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Souvenir de jeunesse

Envoyé par yoxxxx22 
Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 15:31

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
J’avais à peine 18 ans à l’époque. Je m’étais trouvé un job d’été : faire le relevé de consommation d’électricité. C’était un travail simple et il m’a permis de vivre une des expériences érotiques qui compte toujours parmi les plus excitantes de mon existence.
Il faut dire que ce travail m’avait déjà offert quelques opportunités en matière de sexe. Il n’était pas rare en effet de tomber sur des femmes seules chez elles dans la journée. Je ne sais combien de décolletés provocants ou de cuisses dénudées j’ai ainsi pu admirer alors que je notais mes relevés. Mais, par manque de temps et aussi par timidité, je n’avais jamais profité de ces occasions.
Ce jour-là, je terminais ma tournée quotidienne. C’était ma dernière maison, une très belle maison située au fond d’un parc boisé et particulièrement bien entretenu.
Je sonne à l’interphone. Quelques secondes d’attente et une voix féminine me répond. Je lui explique la cause de ma présence. Elle me demande de patienter quelques instants. J’attends bien deux minutes avant de voir la porte de la maison s’ouvrir enfin. Là, j’aperçois une femme d’une cinquantaine d’année. Elle vient à ma rencontre. Je la regarde à travers la grille du portail.
Elle porte un petit peignoir en soie assez court avec une ceinture nouée autour de ses hanches généreuses. Elle a de jolies formes que l’on pourrait qualifier de pulpeuses, des seins de belles tailles qui rebondissent agréablement à chacun de ses pas et de superbes jambes.
Arrivée à la grille, elle m’ouvre en me gratifiant d’un très beau sourire.
- Excusez-moi, j’ai été un peu longue mais j’étais en train de bronzer au bord de la piscine. J’ai dû m’habiller en hâte.
Voilà qui explique sa tenue si légère. Je ne serais pas étonné qu’elle soit adepte du bronzage intégral, d’autant plus qu’aucun voisin n’a de vue directe sur la maison apparemment.
Il fait chaud aujourd’hui. Le soleil brille intensément. Même si mon travail n’est pas très difficile, marcher de maison en maison m’a fait transpiré. Des gouttes de sueurs perlent sur mon front. Et la vue de cette femme sexy n’arrange rien à cela.
Elle m’invite à entrer et je lui emboite le pas. Je suis comme hypnotisé par le ballet de ses cuisses. Chaque pas qu’elle fait me procure une bouffée de plaisir. Son peignoir remonte si haut. Il n’en faudrait pas beaucoup pour lui voir le bas de ses fesses. Une simple brise suffirait. Je suis en tout cas content que l’allée menant à la maison soit si longue, cela me permet de bien profiter de ce spectacle.
Nous pénétrons dans la maison. Elle referme la porte. Je me retourne vers elle et mon regard plonge entre ses seins. Son peignoir est en effet ouvert plus que de normal. Sa poitrine est tellement généreuse et ferme à la fois. Ils tiennent tous seuls malgré leur poids. Et à leurs extrémités, leurs tétons pointent fièrement. L’espace d’un instant, je m’imagine plonger la tête dans ce lieu magique voire même y glisser mon sexe que je sens grossir à cette vue.
La maitresse de maison a bien surpris mon regard mais ne s’en offusque absolument pas, bien au contraire. Cela semble l’amuser si j’en crois le sourire charmeur qu’elle me lance. Au bout d’un instant, elle ouvre quand même la bouche.
- Peut-être voulez-vous que je vous guide au compteur.
J’en avais presque oublié pourquoi j’étais là. Je lui emboite le pas, les yeux toujours rivés sur ses cuisses. Arrivés dans le garage, la belle commence par ouvrir un grand coffret. Le compteur électrique y est bien mais placé très haut. Je me mets sur la pointe des pieds mais impossible de parvenir à lire les chiffres. Je n’ai pas le temps de demander quoi que ce soit que ma cliente vient à ma rescousse. Elle attrape un escabeau, le pose devant elle et se met à grimper.
- Je vais vous aider.
Mais là où monter sur la deuxième marche était amplement suffisant, elle en grimpe quatre, ce qui l’oblige à se pencher pour pouvoir lire le compteur. La vue qu’elle m’offre alors est absolument indécente. Je me doutais qu’elle ne portait rien sous son peignoir. J’en ai maintenant la confirmation. Je découvre effectivement un magnifique abricot tout lisse. Mon sexe, déjà comprimé dans mon pantalon, grossit encore.
