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Valérie

Envoyé par Oncle-Julien 
Valérie
Wednesday 29 September 2021 21:21

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 1 - © - 2021 - Tous droits réservés -



Depuis mon Blog

Le lecteur qui a suivi les récits où je relate mes aventures avec "Nathalie" se souvient du salon de thé. J'y évoque la jeune serveuse avec qui je bavardais quelques fois. Nous avons sympathisé elle et moi. Valérie, pour une raison personnelle, a mis ses études entre parenthèses, pour travailler au salon de thé. Elle y a passé deux années. Ce que je ne savais pas, Valérie était une bonne amie de Nathalie.

Je relate ici la relation toute particulière qui nous a unis quelques temps. "Valérie" est bien évidemment un autre pseudo permettant de préserver l'anonymat de la protagoniste.

Une autre magnifique histoire à découvrir absolument...

Classe

Valérie

Ce jeudi matin à dix heures j'ai rendez-vous chez mon médecin. Il n'est que neuf heures. J'entre dans mon Salon de Thé préféré, à deux pas du cabinet du praticien. Un salon de thé que j'ai découvert avec Nathalie lors de nos rendez-vous. Cet endroit m'enchante par son ambiance. J'apprécie de venir en ce lieu. Le cadre est médiéval. La sérénité induite par son grand calme est remarquable. Une fréquentation rare et de qualité. Toutes ces choses qui rendent cet endroit si agréable.

Un grand aquarium sépare l'espace en deux parties égales. La vision des poissons, virevoltant dans l'eau claire, est un spectacle reposant. Presque hypnotique. Nous sommes au début du mois de mars. Je m'installe à ma table préférée. Une petite table dissimulée derrière un grand ficus. J'ouvre mon journal. La lumière tamisée provient de fausses lampes à pétrole. L'éclairage permet toutefois une lecture aisée. Ici, point de musique lénifiante. Il n'y a que le silence.

La serveuse arrive au bout de quelques minutes pour m'apporter ma commande. Un grand café crème et deux croissants. Lors de mes rendez-vous ici avec Nathalie j'avais remarqué l'attractivité physique de cette jeune fille d'environ vingt ans. Grande, mince et délicate. Les cheveux longs, noirs, noués en catogan. Ce port de tête altier. Les traits fins et réguliers rajoutent encore à l'allure un peu mystérieuse. Sa grande gentillesse, son accueil toujours chaleureux, son regard intelligent sont autant de qualités. Nous avons souvent échangé des regards. Parfois insistants et soutenus.

En apportant ma commande la jeune fille me demande : << Tout seul aujourd'hui ? >>. Je comprends immédiatement qu'elle fait allusion à mes précédentes visites. Lorsque je retrouvais Nathalie ici. Son sourire amusé ne fait aucun doute. La jeune fille fait allusion aux situations particulières qu'elle avait surprise. Un après-midi de décembre entre Nathalie et moi. Je me souviens très bien. Ce jour là, la jeune serveuse avait remarqué nos "agissements" équivoques. Malgré notre grande discrétion, nous nous étions fait surprendre.

Je la regarde avec un grand sourire pour répondre : << Oui ! Tout seul hélas. Mais en pleine forme ! >>. Je fixe la jeune fille dans les yeux. Elle soutient mon regard avec aplomb. Elle me fait : << En pleine forme ? Comme la dernière fois ? >>. Ces mots confirment mes suspicions. Elle rajoute encore, amusée : << Tout seul, ça peut être bien aussi ! >>. Je la regarde. Je ne sais quoi répondre. Je l'observe. Elle s'éloigne vers le magasin. Juste avant de disparaître derrière le grand aquarium, elle se retourne. Me fixant d'un regard intense, la jeune fille me fait un sourire mutin.

Au bout d'un petit moment la serveuse revient au salon. Déposant un petit carton sur une table, elle m'offre un nouveau sourire. Je suis le seul client. J'ai soudain la certitude que son retour, ce carton, ne sont qu'autant de prétextes pour me rejoindre. Une sorte de sixième sens qui me trompe rarement. La jeune fille regarde plusieurs fois dans ma direction. Ce qui conforte encore mon impression.

Je lui demande : << Je vous propose un café ? >>. Il y a un silence de quelques instants. Je me doute bien qu'entre deux clients de la boulangerie, son temps est compté. << Avec plaisir ! >> me fait-elle malgré tout. La jeune fille s'empresse de rajouter : << Mais je ne peux pas rester plus de quelques instants à votre table, il y a tout le temps des clients au magasin ! >>. Je lui propose de morceler tant qu'elle voudra ses présences à ma table, entre deux clients. << Bonne idée ! >> me fait-elle avant de retourner dans la boutique.

Quelques minutes passent. La jeune fille revient avec une petite tasse qu'elle dépose sur la table. S'asseyant face à moi elle m'observe amusée. En silence et avec insistance. Je me présente. La jeune fille se présente à son tour : << Moi, c'est Valérie ! >>. Elle rajoute encore : << C'est amusant d'être assise là avec un client ! Cela ne m'arrive jamais. Personne ne m'invite jamais ! >>.

Nous commençons à bavarder. Nous échangeons quelques nécessaires lieux communs. Ces banales considérations d'ordre général. Ces convenances de la civilité la plus élémentaire. J'évoque son activité de serveuse. Je veux en savoir plus. Plusieurs fois Valérie se lève pour aller servir un client. Je prends mon portable pour prévenir mon médecin. Il est préférable de repousser notre rendez-vous. Il me propose onze heures. Cela me laisse du temps pour faire plus ample connaissance avec la jeune fille. Il est tout à fait hors de question de passer à côté de ce nouvel enchantement.

Au fil de nos conversations souvent entrecoupées, Valérie m'apprend qu'elle a temporairement arrêté ses études pour une raison familiale. Elle compte les reprendre dès septembre. Cela semble la tourmenter. J'oriente volontairement la conversation sur des sujets moins personnels. J'évoque ma visite avec Nathalie et la situation que nous avons vécu ici il y a quelques mois. Quelle n'est pas ma surprise de découvrir que les deux filles se connaissent. Elles ont fait leur première année d'études ensembles. Maintenant il me revient à l'esprit que Nathalie avait vaguement évoqué cet épisode universitaire.

Curieusement, lorsque je parle de Nathalie, la jeune fille a toujours le même réflexe. Valérie me fait comprendre son intérêt pour les situations troublantes. Elle me raconte quelques anecdotes amusantes. Des choses qui lui sont arrivées ici au salon. Cela fait presque un an qu'elle y travaille. Pour confirmer mon impression, la serveuse évoque tout particulièrement celles auxquelles elle a assisté entre Nathalie et moi. Valérie parle également d'un exhibitionniste qui vient de temps en temps au salon. Un type qui se masturbe discrètement sous la table. Toujours la même table. Et à son intention...

Nous bavardons depuis plus d'une heure. De nombreuses fois Valérie se lève pour aller servir un client. Cela nous agace un peu. Je lui propose un rendez-vous. Un de ces soirs ou un de ces jours. Ailleurs. Pouvoir bavarder calmement. Valérie semble ravie de mon initiative. << Lundi c'est mon jour de repos ! >> me fait-elle. Elle rajouta encore : << Le soir je suis souvent disponible. Il suffit que je m'organise ! >>. A tout hasard, je lance : << Lundi prochain ? >>. un instant de réflexion : << OK ! Lundi, ça marche ! >>. La jeune fille se lève et me fait encore : << Maintenant je vous laisse. Il faut que j'aille travailler sérieusement ! >>. Elle s'en va. Une fois encore, juste avant de disparaître derrière l'aquarium, elle me fait cet étrange sourire entendu.

Une fois seul, avant de partir, je me rends aux toilettes. Des toilettes décorées de la même manière. Murs de pierres, fausses lampes à pétrole. Je me déboutonne au dessus de l'urinoir en faïence. Je reste ainsi à me soulager. Je suis abîmé dans mes réflexions. Des pensées aussi diverses que le rendez-vous remis avec le médecin, les courses à faire ou encore la randonnée de dimanche. Tout cela se bouscule un peu dans ma tête.

La porte des toilettes s'ouvre. C'est la jeune fille. Valérie vient directement vers moi. Je suis soudain très gêné ! Un sentiment d'insécurité. Approchant son visage du mien, elle pose sa bouche sur la mienne. Je tiens mon sexe de la main droite. Je suis dans une situation mentale inconfortable. M'embrassant sans retenue, Valérie fouille ma bouche avec une réelle gourmandise. Ses mains sont posées sur mes épaules. Tant de fougues inattendues suscitent mon étonnement. Puis mon admiration. Je suis tout simplement positivement "choqué". C'est sublime !

Je suis déstabilisé aussi. Mon sexe, en quelques instants, devient d'une raideur sans équivoque. Je suis le jouet d'une forte érection. Victime d'une excitation aussi soudaine qu'imprévue. Un délice ! La victime totalement consentante d'un évènement qui me dépasse complètement. Ces effusions durent un moment. Nos langues se mêlent avec délectation. Valérie se serre contre le côté droit de mon corps. La cambrure de son bassin ne laisse aucun doute quand au sens de son désir. Elle me fait : << Je suis censée faire pipi ! Je file ! >>.

<< La patronne est au magasin mais il faut quand même que j'y retourne ! >> me murmure t-elle en me quittant précipitamment. Juste avant de sortir Valérie regarde mon sexe en me disant : << Je l'avais trouvé superbe la dernière fois, sous la table ! >>. Dans cette phrase, tout est révélé. J'ai la confirmation évidente que la jeune fille avait repéré nos agissements. Valérie avait donc apprécié ce qu'elle avait vu. Lorsque je l'ai surprise à nous observer derrière l'aquarium. Probablement qu'elles en parlaient avec Nathalie. Les filles sont tellement rusées et secrètes.

Je reste là, pantois, décontenancé. Je suis incapable de reprendre mes esprits. Je me reboutonne. Je vais au lavabo. Je me passe de l'eau froide sur le visage. Il me faut retrouver tous mes esprits. Recouvrer mes sens. Ces évènements ont quelque peu altéré mes facultés pour un moment. Je me sens même un peu fatigué. Les suite d'un choc émotionnel, physiologique et mental. Physique aussi...

Je reviens au salon. J'enfile mon duffle-coat. Volontairement j'attends que Valérie cesse de servir son client. A cette heure, dans la pâtisserie, les gens sont plutôt nombreux. J'entends la voix douce de la jeune fille. Celle plus grave de la patronne. Le dernier client est entrain de sortir du magasin. J'entends la boulangère préciser qu'elle monte rapidement à l'étage pour chercher des tartes.

La jeune fille en profite pour revenir d'un pas rapide. Elle me donne un papier. Je distingue un numéro de téléphone. Valérie me pose la main sur le sexe. Elle me dit : << Lundi c'est trop loin ! >>. Elle pose sa bouche sur la mienne. Fouille rapidement d'une langue exploratrice. Même si cela ne dure que quelques secondes je reste totalement décontenancé. Comme abattu. Encore une fois déstabilisé. Décidément, cette fille exerce un pouvoir certain sur ma psyché. Elle a tous les culots. Toutes ces attitudes qui m'enchantent.

Je quitte le Salon de Thé. Mon rendez-vous chez le médecin, mon repas de midi et le reste de la journée restent un profond mystère ! Je n'en ai pas de réels souvenirs. Je suis chez moi. Fébrile. Vers dix sept heures, n'en pouvant plus d'hésiter, je prends mon portable. Je compose le numéro qui figure sur le papier. Deux sonneries. C'est Valérie. Je constate à sa réaction, au ton de sa voix, que je viens d'avoir une initiative heureuse.

Rendez-vous est fixé au samedi soir. Devant le restaurant "Le vieux panier", où j'invite la jeune fille...

Julien



Classe

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Classe
Valérie
Thursday 7 October 2021 13:01

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 2 - © - 2021 - Tous droits réservés -



Premier rendez-vous

Ce samedi soir de mi-mars, Valérie et moi avons rendez-vous devant le restaurant "Le vieux panier". Cet endroit bien connu des gastronomes de la région est situé dans le centre de la vieille ville. J'adore déguster là de délicieux plats du terroir. J'ai garé la voiture dans une rue adjacente. J'arrive pour dix neuf heures trente. Dix minutes avant l'heure fixée. Toujours soucieux de ne pas risquer un impondérable. Pour la plupart de mes rendez-vous, je suis souvent hanté par un imprévu éventuel. Être en avance me rassure. Un toc.

La jeune fille arrive quasiment à la même heure. Nous nous faisons la bise. Nous sommes très heureux de nous revoir. Malgré les effusions dont a fait preuve Valérie au salon de thé, lundi dernier, elle observe maintenant une certaine réserve. Ce comportement bien féminin me rassure également. J'aime que les choses arrivent en douceur, naturellement.

Valérie est vêtue d'un manteau noir et d'un pantalon noir. Très élégante, elle est chaussée d'escarpins noirs. Ses longs cheveux flottent sur ses épaules en toute liberté. La jeune fille est belle et séduisante. Presque aussi grande que moi avec ses talons hauts, sa silhouette et son allure ne manquent pas de me rappeler Nathalie. Les comparaisons humaines m'indiffèrent. Chacun est différent. Chacun se doit d'être reconnu comme un être à part entière. C'est ici le cas.

Sur ma demande le serveur nous installe à une table retirée. Dans le fond de l'établissement. Une banquette en angle nous permet de nous asseoir l'un à côté de l'autre. La jeune fille sur ma gauche. Un grand ficus, aux feuilles magnifiques et touffues, nous dissimule en partie. Nous n'avons que faire des autres clients et de l'ensemble de la salle. La discrétion est toujours d'une excellente compagnie.

Valérie me parle de son travail de serveuse. Son job dans le salon de Thé où je l'ai rencontré. Elle me parle de ses études. C'est une situation professionnelle provisoire qui dure depuis presque un an. Une situation pesante. Pénible. La jeune fille évoque sa rupture amoureuse de l'été dernier. Son amour pour cet homme de trente ans, marié, qui reste encore cruellement présent. Je lui parle un peu de moi. Je précise mon âge. Il n'y a aucune raison de jouer au prince charmant à quarante sept ans. J'aime que les choses soient claires, nettes et précises.

Après une entrée délicieuse, composée d'un assortiment de crudités, nous dégustons un plat de fruits de mer tout aussi remarquable. Nous devisons. Je mêle l'humour aux considérations plus sérieuses. Je suis surtout dans l'écoute. Valérie se livre un peu. Sa relation avec un homme marié. Un homme qui lui avait bien évidemment promis de divorcer pour elle. Un grand "classique" utilisé par des raclures peu recommandables. Ses études interrompues par un accident familial. Tout cela n'est pas spécialement joyeux. Il est important d'évoquer le passé. Avant de passer aux étapes suivantes.

Durant le repas Valérie pose sa main sur ma cuisse gauche. Cela me procure un frisson. Doucement, sa main remonte jusqu'à mon sexe. Elle s'attarde longuement. Cela provoque une érection. Je lui murmure : << Mademoiselle, j'ai vingt sept ans de plus que vous. Vous me devez un certain respect ! >>. Valérie part d'un éclat de rire. Nous rions tous deux longuement. J'en ai les larmes aux yeux. La jeune fille ne retire pas sa main.

