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Christelle

Envoyé par Oncle-Julien 
Christelle
Friday 2 December 2022 11:20

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 1 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Voilà le récit d’une rencontre inoubliable. Un premier jour de vacances dans une magnifique région de notre douce France. Cette journée reste encore aujourd’hui un souvenir inaltérable. Je réunis ici ces merveilleux souvenirs. C'est avec vous, chères amies lectrices, chers amis lecteurs, que je les partage sur ce forum. Bien évidemment les prénoms ne sont que des pseudonymes. Toutes ressemblances seraient fortuites et pures coïncidences.
Bonnes découvertes.

Classe

La rencontre

C’est sur une petite départementale, sur la route des vacances, que je fais cette rencontre inoubliable. Je préfère rouler sur les petites routes. Elles sont charmantes dans cette région. Certes, c’est plus long, mais tellement plus tranquille et sécurisant. En roulant lentement je prends également le temps d’admirer les paysages. De surcroit lorsqu’un endroit me plaît je m’arrête tout simplement et je visite.

Ce jour là, attiré par le magnifique clocher gothique qui dépasse d'un groupe d’arbres dans le lointain, je décide de m’y arrêter. Une petite visite ne serait pas pour me déplaire. Ce début d’après-midi est magnifiquement ensoleillé. Je gare la voiture à l’entrée du petit hameau. Inutile d’imposer une pollution sonore dans un petit bourg silencieux. Et puis les rues sont bien étroites pour une grosse berline allemande.

Je descends la seule et unique rue principale. Arrivé devant l’église du XVIIème j’admire les sculptures en dentelles de pierres. J’entre dans le monument historique. Cette odeur caractéristique des vieilles pierres. Rappelant quelquefois le beurre rance. S'y mêlent aussi effluves de moisissures et senteurs d'humus. Par contre je retrouve là l'agréable fraîcheur des lieux religieux et clos, Tout est emprunt d’un lourd passé historique. Plein de mystères, de secrets. Des recoins sombres. Les vitraux, magnifiques, brillent d’un éclat doré. Je prends quelques photos.

Là, dans la pénombre, entre l'unique confessionnal et un ensemble de colonnade à statuaire, un léger bruissement. Je m'approche. Mes yeux s'habituent rapidement à l'obscurité. Quelle surprise. Assise sur une chaise, à l’écart, il y a une jeune fille. Elle doit avoir environ vingt ans. Elle mange un fruit. Un sac à dos posé sur le banc à ses côtés. Elle se retourne toute aussi étonnée. Nous nous saluons. Je continue ma visite. Une fois mon petit tour terminé je sors pour aller m’asseoir à l’ombre d’un grand platane centenaire. C'est entre la fontaine et un monument dédié à un héros local.

Je ne pense déjà plus à cette rencontre insolite. Au bout d’une dizaine de minutes je vois sortir la jeune fille. Elle tourne un peu autour de la fontaine. Elle y trempe ses mains pour passer de l'eau sur son visage. Il fait chaud. L'inconnue me fait un sourire. Quelques minutes à flâner autour de la place et elle se dirige vers la sortie du hameau. Je la regarde monter la rue. Elle marche lentement. Son gros sac semble peser son poids. Elle disparaît là-haut, en tournant à droite. Petite silhouette.

Un quart d’heure passe ainsi. Je décide de retourner à la voiture afin de continuer ma route. Le soleil est haut dans un ciel d'un bleu d'azur. Sans nuages. Le chant des cigales et des grillons est la seule bande sonore de ce film d’été. Je roule depuis quelques minutes lorsqu'au détour d’un virage je vois la jeune fille. Tout en marchant elle lève son pouce sans se retourner. Une image devenue rare de nos jours. L’auto-stop étant passé de mode. C'est une fois encore insolite. Je m’arrête. Je propose de l’emmener un bout de chemin. La jeune fille me regarde, penchée, la tête dans l'habitacle de la voiture. Après un long moment de silence que je respecte totalement, après une hésitation bien naturelle, elle finit par s'installer sur le siège passager. Son sac à dos sur ses genoux. Elle décline ma suggestion de le mettre dans le coffre. Prudence bien normale.

Un autre long moment de silence que je respecte tout autant. Soudain, comme libérée de considérations bien légitimes, elle se met à parler. J’apprends qu’elle est partie avec une copine de faculté et qu’après une dispute, les deux filles se sont séparées. Nous évoquons nos destinations, nos vacances et les motivations qui ont orienté nos choix. Tout comme moi, ses vacances sont à présent vouées au petit bonheur la chance. La jeune étudiante a d'abord voulu rentrer chez ses parents. Puis elle a préféré l'aventure. Courageuse et aventurière.

Nous bavardons. Nous faisons connaissance. Après une heure trente de route nous décidons même d’une destination commune jusqu'à demain. Je propose de partager le repas du soir. J'arrive dans la petite ville qui est un peu le but de ma seconde journée de vacances. J'aime l'improvisation. La jeune fille ne veut pas d'une soirée dans un restaurant. Elle trouve ça trop convenu. Par contre elle apprécie l'idée de manger ensemble. Nous faisons quelques courses dans un supermarché. Tranquillement installés à la terrasse d’un petit café, à la sortie de du bourg, nous dégustons des fruits et quelques délicieuses tartines. La soirée apporte un peu de fraîcheur. Un réel bonheur. Nous terminons par de goûteux yaourts aux fruits.

Pour la nuit, avec un certain "toupet", je propose à ma passagère de passer la nuit dans le gîte de France où j’ai réservé un studio. Je précise : << Je dors sur le canapé, je vous laisse le lit ! >>. Sans hésiter la jeune fille accepte. Elle rit de bon cœur à ma suggestion. Elle trouve même que c’est une excellente idée. << J'accepte l'invitation mais je dois vous avertir, je n'ai pas beaucoup de moyens financiers, je privilégie le camping. Je ne pourrai pas participer aux frais! >> précise t-elle. Je ris. Nous voilà dans la cour du gîte. C'est une jeune femme qui nous accueille. J'ai réservé pour une personne. Nous sommes deux. Je rassure la propriétaire. Je paie immédiatement la différence.

Elle attend un homme seul et voilà qu’il se présente un couple. À présent rassurée la jeune femme nous invite à la suivre. Notre différence d'âge ne paraît pas l'étonner. Après tout je pourrais être le père de la jeune fille qui m'accompagne. Arrivée à l'étage de la petite maison retapée, parfaitement aménagée, la dame ouvre la porte. L'endroit est superbement agencé. Un contraste entre l'extérieur en pierres de taille et un intérieur des plus contemporains. Nous redescendons pour récupérer nos bagages. La dame s'approche de moi pour demander : << C'est votre fille ? >>. Je mens effrontément : << Oui ! Un changement de programme de dernière minute et la voilà avec moi ! >>.

Nous passons cette première nuit chacun dans sa couche. C'est la jeune fille qui insiste pour dormir sur le canapé. << Au fait, je m'appelle Christelle ! >> dit elle en s'installant confortablement dans son sac de couchage. Je me présente à mon tour. Nous rions d'avoir parlé de tant de choses mais pas de nos prénoms. Je dors dans le lit dont les draps frais m'entraînent rapidement dans un profond sommeil. Malgré les ronflements légers et réguliers de la jeune étudiante épuisée. Malgré le chant des cigales...

Julien



Classe

NOTE
Vous appréciez ces belles histoires. Le témoignage de ces aventures vous passionne. J'invite le lecteur à retrouver les histoires précédentes. Vous y passerez d'agréables moments de découvertes, de joies, de surprises et surtout de plaisirs.
Voilà les liens :

1 - Gaëlle - [www.bobvoyeur.com]
2 - Audrey - [www.bobvoyeur.com]
3 - Christine - [www.bobvoyeur.com]
4 - Nathalie - [www.bobvoyeur.com]
5 - Valérie - [www.bobvoyeur.com]
6 - Valentine - [www.bobvoyeur.com]
7 - Estelle - [www.bobvoyeur.com]
Re: Christelle
Saturday 3 December 2022 07:27

ilovsex73
Homme, 40 ans, France
Ca commence bien comme d habitude j ai hate de lire la suite
Christelle
Friday 9 December 2022 11:28

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 2 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Seconde journée de découvertes

Au matin, vers sept heures, je suis réveillé par le bourdonnement d’un frelon. Ce gros insecte inoffensif se balade nonchalamment dans la chambre. Virevoltant de ci, de là, avec la grâce d'un hélicoptère. Évitant tout de même de se rapprocher trop près de mon lit où du canapé où dort encore Christelle. Le soleil est déjà haut dans le ciel. Sur le mur, face à mon lit, ses rayons soulignent les irrégularités de la couche de plâtre. Cela ne manque pas de me rappeler une de ces toiles de Johannes Vermeer de Delft que j’apprécie tant. Le fameux pan de mur jaune qui a inspiré la madeleine de Proust. La poussière s’illumine d’une multitude de points dorés. Comme des paillettes scintillantes.

Je tourne la tête pour découvrir Christelle qui dort encore en respirant doucement. Longuement je la regarde. Son visage angélique entouré de ses longs cheveux bouclés semblent eux aussi sortir d’une de ces toiles Hollandaises du siècle d’or. Je me retrouve en plein XVII ème siècle. Je savoure l'instant en laissant se calmer ma tumescence. Un véritable piquet de tente qui pointe à la verticale sous le draps. Une érection naturelle qui n'a strictement rien à voir avec la fille que je vois s'étirer en gémissant. Le sentiment élégiaque d’un départ imminent m’envahit doucement. J'aimerais pourtant pouvoir le suspendre dans l'éternité de l'instant. J'incruste cette image dans mes souvenirs.

Christelle ouvre les yeux. Elle me fait un sourire. << Bonjour ! >> me fait-elle d’une voix douce. En me redressant je réponds : << Bonjour ! >>. Je suis assis dans mon lit. Sous mon draps tout est redevenu "normal". J'apprécie chaque seconde de cette situation nouvelle. Christelle se redresse à son tour. Nous bavardons un petit moment de choses sans grands intérêts. Elle évoque des bribes de ses rêves. Après un quart d’heure, la jeune fille se lève en disant : < Urgence ! >. Elle se précipite vers la porte des toilettes. Lorsqu’elle revient, elle est habillée de son bermuda, de son T-shirt, chaussée de ses sandalettes. À mon tour d'aller vidanger. Je m'habille. Short, T-shirt, sandales.

Il est huit heures. Nous voilà assis devant des bols de café fumant. Nous prenons notre petit déjeuner dans la cuisine "vintage" et faussement campagnarde. La rénovation en offre toutefois l'illusion parfaite. La fenêtre est grande ouverte sur la cour. Le silence est total. Il commence à faire chaud. Pourtant orienté au Nord, encore à l'ombre, la chaleur entre inexorablement dans l'appartement. Les épaisses tranches de pain complet, beurrées et recouvertes de miel, sont délicieuses. Le café est savoureux. Nous mangeons en revenant sur notre rencontre de hier. Christelle me confie ses impressions. << Je ne suis pas partie pour être seule. C'est sympa les rencontres ! >> dit elle.

Parfois nous nous observons en nous souriant. Christelle est d'un naturel joyeux. Pas le genre de fille à faire la gueule dès le levé. J'aime ses appréciations pleines de joie de vivre. Une jeune personne que son optimisme rend insouciante. La fille prend sa douche pendant que je fais la vaisselle. C'est à mon tour d'investir la salle de bain. Il est neuf heures trente. La matinée est sublime. Nous marchons sur un sentier qui quitte le hameau de maisons. Il serpente vers la montagne rocheuse qui barre l'horizon. Des hauteurs où nous nous hissons, depuis un balcon creusé dans la paroi, nous pouvons voir le gîte. Le petit hameau. Notre gîte, vieille ferme retapée, se présente dans un écrin de verdure. Il y a petit lac là-bas. Ou alors une grand étang. Christelle décide de rester avec moi jusqu'à demain. J'ai réservé trois nuits.

Les environs promettent de belles découvertes. Nous nous promenons jusqu’aux alentours de midi. En descendant le sentier Christelle me prend la main. Sans un mot. Je suis conscient que c'est juste une geste de reconnaissance. Elle la lâche vivement au bout d'une dizaine de mètres. Comme pour ne pas induire d'idées subversives dans la tête de l'homme qui l'accompagne et qui pourrait être son père. Ce témoignage m'émeut. Cette réaction m'amuse. Nous sommes de retour au gîte pour midi dix. Un autre couple a pris possession de l'appartement du bas. Un couple plus "conventionnel" qui prépare un barbecue dans le jardin. Nous nous saluons aimablement. Je propose à Christelle de manger dans le jardin nous aussi. Il y a de quoi se préparer une salade de carottes, des pâtes, un flacon de sauce au pistou.

Christelle peu désireuse de nous exposer à une promiscuité préfère rester dans l'appartement. La préparation est rapide. Après le repas, nous nous mettons en route. Avec le désir de découvrir le petit lac distant d’environ un kilomètre du gîte. Il fait chaud. Une vraie fournaise. La climatisation fonctionne à plein. Nous sommes en shorts, en T-shirts et en sandalettes. Christelle me reprend soudain la main. Une nouvelle fois et sans un mot. Nous gardons d'ailleurs tous deux le silence. Parfois, tournant la tête, je la regarde de profil. Ces vingt ans sont éclatants de fraicheurs. Sa jeunesse rayonnante. Légèrement mystérieuse, fragile, précieuse et si belle. Parfois, elle tourne elle aussi la tête pour me regarder. Mon début de quarantaine, mon attitude respectueuse, ainsi que mon comportement lui offrent sérénité et calme.

Nous arrivons au lac. Un parking obligatoire. Il y a quelques voitures garées là. Nous découvrons un endroit extraordinairement agréable. Nous en faisons le tour en un peu plus de deux heures. Il est seize heures trente. Le soleil semble rester à son point culminant. Un zénith qui nous accable de chaleur lorsque nous quittons les futaies. Pour nous assoir à l'abri des morsures du soleil nous trouvons un endroit à l’ombre d’épais bosquets d’arbres. Une ombre salvatrice. Allongés sur l’herbe. Le chant des grillons et de quelques oiseaux constituent la bande sonore de ce film sublime. Christelle revient sur la copine avec qui elle s'est disputée. << Sans cette séparation, jamais je ne t'aurais rencontré ! >> dit elle en trempant ses pieds dans l'eau. Je fais pareil assis à ses côtés. Je suis moi aussi d'un naturel joyeux, optimiste.

Un quart d’heure où la jeune fille évoque ses rapports avec sa copine, ses études, son université, ses parents à qui elle téléphone tous les matins et tous les soirs. Fille unique. Nous rions de quelques anecdotes. Je propose de plonger dans les eaux calmes et bleues du lac. << J'ai un peu peur des profondeurs ! >> s'écrie t-elle. Nous nous mettons en slips avant d’aller nager ensemble dans l’eau peu profonde. L’eau est chaude. Pratiquant la brasse, venant vers moi, Christelle approche son visage du mien. Je n'ai pas le temps de réaliser ce qui arrive. Sa bouche se pose sur la mienne. Il faut continuer à nager. Ne pas couler. Nous restons ainsi longuement à nous embrasser, à rire et à nous amuser. Je suis soudain comme un jeune étudiant dans la même classe que la jeune étudiante. Mon cœur en prend encore un sacré coup.

Une fois de retour, sous la protection des arbres, Christelle se couche sur moi. Je lui caresse les cheveux. Elle passe l’extrémité de ses doigts sur la peau de mon visage. Doucement, la jeune fille fait les mouvements nécessaires afin que je m’immisce en elle. Je n'en reviens pas. J'ai soudain 18 ans. Je suis puceau et l'émotion qui me submerge me crétine complètement. Je suis rapidement en elle. Je n'ai même pas encore vraiment réalisé ce qui m'arrive. Nous restons sans bouger. Cet enchantement paradisiaque est totalement partagé. Je dois m'accrocher à ma réalité. Nous nous fixons de nos regards. Les yeux noisettes de Christelle sont perçants. Nous sommes dans un tout autre univers…

Au bout d’un très long moment, non quantifiable, lentement, nous commençons à nous bercer. Je suis un gentleman. Je préfère toujours attendre le "signal". Beaucoup de filles aiment garder le contrôle. Mon attitude est donc parfaite. Et pour le vieux briscard que je suis, cela ne coûte aucun effort. J'adore me laisser diriger. Christelle bouge à peine. Son bassin imprime un rythme régulier. Parfois, cherchant des sensations particulières, la jeune fille se cambre. Elle me chevauche. Se couche à nouveau. Se redresse à nouveau. Restant toujours sur moi. C'est ensorcelant de rester le jouet d'une femme. Je n'ai aucun effort à fournir. Cessant de bouger, gémissante. Christelle m’embrasse. Je prends soin de rester immobile. Je veux qu’elle trouve son plaisir selon ses désirs. Exclusivement. De son plaisir dépendra le mien.

Nous ne baisons pas. Nous faisons réellement l'amour. De plus, c'est moi qui me laisse faire. Je laisse Christelle nous emmener là où elle veut nous entraîner. Nous faisons l’amour jusqu’en soirée. Presque sans bouger. De cette même façon amoureuse. C'est passionnant. Je suis terriblement troublé par les initiatives de ma partenaire. C'est un échange total où prévaut la tendresse, la douceur. Je sens bien que pour la jeune fille c'est une "expérience". Ses gestes sont souvent mal assurés. En rentrant au gîte, vers vingt heures, nous sommes plutôt fatigués. Je propose de nous faire violence, de sortir de cette torpeur langoureuse : << On se fait un bon restau en ville ! >>. Christelle s'accroche à mon cou en s'écriant : << C'est trop bien avec toi ! >>. C'est en voiture que nous allons manger à l'entrée du bourg. Un établissement gastronomique étoilé. C'est une grande première pour ma compagne d'aventures. Nous y restons jusqu’à tard. Nous revenons vers minuit.

C’est le silence. Christelle m'a fait des aveux plutôt troublants. Je suis son "deuxième". << C'était tellement merdique avec mon "premier" tu sais. Fais-moi aller de découvertes en découvertes, tu veux bien ? Je reste avec toi toutes les vacances. Si tu veux de moi ! >> me dit Christelle. Réunissant ses dernières forces elle s'accroche à mon cou pour m'embrasser. J'ai le cœur qui vient de tomber dans mes sandales. Nous sommes épuisés. Christelle occupe les toilettes la première pendant que je défais le lit. Plus de sac de couchage pour ma complice. C'est à mon tour d'aller pisser. Nous nous lavons les dents. Presque à bout de force, nous nous endormons l'un contre l'autre. Je n'ai pas encore pleinement fait le tour de ce qui m'arrive. Je connais bien la psychologie féminine. Je sais que Christelle par contre, en a pleinement conscience...

Julien



Classe
Christelle
Friday 16 December 2022 11:24

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 3 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Nous faisons plus ample connaissance

Cette deuxième nuit dans le gîte nous permet de récupérer dans les toutes meilleures conditions. Nous nous sommes endormis tous les deux l'un contre l'autre. Nous nous réveillons tous deux l'un contre l'autre. C'est toujours très étrange d'avoir un corps encore inconnu contre le sien en émergeant du sommeil. Insolite peut-être. Il est sept heures lorsque Christelle me couvre le visage de bises. J’ouvre les yeux pour voir qu’il fait déjà bien jour. Un rayon de soleil fait briller des particules dorées de la poussière en suspensions dans l’air. C'est beau. Nous sommes dans une toile de Vermeer. Tout y est. La lumière diaphane qui donne à toute choses une sorte de transparence. L'ambiance.

La jeune fille se serre contre moi. Son corps fin et chaud est d’un contact extraordinairement agréable. A l’oreille elle me chuchote : << Tu viens, on se lève et on se sauve. Tu veux bien ? J’en ai marre ici ! >>. C'est une jeune fille de vingt ans. Dynamique, assoiffée de découvertes. Il faut que ça bouge. Rapidement nous prenons notre douche. Ensemble car ma complice m'entraîne déjà avec elle dans la salle de bain. Une connivence qui nous amuse en même tant qu'elle m'enchante. Nous prenons notre petit déjeuner en revenant sur ce qui s'est passé hier, au bord du lac. Je précise : << On dort encore ici cette nuit et demain on file sur l'étape suivante ! >>. Christelle me regarde en silence. Rêveuse. Je rajoute : << Avant de partir j'ai soigneusement balisé mon itinéraire. Mais on peut improviser tu sais ! >>.

Une fois habillés, une fois nos affaires dans le coffre de la voiture, nous voilà en route. Christelle aime bien ma conduite "pépère" comme elle se plaît à le répéter à plusieurs reprises. << Tu roules comme mon papa ! >> dit elle en faisant "marcher" ses doigts sur mon bras. Avec son téléphone elle prend de nombreuses photos. Je roule doucement sur ces petites routes de campagne. Le soleil distribue déjà sa douce chaleur. Il n'est que neuf heures trente. Christelle et moi nous faisons le même constat. En riant et à voix hautes. Nous sommes incroyablement biens. Heureux. Le paysage est de toute beauté. Il fait beau. La volupté du farniente nous envahit de son ensorcellement.

Nous arrivons à l’entrée d’un petit bourg. C’est jour de marché. Aussi, je gare la voiture à l’extérieur du village. Nous allons en profiter pour acheter des fruits à profusion, du pain et quelques crudités pour nos salades. Christelle me tient par la main. Parfois elle s'accroche à mon bras. Se pend à mon cou. La douce insouciance des vacances. Et toujours avec cette approche tactile pleine de délicatesse et de douceur. Cette fille est un trésor de douceur. J'en ai des frissons à chaque étreinte. Il y a des épidermes qui sont fait l'un pour l'autre. Un appel des sens. Une harmonie. Elle fait souvent un truc très particulier. À la fin d'une phrase elle gobe le lobe de mon oreille avec ses lèvres.

A un des commerçants où nous prenons des fromages je demande s’il connait des lieux de légendes locales. Il est souvent préférable de demander ce genre de choses aux autochtones. Ils en savent souvent davantage que les meilleurs guides Michelin ou autres. Quelle n'est pas notre surprise de découvrir qu’il nous propose la visite de ruines. Un hameau abandonné depuis 1750 dont l’entrée est située à quelques kilomètres. Le gentil monsieur, tout en emballant nos fromages, nous explique l'itinéraire. C'est simple. Je remarque que Christelle utilise son téléphone en fonction dictaphone. Elle enregistre. << Comme ça on ne pourra pas se tromper ! >> dit elle. Je découvre un esprit rationnel.

En quittant le village, contents d’avoir la perspective d’un endroit insolite à visiter, nous nous arrêtons aux pieds d’une colline. Nous pouvons y voir, au sommet, les ruines d’un vieux château. Disposant de fruits, de deux bouteilles d’eau et d’autres victuailles dans mon petit sac à dos, nous nous nous mettons en marche. Parcourant le sentier qui monte à travers d’épais massifs de résineux secs, Christelle s’arrête souvent pour m’embrasser. Je devine de la conspiration dans son regard mutin et amusé. La coquine a très certainement quelques idées derrière la tête. C'est merveilleux. Comme il est bon de se laisser aller. D'être le jouet d'une jeune fille pleine de vie. Pleine d'initiatives.

Nous arrivons dans les ruines d’un vieux château médiéval. Ces ruines sont infiniment plus petites que l’impression qu’elles donnent depuis la vallée. Nous avisons un coin d'ombre. Il est midi. Le soleil, haut dans le ciel, est devenu très chaud. D'une implacable ardeur. La vue sur les environs, depuis notre position stratégique, est fabuleuse. Nous sommes assis sur deux grosses pierres de granit. Je dispose la nourriture sur une troisième pierre, plate et large. Nous mangeons de bon appétit. Christelle évoque ses études. Sa deuxième année d'université. La préparation de sa Licence l'année prochaine. J'écoute. Elle ponctue souvent ses phrases en faisant "marcher" ses doigts sur mon avant bras.

Christelle se rapproche soudain de moi. Elle pose sa main sur mon sexe. Une main chaude sur le tissu de mon bermuda kaki. Presque de suite, une forte érection, contrariée par mon slip, me procure une sorte d’inconfort désagréable. Comme si elle le devinait, ma complice ouvre ma braguette pour en tirer ma turgescence naissante. S’agenouillant dans l’herbe, entre mes jambes, elle se met à me masturber doucement, scrutant mon sexe avec une curieuse attention. Parfois elle lève les yeux pour me regarder d'une étrange façon. Un peu comme si elle analysait mes réactions. Je souris comme un con. Béat. Un peu à la manière d'un amoureux transit. Ce qui la fait sourire, puis rire.

<< C’est sur "ça" que j’étais assise hier au bord du lac ? >> me demande t-elle, espiègle. Le regard par en-dessous. Je réponds, plutôt amusé : << Oui, c’est sur "ça" que tu faisais du "dada" hier ! Pour notre plus grand plaisir ! >>. Christelle scrute mon sexe avec une incroyable attention. Me décalottant puis tirant le prépuce pour recouvrir totalement le gland. Elle s'exerce à cette activité à de nombreuses reprises. Jouant avec la peau qu’elle tire entre son pouce et son index. Je commence à "couler". Tout ça m'excite évidemment. Comment pourrait-il en aller autrement ! Je me laisse faire. Je suis moi aussi au spectacle. Il y a les premières sécrétions. Je suis très "juteux".

Du liquide séminal se met à perler à l’extrémité fripée de ma peau. J’apprécie de me faire caresser ainsi. J’observe le visage angélique de ma manipulatrice. Chacune de ses expressions est comme le témoignage heureux d’une nouvelle découverte. Elle reste ainsi une bonne vingtaine de minutes à "explorer" mon intimité. Elle me sort les couilles. Une à une. Avec d’infinies précautions. J'apprécie. Surtout que je découvre une autre qualité. La délicatesse avec laquelle est utilise ses mains dans les activités manuelles. Adroite, habile, elle anticipe probablement par l'esprit ce qu'elle va faire de ses doigts. Je suis un peu gêné. Je pourrais être le papa de cette charmante coquine.

Christelle, approchant son visage, se met à renifler mon sexe. Je peux moi aussi en sentir l’odeur. Malgré la douche du matin, avec la chaleur et l’effort de la marche, les "senteurs" me montent aux narines. La jeune fille reste ainsi, humant longuement. L’excitation est considérable. Je laisse aux lecteurs d'imaginer l'intensité de la situation. Cette façon de renifler a pour effet de faire monter davantage de mon liquide séminal. Liquide qui coule à présent sur les doigts de ma manipulatrice. Parfois, de délicieux frissons secouent ma carcasse. Mais nom d'une pipe, que c'est bon ! Les jeunes filles sont étonnantes dans les activités manuelles. Je regarde ses doigts longs et fins.

Ma coquine change de position. Elle s’assoit sur sa fesse gauche. Dans la fraîcheur de ses vingt ans cette "analyse" ne peut que l'émoustiller. Cherchant la position la plus confortable elle hésite. Je regarde autour de nous. Nous sommes parfaitement seuls. Le chant des grillons, de plus en plus fort, constitue la "bande-son" de ce film merveilleux. Christelle pose ses lèvres sur mon sexe. Là. Juste sur l'extrémité de la "trompe" de l'éléphant comme elle l'appelle. Je peux sentir sa langue tenter de s’immiscer entre la peau du prépuce et celle du gland. C'est absolument divin. Grandiose. Éloquent. Elle reste ainsi, luttant longuement pour y parvenir. Je la regarde. Ses yeux fermés. La voilà concentrée sur son exploration linguale. Cette vision hallucinante me procure d'indicibles émotions. Des vertiges. Béatitude suprême.

Tout comme elle, je partage ce moment unique avec toute la solennité induite. Cette solennité pour le côté "sacré" de la fellation. Je frissonne à l'idée de ce qui va suivre. Peut-on parler d'extase ? Oui. Je le crois...

Julien


Christelle
Friday 23 December 2022 11:42

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 4 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Les choses se précisent

Christelle est assise sur sa fesse gauche depuis cinq minutes. De sa langue agile, exploratrice, elle fouille les peaux fripées de mon prépuce. Passant en dessous, lissant mon gland. Les sensations me propulsent dans d'autres sphères. La jeune fille arrive pourtant à fouiller cet espace intime avec une certaine vélocité. Je l’observe. Incroyablement concentrée. Christelle, les yeux fermés, appliquée dans son activité linguale, donne l’impression de vivre une sorte d’extase. Son visage angélique, aux traits délicats, reflète cette fausse innocence des jeunes filles espiègles. Comme elle est belle mon "exploratrice" ! J'en frissonne malgré les chaleurs. J'en ai même des vertiges. Décharges électriques.

En appui sur mes coudes, je place le sac à dos afin de pouvoir m’y adosser confortablement. Je ne veux rien perdre de ce spectacle exceptionnel. Christelle me tient le sexe entre le pouce et l’index. De sa main droite. Sa main gauche palpe délicatement mes couilles dodues. Je suis à présent dans un état de semi érection. J’ai le privilège de pouvoir me contrôler parfaitement. Autant sur le plan psychologique que sur le plan physiologique. J'applique cette particularité une fois encore. Mettre à profit ces possibilités me procure évidemment d'indicibles sensations. Je suis un jouisseur impénitent. C'est étrange ce plaisir que paraît prendre la fille en se sachant observée.

Christelle, se penchant un peu plus, prend l’extrémité de mon membre dans la bouche. Elle reste ainsi longuement sans sucer. Je sens sa langue continuer son activité exploratrice. C’est à ce moment qu’elle ouvre les yeux pour me regarder. Surprise de me voir entrain de la scruter, elle semble étonnée. Mais, dans l'état où je me retrouve, puis-je vraiment me fier à mes sens ? Ne serais-je pas la victime de ses petits jeux de coquines ? Ses yeux, après une expression d’intense surprise, prennent une expression amusée. Soudain, ses joues se creusent. Mon exploratrice se met à sucer. J'ai une décharge électrique le long du dos. Je suis certain que la coquine sait ménager ses effets.

Je me contrôle parfaitement. Ce privilège me permet de jouir de l’instant avec une acuité qui décuple davantage mes sensations. Je me concentre longuement. J'entends de légers gargouillis. Ce bruit de "bulles", me donne une indication parfaite de ce qui se passe. Le jus monte. Aspiré avec conviction. Christelle, jusqu’alors silencieuse, émet maintenant de légers gémissements. Des gémissements qui appuient sans doute les efforts déployés pour faire face aux arrivées de liquide séminal. Pas l'ombre d'un doute. Mes couilles fonctionnement à plein régime. C'est qu'une pipe ça produit dans l'usine à sperme ! Je suis très "juteux". De quoi régaler ma suceuse. Et elle déguste en gourmet.

Parfois, afin de pouvoir déglutir, elle se retire en émettant de discrets << Han ! Haaaaaa ! >>. Tout en avalant passionnément. Son plaisir monte visiblement autant que le mien. Sournoisement, je laisse couler un rapide filet pisseux. Je suis un spécialiste. Plutôt que de lâcher un jet, même bref, je préfère contrôler l’arrivée du liquide en le laissant couler. Christelle, novice et ignorante de ce que je suis entrain de faire, savoure en poussant de petits gloussements. Elle ne sait probablement pas encore les saloperies que je m'apprête à commettre. Comment pourrait-elle s'en douter ? Jeune fille presque nubile qui se livre à de nouvelles expériences. C'est merveilleux. Je suis un salaud magnifique.

Je l’observe. A t-elle conscience qu'elle fait ça à un vieux briscard ? Lorsque le "mélange" lui envahit la bouche, elle se retire en déglutissant avec peine. Et toujours en poussant des petits gloussements ravis. De longs filaments laiteux lient ses lèvres à la peau trempée de mon prépuce. Ces mêmes filaments finissent invariablement par venir s’étaler sur son menton. Dégoulinant de plus en plus dans son cou puis sur le haut de son T-shirt. Une mèche de ses longs cheveux colle même sur sa joue gauche. Je remarque une fois encore que les filles très excitées sont toujours en sueur. C'est une constante. Ce qui créé plein de petites perles scintillantes sur son nez, ses joues, sont front.

Christelle suce avec un plaisir manifeste. Dans ses efforts pour tenter de ne pas en perdre la moindre coulée, je peux quelquefois voir des bulles perler aux commissures de sa bouche. Je lâche, pour la troisième fois, une petit giclée. Croyant à une éjaculation, elle précipite sa tête afin de prendre le maximum de mon sexe dans la bouche. Pompant avec avidité. Je crois que c’est là qu’elle comprend ce que je suis entrain de faire. Elle ouvre les yeux, me fixe, interrogatrice. J'ai envie de crier : << Je ne suis qu'un vieux saligaud ! >>. J'ai envie de lui avouer l'animal qui vit en moi. Ce rustre mondain qui surgit quelquefois du plus profond de moi-même ! Tel un sanglier d'un sous bois.

La jeune fille garde de grands yeux ouverts et soudain amusés. La bouche ruisselante de pisse jaunâtre, elle rit. Elle semble ravie de l’aubaine. Il n’y a qu’un vieux cochon pour apprendre ce genre de chose à une jeune fille. J'en suis très fier et je revendique mon appartenance au "Club" des pervers pisseux. Du haut de ses vingt ans, Christelle découvre une "spécialité" gouteuse qu’elle ne soupçonnait sans doute pas. Je la vois reprendre sa pipe goulument, avec une avidité surprenante. J’en profite évidemment pour lui en lâcher une nouvelle lampée. Je contrôle parfaitement. Mes épanchements sont parfaitement maitrisés. Le vieux vicelard dans toute sa lubrique splendeur distribue ses "générosités". Certes, j'avoue que cela me gêne, me rend honteux sur le coup. Mais ça participe de l'excitation.

Christelle gémit à présent de plus en plus fort. Parfois, sous l’abondance des "coulures" que j’impose, pour son plus grand plaisir, la jeune fille se retire pour tousser. Avec des efforts louables et compréhensibles, elle tente de tout avaler en toussotant. Elle en a les yeux humides. Elle me sourit avant de reprendre sa pipe juteuse. Nous partageons exactement le même bonheur de l'instant. Pipe terriblement baveuse car évidemment je pissouille allègrement. Son menton est trempé. A cause de la chaleur cela doit la picoter car elle se gratte. Nous bénéficions d'une chance considérable. Pas d'insectes pour nous gâcher le plaisir. De plus en plus souvent Christelle s’essuie le bas du visage. D'un revers de main. Je lui tends un mouchoir en papier que je tire du sac à dos. Je dis : << Torche toi la bouche petite gourmande ! >>. Elle rit.

Nous sommes là depuis trois bons quart d’heure. Parfois je lui retire délicatement la tête afin qu’elle puisse reposer sa mâchoire. Elle m’en est reconnaissante car dans un gloussement elle pousse un petit cri de ravissement. Qu'elle est belle ! Comme pour me témoigner de son appétit Christelle ouvre sa bouche. Une bouche gluante et emplie de filaments laiteux. Elle fait tourner, faisant mousser l'ensemble. Elle m'en montre fièrement le résultat. Il lui est impossible de déglutir en une seule fois. C'est que je distribue généreusement ! Toute la substance visqueuse que je lui offre la fait gémir de bonheur. C'est très certainement sa toute première "vraie" pipe. Pipe à un véritable vicieux. Je suis un profiteur. Elle le devine. Au bout de quelques minutes, me souriant, comme enivrée mais avec la mâchoire reposée, elle revient pomper.

Je décide d’éjaculer. Car c'est moi qui décide. Toujours. Pas mes pulsions. Là aussi je contrôle parfaitement le déroulement de mon orgasme. Plutôt que d’éjaculer dans les saccades habituelles et les spasmes du corps qui les accompagnent, je laisse s’épancher le sperme longuement, sans bouger et sans gémir. Ça coule. En sournois. Ça coule dans la bouche de ma pompeuse. Christelle, surprise, ne sachant plus à quelle sainte bite se vouer, déglutit avec grand peine et en gloussant de plaisir. Comme elle ne comprend pas encore vraiment, je la laisse continuer sa pipe pour un second tour. Et la suite est toujours beaucoup plus "passionnante" pour les "gouteuses". Elle en fait partie...

Ma situation devient légèrement inconfortable. Christelle s'est remise à genoux. Je me redresse. Debout devant la jeune fille, je lâche plusieurs giclées. Au risque de la noyer. Désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, m’agrippant par les hanches, elle fait des efforts désespérés pour en avaler tout ce qu’elle peut. En toussant, en ayant des hauts le cœur, elle s'agrippe à mes hanches. Des gouttes de sueur coulent de son front. Ce qui constitue un étonnant mélange qui se mêle aux larmes de son plaisir. Elle se retrouve avec tout le visage trempée. Même ses cheveux sont mouillés par endroit. Un peu comme si elle sortait de sous la douche. Je me sens toujours un peu honteux après de tels comportements. Même si cette émotion ne dure que les minutes nécessaires pour me ragaillardir avec de nouveaux assauts paillards.

Nous restons ainsi un nouveau quart d’heure. Soudain, un violent haut le cœur saisit la jeune fille. En toussant, manquant de s'étouffer, elle se retire. La tête penchée sur le côté gauche, Christelle, le corps secoué de spasmes, se met à vomir dans l’herbe. Lorsqu’elle se redresse, qu'elle lève son visage pour me regarder, les yeux larmoyants, elle me fait un sourire avant de me dire : << Excuse-moi, je crois que mon estomac me joue des tours pendables ! >>. Je la saisis sous les aisselles pour la redresser. Je lui essuie le visage avec deux mouchoirs en papier. Je murmure : << Christelle, tu vas me faire mourir de plaisir. Ma tension artérielle me procure des vertiges ! >>. Elle éclate de rire.