La coquine prend tout son temps pour énumérer chaque chiffre que je note fébrilement dans mon carnet. J’ai tellement de mal à détacher mon regard de ce fabuleux panorama. La coquine a terminé sa lecture. Elle me regarde en contrebas, les jambes toujours soigneusement écartées. Je me sens rougir. Cela semble beaucoup l’amuser. Elle redescend lentement de son escabeau.
- Il vous reste encore beaucoup de maisons à visiter ?
- Non, vous êtes la dernière de la journée.
- Dans ce cas, puisque vous me semblez avoir très chaud, ça vous direz de profiter un peu de la piscine ?
Je n’ai pas le temps de répondre. Elle me laisse en plan et se dirige vers la terrasse. Je n’ai pas d’autre choix que de la suivre. Elle s’assoit sur un transat et me regarde.
- Alors, cela ne vous dit pas de piquer une petite tête ?
- Ca ne me déplairait pas effectivement, mais je n’ai pas de maillot de bain.
- Quelle importance ? Si ça vous gêne vraiment, je vais me retourner le temps que vous soyez dans l’eau.
Elle pivote et fait face à la maison. Après tout, c’est vrai qu’avec cette chaleur, la fraicheur de l’eau me fera beaucoup de bien. Et comme elle ne me regarde pas, elle ne verra pas que je bande. Je me déshabille en quatrième vitesse et descends rapidement les marches. Me voilà en train de nager. La belle s’est retournée. Seule ma tête dépasse de la surface de l’eau.
- Alors, n’avais-je pas raison ?
- Si, complètement. Merci beaucoup pour me laisser profiter de votre piscine.
- Mais moi aussi j’ai chaud. Ca ne vous fait rien si je me baigne en même temps que vous ?
Une fois encore, elle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle se lève, dénoue la ceinture de son peignoir qui tombe à ses pieds. Elle est entièrement nue et me regarde malicieusement. Elle s’avance jusqu’au bord de la margelle. Là, elle prend tout son temps pour réajuster l’élastique de sa queue de cheval. Les deux bras levés ainsi, ses seins sont encore plus impressionnants. Ils sont ronds et fermes. Et ils tiennent remarquablement bien. J’aime son corps un peu fort. Ses hanches donnent envie de les agripper fermement. Au niveau de son pubis, elle arbore une jolie petite touffe de poils courts taillée en forme de triangle. Son sexe semble quant à lui tout lisse.
Elle commence à descendre les marches de la piscine. Elle ne se presse pas, c’est le moins que l’on puisse dire. Son corps ondule sensuellement. Ses jambes disparaissent sous l’eau, puis son ventre. Je n’aperçois bientôt plus que le haut de sa poitrine. Puis plus rien. Elle vient de plonger. Quelques secondes plus tard, elle réapparait à quelques centimètres de moi. Une nouvelle fois, elle lève ses bras hors de l’eau pour remettre l’élastique de ses cheveux. Ses gros tétons émergent juste au-dessus de la surface. Je les imagine dans ma bouche. Ma queue se raidit.
- J’espère que la nudité ne vous choque pas. Mon mari et moi-même sommes de fervents adeptes du naturisme.
Elle ne m’avait pas dit qu’elle était mariée. Je lui réponds.
- Non, chacun est libre. Je n’ai juste pas l’habitude.
Elle rit.
- Oui, ça se voit un peu jeune homme. Je m’excuse de vous taquiner un peu mais vous êtes si craquant. Voir vos efforts pour vous cacher, je trouve cela amusant. Et pourtant, vous n’avez vraiment aucune raison de le faire, vous êtes plutôt pas mal.
Elle a posé sa main sur ma poitrine et commence alors à me caresser. Son regard pétille de malice. C’est très agréable. Je la laisse faire. Son autre main entre en action et glisse entre mes jambes. Elle prend mes boules fermement. Mon sexe se cabre. La coquine me sourit. Elle vient de remonter ses doigts qu’elle referme sur mon membre. Sans me quitter du regard, elle commence alors à me branler lentement.
- Vous êtes même très bien cher ami. Vous n’avez vraiment aucune raison de vous cacher.
Elle me serre la queue plus fortement et continue à l’astiquer. La voilà qui ouvre la bouche très grand. Elle prend une grosse inspiration et disparaît sous l’eau. Quel délice. Elle vient de gober mon sexe. C’est bien la première fois que je me fais sucer ainsi. Sa pipe aquatique est fantastique. La voir régulièrement abandonner ma queue pour respirer ne me frustre pas, au contraire. Cela me permet de garder le contrôle de ma jouissance.
Après quelques plongées lubriques, la belle semble fatiguer un peu. Qu’à cela ne tienne, j’ai à mon tour très envie de la gâter.
Re: Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 15:45

