
Cela n'échappait évidemment pas à la jeune femme qui s'en amusait.

< Tu n'as pas envie de faire pareil ? > lui demandais-je, effronté.
< Si, et comment ! Mais je ne le ferais pas. C'est tellement excitant de te voir que je veux rester concentrée ! >
< Mais, rassure-toi, il y aura une prochaine fois ! Et là...> me fit-elle avec un ton sentencieux.
Un ton qui ne trahissait pourtant aucun trouble. Jeune femme étonnante et détonante.
Tellement détonante qu'au bout de deux heures j'éjaculais comme un dément.
Envoyant plusieurs jets à plus de deux mètres. J'évitais toutefois le canapé et sa propriétaire.

Comme je le fais devant les films cochons qu'elle réalise, Juliette se leva pour applaudir à tout rompre.
< Bravo ! Bravo ! Tu as été formidable ! > fit-elle en venant vers moi pour me faire quantité de bises.
< Tu es trempé de sueur, dis-donc ! > me fit-elle avant d'attraper un paquet de mouchoirs en papier.
J'en prenais un pour essuyer le foutre sur le parquet : < Laisse, c'est pour moi ! > fit Juliette en riant.

Nous prîmes un second dessert.
Il fut convenu que, demain, samedi après-midi, nous partions pour une nouvelle randonnée des Glory Hole.
Et pour l'élaboration de nouvelles prises de vue.
Le tournage d'un nouveau court métrage...


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Glory Hole - (Episode 20)

Toute la première partie de ce samedi me paraissait s'allonger dans la durée.
Il faut dire que j'étais impatient de retrouver Juliette. Aussi, le temps me semblait long.
Enfin, il était treize heure trente, l'heure de prendre la voiture et de me mettre en route.
J'arrivais au lieu du rendez-vous habituel pour treize heure cinquante cinq.
Juliette était déjà là.

La jeune femme sort de sa voiture et la ferme à clef. Elle vient à ma rencontre, son sac à dos à la main.
Juliette est souriante. Elle s'approche de moi pour me faire les trois bises bretonnes réglementaires.
Je ferme ma voiture et je mets mon sac sur le dos. Le ciel est bleu.
Le soleil illumine toute chose d'une lumière vive.
Nous voilà en chemin pour le premier Glory Hole.

J'avoue à Juliette l'impatience fébrile qui m'a animé depuis le levé, ce matin.
La jeune femme me fait part de son identique ressenti. Elle marche devant moi sur l'étroit sentier.
Juliette s'arrête et se retourne pour me déposer une bise sur la bouche.
Nous arrivons au premier Glory Hole. Tout est en ordre. J'enlève la toile d'araignée.
La jeune femme fixe une petite caméra sur le trépieds.

< Je n'ai pas emmené l'appareil photo, il n'y aura que des petits films ! > me fait Juliette.
Elle précise cela en m'invitant à passer derrière la cloison. Je suis derrière les planches.
Je me débraguette pour passer mon sexe dans le trou. J'entends un tout petit signal sonore.
Je ne sais absolument pas ce qui se passe.
Quelques instants se passent avant que je ne sente l'indicible douceur de la bouche de Juliette.

Elle me suce avec passion. Je peux sentir la puissance de la pompe.
Cela dure une minute pour cesser. Un instant avant que je n'entende à nouveau le petit signal sonore.
Une fois encore, c'est à la vision des images que pourrais découvrir ce qui s'est passé.
Je remballe mon sexe avec peine car il est dur et raide.
Je rejoins Juliette. Nous repartons pour la station 2.

Dix minutes de marche et nous arrivons au second Glory Hole. Là aussi, tout est parfait.
Juliette prépare la caméra qu'elle visse sur son support. Elle m'invite à passer derrière les planches.
Derrière la cloison, je me débraguette à nouveau pour passer mon sexe par le trou.
J'entends le signal sonore. Quelques instants semblent durer de longues minutes.
Puis l'invraisemblable douceur de la bouche de la jeune femme me fait vaciller à nouveau.

Juliette me suce avec cette même passion. Je discerne quelques gémissements de plaisir.
Un mouvement de va et vient, lent et régulier, me procure un bien fou.
C'est tellement doux que j'ai l'impression de l'avoir dans un bol de purée !
Que l'on me pardonne cette métaphore alimentaire, mais je n'ai pas d'autres comparaisons.
Même si, évidemment, je n'ai jamais trempé mon sexe dans un bol de purée. Tiens, il faudra que j'essaie...

Tout cesse. Quelques secondes passent avant que je n'entende le nouveau clic sonore.
Je remballe péniblement ma turgescence avant de rejoindre la jeune femme.
Ses yeux brillent d'un éclat à la fois vicieux et amusé. Son regard, par en-dessous est fuyant.
Nous nous mettons en route pour la station 3. Pas un seul instant, Juliette n'évoque le sexe.
Elle parle de son travail d'enseignante.
Nous savourons tous les deux ce trouble délicieux qui nous envahit.

Nous parcourons notre circuit des Glory Holes. Une heure trente plus tard, nous arrivons au dernier trou.
Juliette me fait : < On va "conclure" de façon très "classique". Tu veux bien me faire la "totale", s'il te plaît ? >.
La jeune femme, consciencieusement, change la batterie de la caméra.
Elle prépare la caméra sur le support et passe un chiffon doux sur l'objectif.

Je passe derrière la cloison. Je passe mon sexe par l'orifice.
Les dix sept stations précédentes ont largement contribué à mon excitation extrême.
J'entends le clic sonore. Cette fois, il se passe une bonne minute. La "totale", m'a t-elle précisé.
Je me concentre avec ferveur. Je m'imagine pieds nus dans de l'eau froide.
Cela me permet de lâcher deux jets de pisse brefs et drus.

J'entends glousser de l'autre côté. Juliette se saisie de mon sexe qu'elle décalotte.
Je lâche deux nouveaux jets. Soudain, la bouche chaude de la jeune femme gobe mon sexe. Elle suce.
Je me lâche dans un dernier jet. Je suis trop excité pour continuer les jeux de pisse.
Juliette pompe comme si sa vie en dépendait.
Je suis cambré contre les planches, le bassin collé à la cloison.

J'éjacule dans plusieurs saccades qui doivent êtres abondantes. Juliette n'en perd pas la moindre goutte.
Elle ne bouge absolument pas. Je peux sentir ses efforts pour tout déglutir.
Les choses perdurent ainsi deux à trois minutes. Je peux à nouveau me contrôler.
Je lâche plusieurs petits jets en contractant mes muscles fessiers.
J'entends des râles indéfinissables derrière la paroi.

Juliette semble vouloir partir pour un second tour. Mon dos me fait un peu mal. Je fléchis mes jambes.
Je me tiens à des aspérités du bois. La jeune femme a repris ce pompage immobile et divin.
Chacun sait qu'il n'y a que dans les mauvais films pornos que les filles agitent leurs têtes.
Qu'elles ne font "ça" avec ce ridicule mouvement de va et vient que pour exagérer devant la caméra.
Dans la réalité, l'immobilité est tellement plus agréable et délicieuse.

Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Cette seconde pipe est un véritable enchantement paradisiaque.
Rien ne bouge à part la langue de Juliette qui fouille l'espace entre le prépuce et le gland.
Nom de Dieu, s'en est trop, j'éjacule une seconde fois !
Ah ! Les amis, si vous pouviez imaginer ce deuxième orgasme.
Libérateur, jouissif, doublement grandiose car enfin je pourrais retrouver une position normale.
Soulager mon pauvre dos...

Juliette se retire enfin dans un petit cri de satisfaction. Je lâche la dernière giclée de pisse.
Elle revient pomper le "fond de cuve". La jeune femme, après m'avoir tout vidé, se retire pour de bon.
Il se passe un petit moment avant que je n'entende le dernier clic sonore.
Je remballe mon sexe enfin mou. Je rejoins la jeune femme.
Elle vient m'embrasser. < Tu étais super ! > me fait-elle.
< Et toi donc ! > lui répondis-je.

Comme la fois dernière, Juliette retire son T-shirt trempé de pisse et s'essuie les cheveux avec une serviette.
Ses yeux brillent d'une lueur vicieuse et son sourire est étrange, presque ironique.
Nous reprenons le chemin du retour. Nous arrivons à la voiture pour dix huit heure.
< Tu viens manger mercredi soir ? On se fait une soirée "branle" en regardant le film ! > me fait-elle.
Juliette rajoute encore, espiègle : < J'aurais fait le montage ! >.
J'acceptais avec joie.

Rendez-vous fut donc fixé mercredi soir pour dix neuf heure.
Il fut également décidé que j'emmènerais le dessert. J'ai suivi Juliette jusqu'au carrefour.
Elle a sorti son bras par la fenêtre pour me faire un dernier coucou avant de tourner à droite.
Je suis arrivé chez moi fourbu. Fatigué mais inondé d'un bonheur intraduisible.
Juliette me fit un courriel pour m'informer qu'elle était bien rentrée.
La jeune femme me faisait part de la même impression.

J'étais au lit pour vingt deux heure...


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Glory Hole - (Episode 21)

Il a fait beau tout cette journée de mercredi. J'étais fébrile et impatient dès la fin de l'après-midi.
Aussi, en prenant ma douche, vers dix huit heure, c'était presque dans un état second.
J'étais tellement pressé de me retrouver en compagnie de Juliette.
Être avec elle, à passer une de nos surprenantes soirées. J'avais acheté des bacs de glaces.
Vanille, pistache et pralin. Ce serait notre dessert.

Enfin, j'arrive chez Juliette. Il est dix neuf heure. La jeune femme laisse toujours le portillon ouvert.
Je peux garer ma voiture devant la porte de son garage. Elle vient à ma rencontre.
Elle est vêtue d'une jupe noire, plissée qui découvre ses genoux.
Un gilet noir à manches courtes, ouvert sur un chemisier blanc.
Elle est chaussée de ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts.
Ses longs cheveux en libertés sur ses épaules. Juliette est somptueuse.

Juliette me fait les trois bises bretonnes réglementaires.
Cela avant de m'entraîner, toute aussi impatiente que moi, dans la maison.
Je dépose la glacière sur la table de la cuisine.
La jeune femme s'empare des bacs de glaces pour les ranger dans le haut du réfrigérateur.
Je me lave les mains. Je prépare une rapide salade "frisée".
Nous passons à table. Le fumet délicieux d'une tarte aux champignon m'enivre. Nous avons faim.
La jeune femme nous a concocté une tarte absolument délicieuse.

Comme les fois précédentes, une fois la vaisselle rapidement terminée, nous passons au salon.
Juliette me pousse doucement dans le canapé.
< Tiens, prends la télécommande et mets-nous le début du film ! Je m'occupe du reste ! > me fait-elle.
Elle me dit cela en disposant les coupes destinées à recevoir nos boules de glaces.
Nous sommes assis l'un à côté de l'autre. Silencieux, nous nous observons parfois.