Nous sommes allongés dans l’herbe à l’ombre des épais murs de pierres. Silencieux. Doucement Christelle, après croquer dans ma pomme, comme apaisée de ses démons de découvertes, s’endort. Sa tête contre mon épaule. Je ne tarde pas à la rejoindre dans un profond sommeil. Je suis encore étourdis de plaisir, de jouissances et d'émotions quand Morphée s'empare de moi. Malgré qu'il n'est que dix sept heures trente...

Julien




Classe
Christelle
Friday 30 December 2022 13:00

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 5 - Tous droits réservés - © - 2022 -



Nos complicités s'affirment

Je suis réveillé de la plus agréable façon. Christelle me couvre le visage de bises. Je la serre contre moi. Je regarde l’heure. Il est déjà dix sept heures trente. Je m’étire et je me lève. Nous sommes à l’ombre des murailles. En cet endroit le soleil ne nous impose pas sa cruelle morsure. Il fait pourtant chaud. La vue sur la plaine ensoleillée est somptueuse. Je tire deux pommes du petit sac à dos qui a servi d'oreiller. Je propose à ma compagne d'aventures de prendre le chemin du retour. Il faut compter une petite heure de marche pour retourner à la voiture. Nous mordons dans nos fruits. << Mmhh ! Que c'est bon ! >> lance la jeune fille en me sautant au cou. C'est beau le bonheur. Surtout lorsqu'il a vingt ans...

Christelle ne lâche pas ma main. Souvent ses doigts restent croisés fermement entre les miens. Nous arrivons à l'auto vers dix huit heures trente. Il faut encore rouler une bonne demi-heure pour arriver chez le commerçant fromager qui nous propose une chambre dans sa propriété. Nous pourrons en disposer dès demain. Une visite préalable nous enchante. Christelle, durant tout le trajet, glisse sa main gauche dans la braguette de mon bermuda. Elle me raconte des choses très amusantes et nous éclatons de rire à tout bout de champ. Nous sommes submergés de bonheur. Je découvre une autre qualité. L'humour dont fait preuve ma compagne d'aventures. Je suis admiratif. Quand les filles belles font en plus preuve de dérision et d'humour, c'est paradisiaque.

Nous voilà enfin à la sortie du petit bourg. Là, sur la gauche, un grand portail de fer forgé, ouvert. Il est surmonté d’une pancarte. Dessus, inscrites en lettres gothiques : "Fromagerie artisanale". C’est donc ici. J’engage la voiture dans le chemin. Une centaine de mètres et nous nous retrouvons devant une grande maison. A côté, une grande dépendance et un hangar. << Tu sens ? >> me demande Christelle. Il règne là une odeur forte mais très agréable. Je réponds : << J'adore ! >>. Christelle rajoute : << Oui mais quand même, ça sent fort des pieds ! Il ne change jamais de chaussettes le fromager ? >>. Je suis plié de rire.

Je gare l'auto sur le petit parking de droite. Une jeune femme vient à notre rencontre. Je sors du véhicule pour venir la saluer. << Vous êtes le couple pour la chambre demain ? >> demande t-elle. Je réponds : << Oui, c’est bien nous ! >>. La jeune femme nous regarde silencieusement. Je devine immédiatement la question qui la taraude probablement. Suis-je avec ma fille ou avec ma compagne ? Christelle va sur ses vingt ans, moi, sur mes quarante quatre. Nous ne savons pas encore que nous allons beaucoup nous amuser de ces interrogations. Interrogations qui resteront bien sûr sans réponses. Nous n'avons ni à nous justifier ni à rendre de comptes à qui ce soit.

C'est la patronne. Elle nous invite à la suivre. Nous pénétrons dans la maison. Il y fait frais. Nous montons un escalier pour arriver à l’étage. Au fond du couloir, la dame ouvre une porte qui donne sur une grande chambre lumineuse. Elle ouvre les deux battants du volet. La vue par la fenêtre donne sur les collines rocheuses et les bosquets d’arbres alentour. Un petit balcon permet d’apprécier le panorama. L’odeur est agréable. De ce côté ci de la grande demeure les effluves fromagères font places aux senteurs de la végétation. La chambre donne sur l'arrière. Orientée au Nord, la pièce permet de bénéficier d'une certaine fraîcheur. Nous percevons déjà le cadre enchanteur de l'endroit.

A côté de la chambre, il y a une petite salle de bain. En face, il y a un cabinet de toilettes. << Vous pouvez rester le temps que vous voudrez sur deux semaines. Le couple ayant réservé en mai s’est désisté il y a quelques jours ! >> fait la jeune femme. L’endroit nous convient parfaitement. Je propose de payer immédiatement pour les quatorze jours à venir. Une telle opportunité est un enchantement. Christelle et moi serons libres d’aller et venir sans trop penser aux choses pratiques. Cet endroit permettra de rayonner dans toute la région. << Quatorze jours ! Mon mari sera content en rentrant ce soir ! >> s'exclame la dame ne pouvant cacher sa satisfaction de savoir la chambre louée. Elle nous propose de nous installer et de nous revoir d'ici une demi heure.

Nous retournons à la voiture pour y récupérer mon chéquier. Nous remontons à la chambre pour ranger quelques vêtements et des accessoires dans l’armoire. Une façon de formaliser nos présences dès demain. Nous restons volontairement évasifs quand à l'heure de notre arrivée en fin de matinée. Un coin cuisine permet de se préparer les repas. Un placard mural contient le nécessaire. Christelle insiste pour me rembourser la moitié de la somme. Soucieuse de ne pas être redevable. J’apprécie tout en rechignant. Elle insiste vraiment. Je suis obligé d'opposer un non catégorique. Elle éclate de rire en se jetant à mon cou. << Tu as du caractère toi ! J'adore ça ! >> s'écrie t-elle alors que je la soulève. D'une voix sentencieuse je précise : << Que je n'entende plus parler d'argent jusqu'à la fin des vacances ! >>.

Je fais le chèque. Ne connaissant pas les problèmes de budget j'augmente la somme demandée. Le double. C'est bien la moindre des considérations pour des gens aussi accueillants. De plus je crois bien que notre arrivée soulage quelques soucis de locations. Nous redescendons. Christelle garde son bras autour de ma taille. Je toque à la porte. La dame ouvre, toute souriante. Je remets le chèque à la propriétaire. Elle ouvre de grands yeux. << Mais vous vous êtes trompés ! >> s'écrie t-elle en découvrant le chiffre. Je m'empresse de la rassurer : << Non, non, j'insiste ! >>. Soudain très gênée car elle vient de comprendre la nature de notre relation, la jeune femme rajoute : << S'il y a quoi que ce soit, n'hésitez pas ! Vous demandez ! >>. Je pose la question qui la fait sourire : << Et nous vous achèterons du fromage ! >>. Nous souhaitons bonne soirée à notre propriétaire qui reste bouche ouverte...

Seuls, debout sur le minuscule balcon, nous observons le paysage. Sur la gauche, le soleil descend au-dessus des collines rocheuses. Ses rayons ne parviennent jamais jusqu'ici. Christelle se serre contre moi en disant : << On sera bien ici. C’est mieux que dans un gîte de France. Moins "classe" mais tellement plus "couleurs locales" ! >>. Je la regarde longuement avant de répondre : << C’est vrai ! Avec toi l'aventure prend une toute autre dimension. J'adore ! >> >. Ma compagne de périple glisse sa main dans ma braguette en riant. Elle pose ses lèvres sur les miennes. << Oh, mais c'est très intéressant ce qui se passe là-dedans ! >> lance t-elle. Je bande. La bandaison du soir.

Nous possédons les deux clefs. Celle de la porte du bas. Celle de la chambre. Il est vingt heures. Je propose à Christelle de nous offrir un repas dans un petit restaurant typique de la région. Elle me saute au cou une nouvelle fois en me faisant quantité de bises. << Tu as toujours de bonnes initiatives ! Je suis si bien avec toi. Tu te rends compte, nous n’en sommes qu’au début ? >> me fait elle avant de m’embrasser avec passion. C’est vrai, nous n’en sommes qu’au tout début. << Je commence à aimer me faire promener dans une grosse Mercedes ! Et mon chauffeur est un homme charmant ! >> murmure Christelle à mon oreille. À quatre pattes sur le siège passager.

Il y a un côté très "animal" chez ma compagne d'aventures. Je ne peux pas encore le définir vraiment. Mais avec mon expérience, c'est une particularité du caractère des jeunes filles. Du moins celles que ma vie de privilégié m'a donné de rencontrer et de connaître. En sortant de l'adolescence il subsiste encore toutes ces réactions "sauvages". Un véritable enchantement. Ces facettes d'une personnalité encore indomptable qui rend ces jeunes personnes adorables, touchantes et tellement passionnantes. Christelle s'installe enfin normalement sur son siège. Elle extrait mon sexe en disant : << Fais voir un peu ce qui se passe là dedans ! >>. La fellation qui s'en suit m'oblige à rouler à 10 km/h. Heureusement que la petite route communale est déserte. Je suis évidemment dans un état de béatitude totale. Le bonheur...

Julien



Classe
Christelle
Thursday 5 January 2023 12:29

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 6 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Nous voilà de retour au gîte. Après notre douche, Christelle et moi redescendons à la voiture avec nos bagages. Ainsi, pas besoin d'assurer demain matin. Il est vingt heures trente. Nous prenons la petite route qui sort du bourg. Nous partons en chasse afin de nous trouver un petit restaurant sympathique. La jeune fille est vêtue d’une robe rouge à motifs floraux blancs. Une ceinture enserre sa fine taille. Elle a quitté ses baskets pour des sandalettes. Christelle dans son éblouissante simplicité est superbe. Je louche sur ses cuisses, ses genoux. Tout chez cette jeune fille semble si fragile. Avec ce soleil sa peau prend jour après jour cette teinte miel qui donne envie d'y goûter. Je pose ma main sur son genoux. Elle saisit mon poignet. Pour que surtout je ne l'enlève pas.

Je suis vêtu d’un pantalon blanc et d’une chemise crème. << Je ne sors jamais avec des hommes élégants qui ont l'âge de mon père ! >> lance t-elle en faisant monter ses doigts le long de mon avant bras. Appuyer un peu avant de redescendre pour poser sa main sur ma braguette. Avec la douceur de la soirée, je porte des espadrilles très confortables. Christelle, une fois encore, glisse à nouveau sa main dans mon bermuda. Je roule doucement. Nous nous racontons quelques anecdotes amusantes. Christelle évoque des aventures de son adolescence. Le plus souvent des histoires ayant traits à ses années de collège. À ses années de lycéenne. La jeune fille est à présent étudiante. Là aussi, elle a quantité de choses à raconter concernant son université, les profs et ses copains étudiants. Nous rions beaucoup.

Une dizaine de kilomètres. Nous arrivons à l’entrée d’un petit bourg. Là, sur la droite, un de ces restaurants "routiers" qu'on rencontre aux détours d'un virage, d'un bois, dans les campagnes profondes. Je gare la voiture sur le parking. Je ferme ma braguette. Christelle s'écrie : << Dommage ! >>. Il y a des tables libres sur la terrasse. Il y a l'embarras du choix. Juste deux couples à deux tables opposées. Une tablée de six petites vieilles très élégantes et plutôt discrètes. Une fois encore nous avons droit à quelques regards interrogateurs. Suis-je le père ou l’amant de cette adorable jeune fille qui me tient la main ? C'est toujours un peu embarrassant. Je me raisonne. Nous n'avons pas à nous justifier.

Nous commandons un plat typique. La Maôche. Une spécialité de la région. Recommandée par les documents à disposition dans les offices de tourisme. J'aime bien en récupérer un maximum et les feuilleter. C’est une préparation à base de chair à saucisse et de choux farci dans une panse de porc. Nous décidons d’accompagner ce repas d’un vin rouge. Un vin des Côtes du Vivarais. Christelle est ravissante. Son visage angélique, entouré de ses longs cheveux en libertés, trouble mes sens plus d’une fois. Je le lui fais remarquer. Comme le prétendent souvent les belles filles, elle affirme que ce n’est pas si vrai que ça ! << Je n'aime pas mon nez. Il est trop fin ! >> s'exclame t-elle. Je le pince légèrement en disant : << Moi je l'aime ! >>. Il y a de longues séquences où, tout en mangeant, Christelle garde sa main sur la mienne.

Pendant le repas, absolument délicieux, Christelle me fait du pied. Parfois, entre deux sujets que nous aimerions sérieux, la jeune fille, facétieuse et espiègle, lance une plaisanterie ou un bon mot. Toujours d’une finesse étonnante. Discrètement, en me fixant dans les yeux, elle pince le téton de son tout petit sein droit. Elle s’amuse à tourner son pouce et son index comme sur un bouton. << On. Off ! >> dit elle à chaque fois en imitant mon accent écossais. De sa langue, elle fait une boule contre l’intérieur de sa joue. Sa main fermée qu'elle tourne devant la bouche. Belle, intelligente et entreprenante. J’apprécie les filles "classes". Je passe ma langue sur mes lèvres pour lui rendre le "message". Elle fait : << Mmmmmh ! >>. C'est certain, tout ça ne passe pas inaperçu. Il y a même une des séniors voyeuses qui toussote.

Nous prenons chacun une énorme coupe glacée. Une autre spécialité de la région à la crème de marron. Un délice absolument prodigieux. Je paie. Christelle, toujours soucieuse de rester indépendante, insiste pour partager l’addition. Je rechigne, je renâcle, je m’offusque. En pure perte. La jeune fille, fière et autoritaire, sort de son petit sac à dos un porte monnaie de vieux cuir. Je fais la gueule. Elle me tire la langue avec une horrible grimace. Je dis : << Interdiction absolue mademoiselle. Vous êtes mon invitée pour les jours à venir ! >>. Elle éclate de rire en lançant : << Bon, je paierai en "nature" ! >>. Sa main posée sur la mienne donne la réponse aux interrogations de certains regards curieux. Surtout de la part des six dames qui chuchotent à notre égard. Nous rions. Pour enfoncer le "clou", Christelle me fait des bises.

Nous nous levons. Je surprends Christelle qui tire la langue en direction des six commères. Nous rigolons comme des fous en retournant à l'auto. Il faut reprendre le chemin du retour. Encore une fois ma comparse glisse sa main dans ma braguette. Il fait nuit. Une fois encore nous rions de bon cœur. La fatigue de cette journée chargée de surprises et d’émotions commencent à se faire sentir. J’invite le lecteur à découvrir les épisodes précédents pour bien en comprendre l'origine. Pour en saisir la teneur. << Gare-toi dans le chemin là-bas, qui descend ! >> s'exclame soudain ma complice d'aventures. Un peu surpris, je tourne pour faire quelques dizaines de mètres. Je coupe le moteur. Christelle se met à quatre pattes sur le siège passager. Elle fouille dans mon slip pour en extraire mon sexe. Mou et humide.

<< T'es comme une fille toi, tu mouilles dès qu'on te fait des choses agréables ! >> dit elle avant de prendre ma virilité en bouche. Je caresse sa tête. Bien évidemment mon érection est rapide. Quelques minutes d'une fellation qui achève de m'épuiser. Christelle cesse, se redresse. << C'est génial. C'est à ma disposition pour tout le reste des vacances ! >> dit elle mutine et coquine. Elle rajoute : << J'aurai le droit de me servir quand j'en aurai envie ? >>. Je la rassure. Je réponds : << C'est comme si c'était à toi. Ne demande même pas ! >>. Nous rions aux éclats quand ma compagne d'aventures s'exclame : << Ça, ce sont des choses qu'il ne faut pas me dire mon "pauvre" ! >>.

Je démarre. C'est en marche arrière qu'il faut retourner sur la route. Sur les quelques kilomètres où je roule lentement, Christelle reste couchée en chien de fusil sur le siège passager. Sa tête posée sur ma cuisse. Je n'utilise que la boîte de vitesses automatiques. Mais le levier impose une position inconfortable dans cette situation pas du tout prise en compte par le constructeur. Cette idée nous amuse. Je crois que Christelle s'endort déjà. Nous arrivons "chez nous", au gîte de France. C'est la troisième et dernière nuit en ce lieu. Il n’y a que le chant des grillons. Les étoiles brillent, nombreuses, dans un ciel d’un noir d’encre. La nuit emmène une légère fraîcheur. Nos dernières énergies.

Une fois couchés, Christelle me chevauche. Elle ne porte que sa petite culotte. Comme elle semble fragile. Tellement légère. J’ai peur de lui faire le moindre mal par un geste inconsidéré. En riant, la jeune fille frotte son sexe sur le mien. Rapidement je me retrouve doté d’une érection rappelant quelque démonte-pneu de camion. Christelle écarte son slip pour s’enfiler mon chibre. << Mmmmmh ! Comme c’est doux ! C’est si bon ! >> me fait-elle en remuant doucement. << J'aurais voulu te rencontrer en premier ! Mes premières fois étaient tellement merdiques ! >> murmure t-elle à mon oreille. Christelle se penche. Mitraille mon visage de bises. << Tu ne t'ennuies pas avec une "jeunette" comme moi ? Parfois j'ai peur ! >> murmure t-elle. Je la rassure. Comment pourrais-je m'ennuyer ? C'est totalement impossible.

Nous sommes à nous bercer doucement dans une infinie tendresse. J'adore être couché sur le dos. J'adore être chevauché. Le spectacle d'une partenaire qui "s'amuse" sur moi reste une intarissable source d'inspirations. La fenêtre est grande ouverte. Juste la moustiquaire. Il fait chaud. Nos corps sont à nouveaux humides. Christelle tombe sur moi. Elle ne bouge plus. Je cesse de remuer mon sexe dans le sien en contractant juste mes muscles fessiers. Rapidement, sans même nous en rendre compte, nous sombrons dans un profond sommeil…

Julien



Classe
Christelle
Friday 13 January 2023 11:26

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 7 - Tous droits réservés - © - 2023 -



En montant aux ruines romaines

Je suis réveillé de la plus délicieuse des façons. Christelle me couvre de bises. Serrée contre moi, couchée sur ma gauche, la jeune fille m’enlace amoureusement. << Bonjour. Tu as bien dormi ? >> me demande t-elle. Je passe mon bras autour de ses épaules pour répondre : << Comme une véritable enclume au fond de l’océan ! >>. Nos lèvres s'effleurent. Il y a de petits picotements électriques. C'est moi qui pose la question un peu "bateau" : << Bonjour ! Et toi ? Tu as bien dormi ? >. Pour toute réponse Christelle se blottit contre moi en faisant : <<Mmmmmmmh ! En hiver tu dois être une vraie bouillotte. Tu respires régulièrement. Tu émets quelquefois de petits râles. Tu rêves ? >>.

Doucement, descendant son visage, me couvrant la poitrine puis le ventre de bisous, la jeune fille, de sa bouche chaude, vient s’emparer de mon sexe. Je caresse délicatement sa tête. Sous l’effet de cette étreinte singulière, je me retrouve rapidement avec une érection de style "démonte-pneu". Et le modèle "gros camion". Christelle s’en amuse et semble en apprécier les effluves matinales. Les parfums de ma nuit. Ce qui me gêne quelque peu. Je suis plutôt à cheval sur l'hygiène. Même si au sein d'étreintes passionnées les odeurs corporelles agissent sur mes sens comme de véritables phéromones. Je laisse ma compagne d'aventures s'amuser de ses découvertes en caressant ses cheveux.

Je soulève le draps pour murmurer : << Je ne réponds pas de la qualité de ce que tu suces. Parce que j’ai une méchante envie de pisser ! >>. En éclatant de rire, sans cesser sa dégustation, elle me fait : << Intéressant ! >>. Je la tiens maintenant par la nuque. Je tente de me dégager de cette étreinte trop délicieuse. Peine perdue, la coquine s’accroche fortement. En poussant un gémissement amusé mais négatif. Sa bouche, telle une ventouse, me procure quelques extases matinales du plus bel effet. Je vais baisser la garde et la laisser continuer. Je n'ai plus la volonté d'aller contre la jouissance qui s'annonce. Une fois encore je prends conscience de mon privilège. Une autre suceuse.

J'ai le "chic" de les rencontrer les passionnées de fellations. Elles sont souvent jeunes, avides de découvertes et le plus souvent téméraires. Enfin, au bout de quelques minutes, ma complice se redresse pour venir caler sa tête contre mon cou. << Je vais m’occuper de ton cas tout au long de la journée ! >> me chuchote t-elle. Je pose ma main sur son sexe en répondant : << Oui, moi aussi, et ça va barder pour ton matricule ! >>. Elle retire ma main doucement en me disant : << Impossible. Pour deux jours j’appartiens à Dracula ! À moins que tu ne sois toi aussi un vampire ! >>. Elle s'installe à califourchon sur mon sexe. Elle y frotte le sien. Son sourire coquin m'amuse. Me passionne.

Cette déclaration, en ce troisième jour avec elle, me demande quelques réflexions. Rapidement, je comprends que Christelle a ses "petits machins". Je passe mon index sur le bout de son nez. << Tu me chatouilles et ça rime avec nouille ! >> lance t-elle. En éclatant de rire, nous nous levons. << Avec couilles aussi ! >> rajoute t-elle en m'entraînant par la main. Rapide passage aux toilettes avant un copieux petit déjeuner. Christelle adore tenir mon sexe pour en diriger les jets. Elle s'amuse à le faire bouger. À le secouer. Je la laisse toute seule et à ses petites affaires. Pour cette matinée à venir, nous décidons d’aller nous promener vers le grand viaduc que nous avions vu depuis la route. Le petit déjeuner est plutôt copieux. Je découvre que ma compagne d'aventures adore un bon yaourt "nature" au premier repas.

Dès neuf heures, douchés, vêtus légèrement, nous descendons l'escalier. Nous allons à la voiture. Il y a la dame derrière son auto, hayon grand ouvert. Nous saluons la propriétaire de l'appartement qui s'apprête elle aussi à s'en aller. << Bonjour. Vous venez manger avec nous, dimanche soir ? Mon mari serait heureux de vous faire visiter l'entreprise ! >> nous fait elle. << Peut-être. Nous vous confirmons demain, samedi. Nous avons une telle soif de découvrir la région ! >> répond Christelle avant de monter dans l’auto. << Put-hein, j’ai pas envie de me faire chier, je veux être seule avec toi pendant deux semaines ! > me dit elle en posant sa tête sur mon épaule. J'aime ses initiatives.

Nous roulons sur la petite route. Le soleil est déjà haut dans un ciel d’un bleu de lapis-lazuli. Il commence même à faire très chaud. Christelle, comme elle le fait tout le temps quand nous sommes en voiture, passe sa main gauche dans ma braguette. Là, nous n’avons pas fait cinq kilomètres, qu’elle sort mon sexe pour le sucer. Je roule doucement. La route est déserte. Je m'arrête une première fois dans l'entrée d'un chemin. J'ajuste le rétroviseur intérieur pour la voir se régaler. C'est émouvant. Je caresse sa nuque. Je redémarre pour m'arrêter quelques kilomètres plus loin. Christelle cesse régulièrement pour tenter de déglutir. D'avaler. Nous arrivons en vue du viaduc.

Je gare la voiture sous un bosquet d’arbres. Avec ce soleil il faut profiter de cette ombre généreuse. Christelle se redresse. Nous sortons de la voiture, je remballe l’artillerie et referme ma braguette. La jeune fille, toute heureuse, sautille autour de moi : << Je ne veux plus compter les jours, et toi ? >> me fait-elle en me prenant le bras. Les échanges de bisous entre deux phrases sont déjà devenu un réflexe commun. Je réponds : << Ah, mais moi, depuis toi, je ne les compte même plus ! Tu penses bien ! Le reste m’est complètement égal ! >>. Elle s'accroche à mon cou : << Si tu t’en branles de tout le reste, c’est moi qui veut le faire ! >> me répond t-elle. Nous éclatons de rire.

Ma complice enfonce soudain sa langue dans ma bouche pour la fouiller. Tout en palpant la bosse qui durcit inexorablement dans mon bermuda. Nous marchons sur un sentier aride. Il y a plusieurs arrêts où nous nous embrassons passionnément. Nous montons vers le viaduc. Une construction romaine imposante qui se détache sur l’azur du ciel. Nous voilà au pied du premier pilier. Ce qui doit être une véritable rivière n’est en cette saison qu’une sorte de ruisseau presque sec. Christelle met sa main dans mon short. Elle joue avec mon sexe humide. << Tu me le donnes un peu, j’ai soif ! >> lance t-elle en s’accroupissant. Elle m'entraîne un peu plus loin pour s'assoir sur une grosse pierre plate. Elle me tient les deux mains. Elle me fixe d'un regard plein de reconnaissance. Un regard amoureux. Amusé parfois.

J'observe les environs tout autour de nous. Le lieu est désert. Christelle m’ouvre la braguette. En fouillant un peu elle en tire mon sexe. Il est humide et un filet opalescent s’écoule du méat. << Waouh tu mouilles ! Tu sais que ça m'excite quand ça dégouline comme ça ! >> s'écrie t-elle avec ravissement. Ça me gêne un peu. Lapant la coulure avec sa langue, la jeune fille ouvre la bouche pour me gober en gloussant. Immédiatement, elle pompe. Je la regarde, les yeux fermés, concentrée, un air d’extase se lit une fois encore sur les traits de son visage. Il n'y a pas que mon excitation qui risque de me faire chavirer. Il y a également cette étrange émotion que me procure la fille.

Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Christelle se redresse. En souriant elle me fait : << Ah, ça va mieux ! >>. Nous éclatons de rire. Je remballe et nous marchons vers la colline. Ma complice s'arrête, me plaque contre la roche sur la gauche du sentier. << Je vais avoir de nombreuses petites soifs durant cette promenade ! >> me fait elle. Elle ne me laisse pas le temps de dire quoi que ce soit. Elle m'embrasse une nouvelle fois. Nous voulons prendre le raidillon rocheux qui monte sur la droite. Il se dirige vers l’édifice de pierres là-bas. Christelle me tient la main. Elle me parle d’elle, de ses études, de son "petit copain" un peu niais et qui la néglige. Elle évoque sa passion pour l’équitation.

Nous marchons environ une trentaine de minutes. << J'ai soif ! >> lance soudain ma compagne d'aventures. Elle s'accroupit immédiatement pour sortir mon sexe de la braguette de mon bermuda. Je me laisse faire. Je peux me tenir d'une main contre la roche. De l'autre je peux caresser affectueusement la tête de Christelle. Je suis sujet au vertige. Aussi j'évite de regarder vers le bas du sentier. Mais je n'ai aucune formule pour occulter l'autre vertige que me procure cette fellation. Ma coquine s'en amuse. Redoublant de succions de plus en plus sonores. Ces gargouillis qui témoignent des montées de liquide séminal. De sperme probablement aussi car il en suinte à ses lèvres.

Christelle se redresse. Son air mutin. Toute contente des effets de sa caresse. Je passe mon index pour récupérer la perle de sperme à la commissure de ses lèvres. Elle attrape mon poignet pour sucer mon doigt. Nous arrivons enfin sur le haut de la construction. Il y a un chemin. Un panneau et une chaîne en interdisent l’accès. << Un interdit c'est fait pour être contourné ! >> lance Christelle. Nous n’allons pas en priver nos légitimes curiosités. Elle m’ouvre une nouvelle fois la braguette. Elle me sort le sexe et, avant de s’accroupir pour en tirer de nouvelles substances, elle me dit : << Défense de la rentrer jusqu’au retour ! >>. Soudain, en regardant en bas, j’ai le vertige…

Julien



Classe
Christelle
Friday 20 January 2023 11:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 8 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Je suis victime de quelques vertiges

Christelle se redresse. Me prenant par la main, elle m’entraîne jusqu’à la chaîne. La jeune fille passe dessous et m’invite à la suivre. Je me baisse à mon tour pour prendre le même chemin. Celui-ci n’est autre que le sommet du viaduc. J’évite de regarder vers le bas d’un côté ou de l’autre. Christelle ne semble pas souffrir d'un quelconque vertige. Quand elle me regarde c'est en souriant de mon air soucieux. En se gaussant même par instants. << Tu as peur ? >> chuchote t-elle en posant ses mains sur mes épaules. J'avoue ma phobie de ces situations. Je n'ai jamais réussi à surmonter, à dompter mes craintes et mes peurs face au vertige. Alors j'ai développé une façon personnelle de maîtriser mon acrophobie. Cette angoisse qui me gagne rapidement au dessus du vide. Je ne regarde pas vers le bas.

L’étroitesse du chemin de pierre, entouré de chaque côté d’un muret qui m'arrive aux hanches, ne mesure pas plus d’un mètre cinquante de large. C’est réellement impressionnant de se balader là-haut. À certainement plus de soixante dix mètres au-dessus du lit d'une rivière quasiment asséchée. Une brise légère souffle sans pourtant apporter la moindre fraîcheur. Christelle m’entraîne en marchant de plus en plus vite. Je fixe ses pieds, ses mollets, ses cuisses. J'essaie de faire diversion à mes sens pour éviter de penser à l'endroit où je me trouve. Pour occulter l'altitude où je suis entrain de faire des folies. Christelle se retourne quelquefois pour demander : << Tout va bien ! Tu es sûr ? >>

Je réponds : << Oh oui ! Je me porte comme un charme. À part l'envie de vomir. De me coucher pour ramper et quitter ce lieu à quatre pattes en fermant les yeux, tout va très bien ! >>. Christelle éclate de rire. Soudain, là, devant nous, un trou béant empêche tout passage. Christelle, s’avançant au mépris du danger, me fait : << Oh punaise, viens voir, c’est vachement impressionnant ! >>. A la limite de la nausée, très inquiet et plutôt effrayé, je pose un pied devant l’autre. Je n'en peux plus. Je vais m'effondrer. << Mais c’est qu’il tremble notre quadra ! >> me fait elle encore en saisissant mon sexe qui pend lamentablement de ma braguette. Oui. Je tremble comme une feuille.

Je n’en mène pas large. Je saisis la main de ma complice. C’est moi qui prend l’initiative de l’entraîner à retourner sur nos pas. Christelle, amusée, me suit sans rechigner. << Tu sais, j’ai la trouille aussi, tu imagines un peu les pierres sous nos pieds, avec nos poids ? >> précise t-elle. À cette simple idée du vide sous le viaduc je marche de plus en plus vite. Je ne discute plus. C'est comme un réflexe de survie. Je l’entraîne de toutes mes forces. Arrivés au bout du viaduc, Christelle me saute dans les bras. Je prends d'énormes bouffées d'air. Je respire. Mon sentiment est comparable à celui que l'on éprouve en descendant du grand huit. Avec l'estomac de travers et les jambes flageolantes.

<< Mon héros m’a sauvé ! Il mérite une récompense ! >> lance la jeune fille en s’accroupissant devant moi. Me fixant dans les yeux, elle engouffre la totalité de mon sexe mou dans la bouche. La sensation, délicieuse, ne fait pas cesser ma légère tremblote. Je la laisse faire quelques minutes. Cette fellation agit un peu sur moi comme une thérapie d'apaisement. Mon cœur se remet à battre normalement. Ma tension redevient normale. Se retirant, Christelle me fait : << J’aime aussi quand tu ne bandes pas. Je récupère plein de jus ! Je crois que je vais t’emmener dans des endroits dangereux plus souvent ! >>. Nous éclatons de rire. La jeune fille se redresse. Je la soulève. Des bises.

Nous décidons de reprendre le sentier qui descend. Suffisamment d'émotions pour la journée. Christelle me propose de nous installer au bord de la rivière et d’y passer une partie de la journée. A deux reprises, sans me prévenir, en me faisant : << Stop ! Contrôle ! >> la jeune fille, s’accroupit pour me sucer quelques instants. Je retrouve une érection qui me réconforte. Le vertige qui m’habite à présent est d’une toute autre nature. Bien plus gérable que le précédent. Christelle sautille parfois autour de moi. Elle me prend par les épaules. Pose ses lèvres sur les miennes. Le bonheur qui nous envahit est presque palpable. J'aimerais suspendre le temps. Que tout s'arrête pour l'éternité.

Nous arrivons à la voiture. Nous revenons récupérer le plaid, la glacière, les fruits et le pain. Nous retournons à la rivière dix minutes plus tard. Il est presque midi. Mon sexe toujours à l’air, car j’ai l’ interdiction formelle de le rentrer. Je suis habité d’un sentiment d’insécurité. Je n'arrête pas de regarder avec une grande attention partout autour de nous. Nous n’avons encore croisé personne ce matin. Il faut préciser que cette chaleur est assez dissuasive. Nous nous installons au bord de l’eau claire, à l’ombre d’un des piliers massifs et vertigineux. Dire que nous faisions les clowns là-haut ! Cette simple pensée me procure une forte décharge électrique tout le long de la colonne vertébrale.

A peine suis-je allongé que Christelle se love contre moi. Comme une petite chatte, elle se frotte contre ma cuisse en ronronnant. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Ça aussi ça procure des frissons. Nous vivons tous deux un véritable enchantement paradisiaque. Doucement, cessant de m’embrasser, la jeune fille descend vers mon sexe qu’elle gobe de la plus douce des manières. Je me laisse faire. << Surprends-moi ! >> me fait elle durant le court instant où elle cesse de sucer. Appuyant sa demande d’un clin d’œil elle me masturbe lentement. Je crois comprendre ce que la jeune fille sous-entend. Je passe délicatement ma main sur sa joue. Jusque dans sa nuque.

Je demande d'un air faussement innocent : < Tu ne veux pas qu’on mange d’abord ? >>. Christelle rit aux éclats. << Tu as faim aussi ? >> répond t-elle espiègle et mutine. Revenant se lover dans mes bras. Frottant délicatement sa joue sur la mienne. Je suis pétri d'émotions. Mais, en compagnie de cette étonnant compagne d'aventures, cette émotion devient une constante. Je sais ce qui m'arrive. Ce qui naît tout au fond de moi. Cette idée m'effraie soudain. Je suis encore dans une de ces situations insolubles où la finalité apparaît clairement dans sa douloureuse réalité. J'occulte immédiatement cette pensée. Christelle est-elle télépathe où ressent elle les mêmes tourments ?

Mon sexe dans sa main, Christelle me fixe longuement. Silencieuse. Ce regard soudain mystérieux qu'ont les filles qui nous jaugent. Ce regard qui nous pénètre jusqu'à l'âme. Ce regard qui nous déshabille complètement. On ne peut plus tricher. C'est impossible. Les plus fourbes baissent alors les yeux. Les timides, les craintifs ont un sourire un peu niais. Les combatifs luttent sans froncer les sourcils. Les inconscients, dont je fais partie dans ce genre de situation, se laisse crétiniser par le sentimentalisme, par le romantisme. Au point d'en oublier ce que ma partenaire tient dans sa main droite. Ma complice d'aventures se met à serrer. Par petits mouvements répétés avant de me masturber franchement. Très certainement pour me tirer de mes introspections qu'elle devine stupides, inutiles et dérisoires...

Julien



Classe
Christelle
Friday 27 January 2023 11:20

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 9 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Le pêcheur

Assis en tailleurs, l'un en face de l'autre sur le plaid, les victuailles au milieu, Christelle et moi partageons notre repas. La jeune fille me parle de sa première année d’études. Je remarque une fois encore que lorsqu'elle aborde le sujet c'est avec passion. J'en suis enchanté. Elle évoque également son "petit copain". Alexis prépare un brevet professionnel. Après une année d'échec il s'est enfin décidé à se secouer. À y mettre un coup. À mon tour, après un long silence, je parle de mes activités artistiques. Je réponds à des questions précises. Tout en conversant notre attention est attirée par des mouvements de l’autre côté de la rivière. Il sort enfin des bosquets. C'est un pêcheur qui remonte le cours d’eau. Il est équipé de sa canne et de son matériel. Que peut-il bien espérer prendre dans ce qui n'est qu'un ruisseau ?

Quinquagénaire plutôt enveloppé, le quidam nous salue d’un signe de la main. Nous lui rendons son geste amical. Je découpe les tranches de pain et de belles lamelles de parmesan. Nous reprenons notre conversation. Je fais remarquer à ma compagne d'aventures que ses petites économies pourraient fondre comme neige au soleil si elle voulait partager tous les frais. << Ne t’inquiète pas ! Sur un simple coup de téléphone je peux acheter ta voiture ! >> me fait-elle. Est-ce pour me rassurer ? Elle s'amuse de mon air interloqué. Comme pour briser ce nouveau silence Christelle me confie pour la première fois la raison sociale de ses parents. Situations professionnelles forts enviables. Je dis : << J'aime bien la compagnie des gens qui jouent dans ma catégorie ! >>. Christelle s'écrie : << Je m'en doutais dès le début ! >>

Pour clore le sujet, je précise : << Contrairement à tes parents moi je ne suis qu'un pauvre héritier riche et fortuné ! >>. Christelle me fait un clin d'œil en s'exclamant : << Ce qui finira par m'arriver à moi aussi ! >>. Elle m'attrape par le poignet. Nous rions aux éclats. Une fois notre délicieux repas terminé nous passons au dessert. Des fruits goûteux. Des nectarines achetées hier dans la supérette. Je remballe les affaires. Je dispose la glacière dans l’eau en la coinçant entre deux grosses pierres. Je reviens m’allonger sur le plaid. Christelle, coquine, me fait : << Je peux avoir mon dessert et mon digestif ? Tu m’as promis ! >>. Elle me regarde par en-dessous. Très vicieuse. Elle ouvre ma braguette avec une certaine agilité pour en extraire ce qui la passionne de plus en plus. Elle me fixe de ses yeux terriblement suggestifs.

