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Histoire d'hOtel

Envoyé par yoxxxx22 
Histoire d'hOtel
Saturday 23 July 2016 19:03

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Se déplacer continuellement pour le travail c'est souvent ennuyeux. Mais il arrive parfois... Laissez-moi vous raconter.

J'attendais tranquillement que le comptoir de l'hôtel se libère pour me faire enregistrer. Juste à côté de moi, une femme, la soixantaine, visiblement pressée de récupérer ses clés. Elle me plait bien avec sa robe simple et classique. De jolis escarpins pointus, de beaux mollets, des hanches un peu fortes mais une taille bien marquée et une paire de seins imposante (un bon bonnet D à mon avis) viennent complétés se joli tableau.

Le guichet se libère et j'esquisse un pas. Elle aussi. Nous nous retrouvons un peu bête.
"Excusez-moi" me dit-elle, "vous étiez peut-être là avant moi ?"
C'était bien le cas mais j'ai tout mon temps.
"Je ne sais pas. Mais allez-y, de toute façon il devrait bien me rester une chambre de libre"
"Je suppose oui" me répond-elle avec un joli sourire.
"Et puis si jamais vous prenez la dernière..." Je m'interromps. Un peu trop osé de lui dire "vous la partagerez bien".

Elle fait mine de n'avoir rien entendu et se présente donc à la réception. Je reste en retrait et dois avouer que je ne regrette pas de l'avoir laissée passer devant. J'en profite en effet pour la mater de haut en bas en fantasmant sur ses trésors. Ses cheveux sont courts. Son cou appétissant. Mon regard descend le long de ses bras nus. Grrr, quelles fesses. Larges mais apparemment fermes si j'en crois les reliefs qu'elles dessinent au travers de sa robe. Je m'imaginerais bien à lai retrousser lentement en lui caressant les cuisses et découvrir le style de culotte qu'elle porte. Je parie sur un tanga.

Deux minutes sont passées. Elle prend les clés de sa chambre et se dirige vers les ascenseurs. La valise qu'elle traine est énorme.

Je termine les formalités d'enregistrement et je me dirige vers la cage d'escalier. Surprise : La belle est toujours là en train d'attendre qu'un ascenseur vienne au rez-de-chaussée.

"Ils ne sont pas rapides on dirait."
"On ne peut pas dire effectivement."

J'ai l'habitue de toujours pendre les escaliers pour ma part. Mais ce soir, je n'ai pas très envie. Me retrouver en tête à tête avec cette femme dans l'ascenseur me semble être une bien meilleure idée. A peine 30 secondes que je suis là que la porte s'ouvre et nous invite à monter. Je la laisse entrer en premier. Avec sa grande valise, il ne reste plus beaucoup de place pour bouger. Et nous voilà en train de monter. Elle va au 3ème étage tout comme moi.

Nous sommes arrivés. Je sors dans le couloir. Elle est un peu coincée, essayant de pousser son imposant bagage.

"Laissez-moi vous aider."

Je lui prends des mains la poignée de la valise et la tire vers moi.

"Je vous livre ça à quelle chambre ?" dis-je en riant.
"351 s'il vous plait jeune homme." me réponds-elle sur le même ton.
"Je vous suis."

Elle me sourit et passe devant moi. Je me régale à regarder se jambes (c'est ce que je préfère chez les femmes en général). Elles sont bronzées. Elle doit revenir de vacances. Je suis heureux de constater que sa chambre se trouve tout au fond du couloir, cela me donne plus de temps pour mater son joli cul.
Nous arrivons devant la porte de sa chambre.

"Voilà Madame."
"Merci. Je vous dois quelque chose ?" me demande-t-elle en souriant.
"Rien du tout. Ce fut un plaisir que de vous aider. Et puis de toutes façons, je devais venir jusqu'ici, je suis dans la 352, juste en face."
"Merci beaucoup en tout cas. Ca n'est pas tous les jours qu'on trouve des gens serviables."
"Je vous en prie. Ca me parait naturel. Et puis au moins, j'aurais fait quelque chose qui sort un peu de la routine des soirées solitaires à l'hôtel."
"C'est vrai que se retrouver seul les soirs lorsque cela se répète souvent, ça n'est pas très drôle."

