Les petites aventures d'ESNANT chapitre 1

Mois de mars au début des années 80, je suis encore bien jeune tout au plus 22 ans, j’ai pris ma journée pour régler plusieurs petites affaires administratives. Nous sommes donc mardi, tout se déroule à merveille.

Je termine donc mon marathon de paperasserie en fin de matinée. En appétit je vais déjeuner au restaurant de l’aèro club de Fréjus. Je m’installe dans un coin, vue sur la piste et les hangars ( le ballet incessant des petit avions à hélices m’a toujours fasciné) et un œil sur la salle et l’entrée, place stratégique pour ne rien perdre de vue.

Nous sommes en début de service, on me place sur une table 4 couverts, alors que je termine mon café, de la table voisine j’écoute avec attention et détachement la discussion qui s’engage à mots couverts. Exercice périlleux avec la présence des deux quidams à ma table qui ont la voix qui porte.

En quelques mots je comprends que non loin de là quelques nudistes se prélassent sur une plage du coté de saint-Aygulf les beaux jours venus.
Je prends congé rapidement, rejoint le parking et consulte ma carte IGN (Souvenir de chez les scouts, partout où tu iras, ta carte tu auras). A l’époque pas de GPS ni d’application cartographique.

Une analyse rapide me permet de déterminer l’endroit et l’accès de la plage. Je laisse ma voiture à couvert sous les pins parasols et me met en quête d’un point un peut haut afin de balayer la plage visuellement pour me faire une première idée de la stratégie à appliquer. Sur la gauche quelques hommes seuls et rien d’autre. Je cherche désespérément une forme féminine sur ma droite rien personne. Je me déplace et remarques des traces fraiches dans le sable qui se perdent au début du cordon dunaire et des roseaux…

…Que faire, là est la question ? Première option, Tel le bourru de base, descendre sur la plage et obliquer à gauche et aviser au vu de la situation. Mentalement j’opte pour la deuxième option.
Je vais m’approcher au plus près de la plage par la dune, la légère brise marine qui souffle de la mer vers la plage devrait couvrir d’éventuel craquements de brins de roseaux brulés de soleil qui ne seront pas entendu par mes plagistes.
Je m’approche donc doucement et écoute, c’est bien un couple. Je retourne à ma voiture pour adapter ma tenue. Je récupère un plaid pour faire office de serviette de plage ainsi qu’une gourde.
Chemin faisant, l’excitation monte et me voila avec une belle érection, embêtant pour débuter une séance de bronzage !
Je me soulage rapidement et envoie quelques salves sonores sur les roseaux desséchés.
Détendu
J’aborde la plage. Je dépasse le couple, les salue en les gratifiant d’un sourire et d’un bonjour. Je m’installe à une distance de 15 mètres légèrement en contrebas pour m’assurer un bon angle de vue.
Madame possède un joli gain de peau claire constellé de petites taches de rousseurs, une poitrine généreuse et un buisson bien fourni. Monsieur, à contrario et imberbe et déjà bien cuivré, je leur donne une bonne cinquantaine.
Tout à mon observation intermittente et discrète, je commence à ressentir les prémices d’un symptôme bien connu.
Je me lève et rejoins l’océan distant d’une centaine de mètres en érection complète mais cachée à la vue du couple. La fraicheur salvatrice de l’océan calme pour un temps mes ardeurs, la température de l’eau ne devant pas excéder une douzaine de degrés (Je me baigne régulièrement toute l’année même en hiver).
Bien rafraichi je rejoins mon poste d’observation, L’homme m’interpelle : Elle n’est pas trop froide ? vous êtes courageux etc. etc. …
Pendant cette discussion, madame a largement croisé décroisé ses jambes m’offrant une vue plongeante sur son anatomie, ce petit jeu dure une bonne dizaine de minutes, je n’hésite plus à exhiber une érection de fière allure. L’homme me propose de me rapprocher afin de pouvoir converser sans les désagréments du vent et de la distance….