Je regarde partout autour de nous. Avec attention je scrute les environs. Tout est désert. Seuls l'écoulement de l’eau et le chant des grillons emplissent l’atmosphère bucolique de l’endroit. Nous bénéficions de l'ombre du pilier du viaduc. Ce qui nous protège également de la lumière indécente qu'impose ce soleil caniculaire. Christelle, s’allongeant à côté de moi, dépose sa tête sur mon ventre. Longuement, tout en me racontant des anecdotes d'étudiante, elle joue avec mon sexe. Le décalottant puis repoussant la peau pour recouvrir mon gland. Je préfère le savoir bien à l’abri dans son capuchon. << Si Alexis savait avec quoi je m'amuse ! Et ce que je fais dans son dos ! >> murmure t-elle.

Un long silence. Un papillon blanc vient virevolter. Christelle rajoute : << Je suis une salope. Et j'aime ça. Tant pis pour le reste ! >>. Je ne dis rien. Au bout d’un moment, approchant son visage, elle gobe ma turgescence. Immédiatement l'effet sensuel de indicible caresse envahit tout mon être. Je reste parfaitement immobile. Parfois, par contractions de mes muscles fessiers, je fais bouger mon sexe dans la bouche de ma complice. A chaque fois la délicate sensation de ventouse semble s'affirmer davantage. Les gémissements de satisfaction commencent à se faire entendre. Ces petits mouvements intimes qui permettent la "fabrication" abondante du liquide séminal semblent ravir ma suceuse.

Christelle pompe. Ces merveilleuses sensations alternées par l'avidité et la douceur. La gourmandise et la surprise des découvertes. Je reste les yeux fermés. M'abandonnant aux vertiges de l'ivresse jouissive. Sous ma tête, comme un oreiller, je dispose le sac à dos. Quand j'ouvre les yeux je peux voir la tête de ma compagne d'aventures. Le plus souvent elle reste sans bouger. Je la sais concentrée sur sa pipe. Pour le regardant, c'est un spectacle passionnant. Ce silence. Ces yeux fermés. Cette concentration. Ces joues creusées par l'effort. Fantastique. Je ne vois par vraiment ce qu’elle fait mais je peux le sentir. Je referme les yeux et je me laisse transporter dans les plus subtiles voluptés. C'est un véritable enchantement paradisiaque. Parfois, je la tiens par la nuque pour appuyer légèrement. Parfois je caresse ses cheveux.

Christelle a des mouvements de tête légers mais de plus en plus fréquents. Depuis un petit moment, nous percevons des bruits. D'abord diffus, ils s'inscrivent à présent dans notre environnement. Nous prenons conscience de leurs réalités. J’ouvre un œil. Je tourne la tête sur la gauche. Là, planqué derrière les bosquets, de l’autre côté de la rivière, il y a le pêcheur. Le bougre qui mâte. Il nous observe. Christelle qui glousse depuis un moment. L'excitation. Je comprends subitement. La coquine a sans doute repéré le voyeur. Ce qui explique probablement les légers mouvements de tête depuis dix minutes. Christelle se donne tout simplement en spectacle. Je fais semblant de ne m’apercevoir de rien. Je garde les yeux plissés. J'observe Christelle avec attention. Mon excitation s'amplifie soudain quand je la vois loucher vers le type.

Je prends mes lunettes de soleil. Les verres fumés permettent la discrétion. Je peux regarder franchement. Cet homme se masturbe. Il s'est établi entre lui et Christelle une complicité. Depuis combien de temps et à mon insu joue t-elle ainsi ? Je pourrais éjaculer tellement cette brusque révélation m'excite. Cet inconnu n'est pas seulement voyeur, c'est également un exhibitionniste. Je reste immobile, jouant à la perfection le "bienheureux" alors que ce qui se passe à présent fait bouillonner mes sangs. Bouillir mes couilles. Et Christelle qui en gémit de bonheur. Son plaisir est double. Je prends conscience que ma douce compagne d'aventures est une exhibitionniste. Une félicité m'envahit.

Derrière les verres fumés je peux observer tout à loisir le manège du type. Il fait un petit signe à Christelle. C'est dur de jouer à celui qui ne se doute de rien dans de telles conditions. Secrètement, discrètement étonné, dubitatif et plutôt consterné, je vois Christelle lui répondre par un discret mouvement de la main. En fait la jeune fille s’amuse depuis au moins une dizaine de minutes de cette situation. Sans me le dire. J'adore. Soudain excité au-delà du raisonnable j’éjacule en poussant un râle incontrôlable. C'est trop bon. Plusieurs jets dont l’abondance doit surprendre ma délicieuse petite salope. Avec peine, elle déglutit. Fixant le type entrain de secouer son membre dans sa direction. Juste à côté du bosquet, prêt à s'y dissimuler si je devais tourner la tête pour le regarder. Je dois me faire violence pour surtout ne pas le faire.

Je louche toutefois le mec. À m'en déboîter les globes oculaires. Les verres fumés le permettent. Cette étrange impression d'être de trop dans ce jeu dont je ne suis plus que le jouet. L'inconnu doit comprendre ce qui se passe. Christelle continue à fixer notre voyeur. Je l'observe. Quand elle lève les yeux elle ne s'en doute pas. Coquine prise à son propre jeu. Le saligaud lève même le pouce de sa main droite. Comme pour féliciter la jeune fille. Christelle, sans doute aussi excitée que moi, continue à me vider avec soin. Je reste ainsi, immobile, ma curiosité aiguisée par ce qui se déroule. Je me mets à bouger doucement, d’un mouvement masturbatoire, dans la bouche de ma pipeuse. Affolée de plaisir, elle pousse un râle de plaisir en continuant. Comme si sa vie en dépendait. Christelle semble bien décidée à poursuivre...

Que va encore me réserver cette étonnante jeune fille ?

Julien



Classe
Christelle
Friday 3 February 2023 11:14

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 10 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Les révélations

Je suis couché sur le dos. Sous ma tête, en guise d’oreiller, le petit sac à dos. Je porte mes lunettes. Je louche sur l'autre côté de la rivière. Le voyeur est à environ une trentaine de mètres. Souvent il se dissimule derrière les bosquets. Lorsqu'il en sort c'est pour agiter son sexe en notre direction. Je fais toujours semblant de ne me douter de rien. C'est à la fois passionnant et excitant. Allongée sur le plaid, à ma gauche, sa tête parfois posée sur mon ventre, Christelle s'adonne à sa fellation. Du coin de l’œil, discrètement, derrière les verres fumés de mes Ray-Ban "aviateur", je surveille les agissements du pêcheur. Ce dernier, bien vicelard, se masturbe. Je n'arrive pas distinguer si Christelle a les yeux ouverts. Je crois m'en douter à constater les réactions de l'exhibitionniste. Il lève très souvent son pouce pour manifester son plaisir.

Le bougre ne se doute certainement pas que je l’observe. Le salopard redouble donc quelquefois d'audace. Jouant de témérité risquée. Il me suffirait de tourner subrepticement la tête sur ma droite pour que ses agissements soient découverts. Je meurs d'envie de le faire. Je me fais violence. Ce qui me passionne dans cette situation c'est l'attitude de ma compagne d'aventures. Je n'aurais jamais imaginé un tel degré de turpitudes ! C'est fabuleux. Christelle, probablement aussi excitée que moi par ce qui se passe, me suce avec cette passion dont elle est coutumière. Elle ne cesse de fixer le voyeur exhibitionniste. Ce dernier semble lui aussi passablement excité. En effet, avec un culot certain, le salopiot se masturbe maintenant ostensiblement au bord de la rivière. Cambré sur ses genoux fléchis. Le corniaud prend tous les risques.

À chaque minute je prends davantage conscience de cette situation surréaliste. Je suis terriblement gêné. Je prends également conscience que c'est ce sentiment de honte qui entraîne mon attitude. Faire semblant de ne pas m'apercevoir de ce qui se passe est une façon de fuir la réalité. Soudain, pris d'une pulsion de "sauvegarde", j’entraîne ma pompeuse à côté du plaid, sur les cailloux. Je la tiens par ses cheveux. Fermement. Elle pousse un râle de surprise. Je pose ma main sur la tête de Christelle. Doucement, j’appuie. Je la force ainsi à gober en peu plus de ma turgescence. Christelle émet un second cri de surprise. J’enfonce encore un peu plus. Le type observe avec une attention décuplée. Il cesse même de se masturber. Se cache. Je ne regarde surtout pas vers lui. Je saisis la jeune fille pas ses cheveux pour lui retirer la tête.

En même temps que je sors mon sexe de sa bouche, je lâche un jet. Court, bref, net et précis. Christelle, surprise, pousse un nouveau petit cri de stupeur. J'appuie une nouvelle fois sur sa tête. Elle n’a d’autre choix que de gober à nouveau mon sexe. Elle le fait avec avidité en poussant de longs gémissements. Je me lâche en plusieurs petites giclées. Elle tente de se retirer. Je la maintiens fermement. Je décide de me comporter en salopard. En ce faisant je me mets simplement en harmonie avec ce qui se déroule depuis une bonne vingtaine de minutes. À moi d'avoir un double plaisir. Seule façon de m'en sortir. Vous vouliez vous amuser à mes dépends tous les deux ! Je joue avec !

Je me comporte de la sorte à plusieurs reprises. La relevant en la tenant par les cheveux. Pissant d'un coup bref. Lui appuyant à nouveau sur la nuque. Je jeu doit beaucoup plaire à ma joueuse car, se sachant observée entrain de se livrer à sa gourmandise, elle pousse des gloussements sonores. De petits cris de ravissements qui doivent s'entendre de l'autre côté de la rivière. Notre voyeur doit les percevoir car son comportement devient de plus en plus perturbé. Il est évident que le bougre se pose "la" question. Va t-il venir par là ? Personnellement, étant hétérosexuel à mille pour cent, je n'aimerais pas. Mais alors pas du tout. Christelle se douterait-elle de quelque chose ? Mon attitude, mes réactions ont de quoi surprendre une jeune fille beaucoup plus intelligente et rusée que je ne l'imaginais.

Le type doit certainement éjaculer car je le le vois se crisper. Se cambrer. Il reste soudain immobile en ahanant. J’en profite pour faire de même. Un second orgasme, absolument fameux, dans la bouche de ma merveilleuse suceuse. Une seconde éjaculation qui risque de noyer ma gourmande. Avec soin, longuement, elle me fait le "fond de cuve". Sans en perdre la moindre goutte. Je vois le type s’en aller, sa musette en bandoulière, son épuisette et sa cane à pêche à la main. C'est là que je tiens fermement les cheveux de Christelle. Je la force à relever la tête pour crier en direction du mec : << Superbe pompe à foutre, n'est-ce pas ? >>. Christelle tente de se soustraire à mon étreinte. Pas question. Je la maintiens fermement pour murmurer : << Tu es la plus adorable salope qu'il m'ait été donné de rencontrer ! >>

Christelle, les cheveux trempés, se redresse. Elle me fixe pas en-dessous. Mais avec un regard d'une incroyable dureté. Sévère. Lourd de reproche. Je la toise en la lâchant enfin. Elle est trempée de pisse. Son visage dégouline de toutes les substances qu'elle n'a pas réussi à avaler. Soudain, elle éclate de rire en s'écriant : << Salaud ! Tu savais hein ! Put-Hein j'adore les mecs dans ton genre ! >>. Elle me regarde à présent avec un sourire radieux, visiblement heureuse : << C’était comment ? >> me demande t-elle, mutine. Je lui tends le rouleau de papier absorbant en disant : << Tu es une merveilleuse petite salope ! J'aurais vingt ans de moins je te demanderais en mariage ! >> Elle éclat de rire en répondant : << Oh là, mais comme tu es vulgaire toi ! Salope ? Moi ? Mais où vas-tu chercher des choses pareilles ! >>.

Se levant, allant à la rivière, Christelle, prenant appui sur un gros cailloux, trempe sa longue chevelure dans l’eau. << Wouah ! C’est rafraîchissant ! >> fait-elle en agitant ses cheveux au-dessus de l’onde. Comme elle est belle. Cette frêle silhouette qui se détache à contre jour. Ses cheveux qui éclaboussent partout autour d'elle. J’ai de la pisse sur mon bermuda et sur le bas de mon T-shirt. Christelle en a sur le haut du sien. Nous décidons donc de laver nos vêtements dans la rivière. Avec la chaleur, tout sera rapidement sec. C'est en échangeant nos impressions quand au déroulement de notre superbe aventure que nous frottons nos vêtements. Je félicite Christelle pour ses talents. Pour sa capacité à se mettre en scène. Pour la discrétion vicieuse dont elle sait faire preuve. << Et tu n'as encore rien vu ! >> s'écrie t-elle.

Nous étalons nos vêtements mouillés sur des rochers. Nous revenons en slip et en culotte. Nous nous allongeons sur le plaid. Christelle s’endort contre moi. Je ne tarde pas à la rejoindre dans un profond sommeil. Nos habits sont entrain de sécher sur deux grosses pierres. Nous dormons ainsi deux bonnes heures. Il est dix sept heures trente. Nos fringues sont secs. Nous nous habillons pour retourner à la voiture. Sur le chemin Christelle me confie à quel point ce que nous avons vécu cet après-midi l'a comblé. << C'est comme un fantasme que j'aurais réalisé. Sans toi, c'était tout simplement impossible. Merci ! >> fait elle en passant ses bras autour de mon cou pour m'embrasser.

Je pose une série de questions très intimes sur ses fantasmes. À ma grande surprise, alors que la plupart des filles restent silencieuses et mystérieuses sur ces choses, Christelle se montre très loquace. Elle répond avec davantage de détails encore que je ne le souhaite. << J'ai des tendances exhibitionnistes. Depuis petite. Il se passe toujours quelque chose de très profond et d'inexplicable tout au fond de moi quand je fais ce genre de choses. Mais, toute seule, tu sais, c'est très rare et souvent impossible. Alors ça reste dans un coin de ma tête ! >> me confie t-elle. J'écoute. C'est passionnant. Je regarde le profil de cette jeune fille de 20 ans. Fragile, délicate et pourtant tellement vicieuse.

De nombreux frissons parcourent mon échine. Nous bavardons. Christelle me raconte d'étonnantes anecdotes concernant ses fantasmes. Entre les choses qu'elle a déjà réalisé et les choses qu'elle aimerait réaliser. Je la prends dans mes bras, pétris d'émotion, pour murmurer : << Je peux t'aider à en réaliser certains ! >>. Elle m'écoute, s'écarte légèrement pour chuchoter : << Je te préviens, il y a des trucs un peu fou dans ma tête ! >>. Nous rions aux éclats. Nous voilà de retour à la voiture. La faim commence à nous tenailler. Nous prenons chacun une pêche. Les derniers fruits. Ma compagne d'aventures se love contre moi, palpe doucement ma braguette en disant : << Merci ! >>.

J’invite Christelle à nous mettre en quête d’un bon restaurant pour le repas du soir. La voiture est équipée d'un GPS. Il suffit de poser la bonne question. L'embarras du choix ? Pas vraiment. Nous sommes vraiment en zone rurale. Loin de tout ou presque. Je roule doucement. Tout en jouant avec mon sexe Christelle pose tout un tas de questions saugrenues à la "dame du GPS". << Comme elle est con ! Tu as entendu ? Quand je lui demande si elle suce elle répond qu'elle ne comprend pas le sens de ma question ! >> dit elle. Nous rions aux éclats.

Nous arrivons dans un charmant village aux maisons de pierres blanches. Une sorte de bourgade à une dizaine de kilomètres au Nord de notre point de location. Je gare la voiture sur la place de l'église. Il y a des gens assis sur des chaises devant leurs maisons. Il y a le bar restaurant devant la mairie. Nous y réservons une table. Pas de touristes qui se bousculent par là. Nous nous promenons dans les ruelles. Christelle, à plusieurs reprises, discrètement, lorsqu’elle se blottit contre moi, me palpe la braguette avec vigueur. << J'aime mon nouveau "copain" ! >> dit elle. Au sommet de la colline, à côté de la mairie, nous voilà installés à une table sur la terrasse de ce magnifique endroit.

Julien



Classe
Christelle
Friday 10 February 2023 11:15

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 11 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Des précisions s'imposent d'elles-mêmes

Après ce délicieux repas. Après avoir traîné longuement à table. Après avoir échangé quelques épisodes de nos existences, nous profitons de cette douce soirée d’été en nous promenant longuement dans les ruelles du village. Cette soirée au restaurant nous a légèrement alourdi. Aussi, c’est avec un réel plaisir que nous profitons de cette légère fraîcheur de la nuit. Christelle me tient par la taille en me racontant des anecdotes de sa vie. Elle le fait avec passion en s’arrêtant souvent pour se serrer contre moi. Christelle aime également me poser tout un tas de questions sur mon passé. J'ai l'âge de son père. Il y a donc de quoi susciter l'intérêt d'une jeune fille de vingt ans. Curieuse, ouverte.

Nous revenons à l'appartement pour minuit. Me chevauchant, Christelle profite de la splendide dernière érection de cette belle journée. Malgré que son cycle, (et son tampon), lui interdisent la pénétration vaginale, elle se frotte avec fougue. Quand elle se penche en avant, pliant ses coudes, elle dépose des bises sur mes lèvres. Tous deux fourbus, nous nous endormons sans même nous en rendre compte. La jeune fille après avoir pesé sur moi de tout son poids, glisse doucement sur le côté pour plonger dans un profond sommeil réparateur. Je la rejoins presque immédiatement. Elle ronfle doucement. J'essaie de lutter encore un peu, épuisé, pour l'écouter s'abstraire dans l'onirisme.

Il doit être sept heures. Le soleil joue déjà sur le mur en face du lit. Évoquant la peinture de Vermeer de Delft. Christelle, déjà réveillée, me chuchote les premières douceurs de la journée. Elle m'avoue avoir attendu mon réveil. Je l'ai entendu se lever dans la nuit. << Pour changer mon tampon. Il était six heures ! >> précise t-elle. Je la serre contre moi. C’est le quatrième jour que nous passons ensemble. Comme moi ma compagne d'aventures désire profiter de chaque instant, avec la même acuité que la mienne. Nous ne voulons rien perdre de ce temps partagé. C’est d'ailleurs notre "contrat". << Tout cela s'annonce comme les plus belles vacances de ma vie ! >> fait Christelle en se levant.

Nous nous levons pour nous précipiter dans la salle de bain. Nous adorons commencer nos journées par une bonne douche. Puis, assis à la petite table, nous prenons notre petit déjeuner. Christelle évoque le bord de rivière, hier. Tous deux, nous évitons de parler du pêcheur. Je n’aborde pas le sujet. Je veux découvrir si la coquine sait, si elle "joue", et tout cela m’excite évidemment considérablement. Sera t-elle la première à en parler ? Nous envisageons une nouvelle expédition dans la région. Assise sur mes genoux Christelle propose différentes options. J'ai ma tablette Samsung sur la table de nuit. Christelle se lève pour aller la récupérer. Elle l'allume en chantonnant. Cet adorable.

Notre choix se porte sur La Cascade du Ray-Pic. Nous consultons une brochure en ligne. Je propose à Christelle de passer un peu de temps à Annonay. Nous pourrons y visiter quelques Musées, aller à l’office de tourisme et découvrir la ville. Je suis entrain d'essuyer notre petite vaisselle. << Tu as toujours de bonnes idées ! >> me fait la jeune fille en me sautant dans les bras. En se saisissant de la tablette ma compagne d'aventures lit à voix hautes quelques descriptions touristiques. J'écoute avec attention. Toutes ces émotions commencent à me tatouer l'âme. Et de plus en plus profondément. Éveillant ces vieilles craintes. Surtout à l'idée que cet enchantement finira par s'achever.

Nous nous mettons en chemin. Nous prenons la petite route presque déserte qui quitte le bourg voisin. La départementale 121 qui nous mène vers Annonay. Le paysage, sec et ensoleillé, est de toute beauté. Je roule doucement. Nous nous faisons doubler par quelques rares véhicules. Christelle fourre sa main gauche dans ma braguette plusieurs fois. Souvent pour ponctuer une phrase. Un bon mot ou une expression amusante. Elle est là, les pieds nus sur le tableau de bord, à me raconter des histoires rigolotes. J’apprécie l’optimisme et la constance de caractère de ma coéquipière. Et toujours ces questions surréalistes qu'elle pose à la "dame du GPS". Nous rions aux éclats.

Christelle est vêtue d’une jupe légère, courte et plissée. Un simple T-shirt qui lui recouvre le buste. Ses tous petits seins ne nécessitent aucun sous-vêtement. Je sais toutefois qu’elle porte une culotte. C'est étrange cette propension à porter une culotte qu'ont les filles qui ont leurs règles. Elle est libre de ses mouvements, souriante et heureuse. Je lui trouve chaque jour un peu plus de finesse d'esprit. Je la trouve chaque jour plus belle et plus délicate. Dans ma poitrine, mon vieux cœur commence à m’imposer de curieuses sensations. Je suis entrain de me faire piéger par moi-même. Toujours ce même piège dans lequel je retombe. Toutes les expériences du monde n'y changeront rien.

A la sortie du magnifique village de Saint-Bonnet-le-Froid, Christelle extrait mon sexe avec une agilité étonnante. Un sexe qui alterne entre érections et séquences de repos. Doucement, alors que je reste concentré du mieux que je peux sur ma conduite, ma coquine imprime un léger mouvement masturbatoire. Je suis beaucoup plus amusé qu’excité. Nous rions beaucoup car tout cela se passe dans la joie et la bonne humeur. Il n'y a dans ce jeu aucun désir véritable. C'est déjà devenu presque "mécanique". Doucement, la jeune fille, baissant ses jambes pour les poser au sol, se penche sur le côté. Christelle gobe mon sexe en poussant un gémissement de contentement. Je reste vigilant.

Je suis très concentré. Je scrute chaque angle de mes rétroviseurs et de la route. En restant parfaitement lucide, maîtrisant totalement la situation, j’éprouve un plaisir décuplé. Je peux sentir la langue agile de Christelle qui tente de pénétrer sous la peau de mon prépuce. Je contracte mes muscles fessiers à plusieurs reprises afin de lui offrir un peu de liquide séminal. Je secrète rapidement. C'est physiologique. Dans ma nature. De sympathiques petits râles d'étonnements témoignent d'ailleurs des montées de sève. Conduisant de ma main gauche, je passe ma main droite sous ses cheveux. Je saisis sa nuque pour la caresser, la masser. Avant d'appuyer sournoisement. Cela l'amuse.

Cette situation se reproduit trois fois sur une quinzaine de kilomètres. Nous prenons la départementale 17. Christelle, quand elle se redresse, interroge le GPS. Elle finit par attacher ses cheveux avec un chouchou jaune. Quand elle tourne la tête pour me sourire, je fonds. Cette intimité qui grandit chaque jour. La route est étroite. Parfois, tirant Christelle par ses cheveux à présent attachés, je la redresse afin qu’elle puisse admirer le paysage. << Oh regarde là-bas, la drôle de montagne ! >> fait elle en montrant au loin une sorte de "brioche conique". La jeune fille consulte la tablette avant de me dire : << C’est le Mont Gerbier de Jonc ! >>. Ma guide me masturbe alors un peu.

Je gare la voiture afin de prendre quelques photographies. J’oublie que mon sexe pend de ma braguette et je sors de la voiture. Un coup de klaxon d’une auto qui passe attire mon attention. Christelle, pliée de rire, pointe son doigt en direction de mon entrejambes. Je remballe très vite. Je me sens soudain tellement stupide de m'être fait surprendre ainsi. Faut il être con pour oublier de ranger ses "petites affaires" avant de sortir de l'auto ! La coquine n’arrête pas de me tripoter à travers le tissus de mon bermuda. Je prends quelques clichés. Ma complice regarde partout autour de nous. Personne. << Viens on descends plus bas ! >> dit elle. Nous sommes à l'abri du regard des automobilistes.

Christelle se penche devant moi pour descendre la tirette de ma braguette. Une nouvelle fois elle en extrait mon sexe. << Il faut aérer tout ça. Avec ces chaleurs ça pourrait fermenter puis moisir ! >> lance t-elle. Nous rions comme des fous. Une nouvelle fois avec mon sexe dans la main, ma compagne d'aventures m'entraîne sur l'étroit sentier rocailleux qui descend vers une construction de pierres évoquant une sorte de temple. Ce ne sont que les ruines d'une ancienne bergerie. Elle me pousse sur une pierre plate. S'accroupissant entre mes jambes, sans lâcher mon sexe, elle dit : << Si je n'avais pas mes règles, tu serais déjà bien enfoncé là ! >>. Elle pointe son index en direction du sien.

Je suis secrètement soulagé. Dans ces situations je redoute une chose que je déteste par dessus tout. La sodomie. Christelle n'y fait aucune allusion. Ce qui me rassure. Comme si elle devinait cette pensée, subitement elle s'écrie : << Je déteste la sodomie ! Tu aimerais m'enculer ? Ça te frustre ? >>. Je m'empresse de répondre : << Ah mais pas du tout. Je partage ta répulsion pour "ça" ! >>. Ceci étant précisé, c'est comme après la résolution d'un problème en suspend. Christelle rajoute : << J'aime l'avoir là où la nature a prévu les choses ! >>. En éclatant de rire elle montre sa bouche qu'elle ouvre en grand pour lancer : << Là aussi. Car il y a le goût ! >>. Je la rejoins dans un fou rire.

Julien



Classe
Christelle
Friday 17 February 2023 11:14

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 12 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Folies dans un lieu public

Nous ne nous attardons pas dans ces ruines. Christelle se redresse. Elle me tire par le sexe afin que je me lève de ma pierre. Nous remontons le sentier ainsi. C'est assez cocasse. Nous voilà installés dans la voiture. Avec ces chaleurs caniculaires la climatisation est l'invention la plus phénoménale. Christelle est la plus parfaite des coéquipières. Elle sait même lire une carte routière à la perfection. Quand je le lui fais remarquer, elle s'écrie : << Macho ! >> en me tordant le sexe. Aïe ! Sur la petite route qui mène vers Annonay la circulation est plutôt fluide. Christelle tient toujours mon sexe. Je roule donc doucement, avec de grandes précautions, en me faisant caresser. Masturber.

L’activité qui consiste à conduire un véhicule, le sexe à l’air, en compagnie d’une délicieuse ingénue, devrait être reconnue d’utilité publique. En effet, le conducteur redouble de prudence et fait très attention. Ce qui limite considérablement les risques de dépassements des vitesses autorisées. Que du bénéfice. Sans même évoquer les effets thérapeutiques qui devraient êtres remboursés par la Caisse Primaire d'Assurance Maladie. Parfois Christelle se laisse glisser sur le côté pour récupérer le liquide séminal qui perle à l’extrémité de mon prépuce. Elle ne voudrait pas que cela tâche le tissu kaki de mon bermuda. Ma coéquipière me suce alors avec cette délicatesse presque émouvante.

Une délicate attention buccale qui crée bien évidemment une nouvelle addiction. Parfaitement consciente de l’effet qu’elle suscite sur ma libido comme sur ma psyché, la coquine en profite avec une effronterie redoublée. Se redressant avec les lèvres humides. Prenant plaisir à montrer les coulures. Elle me tire la langue en faisant d'horribles grimaces. Elle louche pour me dire : << Dents de lapin ! >>. En imitant un léporidé, lèvres supérieures retroussées. Je rigole comme un fou. Et c'est bien plus dangereux en conduisant que de se faire tailler une pipe. Il commence à faire faim. Nous mordons dans une pomme. Christelle vérifie notre itinéraire sur la tablette. << On est bon ! >> dit elle.

Nous arrivons à la ville pour treize heures. Morts de faim. Cette fois-ci, avant de sortir de la voiture, je ferme consciencieusement ma braguette. Christelle, prenant un air triste de circonstance, s'exclame : << Oh, dommage ! Je pourrais l’avoir encore un peu après ? >>. Je contourne le véhicule pour serrer cette adorable coquine contre moi. Elle enfonce sa langue au goût de pomme dans ma bouche. << Comme on est bien tous les deux ! >> s'écrie t-elle en se mettant à sautiller tout autour de moi. Cette maudite émotion qui me submerge à nouveau si soudainement. Christelle doit être dotée d'un sixième sens car elle saute à mon cou en s'écriant : << Et ça ne fait que commencer ! >>.

J’ai garé la voiture à l’entrée de la ville. Nous décidons de nous trouver un parc. De manger à l'extérieur. De la glacière je tire les victuailles pour les mettre dans le petit sac à dos. C'est décidé, je vais acheter une de ces glacières à brancher sur l'allume cigare. La glace ne partira plus en flotte au bout de quelques heures. Christelle tient ma main. Nous découvrons des rues écrasées de soleil. C'est touristique. Après avoir demandé notre chemin à un passant, nous nous mettons en route pour le parc Mignot. Il est distant de quelques centaines de mètres. La vue sur le lieu, décoré "à la Française", est de toute beauté. Nous avisons un banc en retrait. Là-bas, derrière le kiosque, une fontaine.

Je découpe les tranches de pain pendant que Christelle, ouvrant le Tupperware, remue la salade préparée ce matin. << Il faut que je téléphone à mes parents. Je n'ai pas encore donné de mes nouvelles aujourd'hui. Ils m'imaginent avec ma copine. Je vais leurs dire la vérité. Je déteste le mensonge ! >> lance Estelle en sortant son téléphone. Je l'interroge du regard. Je ne sais pas si c'est vraiment aussi important d'avouer à ses parents qu'elle traîne avec un mec de l'âge de son père. J'avale de travers. Christelle pose sa main sur mon bras en disant : << Ne t'inquiète pas, je sais m'y prendre avec papa ! >>. Je me contente de répondre stupidement : << Oui mais quand même ! >>.

Je lui tends sa tartine de Roquefort, son fromage préféré. Elle la garde dans sa main gauche tout en bavardant. Je suis pâle. Je suis en sueur. Je voudrais me cacher dans un trou de souris. Je l'entends tout avouer. Sa dispute avec sa copine. Notre rencontre il y a quatre jours. Notre installation dans un appartement. Nos virées. Nos découvertes. Mutine, espiègle, pour me faire profiter de ses aveux et des réactions de sa mère, Christelle met sur "haut parleur". Je suis bien plus outré que ne le sont ses parents. Par contre je suis totalement subjugué par leur incroyable ouverture d'esprit. Je profite de tous les échanges. Je découvre ainsi que ma compagne d'aventures est la "princesse".

Une grande manipulatrice. Mais je devine l'amour immodéré de ses parents. Fille unique qui est la "reine" à la maison. Pour m'achever totalement, me donner le coup de pied de l'âne, Christelle précise : << Je vous envoie des photos ! >>. Alors là, je risque de suffoquer. Christelle, tout en bavardant surveille mes expressions du coin de l'œil. C'est qu'elle profite de mon désarroi avec une certaine jubilation. Elle raccroche en s'écriant : << Et voilà ! Pas plus difficile que ça ! Dire la vérité est un véritable soulagement ! >>. Elle se lève pour s'assoir sur mes genoux. Tout en mangeant sa tartine elle rajoute : << On va faire de belles photos, très "sages". Les envoyer à mes parents ! >>

J'ai du mal à déglutir. Le sentiment qui m'habite me culpabilise terriblement. << Mais qu'est-ce qui t'arrive ? Tu n'aimes pas la vérité ? >>. Je réponds : << Si bien sûr, mais là quand même ! >>. Pour toute réponse Christelle glisse sa main sous ses fesses pour palper ma braguette en faisant : << Pouet pouet ! >>. En riant aux éclats devant mon expression effarée. Après le repas, après avoir tout rangé, Christelle s’allonge sur le banc, la tête sur mes cuisses. Elle me regarde longuement. Je caresse ses cheveux. Elle me parle de sa première année de faculté. Elle me fait : << Tu viens à mon anniversaire, le 18 septembre ? >>. Après un moment de silence, je réponds : << Cinq cent kilomètres nous séparent ! Oui ! Je viens, c’est sûr ! Mais dans le plus grand secret ! >>. Elle mime des bisous qu'elle m'envoie.

<< Décidément, tu as le culte du secret toi ! Il n'y a pas de secrets entre nous ! >> dit elle. Pour me rassurer elle rajoute : << Je ne cache jamais rien à mes parents. Ils ne sont pas stupides, ils se doutent bien que je ne suis pas du genre à faire des vœux pour entrer au couvent ! >>. Sur ces mots, nous rions aux éclats. << Tu m'imagines à genoux, avec une cornette blanche, l'expression extatique devant une apparition mariale ? >> fait elle encore entre deux fous rires. Je réponds : << Ça dépend devant quoi tu serais à genoux ! >>. Christelle se redresse, se relève, s'assoit sur mes cuisses, son bras autour de mon cou pour lancer : << Je vais y vouer un culte avec la tienne ! >>.

Pour fêter ses vingt ans le 18 septembre, Christelle souhaite ma présence. Elle m'en fait part avec insistance. Elle s'écrie : << Notre histoire est merveilleuse alors qu'elle n'a que quatre jours. Imagine un peu ce qu'elle sera au bout de deux semaines ! >>. J'en ai peut-être davantage conscience qu'elle. Ça m'effraie. Nous sommes en été. Je sais pouvoir organiser ma venue en septembre. J’y tiens soudain. Christelle aussi. La jeune fille regarde longuement autour de nous. Scrutant avec attention les alentours. Elle se couche sur le côté. Ouvrant discrètement ma braguette, elle s’empare de mon sexe. Je m'exclame : << Mais t'es folle, il peut arriver quelqu'un ! >>. Elle en rigole.

Je laisse aux lecteurs d'imaginer le tourment, l'inquiétude et la peur qui me gagnent. Christelle se met à me sucer avec passion. Totalement indifférente à notre environnement. Pas moi. Je regarde partout autour de nous. Parfois, je baisse le regard pour l'observer. Son visage juvénile, presque nubile et angélique, présente un tel paradoxe avec ce qu’elle est entrain de faire. Je pose le petit sac à dos sur mes genoux pour cacher ce qui se déroule là. Je reste vigilant. Personne. Je suis excité. Christelle donne l’impression de "biberonner". Elle le fait avec bonheur. J’éjacule précipitamment. C'est pour ne pas faire durer. Avec peine, Christelle tente de déglutir l'abondante quantité de sperme.

Christelle commence à bien me connaître. Elle sait donc que le "meilleur" reste à venir. Aussi, avec avidité, elle continue de pomper. Me projetant dans de nouvelles angoisses. Il y a un couple là-bas, ils ne font pas attention à nous. Une dame promène son chien pourtant interdit d'accès dans ce parc. Nous partons pour un second tour. Je suggère : << Et si on s’offrait les plaisirs à venir au petit bonheur la chance, dans d'autres endroits insolites et aussi fous que celui-là ? >>. Ma complice se redresse pour répondre : << Tu as toujours de merveilleuses idées ! >>. Avant de sucer encore un peu. Je suis couvert de sueur. Malgré l'ombre des platanes centenaires, il fait très chaud.

La tirant doucement par les cheveux, je force Christelle à se redresser. Le petit sac à dos ne pourra pas continuer à masquer nos activités plus longtemps. Une famille se dirige vers ici. Ma coquine, beaucoup plus concentrée sur sa fellation que je ne le supposais, semble reprendre ses esprits avec une certaine peine. Je dis : << Viens, on se casse ! >>. Elle met sa main sur sa tempe en répondant : << Oui, mon Capitaine, à vos ordres ! En route pour de nouvelles aventures ! >>. Nous nous levons enfin. Christelle ne lâche pas ma main. Nous attirons l'attention de quelques promeneurs. Cette jeune fille qui tient cet homme d'âge mûr par la main. Serait-ce son père ? Question qu'on devine dans ces regards interrogateurs.

Julien



Classe
Christelle
Friday 24 February 2023 11:08

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 13 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Christelle m'inflige d'autres épreuves

Nous déambulons dans les rues qui nous mènent au centre ville. Nous marchons doucement en découvrant les vitrines. Il y a là de beaux magasins. De belles boutiques. Tout particulièrement entre la rue Sadi Carnot et le boulevard de la République. Les touristes, nombreux, flânent tout comme nous. La chaleur caniculaire incite à la nonchalance. Christelle prend nombre de photographies. Elle me demande quelquefois de poser devant tel ou tel monument. Combien de fous rires, combien de baisers échangés aux alentours de l’église Saint-François. J’y pense encore aujourd’hui. Avec des frissons. Moi aussi j'ai encore plein de clichés datant de ces merveilleuses aventures.

Gourmands et désireux de nous offrir tous les plaisirs, nous marchons en tenant nos glaces. Nous n'hésitons d'ailleurs pas en prendre une succession de parfums différents. Nous savourons ces délices presque à la chaîne. Nous nous arrêtons à la première boutique qui en propose lorsque nous avons dégusté la précédente. J’aime goûter la bouche de Christelle entre deux glaces. Surtout lorsqu’elle est bien froide, parfumée à la vanille, à la pistache ou au pralin. Le plaisir est réciproque car ma belle aventurière fouille ma bouche avec la même fougue de sa langue exploratrice. En ces instants seul le présent prend valeur universelle. N'existent plus le passé et certainement pas encore l'avenir.

Nous flânons longuement. Main dans la main. Bien des regards se posent sur notre couple. Non messieurs dames, je ne suis pas le père de la jeune fille qui me fait tous ces bisous. Qui rit avec sa tête contre mon épaule. Après la ville, nous prenons la direction du quartier de Cance. Le dépliant que je tiens indique un chemin de promenade. De là, nous pourrons avoir une vue épatante sur la ville et sa région proche. C’est en montant vers l’hôpital que Christelle, me poussant dans le renfoncement d’une porche cochère, pose sa main sur ma braguette. Elle palpe, tâte et "malaxe" tout en riant. Jusqu’à me procurer une formidable érection. Il fait chaud. Je suis soudain en sueur !