Elle est donc seule et n'attend personne. Pourquoi ne pas l'inviter au restaurant ?

"Si vous êtes toute seule vous aussi, que diriez-vous de manger avec un pauvre homme solitaire ?"
"Pourquoi pas oui."
"Il est 19h20. 20h00, ça vous irait ?"
"Parfaitement. Ca me laissera le temps de me rafraichir."
"Je viens frapper à votre porte alors. 20h00 pétantes !"

Me voilà seul dans ma chambre. Je déballe mes affaires. Je vais prendre une petite douche et me changer. En me lavant, je fantasme sur ma voisine. Je l'imagine en train de se savonner. Comme j'aimerais le faire moi-même. Lui caresser le ventre, remonter sur ses seins, frotter mon corps contre le sien.
Tout en imaginant cette scène, je me savonne sensuellement. Ma queue est gonflée et raide. Je la prends en main et l'astique lentement. Cette coquine aime-t-elle sucer ? Comment gémirait-elle si je la doigtais ? Je l'imagine à genoux en train de me faire une belle cravate de notaire entre ses seins. Je la prends par terre. Elle s'empale sur mon sexe. Et si... oh oui, et si elle aimait se faire enculer ? Je lui tiendrais les hanches pendant que ma verge tendue va et vient entre ses fesses généreuses.
Cette image provoque ma jouissance. Je me branle en pensant à elle. L'eau chaude qui coule sur mon corps. Mon sperme qui gicle. Je suis bien.

20h00. Je frappe à sa porte. Celle-ci s'ouvre. La coquine est en peignoir.
"Désolée, j'ai pris un peu de retard. J'ai pris ma douche mais n'ai pas eu le temps de m'habiller."
"Je reviens dans un quart d'heure si vous voulez."
"Oh non !"
Quelle surprise. Que veut dire ce "Oh non" ?
"Comment ça ? Vous ne voulez plus que l'on dîne ensemble ?"
"Non, pas du tout. C'est pas ça." Elle bredouille.

Que veut-elle alors ?
Elle me regarde bizarrement. Je ne la sens pas si embêtée en fait. Le peignoir est court et me permet d'admirer ses cuisses. J'aime beaucoup ce que je vois. Presque naturellement, je pénètre dans sa chambre. Elle referme la porte derrière moi. Je me retourne. Elle a de très jolis yeux. Et ses seins lourds sont parfaitement mis en valeur. Je m'approche d'elle, lui caresse le visage.

"Je dois vous avouer une chose." lui dis-je. "Moi aussi j'ai pris une douche. Et j'ai beaucoup pensé à vous en me savonnant. Vraiment beaucoup."
Elle me sourit.
"Vraiment ? J'espère que vous avez pensé à moi en bien au mois."
"Oh que oui. Cela m'a procuré un très grand plaisir."
"J'en suis très heureuse alors. Vous pensez que vous allez continuer à penser à moi à présent ?"
"Je ne le pense pas non. J'en suis certain."

Et là, sans ménagement, je la retourne face au mur et me colle à son dos en la serrant fort contre moi. Je l'embrasse dans le cou. Je lui mordille le lob de l'oreille.
"J'ai même joui en pensant à vous."
Ma main gauche s'est emparée de son sein droit. Je le caresse, je le pétris, je joue avec son téton. J'ai glissé mon autre main sous le peignoir juste en dessous de la ceinture. Son pubis est lisse. La coquine s'épile totalement. Je dévore ses épaules. Elle frotte ses fesses contre mon sexe. Il est dur.
La voilà qui conduit mes doigts entre ses cuisses. Sa fente est trempée. Elle appuie fort. Mon index et mon majeur glissent dans son antre. Je la fouille frénétiquement. Elle gémit. Après quelques instants, je décide de prendre le contrôle.