Chrisio
Homme, 50 ans, France, Île-de-France
Quel plaisir de lire ce souvenir.
Il est réel ? Ou est-ce un fantasme ?

Quoiqu'il en soit, j'ai hâte de lire la suite. Car j'espère que tu ne vas pas t'arrêter là...
Re: Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 15:48

tony61
Homme, 37 ans, France, Normandie
super histoire , la suite vite
Re: Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 15:48

Charlie77
Homme, 45 ans, France, Île-de-France
magnifique récit

quel plaisir !
Re: Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 15:54

ausol
Homme, 49 ans, France, Pays de la Loire
quelle chance ! j'ai moi même procédé à des relevés de compteur (d'eau), et je ne suis jamais tombé sur des femmes peu vêtues :(
Re: Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 18:37

Bily974
Homme, 35 ans, France, Île-de-France
Je confirme ayant fait ce job il y a quelques années qu'il m'arrivait souvent de tomber sur des femmes peu vêtu voir même en petite culotte donc cette histoire très bien raconter peut tout à fait être vrai
Re: Souvenir de jeunesse
Monday 12 June 2017 18:47

Hommecourtois
Homme, 63 ans, France, Bourgogne-Franche-Comté
Belle histoire très bien écrite, c'est agréable à lire et très excitant ! Merci
Re: Souvenir de jeunesse
Tuesday 13 June 2017 09:39

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Merci pour vos compliments, tous masculins d'ailleurs.
À priori, ma petite histoire ne plairait donc pas aux femmes ?

Quant à savoir si tout cela à été vécu ou non... je dirais qu'il y a des deux, à vous de vous faire une idée dans quelle part.

La suite très bientôt.
Re: Souvenir de jeunesse
Tuesday 13 June 2017 17:02

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Merci ma Fée, ça me fait plaisir d'avoir les compliments d'une femme, et quelle femme !
L'une des plus sensuelles que je connaisse à coup sûr.
Bises tendres (et la suite un peu plus hard, j'espère que vous aimerez aussi).
Re: Souvenir de jeunesse
Tuesday 13 June 2017 17:03