Personne. Nous percevons quand même des éclats de voix pas très loin. Sur le chemin pavé en contrebas. Sans s’inquiéter, après avoir jeté un regard dans toutes les directions, Christelle ouvre mon short pour en extraire ma turgescence. Les voitures garées sur le bord du trottoir nous dissimulent parfaitement. Surtout la camionnette jaune des Postes. Christelle s’accroupit. Elle se met à me téter avec force. Je regarde partout autour de nous. Je suis tout rouge. Ça me picote dans le dos. J'ai comme des décharges électriques. Une torture. La situation dure ainsi depuis quelques minutes. Je tente de redresser ma complice pour la faire cesser. Mais avec obstination elle résiste à tous mes efforts.

C’est là que je remarque la jeune femme assise dans la camionnette des Postes. Elle est jeune et plutôt belle. Elle nous observe en souriant. Ce sont toujours d'étranges regards qu'ont les femmes dans ces situations de voyeurisme involontaire. Involontaire au début. Je suis soudain terriblement gêné. D'une voix ferme je dis : << Arrête ! Il y a quelqu’un qui nous regarde ! >. Cessant de pomper un court instant Christelle répond : << Oui, je sais qu'elle mâte ! C'est comme le pêcheur ! >>. Je regarde la jeune postière. Cette dernière me fixe maintenant dans les yeux avec un air de défi. J’essaie de soutenir son regard, terriblement excité. Je voudrais me cacher. Christelle suce.

Je revis la situation au bord de l'eau, au pied du viaduc. Ce pêcheur qui nous observait. Qui s'exhibait. J'avale de travers. Je respire difficilement. Mon cœur bat la chamade. La jeune femme me fait un sourire sans équivoque. Elle lève la main pour dresser son pouce en l’air. Appuyant son geste par deux clins d’œil. Je me sens couler dans la bouche de Christelle. Mon excitation distille quantité de liquide séminal dont se régale ma délicieuse coquine légèrement perverse. La camionnette démarre pour quitter l’emplacement. Nous sommes à présent beaucoup trop visibles. Avant de s’éloigner, la postière m’envoie un bisou qu’elle souffle depuis sa main ouverte dans ma direction.

C'est extrêmement rassurant. Soudainement apaisé, je reprends une respiration normale. Je dis : << Tu me mets dans des situations folles ! >>. J’arrive enfin à redresser Christelle. << Alors ? C’était comment ? Tu en mets du temps pour te rendre compte de ce qui se passe autour de toi ! >> me fait-elle avant de m’embrasser. Je remballe mon sexe. Je ferme ma braguette. Un peu consterné je fais : << Ainsi tu savais qu’il y avait la femme dans la camionnette ! >>. Elle répond : << Bien sûr, comme je sais que tu as vu le pêcheur, hier, qui nous mâtait au bord de la rivière ! >>. En éclatant de rire, m’entraînant par la main, mutine, espiègle. Sans me laisser le temps de souffler.

Toutes ces révélations me laissent plutôt abasourdi. Cette étonnante jeune fille est décidément une boîte de pandore. En la prenant en stop j'en ai ouvert le couvercle. Quand je partage ma réflexion elle hausse les épaules en disant : << Tu n'aimes pas l'adorable petite diablesse que tu as libéré ? >>. Sans me laisser répondre elle colle sa bouche sur la mienne. Toutes ces épreuves sur mon vieux cœur commencent à m'épuiser. Elle se serre contre moi. Je n'ai d'autres alternatives que de la prendre dans mes bras. C'est merveilleux. Un peu stupide, je dis : << Oui, mais quand même ! >>. J'adore quand ma compagne d'aventures se met à rire. Ses fines narines qui bougent. Qui s'écartent.

Nous arrivons sur les hauteurs du chemin de Cance. La vue y est sublime. L’endroit est très fréquenté. A plusieurs reprises, Christelle, se frottant contre moi en m’embrassant, me touche discrètement la braguette. Je dois à chaque fois surmonter un choc. J'ai peur que ces attouchements intempestifs ne passent pas aussi inaperçus que nous l'imaginons. Je reste très vigilant malgré mon état d'excitation. J’ai envie d’évoquer le pêcheur. Elle me pose la main sur la bouche : << Chut ! Je sais ce que tu vas me demander ! Secret défense !  >> me fait elle. Nous rions. << J’ai envie de te tailler une pipe quelque part. Viens, on se trouve un coin ! > déclare t-elle en accélérant le pas…

Julien



Classe
Christelle
Friday 3 March 2023 11:10

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 14 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Les aveux

Nous sommes entrain de redescendre le long du sentier en humant les effluves parfumées de cette fin d'après-midi. Cette ambiance nous plonge dans un enchantement de chaque instant. Qu'il est bon de flâner là. Nous laissons le chemin de Cance au-dessus de nous. A plusieurs reprises, passionnée, Christelle se serre contre moi, m’embrassant avec fougue. Nous en avons les mentons mouillés. Elle me tient fermement par la main. Parfois, cessant sa marche de plus en plus rapide, ma complice se frotte contre moi. C'est pratique car cela permet de poser sa main sur ma braguette sans être vue. Mes craintes font maintenant place à de l'amusement. Ce qui rend ma comparse mutine.

Là, sur la gauche, il y a les ruines d’une maison de pierre. Envahies de lierre. Seule végétation résistante à la chaleur sans jaunir. Le toit paraît crevé dans sa presque totalité. Il n’en reste que des pans de murs. De la pierre de taille, de la brique, des poutres. Les fenêtres et les portes ne sont plus qu'autant de trous béants. Le soleil, encore haut dans le ciel, fige les environs dans les chaleurs d’une fin d’après-midi radieuse. Christelle, m’entraînant par la main, nous emmène à proximité des ruines. Nous en faisons le tour. Les lézards semblent tellement flemmards sur leurs cailloux qu'ils ne fuient même pas notre présence. Nous pourrions les caresser. Il n'y a personne. Christelle me touche.

Une sorte de terrasse subsiste encore. Elle surplombe un grand trou assez vertigineux au-dessus des premières maisons de la ville. Certainement une partie de la cave qui s'est effondrée. Il y a un vieux barbecue. Des boites de conserves défoncées. Le décorum habituel qu'on retrouve en de tels lieux. Deux bancs permettent de nous y asseoir. De là nous pouvons admirer les environs. La vue est magnifique. Nous sommes assis à l’ombre de grands arbres. Une légère brise rafraîchit agréablement le lieu. Christelle fourre sa main dans ma braguette. Les maisons en contrebas sont à plus d'une centaine de mètres. De leurs fenêtres il serait impossible de nous voir en entier.

<< Demain je veux faire l’amour avec toi toute la journée ! >> s'écrie soudain ma compagne d'aventures. Elle tient mon sexe fermement avant de l'extraire de mon bermuda kaki. La coquine m’embrasse longuement en débutant une légère masturbation. Doucement. Christelle pose sa tête sur mon épaule. Je passe mon bras autour des siennes. << Je découvre de délicieuses choses avec toi ! >> murmure t-elle. Le rythme qu'imprime sa poigne reste doux et lent. Métronomique. Elle se lève soudainement. Avant de se mettre à cheval sur le banc elle rajoute : << Comme je suis bien avec toi. On est tellement bien tous les deux ! Pas toi ? >>. Je me lève pour tourner le dos aux maisons.

Christelle se penche en avant. Sans lâcher ma turgescence naissante elle la prend en bouche. Immédiatement cette indicible sensation de plaisir absolu m’envahit. Je lui prends les cheveux que je tiens en queue. Mon aventurière reste ainsi quelques minutes avant de cesser. << Mon "petit copain" il n’aime pas trop la pipe. Et toi ? >> me demande t-elle soudain grave et sérieuse. Elle rajoute : << Tu crois que c'est normal d'aimer autant ça ? >>. Alors qu’elle sait très bien à qui elle a affaire, je réponds : << Moi, la pipe, c’est mon "truc" préféré ! >>. Estelle passe un coup de langue le long de mon sexe. << C'est ce que je crois avoir compris ! >> me lance t-elle avant de s’y remettre.

Alors qu'elle cesse pour se redresser à nouveau, je dis : << Mais demain, je te baise tout le temps ! >>. Christelle pose sa joue sur mon ventre. << Oh oui ! C’est si bon avec toi et ça dure longtemps ! >> me fait elle en se mettant à rire aux éclats. Christelle se lève, pose ses lèvres sur les miennes avant de s’asseoir à mes côtés. Sans cesser de me masturber doucement, elle me demande encore : << Dans la vraie vie, si nous n’habitions pas aussi loin l’un de l’autre, on serait tout le temps fourré ensemble. Tu ne crois pas ? >>. Je reste un moment silencieux. Dubitatif car j'entends Christelle formuler cette pensée qui me devient récurrente. Je réponds : << C’est même certain ! >>.

Nous restons longuement à regarder le paysage. Christelle pose plusieurs fois sa tête sur mon épaule. << Tu crois que ce serait possible entre nous ? Malgré l’âge ? >> me demande t-elle encore d’un ton grave. Je me sens profondément stupide quand je réponds : << C'est délirant mais j’en suis certain ! >>. La jeune fille soupire longuement avant de me dire, dans un souffle : << Parce que je crois que je t’aime ! >>. Un choc immense dans ma poitrine. Une émotion me submerge. Tsunami. Je me sens coupable. Je n'ai plus la conscience tranquille. La responsabilité qui me tombe dessus me dépasse totalement. Je ne sais quoi dire. Pour m'acculer dans mes derniers retranchements elle demande : << Et toi ? >>. Fini de rigoler. Quand une femme pose cette question l'enjeu est d'une importance vitale. Cruciale. Je murmure : << Oui ! >>.

Comment expliquer à cette jeune fille que mon cœur ne bât plus que pour elle depuis deux jours ? Comment trouver les mots pour lui avouer le trouble et le tourment qu’elle a induit en moi ? Peut-être à son insu les deux premiers jours. Je suis devant un curieux paradoxe. Un mélange de peur, de crainte et d’amour. J'ai pour constante de me fourrer dans des "plans" insolubles. Ah ! Si je n'étais pas ce maudit sentimental ! Comme une gêne subsiste en avouant tout cela. Perdre ma dignité ? La peur du ridicule ? Vingt années de différence ce n’est pas rien ! Je suis conscient de l’avenir douloureux que nous réserve cette merveilleuse histoire. L’heure ou me sera envoyée la "facture"…

Christelle me mitraille le visage de bisous. Ses vingt ans la tiennent à l'abri de ces introspections. Quelle chance. L'âge de l'insouciance. Se penchant sur le côté elle se met à me sucer. Elle le fait avec tant de passion que cela va au-delà de la pure sexualité. Je saisis sa tête pour lui dire : << Moi aussi je crois que je t’aime ! Et je crois qu’à cause de ce sentiment partagé, nous sommes tous les deux "mal barrés" ! >>. La jeune fille se redresse pour me dire : << Mal "barrés" ? Parle pour toi. Moi je ne veux pas que ça s’arrête à cause de 500 kilomètres ! Si tu ne viens pas me voir c’est moi qui vient ! >>. C'est une réponse qui est loin de me rassurer. J'en suis plutôt effrayé. C'est terrifiant !

Lorsqu’une fille affirme une telle chose, avec une telle détermination, pas d’autres options que d’obtempérer ! Si cela peut réjouir, cela peut également faire extrêmement peur. Je suis sincère dans mes sentiments. Une fois encore. Pas l'ombre d'un doute. Je suis "cuit"...

Julien



Classe
Christelle
Friday 10 March 2023 11:16

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 15 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Le sentiment

Nous sommes assis sur le banc. Christelle reste tout contre moi. Sa tête posée sur mon épaule. De cet endroit stratégique, en hauteur, nous avons une vue magnifique sur le paysage et sur la cité. Nous restons tous deux silencieux. Ma compagne d'aventures joue avec mon sexe humide. J’ai la braguette béante. Je caresse sa nuque, ses cheveux. La jeune fille tourne souvent la tête pour plonger son regard dans le mien. Parfois avec une certaine gravité. Je devine de profondes interrogations mutiques. Depuis le chemin pavé au-dessus de nous, à une cinquantaine de mètres, nous percevons parfois des éclats de voix. Des rires. Les ruines nous protègent des regards. Personne ne vient là.

La situation que nous avons créé depuis cinq jours commence à nous enfermer dans une sorte de bulle de bonheur, de plaisirs. En ce qui me concerne se rajoute également la crainte du futur. Christelle qui doit lire en moi dit : << Pense au présent. L'avenir est inutilisable. Il n'est que cause de tourments inutiles ! >>. Pourtant, ma complice prononce ces mots comme pour s'en convaincre. Nous avons tous les deux la certitude que nous n’en sortirons pas "indemnes". Le sentiment amoureux nous gagne, s’installant insidieusement dans notre relation, pour nous maintenir dans son étau. La réflexion fait doucement place à l'inconscience. S'y rajoute l’insouciance. Nous nous fixons dans les yeux.

Christelle se lève. Elle regarde sur sa droite. Elle regarde sur sa gauche. Elle va jusqu’à la rambarde métallique qui nous sépare du vide. Il n’y a que nous deux. Le chant des cigales, le gazouillis des oiseaux et ce soleil chaud encore haut dans le ciel de cette fin d’après-midi. De là elle me regarde longuement. Je me sens un peu ridicule, braguette ouverte, assis devant cette belle jeune fille. Je suis comme un gamin tout nu devant la docteur. Je n'en mène pas large. Je ne vois que l'échappatoire sexuel pour m'en sortir. Je saisis mon sexe à nouveau mou. Je le tiens à sa base pour l'agiter dans la direction de ma voyeuse. En se pinçant les lèvres pour ne pas éclater de rire, Christelle m'observe.

Mon adorable voyeuse se rapproche. Elle se met à genoux entre mes cuisses, sur l’herbe rare et sèche. Heureusement que le petit sac à dos peut faire office de coussin. Elle s'y installe. La jeune fille m’embrasse longtemps avec passion. Je fouille sa bouche de ma langue comme un affamé cherchant sa nourriture. Ses petits gémissements ravis sont émouvants. Christelle détache sa bouche de la mienne pour pencher sa tête vers mon entre-jambes. Ses lèvres se referment sur ma turgescence revenue. Je caresse sa tête. Je lisse ses cheveux. Mon cœur est probablement dans un état d'érection comparable à mon sexe. Cette fellation morcelée en nombreuses séquences est comme un "refuge".

A nouveau cette intraduisible sensation de plaisir m’envahit complètement. Une fellation amoureuse a un caractère divin. Une dimension supplémentaire. Mais mon sentimentalisme crétinisant n'est pas objectif dans ces instants de jouissances. Je ferme les yeux un instant en me mordant la lèvre inférieure. Christelle me suce avec cette passion indescriptible dont elle est de plus en plus coutumière. Tout en gémissant de surprise. Mes épanchements sont intarissables quand je suis dans un tel état d'excitation. Nous sommes dans notre bulle. Avec justement ce bruit de bulles si caractéristique. Je peux sentir de ma substance monter, envahir la bouche de la jeune fille. Je peux également sentir ses efforts pour déglutir. Sa respiration reprend péniblement entre des apnées répétées. De petits cris de ravissements. Je chavire.

Christelle me tient par les hanches, tirant sur le tissu de mon short au rythme des montées de sève. Je caresse ses cheveux, sa tête. Je passe ma main sous son menton comme pour guider sa bouche. Je passe le bout de mes doigts sur ses joues creusées par l’effort. Je l’entends gémir, encore et encore. Je sens sa langue fouiller avec avidité. Tentant de s'immiscer entre mon prépuce et mon gland. C’est doux et chaud. Viennent se rajouter les effets "ventouses". Je dois me retenir au bord arrière du banc. Lorsque j'ouvre les yeux, que je constate l'expression extatique sur le visage de ma complice, je suis pris de vertige. Moi aussi, je veux pouvoir la "goûter" prochainement.

Comme toujours je fais durer. Et sans doute pour le plus grand plaisir de ma pompeuse. Souvent, pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je lui retire la tête pour lui couvrir le visage de bises. Je me penche pour chuchoter des douceurs, des cochonneries. Des mots, des phrases décousues qui la font sourire. Je saisis ses oreilles. Christelle se met à rire. Comme elle semble heureuse. Je me sens soudain envahi d'une immense responsabilité. Hors de question de décevoir mon petit "ange". J’en aurais pleuré. Nous autres, sentimentaux romantiques, nous avons beau êtres de sacrés coquins, nous avons un cœur d'artichaut. Là, il fond comme un glaçon dans la fournaise.

La lectrice qui suit mes aventures sait ma passion pour la fellation. Peut-être davantage encore que le lecteur qui n'en perçoit que la vision masculine. Je m'efforce donc d'avoir une approche "analytique". Les lecteurs sont toutefois loin de se douter de tous ces privilèges que ma vie d’artiste m’a réservée dans le domaine de la pipe ! Aussi, je me fais un devoir de lui faire part de toutes les plus infimes descriptions, détaillées et presque "scientifiques". Je partage mes multiples expériences. Au nom de la "recherche" et pour la postérité. Un peu à la manière d'un laborantin en blouse blanche qui rédigerait une encyclopédie universelle. Un Albert Einstein de la pipe ! Tout cela relativise…

Christelle, en parfaite "chercheuse", scientifique surdouée, collaboratrice efficace, me rejoint dans ma quête. Le Graal ultime. Elle procède là à un prélèvement de liquide séminal de tout premier ordre. Nul doute que les conclusions de cette nouvelle expérimentation nous laisseront d'autres certitudes. J’éjacule au bout d’une demi-heure. Une demi heure d’une douceur et d’une tendresse absolument indicibles. Nul besoin d’éprouvette, c’est une synthèse "in bucau"…

Nous restons longtemps serrés l’un contre l’autre, couchés au sol dans l’herbe rare et sèche. Devant ce banc. Il est presque vingt heures. Christelle me propose de nous mettre en recherche d’un petit restaurant sympathique. Elle m’entraîne à sa suite en riant. Je remballe en courant presque. Sous les rires de ma comparse que mes tentatives maladroites amusent. Nous dévalons le sentier qui descend sur la droite au risque de trébucher. Nous arrivons aux premières habitations. Comme dans un film. Comme dans un rêve. Christelle s'arrête soudainement pour me sauter au cou. Elle s'accroche en même temps que je la soulève. << Je t'... ! >> veut elle s'écrier. Ça commence !

Moi aussi je réfrène mes phrases pour les laisser en suspend. Nous nous promenons dans le centre de la cité en grignotant la dernière pomme. Pour calmer la faim qui nous torture. Plusieurs restaurants invitent à découvrir quelques petits plats plus goûteux les uns que les autres. C’est donc dans la cour de l’un d’entre eux, confortablement installés sous une pergola, que nous dégustons une Caillette suivie d’une galette aux châtaignes. Il y a du monde sur la terrasse. Ce sont surtout les femmes d'âge mûr qui nous observent. Parfois discrètement en chuchotant des choses à leurs maris. Parfois avec ostentation. La curiosité que suscite notre couple participe de son attractivité.

Il reste cinquante kilomètres de voiture à parcourir dans la nuit…



Classe
Christelle
Friday 17 March 2023 11:00

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 16 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Le retour dans la nuit

La nuit tombe inexorablement. Enfin un peu de fraîcheur. Les corps cessent d'êtres ensuqués. L'addition. Je suis obligé de me battre pour payer. Christelle trouve que cela crée un déséquilibre. Je la prie de cesser d'avoir de tels scrupules inutiles. Je dis : << Laisse-moi jouer au "joli cœur". Je suis très "vieille France" même si je suis Écossais ! >>. Christelle pose sa main sur la mienne en faisant : << Tu n'es peut-être qu'un fantôme écossais alors ! Je suis en plein rêve ! >>. Nous en rions de bon cœur. Un peu lourds, nous quittons le restaurant. Nous profitons de cette magnifique soirée. Le ciel est étoilé. Je montre à Christelle les constellations que je connais. C'est l'heure des philosophies.

Nous nous promenons dans les rues de cette belle ville d'Annonay. Il fait doux. Pas un souffle de vent. Nous prenons la direction de la voiture. << T'es de quel signe toi ? >> me demande Christelle quand je lui montre le "bouclier d'Orion". Je réponds : << Fauteuil ascendant pantoufles ! >>. Elle rit aux éclats avant de rajouter : << J'en étais certaine ! >>. Je lui avoue ne porter aucun intérêt à l'astrologie tout en précisant que né le premier janvier, je suis Capricorne. << Moi, je suis vierge ! >> dit elle, pliée de rire en rajoutant : << Si ! Je te jure, sans déconner ! Je suis née le 18 septembre ! >>. Elle saute à mon cou. Je la soulève. Je dis : << Tu es adorable. Ascendant bonheur ! >>.

Il nous faut encore parcourir plus de cinquante kilomètres pour arriver à l'appartement. Il est déjà vingt trois heures trente. La nuit est à présent tombée complètement. Une nuit magnifique, étoilée. Un peu de fraîcheur vient rendre notre retour très agréable. Dans la voiture, Christelle pose sa tête sur mon épaule. Nous sommes tous les deux fatigués. Sur la petite départementale, je ne croise aucune voiture. Le ciel est d’un noir d’encre et les milliers d’étoiles scintillent de mille feux. Je roule doucement. Par prudence mais aussi pour profiter de ces instants extraordinaires. C’est encore une de ces sublimes soirées d’été. Un de ces moments hors du temps, paraissant éternel sur l’instant.

Christelle glisse sa main dans ma braguette. Elle approche son visage de mon oreille pour chuchoter : << Il faut que je procède à un contrôle régulier. Je suis atteinte d'un trouble obsessionnel compulsif ! >>. Je suis plié de rire. En me faisant quantité de bises dans le cou, elle me fait : << Demain, je n’appartiens plus à "Dracula", on peut baiser. Il faut que je rattrape le temps perdu. Tu es prié de donner toute ta mesure ! >>. Cette amusante métaphore du vampire pour évoquer son cycle menstruel me fait beaucoup rire. J’en garde encore un souvenir amusé aujourd’hui. Je lance : << Comme je ne suis pas Vlad l'empaleur, je reste Julien le baiseur ! >>. Nous rions aux éclats.

Nous arrivons enfin à la propriété. Je gare la voiture entre les camionnettes. Il règne une forte odeur de fromage à pâte cuite. Ce qui n'est pas déplaisant. De toute façon, c'est juste de ce côté de la propriété, devant les bâtiments de l'entreprise. Nous montons dans l'appartement à toute vitesse. Nous sommes tous les deux sous la douche : << On pourrait déjà baiser ce soir, il n’y a plus rien ! >> me fait ma compagne d'aventures. Tout en scrutant avec attention l’eau qui coule entre ses cuisses. Christelle se blottit contre moi sous le filet d’eau et m’embrasse longuement. Je passe la douchette sur son corps pour éliminer toute trace de mousse. En m'accroupissant. Ce qui la fait rire.

<< Demain, mon cher monsieur, ce sera le septième jour avec vous ! Vous vous rendez compte ? Sept jours avec un homme de vingt ans de plus que moi ! Moi, la jeune fille si pure et innocente ! >> me fait Christelle. Nous éclatons de rire. Je réponds : << Moi, je peux rajouter plein de semaines supplémentaires, personne ne m’attend nulle part ! >>. Christelle sautille autour de moi alors que je l'essuie avec la serviette. Elle s'écrie : << Mais moi aussi, c’est pareil ! Tu serais d’accord ? J'ai la rentrée universitaire le 12 septembre ! >>. Nous nous regardons soudain avec le plus grand sérieux. Elle rajoute encore : << Nous en parlons demain, tu veux bien ? >>. Je reste silencieux.

La fenêtre de la chambre est grande ouverte. La moustiquaire nous protège des nuisibles. Enfin quelques souffles de brise viennent rafraîchir un peu l’atmosphère. Nous voilà couchés. Christelle souffle la bougie à la citronnelle. Presque de suite la jeune fille me chevauche. Malgré la fatigue, mon sexe se redresse pour présenter une magnifique érection. La douceur de sa peau m’enivre une fois encore. Dans l'obscurité je vois la silhouette fluette et le visage nubile d'une adolescente. Cet étrange sentiment de culpabilité m'envahit instantanément. Je n'ai pourtant aucune attirance particulière pour les jeunes filles. Depuis la disparition de mon ancienne compagne je suis abonné aux étudiantes.

Christelle se frotte tout en m’embrassant. Doucement elle se glisse sur mon membre pour se l’enfoncer profondément. Ma complice se met à gémir. Son souffle chaud sur mon visage me procure les plus douces sensations. Nul doute, l’émotion qui m’envahit à présent, à chaque nouvel élan d’affection, est celle de l’amour. Christelle me chuchote à l’oreille : << Je t’aime, je t’aime !.. >>. Mon vieux cœur semble s’effondrer sur lui-même dans ma poitrine. Dans ce dernier effort. Dans ce dernier élan sensuel. Comment vais-je survivre à ces vacances ? Pour occulter cette pensée j'applique le principe de Christelle. J'évite de penser à l'avenir pour me concentrer sur le moment présent.

Doucement, le mouvement de berceuse cesse. Christelle s’affaisse de tout son poids sur mon corps. Une fois encore, le sommeil gagne la partie. Je rejoins rapidement mon amour dans un profond repos régénérateur. Ma compagne d'aventures glisse doucement sur mon côté gauche pour se blottir contre moi. Je dépose un dernier baiser sur son front…

Julien



Classe
Christelle
Friday 24 March 2023 11:13

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 17 - Tous droits réservés - © - 2023 -



L'amour au réveil

Je me réveille doucement. Une certaine agitation dans la chambre me tire de mon sommeil. J’ouvre les yeux. Je m'étire longuement dans la clarté diaphane de ce matin d’été qui illumine la chambre. J'ajuste les coussins sous mon dos. Christelle prépare la table du petit déjeuner. Des bols, le sucrier. Le panier sur lequel sont posés la baguette, les croissants. Elle découvre que je l'observe. Je regarde ma montre. Il est sept heures du matin. << Bonjour monsieur ! >> me fait la ravissante jeune fille juste vêtue d'un T-shirt. Elle prend son élan pour plonger sur le lit. Je la serre contre moi en chuchotant à son oreille : << Bonjour mademoiselle ! Déjà debout à faire tout ce remue ménage ? >>.

Me couvrant le visage de bises, Christelle dit : << Oui, comme ça tout est prêt. Après le petit déjeuner on pourra filer. Il fait tellement beau. J'aime tant ces longues journées d'été ! >>. Elle découvre mon corps en tirant lentement sur le drap. << Mais tu bandes mon cochon ! Tu n’as pas honte de bander comme ça devant une jeune fille ? >> lance t-elle en se saisissant de mon sexe. Me mordillant le lobe de l'oreille la jeune fille en question tord mon érection doucement dans tous les sens. En riant. Je murmure : << La journée commence bien ! Mais tu sais, mon érection est naturelle. Une réaction purement physiologique. Ça s'appelle la tumescence ! >>. Christelle ouvre de grands yeux.

<< Expliquez-moi bien cher professeur ! >> demande mon "élève". Christelle ne porte qu’un léger T-shirt de nuit. Elle me chevauche soudain pour frotter délicatement son sexe sur le mien. Je sais que sa préférence est d’être sur moi. Non pas dans un élan freudien de domination, mais plus prosaïquement parce qu’elle a plus de plaisir ainsi. La jeune fille s’enfile délicatement sur ma turgescence. << La place est libre depuis ce matin ! >> précise t-elle. Nous restons sans bouger comme à chaque fois. En prélude aux agitations qui vont s'en suivre. Nous nous fixons dans les yeux. Christelle se débarrasse de son T-shirt. J'admire les petits seins fermes qu'elle exhibe fièrement.

<< C’est qui qui commence ? >> me demande ma complice en enfonçant sa langue dans ma bouche. Nos bouches sont encore imprégnées du goût de la nuit. Curieusement cela nous excite par dessus tout. Cette fois-ci, c’est moi qui impulse le mouvement. Je caresse ses seins avant de poser mes mains sur sa taille que je serre. La jeune fille a un élan de plaisir. Elle se cabre contre moi en lâchant un râle sonore. J'appuie sur le haut de ses fesses comme pour m’enfoncer encore davantage. Son visage baissé, masqué par ses cheveux, Christelle n'est pas sans évoquer une écuyère en pleine galopade. Cette chevauchée a quelque chose de fantastique. Des gargouillis dans nos ventres.

Nos ventres vides manifestent leurs demandes. Ils attendront parce que ce qui se passe est trop bon. Habituellement, je ne suis pas du tout du matin. Mais là opère une magie que je n'explique pas. Christelle gémit de plaisir. Moi, je gémis de bonheur. Ou bien est-ce parfois l’inverse ? Peut importe. Sans mouvements brusques, je fais basculer ma cavalière pour me retrouver sur elle. Prenant appui sur mes bras afin de la libérer du poids de mon corps, j'imprime un mouvement de va et vient régulier, lent et rythmé. La jeune fille se mordille la lèvre inférieure, les yeux fermés. Elle chuchote : << J'adore faire ça avec toi. Tu sais faire durer. Mais il faudra que je te mette à l'épreuve ! >>

Ses longs cheveux étalés tout autour de sa tête évoquent le visage angélique d'un tableau de Raphaël. Ce qui m’excite au plus haut point. Faire l’amour avec un ange, quoi de plus divin ? J’accélère le mouvement de mon bassin. Christelle se redresse pour s’accrocher des deux bras à mon dos. Nos deux corps, fins, humides et fébriles ne font plus qu’un. Christelle rejette sa tête en arrière. Elle paraît soudain si fragile que je cesse de remuer. J'ai trop peur de lui faire mal. J'approche mon oreille pour tenter de bien comprendre ses murmures. Ce ne sont que des onomatopées. C'est moi qui imagine que ce sont des mots. Ça m'amuse. C'est captivant de faire l'amour à cette délicieuse personne.

La jeune fille, par intermittences, suit mon rythme en dansant avec moi. Puis, elle reste immobile pour ressentir toutes ces délicieuses sensations qui l'envahissent. Qui nous enivrent. Après lui avoir fait longuement l’amour, Je change d'attitude. Après lui avoir procuré une extase de quelques instants. Après l'avoir fait frissonner, je me mets à la baiser. Ces mouvements brusques du bassin qui lui arrachent quantité de petits cris suggestifs. Christelle ouvre les yeux. Surprise par ce changement de comportement, elle cherche ma bouche de la sienne. Nos estomacs n'arrêtent plus de grogner. La sensation de faim commence à dominer. Mais je veux tenter une nouvelle expérience.

<< Mon amour, mon amour ! >> chuchote ma complice. C'est à peine audible. Je dresse l'oreille. Elle prononce ces mots un peu comme si elle s’adressait à une entité au-delà de moi. Je cesse soudainement pour me retirer. << Non ! >> s'écrie t-elle. Je reviens me fourrer dans sa grotte à nouveau. Elle soupire de bonheur. Je fais cela à plusieurs reprises. Dans un souffle je dis : << C’est pour te punir de me rendre fou ! >>. Christelle se met à rire avant de lancer : << Alors je vais te rendre dingue ! Il faudra me punir tout le temps ! >>. Elle me fait basculer sans ménagement. Petit bout de femme animé d'une force étonnante. Elle se retrouve sur moi. << À nous deux ! >> me fait elle.

Je tente de caresser ses tous petits seins mais elle me bloque fermement les poignets. J’ai les bras immobilisés à hauteur de ma tête. Christelle se met à bouger, imprimant à son bassin des mouvements lents mais précis. La jeune fille alterne les rotations. Des allées et venues. Elle s’arrête pour recommencer. Sans cesser de plonger son regard dans le mien. Christelle cherche les toutes meilleures sensations. Elle me fixe avec attention. Tout l'inventaire des expressions féminines défile devant mes yeux. C'est merveilleux. C'est fabuleux. Je suis à nouveau au spectacle. Le plaisir de la vue conjugué au plaisir du sexe. Christelle vit les mêmes sensations. Murmures incompréhensibles.

Mon érection, congestionnée de plaisir, me procure les plus indicibles sensations. De très rares sensations matinales. Christelle connait là un second orgasme. Quelle santé. Les jeunes filles éveillées aux choses du sexe semblent animées d'une inépuisable vitalité. J'en ai encore un extraordinaire spécimen sur le corps. Elle s’effondre sur moi de tout son poids. Je lui caresse la nuque longuement. Doucement elle se retire pour descendre son visage près de mon sexe. Je l’empêche toutefois de le prendre en bouche. << Et toi ? >> me demande t-elle, presque inquiète. Je la fais remonter. Je ne réponds pas. Je me contente de la bercer dans mes bras en avouant mon enchantement paradisiaque.

Ma compagne d'aventures saisit mon érection pour demander une nouvelle fois : << Et toi ? >>. Je chuchote à son oreille : << Je vais me garder pour toutes les opportunités de la journée ! Ne t’inquiète pas pour moi. J’ai un orgasme permanent avec toi ! >>. Christelle se blottit encore plus fort. Entre deux gémissements de bonheur, elle susurre : << Tu es génial ! >>. Nous éclatons de rire lorsque je réponds : << Oui, je sais ! >>. Christelle se met soudain à me chatouiller. Je fais pareil. Nous roulons sur le lit en riant. À nouveau sur moi, soudain grave et sérieuse, elle me demande : << Je peux l'avoir quand je veux aujourd'hui ? >>. Je réponds : << Seulement si tu n’es pas sage ! >>.

Nous devons nous faire violence. Pourtant nous sommes morts de faim. Nous croquons dans la même pomme en nous précipitant dans la salle de bain. Nous prenons notre douche en nous frottant l’un contre l’autre, nous livrant à de nouvelles et furtives caresses. J'essuie Christelle qui chantonne en improvisant des paroles surréalistes nous concernant. Nous courrons en slips jusque dans la cuisine. Nous prenons ce solide petit déjeuner que nos corps réclament depuis presque deux heures. Pour cette septième journée ensemble, il est décidé d’aller visiter le site préhistorique de la grotte Chauvet au Pont d’Arc. Nous étudions l'itinéraire sur le téléphone. Petites routes de campagne.

Vers neuf heures trente nous sommes enfin dans la voiture. Je roule doucement, la main de Christelle dans ma braguette…



Classe
Christelle
Friday 31 March 2023 11:21

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 18 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Une découverte pour Christelle

Je roule doucement sur cette toute petite départementale. Volontairement, Christelle et moi, nous prenons les routes les moins fréquentées. Nullement pressés, ayant tout notre temps, nous avons ainsi l’illusion de savourer davantage chaque instant. Ma comparse aime bien prendre plein de photographies. Son téléphone dans la main droite. Avec sa main gauche dans ma braguette elle joue avec mon sexe. Je suis en admiration. Cette capacité toute féminine de pouvoir faire plusieurs choses en même temps. Comme par exemple me divertir de quelques anecdotes concernant sa vie. Ce sont souvent des associations d'idées. C'est la première fois qu'elle passe des vacances seule.

Seule. C'est à dire sans ses parents. << On est venu par là quand j'étais petite mais je ne me souviens plus vraiment ! Ce sont parfois des endroits qui éveillent un vague souvenir ! >> précise t-elle. De ma main droite, sans prévenir, je vais fouiller dans sa culotte, sous sa jupette. J'ai toujours eu une préférence pour les boîtes de vitesses automatiques. C'est beaucoup plus peinard. << Tu veux que je l’enlève ? >> me demande ma coéquipière. Tout en serrant mon sexe avec force. Je m'écrie : << Oh oui, retire là ! >>. De tenter d’introduire mon médius, au risque de me faire une entorse du poignet, n’est pas sans contraintes. Ce qui provoque des crampes et des douleurs dans l'avant bras. Christelle m’aide de son mieux en s’avançant davantage sur le siège. Cuisses largement écartées, sa culotte sur le tableau de bord.

Je regarde furtivement sur ma droite. Christelle, parfois, ferme les yeux pour savourer ma caresse. J’avise un chemin qui quitte la route. Là, à droite, il y a de vielles ruines. Toute la région hérite d'un riche passé médiéval. Ce sont sans doute les vestiges d'une ancienne chapelle. Je m'engage dans le chemin. << Vous me faites enfin le "coup de la panne" monsieur ? >> me demande ma délicieuse passagère. Tout en posant sa tête sur mon épaule. Les élans affectueux de Christelle sont aussi pertinents que ses assauts sensuels. Je gare la voiture entre les ruines et un calvaire. Sur son dessus ne subsistent que les silhouettes informes des personnages sculptés jadis dans la pierre trop friable.

Je sors de la voiture en faisant : << Viens ! >>. Christelle sort de la voiture. Elle me regarde avec de grands yeux. Peu habituée à de telles initiatives de ma part, elle me suit. Je contourne l'auto. J'ouvre le coffre. J'en tire le plaid à grands carreaux beiges que je mets sous mon bras. Je prends la main de ma complice pour l’entraîner derrière les ruines. Je dispose le plaid au sol. Christelle m'observe. Étonnée par tant de détermination. Depuis sept jours, c'est elle qui mène la barque de nos aventures. Elle semble à la fois admirative et émerveillée. Ma compagne d'aventures se précipite pour me sauter au cou. << Mais je t'aime toi ! >> s'écrie t-elle. Et cette fois, c'est moi qui l'embrasse !