Je prends sa main et la pose contre le mur, juste à côté du miroir mural. Au tour de l'autre main de se poser de l'autre côté.

"Ouvrez les yeux. Regardez moi dans la glace."

La voilà face à son image. Son peignoir est largement ouvert et laisse échapper un sein.

"Je vous interdit de fermer vos yeux à présent."

Elle me jette un regard excité. Elle aime visiblement la tournure que prennent les évènements.
Je me remets à la fouiller avec frénésie. Sa respiration se fait de plus en plus forte. Sa bouche s'ouvre largement à la recherche de l'oxygène que son excitation réclame.
Quel joli visage. Et ses yeux qui ne quittent plus les miens.

Je ne peux plus attendre. Je veux la prendre. J'arrête soudainement de la caresser pour lui agripper les hanches. Lentement je la tire vers moi. Ses mains glissent le long du mur. Nos regards ne se lâchent pas. La voilà en belle position, les jambes écartées, le cul bien offert.
Je prends mon temps pour enlever mon pantalon et mon boxer. Je relève ensuite son peignoir pour dévoiler son superbe fessier. Comme il est beau et appétissant.

"Regardez-moi bien. Je veux voir dans vos yeux ce que vous allez ressentir quand je vais m'enfoncer en vous."

De ma main droite, je serre ma queue bien fort et la dirige vers la chatte offerte de ma coquine. Mon gland va et vient le long de cette fente trempée. Je fais languir la coquine. L'expression de son visage ne laisse planer aucun doute. Elle n'attend qu'une chose : que mon pieu s'enfonce en elle.

Je la pénètre enfin. Lentement. Doucement. Chaque centimètre qui entre est un moment de pur bonheur. Me voilà enfoncé jusqu'à la garde. Je la tiens fermement pas les hanches. Puis je me retire. Puis je rentre à nouveau. Son écrin est délicieux. Je vais et viens de plus en plus vite, de plus en plus vivement. Mon corps claque sur ses fesses. L'érotisme fait place à de la bestialité. Je la baise à fond.


Ces mains restent collées au mur pendant que je l'empale. Ses seins se balancent dans tous les sens. Elle gémit. Ses yeux se plissent de plaisir.

"Non, regardez-moi ! Je veux vous voir jouir."

Et la voilà qui vient. Les "Oh oui" succèdent aux "Encore". Ses yeux pétillent de plaisir. Je suis heureux et si excité. A mon tour d'atteindre les sommets. Quelques saillies violentes et je ne peux plus me retenir. Je m'enfonce à fond et commence à me vider. C'est extraordinaire.

"Regardez-moi !"

C'est elle qui m'interpelle. Je jouis si intensément que j'en fermais les yeux.

"Désolé." Lui dis-je en déversant mes dernières giclées de plaisir.
Je n'en peux plus. Mon sexe s'amollit. Je suis en nage. Oui, elle a bien raison. Je ne dois pas la quitter du regard. Ces yeux sont si jolis. Et son sourire tellement coquin. Elle est magnifique. Et, ce soir, elle est à moi.
Re: Histoire d'hOtel
Sunday 24 July 2016 01:17

ParisVoyeur
Homme, 35 ans, France, Île-de-France
Belle rencontre et beau récit ...
Re: Histoire d'hOtel
Saturday 30 July 2016 07:01

pjmimi
Couple, 51 ans, France
superbe récit, la description de la dame est hyper réalisteTranspirer, merci beaucoup.
Re: Histoire d'hOtel
Monday 1 August 2016 12:42

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Après notre saillie sauvage, place à la douceur. Nous voilà allongés sur le lit, nus tous les deux. Je suis collé tout contre le dos de la Belle, mon corps imbriqué dans le sien. J’aime cette position. Je goûte sa peau. Bisous dans le cou, sur ses épaules. Caresses légères et langoureuses. Je parcours ses cuisses, son ventre, ses seins. Je m’amuse à glisser mes doigts sur sa bouche. Elle me les lèche, les aspire délicatement. J’imagine ma queue à la place. Sans doute elle aussi…

Nous passons de longues minutes ainsi, lovés l’un contre l’autre. Mon excitation est en train de revenir. Je me frotte à elle, joue avec ses tétons, frôle son pubis, la mordille tout en lui murmurant mes pensées lubriques.

