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De la confiture aux cochons (Episode 3)

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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NOTE

Pour savourer toutes les saveurs de ce troisième opus, j'invite le lecteur "gourmet" à découvrir, ici-même, sur ce forum, dans la même rubrique "Confessions intimes", les deux épisodes précédents de cette saga. (Isabelle - Episode 1 et episode 2)

Bonne découverte.

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Isabelle (Episode 3)

Le repas du soir fût des plus agréables. Au dessert, devant une coupe glaçée géante, nous évoquions quelques aventures sexuelles des plus affriolantes que nous avions déjà vécu.

A ce jeu, j'étais, de par mon âge, le "gagnant". La jeune fille m'avoua une liaison avec un garçon de son âge. Son "premier". Un garçon un peu exclusif et jaloux. Par contre, l'imaginaire d'Isabelle, constitué de fantasmes, était des plus attractif. J'en aurais un surprenant aperçu un peu plus tard.

Après avoir payé la note, j'invitais Isabelle à flâner un peu dans les rues sur le chemin menant à mon hotel. Parfois, au détour d'un coin moins éclairé, la jeune fille m'embrassait. Me touchant le sexe avec des gloussements coquins. Je lui touchait l'entre-jambes, appuyant ma main vers le haut, à travers le tissus de sa jupe.

< Nous passons à ma voiture. J'ai quelque chose à y récupérer >, me fit-elle. Arrivée au véhicule, garé à deux rues de mon hotel, Isabelle ouvrit le coffre pour se saisir d'une petite valise violette. Puis nous prenions le chemin de l'établissement hotelier.
Une fois dans ma chambre, Isabelle posa cette petite valise sur le lit. Je la regardais très intrigué. La jeune fille ouvrit lentement le couvercle de l'objet. Là, dans des écrins, découpés dans un velour carmin, il y avait des articles très "spéciaux". A droite un gode couleur chair et de bonne taille. A côté, un gode anal "rosebud" à la forme renflée. A côté un "oeuf à vagin" piloté par un boîtier à piles. Deux paires de menottes. Un collier gothique. Une laisse. Une boule à bouche en caoutchouc.

La seule pointe de mauvais goût était le "livret explicatif". Lorsque je le fis remarquer à Isabelle, nous avons tous deux éclaté de rire...

Isabelle, retrouvant soudain son sérieux, se tournant vers moi, me fixa dans les yeux en me disant : < Je veux que tu sois un vrai salopard cette nuit ! Je suis prête à tout ! >.

Je savais que c'était la toute première expérience de ce genre pour la jeune fille. J'allais me montrer largement à la hauteur de ses éspérances. Je regardais longuement cette jeune personne. Comme souvent, certaines femmes peuvent s'avérer "sex-traordinaire"...

Même si ce n'est pas vraiment dans ma nature, cette forme d'exercice n'est pas pour me déplaire. D'une certaine façon, il faut savoir prendre sur soi et faire preuve d'altruisme.

Je demandais à Isabelle de se dévêtir. De ne garder simplement que ses escarpins à talons. Ces escarpins maintenus pas de délicates sangles de cuir, autour de ses fines chevilles.

Lorsqu'elle se présenta ainsi à moi, je la fis se tourner, passant ses bras derrière son dos. Je fermais ses poignets avec une des paires de menottes. Je la fis s'allonger sur le côté, sur la moquette du sol. Je passais la seconde paire de menottes autour de ses chevilles. Là, je l'attrappais par les cheveux et lui cambrais la nuque vers moi. Son visage près du mien, je commençais à lui lêcher le front, les joues, la bouche. Je lui ouvrais la bouche avec mes doigts, pour lui lâcher un filet de salive.

Je l'attrappais par les poils du sexe. La forçant à un mouvement de va et viens. Je lui touchais le sexe avec vigueur et, une certaine vulgarité. Le secouant. Isabelle commençait à gémir. Je lui bouchait la bouche avec la boule de caoutchouc. Je fixais l'ensemble autour de sa tête avec la sangle destinée à cet usage.

Je me mis à lui lêcher le sexe qui était déjà suintant. Une coulure blanchâttre s'échappait du vagin pour couler jusqu'à l'anus. Anus dans le quel j'enfonçait mon index de la main droite. J'ai un certain faible pour la droite...

La jeune fille, couchée sur le côté droit, la cuisse gauche en l'air, maintenue par mon bras gauche, bougait au rythme de ma succion. Je suçais comme un malade. Je ne voulais par perdre une goutte de ce nectar délicat. Du délicieux jus de jeune fille...