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
J’ai posé mes mains sous ses fesses et l’ai soulevée si facilement. Ses jambes se sont enroulées autour de moi. La coquine s’est alors laissée aller en arrière sur le dos, portée par l’eau. Je me suis mis à marcher vers le bord de la piscine. Elle a alors agrippé la margelle.
Qu’elle est belle ainsi, le ventre plat et les seins hors de l’eau. Ma queue coincée entre ses fesses se raidit encore. Je n’ai plus qu’une envie. Je la dégage en éloignant légèrement mon hôtesse de mon corps. Mon sexe s’est échappé et s’est tendu vers le haut. Et là, du bout de mon gland, je commence à chercher l’ouverture de cette caverne délicieuse. Ca n’est pas si simple que ça sans l’aide des mains mais c’est aussi tellement délicieux. Les premières tentatives ne font que faire glisser mon sexe entre ses grandes lèvres. La belle me regarde à la fois amusée et excitée. Cela devient un jeu entre nous. Chacun essaie de faire en sorte que nos sexes s’emboitent parfaitement. Il aura fallu au moins 5 essais mais ça y est, je suis en elle. Comme cette pénétration est délicieuse.
Je l’ai enfilée de tout mon long dès ma première entrée. Et je fais à présent aller et venir mon dard en tirant puis repoussant ses fesses. Mon pieu coulisse parfaitement. Je la prends de plus en plus fort, provocant une véritable tempête autour de nous. Les mains de la belle se crispent. Elle se retient comme elle le peut sur le bord de la margelle. C’est la première fois que je fais l’amour dans l’eau ainsi. C’est délicieux. Nos corps sont moins lourds à bouger. Par contre, je découvre aussi que l’eau atténue la force de mes pénétrations. Et là, j’ai vraiment envie de la défoncer.
Je recule. Elle est obligée de lâcher prise. Elle se pend alors à mon cou. Mon sexe est toujours bien planté au fond de son antre. Lentement, je marche vers l’escalier, le grimpe. Nous sommes sortis de l’eau. Je m’agenouille sur un matelas posé à même le sol. Délicatement, je me penche vers elle. Je l’embrasse amoureusement. Elle me rend ce baiser en sortant sa langue. Je l’accueille dans ma bouche et me mets à la sucer. Mon petit bisou s’est transformé en un roulage de pelle en bonne et due forme. Ce moment de tendresse aura été de très courte durée. Et c’est elle qui a lancé les hostilités.
Je la retourne alors sans aucun égard, relève ses fesses, me positionne derrière. D’un coup de rein bien senti, j’enfonce mon dard violemment dans son abricot. Elle gémit. Ses doigts se plantent dans le matelas. Pris d’une excitation incroyable, je me mets à la défoncer, il n’y a pas d’autres mots. Je la tiens par les hanches, la fais aller et venir contre moi. L’avant de mes cuisses frappe l’arrière des siennes.
Je lui écarte les fesses. Mes puces jouent avec son petit trou. Ils appuient dessus, y entre de la longueur d’un ongle seulement, alternativement d’abord puis ensemble ensuite. Son anus est souple. Mes deux doigts l’écartèlent, y pénètrent plus profondément pendant que ma queue continue à fourrer son sexe avec acharnement. Elle semble beaucoup aimer que l’on s’occupe de son petit cul.
Je fais une petite pause dans mes saillies mais continue à jouer avec sa rondelle. La belle rugit de plaisir. Je l’entends même en réclamer d’avantage. Mes deux pouces s’enfoncent de toute leur longueur. Les « encore », les « oh oui » se succèdent. Je suis plus qu’excité. Je vais la prendre par derrière.
J’ai retiré mon sexe. Il est trempé de cyprine. Ma coquine pose sa tête sur le matelas. Elle m’offre ses fesses. Sans attendre, je prends en main mon pieu et en positionne le gland juste à l’entrée de la rondelle que j’ai déjà bien dilatée. Un petit mouvement de hanche en avant et ma queue disparaît complètement, comme engloutie dans ce trou normalement si étroit. Il coulisse délicieusement bien. Je vais et viens, de plus en plus vite, de plus en plus fort. J’ai de nouveau agrippé les hanches de ma coquine. Elle gémit, râle, mord la toile du matelas.
Je la fais jouir au bout de quelques minutes. Je suis fier de moi. C’est entre ses fesses que je me termine, souillant le bas de son dos de mes jets de sperme puissants et abondants.
Je m’allonge sur elle, l’embrasse dans le cou. Mais il se fait tard et je dois absolument rentrer chez moi. Demain je me lève tôt.
Je passe vite fait sous la douche extérieure, me rhabille et prends mon sac. La belle ne m’a pas quitté des yeux. Sa peau est toujours luisante de mon jus. Elle me lance un magnifique sourire en guise d’au revoir.
Quelle formidable expérience.
Rentré chez moi, je pose mon sac sur la table et l’ouvre. Misère, mon carnet de relevé n’y est pas. Je suis pourtant certain de l’avoir rangé là, juste après avoir noté la consommation. Je ne vois qu’une seule explication. Demain soir, je crois que je ferai une petite visite chez la plus sexy de mes clientes. Et j’en suis déjà tout excité.
Re: Souvenir de jeunesse
Tuesday 13 June 2017 17:11

LaFouine5962
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Oh, oh, madame est très très joueuse Eclats de rireClin d'oeil
Re: Souvenir de jeunesse
Tuesday 13 June 2017 17:13

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Et très coquine aussi... Le lendemain... Mmmm
Re: Souvenir de jeunesse
Tuesday 13 June 2017 17:23

LaFouine5962
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
J'imagine sans peine Tirer la langue
Re: Souvenir de jeunesse
Wednesday 14 June 2017 11:26

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
18 heures. Je sonne à la grille. J’entends la voix de ma coquine qui répond. Je me présente et lui explique que j’ai oublié le carnet de relevé hier soir. Le portail s’ouvre automatiquement.