Je lui décris mon début d’érection à regarder ses fesses lorsqu’elle était devant moi à la réception de l’hôtel, mon envie de glisser ma main entre ses cuisses dans l’ascenseur jusqu’à découvrir sa belle chatte mouillée. Je lui détaille mon état d’excitation lorsque je suis entré dans ma chambre en sachant que j’allais la revoir très vite. Et bien sûr, la manière dont je me suis astiqué sous la douche en pensant à elle. Ma main qui glissait de haut en bas. Mon gland gonflé. Les veines de mon dard gorgées de sang. Mon envie de gicler sur elle, d’étaler mon sperme chaud sur son corps.

Mon envie de sexe se fait plus forte. Ma raideur revient peu à peu. Elle se développe juste entre ses fesses. Quel endroit merveilleux pour se masser la bite. Je vais et viens, ondulant du bassin. Mon pieu atteint rapidement sa dureté optimale. Je ne me lasse pas de me branler. Ma coquine, quant à elle, a d’autres envies.

« Prends-moi s’il te plaît. Je veux te sentir en moi. Tu me rends folle. Viens. »

Mais je suis un coquin. Imperturbable, je continue à glisser entre ses fesses tout en malaxant sans retenue ses généreuses mamelles. Et puis je continue à lui parler.

« Madame est bien pressée. Et puis moi, je suis particulièrement bien là où je suis, pourquoi m’en irais-je ? »

« Espèce de salop. Tu n’as pas le droit ! » Sa voix ne laisse pas de place au doute. Malgré son envie de se faire empaler, elle aime ce jeu où je me fais désirer. « Allez, viens. Je veux sentir ta queue s’enfoncer en moi. Elle va être bien, tu verras. Je n’en peux plus. S’il te plaît… J’ai tellement envie de sentir. Prends-moi. Devant. Derrière. Comme tu veux. Mais prends-moi ! »

Je ne m’attendais pas à de telles paroles de sa part. Elle est effectivement plus qu’excitée. Et moi, d’entendre cela… Il est vrai que j’ai un gros faible pour ce genre de pratique. Enfoncer mon membre dans un petit anus serré. Le dilater. Sentir mon dard coulisser dans cet endroit particulièrement étroit. C’est un plaisir immense.

Mais en même temps, j’ai envie d’autre chose. J’ai envie que les choses durent. J’ai envie de regarder son visage pendant que je la prends. J’ai envie de lui faire l’amour et pas seulement de la baiser. Alors sans précipitation, je la retourne sur le dos, grimpe sur elle, me cale entre ses cuisses, l’embrasse à pleine bouche, goûte sa langue. Je lui plaque les mains de chaque côté de sa tête. Nos doigts s‘entremêlent. Un mouvement de bassin vers le bas puis je remonte. Ma queue n’a même pas besoin d’être accompagnée pour trouver toute seule l’entrée de ce sexe trempé qui n’attendais que ça.

Le regard que me lance la Belle au moment où je m’enfonce en elle est fantastique. Une véritable délivrance pour elle après cette attente que je lui ai faite subir. J’aime voir son visage si expressif grimacer de plaisir à chaque mouvement de va et vient. Je la prends très lentement. Des mouvements amples pour qu’elle profite de chaque centimètre de mon sexe gonflé.