Dès le dessert terminé, Juliette m'invite à me déboutonner.
Elle se lève pour s'asseoir dans le fauteuil face au canapé. Sur ma droite, l'écran du téléviseur s'éclaire.
A l'image, sur fond du premier Glory Hole, défile le générique.
C'est, une fois encore, un montage très "professionnel".
J'en fais part à la jeune femme qui se redresse pour me faire une bise sur le front.
< Sors-là ! s'il te plaît ! > me fait-elle.

Nos pseudonymes d'acteurs sont "Glory Hole Women" pour Juliette et "Glory Hole Boy".
Nous rions de bon cœur. Je trouve cette jeune femme de plus en plus exquise.
Une femme pleine d'imagination, dans ce domaine, c'est quand même un luxe appréciable.
Rare et hautement délicat.
Je la fixe longuement. Pour une fois, c'est presque Juliette qui est gênée par mon regard scrutateur.

J'ai le sexe fièrement dressé vers les poutres apparentes du plafond.
Juliette est assise, cuisses légèrement écartées. Elle n'a pas de culotte. Cette fois-ci, cela se voit bien.
Quelle belle toison pubienne ! Je discerne vaguement les lèvres de son sexe.
Je commence une lente masturbation. Tenant mon prépuce entre le pouce et l'index.
La jeune femme ouvre la bouche et regarde avec un certain ravissement. Le film commence.

Je regarde l'écran. Je découvre à l'image toutes ces choses qui avaient éveillé ma curiosité.
En effet, que se passait-il durant ces longs instants de silence, lorsque j'avais mon sexe dans l'orifice murale ?
Là, en regardant, je comprends enfin.
Je découvre Juliette, accroupit devant les planches de la cloison.
Son visage tout près de mon sexe, cuisses écartées, souriant à la caméra.
"L'actrice" fait un sourire à l'objectif avant de se mettre à sucer. Ces images nous excitent tous deux.

Quel plus grand plaisir que d'être assis en face de la vraie Juliette.
De voir cette même Juliette à l'écran en train de se livrer à des agissements hautement libidineux.
Et le sexe que je voyais là, dont la jeune femme s'occupait avec tant de délicatesse, c'était le mien !
Qui a déjà vécu de telles situations, sait très exactement ce que cela signifie.
Conseillons aux autres d'essayer au plus vite ! C'est divin...

Mon regard va des yeux de Juliette, à son entre-jambes et à l'écran. Nous sommes tous deux très excités.
Nous nous regardons avec une profondeur d'une rare intensité.
Nous sommes complices et, dans cet instant, nous sommes en parfaite communion d'âme et d'esprit.
A l'écran, je vois défiler les différents Glory Holes. A chacun d'eux, "l'actrice" redouble d'imagination.

A la cinquième station, "l'actrice" a le sexe en bouche. Elle fixe l'objectif. Elle est accroupie.
D'entre ses cuisses écartées jaillissent trois jets lumineux et magnifiques.
Des jets qui viennent se briser au sol, loin devant elle.
La caméra ne permet pas de voir l'endroit où les jets se brisent. Je regarde. Je suis en apnée.
Je me masturbe doucement. Juliette a passé sa main sous sa jupe et se touche aussi.
Nous gardons notre respiration longuement. Nous lâchons notre souffle ensemble.
C'est un moment prodigieux. Historique !

Nous sommes là depuis plus d'une heure. L'image est sur pause. C'est trop fou.
Nous avons tous deux l'envie folle de faire durer cette soirée "branle".
Aussi, nous observons des pauses où nous conversons. Juliette, adroite, sait orienter la discussion.
Pour nous "calmer", elle évoque quelques anecdotes professionnelles.
Ses préparations, ses corrections, ses collègues...

Il est déjà vingt deux heure trente. Juliette s'est offert un orgasme sublime.
Je l'ai regardé se cambrer dans son fauteuil.
La tête relevée, les yeux fermés, se mordant la lèvre inférieure en poussant un râle.
La jeune femme a passé chacune de ses jambes sur les accoudoirs du fauteuil.
La vue est donc de toute beauté. Je découvre un clitoris absolument magnifique.
Turgescent, presque géant.
J'ai l'envie folle d'aller me régaler de ce sexe, de le lécher de me régaler de toutes ses saveurs.
Ce n'est pas au programme. C'est Juliette qui décide de tout. C'est tellement mieux !

Il est vingt trois heure. Je me lève. Je n'en peux plus.
J'éjacule comme un dément, me déversant sur les lames du plancher.
Il y a trois grosses flaques de spermes parterre.
Je subis les spasmes de mon orgasme avant de retomber lourdement dans le canapé.
Je reprends mon souffle. Nous n'avons pas vu la fin du film. En tous cas, pas moi.
Aussi, Juliette me propose une soirée "branle" chez moi, vendredi soir, afin de voir la fin de l'histoire.

Juliette me raccompagne jusqu'à la voiture. Elle m'embrasse longuement, serrée contre moi.
Je lui dis : < Tu es sublimes ! Je t'... >.
Juliette me met la main sur la bouche.
Elle fait cela en me disant : < Tu allais dire ta première bêtise depuis que je te connais ! >.
Nous nous mettons à rire.
Nous sommes restés quelques minutes, silencieux, en nous serrant l'un contre l'autre.
Je suis partis avec une étrange émotion.

Rendez-vous vendredi, dans deux jours, chez moi...


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Glory Hole - (Episode 22)

Il est dix neuf heure. J'ai attendu ce moment avec fébrilité et impatience depuis mercredi soir.
Je viens de mettre les courgettes farcies au four. Trois coups de sonnettes.
Trois coups brefs suivis de trois coups plus longs. C'est le "signal". Je vais ouvrir.
Là, sur le pas de la porte, Juliette est debout avec un grand sourire.
Elle me tend un panier en me faisant trois bises.

Je la fais entrer. Je la débarrasse de sa veste. Du panier Juliette retire un grand Tupperware rond.
Il contient une magnifique tarte aux poires et aux noix. Je prépare la salade.
La jeune femme est debout les bras croisés, adossée au buffet de la cuisine. Comme elle est belle.
Ses longs cheveux en libertés.
La jeune femme est vêtue d'une jupe plissée, d'un pull fin sur un chemisier au col de dentelles.
Elle est chaussée de ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts.

Nous bavardons. Juliette relate quelques anecdotes professionnelles. J'aime l'écouter. La salade est prête.
De la mâche avec des petits morceaux de fromage de chèvre.
L'odeur du gratin sort du four pour achever d'ouvrir nos appétits.
Comme nous sommes tous deux hypers sportifs, ses soirées "dégustations" ne nous posent aucun soucis de poids.
Pas de soucis de lignes ou encore de formes. Il faut anticiper !

Nous dégustons notre repas. Juliette se régale.
A plusieurs reprises, animée par la passion de sa conversation, elle pose sa main sur mon poignet.
J'apprécie ses élans que je sais plein de cette affection nouvelle qui se crée entre nous deux.
Nous faisons la vaisselle. J'invite Juliette à passer au salon pour y prendre le dessert.
Cette tarte aux poires et au noix me fait terriblement envie.

Juliette me tend une clef USB en disant : < Tiens, mets-nous donc un bon film ! >.
Je comprends immédiatement. J'allume le téléviseur et j'introduis la clef USB dans l'ordinateur.
Aussitôt, à l'écran apparaît "Glory Hole Story", le film qu'a tourné et monté la jeune femme.
Film dont nous avions regardé la première partie, mercredi soir.
J'invite le lecteur à découvrir l'épisode précédent. (Et tous les autres épisodes d'ailleurs).

Juliette est installée dans le canapé.
Les jambes légèrement écartées, je ne discerne encore rien sous l'obscurité de sa jupe.
La jeune femme dépose l'assiette vide. Moi aussi. Le dessert fut somptueux.
< Tu me la montres ? > me fait Juliette en pointant son doigt vers ma braguette.
Mon sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour.
Un frisson fait vibrer tout mon corps. Je sors mon sexe.

Les mains sur les hanches, debout devant Juliette, les jambes légèrement écartés, je suis là, mon sexe déjà dressé.
Je me sens un peu ridicule. Juliette m'observe longuement. Son regard se fait analytique.
La jeune femme me dévisage avec un grand sérieux.
Elle se met à mimer une masturbation masculine.
Juliette me demande : < Combien de fois depuis mercredi dernier ? >.

Je m'empresse de préciser : < Pas une seule fois ! >
Je m'empresse de rajouter : < J'attendais ce moment en me préservant de tous épanchements inutiles ! >.
< Félicitations ! Moi j'ai fait de même ! > me fait la jeune femme en écartant les cuisses.
Je découvre à nouveau sa magnifique toison pubienne, fournie comme je les aime.
Juliette pose le bout de ses doigts sur son clitoris, imprimant un léger mouvement pendulaire.

Bien sûr, ni l'un ni l'autre, ne regardons plus le film. Ce qui se passe là, dans la réalité, est bien plus passionnant.
Je m'assois dans le fauteuil. Je me contente d'observer. Juliette me regarde d'un air dubitatif.
Je suis là, les bras croisés à la regarder se masturber. Mon sexe est dur. J'ai une forte envie de le toucher.
Mais j'aime tant m'emmener aux limites. Le plaisir étant tellement plus grand.

Mon attitude semble exciter Juliette. Son air dubitatif fait à présent place à un regard interrogateur.
Ses yeux vont de mon sexe aux miens. Le mouvement se sa main, régulier et précis ne cesse pas.
Quelques légers frissons semblent animer le corps de la jeune femme. Soudain, elle se lève.
Elle vient se camper devant moi.
Cambrée sur ses jambes, elle se masturbe en soufflant de plus en plus fort.

Curieusement, mon excitation est très secondaire.
Le spectacle absolument époustouflant attire toute mon attention.
Juliette va s'offrir un orgasme qui me paraît imminent et irrépressible.
La jeune femme connaît quelques moments d'une intensité incomparable.
Soudain, dans un cri, elle s'emmène au bout.
Tous son corps est secoué d'un spasme, puis d'un second. Elle tombe à genoux.

Je me lève. Je m'accroupis. Je lui dépose plusieurs baisers délicat partout sur le visage.
< Tu comprends pourquoi je suis si bien avec toi ? > me fait Juliette.
La jeune femme rajoute : <Je peux tout faire et tu te contentes simplement de m'accompagner ! De regarder ! >.
Cet aveux ne m'étonne pas du tout. Cela fait quand même quelques semaines que je peux m'en rendre compte.
< Oui, je ne suis pas le genre de mec à me comporter en hussard ! > lui fis-je en l'aidant à se redresser.
Je précise : < Je ne suis pas un "baiseur" et la baise ne m'intéresse pas vraiment ! >.