Hâte de lire la suite, merci du récit :-)

…J’acquiesce d’un signe de tête, toujours « tête haute », tel le porte le fanion de la fanfare de Marolles-les-Braud !!! Je prends mes quelques affaires et m’installe en contrebas du couple.
La conversation est maintenant plus orientée et coquine. Mr demande à Mme de bien écarter les jambes puis il demande si mon sexe lui plait. Un petit oui ponctue cette requête. Comme tout voyeur qui se respecte empreint d’une certaine éducation, je n’entreprends rien. Je laisse libre court au couple de guider la séance suivant leurs désirs.
Mr demande à Mme si elle veut me toucher, Ce quelle entreprends d’une main douce Elle me branle doucement tout en soupesant mes bourses devenues bien dures. Insatisfaite elle me demande si la crème solaire ne me gêne pas, je ne lui rétorque aucunement.
Elle m’enduit la verge et continue son œuvre ; la sensation est délicieuse, elle m’indique de me placer à droite pour lui caresser les seins, Mr bien en forme, un sexe très court mais bien large est à gauche. Il la fait jouir deux fois avec ses doigts. Il commence à perler du pré sperme (ce qui à mon grand regret ne m’est jamais arrivé). Il demande à Mme si elle désire que nous jouissions sur ses seins, ce qu’elle accepte en soulevant ses deux globes laiteux ornés d’aréoles large et roses…

Jolie histoire

Vivement la suite

Sympa tout ca

…L’excitation monte crescendo, Mme tempère Mr, je m’active de plus belle de manière à me caler sur Mr. Là, une pétarade de mobylette nous vient aux oreilles, ce qui à pour effet immédiat de calmer nos ardeurs.
Sur notre gauche à un cinquantaine de mètres, un quidam motorisé déboule à l’entrée de la dune. Il s’enlise et tombe lourdement dans le sable en proférant un juron dont je vous ne donnerais pas la teneur !!!
Pris par « le spectacle » nous cessons toute activée pour observer le grotesque de la situation. Notre « Jean-Claude de la garrigue » se relève et péniblement quitte la plage en poussant sa monture folle. Nous rigolons, le calme revenu nous reprenons nos activités. Mme s’active d’une bouche experte pour tenter de remettre Mr en selle.
Peine perdue, moins de dix minutes plus tard, revoilà notre Jean- Claude suant sang et eau, qui passe et repasse en contrebas pour finalement se poser haletant à une quinzaine de mètres de nous. Je me lève, et lui demande poliment de s’éloigner.

Ouuuais, la plage est à tout le monde, je fais ce que je veux, je reste là ! braille t’il.
Tout un chacun sait bien que chien qui aboie ne mord pas. Toutes discussions avec ce genre d’individu décérébré étant toujours voué à l’échec, j’en reste là.
Le couple contrarié décide à regret de quitter la plage, je leur emboite le pas et conversons jusqu’à nos véhicules. J’omets de leur proposer un échange de numéros de téléphone, ils partent, nous nous un signons de la main. Ils sont suivis à bonne distance par notre Jean-Claude.
Déçu mais heureux cette rencontre je retourne à la plage, la chaleur du soleil m’entraine dans mes rêveries, je me masturbe lentement et explose puissamment.

Calme et détendu, je récupère ma voiture pour repartir à Fréjus, et là en pleine ligne droite j’aperçois notre quidam poussant sa monture suite à une crevaison semble-t-il. L’occasion est trop belle, rapide coup d’œil, route dégagée. Je ralentis et l’invective ainsi : Allez, pousse mon Jean-Claude, pousse fort !!! Je joins le geste à la parole et lui présente mes trois doigts levés en souriant (signe des archers anglais pour les français à une époque plus lointaine) Petit bonheur gratuit de la fin de journée !!!