Elle se cambre au maximum pour que je la pénètre au plus profond. Je décroche mes mains des siennes pour m’emparer de ses cuisses. Je les soulève tout en continuant à la pilonner. Elle se retrouve bientôt les jambes tendues de chaque côté de ma tête. Je lui tiens les chevilles. Ses fesses sont totalement décollées du matelas. Moi aussi j’ai envie de m’enfoncer aussi loin que je le peux.

Nos regards ne se quittent pas. Nous transpirons à grosses gouttes. Je ne varie pas le rythme de mes pénétrations. J’adore prendre tout mon temps, savourer les sensations intenses que me procure ce lentes descentes dans son antre torride et mouillé. Nous ne nous disons plus un mot.

Nos doigts se sont de nouveaux emmêlés. Elle les serrent de plus en plus fort. Ses yeux noisettes pétillent de plaisir. Sa bouche cherche de plus en plus d’oxygène. Elle se mordille les lèvres puis ouvre à nouveau se lèvres pour aspirer de grandes bouffées d’air frais.

« Ouiiiiii. Je jouiiiiiis. C’est tellement… »

Elle est si belle. Je suis si heureux encore une fois. Son sexe coule, littéralement. Mon dard plonge encore et encore. Et je la rejoins dans sa jouissance. Mon foutre se mélange à sa cyprine. Ma queue baigne dans ce jus de plaisir. Encore quelques allers et retours puis je me laisse retomber sur le corps de ma maîtresse. Je lui caresse le visage, l’embrasse avec tendresse. Des gouttes de sueur perlent au bout de mon nez et tombent sur ses pommettes.

« Je crois qu’une bonne petite douche ne serait pas superflue. »

C’est très sagement que nous nous sommes mutuellement savonnés. Quel délicieux moment nous avons passés sous cette douche à nous caresser sensuellement, puis, une fois nettoyés, dans les moindres recoins à nous essuyer délicatement.
Re: Histoire d'hOtel
Monday 1 August 2016 14:39

pjmimi
Couple, 51 ans, France
Quel talent. Vraiment super bien écrit. Merci encore une fois pour le partage. Et pour votre gentil message.
Re: Histoire d'hOtel
Thursday 4 August 2016 12:26

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Retour dans le lit. Encore une fois, je m’imbrique dans son dos. Je la serre tout contre moi. Mon sexe est tout mou. Je suis fatigué. Moins de cinq minutes et je dors déjà.



Je me réveille. Je suis sur le dos. La lumière est restée allumée. Ma coquine a glissé en bas du lit, sa tête à hauteur de mon sexe. Elle embrasse mes cuisses, mon pubis, ma queue. Je regarde l’heure. Il est trois heures dix du matin.

« Excuse-moi .» Elle soulève sa tête et me regarde. « Je t’ai peut être réveillé. »

Je suis encore dans le coaltar. Quel appétit me dis-je.

« Ne vous inquiétez pas. Il y a de pires façons d’être réveillé. »

Elle me sourit, ouvre sa bouche, gobe mon sexe mollasson puis se met à l’aspirer tout en gardant ses yeux fixés sur mon visage. J’apprécie particulièrement ce regard coquin. Après avoir fait l’amour à une femme désirable et sensuelle, je me retrouve à présent dans le lit d’une cochonne lubrique. Le sexe apporte une telle diversité de plaisirs…

Mon excitation revient doucement. Sa langue experte s’enroule autour de ma queue, puis va se promener sur mes bourses. Une après l’autre, elle avale mes couilles, les soulève, les lèche, puis revient sur mon membre qui commence à gonfler. Après deux éjaculations, le retour de cette raideur me fait un peu mal. Il est moins sensible au plaisir d’une fellation, même aussi particulièrement bien exécutée.

Je ressens par contre plus délice lorsqu’elle s’occupe de mes boules. Ma main posée sur son crâne, je la pousse vers le bas, histoire de la mener là où elle me fait le plus de bien. Elle est très obéissante et semble comprendre que pour l’instant, elle doit délaisser un peu mon sexe. Cela ne semble d’ailleurs pas la chagriner beaucoup. Elle se délecte de mes bourses. Elle les gâte. J’adore.