< A toi maintenant ! > me fait-elle en reprenant place dans le canapé...

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Glory Hole - (Episode 23)

Juliette s'est réajustée. A présent installée dans le canapé elle m'observe longuement.
La jeune femme me fixe avec attention. Je soutien son regard avec quelques peines.
Le tissus de ma braguette est déformé par mon sexe en érection. Je reste un moment ainsi.
Je fais bouger ma turgescence en contractant mes muscles fessiers.
Du liquide séminal perle à son extrémité.

Lentement je prends mon sexe entre le pouce et l'index.
Je joue avec la peau de mon prépuce que je malaxe doucement.
Cela a pour effet de faire couler le liquide opalescent le long de mon cylindre de chair.
Il s'en dépose sur la couture de mon pantalon, à la hauteur de mes couilles.
Il s'en écoule même jusque sur le cuir du fauteuil.

Juliette se lève. Sans cesser de me fixer, elle s'approche. La jeune femme s'accroupit devant moi.
Elle a ses cuisses bien écartées. J'apprécie tant cette position sublimant la féminité de toute femme.
De sa main droite, elle tient ses cheveux, la tête penchée sur le côté.
Sa main gauche est posé sur sa cuisse. Je peux sentir monter mon excitation.
L'instant est divin.

Juliette se tient ainsi à un mètre devant moi. Elle m'offre un délicieux sourire.
Rapidement son visage reprend ce sérieux presque sévère. Je commence un lent mouvement masturbatoire.
Entre mon pouce et mon index, je fais coulisser la peau de mon prépuce sur le gland.
Sans jamais le décalotter. Juliette observe avec l'attention d'une entomologiste.
Je l'entends respirer. Concentrée.

J'apprécie ce moment comme étant un des plus merveilleux.
J'en fais part à la jeune femme qui m'affirme le même ressenti.
Cette parfaite complicité, réconfortante, permet d'atteindre les plus inimaginables sommets.
Nous sommes tous les deux des cérébraux. Ce sont ces situations torrides que nous affectionnons.
Que nous souhaitons et que nous recherchons.

Juliette se met sur ses genoux. Je lui tends un des deux coussins d'épais velours.
Elle s'en saisie pour le placer entre mes pieds. La jeune femme se positionne dessus.
Elle pose chacune de ses mains sur mes genoux. Elle me fixe longuement.
D'avoir son visage si près du mien me fait vaciller.
Je suis saisi de plusieurs délicieux vertiges qu'il me faut réfréner.
Mes couilles se mettent à bouillir.

Doucement, Juliette approche son visage de mon sexe.
< Je vais te faire une pipe ! > me fait-elle avant de passer sa langue sur mon visage.
J'ai l'envie irrépressible de l'embrasser. Elle évite ma bouche pour enfoncer mon sexe dans la sienne.
Sous l'effet de l'indicible sensation, je m'effondre encore un peu plus dans les profondeurs de mon fauteuil.
C'est la première pipe que nous partageons ainsi.

Juliette reste sans bouger. Je suis parfaitement immobile.
La jeune femme me suce avec une indescriptible douceur.
Je peux sentir sa langue explorer l'espace entre le gland et le prépuce.
Ce n'est pas facile. Aussi, chacun de ses efforts m'offre la plus sublime des sensations.
Je pose mes mains sur les mains de Juliette qui croise ses doigts avec les miens.
Nous partons vers le bonheur...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/04/16 09:07 par Oncle-Julien.
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Glory Hole - (Episode 24)

Les doigts de nos mains sont entremêlés. Je peux sentir vibrer sa chair contre la mienne.
Parfois, je peux même ressentir les battements de son cœur. Juliette a mon sexe en bouche.
J'ai les yeux fermés et la tête rejetée en arrière. Je savoure cet instant magique.
J'ai vécu ces moments tant de fois. Pourtant, à chaque fois, c'est unique.
Un peu comme une première fois.

Juliette est à genoux sur un épais et confortable coussin de velours.
La jeune femme est entre mes jambes écartées. Je peux discerner les accélérations de sa respiration.
Je peux constater que ces mouvements respiratoires correspondent aux arrivées de liquide séminal.
Je sais aussi qu'il est abondant.
Les efforts que fait fait Juliette pour déglutir, ne laissent aucun doute.

Lorsque l'abondance se fait plus forte encore, Juliette avale en gémissant.
C'est un enchaînement de circonstances. Mon excitation est graduelle. J'ouvre les yeux.
Je ne peux pas voir le visage de la jeune femme à cause de sa position.
Parfois, je distingue le bout de son nez.
Par contre je peux ressentir toutes les douceurs qu'elle me prodigue.

Je peux sentir le bout de sa langue s'agitant sur mon méat. Là où s'écoule le jus qu'elle pompe.
La sensation est divine. Sans aucun doute la plus suave et la plus indescriptible qu'un homme puisse connaître.
Je prends, une fois encore, pleinement conscience de ce que représente une pipe dans une relation amoureuse.
Avec cette crainte que lorsque ce sera fini, l'amour aussi sera parti. Illusion...

Juliette sait tout cela. Elle enfonce parfois encore davantage sa bouche sur mon sexe.
J'ai l'impression d'être trempé et de couler sans interruption.
Juliette, concentrée, soudain en apnée, me suce comme si nos vies en dépendaient.
Et, je dois avouer que ma vie heureuse en dépendait sans doute à cet instant précis.
Juliette se retirait, ne gardant que l'extrémité en bouche.
Mâchouillant mon prépuce.

Une pipe ! Nom d'une pipe ! Que ne donnerais-je pas pour une pipe !
Là, j'en vivais une absolument paradisiaque.
Tout mon corps semblait se vider dans la bouche de la jeune femme.
J'étais habité par quantité d'émotions différentes.
Des séquences où je culpabilisais s'enchainaient avec d'autres où j'étais plus téméraire.
Tout cela se bousculait en moi de la plus folle des façons.

Mon excitation décuplait encore lorsque je tentais d'imaginer ce qui se passait dans la psyché de Juliette.
Lorsque je tentais d'imaginer ce qui pouvait bien se passer dans la tête de ma pompeuse.
Que peut donc réellement ressentir une femme qui suce.
Même si elle adore ça, ce qui était le cas ici, il y a forcément des séquences d'analyses.
Des moments de ressentis, d'émotions, voire de satisfaction.
C'est toujours délicat de poser des questions précises.
Le cœur des femmes est un tel océan de secrets. Il ne faut jamais tenter d'un violer la serrure...

Je sentais bien que j'arrivais au bout de mes capacités. J'ai beau être un redoutable jouisseur.
J'ai beau avoir un contrôle que je crois total de mon sexe.
Il se passait des choses dans les tréfonds de mes couilles en ébullition.
Juliette est une non moins redoutable pipeuse.
Et son amour de la pipe est perceptible dans le moindre jeu de langue.
Je n'allais pas tarder à exploser.

Ce qui devait arriver, arriva. Mon orgasme fut un véritable bouleversement. Une vraie commotion.
Je lâchais une série de jets d'une puissance que je devinais phénoménal.
Je regardais la tête de Juliette bouger au rythme de mon déluge.
La jeune femme déglutissait comme si elle buvait au goulot d'une bouteille dans un long râle de satisfaction.
Mon corps était agité de plusieurs spasmes.

Jamais "la petite mort", cette dénomination qu'on donne à l'orgasme, n'a pris tant de sens.
J'éjaculais comme un dément. Juliette pompait comme si elle voulait aspirer mes viscères.
Juliette me tenait fermement par les mains. Impossible de tenter de repousser cette bouche avide.
La jeune femme, à présent en train de faire le "fond de cuve", s'apprêtait à partir pour un second tour...

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Glory Hole - (Episode 25)

Juliette se pourlèche de mes substances. Elle est assise sur sa fesse gauche entre mes cuisses.
Confortablement installée sur l'épais coussin de velours. Je lui caresse la tête, remontant délicatement ses cheveux.
Je peux ainsi observer son visage. Juliette est belle.
Le tour de la bouche et le menton humides, elle ouvre les yeux pour me regarder.

J'aime cet air de fierté qu'elle a toujours dans son regard. J'aime le port altier de sa tête en toutes circonstances.
Je lui trouve un air aristocratique qui reste le meilleur qualificatif.
Cette personne inspire un profond respect. Cette situation me gêne quelque peu.
Il faut préciser que je viens d'avoir un orgasme absolument divin.
Cela déstabilise quand même considérablement.

Juliette, les joues creusées, en train de me faire le "fond de cuve", me fixe avec une certaine sévérité.
La jeune femme vient de se déglutir mon éjaculation et m'invite, par son attitude, à récidiver.
Je la regarde, si attractive, si excitante et semblant si passionnée par sa fellation.
Jamais je n'aurais imaginé qu'un tel moment puisse arriver.
Notre relation étant si "mondaine", sans familiarité réelle.

Juliette suce à nouveau comme si sa vie en dépendait. Elle ne cesse de me fixer. J'ai envie de fermer les yeux.
Je me sens redevable de répondre à la sollicitation intense de ses regards.
Cette situation de regards soutenus cause en moi un profond tourment. Cela me gêne tout en m'excitant.
Oui. a présent je me laisse aller pour une seconde "aventure".
Pour notre plus grand plaisir.

A plusieurs reprises Juliette arrête sa pipe. Je lui dépose quantité de bises sur le front.
< On retourne à nos Glory Hole mercredi ? > me fait-elle, presque suppliante.
Juliette rajoute après un long silence : < J'ai une idée derrière la tête ! >.
< Mais il faut que nous soyons totalement complices ! > précise t-elle encore.
Je ne sais quoi répondre, aussi, je me contente de dire :
< Oui, bien sûr, j'aime tant quand c'est toi qui décides de tout ! >.

Juliette se relève. < J'ai les jambes ankylosées ! Viens, on va sur le canapé ! > me fait-elle.
Juliette m'entraîne par la main. Assise à mes côtés, la jeune femme m'observe longuement.
A plusieurs reprises elle veut parler et aucun mot ne peut sortir.
Ces tentatives terminent à chaque fois par un profond soupir.
Je lui demande : < Dis-moi ? Qu'est-ce qui te tourmente ? Tu peux tout me dire ! >.

Juliette tient mon sexe trempé dans sa main gauche.
< Que dirais-tu si je faisais un Glory Hole à un inconnu ? > me fait-elle soudain.
La jeune femme trouve enfin les mots. Elle va à l'essentiel. Je la regarde et j'éclate de rire. Un rire franc.
Rapidement Juliette se met à rire en me faisant : < Quoi ? J'ai dit une bêtise ? >.
Je la serre contre moi et j'inonde son visage de bises.

