Ce vendredi 21 Avril , 11h10 , le portable se met à sonner , et j'entends une voix douce : "c'est Véro , du covoiturage , tu te souviens de moi ? " , faudrait être couillon ou frappé d'alzheimer pour répondre non , et elle ajoute , " je viens de passer Paris , j'avais rendez vous avec un client près de chez toi, il vient de décommander la démo , me retaper autant de kms pour le retour s'en est trop , je descends à l'hôtel que j'ai réservé depuis deux jours ,on peut se voir si tu es libre " .
Je lui rétorque que le temps de me rendre à Tataouine , cela va me prendre autant de temps qu'elle lui reste pour s'y rendre également .
11h40 , changé , parfumé de Bleu ....., les femmes adorent , je saute dans ma guimbarde et en route . Sur le trajet , je repensais au voyage à bord du véhicule de Véronique , je ne pouvais pas arrêter la turgescence de mon noeud en revoyant la scène qui s'était déroulé sur les sièges de cuir .
Une heure trente plus tard , je me trouvais sur place , je trouvais un stationnement juste à côté du véhicule de Véro , reconnaissable parmi tous les véhicules aux alentours , tant par sa propreté , tant par son luxe et tant par son immat 87 .
Je rejoignais la dame qui m'attendait dans le hall d'accueil de son hôtel , sourire aux lèvres . "Tu as déjeuné " me lance t'elle , "pas eu le temps "répliquais je ...
"Allons manger dans quelque chose de sympa " me propose t'elle , je connaissais un peu la ville pour y avoir mis les pieds deux ou trois fois , je savais aussi qu'il fallait emprunter les transports en commun , c'est une guigne pour se garer , et pour éviter de se prendre la prune .
Au pied de l'hôtel, se trouvait un arrêt de bus , tramway ...., "c'est comme à Limoges" me fit elle , "les bus sont alimentés par des pantographes , l'inconvénient est que cela génère des parasites dans les casques bluetooth mp3 "
Au centre ville , nous choisissons "un grilladin " , nous prenions place face à face à une des tables , je l'admirais , elle était belle , elle me paraissait jeune par rapport à ses 51 printemps . Elle était vêtue d'un pantalon noir avec le pli des jambes qui tombe juste sur le milieu de ses souliers , un chemisier blanc borduré de dentelle le long des boutonnières , avec à l'intérieur deux merveilleux seins bien galbés .
Nous commencions notre repas , discutions de choses et d'autres , mon regard était figé dans son encolure laissant apparaître le dessus des rondeurs de ses miches .
Notre grill terminé , nous décidâmes de visiter la ville , statues , monuments , fresques ornaient les rues noires de monde , nous nous mêlions à la foule , et déplacions dans le sens du flux des gens . Arrivés sur une super grand'place , une gigantesque fête foraine y trônait, et décidions de la découvrir . Pendant notre promenade, nous marchions côte à côte comme copain copine , devant cette nuée de personnes affairées à admirer les attractions , Véronique me tenait par le bras , sa main droite à mon coude , sa gauche sur mon épaule .
Placés sur le côté d'un stand de confiserie , nous pouvions humer les odeurs de caramel qui brasse les arachides , je me laissais tenter devant cette gourmandise , à peine en mains , j'offrais celle ci à la dame, qui me remercia d'un tendre bisous furtif à "bouquette " . C'était le premier de la journée , je le savourais malgré qu'il fût court .
Toujours agrippé par la belle , nous continuions d'avancer , d'admirer les manèges , les uns à sensations , les autres plutôt cool , des fous rires fusaient ici et là , le temps s'égrenait , l'après midi ensoleillé se terminait pour laisser place à la fraîcheur s'installer . Véronique , s'était blottit contre moi , ayant pris soin de passer mon bras droit autour de son cou .
"Si nous allions manger quelque chose de léger " me fit elle , "avec ses kms parcourus depuis ce matin , la fatigue commence a m'envahir " rajoute t'elle . Je ne pouvais que suivre sa volonté .
Nous quittâmes ce lieu d'amusement pour nous trouver un petit snack bar , assis au fond de ce dernier , la chaleur humaine nous réchauffait , nous étions bien devant notre consommation , elle avait posé sa tête contre la mienne , sa main s'était mise en mouvement à me caresser le bras et le haut de la cuisse , salade et croque monsieur furent servis , nous dégustions ce maigre repas .
Vingt minutes plus tard , nous sautions dans un bus qui nous ramenait devant son hôtel . Durant le trajet , nous étions debout à l'arrière accrochés à une barre verticale , nous nous regardions , elle avançait ses lèvres contre les miennes , un long baiser s'en suivait .