Pourtant, reprenant la direction des opérations, c’est elle qui m’entraîne sur la couverture. Sa nature de femme Alpha reprend le dessus. Elle m'y pousse jusqu'à m'y faire tomber. Elle me rejoint immédiatement. Je la fais basculer sur le dos. Sans la laisser prendre conscience de ce que je m'apprête à faire, je me mets à quatre pattes, ma tête entre ses cuisses. Christelle, plutôt surprise, me tient par les cheveux. Elle comprend. Elle anticipe. Elle écarte ses cuisses pour poser ses pieds nus sur mon dos. Je me mets à lécher ce minou avec la fougue d’un assoiffé, avec la passion d’un dévot et avec l’appétit d’une fin de jeûne. J'adore le cunnilingus. Je vais enfin donner libre cours à mon penchant.

Christelle lâche de petits cris, se cambre. Il est certain que ce genre de pratique ne doit pas être courante dans sa jeune existence. C'est donc en homme d'expérience que je me fais un devoir de lui offrir de nouvelles sensations. Elle a de petits mouvements du bassin. Ma complice de débauche se lâche soudain comme je ne l’ai jamais vu. En criant : << Tu es fou ! Attention ! >> elle lâche un jet de pisse qui se brise sur mon visage. Puis un autre et un autre encore en poussant des râles de plaisirs. Le plaid est aussi trempé que mes cheveux, mon visage et le haut de mon T-shirt. Les jets ne semblent plus cesser. << Prends-moi ! >> me supplie t-elle. Je m'enivre de ses sucs, de ses jus. Folie.

J'ai ma petite idée. Je monte sur elle. Je sors mon sexe en érection pour l’introduire dans le sien. Je veux le faire doucement, comme j’aime. Pour ma libido c'est un instant magique. J'aime le faire lentement en faisant durer. D’un mouvement sec de ses hanches, se glissant sous moi, elle s’empale complètement dans un cri. Christelle m'attire à elle avec force, cherchant à ce que je la pénètre encore plus profondément. Pour ne pas lui imposer le poids de mon corps, je reste en appui sur mes bras. Je suis dégoulinant de pisse. Ce qui ne semble pas la déranger. De toute manière avec la chaleur, ça va sécher très vite. Je découvre à nouveau ses curieux murmures incompréhensibles.

Christelle m’attire à elle avec une telle fougue que je m’écroule sur son corps. << Je t'aime ! >> susurre t-elle plusieurs fois. J'imprime un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, devenant même parfois frénétique. Nous baisons comme des déments. Agités de secousses délirantes. La jeune fille, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, se laisse emmener en poussant de petits râles. Elle qui d’habitude prend les initiatives les plus heureuses se laisse baiser dans un laisser aller qui me laisse perplexe. Ses petits cris devenant de plus en plus stridents. Il faut souhaiter que personne ne se balade dans les environs. C'est tellement bon, tellement fort qu'on s'en moque.

Régulièrement, pour me préserver d’une éjaculation non souhaitée, je cesse tous mouvements. Il faut préciser que pour la seconde fois de cette matinée je m'adonne à une séance de folies. Pas besoin d'entraînement sportif. Nous sommes de véritables athlètes. << Je t’aime ! >> lance plusieurs fois ma comparse. Christelle se contorsionne. Remue son bassin dans tous les sens. cherchant le meilleur angle de plaisir. Elle enfonce une nouvelle fois sa langue dans ma bouche. La jeune fille doit avoir un orgasme violent car elle se cambre en hurlant. Elle cesse tout mouvement. En poussant un long râle, comme une bouée qui se dégonfle, elle s'affaisse complètement. Trouvant enfin le repos.

Je me retire. << Non, ne pars pas ! > s'exclame t-elle en essayant de me retenir. Je suis fourbu, épuisé, en sueur. C'est comme pour me préserver. Je me redresse en répondant : << Direction la prochaine étape et la prochaine "punition" ! >>. Christelle, étonnée, ouvre de grands yeux. Avec l’air gênée, me montrant le plaid trempé de pisse, elle dit : << Tu as vu dans quel état tu me mets ? >>. Je l'aide à se relever en la tirant par les mains. Je fais : << Oh oui. Je dois te punir. Je dois rattraper ces sept jours passés sous ton règne ! >>. J'entraîne Christelle vers le ruisseau. Je retire mon T-shirt pour le tremper dans l'eau. Je me rince la tête. Elle me regarde et dit : << Pardon ! >>.

Tout en m'essuyant je réponds : << Je ne pardonne plus, je donne des gages ! >>. Christelle s'écrie : << Oh oui, donne-moi des gages ! >>. Elle s'accroche à mon cou pour me couvrir le visage de bises. Elle rajoute : << Tu aimes baiser avec des petites pisseuses ? >>. Nous rions aux éclats. Je la soulève. Elle m'enserre de ses jambes. La passion qui anime ce nouveau baiser risque de nous faire tomber. C'est tellement vertigineux. J'essore mon T-shirt. Je n'ai qu'une chemisette informe dans le coffre. Lorsque je l'enfile Christelle me dit : << Tu ne peux pas garder ce truc, on dirait un clodo ! >>. Je réponds : << Mais oui, mais c'est la faute de ma petite pisseuse ! >>. Nous rions.

Je fixe le plaid à la fenêtre de la voiture. Juste la partie mouillée. De l'autre côté je coince le T-shirt en le bloquant avec la vitre remontée. Christelle s'écrie : << Et voilà une Mercedes de romanichels ! >>. Elle palpe ma braguette. Nous repartons avec ce linge qui flotte aux fenêtres arrières. Ainsi, avec les trente kilomètres qui restent à faire, ce dernier pourra sécher un peu. Je roule à nouveau. Christelle, sa tête sur mon épaule me fait : << Je suis si bien avec toi ! >>. Je reste longuement silencieux. Christelle fourre sa main dans ma braguette. Pose sa tête sur mon épaule. Elle rajoute : << C'est la première fois qu'on s'occupe de mon sexe avec une bouche ! Et c'est génial ! >>.

Nous arrivons aux environs de Pont d’Arc…

Julien



Classe
Christelle
Friday 7 April 2023 12:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 19 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Pond d'Arc

Nous bénissons l'inventeur de la climatisation en automobile. Il fait chaud depuis le début de l'été. Il est difficile d'échapper à ces grosses chaleurs. Nous rusons autant que nous le pouvons. La circulation est fluide. Je propose parfois à ma coéquipière de prendre le volant. Elle décline alors mon offre en répondant invariablement : << J'aime me laisser promener. Et tu me promènes si bien ! >>. Nous arrivons aux abords du site préhistorique de Pont d’Arc. C’est un haut lieu très fréquenté, touristique et bien connu. Aussi, nous découvrons toutes les voitures déjà garées sur un des trois parkings. Je suggère d’aller garer l'auto à quelques distances. << Excellente idée ! >> lance Christelle.

Nous pourrons parcourir la distance à pieds par le chemin qu'on distingue en contrebas. Christelle consulte son téléphone. << Google Maps ! >> dit elle en me montrant l'écran quand je suis à l'arrêt. Je fais demi tour. Je roule dans le sens inverse. Christelle m’indique un petit chemin qui quitte la route sur la droite. Je m’y engage. Là, sur la gauche, il y a une maison en pierres de tailles. Habitation typique et vétuste d'apparence. Une vieille dame est penchée sur des pots de fleurs. Nous nous arrêtons à sa hauteur. Ma compagne d'aventures sort du véhicule. Elle salue la dame puis prend l’initiative de lui demander si nous pouvons laisser notre auto à proximité. J'observe sa gestuelle.

Nous garons la voiture dans la cour. La certitude de savoir la voiture en sécurité nous rassure. Nous mettons quelques affaires dans le petit sac à dos. Barres de céréales, pommes, la bouteille d'eau. Christelle me prend la main, heureuse, en sautillant elle tourne parfois autour de moi. Nous prenons le chemin indiqué par la vieille dame. Pont d’Arc est à trois kilomètres. Ma complice, marchant vite, m’entraîne en chantonnant. Elle s'arrête régulièrement pour prendre quelques photos. Un prétexte pour poser ses lèvres sur les miennes. De nous tenir par la main les mouille de sueur. C'est assez désagréable. Nous nous lâchons très vite. Les nombreux arrêts bisous ne mouillent pas nos lèvres.

Nous marchons depuis environ dix minutes. Nous sommes sur les hauteurs. Nous voyons l’animation du site touristique depuis notre point de vue stratégique. Christelle met sa main sous mon short. En montant le long de ma cuisse. Sa main exploratrice est douce et chaude. Je suis rapidement en érection. Depuis le début de cette journée nous sommes tous deux considérablement excités. J'entraîne ma coquine à l'ombre des cyprès et des pins. Il y a un véritable tapis d'aiguilles de pins sur le sol. Christelle s'accroupit pour y poser la main. << C'est tout frais, regarde ! >> s'écrie t-elle. Je m'accroupis pour poser ma main. C'est effectivement très étonnant. Christelle m'y fait tomber.

Je regarde autour de nous. Nous sommes absolument seuls. J’avise le rocher qui fait penser à une table naturelle. Je me redresse. L'endroit est très exposé. Nous sommes sur le bord du chemin. Christelle se redresse. Elle empoigne le tissu de ma braguette en murmurant : << J'ai trop envie ! >>. Je soulève la jeune fille. Je l’entraîne et la dépose sur la roche. Là, à l'abri d'éventuels regards de promeneurs, l'endroit est bien moins exposé. Elle est en jupe. Mon initiative doit la ravir car elle m’enserre de ses jambes qu’elle passe autour de ma taille. Christelle m’embrasse avec tant de douceur. Sa langue caresse la mienne. Mon érection est contraignante car mon sexe est tordu au fond du slip.

Christelle, en appui sur ses coudes, me fait le plus merveilleux des sourires. Elle retire sa culotte. Je sors mon sexe. Il est dur et raide. Je le frotte sur le sien. Doucement, avec une infinie précaution, je m’immisce en elle. Christelle n’a que faire de mes précautions. De quelques coups de reins elle s’empale d’un seul coup sur ma raideur. Je suis en elle. Je commence à bouger. Nous avons tous les deux le même rythme. << Tu sais que tu es un parfait salaud ! >> me fait la jeune fille. Je demande : << Pourquoi ? >>. Elle se redresse. S'accroche à mon cou pour me chuchoter à l’oreille : << Parce que tu es comme moi, tu ne penses qu’à "ça" ! >>. Elle lèche subitement mes lèvres.

Ma complice se laisse aller. Je la retiens afin qu'elle ne tombe pas. Qu'elle puisse s'allonger sur le dos. Je m’agite dans la fille comme un dément et je conclue : << Mais ? Si je suis le salaud que tu prétends, tu es donc une parfaite salope ! >>. Christelle se met à rire. << La tienne présentement ! >> précise la jeune fille avant de se laisser aller dans un long râle annonciateur de l'orgasme à venir. Ou alors à quelque chose qui y ressemble furieusement. Christelle se redresse. Elle m’embrasse. Je me retire. << Non ! Reste ! >> s'écrie t-elle, presque suppliante. Je lui dis : < Il n’en est pas question ! C'est une punition pour comportement déviant ! En route mauvaise troupe ! >>.

Je remballe. Je suis à chaque fois à la limite de l’éjaculation et les sensations induites sont absolument divines. J'aime faire quelques efforts afin de contrôler mon plaisir. Ce qui permet d'en offrir bien davantage à ma complice de débauches. Mon sexe dégouline de liquide séminal. Christelle me montre sa foufoune trempée. Elle se redresse d'un bond en s'exclamant : << Mais qu'est-ce que c'est bon ! >>. Nous nous mettons à marcher. Pont d’Arc est là-bas. Nous descendons le chemin. Nous arrivons à l’accueil. Une ravissante jeune fille nous remet nos tickets. << J'ai envie de baiser Julien. Il faut que je me fasse violence pour ne pas te sauter dessus ! >> murmure ma délicieuse coquine.

Nous partons à la découverte du site. Il y a beaucoup de touristes. Nous nous tenons à nouveau par la main. Il y a dans les vieilles pierres un peu plus de fraîcheur. Parfois, comme par défi, devant les regards des gens que nous croisons, Christelle m’embrasse rapidement. Cette jeune fille de même pas vingt ans, embrassant un homme qui pourrait être son père, constitue certainement une attraction supplémentaire. Certains semblent en apprécier le spectacle avec beaucoup d'intérêt. Ce qui stimule ma complice d'aventures qui en rajoute. Parfois, pour d'autres formes de défis, ma coquine se serre contre moi pour cacher sa main. << Ouvre ça ! Sors là ! >> chuchote t-elle. Espiègle.

Julien



Classe
Christelle
Friday 14 April 2023 12:24

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 20 - Tous droits réservés - © - 2023 -



L'amour sous les cyprès

Un grand nombre de touristes visitent cet endroit. L'affluence à l’entrée de la grotte Chauvet est étonnante. A cause de cette affluence nous sommes informés que nous ne pourrons y entrer que par groupe de dix personnes. Christelle m’entraîne par le bras. Elle s’arrête devant les tourniquets de la boutique souvenirs. << J’appelle mes parents pour les informer que je reste huit jours de plus ! >> me fait la jeune fille en sortant son téléphone de la banane nouée autour de sa taille. Elle rajoute : << Je ne suis vraiment pas pressée de rentrer. Ce sont les plus belles vacances de ma vie. Je vais aussi prévenir Alexis. Qu'il ne m'attende surtout pas avant la rentrée ! >>. Elle s'éloigne de quelques pas.

Je regarde l’affluence des visiteurs. Cet endroit polarise un grand intérêt touristique. J'observe Christelle qui semble avoir une conversation animée sinon passionnée. Sa gestuelle est particulière. Cette étonnante jeune fille sait se montrer redoutablement persuasive. Elle reste ainsi dix bonnes minutes. Avec des gestes toujours calmes elle m'adresse des clins d'œil, des sourires, des mouvements de main. Enfin, en affichant un visage radieux, ma compagne d'aventures vient me rejoindre. << Et voilà, tout va bien. Mes parents sont rassurés et ne voient absolument aucun souci à ces huit jours supplémentaires ! >> me confie t-elle en m’entraînant d'un pas rapide vers l’entrée de la grotte.

Je demande : << Et ton "petit copain", il réagit comment ? >>. Christelle s'arrête, pose sa main sur ma bouche. << Il n'a pas à réagir. C'est comme moi je veux ! >> répond t-elle. Cette affirmation ne m'étonne pas du tout. C'est tellement "elle". Ma complice qui rajoute : << Et on ne parle plus d'Alexis ! Tu veux bien ! >>. Nous faisons la queue. Il fait chaud et nous sommes en plein soleil. << Tu n’en as pas marre ? >> me fait Christelle en touchant discrètement ma braguette. Je réponds : << Si ! Tant pis pour la préhistoire et l’art rupestre ! >>. Elle dit : << Viens on s’en va ! Je vais te faire visiter une autre grotte, tu vas voir ! >>. Elle m’entraîne d’un pas bien décidé. Et en courant presque…

Il suffit de faire trois cent mètres pour nous retrouver dans les bosquets. Les cyprès sont nombreux partout autour de nous. Nous avisons un petit sentier qui grimpe sur une des collines entourant le site. Christelle m'entraîne en me donnant ses impressions quand à la préhistoire. Dans un de ses accès de dérisions dont elle sait souvent faire preuve. Elle marche devant moi en me tirant par la main. Au bout de trois cent nouveaux mètres, nous sommes en hauteur. La vue est magnifique. Tous ces gens en bas font penser à des fourmis qui s’agitent. Christelle s'arrête. Elle regarde partout autour de nous. Repart. S'arrête à nouveau. Posant souvent ses lèvres sur les miennes. Elle semble impatiente.

La jeune fille me tient des deux mains. Je me laisse emmener. C'est tellement bien de me laisser embarquer dans une probable nouvelle aventure. Nous passons derrière un amas rocheux. Personne ne peut nous voir à moins de venir par là. Christelle remonte sa jupette, descend sa culotte et s’accroupit pour pisser. C’est la toute première fois qu’elle fait ça ainsi, devant moi. Aussi naturellement. Elle a un sourire merveilleux et me dit : << Tu te rends compte, encore quinze jours ensemble, tous les deux ! Je suis contente. Ça me rend folle de joie. Et toi ? >. Je la regarde en silence. Je me contente de sourire en hochant la tête. Les mains sur les hanches. Elle est trop belle…

Avec le mouchoir en papier qu’elle tient à la main, Christelle se torche. J'admire le naturel avec lequel elle se comporte. Elle se redresse et retire complètement sa culotte. Elle vient vers moi, me prend la main pour se la fourrer entre les cuisses. C’est chaud, c’est doux, ça m’excite. Je sors la petite serviette du sac à dos, je la jette au sol. Immédiatement Christelle s’accroupit pour l’étendre convenablement. Elle s’y couche, jambes écartées. Je me mets à quatre pattes. Je veux la lécher. Elle m’en empêche et m’entraîne sur elle. En appui sur mes bras, je ne sais quoi faire. Christelle se colle à moi. Accrochée à mon cou. Je suis vigilant. Je ne veux pas imposer le poids de mon corps.

Ma compagne d'aventures frotte son pubis contre ma turgescence. Ma partenaire se saisit de mon sexe fermement et se l’introduit avec passion. Moi qui aime la douceur, moi qui ai toujours peur d’être trop brusque, je suis totalement surpris. Je suis en elle. D’un coup ! Christelle passe ses jambes derrière mes cuisses. Elle s’agite d’un mouvement régulier essayant de m’entraîner contre elle. Que puis-je faire ? Je me sens le jouet de cette jeune fille soudain si passionnée et si fougueuse. Christelle cambre ses reins à plusieurs reprises. Un nouvel orgasme ? Déjà ? Elle contorsionne son bassin, cherchant le meilleur angle. Je suis totalement dépassé par tout ce qui m’arrive.

Soudain, la tête rejetée en arrière, en poussant un long râle, Christelle s’immobilise en se serrant de toutes ses forces contre moi. Cela dure un moment puis, doucement, ma partenaire relâche son étreinte. Nous sommes évidemment trempés de sueur. Nos corps glissent l'un contre l'autre. Cela pourrait être désagréable si nous n'étions pas aussi excités. Elle se laisse tomber sur la serviette. J’essaie de me retirer mais elle me maintient. << Comme je suis bien, quelle journée ! >> lance t-elle avant de me couvrir le visages de bises. Il y a une brise légère et rafraîchissante. Sans doute une illusion sur nos corps mouillés. Je reste en appui sur mes bras tendus. Christelle ne pèse pas lourd.

Je reste en elle longtemps, sans bouger. Mon érection ne montre pas la moindre défaillance. Alors que cette situation n'est pas précisément favorable. Nous entendons souvent des voix. Il y a même un chien qui vient nous observer. Il va me renifler le cul le con ! Nous dégoulinons de sueur. Christelle me repousse légèrement. Je peux enfin soulager mes bras. Je me retire pour me coucher sur le dos. Ma complice me chevauche. Elle reste ainsi à me fixer avec un air de défi. << Tu m’aimes ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Quelle santé ! >>. Me voilà à nouveau en elle. Elle se met à bouger tout doucement. Sans cesser de me fixer. Mutine. Elle imprime un rythme lent mais régulier.

Nous restons ainsi à nous fixer, en silence et en faisant l’amour. Nous n’avons aucune idée de l’heure. Nous avons simplement la notion de ce bonheur immense. Hors du temps, dans une euphorie vertigineuse, nous nous offrons l'un à l'autre. Je pénètre cette jeune fille à plusieurs reprises depuis ce matin et elle en veut encore. Son endurance est admirable. Ses presque vingt ans y sont sans doute pour beaucoup. Je dois reconnaître que je n'ai jamais connu un tel "appétit". Quand je le lui chuchote, elle répond : << Tu dis ça pour être sympa ! >>. Je lance : << Non je te jure tu vas me tuer avant la fin des vacances ! >>. Elle rajoute : << C'est la première fois que ça m'arrive tu sais ! >>

Christelle jouit sans doute une nouvelle fois car sa respiration s’arrête. Elle pousse quelques petits cris et s’effondre sur moi en me murmurant : << Tu vas me rendre folle. Je t’aime, je t’aime !.. >>. Je caresse sa tête, sa nuque. Je ferme les yeux pour savourer l'intensité de ses aveux. Quelques minutes passent et j’entends soudain un doux ronflement. Ma comparse, épuisée, vient de s’endormir. Je suis toujours encore en elle. Je ne bouge surtout pas. Je finis par débander et je sens mon sexe trempé tomber de celui de la fille qui dort profondément. J'essaie de rester lucide. Je veux apprécier cet instant dans toute sa plénitude. Je lutte. Hélas, je ne tarde pas à la rejoindre.

Nous sommes réveillés par de la musique. Nous nous étirons. Christelle se met sur les genoux. Nous écoutons. C’est du Mozart. Nous nous levons. Je regarde l’heure, il est dix neuf heures trente. Nous regardons en bas. Là, sur une petite scène, un quatuor fait des essais de sonorisation. Sans doute en prévision d’une animation musicale une fois la nuit tombée. Deux femmes violonistes, un pianiste et un violoncelliste. Cette musique qui s’élève est un nouvel enchantement. Nous prenons conscience de la précarité de notre cachette. Pressés de nous jeter à corps perdus dans nos ébats nous n'avons même pas pris toute la mesure du danger potentiel. N'importe qui pouvait arriver.

Christelle se serre contre moi. << Encore quinze jours mon amour ! >>. La sueur a séché. Le bonheur suprême serait de pouvoir prendre une bonne douche. Nous prenons le sentier pour redescendre. Nous décidons de rester là une partie de la soirée. Une légère brise se lève. Il fait à présent bien plus agréable. Christelle reste tout le temps contre moi. C'est difficile de marcher en se tenant par la taille, par les épaules. En amoureux. Il y a un robinet au-dessus d'un évier en pierre dans la propriété de la vieille dame. Nous nous rafraîchissons un peu. Christelle m'éclabousse en riant. Je fais pareil. Nous ne retournons pas sur les lieux du spectacle. Nous préférons trouver un restaurant.

Nous rentrons pour vingt trois heures trente. La douche est un autre merveilleux moment de cette journée pourtant riche en merveilles. Nous tentons de faire l’amour encore une fois mais nous tombons dans un profond sommeil...

Julien



Classe
Christelle
Friday 21 April 2023 11:19

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 21 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Le vieux peintre

Je dors profondément. Je n'en suis pas si certain. C'est cette frontière ténue entre la conscience et le rêve. Non, je ne dors plus. Non, je ne rêve pas. Christelle me sort du sommeil avec ses prestations habituelles. Je me réveille le visage couvert de bises. J’ouvre les yeux. La jeune fille est couchée sur le ventre, à côté de moi. Je ne rêve pas. Je la regarde mieux. Les reins cambrés, elle est entrain de se masturber. Je fais semblant de rien. << Bonjour, tu as bien dormi ? >> me demande t-elle en se tournant pour lover son corps contre le mien. Nous sommes nus. Je regarde l’heure. Il est sept heures. Je saisis ma complice par la nuque. Nous restons ainsi de longues minutes. Elle se frotte. Lascive.

Dehors, il fait beau. Le soleil éclaire déjà toute chose de ces lumières impudiques de l'été. Nous nous levons, pressés d’aller savourer notre petit déjeuner. Nous n’avons qu’une idée, nous sauver pour profiter de cette nouvelle journée. Durant tout ce premier repas, Christelle se montre très câline. La jeune fille est caressante et affiche en permanence un air espiègle. Assise sur mes genoux, ses bras autour de mon cou, elle me raconte son rêve érotique. Elle m'avoue s'être réveillée en se touchant. Je révèle l'avoir découverte ainsi. Ma coquine me demande : << Tu as aimé ? >>. Je réponds : << Oh, oui, j'adore regarder une fille se masturber ! >>. Christelle s'écrie : << Coquin ! >>

Elle se positionne à califourchon sur mes cuisses en lançant : << C'est vrai ? Tu es voyeur ? >>. Nous rions. Christelle se frotte sur mon érection. Après le petit déjeuner, nous prenons notre douche. Nous sommes tous deux sous l’eau à faire les clowns. Cette attitude nous permet de juguler nos désirs sexuels afin de les distiller tout au long de cette journée à venir. Il serait stupide de nous comporter comme des animaux dès le matin. Les choses s’annoncent d'ailleurs torrides. Christelle n’arrête pas d’enfoncer sa langue dans ma bouche en soupesant mes organes génitaux. << Bonne qualité aujourd’hui ! >> dit elle à plusieurs reprises. Elle me tire par le sexe dans tout l'appartement.

Nous voilà vêtus. Christelle est en jupette et en T-shirt. Elle ne porte aucun sous-vêtement. << J'en ai marre d'enlever et de remettre ma culotte dix fois par jour ! >> précise t-elle. Ses tous petits seins n’en nécessitent nullement et son sexe s’en dispense agréablement. Je porte un ensemble hawaïen surréaliste qui fait beaucoup rire la jeune fille. Short et chemisette. Il y a vingt ans, à la fin de mes études, j'ai passé un mois à Hawaï. J'en ai ramené des fringues qu'il me faut bien porter de temps en temps. Nous sommes chaussés de sandales. Dans le petit sac à dos posé sur le siège arrière, nous avons toutefois prévu du change. Quand ce sac est plein, il constitue un très bon oreiller.

Nous voilà à rouler sur la petite départementale. Peu de voitures. Christelle, très à l’aise dans son rôle de copilote, étudie la carte. Elle interroge le GPS pour comparer les résultats. << On est bon ! >> lance t-elle. Direction le lac de Saint-Martial. Lac réputé pour être un agréable lieu de baignade. Christelle me guide avec une précision redoutable. Oui ! Il y a des filles capables de lire des cartes routières ! Je suis en compagnie d’un de ces rares spécimens. Spécimen qui a présentement sa main dans mon short. Braguette béante dont elle va finir par détruire la tirette. Il est dix heures et il est préférable d'allumer la climatisation. C'est encore une journée caniculaire qui nous attend.

Il y a environ trente kilomètres à parcourir. Depuis dix minutes Christelle joue avec mon sexe. Je roule avec beaucoup de précautions. Je suis toujours d'une grande prudence au volant. J'avance doucement, les yeux rivés sur tous les angles de vision. Ma coéquipière tient mon érection dans sa main gauche. D'une poigne ferme. Tout en me montrant des éléments du paysage, tout en commentant la campagne environnante, elle me masturbe d'un mouvement lent. Je la surprends dans le rétroviseur à loucher sur ce qu'elle fait. Mais elle aussi surprend mon regard. << Coquine cherche coquin pour coquineries ! >> murmure t-elle tout en se penchant sur sa gauche. Pour sucer.

Se contorsionnant avant de se laisser glisser au sol, devant le siège passager, Christelle s'installe confortablement. Je demande : << Mais pourquoi tu te mets là ? >>. Elle répond : << J'aime bien. Ça permet une meilleure concentration ! >>. Je rajoute : << Mais tu ne vois plus le paysage ! >>. Christelle dit :<< Non, mais je vois autre chose de très intéressant ! >>. Elle se met à genoux. Elle pratique là une de ses fellations enivrantes dont elle est coutumière. J’adore me faire sucer en étant obligé de rester concentré. Je suis un maître de la conduite contrariée. Je ralentis. Une auto nous dépasse. Avec un coup d'accélérateur rageur. Un coup de klaxon. << Ta gueule ! >> lance Christelle.

Nous parcourons ainsi une quinzaine de kilomètres. Régulièrement, Christelle cesse pour m’entretenir de sujets aussi variés que ses études, les amis étudiants, son petit copain ou encore sa mamie propriétaire de deux chevaux. Tout cela participe de notre bonheur. Du plaisir de nos sens. Pour conclure la jeune fille prononce toujours la même phrase : << Je t'aime toi ! >>. Puis elle retourne à sa dégustation dans un silence religieux. J’aurais bien mis un CD mais cela gâcherait l'audition des gargouillis et des bruits bulleux de cette fellation sirupeuse et de haute qualité. Parfois je pose ma main sur la nuque de ma compagne d'aventures. J'appuie légèrement. J'adore son gloussement amusé.

Nous arrivons au lac Saint-Martial. Un endroit magnifique. Le lac, cercle presque parfait, est entouré de tous côtés de montagnes rocheuses. C'est typique de la région. Je dis : << On est arrivé mademoiselle ! >>. Christelle cesse sa pipe, se redresse pour s’asseoir sur le siège. << C’est magnifique ! >> fait-elle. Je rajoute : << Oui, une bel endroit ! >>. Ma coquine s'écrie : << Non je parle de ce que je te fais pendant que tu roules ! >>. Nous éclatons de rire. Une fille avec de l’humour, qui sait lire une carte routière et qui adore la pipe ! Que pourrais-je bien désirer de plus ? D’autres se damneraient pour un seul de ces paramètres ! Elle ne me laisse pas répondre, elle fouille ma bouche.

Nous sortons de la voiture. Il fait tellement chaud. C'est comme d'ouvrir la porte d'un four. On s'en prend une bouffée en pleine face. Il y a déjà pas mal de monde. J'attrape le sac à dos, je saisis la glacière à provisions, Christelle prend le plaid à carreaux beiges. Ce serait sympathique de trouver un endroit isolé. Voilà un coin qui nous conviendrait parfaitement. C'est un sentier étroit qui quitte le chemin pour descendre vers le lac. Nous ne l'avons pas vu. Il y a un peintre. Un vieux monsieur, assis devant son chevalet. C'est une image irréelle. Comme sortie d'un livre. Il peint cette partie du lac. Nous admirons une peinture de qualité. Notre artiste est coiffé d'un chapeau de paille.

Nous nous saluons pour bavarder un peu. Le peintre, affable et tout heureux de partager un peu de sa passion, est enchanté de découvrir que je suis peintre moi-même. Retraité de la SNCF cet homme peut s'adonner à sa passion. Christelle, accroupie à sa gauche, en appui contre ma jambe, observe les coups de pinceaux. Une dizaine de minutes à discuter. Nous laissons ce brave personnage à sa peinture. Christelle m'entraîne par la main. Légèrement en hauteur, à une vingtaine de mètres, une petite plate-forme naturelle entourée d'arbres feuillus. La vue sur le lac est splendide. En regardant bien, juste en bas, nous pouvons même suivre la progression des travaux du peintre.

Ce dernier, de temps en temps, s’empare d’une des deux grosses gourdes posées à ses pieds. Pour la porter à sa bouche. Sur notre droite, une petite cascade permet de déposer notre glacière. De la caler entre des gros cailloux. L’endroit est paradisiaque. Même aux plus chaudes heures de la journée, l’ombre des feuillus, la proximité de l'eau, rend certainement l'endroit très agréable. Pour descendre se baigner au lac une cinquantaine de mètres. J’étends le plaid au sol. Christelle a déjà sa main dans ma braguette que j’ai oublié de refermer. Ma coquine me dit : << Moi je le savais. Je n'ai rien dit. Le vieux la sûrement vu lui aussi ! >>. Je suis soudain très gêné. Un peu honteux. Christelle rit...

Julien



Classe
Christelle
Friday 28 April 2023 11:20

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 22 - Tous droits réservés - © - 2023 -



De nouvelles révélations

L'espace rocheux est à l'ombre. Il est en surplomb. C'est comme au-dessus d'un ravin de cinq à six mètres. Christelle est assise au bord de cette falaise. Les pieds dans le vide. Elle ne souffre pas du vertige. Je viens la rejoindre. Juste la longueur de mes cuisses me sépare du vide. J'évite de trop regarder en bas. Par contre la vue sur cette partie du lac est superbe. Le bleu du ciel se reflète dans ses eaux immobiles. Il est presque onze heures trente. Nous sommes à l'abri des morsures du soleil. J’observe le vieux peintre, là-bas, à une cinquantaine de mètres. Il nous tourne le dos. Son regard se porte répétitivement sans arrêt du paysage à la toile. Sous son large chapeau.

<< C'est comme une image d'Épinal ! >> fait Christelle qui s'empare du petit sac à dos. De la poche avant elle tire la petite paire de jumelles. Elle scrute avec attention tout en commentant ce qu’elle regarde. Parfois, elle me tend les jumelles et m’indique du doigt une chose à voir. Il y a de l’autre côté de la rive une jeune femme qui fait boire deux ânes. Un peu plus loin, quatre jeunes gens sont assis. L’un d’entre eux joue d’une guitare. Une des deux filles est allongée sur un radeau gonflable flottant sur l'onde. << C'est un paysage bucolique ! >> rajoute ma compagne d'aventures. Nos estomacs émettent le même grognement. Ils sont vides depuis le petit déjeuner. Nous rions.

Nous sommes si biens là, tous les deux, une fois de plus. Nous commençons à avoir faim. Christelle m’embrasse à plusieurs reprises. Longuement et avec cette douceur si particulière dont elle est coutumière. Cette jeune fille peut se montrer autoritaire et soudain douce en une fraction de seconde. Un tempérament que j'affectionne. Une personnalité. Le goût de sa bouche, de sa salive, participent des saveurs de cet appétit naissant. Lorsque nous cessons ma complice me chuchote des mots inoubliables, enivrants. Nous luttons encore un peu contre la faim. Jusqu’aux environs de midi. Christelle, allongée, la tête sur mes cuisses, m'entretient de ses études, de ses projets professionnels.

Christelle prépare les assiettes en carton. Elle dispose les couverts sur le plaid. Je récupère la glacière sous la petite cascade. Elle est froide. Nul doute que son contenu est préservé de toute chaleur. Nous savourons les crudités rapidement épluchées ce matin. De la bûchette de chèvre, du pain complet et de la crème fraîche accompagnent nos carottes. De l’eau gazeuse, presque trop froide, est la bienvenue pour nous désaltérer. Je découvre les petits rots que lâche Christelle en chapelet. C'est adorable. << Baby doit faire son rot ! >> dit elle en riant.

Nous lavons le peu de vaisselle sous l’eau de la cascade. Nous voilà repus. Le plaid, à présent libéré, nous offre le confort parfait pour une sieste. Christelle, allongée à mes côtés, sa main dans ma braguette, me raconte quelques anecdotes d'étudiantes. Elle me confie des secrets de son adolescence. Des choses jamais révélées à personne. << Tu te rends compte, encore quatorze jours ensemble ! >> s'écrie t-elle soudain, s'appuyant sur son coude en ouvrant le bouton de mon bermuda. Je pose ma main sur son sexe, sous sa jupette. << Toutes les jeunes filles devraient parfaire leur éducation sexuelle avec un homme d'âge mûr. Un gain de temps ! >> lance t-elle. Nous rions aux éclats.

Christelle pose sa tête sur mon ventre. Elle s’amuse à la contemplation de ce qu’elle me fait de sa main droite. << Tu aimes ce que je te fais tout le temps ? >> demande t-elle. Je réponds : << J'adore ! >>. J’ai ma main entre ses cuisses. Doucement, la jeune fille descend encore un peu. Ménageant ses effets. Centimètre par centimètre. Jusqu’à prendre mon sexe en bouche. Sous l’effet de l’indicible caresse, je ferme les yeux. Tous les deux nous restons parfaitement immobiles. Une légère brise bienfaisante me caresse le visage. Je positionne mon bras afin de ne pas souffrir de crampes en titillant le clitoris de ma partenaire. Elle se tourne sur le côté pour coincer ma main entre ses cuisses.

Depuis une dizaine de minutes je suis sous l’emprise d’un immense plaisir. Je caresse la tête de ma complice. J'explore son cou, sa nuque du bout de mes doigts. Ce plaisir est partagé. Christelle lâche parfois un gémissement à peine audible. Sa respiration s’emballe par instants. S’en suivent de légers efforts pour déglutir. Elle essaie d'avaler silencieusement. Mais j'entends bien. Une fois encore, je contracte mes muscles fessiers de façon régulière. Ce qui ne fait pas seulement bouger mon érection mais offre également des sécrétions plus abondantes. Des sécrétions qui ravissent ma comparse. Parfois un frisson parcourt son corps. L'excitation. Sa succion s'affirme alors encore davantage.

Souvent, toutes les deux trois minutes, je la retiens par ses cheveux. Je retire mon sexe pour poser une question. Mon attention permet un peu de répit à sa mâchoire. Christelle a bien compris ce fonctionnement. J'attire alors sa tête en la tirant doucement à moi par les cheveux. Christelle apprécie ces attentions. Elle m'en est reconnaissante. Elle passe sa langue sur mes lèvres en me murmurant : << Comme tu es doux avec moi ! >>. Elle rajoute quelques cochonneries biens senties. << Tu crois qu’il y aura un pêcheur à la ligne ? > me fait elle, espiègle avant de retourner à sa pipe. Elle fait évidemment allusion à cet épisode où elle exhibait sa fellation à un voyeur. C'est excitant.