J'observe avec une grande attention autour de nous. Je regarde la pendule. Il est vingt heures quarante cinq. Personne ne nous prête la moindre attention. Le couple le plus proche, sur notre droite, est plongé dans une conversation inaudible. Personne ne regarde par ici. Il est impossible de voir sous notre table. Valérie, serveuse elle-même, connait bien les ruses qu'utilise le personnel pour mâter discrètement le comportement de la clientèle.

Excité par la main de Valérie, j'ouvre discrètement ma braguette. Avec difficulté, je sors mon sexe dur et turgescent. La jeune fille s'en saisit immédiatement. << Waouh, génial ! >> me fait-elle amusée. Elle garde sa main immobile. Elle se contente de la serrer avec un rythme régulier. Nous avons terminé notre repas. Notre dessert arrive. Une énorme et succulente coupe glacée. Valérie mange d'une main et me tripote de l'autre.

Je suis terriblement excité. Je suis assis dans ce restaurant, la braguette ouverte, à me faire toucher. Valérie semble très excitée aussi. Parfois, me regardant d'un air amusé, elle me demande à plusieurs reprises : << C'est bon ? >> . Entre son pouce et son index, elle triture, malaxe la peau de mon prépuce. Quel bonheur de n'être pas circoncis. Je savoure cet instant et cette caresse avec toute l'expérience et le recul du vieux chasseur. Mutine et espiègle, elle rajoute : << Je parle de la glace bien évidemment ! >>.

Passant à mon tour ma main sous la table, je la pose sur la cuisse de la jeune fille. Je remonte doucement vers son sexe. Je la fixe dans les yeux. Quelques battements de cils trahissent le trouble qui envahit Valérie. Nous connaissons tous ces émois merveilleux. Ces troubles indicibles qui nous submergent dans les moments d'extases. Nous avons pleinement conscience d'en vivre un délicieux, ce soir, là, dans ce restaurant, à l'insu de tout le monde. Un très grand moment.

Mes doigts entre ses cuisses, j'imprime un mouvement de pression. Lent et régulier. Je me penche vers Valérie pour murmurer : << Quelle curieuse idée de porter un pantalon plutôt qu'une jupe ! >>. Elle me répond avec ce sourire désarmant : << C'est fait exprès ! >>. On a beau être un homme mûr et averti, les filles restent un mystère. Et c'est tant mieux. Souvent un amusant et passionnant mystère...

La situation perdure depuis quelques minutes. Le serveur arrive pour débarrasser notre table. Il nous apporte nos cafés. Rapidement nous posons nos mains sur la table. Sans doute repérés quand même par l'œil exercé d'un professionnel qui en voit "d'autres". Et certainement des plus "sévères" ! << Il n'est pas dupe celui-là, je l'ai repéré aussi ! >> murmure Valérie.

Dès que l'employé a le dos tourné nos mains retournent à leurs activités masturbatoires. Je tente d'ouvrir le pantalon de Valérie. Elle retient mon geste en disant : << Pas ce soir, il y a un petit inconvénient de fille ! >>. Nous rions de bon cœur. Je fais : << Ah ! Mince , pas de chance ! >>. Je me contente donc d'en rester à la caresse. A travers le tissus du vêtement. M'attardant uniquement dans la zone clitoridienne. Ce qui met la jeune fille en pâmoison quand même.

Restant vigilants, nous guettons le retour du serveur avec nos cafés. Ce dernier ne tarde pas. Dès son départ, nos mains se précipitent sous la table. Reprenant leurs mouvements rythmés. Les doigts de Valérie, tripotant la peau de mon prépuce, provoquent un écoulement de liquide séminal permanent. J'ai peur que des traces en subsistent autour de ma braguette. La jeune fille a l'initiative d'essuyer ses doigts avec la serviette. Et à plusieurs reprises. Sans doute à cause de son excitation, elle lèche régulièrement ses doigts. Cela m'excite. Cela provoque une plus grande sécrétion encore. Elle le sait bien.

A présent que le dessert est terminé, Valérie imprime un lent mouvement de va et vient à sa main droite. Entre le pouce et l'index, délicatement et lentement, en appuyant de façon régulière, elle me masturbe. Prenant soin de ne pas me décalotter, la jeune fille me fixe avec un sourire mutin. Son regard par en dessous trahi son plaisir évident. Je suis la victime consentante d'une adorable torture. Je suis un homme, un vrai. Je m'adresse ici à mes alter égo quadragénaires. Quoi de plus merveilleux, d'émouvant aussi, que de se faire masturber dans un lieu public par une jeune fille de 20 ans ? C'est l'âge de toutes les découvertes, de toutes les témérités, de tous les plaisirs...

Ce qui rajoute encore à l'excitation, c'est cette façon qu'a Valérie de faire tout cela avec une discrétion absolue. Continuant à converser de choses et d'autres. J'adore ces situations car elles obligent à garder un contrôle absolu. Ce qui décuple bien évidemment les sensations et le plaisir. D'être à deux doigts d'éjaculer, sans pouvoir le faire, durant de longs moments, est tout simplement "tantrique". Tout simplement divin ! Valérie s'amuse d'ailleurs de mes expressions. Elle essuie les gouttes de sueurs qui perlent sur le bout de mon nez en riant.

Je demande l'addition. La jeune fille retire sa main. Je ferme mon pantalon. Mon sexe est trempé. Complètement mouillé. Ruisselant. J'ai chaud. Je me réjouis de retrouver un peu d'air frais. Je lui fais remarquer : << Tu m'as mis dans un de ces états ! >>. Je lui dépose une bise sur le front. << Et toi donc ! >> me fait-elle en passant sa langue sur ma bouche.

Une fois dehors, dans l'air frais de la rue, Valérie se précipite contre moi et m'embrasse avec fougue. Se serrant contre moi, elle me dit : << Tu as été remarquable de discrétion et de retenue ! Tu es toujours aussi habile ? >>. Elle fouille ma bouche avec sa langue. Mon érection reprend de plus belle. Se cambrant contre moi, la jeune fille peut en apprécier la raideur. Elle se frotte longuement. Je la rassure. Je suis toujours d'une discrétion absolue.

Valérie me propose un tour dans les rues de la ville. Malgré la fraîcheur de cette soirée de mars, les éclairages et l'ambiance invitent à la découverte. Il est vingt et une heures quarante cinq. La jeune fille me prend le bras. << Comme je suis bien avec toi, si tu savais ! >> me fait-elle. Elle parait détendue, heureuse. Je suis fier de moi ! Elle rajoute : << Ta présence me rassure. Je me sens protégée avec toi ! >>.

Valérie me pousse en riant dans chaque recoin qui se présente. Elle me bouscule pour me toucher le sexe et m'embrasser. << Je la veux ! >> me fait-elle en suçant ma langue pour me donner une idée de son intention. Amusé, je lui murmure : << Je me sens subitement l'homme le plus heureux du monde, dans un rayon d'au moins trois cent mètres ! >> Valérie se met à rire en me disant : << Non ! Je suis sûre que là, derrière les murs de toutes ces maisons, ils s'en passent de "belles" ! >>.

Nous arrivons dans un square. Je l'entraîne dans les fourrés. Le lieu est désert. Le sol est sec. De temps à autre, dans le lointain de la nuit, un éclat de voix ou le bruit d'un moteur résonnent. J'ouvre la tirette de mon pantalon. Je sors mon sexe. Il est trempé. Il dégouline. Valérie s'accroupit immédiatement en gloussant. Je sens la douceur de sa bouche chaude se refermer sur mon sexe. J'ai l'impression de tremper ma turgescence dans un bol de purée tiède et onctueuse. Une bonne fellation évoque toujours cette métaphore gastronomique dans ma psyché.

Je peux ressentir longuement l'incroyable douceur de sa bouche. Cette sensation est sans doute une des plus sensuelles qu'un homme puisse connaître. Il me faut lutter pour ne pas tomber en arrière. Je ferme les yeux. Je savoure la sublime caresse. Je murmure : << Tu es folle de me rendre fou ! >>. Valérie me suce avec passion. En gémissant. Je reste vigilant. Je regarde dans toutes les directions.

Je ressens les douces succions jusqu'au plus profond de moi-même. Je sens Valérie goûter avec passion mon intimité. Je peux sentir sa langue titiller l'ouverture de mon méat. Elle aspire, suce, enfonçant profondément ma virilité dans sa bouche. En gloussant de plaisir Valérie se retire doucement. Je la regarde. La jeune fille n'en garde que l'extrémité entre les lèvres. Elle me regarde, se retirant pour me dire : << Tu n'as encore rien vu ! Si tu savais comme j'aime ça ! >>. Une fois encore je bénie la bonne Fée qui s'est penchée sur mon berceau. Je suis certain que c'était la Fée Lassion...

Valérie reste sans bouger. Savourant ma substance au fur et à mesure de son écoulement. Parfois j'ai un léger mouvement de va et vient. En serrant les fesses, je contracte mon périnée. Ce qui a pour effet de secréter du liquide séminale en abondance. La jeune fille gémit tout doucement. Par moment sa respiration devient forte et rythmée. Je la sens se concentrer sur ce qu'elle est entrain de déglutir. Avec de petits cris de ravissement. Je m'adresse ici aux lectrices qui aiment tailler des pipes. Vous comprenez très bien ce que je suis entrain de faire.

Je prends sa tête entre mes mains d'un geste doux et sensuel. Je me retire de sa bouche. En la saisissant par les épaules, je l'oblige à se relever. << Aïe , mes jambes ! >> me fait-elle avant de rajouter : << J'ai des fourmis ! >>. Je pose ma bouche sur ses lèvres humides. Sa bouche sent le sperme. Je lui propose : << Veux tu continuer dans la voiture ? Il fait si frais ! >>. Valérie me prend par la main en me disant : << Oui. Je veux bien. Mais il faudra rouler pour faire fonctionner le chauffage ! >>. Nous marchons vite. Impatients de retourner à notre douce complicité juteuse.

Nous sommes pressés d'arriver à la voiture. Une dizaine de minutes et nous y voilà enfin. J'allume le contact et je démarre. Je prends la direction des collines sur ma droite, au carrefour, immédiatement à la sortie de la cité après l'université. Quelques kilomètres et l'espace intérieur du véhicule est agréablement chaud. Valérie me fait : << Mon "ex" n'aimait pas la pipe ! Tu imagines un peu mes frustrations ! >>.

La jeune fille ouvre mon pantalon. Elle se saisit de mon sexe trempé. Je roule lentement sur la route sinueuse. Elle mène aux ruines du vieux château. Je conduis avec une grande prudence. Valérie me suce. L'indicible caresse a repris. Pour moi, il est très excitant de me concentrer sur la conduite durant une fellation. C'est toujours extraordinaire. Je suis un grand spécialiste. Coutumier du fait. Je maîtrise totalement mon sexe. Dans les séquences les plus critiques, il me suffit de ralentir encore davantage. Il n'y a personne sur la route.

La bouche avide de Valérie est si douce ! Cette sensation est si profonde que je la souhaite soudain éternelle. Je conduis. Je suis très concentré sur la petite route sinueuse. Cela décuple le plaisir d'une inimaginable façon. C'est sublime. Divin. Je négocie chaque virage en épingle à cheveux en ralentissant encore. La voiture avance à peine. En cas de pépin que pourrait-il bien arriver ? Un arrêt total. C'est tout ! Il y a une dimension supplémentaire dans la gradation de ce plaisir particulier. Impossible de me faire un film durant la pipe en roulant. Il faut rester prudent. Put-Hein, quel pied !

Nous arrivons aux abords du château. L'auberge est encore ouverte. Je gare la voiture sur le parking. Il y a cinq ou six autres véhicules stationnés là. Je propose à Valérie de prendre un verre. La jeune fille, se redressant, la bouche humide, regarde autour d'elle. Reprenant ses esprits, elle me fait : << On est déjà arrivé ? J'aime bien cet endroit ! >>. Dans la pénombre je peux distinguer son menton luisant de liquide séminal. Aussi je lui tends un mouchoir en papier. << Tu es fou, je ne vais pas gâcher ! >>. C'est avec le doigt qu'elle récupère la substance. Valérie suce son index trempé en me fixant. Ce regard troublant m'excite encore davantage. C'est diabolique !

Nous entrons dans la petite auberge. Il est vingt trois heures trente. Il y a encore une dizaine de personnes pour regarder et écouter un trio de Jazz. Superbe ! La soirée touche visiblement à sa fin. Un contrebassiste, un guitariste et une violoniste jouent une musique pleine de swing. Un nouvel enchantement. Nous sommes sous le charme. J'adore ces anciennes interprétations du trio de Martin Taylor.

Devant un chocolat chaud et fumant, nous devisons. J'ai mon sexe congestionné. Bien rangé au fond de mon pantalon. Cette délicieuse sensation me fait penser à ce que je viens de vivre. Valérie est là, si belle, assise à mes côtés. Je lui fais part de mon ressenti. << Attends un peu ! Après il faudra redescendre ! Tu vas voir ce que tu vas voir ! >> me fait-elle en passant sa main sous la table. J'ai un vertige. Le bonheur sans doute. Ces fréquentes baisses de tension que m'impose Valérie me font tourner la tête.

Un véritable moment de grâce. C'est élégiaque. La jeune fille me montre la pointe d'une de ses mèches de cheveux collés entre eux. << Tu vois, tu en mets partout en conduisant ! >> me fait-elle. Je trouve cela d'une exquise finesse. J'approche ma bouche de son oreille pour murmurer : << C'est entièrement de ta faute ! >>. Pas du tout décontenancée, avec l'esprit de répartie, elle me fait : << Oui, je sais, je bave ! Je n'ai jamais réussi à savourer les bonnes choses proprement ! >>. Nous éclations de rire une fois de plus.

L'orchestre arrête sa prestation. Il est déjà minuit. Même si l'établissement ne ferme qu'à une heure du matin, nous décidons de prendre le chemin du retour. Valérie doit assurer son service au salon de Thé. Demain matin, dimanche et jusqu'à midi. Dès huit heures ! Sur la route du retour la jeune fille recommence à me sucer. J'ai eu le privilège de vivre avec des femmes qui aimaient ça. Mais je dois admettre que là, c'est une véritable sublimation. Valérie aime "ça" au-delà du raisonnable. Pas de doute. Mais quand même. A ce point ! Une nouvelle demi-heure. Nous sommes de retour en ville.

J'arrive dans la rue où est garée la voiture de Valérie. Je stationne derrière le véhicule. Fermant les yeux, je lâche enfin mon sperme. Une éjaculation démentielle. Plusieurs saccades qui me laissent hagard, épuisé. Vidé. Au propre comme au figuré. J'apprécie de faire durer. Je peux le faire des heures. Mais j'avoue que là c'est l'extrême limite. Entre l'arrêt cardiaque ou la démence. Nous reprenons doucement nos esprits.

Valérie me propose de venir prendre mon petit déjeuner au salon demain matin. Elle m'embrasse. Elle me fait, amusée : << Je ne sens plus ma mâchoire ! Put-Hein tu en balances de la purée ! Je ne sais pas si je m'en suis déjà prise autant ! >>. Pourtant, en homme attentionné, de nombreuses fois, je lui ai retiré la tête en la tenant par les cheveux. Valérie y revenait toujours très rapidement. Gourmande.