Avant que nous arrivions à notre arrêt , elle me chuchota ceci à l'oreille : " accepterais tu de partager mon lit ? " , je ne pouvais pas répondre que j'étais là pour cela , je restais muet mais accusais un oui et écartant les yeux comme stupéfait !!!!
Elle déclencha un sourire magistral , un second baiser s'en suiva . Nous étions arrivés à destination .
Elle me prit la main , nous traversions la route , entrâmes dans le hall de l'hôtel , pour s'engouffrer dans l'ascenseur . les portes se fermèrent , elle entoura ses mains autour de mon cou, une jambe entourant une des miennes , elle m'embrassait fougueusement .
Sur le palier , au 3ème étage , régnait un silence digne d'un cinq étoiles comme le Georges V .....la moquette rouge se déroulait comme un champ de coquelicots , nous passions la porte à code de sa chambre , celle ci était voluptueuse , spacieuse c'était le grand standing .
Je passais la porte d'entrée , que Véronique se jetait sur moi , empoignant mon sexe , déjà bien gonflé de désir , au travers de mon pantalon , elle commençait par un massage du jonc sans oublier mes deux orphelines , je me laissais faire tout en ouvrant son chemisier pour libérer ses gros seins , et lui téter un téton aussi large qu'un crayon .
Je déboutonnais son pantalon qui lui glissa au bas des chevilles , je m'abaissais , découvrant le morceau de tissus cachant son sexe , il laissait transpirer les effluves féminines de la journée , ces dernières étaient largement supportables , presque fraîches . De mes doigts plus ou moins agiles , je glissais le long de ses jambes son string pour me retrouver face à une toison super entretenue où j'engouffrai ma langue .
Cette dernière trouva aussitôt son clitoris gonflé de désir , je le titillais , le mordillais , laissant ma langue pénétrer la vulve et revenir le taquiner . Elle suintait de plaisir , m'empoignait les côtés de la chevelure , elle se cramponnait , je me relevais pour engouffrer ma langue dans sa bouche , elle fit jaillir ma queue par le biais de la braguette , elle la branlait d'un va et vient avec la main serrée dessus , je sentais qu'il fallait que je me dégage de cette empoignade oh !! combien agréable !!!!
Elle s'abaissa , et commença à me pomper , son étreinte douce de ses lèvres sur ma bite me procurait l'envie de jouir encore plus vite . Je me retirais , enleva mes vêtements , elle fit la même chose , je la couchais sur lit de draps blancs .
Je lui entourais les cuisses de mes bras , les relevais , j'enfonçais mon braquemard dans sa chatte gluante de mouille . A grand coups, je la percutais , mes couilles se claquaient sur son fessier , elle gémissait , plus je lui écartais les fesses , plus sa chatte s'ouvrait , plus je venais me cogner . Je la retournais , elle sur ses avants bras , les fesses entre 'ouvertes , j'introduisais mon jonc au milieu de sa coquille que forme ses lèvres pubiennes , je me tenais en équilibre , une main sur un de ses seins pendants , l'autre sur une de ses hanches .
J'organisais un va et vient régulier aussi longtemps que je pouvais tenir , elle se mit à jouir bruyamment , la mouille de sa chatte se transformant en liquide . Je sentais ma bite se noyer , je nageais , je naviguais.
Je me retirais , elle se jeta sur ma queue , l'engloutissant au plus profond de sa gorge , elle l'enleva de sa bouche , se plaqua les seins dessus et commença une branlette espagnole .
Une minute plus tard , elle s'enfila sur mon dard en s'assoyant dessus , son arrière train en face de mes yeux , j'en avais pas assez de mes mains pour lui saisir les deux nichons , ces derniers débordaient , je bandais comme un taureau .
Elle mit fin au chevauchement et entama la mise à mort .... se remit à me sucer , à m'aspirer en me massant les couilles , m'agitant le gland de façon que je lâchais la gerbe de sperme sur le haut de sa main ...malgré que j'avais joui , elle continua à me masturber la bite , je n'en pouvais plus, je m'agitais tel un ver au dessus d'une motte de terre .
Elle mit fin à ce supplice , en m'embrassant goulûment , fougueusement .
Nous passions quelques minutes après notre étreinte , sous la douche , nous profitions encore de l'euphorie de l'amour .
Sous les draps , nos mains caressaient nos corps toujours humides , je ne pouvais m'empêcher de la pénétrer de mon majeur , elle activait elle même un va et vient de ses reins .
Nos lèvres s'unirent à plusieurs reprises pour des longs baisers , nous nous endormirent dans les bras de l'un l'autre .
Au petit matin , elle repartait vers son foyer à 700 kms de là , en se promettant de se revoir avant les vacances d'été .