Toutes mes petites aventures sont réelles,
Parfois le préambule et la conclusion sont longues.
Elles permettent de donner le cadre complet à l’aventure.
Vous pouvez les commenter ou m’envoyer un message privé.

La petite plage au bord de la Loire :

Lors d’une sortie en VTT je découvre ce petit coin de paradis. Je viens d’arriver dans la région, premier week-end tranquille. Je planifie mon itinéraire à l’avance sur la carte IGN, en ce temps pas si reculé les applications d’itinéraires pour vélo n’existent pas encore. Nous sommes au mois de juin par une belle matinée de fin de printemps.
Je roule léger, j’emporte quand même avec moi une petite serviette de bain pour une baignade salutaire au cas où. J’arrive au confluent de la Loire et d’une plus petite rivière, je passe le pont et m’installe à l’ombre sur une des tables de pique-nique pour boire un café.
Avant de repartir, pris d’une envie pressante je me décale sous les frondaisons, en plein ouvrage un homme approche, se touche au travers du pantalon et me propose une gâterie.

Je décline poliment Son offre, lui disant être intéressé par les femmes et couples exhibitionnistes, nous engageons la conversation et il me parle d’un coin en bords de Loire ou je peux éventuellement trouver ce que je recherche. Nous retournons à la table de pique-nique, j’étale la carte et il me désigne précisément le lieu.

Je me verse de nouveau un petit fond de café et lui en propose un qu’il accepte, Nous passons un demie-heure à discuter de nos orientations respectives et il m’indique pléthore d’endroits propices dans mes gouts sur la région.

Un petit signe de main échangé, je reprends ma route, Enfin j’arrive au lieu recherché, je passe au ras du fleuve tout en poussant ma monture et en scrutant les petits espaces sableux entre les arbustes.

Pas mal d’hommes seuls ou à deux, deux couples quand même. Je décide de jeter mon dévolu non loin de celui qui prends des photos de Mme, elle pose partiellement drapée d’un paréo très transparent…



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La petite plage en bord de Loire suite et fin.


…Je m’installe sur leur gauche et les salue d’un bonjour, ils me répondent poliment. En fait Mme porte sous son paréo un mini string, mais la poitrine dénudée.

Mme prend la pose en bord de lisière des arbustes, monsieur mitraille, lui intime de prendre telle position etc.etc.
Après chaque photo, il regarde l’effet sur son petit numérique. Plus opiniâtre qu’efficace la séance
continue.


Mr lui demande d’ôter son string, un regard gêné dans ma direction, elle s’exécute.
Les poses deviennent de plus en plus torrides, je les regarde du coin de l’œil. Ils cherchent mon regard plus souvent.

J’acquiesce en levant le pouce quand les poses sont vraiment plus osées.
Mr vient me voir et me demande si je veux bien faire office de photographe, évidement j’accepte !


Je prends doucement la main sur la séance en leur demandant ce qu’ils désirent et ensuite je leur soumets des propositions de pose.
Cette séance devient de plus en plus salace, Mr bande dur et Mme scintille de mouille dans les rayons du soleil.

Pour ma part, concentré sur mon ouvrage, je bande mou, une demi-molle !!! (On ne peut être au four et au moulin en même temps).

Au bout de 30 minutes fin de la bataille, faute de munition !!! La carte mémoire est pleine, Mr me propose de les rejoindre pour discuter.


Il caresse Mme, Je bande bien dur, il me demande de la sucer, je m’exécute (ce que je ne fais plus directement depuis plus d’une bonne dizaine d’années).
Son sexe à bon gout, tout ce que j’apprécie, je la fais jouir plusieurs fois avec des poses.

Mr se caresse en même temps, elle désire me voir gicler, le lui propose sur les seins elle décline et m’indique le bas de serviette de plage.
Je m’exécute en contemplant son sexe bien ouvert.

Je jute en longues saccades blanches. Je reste avec eux une petit heure à discuter, ils prennent congés et ne souhaite pas que l’on se revoie une autre fois.