Elle les soulève pour en lécher la base. Je soulève mes fesses, me cambre. Sa langue glisse jusqu’à mon anus puis revient sur mes boules. Elle recommence encore et encore. Sensations délicieuses. J’ai envie qu’elle me lèche le cul.

Je me retourne et me mets dans une position qui n’offre aucune équivoque. La tête plongée sur l’oreiller, les fesses bien en l’air. A part de lui dire « Lèche-moi le cul salope ! » je ne pense pas qu’il n’y ait de meilleur moyen de lui faire comprendre ce que je veux.

Comme c’est bon de sentir sa langue tourner autour de ma petite rondelle. Elle m’a écarté les fesses et y a plongé son visage. Elle s’amuse à me lécher de haut en bas, de bas en haut, gobant mes boules, parcourant ma raie, enfonçant le bout de sa langue dans mon petit trou lisse. Et elle me branle de sa main droite. Je suis de nouveau en érection et ne ressens plus aucune douleur. Je suis de nouveau au paradis.

Et mon imagination n’est pas en reste. Je rêve que ma cochonne ait entre ses jambes une belle queue toute dure. Oh oui. Dans ce moment d’excitation, je voudrais sentir un gros gland se poser sur ma rondelle. Je voudrais qu’il s’insère doucement jusqu’à ouvrir le passage. Pour finalement laisser la place à un pieu bien raide qui me régalerait le cul.

Cette idée me donne des envies. Et puisque ma coquine n’a pas l’outil qu’il me faut, on pourrait inverser les rôles. J’ai trop envie de sexe anal. Et comme elle me l’a déjà proposé…

« Je crois que je vais finalement vous obéir chère Madame. »

Tout en lui parlant, je me dégage de son emprise et m’empare de son corps sans ménagement. Je lui fais prendre la position qui était la mienne jusque-là.

« Oui, je vais me permettre de vous enculer.»

Me voilà à mon tour, la bouche entre ses fesses, à lui dévorer l’anus. Ma salive lubrifie sa rondelle. J’insère alternativement chacun de mes pouces jusqu’à la première phalange, histoire de la dilater. Quelques crachats supplémentaires et ils rentrent tous les deux ensemble. Je les écarte progressivement. Son trou s’assouplit. Bientôt je peux y enfoncer ma langue et lui lécher l’intérieur de son rectum. Elle est prête.

Je me mets debout, les jambes écartées. Je surplombe ses fesses généreuses. Je lui écarte la gauche avec une main pendant que mon autre main conduit fermement ma queue raide vers son orifice refermé. Lentement, je plie les genoux et descends. Mon gland enduit de salive bien positionné à l’entrée, je force légèrement. Je fais très attention à ne pas lui faire de mal. Seul le bout de mon sexe dépasse de ma main. Je ne dois pas le planter en entier. Pas tout de suite...

Je pousse, me retire, pousse à nouveau. Son petit trou commence à se dilater. Ca y est mon gland est entré. Je le bouge dans tous les sens. Je tourne, je vire, l’enlève, le remet. Il s’enfonce tout seul à présent. Au fur et à mesure, je recule ma main pour gagner quelques centimètres. Les doigts de ma coquine se sont enroulés dans les draps. Je vois son visage de profil. Elle mord l’oreiller. Elle aime ce que je lui fais.

Je suis enfoncé jusqu’à la garde. Quelle vision merveilleuse que ma queue disparaissant totalement dans ce trou interdit. Je me mets à aller et venir. Son cul est souple mais si serré. Les sensations sont extraordinaires. Je m’y plonge de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle est loin cette femme que j’ai aimée tout à l’heure. Elle n’est plus qu’un objet de plaisir sexuel, de délire, de défoulement. Je la baise. Je l’encule. Et elle aime ça…

Après un long moment de frénésie, je fatigue. Je me retire. Elle se détend. Je la bascule sur le dos sans ménagement. Elle me regarde. Son visage me montre un mélange de plaisir et de soulagement.