Je traverse l’allée très excité. J’avais peur qu’elle ne soit pas là. La porte s’ouvre. Elle me regarde approcher avec amusement. Elle porte une robe légère et transparente.
- Oui, j’ai retrouvé hier soir votre carnet, mais comme je n’avais pas vos coordonnées…
- Et dire que je me revois le mettre dans mon sac. J’avoue ne pas avoir compris. Comme si quelqu’un s’était amusé à le retirer…
- Ah bon ?
Et elle se met à rire. Elle est magnifique.
- Entrez donc. Je vais aller le chercher. Attendez-moi dans le salon, je vous offrirai un verre.

Quelques instants plus tard, elle réapparait le carnet à la main. Elle me le tend. Je le prends tout en la déshabillant du regard. Sa robe est vraiment indécente. Elle est si transparente que je peux voir sans problème tous ses détails intimes qui m’ont tant plus hier. Ses gros seins, ses tétons pointus, ses hanches généreuses, ses cuisses fermes, sa touffe soignée et même le pli de son abricot.
- Très jolie robe si je peux me permettre. Vous attendiez du monde ?
- Oui.
- Oh mince. Alors je vous dérange.
- Non.
- Je ne comprends pas.
- C’est vous que j’attendais jeune homme. Je me doutais que vous repasseriez pour récupérer vos relevés.
- Et donc, cette robe sexy, elle est pour moi ?
- Oui. Ca ne vous plait pas ?
- Honnêtement ? Depuis que je me suis aperçu que je n’avais pas mon carnet, je n’ai fait que penser à vous.
- Ah bon. Et pourquoi cela ?
- A votre avis ?
- Je ne sais pas moi. Vous êtes si timide.
Elle joue avec moi et j’adore ça.
- Timide moi ? Oui c’est vrai, mais je me soigne.
Je jette alors mon carnet sur la table basse et m’empare de l’allumeuse. Je la serre tout contre moi et l’embrasse à pleine bouche. Ses bras s’enroulent autour de mon corps. Elle m’offre sa langue. Nous nous roulons un patin monstrueux pendant que nos mains parcourent nos corps. J’ai vraiment vaincu ma timidité.

Nous sommes terriblement excités. Je lui caresse les fesses. Elle a ouvert mon pantalon et me branle à l’intérieur de mon caleçon. Je lui mets un doigt, puis un deuxième. Nos langues continuent à s’emmêler fiévreusement. Elle me pousse sur le canapé sans ménagement puis s’agenouille entre mes cuisses. Elle a sorti ma queue et se met à la sucer goulument.

Bon sang, j’ai déjà envie de jouir. Cette situation est tellement torride. Non, il ne faut pas, pas maintenant. J’ai presque du mal à lui faire lâcher mon dard. Je repousse sa tête et la bascule en arrière. Elle se retrouve allongée par terre sur le dos. Je me mets sur elle et recommence à l’embrasser à pleine bouche. Puis je descends. Je lui dévore le cou, les épaules, écarte son décolleté pour manger ses seins. Je serre mes lèvres sur ses tétons. Elle m’appuie sur la tête comme pour m’empêcher de m’enfuir.

Sa main libre glisse sous mon ventre et s’empare de mon sexe. Ses jambes s’enroulent autour de mes hanches. Sa robe est totalement retroussée. Elle conduit mon gland à l’entrée de son abricot et le plante sans délicatesse. Je la prends ainsi sauvagement, en continuant à lui sucer les seins. Ses doigts se crispent sur mon dos. Je sens ses griffes à travers ma chemise.
Notre accouplement est bestial. Elle râle. Je gémis. Nous jouissons tous les deux très rapidement. Quelle intensité.

Je reste allongée sur elle un bon moment. Nous nous regardons, heureux et essoufflés. Je la libère de mon poids et roule sur le dos à côté d’elle. Dans le fauteuil, un homme nous regarde.

Mon air surpris a l’air de l’amuser au plus haut point. Tout comme la petite coquine d’ailleurs.
- Ah, j’avais oublié de te dire que mon mari était à la maison ce soir.

Tu parles d’un oubli. Je suis encore tombé dans un traquenard. Je suis par contre très étonné par ce que je ressens. En temps normal, j’aurais rougi, je me serais senti gêné. Pas là. Je suis bien. J’avais bien compris hier en discutant avec ma cliente qu’elle formait avec son homme un couple très libéré. Ils aimaient beaucoup papillonner chacun dans leur coin et se raconter, lorsqu’ils se retrouvaient, le détail de leurs folies. C’était pour eux un élément essentiel pour le bon fonctionnement de leur couple. Et donc, passé l’étonnement de le voir présent dans le salon, je n’étais pas si surpris que ça.