< Arrête et réponds-moi franchement ! > me fait Juliette en tentant de se soustraire aux assauts de mes lèvres.
Je réponds : < D'être le complice de tes penchants, de tes désirs et de tes fantasmes est un tel privilège ! >
< Je rajoute : < Mais bien sûr que je suis intéressé ! >. Comme soulagée, Juliette se blottit contre moi.
Elle m'embrasse avec une fougue qui me donne le vertige.
< C'est un vieux fantasme ! > me dit-elle avant de laisser glisser son visage vers mon sexe turgescent.

Tout cela nous a considérablement excité.
Ces confidences, ces révélations achèvent de m'emmener à une nouvelle éjaculation.
Un nouvel orgasme qui me fait vaciller.
Je m'écroule au fond du canapé, Juliette contre moi qui continue de gémir de plaisir.
Je caresse sa tête posée contre ma poitrine.
< Je suis si bien avec toi, si tu savais ! > me fait Juliette avant de s'endormir...

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Glory Hole - (Episode 26)

Ce matin de mercredi, j'ouvre le courriel que m'a envoyé Juliette. J'aime découvrir ses messages.
Ils sont toujours si précis, si clairs et si agréables à lire. Je m'empresse toujours d'y répondre.
Tâchant de m'exprimer avec les mêmes pertinences.
Dans sa missive de ce matin, Juliette me confirme notre rendez-vous de cet après-midi.
Le lieu habituel au départ de notre circuit des Glory Hole. 14 h...

Comme à chaque fois, j'arrivais cinq minutes avant l'heure fixée. Comme à chaque fois, Juliette était déjà là.
Comme toujours, cette étonnante ponctualité me ravissait. Je garais ma voiture derrière la sienne.
La jeune femme vint m'accueillir en se précipitant dans mes bras.
C'est la toute première fois que Juliette manifeste aussi ouvertement son plaisir de nous revoir.
Je la serre très fort contre moi.

Nous mettons nos petits sacs à dos et nous nous mettons en route. La météo est vraiment très agréable.
Le sentier est bien sec. Je suis derrière Juliette. Nous marchons vingt minutes pour arriver au premier Glory Hole.
Tout est en ordre. Je passe derrière la cloison de bois. Je passe mon sexe tout mou par le trou.
Presque de suite je peux sentir la bouche de la jeune femme se refermer sur mon prépuce.

Nous restons ainsi quelques délicieuses minutes. Juliette cesse sa succion. Je remballe.
La jeune femme se serre contre moi et me souffle à l'oreille : < Comme je suis heureuse ! Si tu savais ! >.
Je la serre contre moi pour lui répondre : < Et moi donc ! C'est vraiment bon ! >.
Nous continuons notre chemin. Dix minutes jusqu'au Glory Hole No 2.
Tout est en parfait état.

Je passe une nouvelle fois derrière la paroi et je passe mon sexe par le trou.
Une nouvelle fois, presque immédiatement, je peux sentir la succion de Juliette.
Sa bouche chaude et accueillante me procure de nouveaux vertiges.
Nous restons ainsi une dizaine de délicieuses minutes. La jeune femme cesse. Je remballe.
Je n'ai pas le temps de la rejoindre qu'elle est déjà dans mes bras.

Nous sommes en chemin pour la station No 3.
Là, en arrivant, il faut arracher le lierre qui commence à grimper le long des planches de bois.
Je suis accroupis à arracher les racines.
Juliette me glisse à l'oreille : < Tu entends ? Il y a quelqu'un ! >. J'écoute avec attention.
Au loin, il y a une voix d'homme.
Une voix grave. Juliette me fait : < Cache-toi, il y a peut-être un "plan" ! >.

Je me redresse pour passer derrière le cabanon afin de rejoindre la vieille palissade de bois.
Derrière les planches je regarde. Juliette est assise sur un tronc d'arbre couché au sol.
Il y a un homme, la quarantaine, qui monte. C'est à un petit chien qu'il s'adresse depuis la montée du sentier.
C'est sa voix que nous avions entendu. < Bonjour ! > fait-il à Juliette, poli et souriant.
< Bonjour ! > lui répond la jeune femme, toute aussi souriante.

L'inconnu est tout près de la cloison de notre troisième Glory Hole. Il est agenouillé et caresse son chien.
Juliette se redresse et passe derrière la cloison. L'homme regarde vers les planches.
Il découvre le trou et voit sans doute l'œil de la jeune femme qui l'observe.
De l'endroit où je me trouve, à une trentaine de mètres, je ne peux voir les expressions du visage du quidam.

Je sors ma paire de jumelles. Ce qui me passionne dans ces situations, c'est la psychologie des individus.
Bien avant les actes auxquels ils se livrent. Je suis un cérébral. Juliette aussi.
Je ne vois plus l'homme qui vient de se redresser.
Par contre je vois Juliette prendre appui de ses mains sur les planches de la cloison.
Je me déporte sur ma droite afin de pouvoir distinguer le trou lumineux.

Je scrute dans mes jumelles. J'ai le cœur battant. Je retiens mon souffle. Je peux sentir monter mon excitation.
Il ne se passe rien. Un moment indéfinissable s'écoule. Soudain, deux doigts passent par l'orifice.
L'inconnu les fait bouger devant le visage de la la jeune femme.
Juliette se met à genoux sur son sac à dos qu'elle a posé au sol.
Elle rapproche sa bouche pour sucer les doigts du type...

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Couple, 45 ans, France, Occitanie
je l'avoue , je n'ai pas eu le courage de tout lire mais je serais tenté de dire félicitations Monsieur Le Branleur . . . Ou, Le Branleur Président , j'hésite :-))

Cordialement
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Classe 27



Glory Hole - (Episode 27)

Depuis ma cachette j'observais avec une extrême attention.
Je réglais ma paire de jumelles avec une précision horlogère.
Je ne voulais pas perdre le moindre instant de ce qui se déroulait là.
Juliette, les yeux braqués sur les doigts qu'elle léchait consciencieusement, était à genoux devant la cloison.
Cette scène surréaliste et terriblement excitante dura quelques minutes.

L'inconnu, de l'autre côté des planches, avait retiré ses doigts. Juliette avait collé son œil gauche contre le trou.
La situation dura ainsi un nouveau petit moment.
Soudain, la jeune femme retira prestement son visage collé contre la cloison.
Le sexe long et fin de l'inconnu passa par le trou. Je scrutais.
Je voulais voir toutes les expressions sur le visage de Juliette.

La jeune femme humait à présent l'extrémité de ce sexe qui pendait par l'orifice.
Je pouvais l'observer avec netteté. Juliette reniflait les effluves sans doute odorantes du cylindre de chair.
Je pouvais la voir changer les positions de sa tête pour pouvoir respirer le plus parfaitement possible.
Cette scène prodigieuse dura à nouveau un bon moment.

J'avais une érection presque douloureuse. Je sortais également mon sexe pour me masturber doucement.
Je ne voulais toutefois pas rater le moindre détail de ce sublime spectacle.
J'avais l'impression que, rien que pour moi, Juliette faisait durer les moments.
En exagérant presque ses mouvements, ses attitudes.
Quelle jeune femme merveilleuse !

Avec un mouvement de tête lent, par en-dessous, la jeune femme se saisie du sexe de l'inconnu avec ses lèvres.
Le souffle coupé, ma concentration poussée à l'extrême, je scrutais presque jusqu'à la douleur oculaire.
La bouche de Juliette, à présent refermée sur le sexe bien enfoncé, restait immobile.
A peine si les joues de la jeune femme se creusaient par mouvements réguliers.

J'étais dans un état fébrile. De me concentrer sur ma paire de jumelles me demandait des efforts considérables.
Je regardais Juliette sucer avec passion. Les deux mains posées de chaque côté du trou.
Elle avait le dos cambré, les chevilles l'une sur l'autre.
La jeune femme se livrait là à sa préférence avec fougue, préciosité et concentration.
J'étais couvert de sueur.

Tant pis. Je posais les jumelles au sol. Je me relevais. Dans le plus grand silence, je vins rejoindre Juliette.
Cette dernière, louchant dans ma direction, la tête légèrement déviée, me regardait d'un air amusé.
Comme elles sont belles dans ces situations rares et vicelardes.
Si elles s'en doutaient, elles s'y mettraient plus souvent.
Je chuchotais cette considération à l'oreille de la suceuse. Elle eut un gémissement amusé.

A présent je pouvais entendre ce gargouillis caractéristique. Ce bruit parfois "bulleux".
La jeune femme poussait de légers gloussements.
Je pouvais observer le jus gluant qui perlait aux coins de ses lèvres.
Je passais ma main dans le pantalon de Juliette pour tenter d'atteindre son sexe.
Elle eut un spasme qui secoua tout son corps.
Enfin, j'arrivais, au risque de me déboîter l'épaule, à toucher son sexe trempé. Un vrai bonheur.

Pourtant, au bout de quelques instants, Juliette, de sa main droite, retira la mienne.
Fronçant les sourcils elle me lança un regard sans équivoque.
La jeune femme n'avait pas envie de se faire toucher pendant sa pipe.
Toujours respectueux et à l'écoute, je restais le simple observateur que Juliette souhaitait.
Soudain, enfonçant davantage du sexe de l'inconnu dans sa bouche, Juliette s'immobilisa en gémissant.
Je l'admirais déglutir dans un long râle de ravissement.

Le type était entrain d'éjaculer...

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Et bien tu passes me voir !

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Glory Hole - (Episode 28)

Juliette se redressait rapidement. L'inconnu se réajustant arrivait sur la droite.
< C'était super ! Vous venez souvent ici ? > demanda t-il, un peu gêné.
Juliette, se détournant rapidement, répondit simplement :
< Oui, parfois. Excusez-moi, je rejoins mon ami ! >. L'homme n'insista pas.
Après tout, n'avait-il pas eu un plaisir au-delà de ses espérances les plus folles ?
Toutefois, il eut le réflexe de vouloir s'approcher.

Juliette se dépêcha de redescendre le sentier. Je la rejoignais rapidement.
< Ah, tu es là ! Viens, on file en vitesse ! > me fit-elle.
Dans son élan, la jeune femme me saisissait la main en m'entraînant d'un pas rapide.
< Je déteste les emmerdeurs et on ne sait jamais ! > me fit-elle encore.
Nous dévalions presque le chemin qui nous menait au prochain Glory Hole.

Arrivés sur les lieux, je vis Juliette recracher un chewing-gum pour en prendre un neuf.
Nous restions longuement silencieux. Nous nous sommes assis au bord de l'étang.
Le temps était plutôt doux. L'ambiance bucolique était enchanteresse.
< Je veux refaire. Tu serais d'accord pour filmer ? > me demanda la jeune femme.
Je restais silencieux en la fixant un moment. < Quoi ? > demanda t-elle.

< Il faut que je te montre les rudiments du fonctionnement de ma caméra !>.
< C'est un modèle "pro" ! > rajouta t-elle en posant sa tête sur mon épaule.
Je passais mon bras autour de ses épaules. < Comme c'est bon ! > fit-elle en se serrant contre moi.
< Et toi ? Tes impressions ? C'était comment ? >.
Pour seule réponse je lui déposais un baiser délicat sur le front.