Belle aventure

Merci à vous !

Super récit

Super

Merci pour les petits commentaires, cela va me motiver à vous en raconter d'autres.

Quand je me replonge dans mes souvenirs, d'autres me reviennent en mémoire.

Je vous remercie c'est encourageant.


Je tiens à repréciser que parfois il ne se passe rien sur la plage ou ailleurs, il suffit d’être patient, observateur d’être discret et poli.

Et là, ça peut fonctionner.

NB: Je profite de ce post pour donner une indication sur nos profils.Quand vous modifiez votre présentation,parfois l'age automatique

indiqueras 99 ans et que vous venez de Nioué !!! .

La petite plage au bord de la Loire - histoire n°2 :

Je suis souvent allé à cet endroit, farniente et détente baignade en fin d’après-midi après le travail.

A l’époque il n’y avait pas grand monde, un coin de paradis presque confidentiel.


Nous sommes environ 3 semaines après ma première rencontre avec ce gentil couple. Je m’en souviens bien.

Nous sommes vendredi, profitant d’une RTT, je prends une glacière et un encas en guise de repas de midi.

Comme je connais bien les lieux, je me faufile par le petit chemin d’accès tortueux en évitant les profonds nids de poules et abrite ma voiture partiellement dans une zone ombragée.

Je remonte coté amont du cours d’eau, l’accès est plus compliqué avec les ronces, orties et branches enchevêtrées.

Mais on y trouve de jolies « alcôves » naturelles, de plus on a moins de chance de rencontrer un « Jean-Claude de base » casseur de plans !

Tout à ma croisière, je croise deux couples de gars que je salue d’un bonjour et continue mon chemin.



Là je tombe dans une fameuse de ces petites alcôves sur un couple semi allongé en appui sur les avant-bras.

Je les salue, ils me rendent la politesse, Mme branle paresseusement Mr. et n’interrompt pas son ouvrage pendant note petit échange verbal.

(C’est de bon augure !)


Je m’installe donc à une quinzaine de mètres en contrebas pour que les vues soient concomitantes pour chacune des parties.

Je regarde bien sur ce qui se passe plus haut de temps en temps, Mme toujours active mais calmement.

Je bande, Mme commence à sucer Mr. Je vais me rafraichir et l’air de rien je remonte dans leur axe de vision, toujours en érection.
Mme à changé de position et m’offre la vue de sa croupe partiellement écartée, c’est divin !

Je reprends mon poste d’observation, je me caresse en décalottant lentement, j’adapte ma position afin de leur offrir aussi une belle vue.

Une trentaine de minutes se passe, Mr me fais signe d’approcher. Mme est sur le dos maintenant Mr à sa droite, à genoux, elle le branle.

D’un signe de main, il m’invite à prendre la même position que lui à gauche. Mme s’empare aussitôt de mon sexe et commence une lente branle en me malaxant les bourses…






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belle aventure

La petite plage au bord de la Loire - histoire n°2 suite et fin.

…Donc nous voila tous les deux entre de de bonnes mains, Mme est une experte, elle utilise de temps
en temps de sa salive pour que le mouvement soit des plus voluptueux pour décalotter et recalotter.

Au bout d’un moment Mr m’invite à lui caresser le sexe et la doigter. Seule restriction ne pas toucher à son petit trou, il se charge de ce domaine réservé.

Mme mouille beaucoup, J’ai la surprise de sentir avec mes doigts un clitoris de bonne facture, agrémenté d’un capuchon de même acabit !!!

(J’en ai déjà vu un aussi gros par le passé, je fréquentais à l’époque une fille qui pratiquait l’équitation à haut niveau, elle était fine mais très musclée de partout, je pense qu’elle devait prendre des produits dopants. Mais c’est une autre histoire).