Je rentre chez moi épuisé. Je m'écroule dans mon lit comme une masse inanimée. J'ai le sexe congestionné. Les couilles qui vibrent encore



Classe
Valérie
Friday 15 October 2021 21:08

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 3 - © - 2021 - Tous droits réservés -



Un cadeau pour Valérie

Valérie m'envoie quotidiennement un courriel. Je m'applique toujours à y répondre immédiatement. Depuis notre premier rendez-vous, samedi soir, nous restons tous deux sur une délicieuse impression. Valérie est libre ce jeudi. Nous nous sommes donc tout naturellement fixés un nouveau rendez-vous. Cette fois, pour ne pas nous éloigner du centre de la ville, c'est sur le parvis de la cathédrale que nous devons nous retrouver. Quatorze heures. Nous arrivons presque à la même minute.

La jeune fille est vêtue d'un manteau noir et d'un pantalon noir. Elle est très élégante. Chaussée d'escarpins noirs à talons. Ses longs cheveux noirs flottent sur ces épaules. Sa silhouette filiforme la fait paraître plus grande encore. Conformément à ce que nous avons décidé dimanche dernier, lorsque je suis venu prendre mon petit déjeuner au salon de Thé, il est convenu de passer l'après-midi chez moi.

Après une demi heure de voiture nous arrivons chez moi. Dans le jardin Valérie m'embrasse avec fougue. Un enthousiasme qui témoigne de sa joie de me retrouver. J'aime sentir sa langue contre la mienne. Les baisers de la jeune fille sont profonds et sincères. Terriblement sensuels. Elle fouille ma bouche longuement. Je fouille la sienne avec avidité.

Une fois dans la maison je débarrasse la jeune fille de son manteau. Je mets de la musique en sourdine. Je propose un café. Assise sur le canapé, Valérie feuillette mon dernier numéro de Géo. Ce magazine que j'apprécie pour ses articles et ses photographies de très haut niveau. Les articles sont autant d'invitations aux voyages et à la découverte. Autant d'incitations à partir au loin.

J'apporte le café. Je dépose la cafetière de métal sur la petite table basse. Je m'assois près de la jeune fille. Valérie se serre contre moi. Je remue ma petite cuillère nerveusement. Pas seulement pour dissoudre le morceau de sucre au fond de ma petite tasse. Pour dissimuler un peu de mon trouble aussi. Je sens la main de la jeune fille monter le long de ma cuisse. S'arrêtant sur mon sexe. Je sens son souffle chaud sur ma joue et dans mon cou.

Très rapidement mon érection déforme ma braguette. Valérie déboutonne mon pantalon. Sortant mon sexe turgescent, la jeune fille se met à malaxer le prépuce avec son pouce et son l'index. Elle m'embrasse. Fouillant une fois encore ma bouche de sa langue exploratrice. Je suis le jouet d'un délicieux vertige. Je ferme les yeux. Je me laisse aller. Pourtant je garde toute ma raison car je veux réaliser mon "plan".

Au bout de quelques minutes je me lève. Je prends Valérie par la main et je l'emmène devant mon bureau. J'ouvre le bouton et la tirette de son pantalon. Immédiatement ce dernier tombe au sol. Je me baisse pour le lui retirer complètement. Elle retire sa culotte. J'invite la jeune fille à s'asseoir sur mon bureau. En s'asseyant, elle laisse tomber les chaussures qu'elle tient à la main. Je m'assois sur la chaise. Mon visage entre ses cuisses écartées.

Ma langue glisse sur les lèvres de son sexe. Je m'attarde sur le petit bouton de la jeune fille. Appuyée sur ses coudes, penchée en arrière, elle gémit doucement. Valérie a les cuisses relevées et les talons en appui sur le bord du bureau. Je lèche ce sexe délicieux. Je m'attarde longuement sur le clitoris. Avec mes lèvres je le décalotte doucement. Ma langue s'enroule autour de ce petit gland. Je déguste le goût de cette peau. Je savoure longuement.

Je descends à nouveau vers les lèvres du sexe de Valérie. Du bout de la langue je fouille chaque pli. Chaque repli. Je veux sentir le goût de son miel. A cette source, je savoure l'écoulement des sécrétions intimes. Je goûte jusqu'au vertige. L'excitation que provoque mes caresses induit des sécrétions laiteuses. Chaque fille a un goût différent. Celui de Valérie m'enivre.

Un long moment passe ainsi. Valérie est soudain agitée de petits spasmes. Les gémissements se font plus nombreux. Un long frisson parcours le corps de la jeune fille. De sa main droite, doucement, elle repousse ma tête en me disant : << Tu es fou, je vais devenir folle >>. Je m'efforce de résister. Je ne me laisse pas repousser. J'ai l'envie forte de repartir pour un second tour de manège.

Valérie se redresse. Assise sur mon bureau, me regardant, elle souffle en souriant. Elle rajoute : << Quel moment fabuleux ! >>. Je la regarde quelques instants. Je suis comme un petit animal qui quémande sa pitance. En écartant ses cuisses par surprise, avec mes mains, je reviens placer ma bouche sur son sexe. << Arrête , tu vas me rendre folle ! >> fait la jeune fille surprise par mon initiative. Elle tente bien en vain de me repousser encore une fois. Peine perdue. C'est déjà trop bon...

Je reprends ma succion. J'insiste sur le petit bouton. Je peux le sentir durcir à nouveau. La main de Valérie ne cherche déjà plus à me repousser. Je recommence à fouiller son intimité. Ma langue explore chaque pli de son sexe. Je peux savourer le goût de ses sécrétions. J'éprouve un plaisir intense à m'attarder ainsi. Je fouille les moindres recoins. Je cherche la source. Il y a vraiment de quoi se régaler.

Je n'oublie aucun endroit ni aucun secret. Ma langue caresse chaque plissure plusieurs fois et avec minutie. Je remonte sur le clitoris. Je fouille chaque petit recoin. Chaque petite cachette. Aucune partie n'échappe à mon exploration méticuleuse. Des frissons parcourent le corps de la jeune fille. Ses gémissements, doux et réguliers, m'enchantent. Je veux que ce moment dure toujours. Je me régale de ses substances. Je suis vraiment enivré de ce goût suave. Un nectar.

Soudain, de nouveaux spasmes viennent agiter le corps de Valérie. Des frissons la secouent toute entière. La jeune fille repousse ma tête. << Je vais perdre la raison ! >>. Valérie se redresse. Elle se lève, sautant de la table. Comme prête à se défendre d'un nouvel assaut. Chaussant ses escarpins la jeune fille retourne s'asseoir dans le canapé. Elle est à demi nue. Fermant les yeux, laissant tomber sa tête en arrière, elle me fait : << C'était merveilleux. Je ne me souviens pas d'avoir déjà vécu cela d'une façon aussi intense ! >>. Je réponds : << Après ce que tu m'as offert samedi dernier je te devais bien ce cadeau ! >>.

Je viens m'asseoir à ses côtés. Valérie s'allonge sur le dos et pose sa tête sur mes cuisses. Elle me fixe de ses yeux noirs d'un regard intense. J'ai l'impression qu'elle peut lire au plus profond de moi. << Je suis bien avec toi ! >> me fait-elle dans un soupir. Je murmure : << Moi aussi. Si tu savais ! >>. Je caresse ses cheveux. Elle se redresse un peu pour me dire : << Laisse moi goûter ta bouche ! >>. Sans attendre une réponse ou une réaction, Valérie m'embrasse. Longuement, avant de glisser sur le dos.

Il se passe quelques minutes d'un profond silence. Je l'entends respirer de façon régulière. Valérie s'est endormie. Je regarde son visage. Je la trouve incroyablement belle. Ses traits fins et réguliers sont étonnants. Son visage encadré de ses longs cheveux me paraît comme artificiel. Je savoure cette nouvelle découverte. Vingt sept années nous séparent. Comme s'il me fallait occulter ce paramètre, alors que Valérie l'apprécie, je m'abstrais dans l'introspection. Rapidement la raison reprend sa prérogative. Il serait absurde d'entrer dans quelques constats inutiles. D'obscurcir le bonheur de l'instant.

Je finis par m'endormir à mon tour...



Classe
Valérie
Monday 25 October 2021 11:59

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 4 - © - 2021 - Tous droits réservés -



Nous faisons l'amour

Nos échanges de courriels sont devenus une douce habitude. Nous aimons évoquer par l'écrit les délicieux moments que nous nous offrons. Cela nous procure tant de secrets plaisirs. De pouvoir échanger ainsi nos impressions. Glisser insidieusement vers les plus intimes détails. Dans son dernier message Valérie me propose de la retrouver en ville. Le lundi est son jour de repos. Malgré une vie privée tourmentée la jeune fille sait organiser son emploi du temps. Une fois encore elle arrive à se libérer pour cette seconde partie de la journée.

J'arrive pour quatorze heures. Valérie a suggéré un rendez-vous dans la galerie commerciale. Le grand magasin du centre ville. Une fois encore, avec cette étonnante ponctualité, la jeune fille arrive en même temps que moi. Toujours vêtue de son manteau noir et de son pantalon noir. Valérie est chaussée de ses escarpins noirs à talons. Elle me semble à chaque fois plus grande. Ses longs cheveux flottent en toute liberté sur ses épaules. J'aime cette apparence féline.

Une fois encore je lui propose de passer l'après-midi chez moi. Cette suggestion semble la ravir. Nous nous faisons la bise. Presque de suite Valérie se serre contre moi. << Comme je suis contente de te voir ! >> me fait-elle en se collant à moi. Je lui prends les épaules. Je lui fais : << J'ai pensé à toi presque tout le temps ! >>. Nous quittons le centre commercial pour marcher un peu à l'extérieur. En cette seconde moitié de mars le climat se radoucit un peu.

Une fois dans la voiture la jeune fille déboutonne mon pantalon. Sortant mon sexe, comme à son habitude, elle se met à jouer avec. Mon prépuce entre son pouce et son index. Cette sensation, d'abord agréable, devient très rapidement délicieuse. Une fois encore nous quittons le romantisme pour la sexualité. Une sexualité romantique comme Valérie se plait à appeler nos délicieuses étreintes.

Il y a trente minutes de voiture pour arriver chez moi. Nous bavardons. Je deviens peu à peu le confident de la jeune fille. J'apprécie de rouler en-dessous des limites de vitesses autorisées. Non seulement cela me procure un sentiment de sécurité supplémentaire mais cela me permet de profiter pleinement des paysages. Sans supprimer pour autant le plaisir de la conduite. Je suis à l'écoute.

Nous échangeons des bons mots et des rires. Il me faut également faire preuve d'une plus grande concentration sous l'effet des caresses incessantes de la jeune fille. Celle-ci aime à me déstabiliser en toutes circonstances. Prenant plaisir à me perturber quelque peu. Les filles restent le plus délicieux mystère de ma vie. Je suis un privilégié.

Nous arrivons chez moi, Valérie me demande de ne pas me reboutonner. Je ferme toutefois mon duffle coat. Il n'est évidemment pas question de se faire surprendre la braguette ouverte par les Bertrand. Mes voisins sont souvent dans leur jardin. En entrant dans la maison, une fois dans le hall, la jeune fille retire son manteau. Je retire le miens. Mon sexe, retrouvant sa liberté, pend de ma braguette.

La jeune fille, s'accroupissant devant moi, se met à me masturber doucement. Faisant toujours très attention de ne pas me décalotter. Ce que j'apprécie tout particulièrement. Rien n'est préférable à un gland bien protégé par cette météo de mars. Même à la maison. Approchant sa bouche, Valérie se met à suçoter l'extrémité de mon prépuce. Cessant le mouvement de son pouce et de son index, c'est avec ses lèvres qu'elle prend le relai. Immédiatement l'indicible caresse m'envahit d'une douceur vertigineuse.

Je vacille. Je chancelle. Valérie me tient par les cuisses. Elle maintient mon équilibre. Elle connaît bien le "principe" du bonheur qu'elle me prodigue. Mes origines écossaises lui permettent de réviser son anglais. Me fixant dans les yeux avant de fermer les siens, comme pour déguster, la jeune fille retire sa bouche pour me faire : << Are you ready, darling ? >>. Je réponds : << Yes, it's right ! Go baby ! >>. Elle engouffre ma virilité avec appétit.

Au bout de quelques minutes j'invite la jeune fille à se redresser. << Aïe, mes jambes ! J'ai vingt ans. Je me fais vieille ! >> me fait-elle en riant. Valérie me suit près du canapé. Je m'assois et j'invite la jeune fille à s'installer près de moi. Je lui demande : << Voudrais-tu un café ou un Thé ? >>. << Volontiers ! Un petit café ! >> me dit-elle en essuyant le liquide séminale qui luit et suinte sur le bord de ses lèvres.

Lorsque je reviens de la cuisine Valérie est nue. Totalement nue. Assise sur mon canapé, ses vêtements biens pliés sur la petite chaise. Valérie reste simplement chaussée de ses escarpins à hauts talons. La petite sangle de cuir enserre ses chevilles délicates. La jeune fille a un sourire terriblement évocateur. Le regard par en-dessous, elle m'observe. Coquine en diable...

Je verse le café dans la petite tasse. Sans en mettre à côté, malgré mon trouble. Je m'assois à nouveau. La jeune fille pose sa jambe gauche sur ma jambe droite. En écartant ainsi ses cuisses. De sa main droite elle touche son sexe toujours exposé. De sa main gauche Valérie tripote mon prépuce. << Tu aimes les surprises ? >> me fait-elle, mutine et amusée.

J'apprécie avec une sorte de solennité l'instant présent. Je lui fais part de mon trouble délicieux. De mon bonheur de vivre une telle situation. Je pose mon index sur la pointe de son sein droit pour lui dire : << Tu sais, ce que j'aime avec toi, c'est cette surprenante lucidité avec laquelle nous agissons tous les deux ! >>. Après un silence appuyé, je m'entends répondre : << Plus la lucidité est grande, plus le plaisir est intense ! >>. Comme la jeune fille a raison !

Il y a un petit moment de silence. Nous évoquons les émotions causées par la situation. Nos envies et la façon de les vivre. Valérie se met à califourchon sur moi. Je m'allonge du mieux que je peux. Les jambes tendues devant le canapé. Mon sexe turgescent pénètre Valérie. Un peu comme s'il était indépendant de ma volonté. Je me retrouve dans la jeune fille. Quelle délicieuse sensation. Le plus agréable fourreau dont on puisse rêver. C'est la place naturelle de nos deux sexes. Les deux pièces d'un puzzle enfin réunies.

Nous restons sans bouger. Nous fixant dans les yeux. Nos lèvres se frôlent de temps à autre. Nous sommes pleinement conscients. Soudain Valérie m'embrasse. Avec fougue. Profondément. Goulument. Comme à son habitude. La jeune fille fouille ma bouche de sa langue. De la salive coule sur nos mentons. Nous en bavons de plaisir. Passionnés et fous...

Doucement, de concert, nous nous berçons. Un mouvement lent, rythmé et régulier. Chaque balancement nous procure d'ineffables plaisirs. La langue de Valérie fouille ma bouche. Nous en sommes à baver sans retenues. Nous contrôlons parfaitement nos mouvements. Je peux sentir le bassin de Valérie. Elle recherche des sensations. L'angle le plus favorable. La jeune fille se concentre sur cette recherche tout en m'embrassant. Je cesse de bouger. Pour lui permettre de trouver.

La jeune fille accélère. Elle se tortille, souffle et gémit. Elle ralentit son mouvement. Contrôlant et maîtrisant totalement chaque instant de son plaisir. Et du mien. Je me laisse faire. Quel plus merveilleux spectacle que de voir cette jeune fille se concentrer ainsi. La recherche de sensations. Je l'observe, se tortillant sur mon pal. Valérie est en sueur. Des mèches de ses cheveux collent sur son front. Sur ses joues.