Nous décidions de reprendre le chemin du retour. Des nuages commençaient à envahir l'azur du ciel.
Nous marchions en devisant. J'évitais soigneusement d'évoquer l'aventure de l'après-midi.
Au bout d'une heure de marche à vive allure, nous arrivions à l'endroit où étaient garées nos voitures.
Là, sur la droite, le type du Glory Hole était assis sur un rocher entrain de téléphoner.

Juliette me demanda de rester là où j'étais.
< Attends, je prépare un "plan" ! > me fit-elle en me laissant dissimulé derrière les futaies.
Lorsque l'homme vit arriver Juliette, il eut un grand sourire. < On peut se revoir ? > demanda t-il.
< Pourquoi pas ! Je serais là mercredi prochain, si la météo est favorable ! > répondit la jeune femme.
Elle rajouta : < Mon ami arrive ! >. J'arrivais donc de mon pas tranquille.

< Bonjour ! > me fit l'inconnu. < Bonjour ! > lui fis-je.
Juliette vint me prendre par la main et m'entraîna vers ma voiture.
< Au revoir ! > fit-elle à l'adresse de l'inconnu. Juliette monta dans ma voiture.
Nous sommes restés ainsi une dizaine de minutes. L'homme finit par s'en aller en montant dans son auto.
La jeune femme retourna à sa voiture. < Colle-moi pendant que je roule, s'il te plaît ! > me demanda t-elle.

Nous prenions la petite route de montagne. Nous étions absolument seuls sur la route.
Néanmoins, Juliette prit un chemin inhabituel. Je la suivais jusqu'à chez elle sans être importuné par qui que ce soit.
Il n'y avait donc pas lieu de s'inquiéter. Personne, de près ou de loin, ne nous avait suivi...

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Glory Hole - (Episode 29)

Ce mercredi, il faisait un temps épouvantable.
De violentes bourrasques de pluie, balayées par un vent incessant, venaient frapper les carreaux.
Ce n'était certainement pas un temps à aller randonner. Aussi Juliette me proposa de passer chez elle.
Les enseignants étant libres les mercredis après-midi, ils ont donc toutes latitudes pour disposer de leur repos.
Même si les préparations scolaires occupent beaucoup de leurs temps.

J'arrivais pour 14 h. Je garais la voiture dans sa propriété, juste devant la porte de son garage.
Juliette vint me chercher avec son grand parapluie. Il lui fallait ruser contre un vent tournoyant et tempétueux.
Nous nous sommes dépêchés de gravir les trois marches du perron.
En vitesse pour nous engouffrer dans la maison.
Immédiatement le contraste apportait calme et sérénité.
La musique de Mozart en fond sonore participait encore à cette tranquillité.

< Viens au salon, j'ai préparé un thé. Tu veux de la glace ? > me demanda Juliette.
Ce, pendant que j'enlevais mes chaussures. J'avais apporté des petits gâteaux de ma maman.
Ce début d'après-midi se présentait sous les meilleures augures. Je m'installais dans le canapé.
Mes pieds nus sur l'épais tapis.
Juliette assise à mes côtés me racontait quelques anecdotes scolaires quand à certains de ses élèves.
Elle évoquait tout cela, amusée et en riant. C'est vrai que c'était drôle.

< J'attends une amie, qui enseigne en ville. Nous avons fait nos études ensembles.
Ce n'était pas prévu mais elle vient pour 15 h > me confia Juliette.
Nous devisions ainsi depuis une demi-heure lorsqu'un coup de sonnette retentit.
< Je crois que c'est Anna-Marie, je vais voir ! > fit Juliette en se levant.
Elle était vêtue d'un beau pantalon noir à pinces et d'un chemisier blanc.
Ce qui sublimait sa silhouette mince et athlétique.

< Je te présente Anne-Marie ! > fit Juliette en revenant accompagnée d'une belle jeune femme brune, élégante.
Je me levais pour saluer la Dame. Juliette fit les présentations avant même que je puisse le faire.
Anne-Marie fut invitée à s'asseoir dans le fauteuil à gauche du canapé.
J'apprenais que la jeune femme était séparée depuis quelques mois et qu'elle enseignait depuis douze ans.
Douze années dans le même collège.
Passionnée d'équitation, d'escalade et de lecture, Anna-Marie était réservée.
Pourtant, d'humeur joyeuse, la jeune femme semblait aimer rire et plaisanter.

Très vite nous étions à l'aise. Juliette savait mettre les gens dans les meilleures dispositions.
Nous avons bavardé ainsi une bonne partie de l'après-midi.
Les deux jeunes femmes parlaient de leurs vacances et échangeaient d'amusantes anecdotes professionnelles.
Juliette me parla des trois séjours qu'elles avaient effectué ensemble, dans la baie de Somme.
Séjour éffectué lorsqu'elles étaient étudiantes. Quelques détails "croustillants" en prime...

Anne-Marie était également une grande jeune femme.
La peau mat, les cheveux noirs en chignon, elle était vêtue d'élégante façon.
Un pantalon de toile beige, à pinces, un chemisier beige.
Ce qui attira mon attention c'était cette toute petite paire de menottes, discrète, en argent.
Comme une gourmette qu'elle portait en guise de bracelet.
Regarder son visage pendant qu'elle parlait, qu'elle souriait, constituait une sorte d'attraction fort agréable.

Il était déjà 18 h. Anne-Marie se leva.
< Il fait toujours aussi moche ! Quel temps médiocre ! > fit-elle.
Elle disait cela tout en s'approchant de la grande fenêtre du balcon.
Juliette la rejoignit avec nonchalance.
A contre-jour, devant la baie vitrée, j'observais ces deux silhouettes absolument parfaites.
Il en émanait grâce et finesse. Je raccompagnais Anne-Marie avec Juliette jusqu'à la porte d'entrée.
Je lui serrais la main.
Nous l'avons regardé partir dans sa Toyota Yaris noire.

< Elle est sympa, Anne-Marie. Je l'aime beaucoup ! >
< Elle est toujours optimiste et pleine de vie ! > me fit Juliette en revenant s'asseoir près de moi.
< Tu manges à la maison, ce soir ? Je prépare un truc léger et rapide ? > me demanda la jeune femme.
J'acceptais avec plaisir.
< Samedi, s'il fait ce temps-là, tu reviens, on se fait une soirée "Branle", ça te dit ? > me fit encore Juliette.
Se levant pour m'entraîner à la cuisine, elle me fit encore : < J'en ai hyper envie ! >...

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Glory Hole - (Episode 30)

J'arrivais chez Juliette vers 19 h30. Ce samedi était tout aussi médiocre que les jours qui l'avaient précédé.
Aussi, c'est sous le grand parapluie de la jeune femme que nous nous dépêchions d'entrer.
La maison était accueillante. Une délicieuse odeur de pâtisserie ou de petits gâteaux y flottait discrètement.
Comme convenu, Juliette avait préparé le dessert, j'apportais le repas.

Je sortais la grande tarte aux poireaux de sa boîte.
Une tarte qui resterait simplement dans son moule souple en silicone. Je la mettais au four pour la réchauffer.
J'ouvrais un tupperware qui contenait la salade de carottes, de tomates et d'avocat.
Une quinzaine de minutes plus tard nous dégustions notre repas.
Bien évidemment nous évoquions cette météo déplorable qui empêchait toute randonnée.

Juliette a préparé une tarte à la mirabelle.
C'est donc ce dessert qui est à l'origine de la douce odeur qui règne dans cette partie de la maison.
A la fin de ce succulent repas nous faisons une vaisselle rapide. J'observe Juliette à la dérobée.
Ses longs cheveux en liberté flottent jusqu'en haut de son dos.
Ses traits fins sont sublimés par un discret et fin maquillage.
Elle est magnifique.

Nous arrivons au salon. Juliette allume le téléviseur. Je reconnais le générique habituel.
Gloryhole est écrit en lettres gothiques sur l'image fixe d'un trou dans un vieux mur.
Presque immédiatement, sur l'écran, apparaît Juliette. Je me souviens très bien du film.
Je sais ce qui va se passer dans les minutes à venir.
Juliette s'assoit sur une chaise au milieu de la pièce.

La jeune femme est vêtue d'une jupe carmin, ample et légèrement plissée.
Un pull noir en coton fin sur un chemisier blanc. Elle est chaussée de ces escarpins noirs, fermés et à talons hauts.
Il y a une petite sangle de cuir qui enserre ses chevilles fines et délicates.
Juliette est assise à califourchon, le dossier devant, entre ses jambes qu'elle doit ainsi garder écartées.
Le spectacle est divin.

Juliette me fixe longuement. Je suis accroupi entre elle et le téléviseur.
Sur l'écran, la même jeune femme est entrain de sucer une bite. La mienne que j'ai passé dans le trou du Gloryhole.
En même temps, la même jeune femme est là, à mes côtés, m'observant avec attention.
L'attention presque sévère d'un entomologiste.
Je sens une grosse bosse qui déforme l'intérieur de ma braguette.
Je bande tel un priapique sous amphétamine ! C'est presque douloureux.

Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes.
Juliette ne me fait pas le signal habituel, je ne sors donc pas mon sexe. J'ai chaud. Je transpire un peu.
La jeune femme se lève lentement. Elle se dirige vers le buffet bas dont elle ouvre un tiroir.
Elle en sort une grosse corde de coton blanc. Elle s'approche.
Sans ménagement elle m'attire vers la grande porte de bois. Elle me pousse, dos contre l'huis.

Juliette lève mon bras droit et m'attache le poignet à un crochet. Elle fait de même avec mon bras gauche.
Elle pousse mon pied droit avec son soulier et, accroupie, cuisses largement écartées, l'attache.
Elle fait de même avec mon pied gauche. La jeune femme reste devant moi dans cette position.
Je peux découvrir qu'elle a un plug chromé enfoncé dans le cul.
C'est merveilleux.

Juliette se redresse. Du dossier de la chaise, elle prend un foulard noir. Elle s'approche et me bande les yeux.
J'entends son pas qui s'éloigne. Quelques instants plus tard, en sourdine, il y a la musique de Mozart.
J'éprouve un léger sentiment d'insécurité. C'est la première fois que la jeune femme procède ainsi.
Je la sais directive et je la devine autoritaire.
Je sens battre mon cœur.

A part la musique de Mozart, discrète, il n'y a pas le moindre son. Pas un bruit pour perturber cet enchantement.
Je suis dans l'attente. Je viens de m'apercevoir que je respire fortement. Je me calme en contrôlant ma respiration.
Une dizaine de minutes doivent s'écouler ainsi. J'entends le pas de Juliette.
Le bruit de ses talons hauts sur le parquet. Le pas se rapproche.
Sa main se pose sur ma braguette.