A ces mots, mon sang ne fait qu’un tour. Mais quel tour ! Cette allusion confirme ce que je supposais. Christelle sait maintenant que j’ai assisté à son jeu cet après-midi là. J'ai moi aussi observé le pêcheur à la ligne. Elle a la confirmation de ce qu'elle supposait. Ma coquine cesse de se régaler et se redresse pour affirmer : << Je n'ai jamais imaginé vivre un jour une telle complicité avec quelqu'un ! >>. Cette révélation augmente notre excitation à un point ultime. Je saisis sa tête des deux mains pour la ramener à moi. << C’était génial, non ? >> me fait elle. Je ne sais quoi répondre. Aussi je me contente de dire une bêtise : << Tu es une merveilleuse et adorable petite salope ! >>

<< N’est-ce pas ? >> lance Christelle en retournant à sa fellation. Nous restons à nouveau longuement immobiles. Chacun sait à présent ce que sait l'autre. On ressent de la gêne, une certaine inhibition peut-être. Mais nos natures reprennent le dessus. Ces aveux font monter la température de nos libidos. À présent la jeune fille lâche des gémissements plus sonores et plus réguliers. Son excitation doit être aussi forte que la mienne. Il est temps de lui réserver ma "spécialité". Mon attention, causée par une sorte de sixième sens, me fait regarder sur la droite. Je saisis Christelle par ses cheveux. Protecteur. Là, à dix mètres, entre le bosquet et le rocher, le vieux peintre nous observe…

Julien



Classe
Re: Christelle
Friday 28 April 2023 14:53

pat92
Homme, 57 ans, France, Île-de-France
Merci pour ces très beau récits
Christelle
Friday 5 May 2023 11:14

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 23 - Tous droits réservés - © - 2023 -



La complicité se renforce

Mon visage est dans l'ombre du feuillage au-dessus de nous. Il est probablement impossible de le voir en détail. Je louche vers le bonhomme. Il ne s'en doute pas car je reste immobile. Christelle ne s’est encore rendue compte de rien. Occupée à sa pipe, elle reste concentrée sur son activité. Quand je saisis sa tête dans un réflexe protecteur elle prend cela pour un autre geste affectueux. Je ne dis rien. Le vieux peintre s’est rapproché tout doucement et silencieusement. Je ne l'ai pas entendu venir. Il se tient à environ cinq mètres. Les mains sur les hanches. Je suis plutôt gêné, voire ennuyé. << Elle semble bien se régaler la petite demoiselle. Bon appétit ! >> lance t-il en riant.

Christelle, surprise, se redresse soudain pour s'asseoir sur son fessier. Elle a le réflexe de cacher mon sexe de ses deux mains. Elle regarde le type. Honteuse. C'est la première fois que je la vois toute rouge. Des perles de sueur sur le nez. << C’est bon hein mademoiselle ! >> fait encore le vieux salace avant de rajouter : << Quand j’étais jeune je venais me faire sucer ici moi aussi. C'était une de mes élèves en peinture ! >>. Christelle reste silencieuse, gênée mais souriante. Avec un mouchoir en papier qu'elle tire du paquet elle essuie sa bouche. Elle chuchote pour n'être entendue que de moi : << Mais qu'est-ce qu'il nous raconte sa vie ce con ! >>. Le retraité n'entent pas. Il mâte.

Le vieux peintre, tournant les talons, nous lance : << Allez-y mademoiselle, régalez-vous, c’est un cadeau de la vie ! >> . Il disparait derrière l’amas de roches pour redescendre à son chevalet. Christelle éclate d’un rire sonore. << Alors celui-là ! Il ne manque pas "d'art" ! >> s'exclame t-elle en me masturbant doucement. << Tu crois qu’il était là depuis longtemps à nous mâter ? >> demande encore ma comparse. J'avoue l'avoir vu regarder pendant une bonne dizaine de minutes. Christelle chuchote : << C'est le deuxième voyeur en trois jours ! Décidément on les attire. On va les faire payer ! >>. Nous rions aux éclats. Je demande : << Tu aimes ? >>. Elle ne répond pas.

<< Le vieux cochon ! >> se contente t-elle de dire avant de retourner à sa fellation. Il y a des détails révélateurs. Des choses qui ne trompent pas. A sa façon de sucer je sens l’extraordinaire excitation qui l’habite. C'est certain. À présent une passion différente anime ma compagne d'aventures. J'entends ses gémissements qui redoublent d'intensité. Elle garde une main entre ses cuisses. Je comprends très bien ce qui se passe. Je demande : << Tu veux faire l’amour ? >>. Je suis soucieux d’apaiser cette excitation qui la dévore. << Laisse-moi encore faire ça. Peut-être qu’il est planqué pour mâter ! >> murmure t-elle l'espace d'un instant. Ces mots résonnent telle une révélation.

Cette nouvelle affirmation achève de conforter ce que je suppose. La jeune fille prend plaisir à être regardée. Cet aveux pourrait me faire éjaculer. Je dois faire de gros efforts pour différer mon orgasme. Ce que nous venons de vivre nous a propulsé dans une sphère autre. Je scrute avec attention vers les fourrés. Christelle cesse sa fellation à plusieurs reprises. Elle regarde l'endroit où se tenait le retraité. Elle murmure : << Tu le vois quelque part ? >>. Je chuchote : << Non. Il doit être à sa peinture. Viens on va vérifier ! >>. Christelle se lève d'un bond pour se précipiter vers le bord du ravin. << Il est assis devant son tableau ! >> dit elle en revenant. Elle paraît un peu déçue.

Nous rions quand elle mime une masturbation masculine en rajoutant : << Il s'est peut-être "terminé" ! >>. Je réponds : << Non, je ne crois pas, il n'avait aucun comportement de ce genre pendant qu'il mâtait ! >>. Ma complice s'installe à nouveau à son aise. Elle reprend sa fellation. L’indicible caresse prend à présent une dimension quasi surnaturelle. Je sens la langue de Christelle qui tente d’explorer avec insistance l’espace entre le gland et le prépuce. Je comprends qu'elle fait ça à chaque fois qu'elle ouvre les yeux pour scruter à l'entour. Tournant légèrement la tête sans cesser de sucer. Ses efforts pour rester discrète me procurent les plus sublimes sensations. C'est excitant.

La jeune fille respire avec force. Ses succions sont intenses. Souvent en apnée, elle redouble d’énergie pour en récupérer le plus possible. Elle gémit fortement. Les sécrétions doivent êtres abondantes. Elle lève la tête, ouvre les yeux pour me fixer. Elle découvre que je l'observe avec attention. L'expression de son regard me fait encore gravir des hauteurs de jouissances. C'est comme si elle sirotait avec un sourire terriblement suggestif. Les battements de mon cœur secouent ma poitrine. J'ajuste le petit sac à dos sous ma nuque. Je peux bien regarder partout autour de nous. J'ai beau scruter, nous sommes parfaitement seuls. Quelquefois, depuis le lac, on peut entendre des baigneurs.

Il me semble maintenant que Christelle force ses gémissements sonores. Je m'interroge. C'est presque parodique. Surfait. Je comprends. En agissant ainsi ne chercherait-elle pas à attirer l’attention d’un éventuel promeneur ? Je témoigne de mon interrogation avec une plaisanterie. Je dis : << Fais gaffe, tu vas donner envie au vieux ! >>. Christelle sans cesser de sucer glousse en riant. Elle arrête pour répondre : << Je n’ai jamais sucé un plus vieux que toi ! >>. Christelle se redresse en même temps que moi. Assis en tailleur l'un en face de l'autre. << Je n'ai d'ailleurs jamais sucé pour de vrai avant toi ! >> rajoute t-elle en se penchant en avant. Ses lèvres posées sur les miennes. Immobile.

Du fond de ma libido je m'entends proposer : << C’est le moment de tenter l’expérience ! >>. Il y a un long silence. J'ai beau tenter de décrypter le regard soudain hermétique et mystérieux de ma compagne d'aventures. Je n'arrive pas à en pénétrer les arcanes. << Tu serais d’accord ? Tu ne serais pas jaloux ? >> lance soudainement la jeune fille. Je reste totalement abasourdi. Je m'attendais à une réaction différente. Christelle se répète une seconde fois. Je reste pantois. A mon tour je garde un long silence. Je trouve enfin les mots : << Non Christelle, bien au contraire. De te voir faire ça à un autre mec m’exciterait au-delà du raisonnable ! Je suis un véritable vicieux tu sais ! >>.

Christelle reste comme prostrée dans un long mutisme. Elle finit par murmurer : << Je sais ! J'aime les vicieux ! >>. Elle ne me laisse pas l'occasion de réagir. Ma coquine me fait basculer sur le dos pour me chevaucher. Elle tortille des hanches jusqu’à s’enfiler sur mon sexe. Je tiens sa jupette relevée. Je dis : << Tu vas peut-être te faire mâter entrain de baiser ! >>. La jeune fille se met à bouger en rythme. Elle répond : << Génial ! >>. Elle se penche pour fouiller ma bouche de sa langue avide. Christelle est soudain victime d'un orgasme incontrôlable. Secouée de frissons, comme saisie d'un froid intense. De puissants râles sonores qui accompagnent les spasmes de son corps.

Elle tombe de tout son poids sur moi. Je caresse son dos, ses fesses dans des élans de tendresse qui me pétrissent d'émotions. << C’est vrai ? Tu serais d’accord ? > me demande t-elle après avoir retrouvé ses esprits. Je ne sais pas immédiatement à quoi ma complice fait allusion. Immobile, pesant de tout son poids sur mon corps, me couvrant le visage de mille baisers, elle s'écrie : << Tu es trop génial ! >>. J’avoue mon plaisir en comprenant ses mots. Je précise : << Fais de moi le complice de toutes les expériences que tu veux tenter ! >>. Christelle m’embrasse avec tant de reconnaissance qu’un profond vertige m'envahit. Si je ferme les yeux, je perds connaissance. Certain !

Julien



Classe
Christelle
Friday 12 May 2023 11:05

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 24 - Tous droits réservés - © -



Christelle s'apprête à vivre une expérience

Christelle reste longuement couchée sur moi. Blottie dans mes bras. Elle ne pèse rien. Petit bout de femme aux épaules frêles. Sa respiration qui s’emballe parfois. Va t-elle s'endormir ainsi ? Je caresse ses cheveux. Je les soulève pour saisir sa nuque. Elle se blottit encore plus fort. La jeune fille me chuchote des mots troublants. Je prête l’oreille pour écouter. Pour bien comprendre. Quelques fois, tous les deux, nous éclatons de rire. Christelle se redresse pour se coucher sur ma droite. Sa tête à nouveau posée sur mon ventre. A quelques reprises elle reprend mon sexe en bouche pour en savourer les sucs. Nous sommes dans un univers autre qui semble beaucoup convenir à ma complice.

Elle me demande : << Tu as un fonctionnement étrange. Tu ne t'emmènes jamais au bout en même temps que moi ! C'est pas bon avec moi ? >>. Je ris aux éclats. Je la rassure en répondant : << Non, au contraire, mais c'est comme ça que je fonctionne. J'adore rester excité toute la journée ! >>. Elle me chatouille. << Viens, on va regarder ! >> me fait elle en se redressant et en me prenant par la main. Elle m’entraîne au bord de la plate-forme rocheuse. Le ravin. J'ai le vertige. A une trentaine de mètres plus bas le peintre peint. Il a déployé un grand parasol sous le quel il travaille à l'ombre. Ma complice me fait alors d’une voix sourde : << Attends-moi là, je descends draguer ! >>

Ma comparse dépose une bise sur mes lèvres avant de s'éloigner rapidement. Je la regarde descendre le long de l’étroit et périlleux sentier. Elle arrive à la hauteur du peintre. Les mains derrière le dos, comme une élève studieuse, la jeune fille contemple. Silencieuse, elle observe les petits coups de pinceaux de l’artiste. De là où je me tiens il est impossible d'entendre les propos échangés. Je constate toutefois que le vieil homme parle sans détacher son regard de sa toile. Christelle me tourne le dos, tout comme l'artiste. Je saisis la petite paire de jumelles. Je peux découvrir l'évolution de son œuvre. C'est une peinture lumineuse. Très contemporaine. Les coups de pinceaux sont vifs.

Cette fois enfin il tourne la tête pour lever les yeux sur la jeune fille debout à sa gauche. Il doit répondre à quelques questions. Ou alors en poser lui aussi. C'est frustrant de ne pas entendre. Au bout d’une dizaine de minutes notre peintre pose soigneusement sa palette et ses pinceaux au sol. Les bras croisés il observe Christelle. C'est certain l'homme doit poser des questions. Christelle animée et enjouée répond de bonne grâce. Parfois riant, parfois surprise. Je scrute dans ma petite paire de jumelles. Quand la jeune fille tourne la tête vers le peintre pour répondre je peux voir les différentes expressions de son visage. Elle est étonnamment radieuse. Je la découvre charmeuse. Séductrice.

Je vais de surprises en surprises. Comment va t-elle réagir ? Le type saisit son poignet. Christelle n'a aucune réaction. Il l’attire par la main. Christelle n'oppose aucune résistance. Notre vieux coquin la fait s’asseoir sur ses genoux. Là, d’abord un peu distante, Christelle semble à présent s’amuser de la situation. Le peintre reste très affectueux, jamais obscène dans ses gestes toujours très mesurés. A aucun moment il ne parait profiter de la situation. Pourtant cette petite "demoiselle", comme il l’avait appelé, est bien "appétissante" ! Je suis couché sur le ventre. Je peux ainsi me frotter sur la roche en restant parfaitement dissimulé. Christelle sait que je surveille la situation. Que je sécurise.

Il y a plusieurs minutes qui passent ainsi. Notre peintre doit expliquer ses techniques. Il montre la surface de la toile. Ça fait un bon quart d'heure. Le téléphone de Christelle est posé à côté de moi. Christelle se lève d'un bond. Elle montre la plate-forme rocheuse où je me trouve en pointant son index. Je donnerais cher pour entendre. Ma compagne d'aventures secoue sa tête à plusieurs reprises comme pour répondre positivement aux questions du vieux peintre. Puis, rapidement, elle tourne des talons. C'est presque en courant qu'elle remonte. << Il m’a proposé de nous rejoindre ici dans une dizaine de minutes ! >> me dit elle à la fois amusée et espiègle. Je me redresse pour la regarder.

Sans même me laisser le temps de répondre, Christelle s’accroupit devant moi pour se saisir de mon sexe. Je suis terriblement excité. La jeune fille joue un moment avec mon érection. Puis, au bout de quelques minutes, elle se met à me sucer. Je reste abasourdi sans comprendre. Elle m'a habitué à des réactions inattendues. Elle s'adonne à cette nouvelle fellation avec une étonnante passion. J’éprouve beaucoup de difficultés à rester debout. Je vacille souvent au risque de perdre l’équilibre. Je suis anxieux. Je suis couvert de sueur. Je me sens vulnérable. Cette fois tout cela se passe sans que nous ne prenions la moindre précaution. J'en fais part à ma complice. Elle glousse.

Là, sur la droite, arrive le vieux peintre. << Elle est sympathique la petite demoiselle, hein ? >> lance t-il en s'arrêtant pour nous observer. Je ne crois pas avoir vécu de situations plus inconfortables dans ma vie. Dans quoi nous emmène ma coquine ? À présent terriblement gêné il ne me reste que l'attente. Mon excitation fait place à la honte. Christelle cesse sa pipe pour observer le monsieur. << Merci monsieur ! >> fait elle en me masturbant doucement. Je ne comprends plus rien. Mon érection a disparu instantanément. Je peux la voir observer avec beaucoup d’attention les réactions du vieil artiste. Ce dernier lance soudain : << Elle va s’occuper un peu du peintre, la petite demoiselle ? >>.

En quelques instants je subis toutes les déclinaisons de la surprise jusqu'à à l'étonnement. En passant par la consternation. Christelle se redresse. Je la sens réservée devant cet homme étrange. C'est la première fois que je la vois intimidée. << J’ai des fourmis dans les jambes ! >> s'écrie t-elle. Est-ce pour faire diversion ? Je m’éloigne pour aller m’asseoir sur un roc. Je m'apprête à me relever et à disparaitre au moindre geste de Christelle. Je ne sais pas vraiment où elle veut en venir. Il y a une grande part d'improvisation. Ce que je n'apprécie pas vraiment. Christelle me rassure d'un sourire plein de compassions. Je m’adosse contre la paroi rocheuse. J’ai là un emplacement privilégié.

Christelle reste immobile. Elle fait des efforts pour soutenir le regard du retraité de la SNCF. Ce qui semble beaucoup l'amuser, ce vieux salaud. Il vit très certainement là un fantasme aussi vieux que lui. Une de ces situations délirantes dont nous rêvons parfois. Christelle peut-être également. Elle m'observe à plusieurs reprises. C'est à elle de faire les premiers pas. C'est elle qui nous a mis là tous les trois. Je suis sans doute le plus gêné. Même si Christelle m'invite à être le spectateur privilégié d'une nouvelle expérience, j'ai l'impression d'être de trop. Pas une seule fois le peintre ne me jette le moindre regard. Le bougre m'ignore complètement. Ce qui rajoute à l'inconfort de ma présence.

Julien



Classe
Christelle
Friday 19 May 2023 11:16

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 25 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Christelle sait m'étonner autant que me ravir

Depuis le lac nous parviennent des rires, des cris. L'ambiance insouciante des vacances au bord de l'eau. Personne ne peut voir ce qui se passe ici. Nous restons parfaitement invisibles. Même aux éventuels promeneurs qui pourraient s'aventurer sur le sentier côtier. Le vieux peintre est debout devant l'escalier naturel qui mène sur la plate-forme rocheuse. Les bras ballants il regarde Christelle avec un sourire évocateur. La jeune fille s’assoit sur le sol, les jambes croisées. De sa main, elle tapote la roche. Une invitation à venir s'installer. Notre retraité SNCF hésite. << Il reste là, lui ? >> demande soudain le quidam, me montrant du doigt. << Oui, il reste là ! >> répond Christelle.

Dans le comportement du vieux peintre, un moment de flottement. Il me regarde. Il regarde Christelle. Cela dure quelques minutes. Je reste sur mon siège de pierre, le dos en appui contre le rocher. L'homme s'agite enfin. Il vient s’asseoir aux côtés de la jeune fille. Je reste silencieux. Je suis vautré sur le rocher qui me sert de siège. À l'ombre j'ai l'impression d'être transparent. Je reste distant. À environ une dizaine de mètres. Notre Picasso reste silencieux. Serait-il mal à l’aise à cause de ma proximité ? Serait-ce par timidité ? Toujours est-il que le vieil homme reste mutique. Christelle tente quelques bons mots. Sans grands résultats. L’artiste se relève péniblement pour s’éloigner.

Surpris, nous le regardons redescendre l'escalier naturel puis le sentier pour rejoindre son chevalet. Là, assis devant sa toile, il paraît introspectif. Abimé dans ses pensées. Ma complice se lève pour me rejoindre. << Tu comprends quelque chose toi ? >> me demande t-elle. Je réponds : << Absolument pas. C'est peut-être à cause de ma présence ! >>. Nous l'observons. << Je descends ! >> lance Christelle après m’avoir embrassé. Je la vois descendre prestement. Je me lève pour venir me coucher à plat ventre au bord de la terrasse naturelle. J'ai la petite paire de jumelles. La jeune fille rejoint le peintre. Elle s'assoit au sol, à ses côtés. Je ne peux pas entendre ce qu'ils se disent.

Je scrute dans les jumelles. J'essaie de lire sur les lèvres. D'interpréter les attitudes, les expressions. C'est frustrant d'être exclu. Au bout de quelques nouvelles minutes Christelle se redresse. Le corps droit elle reste à genoux. Elle pose sa main droite sur la cuisse gauche de l'artiste pour le regarder peindre. L'homme passe sa main gauche dans son dos. Il remonte pour la poser sur sa nuque. Christelle se déplace. Tout en restant à genoux elle vient se positionner entre les jambes du peintre. Ce dernier, à présent beaucoup plus à l’aise, pose ses accessoires au sol. Il baisse la tête. Il me tourne le dos. Je devine qu'il ouvre la tirette de son pantalon. Tout dans son attitude le suggère.

C'est un pantalon d’épais velours brun côtelé. Ça doit être pénible avec ces chaleurs. Mes yeux rivés sur la paire de jumelles j'essaie de comprendre, d'interpréter chaque mouvement. C'est lorsqu'il se lève soudainement, qu'il se tourne pour regarder par ici, que je vois son sexe. Un sexe long et fin qui pend mollement entre les pans de sa blouse. Il a beau regarder il ne peut pas m'apercevoir. Je suis dans l'ombre des feuillages, en hauteur, à une bonne trentaine de mètres. La paire de jumelles grossit huit fois. Je peux donc contempler chaque détail. Je vois surtout Christelle qui observe ce sexe avec étonnement. Notre Rembrandt se rassoit. Sans doute rassuré de me savoir loin.

Christelle, à genoux entre les jambes du vieil homme, rapproche sa tête. Je la vois de face. Une vison parfaite. Elle aussi regarde par ici. Elle non plus ne peut pas m'apercevoir. Mais elle me sait là, à sécuriser sa nouvelle expérience. Mon cœur bat la chamade. Je frotte doucement mon érection sur la roche. Ce sont mes coudes qui deviennent douloureux. C'est sur eux que je prends appui pour tenir les jumelles. Ma complice rapproche sa tête un peu plus. Frustration suprême. Je ne vois plus que le haut de son visage. Je suis obligé de deviner. Le type la tient sous ses cheveux. Probablement par la nuque. De son autre main il caresse son cou. Il se penche pour toucher les seins de la fille.

Impossible de savoir si Christelle suce, si elle lèche ou si elle hume. Les coups que donne mon cœur dans ma poitrine se font de plus en plus violents. Je le sens battre jusque dans mes tempes. Le type se lève péniblement. Il change de position sur son siège pliable. Il n'y a pas de dossier. Aussi il cale le siège contre le tronc de l'arbre à sa droite. Christelle, à quatre pattes, le rejoint. Enfin, j'ai une vue presque parfaite. C'est bien ce que je supposais. Christelle suce. En regardant mieux, je constate qu'elle mâchouille longuement la peau fripée de l’extrémité du sexe du peintre. Comme elle le fait avec le mien. Ce dernier lui caresse la tête tendrement. Cet homme est respectueux. Un gentleman.

Par intermittences Christelle enfonce une grande partie de ce sexe dans sa bouche. Excellente la paire de jumelles. Je peux décrypter les expressions sur son visage. Ses traits traduisent d'ailleurs toujours tellement clairement ses émotions. Il y a toutes sortes d'expressions. Concentrée, les yeux fermés. Étonnée, les yeux ouverts. Amusée les paupières plissées. Là, je découvre une expression curieuse. Une mine mêlant dégoût, étonnement et surprise. Ses joues restant creusées pas la succion. Je comprends. Aucun doute quand à ce qui se passe.

Je connais bien ce que cela provoque chez les suceuses passionnées. Par séquences, Christelle retire le sexe de sa bouche pour le regarder. Elle le contemple avec une grimace. De longs filaments jaunâtres relient sa bouche au prépuce du vieux peintre. La jeune fille lève la tête, le fixe dans les yeux tout comme elle le fait avec moi. Mais là je lis comme un reproche. Un air de dégoût. A plusieurs reprises Christelle cesse sa fellation pour reproduire cet instant de contemplation. Comme si elle analysait les conséquences de ce qu'elle fait. Elle y retourne. Cesse. Recommence. Se retire pour revenir. Je la vois déglutir avec peine. Restant concentrée. Sur ses traits ne se lisent plus que les ravissements.

Un étrange sentiment m'envahit soudain. Une curieuse émotion. Un peu comme une tristesse qui se mêle à l'excitation. Une sensation de traîtrise. Serais-je amoureux ? Mais une autre particularité me frappe soudain. Aucune érection chez le quidam. Le sexe du vieux peintre reste mou. Quand Christelle cesse de sucer, elle le tient à sa base pour le regarder pendre lascivement devant son visage. C'est étonnant. Elle secoue cette chose qui l'éclabousse. Je la vois rire. Le vieux vicelard la tient sous le menton pour lui frotter sa virilité chancelante sur la bouche. Elle garde les lèvres serrées afin d'empêcher la pénétration que veut lui imposer notre Salvador Dali. Ce qui les fait rire tous deux.

Il doit y avoir quantité de sécrétions, voire de "liquide". Le vieux cochon enfonce la totalité de son sexe en appuyant sur la tête de sa suceuse. Christelle en est à chaque fois surprise. Elle tousse. Elle manque s'étouffer. Peut-être pour éviter de vomir elle lutte contre l'étreinte qu'impose le vieux pervers. Quand elle est à nouveau libre de ses mouvements, Christelle déglutit comme si elle buvait au goulot d’une bouteille. Le spectacle est à la fois prodigieux, excitant et étonnant. C'est affolant cette jeune fille de dix neuf ans, à genoux entre les jambes d’un homme qui pourrait être son grand-père. Dans une situation surréaliste. Je découvre que Christelle est une véritable vicieuse.

Mon excitation est évidemment immense. J'en suis submergé jusqu'aux larmes. Elles coulent sur mes joues. Je viens d'en prendre conscience. Cela me rappelle mes voyeurismes de jadis, lorsque mon ancienne compagne disparue se livrait aux mêmes déviances avec de parfaits inconnus. Mais Christine était déjà bien plus "mûre" quand nous nous adonnions à ces jeux. Un léger pincement au cœur rajoute encore à mon ressenti à l'évocation de ce souvenir. Je dois quelquefois cesser de regarder dans l'appareil oculaire. De rester ainsi concentré à scruter me provoque un léger mal de tête. Je cesse une trentaine de secondes et tout revient à la normale. Je peux mâter à nouveau.

La situation dure depuis une bonne demi-heure lorsque Christelle récupère sans doute le résultat de ses efforts. Efforts tous relatifs, tant les traits de son visage reflètent un sentiment d’extase. Les yeux fermés, à savourer le sperme d'un vieux saligaud. Notre peintre à soudain une série de spasmes qui secouent son corps. Il saisit la tête de la jeune fille pour retirer son sexe de sa bouche. J’entends un râle sonore malgré la distance. Notre Léonard de Vinci est sans doute victime d'un orgasme. J'ai peur. Pas que ce type nous fasse un malaise. J'ai une angoisse.

Christelle se redresse. Debout, penchée en avant, elle s’essuie les genoux. Elle essuie également sa bouche d'un revers de la main. Le vieux peintre reprend ses esprits. Heureusement. Ce n'est pas son heure. D’un signe de la main Christelle salue le vieux peintre. C'est comme si elle voulait fuir, elle parcourt la trentaine de mètres en courant. Impatiente de venir me rejoindre. Je me tourne sur le dos en levant mes deux pouces. Comme pour féliciter ma délicieuse complice. Elle se jette sur moi, veut m'embrasser. J'évite au dernier moment. Christelle éclate de rire en voyant mon expression de dégoût. << Excuse-moi, j'avais oublié ! >> lance t-elle en s'asseyant en tailleur. Je me lève.

Je vais jusqu'au petit sac à dos. J'en tire une pomme, un gobelet en plastique et des chewing-gum. Je reviens avec la bouteille d'eau. << Génial ! >> s'écrie Christelle en ayant subitement quelques hauts le cœur. Je m'assoie en face d'elle. Je demande : << Tout va bien ? >>. Christelle fait une horrible grimace avant de déglutir plusieurs fois. << Ça me remonte ! >> arrive t-elle à articuler entre deux accès de toux. Je coupe la pomme en quatre quarts. Christelle les déguste longuement les uns après les autres. Buvant de grandes gorgées d'eau.

Ce sont des chewing-gum mentholés. Je lui tends le paquet. << Quelle bonne idée ! >> me fait-elle en se couchant sur le ventre pour cracher dans le ravin. Elle rajoute : << Beurk, ça remonte de nouveau. Pouahh ! Dégueu ! >>. Je demande : << Tu as eu droit à la "totale" non ? >>. Christelle fait une horrible grimace avant de répondre : << Oui, je crois bien. Quel vieux salaud ! >>. Je rajoute : << C'est toutefois une expérience concluante. Te voilà à présent avec un élément de comparaison ! >>. Christelle saisit mon poignet pour dire : << Un élément de comparaison en ta faveur ! Je préfère avec toi ! >>. Elle se couche sur le dos pour poser sa tête sur mes cuisses. Soulagée.

Elle se redresse en lançant : << Il ne faut pas que je reste couchée sinon ça remonte ! >>? Assise à côté de moi, Christelle me demande : << Tu n’es pas jaloux, vraiment pas ? >>. Je la rassure en signifiant : << Absolument pas ! Si tu savais dans quel état tu m’as mis et le plaisir que j’avais à t’observer ! >>. Ma compagne d'aventures buvant de longues gorgées, mâchant son chewing-gum, me demande encore, espiègle comme à son habitude dans ces moments de complicités extrêmes  : << Dans quel état je t’ai mis moi ? Tu me fais voir ? >

Julien



Classe
Christelle
Friday 26 May 2023 11:02

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 26 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Vers d'autres émotions

Christelle se penche en avant, se met à quatre pattes. Elle palpe la bosse dans mon bermuda. << Tu bandes sévère ! >> lance t-elle. Elle fourre sa main dans ma braguette. Me sortant le sexe ma comparse me masturbe doucement. << Tu es trempé ! >> rajoute t-elle en me montrant ses doigts dégoulinants de liquide séminal. Je me relève pour aller récupérer la glacière sous la cascade. Il est seize heures. Deux yaourts seraient un délice supplémentaire. S’accroupissant devant moi Christelle murmure : << C’est celle-la que je préfère ! >>. Elle malaxe un peu la peau de mon prépuce entre le pouce et l’index en chuchotant : << Je compare ! >>. J'observe cette étonnante jeune fille.

Christelle crache son chewing-gum. Elle a plusieurs mouvements gracieux de la tête. Elle scrute mon sexe sous tous les angles. Mon érection est presque douloureuse. Toutes ces excitations successives vécues cet après-midi m'ont éprouvé. Ma complice se met à sucer. Les pots de yaourts dans les mains, je penche la tête pour dire : << Décidément ! C’est ta journée ! >>. Elle glousse en riant. Je caresse ses cheveux. Christelle, les yeux grands ouverts, la tête relevée, me fixe avec un air terriblement vicieux. Elle reste ainsi quelques minutes. J’éjacule. Un autre yaourt. Mon corps est secoué de spasmes. Je n'en peux plus. Des giclées que je sais abondantes. Ma gourmande déglutit avec peine.

Je la laisse me vider en essayant de garder mon équilibre. Les pots de yaourts dans les mains contre la tête de Christelle. Je suis dans une profonde extase. Mon admiration est immense. La tenant par les cheveux, je la force à se relever. << Tu imagines le "mélange" dans mon estomac ? >> lance t-elle en éclatant de rire. Je la regarde. Je scrute les traits de son visage et les expressions de son regard. Je m'entends dire, un peu stupide : << Tu es une petite salope de rêve ! >>. Je la maintiens fermement par les cheveux. << Oui, je sais ! >> me fait elle, toujours en riant. Je tiens toujours encore les pots de yaourts en passant mes bras autour de sa taille. Christelle qui se blottit très fort.

Nous nous asseyons l'un face à l'autre, en tailleur. La dégustation de nos yaourts à la pêche tombe à propos. Christelle ne cesse de m'observer, silencieuse, par en-dessous. Une expression amusée et très coquine. Je demande : << Dis-moi toute la vérité, rien que la vérité ! C'est ta première expérience ? Le vieux salaud ? >>. Ma comparse cesse de savourer pour répondre : << Je te jure ! C'est la première fois. Mais c'est la conséquence d'un enchaînement de circonstances. Une fois les vacances finies, je retournerai dans ma petite vie rangée et tranquille ! >>. Je sais tout au fond de moi que c'est l'absolue vérité. Elle rajoute : << Sauf que maintenant tu existes dans ma vie ! >>.

<< On va nager ? >> lance Christelle en se levant d'un bond. Je me redresse. Je trouve la suggestion judicieuse. Même si nous sommes à l'ombre, il fait chaud. Nous descendons l'escalier naturel. La vingtaine de mètres du sentier. Nous passons devant le vieux peintre. Le vieil homme dort profondément. Il est couché sur une couverture à côté de son chevalet. Je dis : << Il a besoin de récupérer, le bougre ! >>. Christelle qui rajoute : << Il respire. Tout va bien. il faut qu’il recharge ses batteries ! >>. Ma comparse mime une fellation, son poing fermé qu'elle tourne devant sa bouche. Nous rions. Nous continuons jusqu'au lac. Il fait très chaud au soleil. Nous nous glissons dans l’onde.

L'eau est rafraîchissante. C'est un bonheur d'y tremper nos corps en sueur. Christelle est très tactile. << Si je me noie, tu me fais du bouche à bouche malgré ce que j'ai fait ? >> lance t-elle en nageant à ma droite. Nous sommes à une bonne centaine de mètres de la rive. Nous pouvons voir la plate-forme où se trouvent nos affaires. Pas de soucis. Cet angle du lac, de par sa difficulté d’accès, est peu fréquenté. Ma complice me fait remarquer la dame blonde qui promène ses deux ânes. << Ça fait des heures qu'elle est là. Ou alors elle est revenue ! >> suppose t-elle. Ils vont passer sur le sentier étroit qui passe sous le plateau rocheux. Nous continuons notre balade en brasse tranquille.

Nous nageons longuement. Certainement plus d’une heure. C'est tellement agréable de vivre ces extraordinaires moments de détente. La fraîcheur toute relative de l’eau nous apporte des sensations jouissives. << Je fais pipi dans l'eau ! >> lance Christelle. Elle se rapproche à plusieurs reprises pour me déposer quantité de bises sur la bouche. << Je t’aime ! >> fait elle alors. Je la regarde évoluer dans l’eau. Se mouvoir avec tant de volupté. Aussi gracieuse que dans son élément naturel. Elle se met sur le dos, plonge pour remonter en lançant un jet d'eau. Elle passe sa main sous mon ventre pour glisser jusque dans mon slip. << Je peux jouer avec après ? >> lance t-elle, me massant.

Nous revenons sur la rive après une grande boucle. Nous avons certainement fait le tour de cette partie du lac. En restant longuement à faire des figures au milieu. Nous récupérons nos vêtement sur les cailloux. C'est en les tenant à la main que nous prenons le sentier. Le vieux peintre est entrain de ranger ses affaires. Quand nous passons à proximité, il dit : << Demain je suis là dès huit heures. J'ai besoin de la lumière du matin pour terminer ma toile ! >>. Nous le laissons remballer en le saluant. Nous remontons l'escalier naturel. Il est déjà dix huit heures. << On reste encore un peu tu veux bien. J'adore cet endroit ! >> dit Christelle en étalant le plaid sur la roche. Bonne idée.

Nous voilà allongés. Nous dévorons des pommes bien fraîches retirées de la glacière toujours sous la petite cascade. Couchés sur le dos, épaule contre épaule. Christelle me fait : << Regarde, la dame des ânes est juste en haut, sur l’autre plateau rocheux ! >> Je regarde en clignant des yeux à cause de la luminosité. Effectivement, la dame blonde est assise, les jambes pendantes dans le vide, un peu plus haut sur notre droite. << Les ânes ? Ils sont où les ânes ? >> rajoute ma compagne d'aventures. Je murmure : << Tu sais, ce qui m'importe, c'est ta présence auprès de moi. Les ânes, vois-tu !.. >>. Christelle pose sa main sur mon sexe. << Monté comme un âne ! >> dit elle en riant.

Christelle joue un peu avec cette bosse qui recommence à grossir. De mon bermuda déboutonné elle extrait ma turgescence...

Julien



Classe
Christelle
Friday 2 June 2023 11:19

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 27 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Un concours de circonstances

Je suis allongé sur le dos. Le petit sac à dos comme un coussin sous la nuque. Une légère brise souffle enfin. Elle ne fait pas que remuer les branchages au-dessus de nous. Elle apporte un semblant de fraîcheur. En riant, en observant du coin de l'œil mes réactions, Christelle me touche de façon assez vulgaire. Moi aussi je la regarde avec beaucoup d'attention. Notre complicité est à fleur de peau. Je sais qu’elle le fait exprès car nous sommes regardés. Je tourne à plusieurs reprises ma tête sur la gauche. Là-haut, à une quinzaine de mètres, il y a la jeune femme blonde. Elle aussi semble nous observer avec attention. C’est Christelle qui lui adresse un petit signe de la main : << Bonjour ! >>

Je lève les yeux pour voir sa réaction. La jeune femme répond avec un grand sourire. Elle agite discrètement la main. Christelle tient mon sexe fermement. Je me retrouve donc assez rapidement et une fois encore dans un état d’excitation. En érection. << Oh ! Elle est partie ! >> s'écrie Christelle. Elle secoue mon sexe, le tenant à la base. Je dis : << Tu lui as fait peur avec tes "manières" ! >>. Nous n’éclatons de rire. << Je t’aime ! >> est la seule réponse de ma coquine qui accélère sa masturbation. Je me cambre. Creusant mes reins, pour lui offrir une meilleure prise. Ma compagne d'aventures me manipule des deux mains. Ce regard par en-dessous qui en dit long. Vingt centimètres.

Soudain, là, sur la gauche, un bruit dans les arbustes. La jeune femme déboule. Elle s’arrête à quelques mètres. Cette belle personne doit avoir trente cinq ans. Blonde. Vêtue d'un bermuda noir assez moulant. Un T-shirt crème. Des baskets. Ses longs cheveux blonds noués en deux fines tresses fixées des deux côtés de la tête. << Je peux m’asseoir un peu avec vous ? >> demande t-elle. Je suis mort de honte. Terriblement gêné. Je l’invite à s’installer sur un bout du plaid. Elle s’assoit à environ un mètre de nous. << Je m’appelle Alexine, j’habite la commune à côté et je loue mes ânes à des touristes. Si ça vous tente ! >>. Cette présentation faite, nous nous présentons à notre tour.

Nous échangeons quelques lieux communs. Je cache mon sexe, toujours dans la main de Christelle, sous la serviette mouillée. Nous bavardons. Alexine est ravie d’apprendre la façon dont Christelle et moi nous nous sommes rencontrés. Elle n'est pas moins enchantée de découvrir la complicité qui nous unit depuis maintenant dix jours. Christelle me masturbe. Je découvre qu'elle ne recule devant rien pour me mettre dans des situations embarrassantes. Je reste terriblement gêné d’être ainsi livré aux regards amusés de la jeune femme. Elle ne semble pas se formaliser. Elle comprend certainement. Alexine est plutôt cultivée, bourgeoise et de plus en plus amusée par ce qui se passe.