Je savais déjà qu’il devait connaitre par le détail tout ce qu’il s’était passé hier à la même heure au bord de sa piscine. La manière dont je me suis fait allumé, mes réactions d’abord très réservées. Puis, bien sûr, elle lui a aussi raconté comment nous avons si bien baisé ensemble, c’est évident.
- Tu m’avais dit qu’il était timide. Tu es sûr que c’est le même garçon qui vient de te prendre ?

L’homme semble tout aussi taquin que sa femme. Il me regarde en riant. Il a la cinquantaine sportive et possède un certain charme. Il se lève de son fauteuil, tend la main vers sa compagne.
- Allez, on va piquer une tête dans la piscine, vous m’avez donné chaud tous les deux.

Je me retrouve seul, allongé sur la tapis. Je réfléchis à ce qu’il vient de se passer. Avec le recul, cela me plaît beaucoup d’avoir été observé. J’en regrette même de ne pas avoir été au courant pendant notre partie de jambes en l’air. Je décide de les rejoindre.
Ils sont tous les deux sous la douche extérieure. Ils se caressent mutuellement, s’embrassent sensuellement. Je m’assois sur un transat et les observe. A chacun son tour de jouer les voyeurs.

Les voilà dans la piscine, toujours enlacés. Elle me jette un regard coquin. Ses jambes entourent le corps de son homme. Elle s’est accrochée à son cou. Il vient de donner un coup de rein. Elle gémit. Leur étreinte est à la fois tendre et bestiale. L’homme la pilonne vigoureusement. Elle le regarde amoureusement tout en poussant des petits cris à chaque saillie. Tout à son ouvrage, il ne semble pas prendre cas de ma présence. C’est ce que je crois en tout cas, jusqu’à ce qu’il me fasse un signe de la tête, le signe de m’approcher.

Je bande à les voir. Je me suis levé puis me suis assis sur la margelle, les jambes dans l’eau. Tout en la gardant accrochée à lui, il marche vers moi jusqu’à arriver suffisamment proche pour poser la tête de sa coquine sur ma cuisse. Elle se tourne alors légèrement et commence à me lécher. Il recommence à la baiser.

Elle me suce si bien malgré les à coups produits par son homme. Je lui caresse les cheveux. Il me sourit. Il maintient sa femme par les fesses et la fait sauter sur sa queue. Elle a de plus en plus de mal à conserver la mienne dans sa bouche. Vient le moment où elle ne peut plus. Elle se laisse tomber en arrière. Il s’enfonce puissamment. Mes deux coquins jouissent ensemble. Comme c’est beau.

Fatiguée, elle pose à nouveau sa tête sur mes cuisses. Elle l’embrasse tendrement. Lui s’est approché de moi et me regarde. Puis Il pose quelques baisers sur le visage de sa femme. Sa main caresse mon genou. Je ne trouve pas cela désagréable.
Ils se sont tous les deux tournés vers mon sexe. Elle lui donne un petit coup de langue, il l’imite. Il lève aussitôt les yeux vers moi. Sans doute se demande-t-il si me faire ainsi lécher par un homme…

Si je n’avais jamais eu de rapport homosexuel, ce fantasme était présent depuis longtemps dans mon esprit. Me faire sucer par un homme (où le sucer) est en effet, je pense, un fantasme assez commun et je me suis toujours dit qu’il ne faut pas mourir idiot.

Je lui souris. Il en fait de même puis tourne de nouveau son visage vers mon membre tendu. La coquine m’a pris en bouche. En attendant de pouvoir la goûter à son tour, il me caresse les boules délicatement. Puis vient ce moment si particulier. La première fois que je me fais sucer par un homme. Il a ouvert grand ses lèvres. Sa compagne a alors dirigé ma queue vers elles. Il m’a pris jusqu’à la base, a refermé sa bouche et est remonté très lentement jusqu’à finir en enveloppant mon gland de sa langue. Puis il a recommencé encore et encore. Pendant ce temps, elle me branlait très lentement.
Il m’a pompé magnifiquement. Très rapidement, j’ai eu envie de jouir. Ca n’était pas parce qu’il suçait mieux que sa femme, ils étaient tous les deux très au point sur la technique de la fellation. Non, j’étais en fait très excité par le fait que la bouche qui me gâtait appartenait à un homme. Et cette idée m’a rendu complètement fou d’envie.