« J’ai vraiment bien aimé vous prendre par tous les trous. »

« Comment ça par tous les trous ? Non, tu ne pas baisée par tous les trous ! »

Quel sourire ravageur. Elle m’allume encore.

« Ben si ! »

« Ben non ! Et ma bouche alors ? Elle n’a pas le droit de l’être ? »

La pute ! Si c’est ce qu’elle veut ! Tranquillement, je la regarde. Je la remonte légèrement vers la tête de lit, lui colle un oreiller. Tout cela délicatement. Mais n’allez pas croire que le reste va continuer à l’être chère Madame. Je l’enjambe et m’agenouille à califourchon à hauteur de ses seins. Je plonge alors mon sexe dans sa bouche. Elle ferme ses lèvres et s’empare de la base de mon membre pour le serrer fort. Mes deux mains appuyées contre le mur, je me mets alors à aller et venir. Je regarde vers le bas pour voir ma queue entrer et sortir. Il ne me faut pas longtemps pour libérer ma semence dans sa bouche gourmande. Elle est imperturbable et continue à me sucer, jouant avec sa langue, se délectant de mon foutre. Elle le recrache sur mon gland pour l’aspirer à nouveau. Des filets de sperme tapissent ses lèvres. Elle les aspire.

Elle finit par tout avaler. Ma queue brille. Elle a rarement été aussi bien nettoyée. Cette fois-ci, j'ai vraiment besoin de dormir.
Re: Histoire d'hOtel
Friday 5 August 2016 06:50

Novibesdan
Couple, 65 ans, Belgique, Luxembourg
Superbe
Re: Histoire d'hOtel
Friday 5 August 2016 07:26

dadou89
Homme, 43 ans, France, Bourgogne-Franche-Comté
Merci pour ce récit , réaliste et très excitant...
Re: Histoire d'hOtel
Monday 8 August 2016 13:21

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Que le réveil fut pénible. Cette sonnerie qui se met à tinter à 6h30 du matin. Je voudrais dormir encore. Le peu de sommeil et la débauche de sexe de la nuit. Je n’ai plus 20 ans…

Je suis si bien dans le lit, allongé sur le côté en chien de fusil, enlaçant ma partenaire. Elle ne semble pas plus heureuse que moi de devoir émerger. Alors je me colle tout contre elle, la serre fort, pose mes lèvres sur ses épaules, dans son cou. J’aime le goût de sa peau. La Belle dégage une chaleur si agréable. Je l’étreins plus fort. Une sensation de plénitude m’envahit. Si seulement je pouvais rester ainsi.

« 6h30 ! Il est trop tôt pour se lever. Je veux dormir encore ! »

« Moi non plus je n’ai pas envie, mais on n’a pas le choix. » me répond-elle.

« On devrait toujours l‘avoir. Je suis tellement bien là. Avec une belle petite poupée dans mes bras. Que demander de plus ? »

Tout en parlant, je lui fais des petits bisous tendres et chauds, la mordille, la caresse. Je glisse ma main gauche le long de sa cuisse, remonte sur sa fesse pendant que de l’autre je joue avec ses seins. Je passe de l’un à l’autre, frôlant ses tétons, les malaxant, les faisant rouler entre mon pouce et mon index. Son corps ondule tout contre le mien. Elle me colle encore plus. J’ai toujours envie d’elle. Mon sexe durcir lentement. Il est tellement bien contre son postérieur généreux. Je relève ma tête pour placer ma bouche tout contre son oreille. Et tout en continuant mon câlin, je murmure :

« Comment faites-vous pour me donner tant d’envies. Vous es si belle, si sexy. J’aime la douceur de votre peau. Votre corps me rend dingue. Je ne me rappelle pas avoir passé une si belle nuit. C’était fantastique. Et je vous veux encore. J’aime vos seins. J’aime votre ventre. J’aime vos fesses. J’aime vos cuisses. J’aime votre dos. J’aime votre cou.»

