J'ai vécue une belle journée grâce à à la SNCF aujourd'hui.
Je ne résiste pas au plaisir de vous la raconter.
La matinée ne pouvait mieux commencer.
Alors que je tournais au bout du couloir pour m’engager dans l’escalier menant au quai, mon regard fut en effet capté par un très joli spectacle.
A quelques mètres de moi, une jolie paire de jambes gravissaient les marches. Gainées de noir, elles ne cachaient pas grand-chose de leurs formes. La robe était courte, suffisamment pour que l’on puisse admirer de magnifiques cuisses découvertes au trois quarts. Vous pouvez imaginer qu’avec la vision en contre bas qui était la mienne, l’effet produit était des plus agréables.
La longueur de ces jambes était amplifiée par des escarpins fins aux talons hauts et fins. A chaque marche gravie, l’amateur que je suis se régalait en voyant chaque cuisse alternativement se dévoiler un peu plus.
La femme d’une quarantaine d’années est très classe mais peut-être pas aussi jolie que ses jambes le laissaient espérer. Des cheveux noirs mi longs et attachés. Une frange droite descendant presque à hauteur de grandes lunettes en écaille. Un petit menton effacé par une grande bouche aux lèvres pulpeuses et trop rouges à mon goût.
Son corps retient par contre plus mon attention. L’effet sans doute de cette petite robe habillée et sexy à la fois. Des seins plutôt généreux, une taille assez fine, des hanches bien dessinées, des fesses rondes. Et bien sûr ces fameuses jambes offertes à tous les regards.
Je dois dire que de tous les trésors que recèle le corps d’une femme, c’est de cette partie que je suis le plus sensible. Et je suis donc gâté.
En attendant que notre train arrive, j’ai tout le loisir de regarder discrètement ces cuisses si excitantes. Le vent souffle aujourd’hui. Si seulement une bourrasque… Hélas, mon vœu ne sera pas exaucé.
J’ai pris ma place dans le compartiment. Elle est montée dans le même wagon. Et voilà, heureux hasard, qu’elle s’assoie juste en face de moi. Elle me sourit et me salut. Je lui rends son bonjour. En fait, elle n’est pas si mal. Bien sûr mon jugement est altéré pas ses si jolies jambes, jambes qui à ma grande joie se dévoilent encore un peu plus lorsqu’elle se hisse sur la pointe des pieds pour ranger sa valise au-dessus de nos places. Sa robe remonte de quelques centimètres encore. Encore un effort et elle pourrait atteindre le bas de ses fesses.
Mais lorsqu’elle s’assoit, quelle déception. La tablette qui nous sépare cache totalement la vision que j’avais imaginée. De la pointe de ses pieds jusqu’au-dessus de sa taille, je ne vois plus rien.
Elle a sorti un ordinateur. Elle se met à travailler. Je vais faire de même. Je me lève pour le récupérer dans mon sac. Bien sûr je prends mon temps car placé ainsi, je peux de nouveau admirer l’objet de mes délires. Et la vision offerte est absolument magnifique. Cette petite robe déjà courte l’est encore beaucoup plus en position assise. C’est presque l’intégralité de ses cuisses qui sont découvertes. Une légère raideur me prend en imaginant les soins que je me verrais bien leur prodiguer.
Je me vois agenouillé, caressant ses jambes lentement, de bas en haut, de haut en bas. Ses mollets, ses genoux, le dessus de ses cuisses, puis l’intérieur. Je les frôle, les effleure. Et puis mes lèvres s’y mettent aussi. J’adore prendre mon temps, faire monter l’excitation. La Belle s’ouvre. Mon visage s’insère doucement, progressant le long de ses cuisses jusqu’à atteindre son petit abricot. Sera-t-il aussi mouillé que je l’imagine ?
Mais je rêve. Le wagon est bondé. Et je ne peux pas rester des heures debout au-dessus d’elle à fouiller dans mon sac. Un dernier regard excité et je m’assois de nouveau. J’ouvre mon PC. Je n’ai pas envie de travailler. Alors je fais semblant et je me mets à écrire ces lignes tout en observant mon fantasme du jour.
Plus je la regarde, concentrée sur son écran, plus je la trouve attirante en fait. Un air sérieux et appliqué. Sa bouche toujours entrouverte sur une dentition blanche et bien ordonnée. Elle est très expressive lorsqu’elle écrit. Et ses mains sont fines et très soignées. Elle a vraiment de la classe.
Bon, il faut que je me concentre sur autre chose.
Mais non, je n’y arrive pas. Je fantasme de plus en plus. Sa bouche devient obsédante. De telles lèvres charnues. Je me vois les mordiller, les aspirer avant de les manger goulûment. J’ai envie de l’embrasser à pleine bouche. Sentir nos langues s’enrouler. Oh oui, lui rouler un patin fougueux que j’accompagnerais de caresses furieuses. Ses fesses, ses cuisses. Jusqu’à glisser ma main entre ses jambes pour sentir son plaisir couler entre mes doigts. Je voudrais la faire jouir ainsi, en la doigtant avec ardeur tout en dévorant sa bouche généreuse.
Nous arrivons. Elle se lève. Je la regarde s'éloigner. Vraiment, quelle paire de jambes affriolantes ! Franchement, des robes aussi courtes, ça devrait être interdit !
A moins que… Mesdames, si vous avez apprécié mon petit délire, s’il a quelque peu titillé vos sens et que vous désirez m’en remercier, je serais très heureux que vous m’offriez un aperçu de vos tenues les plus courtes. Une de celles où vos cuisses, voire même plus, s'offrent à tous les regards gourmands. Et qui sait, en m’offrant une belle vision accompagnée de commentaires engageants, peut-être provoquerez-vous chez moi l’envie de vous écrire en retour le fantasme que vous m’inspirez.
Je vous embrasse toutes là où ma langue aime à se régaler. En espérant y trouver un terrain pas trop sec (voire très mouillé).