Bien, je me sers donc « ce capuchon prépuce » pour branler la belle qui ne tarde pas à jouir bruyamment, elle me supplie de continuer et viens une seconde fois.
Les mouvements de Mme sont désordonnés, nos queues sont à rude épreuve !!!

Elle nous enclins à jouir sur ses seins, Mr décharge généreusement et moi aussi.



Le calme revenu nous papotons dans la Loire pour nous rincer. Je les remercie pour ce chaleureux moment passé en leur compagnie, je ne les recroiserais pas pour une autre partie !!!



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Jolie finale

Une autre petite plage en bord de Loire.


Cette « plage » a la particularité d’être une ile en fait. Au début de la belle saison il faut passer à gué
un petit bras secondaire. Suivant les caprices du fleuve à la fin du printemps, vous pouvez avoir de
l’eau jusqu’au nombril.

Surtout des hommes fréquentent cette plage, on y rencontre aussi quelques couples parfois. Donc

me voila un vendredi en tout début d’après-midi apprêté à passer le gué, je me reprends en plusieurs
fois pour sonder et trouver le passage idoine.

J’ai gardé un short par convenance de manière à ne pas choquer les « textiles » qui passent en vélo sur la levée.
Je passe avec de l’eau au nombril, je reviens sur mes pas et je marque le gué d’une branche (il faut savoir penser aux autres parfois). Je réitère l’opération arrivé de l’autre côté.


Je retraverse le gué et me dirige sur le coté sud de l’ile, j’aperçois un couple, comme d’habitude je m’installer ni trop prêt ni trop loin.


Le milieu d’après midi se passe entre baignade farniente et matage. Mme me montre ses trésors mais discrètement.
Mr la caresse nonchalamment, elle joui une fois ou deux. Je bande et me caresse aussi tranquillement. Ils prennent congé, je les remercie pour ce moment passé à leurs coté.

Je reste à profiter du soleil et de la douceur de l’eau une bonne heure.

En fin de journée je décide de rentrer, arrivé au gué je constate que mes deux marquages on disparus !!!

En face un couple, distant d’une douzaine de mètre est indécis quant à choisir le chemin le plus propice pour traverser.

Je les hèle que je vais les aider à traverser, une fois de l’autre côté nous papotons, je leur indique une petite alcôve un peu en retrait.

Mr : Dommage que vous partiez, vous nous êtes sympathique.

Je décide de passer un moment en leur compagnie. J’étends ma serviette juste en contrebas de la leur.

Le schéma classique se déroule Mr caresse Mme qui elle ne perds pas une miette de mes mouvements de branle sur mon membre, sa vulve scintille bien mouillée au soleil. J’adore !!!

Mr prend Mme en missionnaire jambes relevées, je ne perds pas une miette, là elle m’indique de la caresser et de la pénétrer de mes doigts. Le choix et vite fait, il me reste son petit trou bien boursouflé que je travaille doucement tout en astiquant son clitoris.


Elle ne tarde pas à jouir puissamment, Mr aussi je sens leurs contractions par l’étroit boyau évasé de Mme.
N’en pouvant plus d’excitation je me caresse énergiquement, elle me demande de « juter » devant -elle.

Je libère la tension de mes bourses bien dure et « jute » en longues saccades blanches.
Nous discutons quelques peu et rejoignons ensemble nos voitures.





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La grande plage face à l’océan.

Cette histoire se déroule pendant l’été, en Finistère. Cet endroit est grandiose par beau temps, La plage à perte de vue de gauche et de droite.

Je l’ai souvent fréquenté pour les sports nautiques par le passé, surf, bodyboard, planche à voile sur roue et pour les « coquineries » aussi.


Un après-midi je viens sans idée précise en tête, je pose ma serviette juste en bas de la dune, pas mal

de couples et des femmes seules aussi. L’immensité du lieu ne permet pas de se rapprocher trop près

de ses voisins sans que cela ne devienne trop louche !!! La règle non écrite ici et de ne pas importuner les gens sur la plage !