Juliette passe sa main sur la bosse qui vient de se former. Elle me masse à travers le tissus du pantalon.
Je bande à nouveau comme un dément. La jeune femme ouvre mon pantalon qui tombe sur mes chevilles.
Elle descend mon slip d'un geste ferme et précis. La jeune femme s'empare de ma turgescence avec fermeté.
Elle la force à pointer vers le sol. De l'autre main elle me garrote les couilles.

C'est la toute première fois que Juliette fait preuve de tant de fermeté dans ses gestes.
Habituellement elle est plutôt douce et sensuelle.
Je reste convaincu que le jeu auquel elle se livre nécessite cette attitude. Je soupire. Elle me tort un peu la bite.
C'est presque douloureux. Elle me branle d'une poigne ferme en me serrant les couilles.
J'essaie de me cambrer en arrière. Je pousse des gémissements car cela m'incommode assez.

Juliette a rapproché sa bouche. Je sens son souffle chaud tout près de mon gland qu'elle a décalotté.
A présent, elle me lèche longuement. Parfois elle s'arrête et je l'entends renifler.
Elle en respire les effluves de sueur se mêlant à celles du liquide séminal.
Soudain sa bouche chaude et humide se referme sur mon sexe. L'indicible caresse commence.
Je me sens déjà couler dans la bouche de la fille.

C'est une vraie pipe. Une pipe gourmande. Une pipe offerte par une bouche avide.
Les lèvres de Juliette agissent comme une véritable ventouse. J'avance mon bassin en avant. Je le recule.
Je commence un léger va et vient.
Juliette, d'une main, me tient fermement les couilles, de l'autre, elle m'enfonce un doigt dans le cul.
Je sens la sueur me couler sur le bout du nez et ça me picote.

Je suis entrain de me faire tailler une pipe de véritable salope.
Une pipe juteuse quand, soudain, semblant venir du canapé, un bruit de pas résonne.
Les pas se rapprochent. Des mains défont le nœud de mon foulard.
Là, devant mes yeux hallucinés, Juliette me fait un immense sourire.
Je regarde vers le bas pour voir qui est entrain de me pomper la bite comme une véritable vicelarde.

Anne-Marie est à genoux sur un coussin...

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Glory Hole - (Episode 31) -

Anne-Marie s'était redressée. Elle me regardait avec un air à la fois amusé et lointain. Juliette me tenait le sexe. Le silence était lourd. Anne-Marie s'éloigna pour aller s'asseoir sur le canapé. Juliette descendait lentement pour se mettre à genoux sur le coussin à son tour. Anne-Marie me fixait d'une manière presque sévère. Elle semblait vouloir scruter tout au fond de moi. J'en éprouvais presque une certaine gêne.

Je peux sentir la douceur des lèvres de Juliette. Elle se met à me sucer avec sa douceur habituelle. Rien de comparable avec la façon de faire de son amie, Anne-Marie qui nous observe. Je suis toujours attaché. J'aimerai tant pouvoir caresser les cheveux, la tête de Juliette. Peut-être beaucoup plus pour me donner de la contenance tellement le regard d'Anne-Marie me met mal à l'aise.

La situation perdure ainsi un temps indéfinissable. Je peux sentir monter en moi une excitation qui m'envahit d'un profond vertige. Anne-Marie, toujours assise dans le canapé, écarte les cuisses. Je peux découvrir, malgré la pénombre qui règne sous sa jupe, un porte-jarretelles noir. Je n'en discerne pas davantage. Elle déboutonne son chemisier. Un à un, doucement, elle sort ses seins. C'est magnifique.

Je suis considérablement excité. Toute inhibition m'a quitté. J'observe le spectacle que m'offre Anne-Marie. Les montées de sève doivent êtres considérables car je peux entendre les gargouillis de la pipe de Juliette. Anne-Marie écarte ses cuisses. Elle soulève une jambe pour la poser sur l'accoudoir du canapé. Elle passe sa main dans sa culotte noire. Elle m'observe avec gravité. Elle se masturbe doucement.

Je fais de même dans la bouche chaude et humide de Juliette que j'entends respirer fort. Parfois même je crois deviner un discret gémissement. Je bouge mon bassin doucement et avec un rythme régulier. Pour ne pas me laisser aller, pour ne pas perdre mes esprits, pour ne pas éjaculer, je me concentre sur les activités d'Anne-Marie. Elle me regarde par en-dessous en véritable salope. C'est génial.

Juliette glousse à présent de plaisir. Je peux sentir ma sève monter. Je fais des efforts désespérés pour ne pas éjaculer. Je veux absolument faire durer ces instants de plaisirs suprêmes. J'y arrive mais en déployant des trésors d'ingéniosités. Je pense a de toutes autres choses. C'est un réel tour de force. Je suis sans doute tout rouge. Je suis couvert de sueur. Je gémis de plaisir et sans doute de bonheur.

Anne-Marie se lève. Debout, jambes légèrement écartées, cambrées, elle se masturbe. Elle me sourit enfin. Je me sens terriblement soulagé. Elle s'approche tout en continuant à se toucher. Elle s'arrête à environ deux mètres de nous. Les mains posées sur ses hanches, une jambe croisée devant l'autre, je peux voir le mouvement régulier que font ses cuisses. Elle se masturbe ainsi. C'est sublime.

Juliette se retire et agite mon sexe en direction de Anne-Marie. Cette dernière s'accroupit, cuisses largement écartées et s'empare de ma turgescence pour se mettre à la sucer avec avidité. Je peux sentir ses dents. Anne-Marie est beaucoup moins douce que Juliette qui se masturbe accroupie à nos côtés. Je n'en peux plus, j'éjacule dans une série de soubresauts incontrôlables. Je suis agité de spasmes. La "petite mort".

Anne-Marie me pompe jusqu'à la dernière goutte. En même temps elle me fixe de son regard perçant. Après ma délirante jouissance je sens revenir un certain malaise à cause de l'attitude de la jeune femme. Son regard inquisiteur me transperce. Enfin elle se relève. Juliette a un orgasme qui l'agite de plusieurs petites secousses. C'est stupéfiant.

Juliette revient rapidement à elle. Elle me détache. Je masse mes poignets endoloris et presque douloureux. Elle me prend la main pour m'entraîner sur le canapé. Je m'y affale de tout mon poids. Je suis fatigué, fourbu et épuisé. Anne-Marie vient s'asseoir en face de nous, dans le fauteuil. Nous nous servons chacun une tasse de thé froid. Les petits gâteaux sont les bienvenus.

Nous bavardons. Juliette évoque nos gloryholes, notre circuit et ce que nous y pratiquons. Anne-Marie est soudain très intéressée. Juliette ne parle évidemment pas des films qu'elle tourne avec moi. Je fais très attention de ne pas les évoquer non plus. Nous décidons d'une randonnée gloryhole pour mercredi après-midi. Si la météo le permet...

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Glory Hole - (Episode 32) -

Ce mercredi, dès le matin, le soleil est le maître des cieux. Il fait beau. Il fait presque chaud. Pas un nuage dans l'azur du ciel. Vers dix heures, à peine suis-je rentré des courses, que le téléphone sonne. Je décroche. C'est Juliette. Nous bavardons un peu. < Tu as vu cette météo splendide ? On se fait la randonnée cet après-midi ? > me demande t-elle. Je réponds par l'affirmative. Nous nous donnons rendez-vous à l'endroit habituel. Au départ du sentier. Anne-Marie viendra faire le parcours avec nous.

J'arrive pour quatorze heures. La voiture de Juliette est déjà là. La jeune femme sort de la voiture pour venir me faire la bise. < Que peut bien faire Anne-Marie ? > demande Juliette au moment précis où la petite Clio apparaît au bout de la route déserte. Anne-Marie gare sa voiture et vient nous rejoindre. Nous avons nos petits sacs à dos. Nous nous mettons à monter le sentier. Anne-Marie est vêtue d'un legging de sport, d'un T-shirt et de souliers de marche. Tout comme Juliette. Il fait vraiment bon.

Nous arrivons à la première station. Le trou dans la cloison du cabanon est en excellent état. Il n'y a aucune dégradation. < C'est donc "ça" ! > fait Anne-Marie en s'accroupissant pour regarder par l'orifice. Juliette me fait un clin d'œil. Je comprends. Rapidement je passe derrière les planches verticales. J'ouvre ma braguette. Je passe mon sexe dans le trou. J'entends rire. Anne-Marie semble très amusée de mon initiative. Juliette vient me rejoindre et me chuchote : < Tu lui en mets une giclée ! >.

Il ne se passe pourtant rien. C'est le silence. Anne-Marie vient à son tour nous rejoindre. Elle me regarde. Elle est amusée. < Tu te fais sucer comme "ça" ? Et par qui ? Il y a des promeneuses ? > me demande Anne-marie en éclatant de rire. < Il y avait moi à plusieurs reprises ! > fait Juliette. Nous rions tous les trois de bon cœur pendant que je remballe mon sexe. Nous nous mettons en route pour arriver à la seconde station un dizaine de minutes plus tard. Là également, tout est en ordre.

Je passe immédiatement derrière la cloison de bois pour passer mon sexe dans le trou. A nouveau j'entends des rires amusés. Pourtant, il ne se passe pas une minute avant que l'une des filles se mette à me pomper. Mais laquelle ? Je suis interrogatif. Plusieurs minutes passent ainsi. Je suis cambré, collé contre les planches. Une certaine congestion gagne mes lombaires. Est-ce Juliette ? Est-ce Anne-Marie ? Tout s'arrête. Une nouvelle minute s'écoule. Les deux jeunes femmes me rejoignent.

Nous nous mettons en route. Je ne sais toujours pas qui m'a sucé avec tant de douceur. Tant pis, cela restera un mystère. Nous arrivons au troisième Gloryhole. Je récidive. Encore une fois, c'est la "pipe mystère" ! C'est en tous cas très délicat. Le bas de mon dos commence à sérieusement me rappeler son existence. Je reste collé contre les planches. Tout cesse. Une fois encore, ma question reste sans réponse. Les filles refusent obstinément de me dire qui taille la pipe derrière le mur.

Nous parcourons ainsi tout le circuit. Les dix huit trous ont tous été essayés avec succès et présentaient un état parfait. Au dernier trou, je décidais de me lâcher. J'éjaculais comme un bienheureux. Soudain, là, sur la droite, Juliette apparaît en riant. C'était donc Anne-Marie cette fois ! Anne-Marie qui se ramassait le gros lot ! < Pisse ! > me chuchote Juliette. Je me concentre. J'ai beau essayer, je n'y arrive pas. Il faut dire que cette chère Anne-Marie est sans doute partante pour un second tour.

