Comme beaucoup savent , les récits que je mets en ligne sont authentiques et vécus , ceux ci représentent une infime partie de mes dragues et conquêtes .
Dans la vie , j'aime les femmes , un gros défaut qui m'a valu deux divorces ...; et une grande passion : la mécanique auto qui débouche sur la collection des véhicules que nos parents ou grand'parents possédaient .
Pour ma part , les voitures des années 75 , 80 , me bottent , et pour exposer ces dernières , je suis membre d'un club autos de collection . Le but du jeu , est de remettre en état et même en parfait état la rosalie que vous estimez , pour l'exposer aux yeux des amateurs de belles carrosseries et de mécanique .
Il y a deux ans , je crois , un ami qui possède la même voiture que moi mais en version sportive me demande de le remplacer au salon de Reims , l'expo lui servait en même temps de vente , l'acheteur s'y rendait , il était du côté de Chalon en Champagne si mes souvenirs s'avèrent exacts .
J'enquillais donc l'A26 , pour m'y rendre ..., même sans avoir le pied lourd , on avoisine les 150 km/h en vitesse de croisière . une heure plus plus tard , je payais mon péage à Courcy , une vingtaine de kilomètres avant Reims .
En sortie de ce dernier , un couple dans une berlinette 1300 Alpine , me fait signe en secouant le poing d'avant en arrière , signifiant qu'ils désiraient se friter à un démarrage sur les chapeaux de roues , j'acceptais le défi ,bien que j'avais un véhicule moins puissant en pointe que le leur . 1ère ,deuxième , ils étaient derrière moi, 3 et 4 , j'étais pulvérisé , mais je savais d'avance le pronostic .
l'engin que je conduisais , consommais allègrement les 15 l/100 et jusque 21l/100 avec le pied dedans .
J'arrivais au parc expo , cherchais ma place attribuée pour le statique , il ne pleuvait pas , la météo encore fraîche , je me trouvais dehors sous quelques mini arbustes , le couvert en dur , était réservé aux véhicules anciens de prestige style Bugatti , Rolls , Cabriolet Mercédès , j'en passe et des plus belles !!!
Je me trouvais debout , à répondre aux questions de Pierre , Paul , Jacques qui s'arrêtait . Un couple d'une bonne cinquantaine d'années fit son apparition , se présenta : "nous sommes Mr et Mme Truc , vous êtes Mr Bazar , j'ai reconnu la voiture à son numéro " , j'acquiésçais un non de la tête en expliquant que je n'étais que l'ami ... patiti patata ....
Je sentais qu'il était l'heure de céder le véhicule à ses nouveaux propriétaires et prendre le chemin de la gare comme convenu au départ avec mon ami . L'homme me confiait qu'il repartait sur Lille vers 20h00 pour affaires le lendemain et qu'il me déposerait . Sa dame , une femme charmante ,style classique , vêtue d'un ensemble jupe veste gris tournait autour de la voiture , posait d'innombrables questions concernant la sportivité de la voiture mais trouvait un peu gloque les deux bandes blanches collées autour de la carrosserie , qui réapparaient par dessus le capot . "La marque indélébile du développeur moteur , Mr Amédée Gordini " lui dis je .
Le monde de visiteurs se faisant rare , j'entrepris de partir , à ce moment précis , la dame s'adressa à son mari : "j'aimerai bien essayer la voiture" , "rentres donc avec monsieur !!!" lui répond il "
Je m'installais donc au volant , elle à droite sur le siège passager , mais ne savait pas comment enfiler l'harnais !!! je lui explique , mais suis obligé de prêter main forte . En lui ajustant les sangles qui descendent le long de la poitrine , le revers de ma main effleurait ses seins qui n'étaient pas des plus gros , mais en bouclant le trois en un , sa jupe remonta au moins dix centimètres , je m'en excusais en accusant le constructeur se pliant aux règles de sécurité du rallye mais j'avais belle vue sur la moitié de ses cuisses .
En ville , je lui montrais l'accélération de ce véhicule âgé de 43 ans , elle était plutôt crispée , si bien que pour se cramponner , elle saisissait mon bras droit . Son domicile se situait à une vingtaine de minutes de l'expo en prenant l'autoroute , mais pour la démonstration j'avais emprunté la route .
A mi chemin , la dame me demandait de trouver un petit coin , l'appréhension , la sensation lui pressait une envie d'uriner . Pas facile , de rouler dans un chemin de terre avec un véhicule aussi bas , je m'arrêtais donc sur un vulgaire parking , je la désarçonnais , elle se précipita dehors , elle s'accroupissait pour se libérer à coup de grands jets .
Assis au volant , je constatais de ce fait qu'elle ne portait rien sous son tailleur , et qu'elle n'avait pas beaucoup de pudeur lorsque je la zyeutais par la portière . Son envie pipi terminé , elle ne chercha même pas à s'essuyer la craquette , elle remonta et me dit " moins vite s'il vous plait" et "pourriez vous me rattacher" . Je réajustais donc les sangles verticales , sauf que je tournais mes mains à l'intérieur , arrivé au niveau de sa poitrine , je palpais sans discernement ses seins , elle n'en fit aucune allusion , je terminais à accoupler le 3 en 1 en lui massant discrètement le bas ventre , ce fût de même , le silence .
Nous repartîmes mais plus cool , je réadoptais la conduite de monsieur tout le monde , après une dizaine de minutes , je revoyais la scène de l'arrêt précipité , j'avais le braquemard qui s'enflammait . Au lieu de poser la main sur le pommeau de vitesse , je la déposais avec franchise sur ses intérieurs de cuisses , qu'elle écartait aussitôt . Je pus malgré les sièges "baquet" , pousser mes doigts à sa fente .
J'arrêtais la voiture au premier endroit calme , me désarçonnais , j'étais libre de mes mouvements mais ne pouvais rien tenter , pas de mise en couchette là dessus . La libérant également , je m'étais mis à la doigter , elle avait la chatte lisse comme une Barbie .
Je l'invitais à descendre , elle se tenait debout contre la portière , je repris de plus bel mon doigtage , elle devait aimer , elle s'accroupissait sur mon poignet , elle gémissait assez fortement jusque l'explosion totale !!! elle jouissait , s'écartant la chatte de ses mains .
Je saisissais de ce coup mon gland en érection et lui enfonçais dans sa vulve ouverte comme une caverne d'Alibaba . Elle avait le regard avide , mais l'esprit bien tourné sur sa foufoune en feu .
Je la limai tout debout pendant au moins dix minutes , et je la noyais de mon jus séminal . Je m'essuyais ,me rajustais , le temps de reprendre ma place au volant , elle était déjà assise à côté , le sperme devait lui couler sur l'intérieur de sa robe .
Je ficelais les harnais , et redémarrais . Je n'eus pas trop de commentaires jusque chez elle , sauf qu'elle m'avoua que cela faisait bien longtemps qu'elle n'avait pas pris son pied ainsi .
Arrivés à son domicile , elle avait retrouvé soudain le sourire en revoyant son mari , complimenta le confort et la rapidité de la voiture en rajoutant "nous avons fait un détour par les départementales pour essayer l'auto " .
Sur le retour , assis cette fois ci en passager dans la BMW du mari , je pensais à cette salope que j'avais tringlé , pour moi , j'avais l'impression qu'il devait avoir des cornes chaque fois qu'il partait pour son boulot , pour m'être tapé aussi facilement sa femme .