Mais ni Christelle ni moi ne sommes au bout de nos surprises. Et pourtant cette journée est riche en surprises. Je ne crois pas avoir vécu tant de rebondissements en un seul jour dans mon existence. Alexine, d'une voix qu'elle veut volontairement très mesurée, dit : << Je vous observe depuis quelques heures. J’ai tout vu. Même la pipe au vieux, en bas ! >>. Christelle et moi nous restons consternés, pantois. Nous nous regardons en restant silencieux. Ces aveux, prononcés ainsi, froidement, résonnent étrangement crus. C'est surréaliste. Christelle secoue mon sexe de sa main droite. De sa main gauche elle retire la serviette. Elle dirige mon érection dans la direction de la jeune femme.

Alexine nous regarde avec un sourire équivoque. Elle me fixe. Elle fixe Christelle. Je sens les battements de mon cœur jusque dans mon érection. Mon sexe dur dans la main de ma comparse. Je devine ce qui passe dans sa tête. Nous nous connaissons à présent très bien. Nous restons silencieux. Il est impossible de quantifier le temps. Plusieurs minutes doivent passer ainsi. Sans un mot. Juste la masturbation régulière que m'impose ma coquine. Sous le regard amusé de cette belle inconnue que je découvre très sûre d'elle. Certes, même si ces rencontres sont beaucoup plus faciles pour un couple, il n'en demeure pas moins qu'il faut un certain culot pour l'aborder. Bravo Alexine.

Alexine qui brise soudainement le silence de plus en plus lourd : << Je vous invite à la maison demain, vous mangez avec moi à midi. Puis après on se fait une balade sur les ânes. Ça marche ? >>. Christelle et moi nous nous consultons du regard. Je ne sais pas quoi dire. C’est Christelle qui répond : << Oh oui, avec plaisir. Mais on apporte le dessert ! >>. Alexine, avec un clin d’œil, fixant mon sexe avec envie, lance : << Oui ! Surtout n’oubliez pas le dessert ! >>. Christelle me masturbe franchement et de plus en plus vite. Des deux mains. Elle conclue : << Vous allez vous régaler ! >>. Je reste confus. Ainsi, entre ma compagne d'aventures et cette inconnue, naît une complicité.

Je me redresse. Je m'assois en tailleur. Christelle lâche mon sexe. Elle se lève pour chercher trois petites pommes dans le sachet. Elle revient. Nous savourons tous les trois ce fruit qui n'a jamais semblé aussi bon. Nous restons ainsi à bavarder jusqu’en début de soirée. Alexine nous parle d’elle, de son divorce récent et de son activité. Elle loue des chambres en été, élève quelques animaux et fait parfois visiter la région à des touristes. Christelle m’embrasse souvent. Toute proche de moi pour marquer son territoire. Cela semble exciter considérablement la jeune femme. << Combien d’années de différence ? >> demande Alexine. < Vingt trois ! >> lance Christelle.

C'est comme un défi quand elle précise la différence. Toute fière également. Alexine m'adresse un étrange regard par en-dessous. Comme pour me signifier quelque chose qui m'échappe. Alexine doit nous laisser. Les deux ânes l'attendent. On les distingue au bord de l'eau. Ils broutent peinards. La jeune femme tire une petite brochure publicitaire de sa musette. Sa propriété est facile à trouver. Elle nous donne quelques indications. Rendez-vous est donc fixé pour le lendemain, midi, chez elle. Alexine, en mimant une brève masturbation masculine, nous fait encore : << Bonne soirée et bonne rentrée. Soyez prudents sur la route ! >>. Elle dévale le sentier pour rejoindre ses deux ânes.

Nous rangeons nos affaires. Je porte le sac à dos. Nous tenons la glacière tous les deux. Sur le chemin du retour, Christelle revient sur les évènements de cette journée folle. Elle évoque cette étrange rencontre : << Tu crois que c’est une vraie salope ou juste une salope ? >> demande t-elle. Nous nous arrêtons pour rire. Je ne sais quoi répondre. Je pense à ce contact plutôt insolite. << Si tu n’avais pas été accompagné d’une jeune fille, elle ne serait jamais venue ! >> me précise Christelle. Je dis : << C'est évident ! >>. Ma complice rajoute : << Elle veut de la bite ! Mais elle veut sans doute aussi de la jeune chatte ! >>. Je prends subitement conscience de cette éventualité.

Je n'avais pas du tout envisagé ce cas de figure. Mais maintenant que Christelle en parle je comprends certaines attitudes de la jeune femme. Il est 21 h30. Pas de restaurant ce soir. Nous roulons depuis quarante cinq minutes. Enfin un peu de fraîcheur. Nous arrivons à l'appartement. << Tu en penses quoi de cette histoire ? >> me demande Christelle soudain soucieuse. Elle rajoute : << Et si c’était une tarée ? Une psychopathe ? >>. Je lui montre la brochure donnée par Alexine en répondant : << Je crois plutôt qu’elle est seule. Sa vie doit manquer de piment ! >>. Christelle conclue : << Tu as sans doute raison. En tous cas, on en saura davantage demain ! J'ai hyper faim ! >>



Classe
Christelle
Friday 9 June 2023 11:15

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 28 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Alexine se révèle

Une fois dans la cuisine, après notre douche, nous préparons notre rapide repas du soir. Deux gros avocats avec du thon en entrée. Une baguette coupée en deux dans sa longueur avec de fines tranches de saumon fumé. Christelle boit du coca. Je préfère l'eau plate. Christelle, assise sur mes genoux, savoure sa boisson avec des glaçons. C’est devenu une douce habitude. Elle reste blotti contre moi. Nous faisons le bilan de cette extraordinaire journée. Christelle me confie ses impressions : << Tu sais, quand je suis partie en stop avec ma copine, avant que nous nous séparions, j’avais vraiment le désir de m’éclater et de saisir chaque opportunité ! Avec toi, je suis servie ! Je t'aime ! >>.

J’écoute les confidences de la jeune fille. Je pense être l’heureux privilégié d’une aventure extraordinaire. Je lui fais part de ce ressenti. Nous prenons conscience d’êtres tous deux d'heureux privilégiés. Une heureuse rencontre qui se prolonge dans des concours de circonstances de plus en plus extraordinaires. Christelle m'avoue la profonde sérénité que lui procure nos aventures communes. Après un long silence, elle rajoute : << Cette pipe à un vieux cet après-midi était un fantasme depuis quelques années. Nous avions un vieux voisin qui me montrait parfois sa bite dans le jardin. J’ai donc procédé à une sorte de catharsis. Grâce à ta complicité. Je t’aime ! >>. Je reste béat d'admiration.

Un dernier tour aux toilettes pour Christelle. Je suis couché à parcourir la brochure publicitaire donnée par Alexine. Christelle vient me rejoindre. Elle s'allonge contre moi pour regarder les photos. Il y a une bonne dizaine d'ânes, quelques chevaux. Une écurie. Un petit corps de ferme. Une ambiance bucolique. Sur certaines photos on reconnaît la jeune femme qui nourrit ses bêtes. La respiration de Christelle devient ténue et régulière. Ma délicieuse compagne d'aventures vient de s'endormir. J'éteins la lampe de chevet en essayant de bouger le moins possible. Je m'allonge. Je nous recouvre juste du draps. Christelle doit déjà rêver car je sens quelques mouvements brusques.

Le lendemain matin, une fois encore, je suis réveillé par la quantité de bisous que me dépose Christelle partout sur le visage. La poitrine. L’extraordinaire douceur de ses lèvres qui s’attardent sur les miennes m’enivre déjà dès le réveil. Je passe délicatement mon bras autour de son épaule. << Bonjour, tu as bien dormi ? >> demande t-elle en me chevauchant. << Mmhh ! >> murmure t-elle. Pour profiter de mon érection matinale et d’une rigidité de fer, elle y frotte son sexe. Nous restons ainsi une bonne dizaine de minutes. La jeune fille se retire pour me faire : << Je vais te faire pipi dessus. Viens, on se lève. On prend notre petit-déjeuner et on file ! >>. Il est huit heures du matin.

Le petit déjeuner est copieux. Christelle préfère le thé au café ce matin. Nous revenons sur la journée de hier. La douche. Nous voilà dans la voiture pour neuf heures trente. Le programme de la journée est simple. La propriété de la jeune femme est distante d'une cinquantaine de kilomètres. Autant dire que nous avons tout notre temps. En roulant, Christelle me fait : << Si elle te suce, tu m’aimeras quand même ? Elle est dans ta tranche d’âge cette femme. Elle est belle et seule. J’ai un peu peur ! >>. Je gare immédiatement la voiture sur le bord de la route. La climatisation est un bonheur avec les grosses chaleurs qui s'annoncent encore aujourd'hui. Je prends ma comparse contre moi.

Je caresse sa joue. Je passe mon index sur le bout de son nez. Je la rassure : << Ne t’inquiète surtout pas. S'il doit se passer quelque chose, on va se la "faire" ensemble ! >>. Christelle se met à rire. Elle s'écrie : << Mais je n'ai aucune attirance pour les meufs ! >>. C'est moi qui éclate de rire. Je dis : << J’espère que tu ne vas pas rester avec elle si elle te lèche le minou. J’ai les mêmes raisons que toi d’avoir la trouille ! >>. Christelle fourre sa main dans ma braguette. Mon sexe en main, elle fait : < Tu as fini de dire des conneries aussi grosses que ta bite ! C’est pas bientôt fini ! On s'inquiète sans doute pour rien ! >>. Christelle me tord le sexe en m'embrassant passionnément.

J'avise le bourg sur notre gauche. Nous quittons la départementale pour prendre l'étroite route communale. Il y a des commerces sur la place. "Carrefour City". Parfait. Nous avons la glacière avec ses glaçons à l'arrière. Je gare l'auto sur le parking. C'est sympathique de faire des courses. Il y a cette odeur de petite épicerie alors que c'est tout de même une supérette. Dans le magasin, Christelle s’amuse à s’accroupir dans les rayons pour me montrer son absence de culotte. Nous rions beaucoup. Pour ramener le dessert promis, notre choix se porte sur une belle tarte aux myrtilles. Le rayon des produits biologiques, très bien achalandé, nous permet de faire toutes nos provisions.

Dans la voiture, garée en plein cagnard, sur le parking, nous nous dépêchons de ranger les produits frais dans la glacière. C'est sûr, je vais investir dans une de ces glacières électriques à brancher sur l'allume cigare. Heureusement que la climatisation évite que les glaçons ne fondent trop vite. Nous reprenons la route. Christelle me masturbe lentement. Nous avons tout notre temps. Je peux rouler doucement. Je suis toujours très prudent. Mais en me faisant sucer je redouble d'attention. Parfois, elle s'assoit au sol pour me piper quelques instants. De quoi entretenir mon excitation. Moi, de même, j’ai souvent ma main droite entre ses cuisses. Dehors il fait chaud. Nous sommes "chauds".

Nous arrivons. La propriété est magnifique. Peut-être un peu plus petite qu'elle ne paraît sur les photos de la brochure. L'ensemble est bucolique et d'un charme fou. << C'est magnifique ! >> s'écrie Christelle en lâchant mon sexe. Je le remballe après avoir garé la voiture entre une Jeep et un van. Il est exactement midi. Il y a des poules, des oies. C'est fleuri. L'endroit évoque "la petite maison dans la prairie". Alexine est assise sur l’escalier de sa maison. Elle attend que nous sortions du véhicule pour se lever. Elle vient à notre rencontre. Souriante. vêtue d'une robe d'été. De sandalettes. Aujourd'hui ses longs cheveux sont noués en natte. Sa silhouette est fine et athlétique. Pas grande.

La jeune femme nous fait un sourire merveilleux. Nous nous serrons les mains. << Vous avez trouvez facilement ? >> nous demande t-elle. Nous la rassurons. Tout s'est très bien passé. Alexine nous invite à la suivre. Nous visitons sa propriété. L'écurie cache un petit bâtiment ultra moderne. Il y a là les quatre studios qu'elle propose à la location aux mois d'été. Ils sont tous occupés par des touristes qui ne reviennent que tard dans la soirée. << Si vous revenez dans la région l'an prochain, vous savez que je loue ! >> précise Alexine. Nous la suivons pour retourner vers sa maison. À l'arrière un poulailler, des clapiers et surtout ce magnifique potager. << Ma passion ! >> lance la jeune femme.

<< Comme elle est belle ! > murmure Christelle quand Alexine nous précède pour entrer dans la maison par l'arrière. Christelle a insisté pour que je laisse ma braguette ouverte. Elle chuchote à mon oreille : << Ouvre-là s'il te plaît ! >>. Nous restons dans l'entrée. << Installez vous au salon, c'est à droite. Je suis à la cuisine ! >> lance Alexine. Christelle m'entraîne par le bras. Le salon est meublé à la façon traditionnel des maisons de campagne de la région. Christelle pose sa main sur ma braguette avec insistance. << Ouvre ! >> murmure t-elle. Devant mon hésitation elle s'accroupit devant moi pour descendre la tirette. Elle se redresse immédiatement en disant : << Voilà ! >>

Alexine revient avec un grand plateau. << Prenez place ! >> rajoute t-elle en posant les victuailles sur la table. Elle se rend très vite compte que ma braguette est ouverte. Même si rien n'en dépasse. En général les femmes font plutôt semblant de ne s'apercevoir de rien. Pas Alexine. Se pinçant les lèvres avec un sourire équivoque, Alexine me fixe d'un regard suggestif. Pour bien me faire comprendre qu’elle a remarqué ce "détail". Christelle est accroupie devant le sac à dos posé au sol. Elle fait mine d'y chercher quelque chose. Je comprends que ce n'est qu'un prétexte pour dévoiler son absence de culotte. Mon sang ne fait qu'un tour. Je découvre un autre de ses comportements.

Alexine doit vivre la même émotion que moi. Au même instant. Mais pourquoi donc ma compagne d'aventures a t-elle cette attitude maintenant ? Me viennent à l'esprit ses mots qu'elle prononce tous les matins au petit déjeuner : << < Nous sommes en vacances pour nous éclater et nous n’avons pas de temps à perdre ! Si ça fonctionne pas comme on veut, on se casse. Tout simplement ! >>. Christelle se relève en disant : << Nous ne devrions pas laisser la glacière dans la voiture. Je vais aller la chercher ! >>. Elle file à toute vitesse. Son attitude m'étonne. Peut-être que la présence de cette autre femme la déstabilise. Peut-être est-ce pour se donner de la contenance.

Alexine me laisse seul au salon. Je veux rejoindre Christelle qui revient avec la glacière jaune. Je vois Alexine courir à sa rencontre. Elle se saisit de la glacière. Je les regarde bavarder en traversant la cour. Alexine propose de mettre le contenu de la glacière au frais. J'hésite car il n'est pas prévu de nous attarder. Christelle en tire la boîte contenant la tarte aux myrtilles. Je ramasse le petit sac à dos. Nous avons toutefois prévu d'éventuels vêtements de change, nos affaires de douche. Tout cela est dans l'auto. L’intérieur de la maison est décoré avec goût. C'est faussement rustique. Mais tout est d’une propreté clinique. Une délicate odeur de lavande imprègne l’atmosphère du lieu.

Après nous êtres lavés les mains, nous allons passer à table. Retourner dans le salon. C'est là, devant la porte de la salle de bain qu'Alexine s'accroupit pour ramasser un mouchoir en papier. Elle reste ainsi en disant : << Il faudra que je fasse un peu de ménage un de ces jours ! >>. Je comprends immédiatement que ce n'est qu'un prétexte. Sa manière d'écarter les cuisses, à plusieurs reprises, afin que Christelle et moi découvrions qu’elle non plus ne porte absolument rien sous sa robe pastel aux motifs floraux. Même pas le moindre poil…

Julien



Classe
Christelle
Friday 16 June 2023 11:24

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 29 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Une curieuse expérience

Alexine est assise en bout de table. Christelle et moi sommes installés de chaque côté. Nous dégustons une entrée succulente. Des tomates fraîches, farcies à la purée d’avocat, aux champignons et d’herbes fines. La jeune femme regarde souvent Christelle. Je devine le désir grandissant qui envahit Alexine. Je le constate au fur et à mesure de l’avancée du repas. Nul doute que ma compagne est devenue l’objet de sa convoitise. S'en rend t-elle compte ? Christelle porte sa sensualité à fleur de peau. C'est son pied que je sens caresser le mien. Est-ce un signe ? Il m'est impossible de le traduire. Je n'ai pas les capacités féminines de ressentir ces choses en profondeur. Ce que je déplore.

La conversation reste axée sur les études de Christelle et sur les activités professionnelles d'Alexine. Je reste silencieux car j'aime écouter les échanges. Surtout lorsqu'ils se font dans la subtilité. L'intelligence. Nous en sommes au plat de résistance. À déguster nos tranches de tarte à l’aubergine. Tarte nappée d’un délicieux fromage. Le téléphone qui sonne. Alexine se lève pour aller répondre. Christelle me demande, amusée et coquine : << Tu as compris ce qui se passe ? >>. Elle conforte mes impressions. Alexine est attirée et certainement "intéressée" par la jeune fille. << Attends, on va bien se marrer ! >> me fait encore Christelle. Appuyant son affirmation d’un clin d’œil.

La conversation téléphonique dure cinq minutes. Nous n'y prêtons aucune attention. Christelle caresse ma main. Son pouce et son index en cercle qu'elle glisse comme un anneau autour de mon pouce. Passant sa langue sur ses lèvres de manière délibérément suggestive. Alexine revient s’assoir. << C’était ma collègue. Il faut absolument que je passe chez elle pour seize heures ! > s'exclame la jeune femme avec un air de dépit. Elle hausse les épaules, lève les yeux au ciel avant de rajouter : << Un de ses chevaux est malade. Je m’y connais un peu et si on peut éviter les frais de vétérinaire ! >>. Nous dégustons notre dessert en conversant. Trois belles coupes glacées. Il est treize heures.

A la fin du repas Alexine nous propose de prendre le café au salon. La chaleur du dehors ne nous accable pas dans la maison. Les persiennes baissées des fenêtres de la maison maintiennent une agréable fraîcheur. Les murs épais des anciennes habitations ont un formidable effet thermique. Protecteur. Je connais bien ce phénomène qui existe dans mon ancienne demeure. Alexine nous propose le canapé. Christelle me poussant du coude m’indique le fauteuil. Elle prend place dans le canapé. Alexine s’installe à ses côtés. Les attitudes de la jeune femme ne laissent planer aucun doute. Alexine oriente franchement la conversation. Elle évoque ce qu’elle nous a vu faire hier, au bord du lac.

Christelle, tout en bavardant, amusée, mime soudain une masturbation masculine en me demandant : << Tu n’as pas envie, là, maintenant ? >>. Le souffle soudain coupé, je reste un instant pantois. Je regarde Alexine comme pour un assentiment. Une autorisation. Après tout nous sommes là dans sa maison. D’un signe de la main, avec un sourire, elle m’invite à répondre à la demande de ma compagne. Je dois puiser tout le courage nécessaire tout au fond de moi. Je suis en apnée. Hésitant. Mes yeux plongent dans ceux de la jeune femme puis dans ceux de Christelle. J'y lis comme dans un livre. J'ai le feu vert. J’ouvre ma braguette pour en sortir mon sexe. Un peu stupide.

Alexine écarte les cuisses. Elle reste un instant à regarder mes réactions. Elle finit par me faire : << Là, ça ira tout seul ! >>. Nous éclatons de rire. La jeune femme pose sa main sur le genoux de Christelle qui ne bouge pas. Elle me fixe d'un air conspirateur. Alexine se rapproche même en tentant de l’embrasser. Ma compagne d'aventures détourne le visage. Juste à temps. Nous en avions déjà parlé à quelques reprises ces jours passés, Christelle est aussi hétérosexuelle que moi. L’idée même d’une expérience homosexuelle la fait à chaque fois pouffer de rire. Dommage. Car dans ma psyché de mâle libidineux, l'idée d'assister, voire de participer à des jeux saphiques, me fascine.

Alexine se fait plus insistante, caressant maintenant la cuisse de Christelle. La jeune fille garde les jambes serrées. Comme sur ses gardes. Je me masturbe. L'attitude de ma comparse m'amuse. Autant que sa "danse" surréaliste. Christelle avec ruse et une certaine diplomatie doit s’opposer aux sollicitations d'Alexine. La jeune femme me regarde avec un air interrogatif. Christelle me fait un discret signe de tête pour me faire comprendre de la rejoindre. J'assiste en spectateur et voilà que je suis peut-être invité à participer. À vivre enfin ce vieux fantasme d'homme des cavernes. Mon cœur bat la chamade. Un tambour. Mon érection est presque douloureuse. Mon excitation me fait transpirer.

Je me lève. Je viens me placer devant Christelle. Elle prend immédiatement mon sexe en bouche. Alexine se rapproche encore un peu plus. Avec un geste téméraire, rapide et un peu hésitant, elle pose sa main sur les tous petits seins de Christelle. La jeune fille n’oppose aucune résistance, écartant même largement les cuisses. Alexine ne se fait pas prier pour venir y glisser sa main. La fellation que me prodigue Christelle est absolument délicieuse. Je suis couvert de frissons. J'ai presque froid dans la fraîcheur de cette maison. Dans ce vaste salon.

Christelle attire la tête de la jeune femme en passant son bras autour de son cou. Quittant mon sexe, elle embrasse Alexine. Alexine qui ne s'attendait évidemment pas à la double surprise qui suit. Ce baiser n'est pas innocent. C'est une ruse de Christelle. Je m'en doute immédiatement. Christelle déversant de ma substance dans la bouche d'Alexine. Elle ouvre de grands yeux. Soudain, saisissant Alexine par ses cheveux, Christelle la force a engouffrer ma turgescence. C’était donc "ça" que préparait ma complice ! Alexine, maintenue fermement par Christelle, n’a d’autre choix que de me sucer. Je saisis sa tête pour la "bloquer". La jeune femme ne semble pas particulièrement ravie…

Christelle me fait un clin d’œil et un sourire entendu. Alexine tente par deux fois de se retirer. Impossible. On la tient à deux. Je suis entré totalement dans le jeu de Christelle. Un jeu qui m'excite bien davantage que la fellation peu agréable car contrainte. Christelle se met à genoux sur le canapé en maintenant avec force la tête de la jeune femme. Cette scène absolument surréaliste commence à m’exciter au-delà de tout ce que j'ai vécu jusqu'alors. Christelle fait plusieurs mouvements de tête. Comme pour me faire comprendre quelque chose qui m'échappe. Tout en mimant des crachats. Je fini par comprendre rapidement. J’éjacule dans la bouche d'Alexine. En la tenant fermement.

Avec un effort, poussant un petit cri de dégoût, la jeune femme arrive enfin à se soustraire de l’étreinte de Christelle. << Je déteste ça ! >> hurle t-elle en crachant mon sperme dans sa tasse de café. << Pas moi ! >> s’écrie Christelle en s’emparant de la tasse pour en boire le contenu. Christelle lèche soigneusement l’intérieur de la petite tasse de porcelaine. Alexine reste comme hébétée. Elle s'essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Je n'ai jamais vu une belle blonde faire autant d'horribles grimaces. Elle m'adresse un regard lourd de reproche. Peut-être de haine aussi. Visiblement, c'était Christelle la proie que cette prédatrice voulait dévorer. Elle en est pour ses frais. Frustrée.

<< Je crois que nous allons en rester là ! >> lance Alexine. L’attitude avenant de la jeune femme a fait place à une certaine hostilité. Visiblement, elle est maintenant pressée de nous voir partir. Qu'on dégage. Christelle se lève. J'adore l'expression de satisfaction qui illumine son visage. En fermant ma braguette, je me lève également. Nous nous dirigeons vers la sortie. Christelle m'attrape par la main. Nous parcourons le couloir jusqu'au hall d'entrée. Alexine que nous sentons hargneuse sur nos pas. Nous voilà sur le haut de l'escalier. La chaleur est accablante. . << Adieu ! >> nous fait Alexine en refermant sèchement la porte derrière nous. Christelle se retourne pour tirer la langue.

Une fois dans la voiture nous rions aux éclats. Christelle ne cesse plus de glousser. << Tu as été parfait ! On lui a joué un tour pendable ! Cette vieille salope ! >> s'exclame t-elle entre deux rires. Je réponds : << Oui ! Après tout, elle l’a bien cherché ! >>. Christelle pose sa main sur ma braguette en rajoutant : << Je l’ai vu venir. Et très vite. Avec ses gros sabots ! >>. Je regarde ma compagne d'aventures. Décidément elle ne cesse de susciter un intérêt de plus en plus vif. << Au fait, sa pipe, c’était bon ? >> me demande ma complice. Je réponds : << Bof ! C’était très surfait ! Avec l'ambiance ça devenait même pénible ! >>. Nous sommes pliés de rire. Christelle ouvre mon bermuda.

<< On retourne au lac ? Il y a peut-être le vieux peintre ! >> propose t-elle en fourrant sa main dans ma braguette...

Julien



Classe
Christelle
Friday 23 June 2023 11:21

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 30 - Tous droits réservés - © - 2023 -



La bite tentatrice du vieil artiste

Quelle curieuse envie que de retourner sur les bords de ce lac. Je pose ma main sur la cuisse de ma coquine pour murmurer : << Tu es incorrigible ! >>. Elle répond : << Tu es fâché ? >>. Nous rions. Il est aux environs de seize heures trente quand je gare la voiture au même endroit que hier. Christelle prend le plaid et moi je prends la glacière. Elle me tend ses lèvres afin que j'y colle les miennes. Je la suis. Nous prenons exactement le même chemin, puis le même sentier. C'est très agréable d'évoluer à l'ombre des arbres. Quelle n'est pas notre surprise de découvrir que le vieux peintre est toujours là, assis devant son chevalet. Nous hésitons un instant en restant dissimulés.

<< Go ! >> lance Christelle. On y va franchement. Le vieil homme nous salue. Nous nous arrêtons pour admirer longuement l’avancée de sa toile. À présent, le vieil artiste fignole quelques détails aux pinceaux fins. C’est une œuvre de toute beauté. L'école de Barbizon dans toute sa splendeur. Christelle, serrée contre moi, n’arrête pas de murmurer : << Comme c’est beau ! >>. Je demande au peintre : << À tout hasard votre toile serait-elle à vendre ? >>. Le retraité répond assez sèchement : << Cher monsieur, mes toiles sont destinées à ma galerie. Il faudra y venir en septembre ! >>. Bien évidemment, en septembre nous serons loin d'ici. À presque neuf cent kilomètres pour moi.

À quelque huit cent kilomètres pour ma compagne d'aventures. Christelle garde ma main dans la sienne. Serrée contre moi. Nous contemplons le magnifique travail de cet homme. Il manie ses accessoires avec une maestria étonnante. Sa main ne tremble jamais. C'est avec des gestes sûrs qu'il applique les touches de couleurs. Je découvre qu'il peint lui aussi avec les meilleures peintures au monde. Les tubes de couleurs à l'huile BLOCKX soigneusement alignés dans le coffret posé au sol. Je ne pose pas de questions techniques. Je connais parfaitement les produits qu'il utilise. Christelle caresse mes fesses. Elle passe un doigt sous le tissu de mon bermuda. C'est très agréable.

Nous laissons le peintre pour remonter sur notre petite terrasse naturelle. Il n’y a personne. Je dispose la glacière sous la petite cascade d’eau fraîche. Christelle étend le plaid au sol. Elle se change. De son petit sac à dos, la jeune fille sort une jupette et un T-shirt. J’observe les courbes de son corps fin. Ses tous petits seins ne demandent aucun soutien. Ils sont en liberté sous le léger tissu. Christelle a retiré sa culotte. Je suis un peu frustré car j'aurais volontiers acheté cette toile pour l'offrir à ma complice. Je me promets de réaliser un petit tableau afin de le lui offrir pour son anniversaire. Lorsque j'irai la rejoindre le 18 septembre. Je garde mes pensées secrètes. Ce sera mon cadeau.

La jeune fille vient s’assoir à mes côtés. << Je peux m’offrir du sperme de vieux tu crois ? >> me fait-elle à l’oreille. Je n'ai pas le temps de réaliser ce qu'elle vient de dire. Elle éclate de rire. C'est communicatif. Je la rejoins dans un fou rire. Tout de même un peu étonné je demande : << Tu serais partante pour un second épisode ? >>. Christelle saisit mes deux poignets pour poser mes mains sur ses seins. Elle dit : << Tu m’étonnes ! Et comment ! >>. Elle fouille ma braguette pour en extraire mon sexe. Elle me caresse doucement. << Je peux ? >> me fait encore ma coquine. Je dépose un bisou sur son front en répondant : << Mais éclate-toi un maximum, c’est les vacances ! >>

<< Je t'aime ! >> lance t-elle dans un souffle. Elle pose sa bouche sur la mienne. Un long baiser. Nous nous levons pour aller nous asseoir au bord du rocher. Les pieds dans le vide. Plus bas, à trente mètres, il y a le vieux peintre. Il est concentré sur la finalisation de son tableau. Ce sont les derniers coups de pinceaux. Les plus "précieux". Ceux qui déterminent la qualité de l'ensemble. Il scrute son œuvre avec une grande attention, sa palette sur ses genoux. << Reste-là, je descends ! >> me fait Christelle en se levant. Elle se penche pour murmurer : << Prépare un chewing-gum ! >>. Je la regarde descendre le sentier. Elle arrive auprès de l’artiste. Impossible d'entendre ce qu’ils se disent.

Je vois Christelle accroupie devant le vieil homme. Les cuisses écartées, les coudes posés sur ses genoux. Je peux la voir rire à plusieurs reprises. Le peintre doit lui raconter des choses amusantes. La jeune fille reste ainsi de longues minutes. Malgré son attitude délicieusement provocante, le vieux peintre reste stoïque. Il semble se complaire dans une conversation animée et joyeuse. Mon érection est presque douloureuse. Je suis terriblement excité. Je me couche sur le ventre en tirant la paire de jumelles du sac. Mes coudes en appui sur le bord du rocher, je scrute avec attention. Christelle et le peintre sont à l'ombre du grand parasol. Je donnerais cher pour entendre la nature des échanges.

L'artiste me tourne le dos. Je reste donc concentré sur ses gestes. Toujours prêt à intervenir si la situation devenait critique. Enfin, il écarte les pans de son tablier, ouvre sa braguette et sort son sexe. Il pose sa palette et ses pinceaux sur l'herbe. Il se tourne vers Christelle. Je vois ce qu'il présente à la jeune fille. Le vieux peintre l’agite dans sa direction. Celle-ci, la tête penchée sur la droite, jouant avec ses longs cheveux dénoués, regarde, amusée. Je vois l’artiste qui fait signe avec son index pointé. Christelle se redresse pour venir se mettre à genoux entre les jambes de notre "Gustave Courbet". Elle pose les mains sur ses cuisses. Lui adresse un délicieux sourire. Puis le fixe effrontément.

Mon cœur bat la chamade. Je peux ressentir les palpitations jusque dans mes tempes. Je me frotte sur la roche. Je ne veux rien perdre de la scène et de ce qui va suivre. Pourtant j'ai envie de me masturber plutôt que de me frotter. Pour cela il faudrait lâcher la paire de jumelles d'une main. Ce qui viendrait forcément perturber la qualité de mon voyeurisme. Le vieux peintre tourne la tête pour regarder dans toutes les directions. Il regarde avec insistance vers ici. Il ne peut pas me voir. Les feuillages me cachent. Par contre je ne perds rien de ce qui se déroule là, en contrebas, à une trentaine de mètres. Au loin on peut entendre le rires des baigneurs. Le bruit des plongeons. Les jeux d'eau.

Julien



Classe
Re: Christelle
Friday 23 June 2023 17:39

CandauJoueur69
Homme, 60 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Je suis enfin à jour !

Merci @Oncle-Julien pour ce récit d'une qualité exceptionnelle, tant dans le contenu que dans le style !
On a tous envie de partir en vacances avec Christelle maintenant Mort de rire

Vivement la suite
Christelle
Friday 30 June 2023 12:26

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 31 - Tous droits réservés - © - 2023 -



J'assiste à une récidive

Depuis l’endroit où je me trouve, j’observe. Avec ma paire de jumelles, je scrute. Je suis sur mon promontoire rocheux. Là, plus bas, à environ trente mètres, il y a Christelle. Il y a le vieux peintre également. Ce salaud est entrain de se faire sucer, à 70 balais, par une fille de 19 ans ! De quoi régaler tout le monde, en fait. Lui, Christelle, moi qui mâte et le lecteur plongé dans ce récit. Je suis couché sur le ventre à me frotter. Mon sexe turgescent coincé par mes abdominaux sur la roche. Pas forcément très agréable mais procurant de douces sensations.

Christelle est à genoux. Je ne peux pas voir son visage. Il est enfoui entre les pans de la blouse de notre Picasso. Ce dernier à quelquefois des tremblements convulsifs. J’espère qu’il ne va pas nous faire un malaise. Il a posé sa palette. Il s’est reculé un peu. Il est assis sur sa chaise pliante à dossier. Il semble tenir fermement la jeune fille de ses deux mains posées sur sa tête. Ses mains qui bougent. Ses doigts passant dans la chevelure de sa suceuse. Notre peintre se montre affectueux. Il prend toutefois plaisir à appuyer sur la nuque de Christelle.

Je vois qu’il se penche en avant. Il parle. De là où je suis, je n’entends rien de ce qu’il dit. Par moments, je vois Christelle tenter de se dégager de l’étreinte de ce Léonard de Vinci hétéro. Je peux l’entendre tousser en détournant la tête. Que se passe t-il ? La jeune fille ne manquera pas de tout me raconter à son retour. Elle semble affectionner la description de quelques détails souvent les plus salaces. Je dois me concentrer non seulement pour observer mais pour que la paire de jumelles ne m'échappe pas des mains. Je transpire et elles sont moites.

La situation perdure ainsi une bonne vingtaine de minutes. Notre artiste s’allonge en avant. Il donne quelques coups de hanches assez violents. Il se tient au tissu de sa chaise. Christelle en profite pour pouvoir se dégager enfin. Je la vois, tête penchée sur le côté. Nul doute, elle est entrain de cracher ou pire, de vomir. Je sais pourtant maintenant que de tels extrêmes la passionnent. Quand nous faisons l'amour elle ne manque jamais de me confier à quel point les trucs un peu "dégueux" l'excitent. Peut-être encore davantage après que pendant.

Notre Rembrandt se redresse. Il se lève. Il pisse sur la tête de Christelle qui n’a pas le temps d’éviter les premières salves. Le vieux peintre essaie de se saisir des cheveux de Christelle. Elle s’est redressée. Je suis consterné par ce qui se passe. La jeune fille gifle notre artiste. Ce dernier, continuant de pisser se tient la joue. Christelle s’enfuie en courant. Elle remonte le sentier. Elle trébuche, s'arrête, manque de tomber à deux reprises. Comme aveuglée par la pisse qu'elle essuie de ses doigts. Je l'entends tousser tout en courant. Je la vois cracher.

La voilà qui arrive sur notre plateau rocheux. Ses cheveux et son visage trempé. Des larmes perlent et coulent sur ses joues. Elle se précipite dans mes bras en sanglotant. Je la berce longuement, le menton dans la pisse du vieux salopard. Nous restons ainsi, silencieux. Christelle se calme. Elle enlève son T-shirt et passe sa tête sous l’eau froide de la petite cascade. Elle reste ainsi un long moment. Je me passe également de l’eau sur le visage. Un peu dégoûté quand même ! C'est écœurant. Heureusement que nous pouvons nous rincer.

Lorsqu’elle revient vers moi, elle s’essuie les cheveux avec une serviette. << Un immonde salaud ce type ! Plus jamais avec un vieux ! Quelle horreur ! >> s'exclame t-elle avec un air de profond dégoût. << Voilà, ça y est, je suis vaccinée ! Terminé ! >> s'écrie t-elle encore avant de rajouter : << Tu m’aimes quand même ? >>. Je la rassure. Enfin, sa bonne humeur naturelle reprend le dessus. Je la rejoins dans un éclat de rire homérique. Suspendue à mon cou, je la soulève pour la promener sur toute la surface du promontoire. Plein de bisous.

<< Tout ça m’a ouvert l’appétit ! >> me fait-elle en se levant pour aller récupérer la glacière dans l’eau, sous la cascade. Nous nous préparons des casse-croûtes que nous savourons avec volupté. Vers 19 h30, nous prenons le sentier pour redescendre. Salvador Dali n’est plus là. << Dommage, je lui aurais volontiers dit ma façon de penser quand à ses manières ! Ce vieux pervers ! >> lance t-elle en mordant dans un abricot bien ferme. Nous arrivons à la voiture. Nous roulons. Nous arrivons au petit bourg. La soirée apporte un peu de fraîcheur.

Nous marchons dans les ruelles étroites qui donnent toutes sur la place du village. Il y a une fête folklorique avec un concours de chants. Nous nous asseyons sur les marches de la petite église en dégustant nos cornets de glace. Nous restons ainsi jusqu’aux environs de minuit. Nous prenons la route du retour. Nous arrivons à la chambre pour nous effondrer sur le lit, fourbus, sans même prendre de douche. Grands sales que nous sommes. Christelle, serrée dans mes bras, revient sur son expérience "incontinente" avant de plonger la première en ronflant.

Julien



NOTE
Je remercie les lectrices et les lecteurs qui suivent nos aventures avec plaisir sinon avec passion.