Soudain, sans prévenir, la jeune fille se retire et se lève. Se couchant sur l'épais tapis, les cuisses largement écartées, elle m'invite à la rejoindre. Prenant le coussin de velours, je le place délicatement sous la tête de Valérie. Je la pénètre avec d'infinies précautions. Cambrée sous moi, la tête rejetée en arrière, Valérie recommence ses explorations. Sa recherche de sensations. Son bassin se bloque contre le mien. Elle reprend son mouvement lent et régulier.

Je prends appui sur mes mains. Ne pas gêner ses recherches par le poids de mon corps. Parfois, elle m'entraîne à me coucher sur elle. Parfois, l'espace d'une seconde je me retire. M'introduisant à nouveau dans son sexe trempé en prenant appui sur mes mains. Nous restons longuement sans bouger. Il y a quelques à coups complices. Je reste immobile. Je la regarde se mordiller la lèvre inférieur. Valérie a les yeux fermés.

Lentement, passant ses jambes autour de mon corps, Valérie se met à imprimer un mouvement de va et vient. Je reste sans bouger. Appréciant chaque seconde de ce passionnant voyage, je m'efforce de n'en être que le passager. Nous échangeons des regards brûlants. << Tu te rends compte que je suis une baiseuse ? >> me fait la jeune fille en accélérant ses mouvements. Je ne sais que répondre.

Lentement, à mon tour, j'entre enfin dans la danse. Nous nous berçons dans une immense tendresse. Je suçote les sourcils de la jeune fille. Je passe mes lèvres sur la peau de son visage. Je veux sa sueur. J'ai envie de ne pas perdre une seule goutte de toutes ses sécrétions. A mon tour, je lui murmure : << Tu te rends compte que je suis un baiseur ? >>. << Ah non ! Je ne me rends compte de rien ! Tu es prié de faire quelques efforts ! >> fait-elle en riant, avant de s'agiter de plus en plus vite.

J'ouvre les yeux en même temps qu'elle. Nous nous regardons jouir. Avec attention. Une acuité d'entomologiste. Nous tentons en vain d'analyser nos émotions. Les expressions de nos visages mouillés de sueur. C'est absolument fabuleux de la voir jouir. C'est divin de découvrir les rictus de sa bouche. Les déformations de la commissure de ses lèvres. Ses paupières tressaillent. A mon tour je prends l'initiative de fouiller sa bouche.

Mon baiser profond déclenche un puissant spasme. Un frisson secoue le corps de la jeune fille. Se cabrant en arc de cercle Valérie émet un râle. Plusieurs gémissements. J'éjacule comme jamais. J'ai le feu au ventre. J'ai le feu aux reins. J'ai le feu aux tempes. Je suis là à mourir de plaisir. Dans un râle incontrôlable, je laisse mon jus s'écouler, se répandre partout dans la fille.

Nous restons immobiles. Trempés de sueur. Je pose ma tête contre son épaule. Les mains de Valérie caressent mon dos. << C'était merveilleux ! >> me fait-elle au bout d'un long moment. Je me retire doucement. Je m'allonge à ses côtés.

Avec ma bouche je descends sur ses tous petits seins pointus. Je m'y attarde un peu. Je descends plus bas. Je veux lécher le sexe de la jeune fille. En récupérer toutes les sécrétions. Je déguste chaque centimètre de sa peau humide. Je lèche cette sueur comme un animal. Je n'ai plus aucune inhibition. Je n'ai plus aucune dignité. Je suis entrain de me nourrir des saveurs de ce corps encore haletant. La jeune fille apprécie mes passions en gémissant doucement.

Valérie tente bien de faire de même. Nous sommes l'un contre l'autre. Chaque geste nous coûte. Nous plongeons dans un profond sommeil...



Classe
Valérie
Monday 1 November 2021 21:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 5 - © - Tous droits réservés - 2021 -



Une fellation divine

Dans ses deux derniers courriels Valérie évoque notre premier samedi soir ensemble. Cette première soirée au restaurant. Ce premier rendez-vous où nous sommes montés en voiture à l'auberge. Le trio de musiciens près des ruines du château. La jeune fille insiste sur son ressenti quand à cette soirée mémorable. Elle me propose une récidive le plus tôt possible. Nous fixons un nouveau rendez-vous. Comme cette première fois. Sur le porche de la cathédrale. Quatorze heures. La météo de ce jeudi de mars est enfin plus douce.

J'arrive cinq minutes avant l'heure. Quelle n'est pas ma surprise de la voir arriver en même temps que moi. Vêtue d'une jupe noire, de son manteau noir, elle est élégante. Très classe. Attractive et terriblement séduisante. Elle est chaussée de bottes noires à talons hauts. Ses longs cheveux noirs flottent en toute liberté sur ses épaules. Comme si elle avait guetté mon arrivée elle se dirige immédiatement vers moi.

Nous sommes une fois encore si heureux de nous rencontrer. Cela devient déjà une agréable habitude. Un grand moment. Nous commençons à l'évoquer souvent. Par courriels comme par téléphone. Nous nous faisons la bise. J'invite Valérie à venir passer le restant de la journée chez moi. Une fois encore cette suggestion semble la ravir. << Oh oui, superbe ! Emmène-moi chez toi ! Je suis si bien dans ta grande maison ! >> me fait-elle en se serrant contre moi.

Sur la route, dans la voiture, Valérie évoque quelques désagréables anecdotes. Des choses concernant sa vie privé. Je deviens son confident. La jeune fille me déboutonne la braguette. Elle aime mettre sa main dans mon pantalon. Elle prétexte le plus souvent, avec un sourire effronté, qu'il y fait bien chaud. Nous rions de bon cœur. J'aime aussi. Et cela lui change les idées.

Arrivés chez moi, après avoir retiré nos manteaux, nous nous mettons à l'aise sur le canapé. Je propose un café et quelques petits gâteaux secs. Lorsque je reviens dans le salon je découvre Valérie, jambes largement écartées, assise de façon lascive. La jeune fille me regarde d'un air terriblement suggestif. J'avale ma salive. Je reprends ma respiration. Je m'assois sur la chaise à bascule. Devant elle. Je veux profiter pleinement de ce magnifique spectacle. Je pratique le voyeurisme uniquement en esthète et dans la plus totale complicité.

Les bas noirs de la jeune fille s'arrêtent à mi cuisses. Ils sont retenus par un porte-jarretelle de la même couleur. Je me retrouve immédiatement en érection. J'apprécie toujours beaucoup ces surprises. Ces instants magiques que savent réserver les femmes cérébrales et entreprenantes. En cette circonstance l'absence de culotte est un cadeau supplémentaire. La toison noire et fournie de son pubis est une invitation aux douceurs les plus exquises. Une petite ficelle blanche pend de la touffe.

<< Dis-moi, tu me trouves salope ? >> me demande t-elle avec l'innocence d'une première communiante. Je la regarde en riant pour lui répondre : << Oui ! Terriblement salope. Mais si tu ne l'étais pas, ce serait d'un ennui profond ! >>. Nous éclations de rire. Se levant, Valérie vient m'embrasser tendrement et longuement. C'est pourtant sans sa fougue habituelle. Sa langue est caressante. Mon érection est presque douloureuse. Contrariée par les tissus de mon slip et de mon pantalon. Une torture délicieuse. Je devine où elle veut en venir.

<< J'ai envie de te tailler une pipe ! >> me fait-elle soudain d'une voix douce et innocente. Elle m'observe, curieuse et amusée. Silence. Rien ne m'impressionne davantage qu'une fille qui prononce ces mots : << J'ai envie de tailler une pipe ! >>. Elle mérite soudain toute mon attention. Cette phrase résonne dans ma tête comme une cantate de Jean-Sébastien sur les grandes orgues d'une cathédrale.

Je lui lance : << Tu ne veux pas que je te fasse l'amour ? >>. Je rajoute encore : << Rappelle-toi comme c'était bon la dernière fois ! >>. << J'ai mes "petits machins" ! >> répond t-elle. C'est la petite ficelle. Il y a un silence. La jeune fille rajoute : << Et même si ce n'était pas le cas, je voudrais te faire une pipe quand même ! >>. Je regarde sous sa jupe. Je fixe son regard. J'ai devant moi la plus spectaculaire des attractions. Les mots qu'elle vient de prononcer résonnent comme une sonate de Wolfgang Amadeus Mozart dans la salle de l'Opéra.

Je m'installe sur le canapé. Je dépose le plateau sur lequel sont disposées les tasses et la cafetière. J'ouvre la boîte en fer contenant les gâteaux. Valérie se tourne vers moi pour me dire : << Ce que je t'ai fait dans la voiture, j'aimerais le refaire dès que possible ! C'était trop bon ! >>. Je reste silencieux un instant avant de répondre : << Moi aussi j'aimerais bien revivre cette situation. Tu m'as vraiment fait délirer ! Si tu veux, samedi soir on récidive ! >>. Je laisse à la lectrice d'imaginer mon érection. Je laisse au lecteur d'imaginer mon excitation. Voilà tout de même trois versions de la même obsession qui anime Valérie.

Valérie est assise à côté de moi. Elle pose sa main gauche sur ma braguette ouverte. << Je crois qu'on va s'éclater comme des fous toi et moi ! >> me fait-elle. Je la regarde. Son sourire est espiègle. La jeune fille murmure : << Oui, je crois que nous avons beaucoup de choses à partager ! >>. Valérie saisit mes deux mains pour me fixer longuement de ses yeux noirs et brillants pour rajouter : << J'avais Nathalie au téléphone hier. Elle m'a dit de bien m'occuper de toi ! >>. J'ai un petit pincement au cœur à cette évocation...

Valérie prend une position confortable. Sortant mon sexe turgescent, dont l'extrémité est humide et suintante, elle se met à me masturber doucement. Comme elle aime à le faire. La coquine malaxe la peau de mon prépuce du bout de ses doigts. << Je veux me régaler ! >> me fait-elle avant de m'embrasser longuement. Je suis en transe. Impossible de dissimuler le trouble qui me fait frissonner. Cette fille a un pouvoir ensorcelant sur ma psyché. Sur ma libido également. Mon érection est presque douloureuse.

Se mettant à l'aise, se couchant sur le côté, la jeune fille approche son visage de mon sexe. Je peux la voir dans le reflet de l'écran éteint du téléviseur. Je lui en fais part. << Je sais. J'avais remarqué les fois précédentes. Je t'ai même regardé faire la dernière fois ! >> me fait-elle, tournant sa tête vers moi. Avec un sourire coquin, Valérie appui son propos d'un clin d'œil. << Je suis encore plus salope que tu ne l'imagines ! >> chuchote t-elle en passant son index sur le bout de mon nez.

<< Tu n'as pas un DVD porno ? >> me demande t-elle soudain. Je la regarde en riant avant de répondre : << Si, évidemment, j'en ai ! >>. << Mets-en un s'il te plaît ! Ton préféré ! >> me fait elle. Je me lève. J'ouvre le tiroir du meuble. Je sors un DVD. Je l'engage dans le lecteur. J'attends. Le film commence. Une production Californienne de très bonne qualité que j'ai acquis sur un site sécurisé de vente par correspondance.

Je reviens m'assoir. Le générique se termine. Quatre jeunes femmes, Californiennes de rêves, habillées en bourgeoises, regardent avec attention le petit sexe ridicule d'un culturiste nu. Soupesant, tripotant, branlant, suçant parfois tout en riant, les quatre jeunes femmes rendent tout cela très attractif. La dérision, le second degré. Je trouve que le sexe sans humour est d'une infinie tristesse. Cette spécialité CFNM (Clothes Female Nude Male) est très prisée des onanistes, des exhibitionnistes et des voyeuses appréciant les déviances sexuelles de haute qualité. En riant, Valérie me dit : << CFNM ça peut aussi signifier "Community Foundation of Mississipi ! >>. Nous éclatons d'un fou rire démentiel.

Le style CFNM propose toujours des choses de ce genre. On y baise pas ou alors rarement. Par contre ce sont toujours des situations bien vicelardes. Docteurs, douanières, hôtesses de l'air, policières ou encore étudiantes, les actrices y interprètent les différents personnages à la perfection. C'est évidemment très professionnel et rien n'est laissé au hasard. C'est américain. Tout est si bien filmé. L'homme, invariablement, est le "jouet" de ces dames. Fabuleux, fameux ! Salles d'attente, salles de sport, salles de classe servent le plus souvent de cadre pour toutes ces péripéties hautement excitantes. Dans la réalité, ces prestations coutent extrêmement chers.

Valérie regarde avec amusement et grand intérêt. << J'aime les pornos un peu "glauques" ! >> me fait-elle. Valérie me masturbe doucement. Puis, se penchant sur le côté, Elle dépose sa bouche sur l'extrémité de mon sexe. Seules ses lèvres exercent une légère succion. Je peux sentir le bout de sa langue qui fouille l'orifice de mon méat. Une fois encore un délicieux vertige me fait chanceler. Je risque l'apoplexie. Je sens battre mon cœur comme s'il était à l'extérieur de ma poitrine.

Je regarde le film. Je ne le connais pas trop. La sensation est évidemment intense. Au lieu de me masturber en regardant ces images pornographiques, je me fais sucer. C'est incomparable. Valérie induit en moi une nouvelle addiction. C'est une découverte absolument sublime. Par la conjugaison de l'indicible caresse et des images du film, les sécrétions de liquide séminale sont décuplées. Souvent je baisse les yeux. J'observe ma suceuse qui gémit de bonheur. Fabuleusement excitant ! Ce qui se passe là, dans mon salon, est "immense" !

Doucement, les lèvres de la jeune fille coulissent sur mon sexe jusqu'à le gober. Cette sensation de douceur vertigineuse envahit tout mon être. Malgré moi je ferme les yeux. Les images pourtant hautement suggestives du film m'importent soudain très peu. Je n'en ai pas réellement besoin. Je savoure ces instants d'un plaisir indescriptible. A chaque fois que j'ouvre les yeux, c'est une autre actrice qui branle, qui suce, qui rit en racontant des cochonneries à ses copines. Ces professionnelles du sexe jouent la comédie à la perfection.

Je me laisse aller. Par contraction de mon périnée, j'agite mon sexe par de petits mouvements réguliers. Cela a également pour effet d'épancher d'abondantes sécrétions. J'entends la jeune fille déglutir encore et encore. Parfois, en même temps, Valérie occupée à sa dégustation, émet des gloussements. Un peu à la manière d'un petit animal. C'est passionnant. Beaucoup plus que le film. Contrairement aux femmes du film, Valérie ne fait pas ça pour de l'argent. Elle le fait par passion. La différence est primordiale.

Je cesse. Je reste sans bouger. Je laisse la jeune fille pomper le résultat de mes petites contractions. Elle savoure en gémissant. Je sens bien que par moment il doit lui être difficile de tout avaler. Sans en perdre et sans baver. Elle se crispe un peu dans ces instants précis. Afin de tout récupérer. Tout cela participe de mon excitation grandissante. Bien évidemment tout cela favorise encore davantage de sécrétions. Un cercle sans fin. Un cercle vicieux. Terriblement vicieux. Et nous sommes deux vicieux se livrant au vice.