Ma queue s’est cabrée très rapidement. J’ai posé ma main sur sa tête pour le prévenir (ce qui était parfaitement inutile car il avait déjà senti par lui-même que j’allais juter), il a continué sa gâterie sans sourciller. Je me suis mis à gicler. Il est resté imperturbable. Je remplissais sa bouche. Il me suçait toujours de la même manière. Il ne s’est arrêté que lorsque mon membre s’est mis à désenfler.
Les deux coquins m’ont alors regardé puis se sont tournés l’un vers l’autre. Ils se sont embrassés sous mes yeux, passionnément, leurs bouches pleines de mon sperme. Quels cochons !

La suite de la soirée fut très agréable. Nous avons dîné ensemble en nous racontant des tas d’anecdotes, sexuelles bien sûr. Le moins que l’on puisse dire est qu’ils avaient beaucoup de choses à dire. En même temps, ils avaient presque deux fois mon âge. J’avais encore le temps pour les concurrencer.

Et puis, au moment du dessert, j’ai eu l’envie de leur rendre tout ce plaisir qu’ils me faisaient découvrir.
Re: Souvenir de jeunesse
Wednesday 14 June 2017 11:52

yoxxxx22
Homme, 57 ans, Nioué
Lorsqu’ils m’ont demandé ce que je désirais en dessert, je leur ai répondu que j’avais une idée.

Aussitôt, je me suis glissé sous la table. Mes deux coquins étaient en peignoir (tout comme moi d’ailleurs). J’ai commencé à caresser les jambes de la belle, remontant ma main de plus en plus haut. Ses cuisses se sont ouvertes. J’y ai mis mes doigts. Elle était toute moite de désir. Sans doute notre conversation érotique l’avait-elle excitée.

Son mari s’est penché sur elle pour lui sucer les seins. Moi, je regardais sa queue qui grossissait et s’échappait du peignoir. Pourquoi me refuser ce plaisir ?

Tout en continuant à masturber Madame, j’ai commencé à caresser les boules de Monsieur. Son membre s’est cabré aussitôt. Je l’ai pris entre mes doigts. Je les ai serrés, desserrés, je les ai fait remonter et descendre le long de cette colonne qui se raidissait. Il s’est arrêté de sucer sa femme pour s’assoir plus confortablement sur sa chaise. Il a avancé ses fesses au maximum, s’est cambré et s’est mis à me mater.

J’ai adoré son regard au moment où je l’ai pris en bouche. Je l’ai sucé très lentement. J’ai beaucoup aimé sentir son sexe glisser entre mes lèvres. Ma langue découvrait chaque relief de sa queue qui continuait encore à grossir. J’en oubliais presque Madame qui s’est emparée de ma main pour se masturber avec.
Je crois que, comme pour moi lorsqu’il m’a taillé sa première pipe, il était très excité que ce soit un homme qui le pompe. Ca ne pouvait pas en tout cas être ma technique qui était au point, c’était ma première queue (depuis, j’ai fait quelques progrès…).

Il a joui très rapidement. Je n’ai pas aimé le goût de son foutre dans ma bouche mais j’ai tellement adoré le fait de le faire jouir que mon plaisir était total. Le sien aussi visiblement.

J’ai avalé d’un trait tout son jus avant de sortir de sous la table. La coquine m’a regardé d’un faux air triste.
- Et moi alors ? Je n’ai pas le droit d’y goûter ?

Nous avons éclaté de rire tous les trois.

Quelle soirée merveilleuse.

En les quittant, ils m’ont invité à une petite fête entre amis qu’ils organisaient le samedi soir suivant. Celle-ci fut très réussie.
Re: Souvenir de jeunesse
Thursday 15 June 2017 17:51

Chrisio
Homme, 50 ans, France, Île-de-France
La suite est plutôt pas mal aussi. J'aurais aimé vivre une telle situation.
Et c'est toujours très bien écrit et très agréable à lire. Bravo.
Aura-t-on le droit à la description de ce samedi soir entre amis. A mon avis, ça a du être très chaud.
Re: Souvenir de jeunesse
Thursday 29 June 2017 16:30

Lenirvana2
Homme, 22 ans, Belgique, Luxembourg
On attends la suite avec impatience :D
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