Au fur et à mesure de mes paroles, je caresse ou j’embrasse la partie de son corps qui me fait tant vibrer. Lui dire tous ces mots m’excite autant que ça l’excite. J’adore ces moments érotiques. Je me frotte contre ses fesses. Mon érection a atteint son apogée. Comme c’est bon.

« Donnez-moi votre bouche, votre langue. Embrassez-moi. »

Nous nous roulons un patin extraordinaire, à la fois tendre et gourmand. J’adore sentir sa langue dans ma bouche. Je la lèche, l’aspire, la suce. La Belle glisse lentement sur le dos. Et me voilà bientôt sur elle, entre ses cuisses ouvertes. Nous nous regardons. Je remonte. Ma queue glisse toute seule dans son écrin mouillé. C’est bon, c’est chaud, c’est doux. Son visage est magnifique. Ses yeux pétillent. Je vais, je viens. Elle me tient par les hanches et rythme notre étreinte.

Son sexe ruisselle abondamment. Le mien coulisse de toute sa longueur. C’est si bon. Oubliée la coquine de la nuit que j’ai culbutée avec tant de plaisir. Non, je suis entre les jambes d’une femme que j’aime. Que j’aime d’un amour éphémère. Mais que j’aime réellement. Dans cet instant de pur bonheur, elle est la plus belle femme du monde, celle que je voudrais gâter de mille cadeaux, celle que je voudrais serrer dans mes bras éternellement.

C’est en même temps que nous jouissons. Le plaisir est total. Nos regards ne se quittent pas… jusqu’à ce que nos bouches n’en viennent à se rejoindre à nouveau. Oui, je l’aime.



Nous nous sommes douchés ensemble. Derniers moments d’érotisme.

Enfin pas tout à fait. Elle a étalé les vêtements qu’elle va mettre aujourd’hui. Comme hier, un ensemble classique et chic : Un tailleur avec une jupe légèrement fendue sur les côtés. Un chemisier fin. Et enfin un ensemble soutien-gorge et string en dentelle blanche. Elle a attrapé sa culotte. Je l’arrête.

« Vous permettez ? J’ai envie de vous habiller »

Elle me regarde. J’adore son sourire.

« Si tu veux. »

Je prends tout mon temps pour la vêtir, profitant de chaque occasion pour frôler sa peau une dernière fois. Je commence par lui mettre son soutien-gorge. Je m’offre un petit baiser dans son cou lorsque la dernière agrafe est en place. Puis vient le tour du chemisier que je boutonne lentement. Je m’agenouille à ses pieds pour lui enfiler la jupe. Derniers regards sur son sexe, dernières caresses sur ses cuisses. Au tour de sa veste que je laisse ouverte.

Je termine par ses jolis escarpins pointus.

« Et voilà, vous prête à aller travailler ! »

« Vraiment ? Tu n’aurais pas oublié quelque chose ? »

Elle me tend son string en riant.

« Oublié ? Non, absolument pas. Voilà quelque chose qui ne sert à rien. Et vous allez vous en passer aujourd’hui. Alors rangez-moi ça ! »

« Bon, si je n’ai pas le choix. »

Et elle jette sa culotte dans sa valise en me souriant.

« Content ? »

« Parfaitement heureux, oui. »

Je la prends dans mes bras.

« Adieu ma jolie. J’ai vécu un moment d’érotisme fantastique. Merci . »

Un dernier baiser, une dernière caresse sous la jupe et je m’en vais. J’aurais dû lui demander ses coordonnées. Je ne connais même pas son prénom.
Re: Histoire d'hOtel
Friday 19 August 2016 10:10

skynet64
Homme, 38 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Très très belle histoire bravo
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