Lorsque j'ouvre les yeux je peux regarder le film. A tour de rôle les quatre bourgeoises à genoux sucent le sexe ridicule du culturiste. Une sorte de Terminator sans charisme. En retirant sa bouche, chacune d'entre elles, laisse un long filament de liquide séminale épais et visqueux. Ce qui les fait rire comme des folles. Je sens qu'à l'instant présent Valérie déglutit la même chose mais proprement. Et surtout sans rire. Mon excitation est à son comble. Je préfère infiniment "mon actrice" à toutes les autres. Vraiment. Je referme donc les yeux.

Parfois Valérie tourne la tête, tout en suçant, pour suivre le déroulement du film. Cela nous excite considérablement l'un et l'autre. Je recommence mes contractions. Je fabrique du jus. La jeune fille savoure. Elle se régale en émettant des gloussements vicieux. Valérie n'a nul besoin de simuler devant un metteur en scène et un caméraman Californien. C'est pour de vrai. Parfois elle arrête de tailler pour commenter ce qui se passe à l'écran. J'écoute. Je ressens les battements de mon cœur dans mon sexe. Est-ce mon cœur que Valérie suce ainsi ? C'est une impression étrange, presque inquiétante.

J'aime à faire durer. Je le dis toujours aux femmes qui désirent me "goûter". C'est la moindre des convenances. Valérie le sait déjà. Au bout de trois quart d'heure, en me contrôlant totalement, sans bouger, j'éjacule en laissant filer un long jet de sperme. Le film arrive à sa fin. Les bourgeoises sucent comme si leurs vies en dépendaient. Valérie, dans un râle, avale par à coups le fruit de sa passion. La résultante juteuse de sa fellation. L'osmose parfaite entre le réel et le virtuel. Il faut dire que mes éjaculations sont abondantes. Excité je peux remplir la moitié d'un verre à cognac. Le tiers d'une flûte à Champagne. Cela m'a complexé jusqu'à l'âge adulte.

Je reste ainsi dans une sorte de "coma" conscient, avachi sur le canapé. Valérie, avec mon sexe semi-mou dans la bouche, déglutit ce qui veut bien encore s'épancher. C'est le pompage du fameux "fond de cuve". La parfaite vidange avant le prochain remplissage. Je vois de la jute collée aux coin droit de sa bouche. Mon sperme est épais, gluant et ne coule pas. De la "purée". Du yaourt façon "Bulgare"...

Je veux repousser sa tête délicatement. La jeune fille oppose une forte résistance. J'ai un besoin naturel qui commence à se faire sentir. Je fais : << Si tu continues je ne réponds pas de la qualité de ce que tu vas pomper ! >>. Avec un gémissement de contentement, Valérie enfonce mon sexe encore plus profondément dans sa bouche. M'emprisonnant ainsi dans une situation où elle reste la maîtresse de cérémonie. Ce sentiment qu'ont les femmes qui aiment sincèrement la fellation. Elles dirigent le plaisir de l'homme et l'emmène où elles le souhaitent. C'est vertigineux.

Nous repartons pour un second tour. Mon sexe congestionné, presque douloureux, retrouve toute sa raideur au bout de quelques minutes. C'est toujours une curieuse sensation qu'il faut surmonter avant d'apprécier le second épisode. Mais une fois ce cap franchi, c'est un enchantement paradisiaque de chaque instant. Et je suis un fin connaisseur. Un jouisseur invétéré. Je me suis fais sucer tant et tant de fois. Et pourtant c'est à chaque fellation la "première".

Valérie se remet à sucer avec conviction. Mon sexe redevenu dur s'épanche sans doute d'un mélange étonnant. Avec mon envie de plus en plus pressante il devient difficile de contrôler à la fois le débit et la qualité. J'entends la jeune fille déglutir de façon régulière. Mon érection reprend avec une vigueur surprenante. Pour réfréner ce débit, je n'ai plus qu'à recommencer mes contractions. Cela fait diversion à mes sens. Ce procédé permet de me concentrer sur ce qui se passe. Valérie se régale en gémissant. Je suis un peu gêné. Je viens de me lâcher d'un petit jet.

Je contrôle à nouveau totalement la situation. Mes contractions régulières permettent à la jeune fille de pomper de bonnes quantités de liquide séminale. Comme toujours, régulièrement, en parfait gentleman, je lui retire la tête en la tenant par les cheveux. Je permets ainsi à Valérie de reposer sa mâchoire. De pouvoir reprendre son souffle. C'est elle qui force toujours les choses pour y retourner le plus vite possible. Je remarque ses yeux humides. Il y a même une larme qui coule entre son nez et sa joue.

Au bout d'une nouvelle demi-heure j'éjacule en trois saccades. Mes spasmes me secouent de délicieux frissons. Du bas du dos jusqu'à la nuque. Valérie se serrant contre moi, mon sexe toujours dans la bouche, avale en rythme. Les mêmes frissons la secouent tout autant. Elle pompe avec force pour me vider une nouvelle fois complètement. Elle reste ainsi un moment pour sucer jusqu'à la lie. Je vais m'évanouir.

Enfin, je peux repousser la tête de la jeune fille. Elle se redresse et me fait : << Comme c'est bon. Tu es génial ! Je déteste quand on lâche la purée au bout de cinq minutes ! Quelle horreur ! >>. Je lui murmure : << Toi aussi tu es géniale ! >>. Je lui dépose une bise sur la bouche. Tout le bas de son visage est trempé. Des cheveux mouillés collent sur ses joues luisantes. Valérie m'embrasse avec cette fougue qui lui est coutumière. Elle fouille ma bouche de sa langue fougueuse. L'odeur et le goût du sperme exhalent fortement de sa bouche. Sa joue gauche et son menton encore mouillés de sperme sont glissants sous mes doigts.

Cela fait longtemps que le café dans les tasses a refroidi. Cela fait longtemps que le film est terminé. Sur mon invitation nous terminons la soirée au restaurant. Nous en profitons pour élaborer notre prochaine expérience à venir. Rendez-vous dimanche matin, au salon de Thé, pour un solide petit déjeuner. Après un samedi soir ensemble. Juste nous deux...

Julien



Classe
Valérie
Thursday 11 November 2021 19:09

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 6 - Tous droits réservés - © - 2021 -



Valérie me présente Isabelle

Depuis quelques jours, dans ses courriels, Valérie évoque sa relation d'amitié avec Isabelle. Une jeune fille de son âge. Je n'y prête pas grande attention. Des histoires de filles sans doute. Je ne sais d'ailleurs rien sur la nature de cette amitié. Plutôt indifférent je m'abstiens de commenter ou de répondre. Je préfère m'attarder sur ce qui me passionne vraiment. Valérie. Pourtant hier, dans son dernier message, elle se fait plus insistante. Elle souhaite vraiment me présenter Isabelle.

Nous avons nos échanges de courriels quotidiens. Ce dernier dimanche matin de mars je viens prendre mon petit déjeuner au Salon de thé. Valérie fait le service. La jeune fille m'a confié les récents évènements concernant sa vie privée. Une situation qui demande un investissement en énergie assez conséquent. Valérie semble fatiguée. Même s'il lui est impossible de s'installer à ma table, elle me croise avec de nombreux sourires complices. Comme elle est belle encore ce matin !

J'arrive vers huit heures. Il y a un vieux monsieur assis à une table en retrait. Il lit son journal devant un café et des croissants. Valérie est heureuse de me voir. Oubliant presque toute réserve, elle vient vers moi d'un pas rapide. Nous nous faisons la bise. Avec cette désinvolture habituelle, la jeune fille passe sa langue sur mes lèvres. Rapidement. J'adore cette façon sensuelle de toucher ma bouche.

A cette heure-ci la clientèle de la boulangerie afflue en grand nombre. C'est un flot continu d'amateurs de baguettes chaudes, de petits pains, de pâtisseries et autres viennoiseries. Impossible de bavarder. Aucune opportunité de pouvoir échanger plus de quelques mots rapides tout en passant. Une situation plutôt frustrante. L'essentiel est d'être à proximité l'un de l'autre.

Je m'installe au fond du Salon de thé. Entre le mur et le ficus géant. Je suis confortablement assis. Juste derrière la plante verte. Mon journal devant moi je me mets à lire. J'attends Valérie et ma commande.

Un petit moment s'écoule. La serveuse arrive avec un grand bol de chocolat chaud et fumant. Deux petits pains au chocolat et un pain brioché. Elle me dépose rapidement un baiser sur les lèvres et me fait : << Je vais te présenter Isabelle. Elle arrive d'ici dix minutes, vers huit heures trente. Soit bien vicelard s'il te plaît. Montre-lui ta bite ! >>. Me laissant consterné, Valérie file immédiatement pour aller servir les clients. Mais qui donc est cette Isabelle ? Et pourquoi devrais-je être vicelard ? Quelle curieuse demande !

Je suis plongé dans la lecture de mon journal. Une jeune fille entre dans le salon. Elle descend les trois marches. L'inconnue est seule. Elle prend place à deux tables de la mienne. Elle ne me voit pas. En tout cas elle ne fait pas attention à ma présence. Vêtue d'une jupe bleue, d'un manteau noir ouvert sur un pull bleu également, elle est plutôt élégante. Chaussée de bottes noires à talons, la jeune fille présente une silhouette élancée. Brune, les cheveux longs sur ses épaules, elle est également très attractive.

L'inconnue s'assoit presque en face de moi. Entre l'aquarium et la porte des toilettes. Sortant un téléphone de son sac elle se met à le scruter avec attention. Un petit moment passe. Valérie vient prendre la commande auprès de la nouvelle arrivante. Elle lui fait la bise. Discrètement, juste avant de retourner au magasin, en remontant les marches, Valérie me fait un clin d'œil et lève son pouce.

Je comprends qu'Isabelle est arrivée. C'est donc la jeune fille assise là. Elle doit avoir l'âge de Valérie. Il y a d'ailleurs quelques ressemblances. Quelques détails communs. Je fais semblant de m'abstraire dans la lecture de mon journal. Je louche discrètement dans sa direction. Cette dernière est toujours concentrée sur l'écran de son téléphone. Du moins, c'est l'impression qu'elle semble vouloir donner. Valérie revient avec un grand café et deux croissants.

Entre temps un couple vient de s'installer à une autre table. C'est la première fois que je vois tant de monde en ce lieu. Je ne viens que certains après-midi de semaine. La fréquentation d'un dimanche matin est indiscutablement plus conséquente qu'en semaine. J'aime le calme et une certaine forme de solitude. Il faut donc composer avec les circonstances. Je me lève pour placer mon manteau sur le dossier de la chaise de droite. Une sorte d'écran supplémentaire qui me dissimule au reste du salon.

Valérie, après avoir posé le plateau sur la table d'Isabelle, vient prendre la commande au près du couple. Je la regarde se mouvoir avec ravissement. Remontant les trois marches de l'escalier, juste avant de disparaître derrière le grand aquarium, Valérie se tourne vers moi. Elle se retourne pour me faire un nouveau clin d'œil. Elle me montre Isabelle du doigt de la main gauche. Discrètement et rapidement Valérie mime une masturbation masculine de sa main droite.

Un frisson parcourt mon échine. Une légère excitation m'envahit. Ainsi Valérie m'a préparé un "plan" ! Je regarde dans la direction d'Isabelle. Depuis ma place je découvre que la jeune fille est assise avec les cuisses légèrement écartées. Je comprends que la situation est délibéré. Les contenus des courriels échangés à propos d'Isabelle m'apparaissent soudain dans toutes leurs significations. Comme je suis bête !

Discrètement je passe ma main droite sous la table. Je me touche le sexe. Je scrute avec attention autour de moi. Il n'est pas question d'être vu à mon insu. De ma place personne ne peut voir ce que je fais. Personne, sauf Isabelle. Je fais le test ultime. Je veux constater les réactions d'Isabelle. Il me faut le "feu vert" pour la suite. Je déteste importuner les gens. Le regard de la jeune fille est sans équivoque. Je peux y aller...

Avec de multiples précautions je déboutonne ma braguette. Mon érection, contrariée par le tissus de mon pantalon, rend les choses difficiles. Mon sexe est déjà humide et bouillant. Sous la table, je le tiens entre le pouce et l'index de la main gauche. Je remue la cuillère dans mon chocolat de ma main droite. Je louche dans la direction de la jeune fille. En faisant diversion.

Isabelle vient sans doute de se rendre compte de mes agissements. Discrètement mais avec attention elle fixe la scène. Un léger sourire illumine son visage d'une expression amusée. Je sens la sueur me couler dans le dos et sur le bout du nez ! De légers picotements couvrent tout mon corps ! La peur. L'angoisse d'être surpris. Tout cela ajoute encore à l'excitation du moment. Pourtant personne ne peut voir ce qui se passe.

La jeune fille passe la main droite sous la table. Je ne discerne pas ce qu'elle fait. Je décalotte mon gland en tirant doucement sur le prépuce. Avec le pouce et l'index. Cet acte discret et terriblement excitant me fait frissonner. Le "plan" évoqué par Valérie depuis quelques temps, dans ses courriels, est donc de cette nature. Les deux filles ont préparé cette rencontre. Elles ont provoqué cette situation. Isabelle doit se toucher sous sa table. J'en suis certain.

Isabelle me fixe dans les yeux. Dans l'obscurité, sous la table, elle a les cuisses écartées. Je soutiens son regard. Je suis parcouru de frissons. Au bout d'un petit laps de temps je me reboutonne. Je le fais avec un mal fou. Mon érection est démentielle. Je me rends aux toilettes. Je me déboutonne une nouvelle fois. Je laisse pendre mon sexe au dessus de la faïence de l'urinoir. Je souffle enfin. Je respire fortement. Cela me libère de mes oppressantes émotions.

Je suis là à reprendre mes esprits. Presque soulagé. La porte des toilettes s'ouvre. Isabelle y pénètre. Immédiatement elle m'adresse ces mots : << Je suis l'amie de Valérie. Elle m'a parlé de toi. Je voulais en savoir plus. Elle ne m'a pas menti. Tu es vraiment un super vicelard ! Génial ! >>. Je suis interloqué. Debout, là, je me sens soudain stupide et vulnérable. En tous cas, très loin du "super vicelard" souhaité. Pour l'instant...

Isabelle s'accroupit. Les cuisses écartées. Elle regarde mon sexe avec attention. Elle me fixe dans les yeux en me lançant : << Ce n'est peut-être pas le lieu, ce n'est peut-être pas le moment, nous ne sommes pas vraiment seuls, mais ta bite me fait vraiment envie ! >>. Je ne sais toujours pas quoi répondre. Décidément, j'ai un abonnement aux jeunes filles entreprenantes et délurées. La loi des séries. Cette fameuse loi de Murphy sans doute. Il me faut affronter cette idée et cette réalité. Et cela dure depuis quelques mois.

Isabelle se redresse et me fait encore : << Nous aurons l'occasion de passer une soirée ensemble avec Valérie ! Tu es OK ? >>. Je trouve enfin la force et les mots pour dire quelque chose. Je réponds : << Je suis vraiment enchanté. Bien sûr que je suis OK ! >>. Avec un sourire entendu Isabelle me laisse. Elle retourne au Salon. Dans ses derniers courriels Valérie évoque l'existence d'Isabelle. M'informant très vaguement des quelques expériences vécues avec elle. Tout devient à présent très clair dans mon esprit.

Je reste encore un peu là. Je me masturbe légèrement. Je me demande si tout cela est bien réel. Pourquoi moi ? Pourquoi ces choses qui n'arrivent toujours qu'aux autres, m'arrivent-elles enfin à moi ? Maintenant ? Lorsque je reviens au salon Isabelle a disparu. Il ne reste que la tasse et la coupelle. C'est suffisant pour être certain de n'avoir pas rêvé.