Juliette m'embrasse. Je me masse le dos. De l'autre côté, Anna-Marie ne relâche pas sa succion. C'est divin. C'est délicieux. < Une sacrée salope aussi, hein ! > me chuchote Juliette à l'oreille. Elle n'arrête d'ailleurs pas de me chuchoter des cochonneries. Je me suis redressé. Il n'y a que le bout de mon sexe dans le trou. Pourtant Anne-Marie, le nez contre les planches suce. Je n'en peux plus. Je pourrais encore me laisser pomper une heure. C'est mon dos qui m'impose une nouvelle éjaculation.

Nous repartons pour la descente. Anne-Marie a du foutre sec autour de la bouche. Elle me fait quantité de sourires entendus. < On refait samedi ? > demande la jeune femme à Juliette qui marche d'un pas rapide devant nous. < Absolument ! > dit-elle. Nous arrivons aux voitures. Juliette nous propose de manger tous les trois à la maison. Anne-Marie décline l'offre. Impossible. Anne-Marie a des "responsabilités". Son emploi du temps est donc toujours conditionné par ce paramètre. La fatalité.

Nous préparons à manger. Juliette est d'une douceur exquise. < C'était aussi bien qu'avec moi ? > me demande t-elle, coquine. Je la rassure par un mensonge qu'elle devine aisément. < Menteur ! Une pipe ça reste une pipe ! > me fait-elle en m'embrassant. < Samedi, j'emmène la caméra. Je propose à Anne-Marie de nous filmer. C'est moi qui te suce ! > fait encore Juliette en riant. < Peut-être qu'elle aura envie, elle aussi, de faire l'actrice, après tout ! > conclue t-elle avant que nous passions à table...

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Glory Hole - (Episode 33)

Samedi matin, je rentre des courses vers onze heures. J'ai à peine posé mes sacs sur la table de la cuisine que le téléphone sonne. C'est Juliette. Elle me confirme notre randonnée de cet après-midi. Nous faisons notre circuit Gloryhole. Anne-Marie sera des nôtres. Le rendez-vous est fixé pour quatorze heures à l'endroit habituel.

J'arrive à l'heure précise. Bien évidemment, avec cette ponctualité qui fait mon admiration, Juliette est dèlà là. Je gare ma voiture derrière la sienne. Nous bavardons tout en préparant nos petits sacs à dos. Cinq minutes s'écoulent. Nous voyons la voiture de notre accompagnatrice arriver au bout de la route. Anne-Marie se gare derrière mon auto.

Nous voilà en chemin. Juliette et moi, nous pourrions marcher sur ce sentier avec les yeux fermés. C'est Juliette qui ouvre la marche. Anne-Marie préfère marcher derrière moi. Nous avançons en silence. Un bon quart d'heure et nous arrivons à la première station. Le premier gloryhole est en parfait état. Juliette sort le trépieds et la caméra de son sac.

Quelques minutes de montages et de réglages et voilà que tout est opérationnel. Juliette explique quelques rudiments de fonctionnements à Anne-Marie qui semble s'y connaître un petit peu. En fait, il suffit de cliquer sur "ON", de jouer avec le curseur du zoom. La netteté et les contrastes se règlent automatiquement. "Off" pour arrêter...

Juliette me demande d'aller me positionner. Je passe derrière la cloison. Je me débraguette et je fais passer mon sexe par le trou dans les planches. < Attention, c'est OK, à trois, ça tourne ! > fait Anne-Marie en comptant. Je ne sais pas ce qui se passe derrière la cloison. Le silence est pesant, lourd et impressionnant. Il ne se passe rien.

Le temps me parait long. Soudain, avec cette douceur habituelle, je sens des lèvres chaudes et humides se refermer sur mon sexe. L'indicible caresse est d'une générosité immédiate. Extrême. Je me sens vraiment sucé de la plus merveilleuse des façons. C'est absolument délicieux. D'une indescriptible délicatesse. Je suis rapidement très excité.

Je peux sentir mon jus bouillir au fond de mes couilles. La succion fait monter du liquide séminale en quantité. Je suis certainement trempé et le bruit "bulleux" que je perçois de l'autre côté ne laisse aucun doute à ce propos. Je vacille de plaisir. Je me tiens contre les planches. La cambrure de mes reins me gêne un peu. Tout s'arrête au bout de quelques minutes. Je n'entends plus rien. C'est à nouveau le silence. Quelques coups de langues et une dernière succion.

Quelques instants qui semblent durer s'écoulent avant que je n'entende la voix d'Anne-Marie. < OK ! Coupé ! C'est dans la boîte ! > fait-elle d'un ton plein d'assurance. Je remballe mon sexe qui dégouline. Je ferme ma braguette et je rejoins les deux filles. < C'était bien ? > me demande Juliette en me faisant un clin d'œil. Je la rassure.

Juliette replie simplement le trépieds et laisse la caméra vissée. C'est moi qui prend le tout sur l'épaule. Nous voilà en route pour la seconde station. Une dizaine de minutes de marche et nous y sommes. Tout est en ordre. Juliette met l'appareil en place. Anne-Marie se place derrière le viseur. Je suis prié de reprendre ma place. Je me dépêche...

La situation est reproduite à l'identique. Je me doute de tout ce qui se passe. La pipe me semble encore meilleure, encore plus juteuse. C'est sans doute subjectif mais délicieux quand même. La fellation dure un peu plus longtemps. J'entends des gloussements de plaisir de l'autre côté de la paroi. C'est proprement divin. Je suis obligé de tenter de me maîtriser. C'est tellement bon que je pourrais déjà éjaculer. Efforts.

Comme la fois précédente, le matériel est replié, je suis reboutonné. Juliette s'essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Nous rions de bon cœur. Nous voilà en chemin pour la troisième station. Nous reproduisons ces situations dans chacune des dix huit stations. Dix huit trous, comme au golf, mais en tellement meilleur.

Ce n'est qu'au dernier trou que je me lâche vraiment. J'éjacule longuement en plusieurs saccades qui secouent mon corps de nombreux spasmes. Le bas de mon dos me fait un peu mal à cause de la position. Je suis collé contre les planches, mon sexe dans le trou. Après l'éjaculation, je pisse en plusieurs jets. J'entends gémir de l'autre côté. Des râles de contentement et des petits cris de ravissement. J'éjacule rapidement une seconde fois. Je me sens pompé. Je suis couvert de frissons.

< C'est OK ! Coupé ! C'est dans la boîte ! Et la batterie est limite ! > fait Anne-Marie. Je rejoins les filles. Juliette est en soutien-gorge entrain de s'essuyer. Elle passe un T-shirt sec. < Tu as été parfait ! Un vrai salop ! > me fait-elle en me passant la main dans les cheveux. Nous rigolons comme des bossus. Anne-Marie me fait un curieux sourire. Son regard est soudain terriblement vicieux.

Nous prenons le chemin du retour. Juliette nous propose de partager le repas chez elle. Anne-Marie décline l'offre mais promet d'être là mercredi soir prochain pour visionner l'ensemble de son travail. Nous nous quittons aux voitures. Nous regardons Anne-Marie s'éloigner. Sa voiture disparaît derrière les bosquets au bout de la route. Juliette se serre contre moi. Elles reste silencieuse à se bercer dans mes bras.

Nous préparons notre délicieux repas du soir. Des ravioles que je concocte avec raffinement. Juliette prépare la salade. Nous bavardons. < Je fais le montage lundi soir. Tout sera prêt pour mercredi soir ! On se fait une soirée "branle" avec Anne-Marie et on se mâte le film ! > me fait Juliette avant de m'embrasser longuement. Sa langue fouille ma bouche avec passion. Je connais une nouvelle érection...

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Gloryhole - (Episode 34)

Ce mercredi soir tant attendu arrive enfin. Depuis lundi, Juliette et moi ne cessons de nous envoyer des courriels. Nous sommes réellement impatients de nous retrouver en "situation". Juliette me propose de nous voir dès quatorze heures pour notre circuit de randonnée habituel. Le temps est médiocre. Il ne pleut pas mais le ciel reste menaçant. Nous hésitons longuement. Finalement, nous optons pour une stupide virée dans la zone commerciale voisine.

La jardinerie est la premier étape. Juliette a besoin d'une paire de gants de protection pour tailler les haies de son jardin. Moi, j'en profite pour essayer des bottes de jardinier en caoutchouc vert. Nous faisons une visite au rayon animalerie. Entre les souris, les lapins et les poissons exotiques, nous admirons quelque mainates bavards aux plumages colorés et plutôt élégants. Nous restons sous le charme de ces oiseaux. Ils semblent aussi curieux de nous observer que nous.

La seconde étape sera la hall aux chaussures. Juliette, rusée, sachant les soldes prochaines, fait quelques rapides essayages. La jeune femme m'avoue son obsession fétichiste pour les chaussures. Elle en a quantité de paires que j'ai déjà pu découvrir au fond de ses placards et de ses deux meubles à godasses. Nous rions de bon cœur. J'aime à voir Juliette, en jupe, élégante, qui ne manque pas de me faire quelques magnifiques numéros d'exhibitionnismes en essayant des souliers. Quel merveilleux spectacle. Elle porte une ravissante culotte à dentelles.

Nous passons au supermarché pour y pousser le caddie. En prévision du repas du soir, nous achetons des poireaux, de la farine complète et Bio et quelques autres produits. Nous déambulons ainsi dans le grand magasin. Quelques superbes exhibitions de la jeune femme au rayon des vêtements achèvent de nous mettre en "appétit". La soirée sera sans aucun doute à marquer d'une pierre blanche.

Vers 17 h45, nous prenons le chemin de la maison. Anne-Marie nous rejoint pour vingt heures. Arrivé chez Juliette, nous nous mettons immédiatement à la préparation. Je prépare la pâte que je plie en quatre pour la laisser reposer. Je prépare une béchamel avec du lait de soja. Je fais cuire les poireaux que j'ai grossièrement coupé. Juliette s'occupe des salades. Nous bavardons agréablement.

Je roule la pâte sur la nappe de la table que j'ai préalablement saupoudré de farine. J'aime manipuler le rouleau à pâtisserie en bois de hêtre. Je dispose la pâte dans un grand moule. Dessus, j'étale le poireau émincé, les champignons finement coupés et quelques herbes. Je verse la béchamel. Je saupoudre abondamment de gruyère râpé. Je recouvre le tout d'un fin couvercle de pâte. Je mets la Flamiche Picarde au four. Thermostat 7, cuisson à 300°, sur une durée de 40 minutes.

Rapidement, les effluves odorantes de la tarte envahissent la cuisine. < J'ai drôlement faim ! Et toi ? > me fait Juliette en me prenant par le cou. Je lui dépose plein de bises sur les joues, le front et même sur le bout du nez. Je la rassure, j'ai un appétit d'ogre et je serais près à la croquer, elle aussi, avec une tranche de Flamiche Picarde. Nous rions de bon cœur une fois encore.