Je précise que les sentiers et recoins dans la dune sont prisés pour les coquineries de tout acabit mais

on y trouve une majorité d’hommes et surtout de voyeurs habillés qui parcourent inlassablement

l’espace dunaire en quête d’un petit plaisir visuel.


Bref, tout à ma contemplation du jeu incessants des vagues qui déferlent en écume mousseuse blanche

et scintillante, je savoure le plaisir simple du moment avec le soleil qui chauffe sans trop et la légère

brise qui rafraîchit en sifflant légèrement sur les oyats.


Je remarque de suite se couple qui descend la plage probablement pour se baigner, ils s’arrêtent à côté d’un reste de blockhaus distant d’une bonne

centaine de mètre de la plage.

Coup d’œil circulaire de Mr, la main posée sur la cuisse de Mme qui écarte les jambes. Ce genre de

signal semble des plus limpide à mon sens.

Je descends aussi à mon tour vers l’océan passe non loin de leur « banc de circonstance » et les salue

d’un bonjour, ils me répondent et nous engageons une petite conversation.

Pendant cet échange, Mme commence ostensiblement à écarter les jambes.

.
J’ai la vision d’une vulve généreuse et bronzée qui dévoile en partie un joli coquillage nacré brillant avec des tons rosés clairs.

Je commence à bander mon prépuce se rétracte et mon gland darde la tête au soleil, je m’en excuse, ils me répondent que tout cela est bien naturel …






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Merci pour la partage de vos aventures très excitantes…

Un régal, merci pour le partage

La grande plage face à l’océan, suite et fin.


…Nous continuons à discuter, je m’assieds sur le sable dur jambes écartées, je suis à peine à un mètre d’eux.


Mme me dévoile franchement ses trésors, elle mouille, je bande bien dur. Elle se touche moi je me caresse aussi.



La discussion continue, nous échangeons sur les différentes plages naturistes de la région que nous Fréquentons,


ils m’avouent parfois coquiner dans les dunes et qu’ils sont échangistes. Je leurs rétorque que malheureusement je ne peux pas en dire autant !!!




Ce n’est pas un problème me souffle Mr, Mme s’active de plus belle sur son coquillage, la nacre délicate d’un ton bien plus rosé et clair que son bronzage

s’offre à mon regard.



Le soleil qui illumine la scène me permet de voir l’entrée de sa grotte entrouverte de désir et bien humide, coiffée en haut par son méat et plus haut dominé

par un clitoris de bonne facture. Ses petites lèvres sont aussi bien généreuses.



Je crois me souvenir de lui proposer de me voir jouir, ce qu’elle accepte avec plaisir.

La situation est presque irréelle, d’une indécence jouissive. Malgré que nous sommes à découvert, la distance depuis la plage ne permet pas de voir le détail

de nos activités. ( à part d’être équipé d’un bonne paire de jumelles !!!)


J’attends que la belle commence à jouir pour moi aussi décharger à grands traits sur le sable.

Je crois que c’est Mr qui propose un petit rafraichissement dans l’océan, nous descendons la plage, je la complimente sur sa poitrine, elle me propose de la

toucher.



Un mélange de soyeux et de fermeté avec de jolis tétons bien développés que je caresse à plaisir.

Arrivé dans l’eau, Mme fléchi les jambes et pisse à grand jets, c’est tout simplement fabuleux. Je ne me baigne, pas


eux, nous remontons en direction du bas de la dune.


Ils doivent prendre congé, nous échangeons nos numéros de portable.2à 3 jours plus tard je reçois un message de Mr,

Bien occupé à ce moment-là, je réponds mais trop succinctement, dommage j’en prends conscience bien plus tard.

Ensuite je n’ai pas osé les recontacter.

Si d’aventure le Capitaine Tonnerre lit ce message, suivant son bon vouloir il peut reprendre contact.








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