MA VOISINE ME REGARDAIT EN CACHETTE, DEPUIS SON BALCON .
Il y a une vingtaine d'années, je vivais dans une copropriété.
Un immeuble résidentiel.
Vivant au cinquième étage, souvent, les soirées d'été, je m'installais sur une chaise-longue.
Je disposais une couverture sur la rambarde du balcon.
A mes côtés je placais une boisson fraîche et un verre .
Confortablement installé, je lisais jusqu'à la tombée du jour.
Souvent il m'arrivait de m'endormir un peu dans la quiétude du soir.
Une de ces soirées d'été, je lisais un livre très érotique. (Color Climax No 117)
En lisant, doucement, je me caressais. J'avais même sorti mon sexe.
Pensant être en toute sécurité, je me masturbais lentement.
J'avais refermé mon livre. La tête rejettée en arrière, je profitais du crépuscule avec bonheur.
Soudain, ce sixième sens qui agit parfois, et toujours à notre insu, me fit ouvrir les yeux.
Le sentiment d'être observé. Je tournais ma tête sur ma droite.
Là, je découvrais le visage de ma voisine.
Elle était penchée sur la rambarde de son balcon. Son balcon mitoyen du mien.
Mme F. m'observait depuis quelques minutes.
J'eu ce réflexe naturel de tenter de cacher mon sexe.
Elle me fit un sourire désarmant en me faisant < Bonsoir >.
Je répondis poliment, terriblement gêné, presque honteux.
< Il fait doux > commença t-elle. Nous engagions une conversation.
Nous nous croisions souvent dans l'ascenceur ou dans l'escalier.
Nous n'étions donc pas tout à fait des inconnus l'un pour l'autre.
Seulement voilà, elle était mariée...
Après un quart d'heures de civilités et de discusions banales, elle me souhaite une bonne nuit.
Je restais avec une excitation folle. Me promettant de revivre cette situation hautement excitante.
Les jours suivant furent plutôt pluvieux.
Ce n'est que cinq où six jours plus tard que je m'installais à nouveau sur mon balcon.
J'avais préparé ma "stratégie". J'avais mis des lunettes de soleil.
Ce qui me permettait de loucher en direction du balcon de ma voisine.
Je faisais semblant de lire. Vers vingt et une heure quarante cinq, arriva le crépuscule.
Je vis la tête de ma voisine qui, de façon extrêmement discrète, observait dans ma direction.
Disparaissant et réapparaissant. Cela dura ainsi quelques minutes.
Un voyeurisme des plus agréables qui me donnait une érection folle.
Je sortais lentement mon sexe. Observant avec attention les réactions de la jeune femme.
Je restais ainsi avec le sexe dressé. Ma voisine avait dû comprendre mon "plan".
Elle me fit un sourire en disant : < C'est bon ? >.
Je répondis plus qu'aimablement et par l'affirmative.
< Je peux regarder ? > me fit-elle en mimant un mouvement masturbatoire de la main...
Nous avons passé ainsi cinq ou six soirées de cet été 1998 de cette manière.
Il ne s'est jamais rien passé d'autre. Nous avons continué à nous croiser dans les communs.
Parfois accompagnée de son mari. Moi parfois accompagné de ma compagne.
J'avais des éjaculations fabuleuses avec des jets qui allaient souvent au-delà d'un mètre.
Aujourd'hui encore, lorsque je pense à ces moments, mon cœur fait un saut très agréable dans ma poitrine...
Merci délicieuse personne.
Chère Madame F. si par hasard, vous découvrez ce récit, sachez que j'aurais grand plaisir à vous revoir.
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