Valérie vient débarrasser la table. Elle se rapproche pour me demander : << Alors ? Tu la trouves comment ? >>. Je ne sais quoi dire. Je réponds bêtement : << Elle est superbe ! >>. Je fixe Valérie avant de rajouter : << Mais elle m'intimide vraiment ! >>. Avant de retourner au magasin Valérie me fait encore : << On se voit demain. Lundi. Quatorze heures sur le parvis de la cathédrale. Nous aurons l'occasion de préparer une stratégie. Bisous ! Viens vite ! >>. Valérie retourne à son travail.

Je quitte la boulangerie pour aller flâner un peu en ville. Je dois me remettre de toutes ces émotions. Il me faut me remettre les idées en place. Je marche sans véritablement regarder autour de moi. Je suis abimé dans de délicieuses introspections...

Je suis impatient d'être déjà demain. Lundi...



Classe
Valérie
Saturday 20 November 2021 13:20

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 7 - Tous droits réservés - © - 2021 -



Valérie m'emmène visiter Isabelle

Le dimanche matin, je viens prendre mon petit déjeuner au salon de thé. C'est ainsi depuis trois semaines. Même si nous n'avons pas l'occasion d'échanger beaucoup, Valérie et moi, nous pouvons au moins nous voir. Non seulement ce nouveau rituel nous enchante mais il devient nécessaire. Nous fixons notre prochain rendez-vous à demain, lundi. Quatorze heures. Sur le parvis de la cathédrale.

Valérie arrive en même temps que moi. Comme souvent la jeune fille est vêtue d'un pantalon noir et de son manteau noir. Elle est chaussée de souliers noirs à talons hauts. Je la trouve très élégante. Lorsqu'elle n'est pas au salon de thé, les cheveux de Valérie flottent sur ses épaules. Je me promets de la filmer ainsi, un jour, pour habiller mes souvenirs et pour en garder de délicieuses images.

J'aime la regarder se mouvoir. Au salon de thé ou ailleurs. De sa démarche légère la jeune fille marche rapidement vers moi. Elle affiche un sourire radieux et séducteur. Nul doute, je suis sous le charme de cette ensorceleuse. Une situation voulue, souhaitée et désirée. C'est réciproque. Je descends les marches pour venir à sa rencontre. Nous sommes tous deux heureux de nous revoir une nouvelle fois. Elle dépose un baiser sur mes lèvres. Je la prends par les épaules.

Me prenant le bras, marchant lentement, Valérie me demande : << Quelle impression gardes-tu de ton entrevue avec Isabelle au salon de thé ? >>. Je réponds après un profond soupir : << Une excellente impression. C'est une drôle de surprise que tu m'as fait là ! >>. La jeune fille s'arrête. Se tournant vers moi, me prenant les deux mains avec un sourire, elle me fait : << Et bien la surprise n'est pas terminée. Nous allons visiter Isabelle ! >>.

Je reste interloqué. Les bras ballants le long du corps. Ne sachant quoi dire. Ne sachant quoi penser. Aussitôt, comprenant mon trouble, Valérie me reprend le bras. Elle m'entraîne, accélérant le pas. Je sens bien que la jeune fille s'amuse de la situation. Valérie doit mesurer un mètre quatre vingt. Ses talons hauts la grandissent encore. C'est toujours impressionnant pour moi. Très pratique pour mon mètre quatre vingt huit. J'aime les filles de hautes tailles. Je me laisse emporter par cette fougue. Le tourbillon des surprises. Que pourrais-je bien faire d'autre ?

Nous marchons depuis un petit moment. Nous passons devant le salon de thé. Ce lundi, jour de fermeture, un épais volet de métal en masque la vitrine et l'entrée. Nous arrivons au coin de la rue. Là, devant l'hôtel qui fait l'angle, Valérie m'invite à gravir les marches de l'escalier. Elle m'entraîne par la porte tournante. Nous pénétrons à l'intérieur du hall. L'établissement est silencieux et désert.

Quelle n'est pas ma surprise. C'est Isabelle qui assure la réception. Elle nous accueille avec le sourire. Contournant le comptoir, la jeune fille vient nous faire la bise. Soudain l'agréable frisson causé par le souvenir de notre petite aventure m'envahit. Une délicieuse sensation. Sans doute partagée. Une fois encore, je n'ai qu'à me féliciter d'être un sacré coquin. Un libertin qui sait s'amuser.

<< Comment va depuis le salon de thé ? >> nous fait-t-elle. Isabelle nous observe en souriant. Elle rajoute : << Venez. Installez-vous dans le petit salon ! >>. La jeune fille nous entraine à sa suite. Nous contournons le bureau de réception. Nous nous retrouvons dans une pièce charmante. Un petit salon meublé de quelques fauteuils. Il y a trois petites tables basses. Un canapé. Un haut buffet. L'endroit respire le calme. Isabelle me fait un clin d'œil.

Valérie et moi nous nous installons dans deux des confortables fauteuils. << Vous prenez quelque chose ? >> nous demande Isabelle. Quelques minutes plus tard, devant des cafés, nous bavardons à voix basses. Isabelle reste debout. Elle surveille la porte d'entrée. La jeune fille observe par la minuscule fenêtre. Une ouverture aux vitres fumées qui sépare la réception du salon. D'ici, il y a une vue parfaite sur le hall.

<< Des commerciaux arrivent pour seize heures ! Il y a une conférence de travail ce soir. Une sorte de colloque ! >> nous fait la jeune fille. Une sonnerie retentit. Isabelle nous laisse pour répondre au téléphone. Valérie me demande, espiègle et amusée : << Sors ta bite ! Il n'y a aucun risque ! >>. Obéissant, curieux de tout, après un moment d'hésitation, je déboutonne mon pantalon. Je sors mon sexe. Je garde toutefois les deux mains dessus. Presque pudique.

Je suis assis. Je me sens un peu stupide avec mon sexe dressé. Valérie me fait un clin d'œil et me fait : << Tu n'as pas envie de te branler un peu ? >>. Je commence une lente masturbation. La situation plutôt insolite ne m'excite pas vraiment. Je suis anxieux. Faire cela dans un lieu dont je ne connais pas les particularités me déstabilise.

Valérie pose sa main sur son sexe. A travers le tissus de son pantalon et avec un léger mouvement régulier. Du bout de ses doigts elle se touche. Je regarde avec étonnement. J'entre dans ce jeu un peu malgré moi. Je commence même à apprécier l'instant. Je reste toutefois sur mes gardes. Finalement, en érection, je finis par surmonter mes appréhensions bien légitimes.

Je me masturbe franchement. Légèrement cambré dans le fauteuil, j'ai un lent et régulier mouvement de ma main droite. Ma main gauche soutient mes testicules. Je viens de les extraire de ma braguette béante. Je suis habité d'un réel plaisir. Sans retenue. La situation achève de m'exciter vraiment. Valérie, tout en se touchant, observe avec une grande attention. Son regard passionné posé sur mon sexe. Sur mon activité. J'aime les coquines. Je m'ennuie tellement avec celles qui ne le sont pas que j'évite de les fréquenter.

A cet instant arrive Isabelle. Elle découvre la scène. Sans doute un peu surprise, elle a mouvement d'étonnement. Debout dans l'encadrement de la porte, la jeune fille nous observe. Isabelle est vêtue d'un tailleur noir et d'un chemisier blanc. Elle est chaussée d'escarpins noirs à talons. Je la trouve d'une élégance remarquable. La jeune fille regarde à présent amusée. Valérie et moi nous nous masturbons en riant.

Se tournant vers moi Valérie me fait : << C'est génial non ? Pourquoi s'emmerder ? >>. Je ne sais pas quoi répondre ! Bien évidemment c'est génial. Tout rouge, en sueur, je savoure l'intensité de ces instants. Nous sommes tous les trois à apprécier ce moment. Chacun avec sa perception de l'évènement. Un silence s'installe. Nous percevons le souffle de nos respirations. L'air paraît lourd. Le vice est presque palpable. C'est comme dans un film porno. Un de ces films japonais, de haut de gamme. Avec des acteurs de classe. De superbes filles.

Isabelle s'accroupit. Elle passe sa main droite sous sa jupe. Tirant sur ses collants afin d'introduire sa main dans sa culotte. Les cuisses largement écartées, face à nous, elle commence à se masturber également. Isabelle se met à haleter. Sa respiration se fait plus forte. Valérie, sur ma droite, s'empare de mon sexe. Nous sommes tous les trois à nous faire du bien. Dans une situation totalement surréaliste. C'est tout simplement divin...

Cela dure un long moment. Je suis à la limite de l'éjaculation. Même si je sais parfaitement contrôler mes épanchements, il me faut redoubler d'effort. Je sais faire durer mon plaisir. Je sais même différer mes éjaculations. Voire les éviter. Cette situation nouvelle, torride, ne fait que remettre tous ces paramètres en question. Isabelle vient de s'accroupir. Cette position, chez une fille, accélère les battements de mon cœur jusqu'au stade critique. L'aiguille est dans le rouge. Le volume sur 11.

Nous respirons fortement. Un souffle haletant rythme nos activités masturbatoires. Nous lâchons de légers gémissements. Je vois briller le carrelage humide sous la jupe d'Isabelle. Je comprends ce qui vient de se passer. Je comprends ce que la jeune fille vient de faire. Isabelle ne perd pourtant pas le sens des réalités. Elle tourne régulièrement sa tête pour surveiller. Une grande prouesse que j'admire. Je suis tellement excité. Merveilleuse coquine.

Soudain il y a un bruit de pas. Nous entendons des voix. Il y a des arrivants dans le hall. Des paroles sont échangées. Des rires. C'est brusque. L'enchantement s'évanouit d'un coup. Non sans nous faire violence nous cessons immédiatement nos agissements. Se réajustant, se relevant, Isabelle s'approche du miroir. La jeune fille vérifie son chignon. Sa tenue. Avec un sourire contrit elle nous regarde en haussant les épaules. Avec un profond soupir elle nous laisse pour aller accueillir les arrivants.

Je me lève. Je remballe. Je referme ma braguette. Je regarde par la vitre. Il y a une dizaine de personnes dans le hall. Des "commerciaux". Messieurs en costumes stricts. Femmes en tailleurs et blaser.s Avec un naturel qui contraste complètement avec ce qu'elle vient de faire, Isabelle s'acquitte de sa tâche à la perfection. La jeune fille a un sourire pour tout le monde, répondant aux questions qui lui sont posées avec courtoisie. Professionnelle. Cette capacité féminine de passer d'un état à un autre, instantanément, m'a toujours impressionné.

Je regarde Valérie qui se touche encore. Elle est à genoux sur le fauteuil. Je lui fais en chuchotant : << Je crois que la "fête" est finie ! >>. La jeune fille regarde à son tour. Se réajustant, elle se lève. Je passe plusieurs mouchoirs en papier sur le sol. L'endroit où s'est masturbée Isabelle est maculé de pisse. Je jette tout cela dans le porte-parapluie à côté de la porte d'accès de la pièce. Valérie met sa tête sur mon épaule. Elle éclate d'un rire silencieux.

Contournant la réception le groupe entre au salon. Nous saluant, tous ces gens prennent place en discutant. Il est temps de quitter les lieux. Je regarde le carrelage une dernière fois. Je le montre du doigt à Valérie. Elle me pousse en riant. Elle me fait : << Viens ! On y va ! >>.

Nous prenons congé de la réceptionniste. Je la remercie pour cet accueil extraordinaire. Discrètement Isabelle touche ma braguette. Elle lance discrètement à Valérie : << J'y goûte un de ces jours ! >>. En éclatant de rire, Valérie répond : << Mais elle n'est pas à moi ! >>. Je regarde Isabelle bien dans les yeux pour lui dire : << Le plutôt sera le mieux ! Me laisser avec un tel souvenir relève d'un comportement sadique ! >>. Isabelle fait une bosse à l'intérieur de sa joue avec sa langue. Tout en me faisant un nouveau clin d'œil elle tourne sa main fermée devant sa bouche en plusieurs rotations.

Nous quittons l'hôtel. Il est déjà dix sept heures. J'invite Valérie à partager la soirée avec moi. Valérie a une vie compliquée. Elle n'est pas seule. Elle s'arrange toutefois pour rester avec moi jusqu'à vingt heures trente . Nous allons manger une pizza. Nous dissertons en évoquant les derniers évènements. Tout cela nous amuse beaucoup. Nous nous promettons de revivre ces instants.

J'apprends des choses. Isabelle a fait ses études d'économie avec Valérie. Mais, comme elle, vu sa situation économique, Isabelle a saisi l'opportunité de cet emploi de réceptionniste ! Il faut faire bouillir la marmite. Les deux filles s'offrent parfois un peu de bonheur sans êtres réellement bisexuelles. De la tendresse, des caresses et des douceurs. Du shopping. La salle de sport le mercredi soir. Je suis donc un heureux privilégié.

Je promets à Valérie de venir au Salon de thé jeudi après-midi. La jeune fille me suggère d'envisager l'éventualité prochaine d'un "plan" à trois...



Classe
Valérie
Sunday 28 November 2021 11:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 8 - Tous droits réservés - © - 2021 -



Lundi après-midi avec Valérie et Isabelle

Nous avons échangé beaucoup de courriels très évocateurs depuis ce lundi à l'hôtel. Nous n'avons pas arrêté d'envisager une suite à cette visite à Isabelle. Inventant différents scénarios plus suggestifs les uns que les autres. En fait, nous en avons conclu qu'il fallait parler de tout cela dans la réalité. Valérie me fixe rendez-vous ce lundi après-midi à quatorze heures. Le parvis de la cathédrale comme à l'accoutumée.

Le temps plutôt doux de ce début avril invite à la flânerie. Jamais un hiver ne m'a paru aussi long. D'en sortir enfin est une perspective plutôt réjouissante. Valérie et moi, nous nous sommes vus dimanche matin lors de ma visite au salon de thé. A cause de la clientèle nombreuse, il ne nous est pas possible d'évoquer nos scénarios. Valérie a sans cesse des sollicitations d'amateurs de pain, de pâtisseries ou encore de viennoiseries diverses. Sans parler de la machine à café qui fonctionne à plein rendement.

La jeune fille arrive quasiment à l'heure. Elle est vêtue de sa jupe sombre, d'une veste trois quart noire et chaussée d'escarpins à talons. Valérie laisse flotter ses longs cheveux sur ses épaules. Avec cette plaisante liberté habituelle. Sa silhouette en est encore sublimée.

Nous échangeons quelques bises. Valérie me glisse une douceur à l'oreille. Nous marchons bras dessus, bras dessous. Nous sommes heureux de nous revoir. S'arrêtant, se tournant vers moi, la jeune fille me fait : << Que dirais-tu d'aller directement chez Isabelle à l'hôtel ? >>. Après un instant de surprise, je lui demande : << Pour faire comme la dernière fois ? >>. Valérie m'embrasse longuement.

Nous parcourons la distance qui nous sépare de l'établissement à pas rapides. Nous évoquons quelques idées vicieuses. Des choses que nous échangeons dans nos courriels. Malgré les situations délicates de sa vie privée, je ne peux m'empêcher d'être admiratif. Cette faculté qu'elle a d'occulter tous les soucis lorsque nous sommes ensemble. Le sexe est souvent une excellente catharsis. Cela se vérifie là encore.