Puis, me saisissant du gode anal, je le lui enfonçait dans l'anus. Je la forçais à se relever. Je lui passais le collier et y fixais la laisse. Je la promenais ainsi dans la chambre. Autour du lit. Elle était à la fois si belle, si fragile, que mon coeur fit des bonds dans ma poitrine ! Je n'en montrais rien ! "Introduite" par le gode anal qui l'empêchait de marcher correctement, Isabelle semblait prendre un plaisir indiscible à cette "promenade".

Je l'emmenais, la maintenant par la laisse. < A quatre pattes salope ! > ordonnais-je d'une voix peu convaincante. Isabelle se mit à quatre pattes. Je pouvais voir, sous la boule en caoutchouc qui maintenait sa bouche ouverte, des filaments de salive qui lui coulaient sur le menton. C'était presque dégoûtant mais tellement excitant . Il y avait des coulures jusque sur ces petits seins.

Les yeux de la jeune fille étaient brillants de vice, de stupre et de luxure. Dire que, hier encore, jamais je n'aurais imaginé avoir affaire à une telle coquine. J'aime tant les salopes ! Qu'est-ce que je m'ennuie avec celles qui ne le sont pas. Attention, dans ce cas de figure, le mot "salope" est un compliment admiratif. Total respect pour les femmes...

Je lui ordonnais de s'accroupir. Là, entre les toilettes et la douche. < Pisse, salope ! > fis-je d'une voix faussement autoritaire.

Isabelle resta ainsi quelques instants, se concentrant pour éxécuter ma directive. Je me mis à plat ventre pour ne pas en perdre une miette. Je pouvais observer le mouvement spasmodique des lèvres de son vagin qui bougaient doucement, au rythme de ces contractions. Le gode enfonçé dans le cul, qui tentait de s'échapper sans y parvenir. Un spectacle magnifiquement pathétique.

Puis, au bout de deux ou trois minutes, Isabelle lâcha un filet de pisse. Tentant de contrôler, par intermittence, le jet afin de jouir de l'instant. Isabelle cherchait à jouir de chaque seconde de ce moment vicelard. Je la tenais par la laisse. Il y eut ainsi quelques jets plus ou moins puissants. La jeune fille arrivait parfaitement à maîtriser lee jets. Je pouvais voir, sur son visage, l'indiscible plaisir qui l'emplissait. Je pouvais le constater par l'apparition d'une petite coulure de cyprine gluante qui suintait de son sexe. Constituant un filament. Une coulure. Instant sublime.

Il y avait une vraie mare de pisse par terre. J'entraînais Isabelle devant la porte. Là, je la maintenais accroupie. Me couchant sur le dos, je lui lêchais le sexe comme un assoiffé. Je bouffais littéralement les nectars de la jeune fille ! J'étais ivre de ces liquides. J'aurais voulu que cet instant dure toute ma vie. Isabelle se frottait le sexe sur mon visage. J'étouffais de bonheur et de plaisir. Sa salive, s'échappant de sa bouche, après avoir coulé sur son menton, dégoulinait sur ma poitrine. Elle gémissait de plaisir...

Je me redressais pour lui lêcher le visage, receuillir cette salive douce et suave. J'étais dans un état d'érection irréelle. Invraissemblable. Mais je ne voulais m'occuper que de la jeune fille.

Je l'emmenais à quatre pattes sur la moquette de la chambre. Là, je la fis mettre sur le ventre. Isabelle était ivre de plaisir. L'intérieur de ses cuisses était trempé de cyprine, de pisse et de salive. Je lui lêchais le dos, les fesses. Tout le corps de la jeune fille n'était plus qu'un prestigieux dessert. Je m'en pourlêchait jusqu'à l'ivresse. Presque jusqu'à la folie. Je lui retirais le gode à cul et introduisis ma langue dans le trou, lêchant, aspirant, suçant. Ma tête tournait, mes sens me faisaient vaciller. J'avais, tout comme Isabelle, les plus délicieux vertiges. Nous gémissions comme des malades.

J'avais déjà joué à de tels jeux. Mais jamais avec une telle passion. Jamais avec une telle ferveur. Jamais avec une telle intensité partagée.

A suivre...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/07/14 10:52 par Oncle-Julien.
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
hummm... mais quelle petite "salope" !
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