Trois coups de sonnette. C'est Anne-Marie. La jeune femme est ravissante. Très élégante dans sa jupe carmin, son chemisier beige et chaussée d'escarpins noirs, à talons hauts, fermés d'une fine sangle qui lui enserre les chevilles. Anne-Marie me fait la bise. Nous sommes ravis de nous revoir tous les trois. Je mets la table. Juliette et Anne-Marie bavardent un peu, évoquant leurs professions d'enseignantes. Je m'affaire en silence.

Nous passons à table. Le repas n'est pas seulement délicieux mais réellement divin. Une preuve qui ne trompe pas, nous en reprenons tous les trois deux fois. Arrosée d'un petit Bordeaux 1998, la Flamiche Picarde est succulente. < Il faut que tu me donnes cette recette ! > me fait Anne-Marie. < Oui, mais par écrit et pas en privé ! > répond Juliette. Nous rigolons tous les trois comme des bossus. Juliette m'a confié en secret qu'elle pouvait être possessive et jalouse !

Nous faisons la vaisselle et il est question de prendre le dessert au salon, devant le visionnage du film monté par Juliette. < Mets ton tablier ! Ne va pas te la brûler avec l'eau bouillante ! > me lance Anne-Marie, espiègle et mutine. Juliette me tend le tablier. Nous rions comme des petits fous. Après la vaisselle, nous passons au salon. Je me vautre dans le fauteuil, laissant le canapé aux deux jeunes femmes.

Nous dégustons des coupes glacées. Vanille, pistache et pralin. C'est tellement bon que nous poussons des gémissements de plaisirs à leurs dégustations. Juliette se lève et propose : < Café ? >. Nous acceptons. Juliette, en revenant de la cuisine avec le plateau, allume le téléviseur. Elle s'empare de la zappe. La jeune femme fait démarrer le film. Nous assistons au défilement du générique en retenant nos respirations.

Sur le fond d'écran, qui représente un trou parfaitement rond dans une cloison de planches, et que je reconnais immédiatement, défilent le titre, la date et des pseudonymes plus amusants les uns que les autres. Nous rions de bon cœur. Mon pseudo c'est James Bande. C'est dire ce qui nous attend à l'image. L'ambiance qui précède ce visionnage nous met dans un état de légère excitation. Nous savons tous les trois ce qui nous attend. Réjouissances assurées...

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Gloryhole - (Episode 35) -

Juliette s'est assise aux côtés de l'élégante Anne-Marie. Je suis confortablement assis à leur gauche dans le profond et moelleux fauteuil. Nous sommes tous les trois silencieux. Nous observons l'écran du téléviseur avec une grande concentration en retenant nos souffles. Le générique défile verticalement. La musique se dilue doucement en même temps que l'image se focalise sur le trou dans le mur.

A présent, seul le bruit du feuillage accompagne cette image fixe. Anne-Marie a fait un remarquable travail. Ses zooms sont adroits, lents et jamais hésitants. Il faut préciser que la caméra est dans la catégorie "professionnelle". Les couleurs sont parfaites. Les détails sont impressionnants. Nous pouvons même distinguer un mille-pattes qui descend doucement le long des planches. C'est du spectacle.

Soudain, là, à l'écran, par le trou parfaitement rond, apparaît mon sexe. C'est impressionnant car c'est si bien filmé. C'est un très gros plan. Lentement le zoom arrière agrandi le champs. Nous pouvons à présent voir une bonne partie de la cloison. Mon sexe en semi érection offre une vision surréaliste, terriblement insolite. Outrancière peut-être si l'on est pas informé du style de film auquel on assiste là.

Soudain, là, sur la droite, une jeune femme vient s'accroupir de trois quart devant le trou. Les mains en appuis sur les planches, elle scrute avec une attention d'entomologiste ce qui pend de cet orifice. La sensation de plaisir est immense, indescriptible. Parce que l'actrice que nous voyons à l'écran, là, devant nos yeux hallucinés, est assise à nos côtés sur le canapé ! Hors, les actrices de ce genre de "cinéma" restent toujours l'incarnation impalpable de nos fantasmes. De nos désirs. Inaccessibles...

La jeune femme, la tête toute proche du sexe, semble en humer les odeurs. C'est surprenant. La situation perdure ainsi quelques minutes. C'est très excitant à regarder. En voyant ces images étonnantes, une fois de plus je découvre ce qui se passe de l'autre coté de la paroi, lorsque je suis derrière. C'est fascinant. Je suis dans un terrible état d'érection. Les contraintes des tissus de mon slip et mon pantalon me sont insupportables. Les filles s'en doutent car elles m'observent amusées.

Anne-Marie vient de passer sa main droite sous sa jupe. Elle s'assoit plus confortablement encore, écartant légèrement ses cuisses. Juliette ne tarde pas à faire de même. J'ai ouvert ma braguette. J'y ai passé ma main. Nous nous masturbons doucement tous les trois. A présent, dans le film, la jeune femme joue avec le prépuce qu'elle malaxe entre son pouce et son index. A plusieurs reprises elle regarde ses doigts gluants et le filament qui les lie d'une coulure visqueuse. Elle porte les doigts plusieurs fois à son nez pour finir par les goûter. J'ai chaud !

Je regarde Juliette. Elle me fait un sourire terriblement vicelard. Comme elle est belle. Je la regarde dans le film, virtuelle, s'apprêtant à faire une pipe. Je la regarde assise là, bien réelle, souriante. Je suis soudain pris d'un vertige qui me fait vaciller. Il m'est impossible d'assimiler ce paradoxe fou. Je suis obligé de m'allonger dans le fauteuil. Je sors mon sexe. Anne-Marie me fait un clin d'œil et soulève un peu de sa jupe. Elle ne porte aucun sous-vêtement et se touche doucement.

A présent, dans le film, la jeune femme s'est mise à sucer. Les joues creusées, les traits de son visage révélant une sorte d'extase, elle est sensuellement concentrée sur sa fellation. Une fois encore, en regardant ces images, je comprends beaucoup mieux ce que je ressens durant le tournage, seul derrière mes planches. A quelques reprises, terriblement salope, tout en pompant, la jeune femme fixe la caméra. Elle ouvre la bouche pour nous montrer ce que ses efforts recueillent. C'est prodigieux. Je suis à deux doigts de m'évanouir.

< Tout va bien ? > me fait Anne-Marie en mimant une masturbation masculine de sa main libre. Je me contente de sourire. Que pourrais-je bien répondre ? Le regard de Juliette va de l'écran à mon sexe et à mes yeux. Elle me fait de délicieux sourire. Nous passons tous les trois un moment d'un immense privilège. Nous en sommes parfaitement conscients et nous nous sourions à plusieurs reprises. C'est divin.

A l'écran, c'est la fin de cette séquence. La jeune femme s'est retirée. Elle s'essuie les coulures qui coulent du coin droit de sa bouche avec l'index. Tout en fixant l'objectif avec insistance. < Tu es merveilleuse ! > lui fait Anne-Marie avant de rajouter : < Tu as raté une vocation ! >. Nous rions tous les trois de bon cœur. A l'écran, il y a un fondu-enchaîné. C'est l'arrivée au second gloryhole. Nous nous apprêtons à en découvrir les surprises...

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Gloryhole - Episode 36 -

Juliette, Anne-Marie et moi, nous sommes à présent immobiles et silencieux. Nous observons l'écran avec une grande curiosité. C'est l'arrivée au second gloryhole. Une fois encore la caméra zoome. Nous découvrons l'image surréaliste de ce trou qui grandit à l'écran. Tout se fige. Le zoom arrière permet d'observer les alentours du cabanon. La végétation est agitée d'une brise légère. Le gazouillis des oiseaux constitue la bande son de cet étrange court métrage.

Une fois encore, la même jeune femme s'approche du trou. Elle se penche pour y coller son œil. Même si nous savons tous les trois ce qui va se passer, nos sens sont en alerte. Je lance un regard à Juliette qui vient de mettre sa main droite sous sa jupe. Nous échangeons un sourire. Anne-Marie nous fait : < J'aime ce cinéma "art & essai", c'est toujours d'agréables découvertes culturelles ! > Nous rions tous les trois comme des bossus.

Là, à l'écran, la jeune femme, les mains en appuis sur les planches de la cloison, s'accroupie. Son visage est à quelques centimètres du trou parfaitement rond découpé dans le bois. Mon sexe surgit lentement. Un peu à la manière d'un mulot qui viendrait respirer les senteurs du printemps. Le zoom permet de constater l'humidité visqueuse du liquide séminal qui en macule l'extrémité. La jeune femme, d'un mouvement de tête lent, s'empare de la chose pour la saisir entre ses lèvres. Juliette est une merveilleuse actrice.

A nouveau, envahis d'une excitation bien légitime, Juliette, Anne-Marie et moi, nous recommençons nos masturbations. C'est absolument divin. Nous pouvons chacun percevoir nos respirations haletantes ou nos apnées enfin délivrées dans de longs souffles. Anne-Marie se lève pour venir s'accroupir devant l'écran du téléviseur. Cuisses écartées, nous tournant le dos, elle se masturbe. Le spectacle est sublime. Cette jeune femme accroupit devant un film porno et qui mâte. C'est le paradis...

< Tu as fais un excellent travail avec la caméra ! > lance Juliette à Anne-Marie qui se redresse. La jeune femme revient s'asseoir dans le canapé. Nous regardons la jeune femme du film. Elle pompe le sexe avec une avidité surprenante. Lorsqu'elle cesse, au bout de quelques minutes, elle ne peut récupérer toute la bave qui relie sa bouche au sexe. C'est grandiose. La coulure visqueuse, translucide, donne une idée de la quantité se substance que vient de déglutir la suceuse.

Nous nous masturbons tous les trois. Juliette se lève à son tour. Elle vient me déposer une bise sur le front. < Qui veut un thé ? > demande t-elle afin de nous ramener à la réalité. < Moi ! > faisons nous en cœur, Anne-Marie et moi. Juliette prend la télécommande et appui sur "Pause". A l'écran, sur l'image, se fige son visage dont la bouche ruisselle de jus gluant. Je me lève pour accompagner la jeune femme à la cuisine. Je lui glisse à l'oreille : < C'est du grand art ton montage ! En plus tu es divine dans le film ! >. La jeune femme me fait plusieurs bises en murmurant : > Merci ! >.

Je prépare la boule à thé que je remplis et que je mets au fond de la théière. Juliette verse l'eau bouillante sur le tout. Nous retournons au salon. Quelle n'est pas notre surprise de découvrir Anne-Marie, jupe relevée, couchée au sol, cuisses largement écartées, une jambe levée. La jeune femme est toute rouge et en sueur. < Eh bien ! Tu perds tes moyens ! > lui fait Juliette. Nous rions de bon cœur. < J'adore me faire surprendre ! > répond Anne-Marie qui se redresse et se réajuste.

Nous nous apprêtons à découvrir le troisième gloryhole...

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