Nous arrivons à l'hôtel vers quatorze heures trente. Isabelle, le combiné de téléphone à la main, nous fait un grand sourire. Elle mime un bisou qu'elle nous envoie en soufflant dans sa main. La jeune fille nous invite d'un signe de la main à contourner la réception. Une fois encore, tout en bavardant, elle me fait un clin d'œil. Ce réflexe me trouble de plus en plus.

Valérie et moi nous passons dans le petit salon. Nous nous installons dans les profonds fauteuils. Valérie me fait un délicieux sourire. Je me lève pour lui déposer une bise sur le front. Elle m'attrape par la braguette. La jeune fille m'embrasse goulument comme elle aime à le faire. Elle fouille ma bouche de sa langue fougueuse. Tout cela est fort prometteur. Il n'y a que nous dans le petit salon.

Isabelle arrive à ce moment précis. << Alors, les petits coquins. A peine ai-je le dos tourné que vous vous adonnez au stupre et à la luxure ? >> fait-elle, les mains sur les hanches. Valérie, en riant, s'écrie : << Non ! A la luxure seulement ! Le stupre ce sera avec toi ! >>. Isabelle tire la langue avec vulgarité. Elle répond : << Le stupre c'est ta spécialité à toi ! >>. Nous rions tous les trois de bon cœur. J'adore les filles qui ne s'attardent pas aux hypocrisies souvent de rigueur dans les rapports humains. Tout spécialement lorsqu'il est question de sexe.

Après nous avoir fait la bise, Isabelle vient s'asseoir dans un des fauteuils. Elle nous raconte quelques anecdotes amusantes. En rapport avec son travail. La jeune fille continue en nous précisant : << Je termine à quinze heures et je reprends à dix sept heures. Je vous propose de monter dans ma chambre de service ! >>. Presque en même temps, sans même nous concerter, nous nous levons. << Génial ! >> fait Valérie avec enthousiasme.

Nous montons par l'escalier de service. Dans l'étroit couloir, Isabelle, avec sa clef, ouvre la seconde porte sur la droite. Poussant le battant, elle nous invite à entrer dans la petite pièce. Un espace réduit et très simplement meublé. Il y a un petit lit, une table étroite, deux chaises, une armoire et une table de nuit. Un petit lavabo est accroché au mur. La chambre est un endroit plutôt austère. C'est une aire de repos.

Sur la table, une simple plaque électrique, une cafetière italienne, trois petites tasses et trois petites cuillères. Un paquet de sucre et un paquet de café. Une plante verte maladive. Isabelle est vêtue comme la fois précédente. Un tailleur noir, un pull noir et fin sur un chemisier blanc. Elle est chaussée d'escarpins à talons. Presque aussi grande que Valérie elle est superbe. Malgré mon mètre quatre vingt huit, je me sens "limite" en compagnie de ces deux filles chaussées de hauts talons.

<< Je vous fais un café ? >> lance Isabelle en nous invitant à nous asseoir sur le lit. Valérie se contente de répondre : << Non ! Juste la crème ! >> Elle mime une masturbation masculine de sa main droite. Elle tient une des tasses dans sa main gauche, à la hauteur de son sexe. Isabelle en montrant ma braguette, nous fait : << Nous avons un distributeur à portée de main ! >>. Nous rions de bon cœur.

Je suis assis sur le petit lit. Valérie à mes côtés qui me caresse la cuisse. Isabelle debout nous observe. Je suis en érection. L'idée de passer ce moment privilégié avec les deux filles me trouble. Je m'efforce de ne rien laisser paraître de mes émotions. Honnêtement, j'ai même la trouille. Soudain, sans prévenir, Isabelle s'accroupit devant nous. Les cuisses écartées. Elle est excitante dans cette position. Valérie pose sa main sur mon sexe. Elle m'observe. Vicieuse, elle me demande : << Je te sors la bite ? >>. Là, dans ces situations, je mets au défi n'importe quel mec de ne pas être inquiet. Habité de peur.

L'instant est intense. Valérie m'ouvre la braguette. Mon érection contrariée par le tissus de mon pantalon rend les choses ardues. Elle tient enfin mon sexe dans sa main. La jeune fille l'agite comme un trophée. Isabelle observe tout cela avec attention. Ce moment est toujours source de délicieux tourments. Je reste en apnée pour assister à toute la scène.

Ma turgescence dans la main Valérie regarde Isabelle. Cette dernière me lance un long regard libidineux par en dessous. Elle me fait, avec ce clin d'œil habituel : << Tu bandes comme un salaud dis donc ! Encore des filles sans doute ! >>. Valérie en riant me la secoue dans tous les sens. Le regard d'Isabelle se fait envieux. Je vis là un moment divin. C'est passionnant.

Se redressant, Isabelle prend une chaise. La posant à l'envers, le dossier entre les jambes, elle s'y assoit. Les cuisses écartées, les bras croisés et posés sur le dossier. La jeune fille, dans cette posture suggestive, nous regarde. Valérie m'embrasse comme à son habitude. Fouillant ma bouche de sa langue vive, tout en tenant mon sexe dans sa main. J'ouvre les yeux pour constater qu'Isabelle nous regarde avec attention. Je les ouvre aussi pour être certain de ne pas rêver.

Valérie me repousse sur le lit. Je m'appuie contre le mur. La jeune fille approche sa bouche de mon sexe. Je peux sentir son haleine chaude sur l'extrémité de mon prépuce. Je fixe Isabelle. Mon excitation est vive. Valérie se met à sucer. Délicatement comme elle sait si bien le faire. Je continue à fixer Isabelle dans les yeux. Il est très excitant de surmonter cette gêne extrême. De savourer la douceur indicible de la fellation en même temps.

Les bruits de succions emplissent la pièce. Je gémis sous l'effet de la douce caresse. Parfois, il m'est impossible de garder les yeux ouverts. Le plaisir est si intense. Immense. Un plaisir partagé par tous les trois. A des degrés différents certes, mais j'ai l'intime conviction qu'à l'instant chacun y trouve très exactement son compte. Le sucé, la suceuse et la voyeuse. Nous sommes évidemment entre cérébraux...

Un long moment et Valérie se redresse. Mon sexe est trempé. Valérie en a des coulures sur les lèvres et le long du menton. J'aime à distiller longuement mon liquide séminale dans sa bouche. Je n'éjacule toujours que très tardivement. Je partage là cette qualité avec une connaisseuse. << Tu es pleine de jute ! >> fait Isabelle à l'attention de Valérie. Tout en rapprochant encore la chaise.

Valérie se lève. Elle s'approche d'Isabelle pour l'embrasser. Je regarde cet étonnant spectacle. Isabelle se pourlèche de la substance que lui offre généreusement Valérie. Valérie revient vers moi. Elle s'assoit et m'embrasse à mon tour. Le goût de sa bouche est fort. Elle se relève, me prend par la main, me force à me lever aussi. La jeune fille m'emmène devant la chaise. Devant Isabelle.

Je suis debout devant la jeune fille. Je bande mou. Il pend de mon méat un épais filament visqueux et laiteux. Ma braguette est largement ouverte. Isabelle approche son visage. A quelques centimètres, la jeune fille observe avec attention. Sans toucher. Approchant encore son visage. Isabelle se met à humer, à respirer, à en renifler l'odeur. Cela dure quelques minutes. J'en ai des frissons.

Valérie, accroupie, regarde la scène. Concentrée. Il n'y a que le bruit de nos respirations. L'ambiance est torride. L'air est épais d'un vice presque palpable. << J'ai l'impression d'être dans un porno ! >> fait Isabelle en s'emparant de mon sexe. Isabelle approche encore son visage. A l'aide de ses deux mains posées sur ma taille, elle m'attire pour engloutir ma virilité. Je regarde ce spectacle étonnant, sublime. Je suis saisis d'un irrépressible vertige. C'est vrai. Je me sens comme un acteur dans un film porno. Une véritable félicité commence à m'habiter.

Les yeux fermés, Isabelle pompe avec bonheur. La quantité de jus doit être conséquente. Presque immédiatement la jeune fille se met à déglutir. Je l'entends reprendre son souffle, tentant d'avaler avec difficulté. Mon excitation est telle que mes couilles distillent du liquide séminale de façon continue. Je les sens "bouillir" ces pauvres couilles. Je suis couvert de frissons. Je suis couvert de sueur.

Valérie s'approche encore pour regarder son amie sucer. Puis, se relevant, elle approche son visage du mien. Elle se met à me scruter, à me dévisager. Toute proche. Comme pour une analyse d'entomologiste. Mon excitation est à son comble. Valérie, au bout d'un moment de cette attention particulière, m'embrasse avec passion. Me passant la main dans les cheveux, elle me murmure :<< Elle suce mieux que moi ? >>. Je me contente de l'embrasser sans répondre. Comment pourrais-je comparer l'incomparable !

J'éjacule dans la bouche d'Isabelle. Je crois n'avoir jamais éjaculé avec une telle puissance. C'est ce je me dis d'ailleurs à chaque fois. A chaque pipe. Isabelle a des soubresauts. Comme autant de hauts le cœur qui la secouent de spasmes. La jeune fille déglutit avec peine. La quantité de sperme doit être considérable. Pour la rassurer je saisis sa tête délicatement. Je lui caresse les cheveux, les joues.

Valérie continue à m'embrasser. C'est une étrange douceur. Les deux filles me plongent dans d'indicibles bonheurs paradisiaques. Isabelle continue sa succion avec la même douceur que le baiser de Valérie. Je suis proche de l'apoplexie. Baisse de tension. Palpitations cardiaques. Affolement des sens. Perte de l'équilibre. La "totale".

Valérie m'embrasse si délicatement que je la serre dans mes bras ! Comme un amoureux transi, éperdu. Isabelle me suce si délicatement que je reste sans bouger. Perdu. Je veux que cet instant se fige pour l'éternité. De toutes mes forces. La jeune suceuse me vide complètement. Le pompage du "fond de cuve". Si délicieusement suave. Gargouillis. Bruits de bulle...

Isabelle se retire. Elle tient mon sexe mou entre son pouce et son index. En étudiant la "chose" avec la même attention que précédemment. Se penchant en avant, Valérie approche son visage de celui d'Isabelle. Les deux filles s'embrassent longuement. Doucement, je sens monter une nouvelle érection. Comment pourrait-il en être autrement sans manquer de la plus élémentaire des politesses envers ces deux jeunes "furies". Moi, dont le vieux fantasme d'homme de Neandertal est de me retrouver avec deux gouines, je regarde leurs effusions saphiques. C'est beau. C'est grand. C'est intense. C'est sensuel. Ça provoque les plus indicibles émois.

Lorsque Valérie se redresse pour venir porter son visage près du mien, elle me fait : << On est si bien ! >>. Lorsqu'elle ouvre la bouche pour prononcer ces mots, je vois les filaments de sperme épais entre sa langue et son palais. Sans doute le reliquat de ce qu''Isabelle vient d'y déposer. D'y cracher. Put-Hein mais je bande comme un priapique en phase terminale. C'est presque douloureux.

Sans prévenir j'enfonce mon sexe dans la bouche d'Isabelle une nouvelle fois. Pas du tout surprise par mon élan, la jeune fille se met à sucer. Nous repartons pour un second tour. Ce fameux second tour des connaisseuses. J'ai vingt cinq ans de plus que ces deux adorables jeunes filles de vingt ans. Je partage pourtant totalement leur goût pour les situations véritablement torrides. Glauques. Pas inhibées pour deux sous, elles me ravissent. C'est merveilleux des filles qui peuvent se "lâcher" ainsi, dans la plus parfaite quiétude.

Un moment passe. Isabelle se retire. Elle me regarde par en-dessous. Un regard vicieux. Elle me fait : << Valérie m'a parlé de ta "spécialité" ! Tu me fais goûter ? >>. Là, vraiment, s'en est trop. Même pour un vieux briscard comme moi ! Cette anecdote intime a été révélée également ! Je regarde Valérie avec amusement en lui disant : << Rapporteuse ! >>. Nous rions de bon cœur. Un mélange de honte, de gêne qui se mêle à mon trouble.

Je me laisse totalement aller. Cette délicieuse seconde fellation me fait chanceler. Valérie, toujours très observatrice, me tient les couilles par derrière. A travers le tissu de mon pantalon. Elle cesse et se saisit de l'autre chaise. S'asseyant dans la même position qu'Isabelle, elle se met à observer. Valérie "analyse" avec une grande attention la pipe de son amie.

Je me concentre longuement. J'essaie de m'imaginer pieds nus dans l'eau froide d'une rivière. Enfin, grâce à ce stratagème, je me lâche selon le souhait d'Isabelle. Toujours avec un contrôle total, je lâche de tous petits jets. La jeune fille, d'abord surprise, déglutit avec peine ces petites giclées régulières. Valérie me fixe dans les yeux avec un air terriblement vicieux. Elle sait très exactement ce que je suis entrain de faire. Elle-même passionnée par ces épanchements. << C'est génial ! >> fait-elle en passant son bras autour du cou d'Isabelle.

Valérie, de temps en temps, approche son visage de celui d'Isabelle. Celle-ci, se retire et porte sa bouche sur la sienne. Je peux voir tout ce qu'elle partage avec son amie. Un "mélange". Du liquide séminal, du sperme, de la salive, de la pisse. Je sens l'apoplexie guetter. Je ne vais pas tarder à m'évanouir. C'est trop bon. C'est trop fou. Elles s'amusent tant de ma condition de "victime" de leurs jeux. Il me faut lutter. Il me faut survivre à cette épreuve. Ce serait trop con de mourir de plaisir en compagnie de deux anges dans un paradis de débauches suprêmes. Infernal...

Régulièrement, en parfait gentleman, je repousse la tête d'Isabelle. Je lui retire doucement la tête. La tenant pas les cheveux. Cela lui permet non seulement de respirer sans contrainte mais également de laisser reposer sa mâchoire. Je passe mon sexe sur son visage en le frottant sur sa peau. Je reste ainsi. Je décalotte mon gland contre ses lèvres. Elle en gémit de vice, la bouche lascive.

Au bout d'un long moment j'éjacule. Comme un dément. Emplissant une nouvelle fois la bouche de la jeune fille. Elle pompe fortement. Longuement, afin de bien me vider. Puis, la bouche pleine, Isabelle se tourne vers Valérie pour l'embrasser. Déversant dans sa bouche le sperme qu'elle n'a pas encore avalé. Valérie gémit en pompant la bouche d'Isabelle. Leurs joues creuses, mélangeant leurs salives et mon jus, elle se sucent la bouche. C'est certain, là, je vais y rester. C'est trop fort. Mon cœur bât la chamade dans ma poitrine.

Je regarde les deux jeunes filles se pourlécher. J'observe leurs langues s'unir. Leurs bouches pleines de filaments laiteux. C'est prodigieux. Un spectacle inoubliable. Un moment qui est entrain de s'imprimer à tout jamais dans nos souvenirs. Divin. Je lâche un jet de pisse sur les deux visages unis. Valérie se met à gémir fortement. Comme une démente. Presque un cri. Se tournant vers mon sexe elle ouvre sa bouche. Valérie vient me sucer. Je vacille sur mes jambes en tombant sur le lit. Les filles s'essuient avec des serviettes.

Il est dix sept heures quinze et Isabelle doit s'apprêter. Se changer. Sécher ses cheveux. Il lui faut retourner à son travail. En descendant, nous nous promettons de vivre cette aventure encore une fois. Isabelle regarde fixement Valérie. Presque solennelle, Isabelle fait : << Tu serais d'accord pour lundi, Val ? >>. Il y a un profond silence. Je n'interviens pas dans la conversation. Je préfère que les filles règlent ça entre elles. Je suis libre et disponible. Pas elles. Dans l'ascenseur qui descend, Isabelle me demande : >> tu baises comme tu te fais sucer, avec le même aplomb ? >>. Je ne sais quoi répondre.

Nous prenons congé d'Isabelle. Une fois dans la rue Valérie se serre dans mes bras et me fait : << Tu sais, ça me rend un peu jalouse. Je crois que je ne pourrais pas le vivre une seconde fois ! Tu m'en veux ? >>. Je comprends parfaitement. Je fais la promesse de ne jamais évoquer cette éventualité en premier. Ni devant l'une, ni devant l'autre. << Elle ne m'aurait pas offert un peu de ta seconde jute, j'aurais quitté la pièce ! >> me fait-elle encore. Je reste silencieux. Je culpabilise stupidement. C'est que je la baiserais pourtant bien Isabelle ! Dans ma psyché d'homme des cavernes.

Je propose un restaurant. Nous sommes attablés dans un petit établissement Chinois. Je promets à Valérie de venir la voir au salon de thé jeudi après-midi. Je lui promets également de ne jamais tenter de voir Isabelle sans elle. Jamais. Valérie prend mes deux mains dans les siennes...



Classe
Valérie
Saturday 4 December 2021 16:42

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Episode 9 - Tous droits réservés - © - 2021 -



Valérie et l'inconnu du parcours sportif

La vie privée et plutôt agitée de Valérie nous offre très peu d'opportunités de rencontres. Par contre nous échangeons presque tous les jours. Des courriels souvent enflammés. Certains jours il y a jusqu'à deux échanges. Je peux suivre en temps réel les évolutions des situations évoquées. En cette mi-avril, Valérie m'a donné rendez-vous sur les hauteurs de la ville. Au départ du parcours sportif.

C'est le second lundi du mois. Il est quatorze heures. Le lundi est son jour de repos. Le salon de thé est fermé. Il fait beau et presque chaud. Une journée ensoleillée et particulièrement agréable. J'arrive une fois encore en même temps que Valérie. Il fait délicieusement bon. Pas le moindre souffle de vent. Le chant des oiseaux enchante le lieu parfaitement désert. Une ambiance bucolique.

La jeune fille est venue à bicyclette. Sur son VTT. Elle est vêtue d'une tenue de jogging. C'est la première fois que je la découvre ainsi. Valérie est superbe. Sa grande taille et sa silhouette athlétique la rendent attractive. Je prends le vélo. Je décroche la roue avant. Je place le tout dans le coffre de ma voiture. Valérie se serre contre moi. Lorsqu'elle se blottit ainsi dans mes bras, je sais le réconfort qu'elle y trouve. Je reste un long moment à la bercer doucement. Cette fois pourtant son silence est plus lourd. Plus solennel.

Après quelques échanges, la jeune fille me fait part d'anecdotes récentes et pénibles. Nous marchons doucement le long du sentier étroit qui serpente au travers des épais bosquets de pins. Je reste silencieux. Je ne désire pas me mêler de ce qui ne me regarde pas. Par courriels, nous avons décidé de vivre aujourd'hui une expérience particulière. Lorsque certaines choses vont mal, Valérie a recours au sexe. Une catharsis qui lui réussit plutôt bien.

Nous nous éloignons du parcours sportif. De l'endroit où nous nous trouvons, légèrement en hauteur, nous voyons le chemin en contrebas. Ce sentier ou courent de rares joggeurs. Par les trouées du feuillage naissant de ce début de printemps, nous avons une vue parfaite sur la ville. Une vue jusqu'aux collines qui barrent le bleu de l'horizon. On peu deviner les ruines du vieux château qui se découpent sur le ciel.

Nous sommes prêts d'un vieux cabanon de jardin. Valérie me propose de me dissimuler derrière les planches qui clôturent ce petit espace. Je fais exactement ce qu'elle me demande Je me cache. De cet endroit je distingue parfaitement le sentier et l'entrée du petit jardinet abandonné. Tout cela me rappelle de bien belles aventures avec Christine, ma compagne disparue. Mais je ne sais pas encore que cela préfigure tout ce que je vivrai d'ici quelques années avec Clémentine.

Je regarde partir Valérie. Elle coure à petites foulées. Ces longs cheveux sont attachés. Une longue tresse. Cette longue tresse qui s'agite dans son dos. La fille est belle, féline. J'en ai à présent la certitude, je commence à m'attacher ! Même s'il nous faut rester prudent, nous voir discrètement, une douce habitude s'installe insidieusement. Valérie m'avoue quelquefois en souffrir. De plus en plus.

De longues minutes s'écoulent. Valérie passe en courant dans un sens. Au bout de quelques minutes, elle passe dans l'autre sens. Conformément au plan établi, la jeune fille m'ignore totalement. Pourtant, parfois, elle affiche un discret sourire. Un petit signe de la main.

Ce manège dure un moment. Au bout du sentier il y a un homme. Il marche. Un promeneur. De petite stature, il est vêtu d'un jeans et d'un blouson léger. Il avance, chaussé de baskets, en flânant. L'inconnu paraît scruter les lieux. Il ne m'a pas vu. Il passe derrière les planches du jardinet. Il observe avec attention. Le sentier situé à quelques mètres, devant la palissade, semble susciter tout son intérêt. Je reste silencieux, sans bouger. Dans ma cachette.

Il se déboutonne. Il sort son sexe. L'inconnu se masturbe. Il reste attentif. Valérie revient en courant doucement et d'un pas régulier. Elle est concentrée sur sa course. L'homme s'avance. La jeune fille plutôt surprise s'arrête à environ cinq mètres de l'inconnu.

<< Vous auriez l'heure ? >> fait l'inconnu en se masturbant. Valérie, les sens en alerte malgré ma présence secrète, regarde sa montre. Le quidam, beaucoup plus petit qu'elle semble embarrassé par l'aplomb de la jeune fille. << Il est quinze heures trente ! >> lance t-elle. << Vous êtes du coin ? >> demanda encore l'inconnu.

<< Oui ! Si je peux vous renseigner ! >> fait la jeune fille. Tout en observant les agissements du curieux petit personnage. De l'endroit où je me trouve je distingue bien son mouvement masturbatoire. Petit, presque ridicule dans cette situation, l'inconnu est tout rouge. << Je cherche un sentier pour monter à la chapelle ! >> fait encore le masturbateur.

<< Il faut aller jusqu'au croisement des chemins là haut. Puis à environ cent mètres vous prenez à droite. C'est à dix minutes ! >> répond la jeune fille. Valérie reste immobile. L'homme cesse son mouvement. Il pose ses deux mains sur ses hanches. Debout devant la joggeuse, il laisse pendre son sexe de sa braguette ouverte. Un sexe mou. Sans le moindre prémisse d'un quelconque début d'érection.

<< Vous seriez tentée ? >> lance l'énergumène qui ne manque décidément par d'air ! << Tentée pas quoi ? >> demande Valérie. << Une petite pipe ? >> fait le quidam. Il y a un long silence. Valérie regarde le sexe de l'homme d'une façon dubitative. Avec un air amusée. Son regard se porte à présent sur le visage de l'inconnu. La jeune fille scrute ce curieux personnage. Le silence est lourd. Pesant. Elle s'accroupit pour lacer sa chaussure.

Valérie s'avance pour pénétrer dans le petit jardinet. Tout cela n'est pas sans évoquer les situations que j'ai vécu il y a quelques mois avec Nathalie. << Une pipe ? Pourquoi pas ! Et votre chapelle ? >> fait la jeune fille. Elle passe derrière la palissade. L'inconnu ne sait visiblement plus quoi faire. Sans doute déstabilisé par tant d'aplomb. Décontenancé par la réponse de la jeune fille, il paraît même un peu stupide.

Valérie fait encore : << Venez. Ne restez pas là comme un imbécile. Si une personne venait à passer elle pourrait voir votre queue ! >>. L'homme s'avance. Il est visiblement gêné. Un peu lamentable. Comme un gamin pris en faute . Il faut dire que Valérie, avec sa taille et sa silhouette sportive, intimide facilement. Elle peut même, sans aucun doute, s'avérer redoutable. Il ne le sait pas. Le bougre.

La jeune fille s'avance encore un peu. Elle se saisit du bras du bonhomme. Il n'en mène pas large ! A coup sûr il préfèrerait tourner des talons. Son attitude prostrée n'est pas vraiment à son avantage. Je n'ai jamais vu un type aussi lamentable devant une situation qu'il vient pourtant de créer. Tout cela devient risible. Kafkaïen. Sans doute quadragénaire, il ne semble toutefois pas né de la dernière pluie. Un étrange comportement. Je reste donc vigilant. Prêt à intervenir.

S'accroupissant devant l'individu la jeune fille se met à renifler son sexe. Je vois l'homme vaciller, risquant de perdre son équilibre. Il prend appui de ses deux mains sur les planches de la palissade. Juste derrière lui. Il regarde avec attention. Il paraît emplit de crainte. Quelques instants et Valérie se met à genoux.

Le spectacle me dégoûte un peu. Pour une bonne part à cause des sentiments qui commencent à m'habiter. Valérie suce ce sexe sans parvenir à le faire durcir. L'inconnu, penché en arrière, les jambes vacillantes, garde les yeux fermés. La jeune fille pompe. Je sais qu'il est très difficile de résister à sa bouche. Comment est-il possible de vivre une telle situation sans se retrouver en érection ? Cet individu est un mystère.

La pipe dure depuis un bon moment. Par intervalles plus ou moins réguliers je peux voir la jeune fille déglutir. Les yeux ouverts, le nez dans la braguette, Valérie pompe, les joues creusées par l'effort. Le type doit certainement éjaculer. Il s'agite et cesse soudain tout mouvement. Une immobilité totale. Valérie déglutit avec les yeux fermés. Avec difficulté et par lampées. Je me masturbe en contemplant ce spectacle hallucinant.

L'inconnu veut se retirer. Je connais bien Valérie. Je sais où elle veut en venir. Une fois encore partir pour un second tour. Après quelques "extras" qu'elle apprécie tout spécialement. Bien évidemment. Le bonhomme se tient à la palissade. Il donne l'impression de lutter pour se soustraire à une étreinte forcée ! Valérie se retire enfin. Elle le regarde dans les yeux et lui fait : << Tu voulais une pipe non ? Tu vas en avoir deux ! >>.

Immédiatement la jeune fille reprend le sexe en bouche. Ne ménageant pas ses efforts pour emmener l'homme au plaisir une seconde fois ! Le quidam se penche en avant pour dire : << Tu es une vraie salope toi ! >>. Valérie se retirant, répond : << Et tu n'as pas idée à quel point mon vieux ! >>. Je regarde ce spectacle surréaliste en me masturbant doucement. Je prends là conscience d'une probable réalité. Valérie n'en n'est pas à son coup d'essai. Tout ce qu'elle fait est parfaitement maîtrisé, contrôlé.

Dans une sorte de rugissement l'inconnu éjacule une seconde fois. Et au bout de quelques minutes. Là ou tout autre, conscient de l'appétit et des aptitudes de la fille, aurait fait durer, ce type éjacule bêtement. Après lui avoir bien vidé les couilles, se redressant en s'essuyant la bouche, Valérie lance à l'homme : << Maintenant casses toi salopard. Que je ne te revoie plus jamais te branler par là ! Dégage ! >>. Je suis certainement bien plus interloqué que le mec. J'assiste à cette scène comme hébété. Je débande.

Le type consterné se réajuste. Comme saisit d'une peur soudaine, fermant sa braguette de manière fébrile, il ne demande pas son reste. Il file à toutes jambes. En courant presque ! Je sors de ma cachette ! Valérie prend un chewing-gum du paquet qu'elle tire de sa poche. Elle me fait : << Son foutre est aussi dégueulasse que lui, mais quel moment excitant ! Merci de m'avoir donné la possibilité de vivre ce fantasme ! >>. Je demande : << Est-ce vraiment encore un fantasme ? Combien de fois as-tu fait ça ? >>. Valérie reste obstinément silencieuse.

Nous prenons le chemin du retour. Nous restons silencieux. Au bout d'un moment, Valérie s'arrête et me fait encore : << C'est dommage qu'il y ait un fort pourcentage de mecs moches qui se baladent en forêt ! C'est rarement des beaux mecs ! >>. Nous éclatons de rire. Je lui réponds : << Nous tenterons une nouvelle expérience ! Voilà un bon prétexte ! >>. Valérie s'arrête. Elle me regarde gravement avant de me dire : << Je ne crois pas ! >>.

Nous retournons à la voiture. Quelle n'est pas notre surprise de voir l'individu assis sur un banc. Il fume une cigarette ! Il nous regarde arriver. Son air d'abord étonné devient rapidement celui de la culpabilité. Il est sans doute envahit d'une sorte de crainte. Il me regarde. Inquiet. En passant devant le banc Valérie détourne la tête. Je lance à l'attention du quidam : << Bonjour monsieur ! >>. Je prononce ces mots avec politesse. Je suis presque obséquieux. Un nouveau malaise pour notre gaillard qui me salue timidement. Il croit certainement que je ne suis au courant de rien.

Nous laissons le vélo dans le coffre de ma voiture. Je prends la direction de mon appartement. Il y a un étrange silence durant tout le chemin. Valérie a le souhait de prendre une bonne douche. Du dentifrice afin de se laver la bouche. Je propose de terminer cette journée dans un bon restaurant. Valérie revient de la salle de bain. Assise sur le canapé elle reste étrangement silencieuse. Fuyant mes questions. Fuyant mes regards.

Le soir au restaurant la conversation tourne autour de sujets beaucoup moins légers. Valérie m'annonce soudain qu'il est préférable de mettre fin à nos rendez-vous. Du moins provisoirement. La jeune fille désire avant tout trouver une solution à une situation passionnelle et affective dont elle ne veut plus. C'est à mon tour de rester silencieux. Valérie a les yeux humides. Elle me fait : << Tu me comprends, n'est-ce pas ! >>.

Soudain, comme pour soulager cette sorte de souci qui l'oppresse, elle dit : << Ce que j'ai fait cet après-midi, je l'ai fait pour payer mes études. Avant de trouver ce job de serveuse dans le salon de thé. Ce ne sont pas forcément de bons souvenirs crois moi ! Mais de le faire sans contrepartie cet après-midi, grâce à ta présence sécurisante, m'a totalement débarrassé des derniers malaises. Merci Julien ! >>. Valérie pose sa main sur la mienne. Son sourire témoigne de la joie revenue. Dans l'élan de ses aveux elle me confie quelques autres sources de tourments. Je ne peux pas l'aider. Je peux juste prononcer ces mots un peu stupides : << Si tu as besoin de moi, téléphone ! >>.

Je suis resté sans nouvelle plusieurs semaines. Je ne me suis plus manifesté. Je ne comprends pas. Est-ce encore un caprice féminin ? J'ai beau tourner cette histoire dans ma tête, en l'abordant sous des angles différents, je ne peux pas comprendre cette attitude. Cette désagréable impression d'être relégué dans un placard jusqu'à la prochaine fois qu'on aura envie de ma compagnie. Lorsque je reçois enfin un courriel, je n'y réponds pas. Je suis convaincu que c'est préférable...



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