Classe
Christelle
Friday 7 July 2023 11:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 32 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Je suis réveillé par le poids de Christelle. Son corps sur le mien, elle couvre mon visage de bises. << Bonjour monsieur, il est déjà huit heures ! Il va falloir se lever ! >> me fait la jeune fille en riant. Je la serre contre moi, je la fais rouler et c’est moi qui me retrouve sur elle. << Plus que dix jours ensemble ! Tu te rends compte ? >> me fait-elle encore en me faisant basculer une nouvelle fois. Nous nous fixons soudainement. Longuement. Essayant de pénétrer au plus profond de nous-même. C'est un peu comme si je regardais mon avenir. Non pas dans une boule de cristal, ni avec un don de clairvoyance quelconque mais avec la certitude qu'une fois encore j'y laisserais des plumes.

Tout cela est si beau. Tellement merveilleux. Trop beau. Cette étrange impression de voler ce bonheur. De le soustraire à une fatalité qui n'est pas la mienne. Des considérations métaphysiques que semblent deviner ma partenaire qui éclate de rire. Tout en lui faisant quantité de baisers, je murmure : << Nous allons finir par casser ce pauvre lit ! >>. Toute gravité vient de disparaître. Nous nous levons. Je fais tournoyer Christelle dans les airs avant de l'emmener dans la cuisine. Nous préparons notre petit déjeuner. Il est décidé d’aller randonner dans les gorges de l’Ardèche. Nous consultons notre brochure longuement. Nous étudions l’itinéraire tout en savourant notre pain grillé.

Nous sommes tous deux à nous réjouir pour cette nouvelle escapade. Nous prenons notre douche dans une sorte d'euphorie. Vêtus légèrement, il est neuf heures trente quand nous sommes en route. C’est le premier jour où le ciel est couvert. Les nuages ne sont toutefois nullement menaçants. Il fait doux. Le climat idéal pour une marche de plusieurs heures. Dans nos petits sacs à dos, nous avons tout préparé. Je roule lentement. Nous apprécions de pouvoir admirer les splendides paysages qui nous entourent. Christelle pose sa tête sur mon épaule. Nous arrivons au départ du sentier, au "Ranc de l’Arc". Je gare la voiture. Ma compagne d'aventures se blottit contre moi.

Quelques minutes où nous restons tous deux immobiles dans l'auto. C'est comme s'il fallait se faire violence pour sortir de ce silence. Nous nous équipons. Direction les bords de l’Ibie, magnifique rivière argentée sous le gris des nuages qui voilent le ciel. Le chemin est accidenté aussi il est préférable de rester prudents. Christelle serre ma main dans la sienne. Nous reviendrons par le Gour de l’Oule. Ma complice me montre l’Arche sur laquelle elle m’invite à monter. C’est une arche de pierre naturelle. Je demande : << Tu vas m’imposer ma phobie du vide et me mettre face à mon vertige ? >>. Christelle me touche à travers le tissus de ma braguette. Avec un sourire espiègle elle répond  : << J’aime te procurer des vertiges tu sais ! Tu es tellement désarmant quand tu es inquiet ! >>. Je dépose une bise sur le front. Elle sourit.

Nous montons sur l’Arche de pierre. De la haut, effectivement, c’est vertigineux. Vertigineux mais tellement beau. Nous sommes assis à contempler le paysage enchanteur. Un autre couple est assis en contre-bas. << Nous n’avons plus que dix jours. Je veux savourer chaque seconde de ce temps qui passe trop vite ! >> me fait la jeune fille. Je passe mon bras sur son épaule et je la serre contre moi. Je ne sais quoi dire. Elle pose sa tête sur mon épaule pour rajouter : << L'échéance approche inexorablement. Je ne veux plus te quitter. Ce sera trop dur ! Comment vais-je faire sans toi ? Les souvenirs de chaque instant vont me dévorer, me faire souffrir. Me perturber sans cesse ! >>

J'écoute en silence. Les mots qu'utilisent cette jeune fille si lucide sont exactement ceux que je pourrais prononcer moi-même. C'est comme si nous étions télépathes. Nous nous regardons à nouveau gravement. << Pourquoi l'amour fait-il si mal ? >> lance t-elle. Je ne sais quoi répondre. Après cette contemplation méditative, nous nous relevons. Nous nous mettons en marche. Il nous faut faire une boucle de 10 km. C’est certain, aujourd’hui, le soleil restera caché. Il est onze heures trente. Christelle marche devant moi sur le sentier rocailleux. Parfois elle se retourne, revient sur ses pas, me fait des grimaces ou des sourires. Comme elle est belle, grande jeune fille de 19 ans toute frêle.

Je sais tout au fond de moi que cette fragilité n'est qu'apparente. Toutes ces journées déjà passées ensemble m'ont appris à découvrir son caractère et sa volonté. J'observe, admiratif, son déhanché et son pas gracieux. Nous marchons ainsi jusqu’aux environs de treize heures trente. Nous avisons une sorte de tertre rocheux. Christelle se retourne soudain pour lancer : << J’ai faim ! Pas toi ? On s’arrête là pour manger ? >. Il y a là des endroits confortables qui invitent à s'y installer. Nous prenons place au sol. Nous déballons nos victuailles. Nous avons préparé "simple". Des sandwichs au thon, deux tomates crues. Du chocolat noir et des gâteaux secs. Nous mangeons avec appétit.

<< J’aimerais bien "biberonner" un peu, tout à l’heure ! >> me fait ma comparse en mettant sa main dans mon short, le long de ma cuisse. << Tu sais, comme un bébé qui tête ! >> rajoute t-elle encore. Son regard malicieux, par en-dessous, mutin et espiègle me fascine autant qu'il m'amuse. Oui, je suis fou amoureux de cette fille. Je reste silencieux et je la regarde longuement. << Quoi ? >> me demande t-elle au bout d’un long moment. J’ouvre ma braguette et je sors mon sexe turgescent. Je fini par répondre en l'agitant vulgairement : << Oh rien ! Juste une envie de sacrifier à mes penchants "burlesques" ! >>. Christelle éclate de rire en lançant : << J'aime le burlesque tu sais ! >>

Je suis allongé sur les fesses, les coudes en appui sur le sol. Christelle joue avec mon prépuce. Elle le décalotte, fait apparaître le gland, puis le referme. << J’aime ta bite ! C’est ma préférée jusqu’à présent ! >> me fait-elle. Je lui demande : << Tu n’en as pas goûté tant que ça, en fait ! Tu manques d’éléments de comparaison ! >>. Elle me regarde, amusée, avant de me répondre : << Non ! Juste trois ! >>. Je lui tire l’oreille gentiment et avec douceur en précisant : << Il ne faudra pas en rester là ! >>. Nous rions de bon cœur. << Je te promets de faire de longues études ! >> me dit elle encore avant de m’embrasser avec fougue. Elle se couche sur moi pour fouiller ma bouche...

Julien



Classe
Re: Christelle
Thursday 13 July 2023 20:49

CandauJoueur69
Homme, 60 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
Nous non plus, nous n'avons pas envie que ces vacances de rêve se terminent ! Tirer la langue
Christelle
Friday 14 July 2023 11:43

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 33 - Tous droits réservés - © - 2023 -



La douceur extrême d'une fellation passionnée

Christelle se serre contre moi. J'entends sa respiration s'accélérer. Je sens son souffle sur mon visage entre deux effusions. Elle ne cesse de m’embrasser longuement. A tel point que nos bouches, nos mentons sont rapidement trempés. Nos salives se mélangent faisant glisser nos lèvres l'une contre l'autre. Je caresse ses cheveux. Je passe ma main dans sa nuque. Je glisse l’extrémité de mes doigts sur ses joues. Je lisse ses sourcils. Nous sommes une fois encore enivrés de nos douceurs et de nos tendresses. C'est extatique. Et j'en ai des vertiges. Je m'accroche à cette jeune fille autant par mon corps que par mon cœur. J'en prends une fois encore la douloureuse et évidente conscience.

Christelle me chuchote des choses. Elle le fait à si faibles murmures que souvent, je ne comprends pas. C'est une constante dont elle est coutumière et dont elle s'amuse. Mais, prononce t-elle réellement des choses compréhensibles ? Finalement, cela n’a aucune importance. Surtout là, dans l’instant présent. Doucement, la jeune fille me pousse. Je perds l’équilibre. Je me laisse glisser sur le dos. Christelle cesse de m’embrasser. Elle pose sa tête sur ma poitrine. << J'entends et je sens ton cœur ! Il bât aussi fort et aussi vite pour moi ? >> murmure t-elle. Elle se redresse pour poser une nouvelle fois sa bouche sur la mienne. Cette fois pour y faire couler de sa salive. C'est un nectar.

Ma complice s'installe à son aise. Se couche en chien de fusil à mes côtés. Je peux ainsi continuer à caresser sa tête. Sa nuque. J'aime passer mon doigt sur le lobe de son oreille. Elle reste ainsi, silencieuse. Elle joue avec la peau de mon prépuce. Je sens que je suis trempé. Ma compagne d'aventures porte plusieurs fois ses doigts à sa bouche. Cela m’excite encore davantage. Lentement, ménageant sans doute ses effets, Christelle descend jusqu’à prendre mon sexe en bouche. Je suis toujours dans l'attente de la suite de cet évènement particulier. Car, comme à son habitude, Christelle reste immobile. Ses lèvres autour de l'extrémité de mon sexe. Quelques instants. Sa langue bouge.

Une fois encore, sous l’effet de l’indicible caresse, je suis pris de vertiges. Si je n’étais couché au sol, je serais certainement déjà à lutter pour conserver mon équilibre. Christelle se saisit de mes couilles. Elle les tient en faisant un "garrot" de son pouce et de son index. Elle serre. Je l’entends glousser. Sans doute amusée par ce qu’elle est entrain de faire. Ce sont mes spasmes de surprises et de plaisirs qui la font rire. Elle mâchouille maintenant la peau fripée de mon prépuce en gémissant. Sa langue qui tente de s'immiscer sur le gland. C'est surtout le méat qui est sensible à cette exploration linguale. Je découvre que Christelle est en sueur. L'épiderme de son visage glisse sous mes doigts.

Elle enfonce mon sexe davantage dans sa cavité buccale. En poussant un râle de plaisir. C'est chaud, c'est doux. Je me permets une fois encore cette métaphore gastronomique. Un peu stupide. J'ai l'impression d'avoir mon érection dans un bol de purée tiède. Je n'ai pas d'autres comparaisons. Je n'ai toutefois jamais essayé la purée. Une telle douceur. Je sens l’aspiration presque continue. Sa succion est ponctuée de déglutitions fréquentes. Je sens sa langue qui tente de pénétrer mon méat. A présent, Christelle espiègle, me masturbe doucement. Les sensations sont indescriptibles. La douceur est immense. Je tiens sa nuque. Doucement j’appuie sur sa tête, m’enfonçant un peu plus dans sa bouche.

La jeune étudiante pousse un gémissement de surprise. Elle a repris mes couilles qu’elle garrotte avec passion. Je la maintiens par la nuque. Par jeu. Christelle qui ne tente même pas, par jeu également, de se soustraire à mon étreinte. Je l’entends reprendre sa respiration par les narines. Elle pousse de petits cris de ravissements. Comme à mon habitude, je fais durer. Pour le plus grand plaisir de ma jeune suceuse. J'adore dresser l'oreille. Écouter les plus infimes gargouillis. Ses respirations, ses apnées, ses souffles. Ses soupirs participent de cette folle excitation qui me gagne. J'ai l'impression une fois de plus qu'il ne sera pas possible de connaître une gradation supérieure à ma jouissance.

De façon régulière, je saisis les cheveux de Christelle pour retirer sa tête. Cela lui permet de reposer sa mâchoire. Mais j'adore surtout voir les filaments gluants qui relient ses lèvres à mon prépuce. Lorsque ses lèvres me décalottent par passion, je remets la peau bien en place. Elle aime alors y laisser l'extrémité de sa langue avide. Je me tiens le sexe que je passe longuement sur ses joues. Je les macule de liquide séminal. Des premiers spermes qu'il contient. C’est elle qui reprend les choses en main. A chaque fois avec une tendresse plus grande encore. J’éjacule sans bouger. Lâchant toutes mes substances dans un écoulement que je tente de maîtriser. Trois saccades qui secouent tout mon corps alors que je hurle comme un dément. Christelle gémit de contentement. Elle vient de remporter une nouvelle victoire.

Pas un seul instant ma comparse ne se retire. Même si je l'entends déglutir avec difficulté, en toussant. Au contraire, elle enfonce sa bouche sur mon sexe avec insistance. Bien évidemment, nous partons pour un second tour. Christelle se blottit contre moi. Comme un petit animal effrayé, la jeune fille se serre contre moi avec plus de détermination encore. Elle suce avec passion. Je franchis allégrement ce cap de quelques minutes où l'excitation doit revenir. Afin de pouvoir apprécier cette continuité dans toute sa plénitude. Je suis trempé de sueur. À nouveau je caresse la nuque de ma compagne d'aventures. À nouveau je la tire par ses cheveux pour l'observer. Elle sait que je la regarde. Elle en gémit d'aise. Je n’ai plus qu’à me laisser faire…

Julien



Classe
Christelle
Friday 21 July 2023 11:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 34 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Christelle sait se montrer pleine d'initiatives

Nous sommes entrain de marcher sur un sentier escarpé. Le ciel s’est légèrement voilé. Il fait chaud. Il n’y a pas le moindre souffle de vent. Pas la moindre brise. L’enchantement le partage à l'émerveillement. La sérénité que procure la vue, où que l'on porte son regard sur ce paysage magnifique, est des plus reposantes. Nous nous arrêtons d'ailleurs plusieurs fois pour admirer ce spectacle grandiose. Puis nous repartons comme des écoliers rentrant de l'école. Main dans la main. Le bonheur est indicible. À chaque arrêt, nous nous faisons des bises. Christelle et moi nous marchons d’un bon pas. Nous portons nos petits sacs à dos. Ils contiennent nos provisions pour le repas du soir.

Christelle me montre l’étendue des sommets rocheux. << Regarde ! C’est magnifique ! Et en plus nous sommes seuls ! >> me fait-elle avant de se serrer contre moi. Nos corps chauds, une fois encore, s’ajustent comme les pièces d’un puzzle. Nous prenons quelques photographies. Je prête mon épaule en m'accroupissant. Ainsi Christelle y pose son appareil. Elle se concentre. Me chuchote à l'oreille, penchée en avant : << Attention, on ne bouge pas pendant le jingle ! >>. Elle chantonne un instant puis appui. J'entends le déclic. << Dans la boîte ! >> lance t-elle alors. Nous tentons de nous orienter grâce à la carte. Il est dix sept heures. Au loin, il y a le massif du Mézenc.

Nous reprenons notre marche. Quelques arbres rares nous offrent l'ombre de leurs feuillages. Un peu de fraîcheur également. Enfin il y a quelques souffles d’un vent léger et rafraîchissant. Nous percevons le bruit que font les branches au-dessus de nos têtes. Des papillons multicolores virevoltent partout autour de nous. Parfois c'est un bourdon qui erre en tournant autour de nous. Curieux et inoffensif. Nous sommes à flanc d’un ancien volcan. Nous avisons un petit tertre rocheux. Nous avons fait une belle boucle. Il nous reste trois bons quart d’heure avant de revenir à la voiture. Nous regardons, époustouflés, ce paysage sauvage, séculaire. Merveilleuse région que cette Ardèche.

Silencieux, assis sur la roche, nous admirons cet environnement magique. Christelle se lève soudain. Elle se positionne à quelques mètres et s’accroupit en soulevant sa jupette plissée. La jeune fille est face à moi, les cuisses largement écartées, sans culotte. Je suis amusé par ce soudain spectacle que m’offre ma coquine. << Tu viens ? >> lance t-elle, espiègle. Je m’avance à quatre pattes comme un animal. Je me mets à japper, ce qui fait rire la jeune fille. << Tu remues aussi la queue quand tu es content ? >> lance t-elle avant de rire aux éclats. Elle rajoute : << Médor veut de l'eau ou sa pâtée ? >>. Je me redresse pour imiter un canidé faisant le "beau". J'ai l'air d'un vrai con. C'est sûr.

Arrivé devant elle, je me mets à plat ventre en appui sur mes coudes. Je m’apprête à avancer ma bouche entre ses cuisses. Christelle pose alors sa main sur ma tête et me maintient fermement par la nuque. Presque immédiatement elle lâche un jet de pisse qui vient se briser sur mon visage. La jeune fille s’arrête puis recommence. Elle le fait à plusieurs reprises. J’ai un T-shirt de rechange dans mon sac. Je laisse au lecteur d'imaginer ma surprise et mon étonnement. Je ne m'y attendais pas du tout. J'adore les initiatives que peut prendre ma jeune complice mais à l'instant précis j'avoue que c'est surprenant. Une pisse chaude qui me mouille les cheveux. Ça dégouline sur mon visage.

Christelle, sans cesser de pisser m’attire soudain d’un mouvement sec. Elle impose un mouvement de balancier à ses hanches pour se positionner au mieux. J’ai maintenant la bouche pleine de pisse contre son sexe. C’est un liquide chaud qui me dégouline partout. Je veux dire quelque chose. N'importe quoi mais parler. Prononcer un mot. Impossible. La jeune fille me maintient fermement le visage entre ses cuisses. Je lèche, je suce, je suis étonné par cette initiative. Je manque également de me noyer en l'entendant rire de sa farce. << Prank dear Julien ! >> dit elle en imitant mon accent Écossais. Christelle se laisse soudain tomber au sol. Les cuisses écartées, elle se fait brouter.

Cela doit être tellement délicieux qu’il ne se passe même pas cinq minutes. La jeune fille se cambre soudain. Christelle émet un long gémissement qui se termine en râle de jouissance. Elle a son premier orgasme. Elle tente à présent de me repousser. Moi, je lutte un peu. Je veux en savourer encore. Christelle déclare forfait et me laisse déguster une seconde fois. Le mélange indéfinissable des goûts suaves est absolument divin. Sa cyprine s'écoule dans ma bouche évoquant la substance de l'œuf. Je me régale en prenant subitement conscience que moi aussi je gémis. La roche du sol achève de s'imprégner de la pisse de ma compagne d'aventure. Ça sèche dans ma nuque et picotant.

Cette fois, la jeune fille réussi à tenir plus longtemps. Pourtant, je l’entends gémir. J’ai de la pisse qui me dégouline des cheveux. Avec mon index, je joue un peu à l’entrée de son intimité. << Mmhh, j'aime quand tu fais ça ! >> s'écrie t-elle d'un ton passionné. Je suce un peu plus fort. Je cesse pour titiller son clitoris du bout de ma langue. Christelle arrive au plaisir extrême une seconde fois. Elle est couchée au sol. Je suis allongé à ses côtés. Je dois reprendre mon souffle moi aussi. Ce cunnilingus m'a mis en appétit. Christelle reste allongée sur le dos. Elle se met à parler. Ses impressions quand à nos folies à répétitions. Je l'écoute. Je partage ses ressentis. Elle les exprime si parfaitement.

Nous restons ainsi un nouveau quart d’heure. << J’ai faim ! Tout ça m’a ouvert l’appétit ! >> s'exclame Christelle en se redressant. La pisse est sèche. Je retire mon T-shirt dont le haut est encore humide. Je reste torse nu. Nous mangeons avec un nouveau plaisir. Des abricots, des brugnons, des pêches. Les fruits restant nos préférences par ces chaleurs parfois accablantes. Christelle chantonne, me fait des bises. << Je t’aime comme une folle ! Et toi ? >> s'écrie t-elle, aussi surprenante que lors de ses initiatives coquines. Ma complice, soudain d’une extrême gravité, me fixe, tient le noyau de sa pêche entre le pouce et l'index. Je ne sais quoi répondre. Je finis pas dire : << Moi aussi ! Comme un fou ! >>

Julien



Classe
Christelle
Friday 28 July 2023 12:08

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 35 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Aventures sensuelles dans un musée

Ce matin, au réveil, Christelle me chevauche. C'est ainsi qu'elle me sort du sommeil. En riant. << J'aime les différents aspects de nos vacances tu sais ! >> lance t-elle en mitraillant mon visage de bises. Elle frotte son sexe sur ma tumescence. << Aujourd'hui on fait "cul"...turel ! >> rajoute t-elle. Je ris aux éclats. Je caresse ses petits seins. Nos lèvres restent soudées. L'impérieux besoin naturel impose sa loi. Christelle se précipite aux toilettes la première. Quand j'en reviens à mon tour la table est déjà mise. Ça sent bon le café et le pain grillé. Nous prenons notre petit déjeuner en faisant mille nouveaux projets pour la journée. << On se fait un musée ? >> me propose t-elle.

Je trouve la suggestion parfaite. En venant s'assoir sur mes genoux, ma complice me dit : << Mais attention. Je me sens très coquine et déjà pleine d'idées saugrenues ! >>. Je reste silencieux. Je me contente de passer ma main sous son T-shirt. À caresser son dos. Nous prenons notre douche. Pressés de filer, nous ne traînons pas. À peine habillés et nous voilà en route. Il y a environ 50 km jusqu'à l'Aven d'Organe. Classé grand site de France. Un musée et une visite souterraine. De quoi nous réjouir. Je roule doucement. Christelle joue avec mon sexe tout en commentant les paysages qui défilent. Quelques premières gouttes de pluie. Une belle atmosphère bucolique, champêtre.

Il faut attendre dans la file. S'armer de patience. Nous sommes enfin munis de nos billets. Il est préférable de commencer par le musée. << Je te préviens, je suis claustrophobe. J'ai une phobie des cavernes ! >> me fait la jeune fille en me prenant dans ses bras. Christelle m’entraîne par la main. Nous trouvons un coin discret dans une petite salle du musée. Il y a là des marmites en cuivres, des grilles et autres ustensiles pour préparer les châtaignes. Nous n’avons que faire de ce qu’il y a dans cette salle. Nous n’avons plus qu’une envie, qu’un désir, celui de goûter nos bouches, nos salives, de partager nos étreintes. Christelle me plaque contre le mur. C'est dans une porte murée, retirée.

Nous sommes là, serrés l’un contre l’autre, entre deux grandes étagères. Il y a un couple de visiteurs qui passe sans nous voir. Cela nous amuse. J’ai l’envie folle de lécher la jeune fille. J’ai ma main sous sa jupe. De la mouille trempe le bout de mes doigts. J’y goûte. Elle me regarde amusée. Elle passe sa main dans mon pantalon. Je bande comme un dément. Nous pouvons entendre l'argumentaire de la guide qui dirige le groupe de touristes. Des gens s'en éloignent, prennent des photos, retournent dans le groupe. Personne ne nous prête attention. C'est passionnant de vivre ces instants troublants où se mêlent inquiétude, peur d'être vu et excitation procurée par "l'interdit". Le défendu.

Christelle regarde à gauche, à droite, rapidement j’ai la braguette ouverte et mon sexe dans la main bouillante de la jeune fille. << Comment pourrons-nous survivre quand ces vacances seront terminées ? >> me chuchote t-elle à l’oreille. Soudain, mon cœur se brise. Elle sait ce qu’elle vient de commettre. Cela a valeur de "test". Elle me masturbe doucement pour me distraire de tout tourment. Ce n'est pas la première fois que Christelle évoque la fatalité qui nous attend. Parfois lors de moments totalement incongrus comme maintenant. Le plus souvent lorsque nous prenons nos dîners, en soirée. Les restaurants semblent particulièrement propices chez ma complice pour en parler.

Je la caresse. Nous sommes là à nous toucher, à nous masturber discrètement. Je suis convaincu que ce temps pluvieux n’est pas étranger à l’émotion qui nous envahit. Christelle, me chuchote des << Je t’aime >> à me faire fondre. << Il nous reste sept jours ensemble ! >> me fait-elle avec un ton presque dépité. Je la rassure : << Sept jours à savourer chaque seconde ! >> Elle se serre encore plus fort. Gémissant lascivement à mon oreille. J'adore sentir son souffle dans mon cou. C'est toujours une source d'émotion. Une impression pleine de cette indicible sensation qui me procure vertige et frisson. Elle le sait bien ma coquine, depuis le temps qu'elle en joue. Connaissant mes réflexes.

Nous sommes dans notre bulle. Quelque peu dissipés nous avons tendance à ne pas êtres assez vigilants. J’ai le sexe dressé dans la main de Christelle. J’ai ma main sous sa jupe. Un soudain sixième sens me fait tourner la tête sur ma droite. Là, entre le haut panier de rotin et la charrette, la jeune guide nous observe avec un curieux et discret sourire. Elle a vu. Elle regarde. Elle ne cesse de sourire. Il y a quelque chose de l'ordre de la peur qui m'envahit soudain. La jeune fille porte un uniforme qui n'est pas sans évoquer à celui d'un policier. C'est sans doute la cause de cette curieuse impression. Son sourire calme pourtant rapidement mes craintes. Cette employée du Musée se montre comparse.

Christelle tourne également la tête. Les deux filles s’observent en souriant. Christelle agite doucement mon sexe dans sa direction en posant le doigt sur ses lèvres. Ce signe universel qui invite au silence et au secret est reproduit par la jeune guide qui reste ostensiblement là, debout à nous regarder. Presque admirative. Nous ne savons que faire. Ces quelques instants semblent durer une éternité. Je laisse au lecteur d'imaginer l'immense soulagement qui m'étreint. Mais également l'excitation qui me gagne. C'est tout simplement merveilleux de vivre des instants profonds dans le sentiment d'une complicité spontanée. Christelle agite mon sexe vers la jeune fille qui me fixe, souriante.

La jeune guide prend un soudain air de déception. Elle est à son poste de travail. Elle s’en retourne. Nous entendons le bruit de ses pas s’éloigner doucement. << On l’allume ? >> me demande Christelle en me montrant ses doigts mouillés de mon liquide séminal. Je suis terriblement excité. Je lui montre mes doigts mouillés de sa cyprine. Elle est terriblement excitée aussi.  Devant mon désarroi, devant mes interrogations, Christelle saisit ma main. << Viens ! >> me fait-elle. Je remballe. Je me réajuste. Nous tentons de retrouver nos esprits. Surtout moi qui n'ai pas les capacités féminines de changer instantanément d'état mental. Nous changeons de salle. Je cherche la guide du regard. Elle est là-bas, récitant son argumentaire à un groupe d'une quinzaine de visiteurs accrochés à ses lèvres. Elle nous sourit. Discrète.

<< On fait un tour aux toilettes ? >> me fait Christelle en me tirant par la main…

Julien




Classe
Christelle
Friday 4 August 2023 12:21

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 36 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Une rencontre insolite et inopinée

Christelle entre aux toilettes. << Tu attends mon signal ! >> dit elle en me laissant planté là. Je reste interrogatif mais cette étonnante jeune fille m'a déjà réservé tant de surprenantes surprises. Je suis debout devant la porte. Il n’y a personne dans la salle. Il se passe tout au plus deux minutes avant que Christelle ne revienne me rejoindre. << Viens, la configuration des toilettes est absolument superbe ! >> me fait ma compagne d'aventures en m’entraînant par la main. Il y a cette étrange réverbération qu'on retrouve dans la plupart des espaces carrelés. Un phénomène que je trouve souvent déplaisant. Nous pénétrons dans les toilettes. Sur la droite, il y a l’espace homme. On voit quatre urinoirs fixés au mur.

Christelle m’entraîne là, entre le dernier urinoir et le mur. << Reste là, ne bouge pas, je vais faire le guet. Sors-là et prépare-toi ! >> me fait encore la jeune fille d'un ton péremptoire avant d’entre bailler la porte pour pouvoir mâter à l’extérieur. Christelle a passé son temps à beaucoup m'étonner. Au fur et à mesure de ces jours qui passent je la découvre plus espiègle et propice à toutes sortes d’expériences. Je suis admiratif. Et présentement en érection. << Tu ne te branles pas ? Profites en donc ! >> lance t-elle. Je mets l'index sur mes lèvres comme pour imposer le silence. C'est vrai. Il pourrait y avoir quelqu'un dans un des quatre cabinets. En haussant les épaules, Christelle se précipite pour ouvrir chacun d'eux.

<< Tu vois bien qu'il n'y a personne ! >> s'exclame t-elle. Deux nouvelles minutes s’écoulent. Je me masturbe doucement, sans réelle conviction. Christelle m'imite en me faisant des grimaces et des clins d'œil. Elle reste toutefois aux aguets. Coinçant la porte de son pied. Le silence, presque oppressant, se rompt soudain. << Chut ! >> dit elle en mettant l'index sur ses lèvres. Je peux distinguer le pas rapide de la jeune guide. Christelle se dépêche de me rejoindre. Accroupie devant moi, mon sexe en bouche elle me fixe en me faisant un clin d’œil. La jeune guide entre dans les toilettes. Elle nous voit dans cette situation. << Oh ! Pardon ! Excusez-moi ! >> fait-elle en s’avançant vers les lavabos. Christelle continue. Je suis terriblement gêné. Mon cœur bat la chamade. Je suis rapidement couvert de sueur. Je me fais tailler une authentique pipe des familles.

Dans le miroir, tout en se lavant les mains, la jeune guide nous observe. Elle me fait un curieux sourire. Je la fixe. Cette insoupçonnée complicité m’excite à un point démentiel. Je me sens rassuré. Je prends conscience d'être resté en apnée depuis son entrée dans les toilettes. Je respire profondément pour reprendre ma respiration. Je pourrais me mettre à bouger dans la bouche de Christelle. Je fais un effort surhumain pour maîtriser ce désir. Je déteste me laisser aller à la moindre pulsion. Je dois tout contrôler. C’est tellement meilleur ! C'est une émotion très particulière que nous partageons très certainement tous les trois. La jeune guide vivrait-elle à l'instant un vieux fantasme ?

Toujours est-il que la jeune fille fait durer le moment. Je la devine stratège. Sans doute trop heureuse d’être impliquée dans le scénario. Un scénario soigneusement élaboré par Christelle, je m’en rends bien compte à présent. La jeune employée passe longuement ses mains sous la soufflerie du séchoir. Une crainte m'envahit doucement. Je suis de plus en plus inquiet. N’importe qui pourrait arriver. Et c’est toujours dans un tel moment que l’emmerdeur somptueux et universel arrive dans toute sa splendeur ! Christelle ouvre parfois les yeux pour fixer les miens. Je sens mon cœur battre jusque dans mes tempes. Mes mains ont la tremblotte. Après tout, je suis le seul des trois à m'exposer ainsi, aussi "ouvertement".

Curieusement, et fort heureusement, personne n’arrive. Le "jeu" peut continuer. La jeune guide entre dans un des quatre cabinets de toilettes. Mais pourquoi diable dans les WC hommes ? Elle laisse la porte entrouverte. Christelle me fixe. Son air amusé, ponctué de quelques clins d’œil, participe d’une des pipes les plus vicelardes de toute ma vie. J’entends la jeune guide pisser. Elle lâche plusieurs petits jets sonores et puissants. Merveilleux ! Nous percevons même des murmures incompréhensibles. C'est certain, cette jeune fille vit là un moment tout aussi extraordinaire que nous. Une "participation" que je trouve sublime. Je suis obligé de me tenir au carrelage au-dessus de l'urinoir. J'en ai des vertiges.

Je l'avoue, ce sont là quelques minutes d'extases. Il n'y a pas d'autres mots pour définir mon ressenti. Il en va probablement de même tant pour la guide que pour Christelle. Sa fellation est passionnée, profonde, goulue et gourmande. J'entends les gargouillis. La jeune employée tire la chasse. Elle vient s’accroupir devant la porte entrouverte. Mon sang ne fait qu’un tour. Je pourrais éjaculer dans l’instant. La quantité de liquide séminal que provoque mon excitation doit être conséquent car Christelle déglutit avec peine. La situation dure ainsi deux bonnes minutes. La jeune fille se redresse et s’ajuste avant de se diriger vers la porte. Elle disparaît avec un sourire lascif et terriblement vicieux.

Christelle cesse sa pipe. Elle se redresse. Elle me montre l’intérieur de sa bouche. La quantité de filaments de foutre est impressionnante. Elle a du mal à prononcer quelques mots. << Eh bien ! Tout ça t’a mis dans un drôle d'état, vieux vicieux ! >> me fait-elle en déglutissant difficilement. De l'index, je caresse le bout de son nez en disant : << Autant que toi, délicieuse jeune vicieuse ! >>. Nous rions alors que Christelle s'essuie la bouche, que je remballe avec beaucoup de difficulté mon sexe encore turgescent. Dur comme le bois. Ma complice m’entraîne vers la sortie. Au même moment arrive un quidam. C’est l’emmerdeur somptueux qui vient de rater son entrée. Arrivant après les festivités. Tant mieux pour nous…

Nous voilà dans la dernière salle du musée. Je suis dans un état d’excitation extrême. Le musée de la châtaigne, c’est bien, c’est beau, mais la pipe vicelarde c’est beaucoup mieux. Je me contrefiche de la châtaigne ! Mais là, comme de ma première paire de chaussettes. C’est aussi ce que doit se dire la jeune guide qui vient à notre rencontre. Elle nous tend un petit livret de documentation. << Ce sont les musées de la région ! >> nous fait-elle. Je feuillette. Nous avons déjà le même livret. Nous ne le disons pas. La jeune fille rajoute : << Je les ai tous visité. Vraiment je vous les recommande. Un effort est fait au niveau du département pour assurer l'originalité et la nouveauté. Au stylo j'ai fait quelques annotations ! >>.

La guide fait quelques pas avec nous. Marchant à la droite de Christelle qui tient ma main. << Bonne fin de matinée ! >> nous fait la jeune employée lorsque nous arrivons dans le hall d'accueil. << Je retourne à mes visiteurs. Ils m'attendent ! >> lance t-elle avant de tourner les talons. En effet, il y a déjà un groupe de touristes qui s'agglutine devant l'escalier. Christelle me montre le numéro de téléphone écrit au stylo, en haut à droite. Il y a cette petite phrase : << Se revoir serait une excellente initiative ! >>. C'est donc la raison véritable pour nous avoir remis ces livrets. J'adore les vraies vicelardes. Une femme capable de ce genre d'initiative mérite tous les égards. Et ma considération. Christelle m’entraîne vers la sortie. Dehors, le ciel est toujours aussi couvert et gris. Pourtant il fait très doux. Le temps n’est pas menaçant.

Nous prenons la voiture. Nous roulons quelques kilomètres. << On lui téléphone tout de suite à midi ! >> me fait Christelle en cessant de me sucer pendant que je conduis. Nous arrivons dans un petit bourg. Nous sommes morts de faim. << Arrête-toi là, devant le bar, on prend un sandwich et on téléphone d’ici ! >> me signifie Christelle. Je l'attrape par la nuque pour demander : << Elle t'a excité autant que moi ? >>. Ma comparse répond : << Peut-être davantage encore. Mais pas pour ce que tu crois. Tu sais bien que je préfère les mecs ! >>. Je regarde ses lèvres mouillées de mes substances. Il y a une petite perle opalescente de foutre juste au coin de sa bouche. Christelle se regarde dans le miroir de courtoisie pendant que je remballe. << La jeune fille à la perle de Johannes Vermeer ! Tu connais ? >> me dit elle en montrant la "goutte". Je gare la voiture…

Julien (l'auteur de la "perle")



Classe
Christelle
Friday 11 August 2023 12:12

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 37 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Une invitation insolite

Nous sommes assis dans le bar. Nous dégustons deux jus de mangue. C’est Christelle qui prend l’initiative de téléphoner. Elle préfère que nous descendions tous les deux au sous-sol. Dans les toilettes beaucoup plus silencieuses. Mais c'est devant l’entrée de celle-ci qu'il y a une de ces anciennes cabines téléphoniques. Sans doute décorative ou faisant partie d'un objet de collection du patron. La jeune fille s’absente cinq minutes dans les WC femmes. Elle revient avec un large sourire. Son air conspirationniste. Elle m'entraîne par la main pour remonter l'escalier. En s’asseyant, elle me dit : << Nous sommes à la sortie du musée de la châtaigne, en fin d’après-midi, pour dix huit heures ! >>

Elle me raconte la brève conversation avec la guide. J'écoute amusé les métaphores qu'emploie Christelle pour relater certains passages précis de sa conversation. << En tous cas, au téléphone elle est aussi sympa qu'en vraie ! >> précise ma comparse. Elle pose sa main sur la mienne pour me proposer d'aller manger à l'extérieur. Nous décidons de le faire au bord de la rivière que nous avons longé en arrivant. Nous garons la voiture dans l’entrée d’un chemin. Le lieu est désert. Il nous suffit de descendre une dizaine de mètres pour être au bord de l’eau. Le ciel reste obstinément couvert. Il fait doux. Pourtant aucun risque de pluie n’est à craindre. Nous posons nos sacs et ouvrons le plaid.

<< Elle s’appelle Amandine et termine son boulot à 18 h. C’est son job de vacances car elle est étudiante ! >> me confie Christelle à propos de la guide du musée. Nous grignotons nos abricots et nos brugnons en riant de notre aventure dans ce musée décidément pas comme les autres. << Elle te plaît ? >> me demande ma complice en m’observant par en-dessous. J'adore cet air coquin qu'elle prend pour attendre ma réponse. C'est très excitant. Je lui avoue que j’apprécie toujours les belles filles. Et tout particulièrement celles qui ont un esprit d’initiative et qui ne sont pas "coincées". << Mais dis donc, j’en suis la preuve vivante alors ! >> me fait Christelle. Nous rions de bon cœur.

Nous mangeons nos salades, nos tranches de pain grillé et nos morceaux de fromages avec appétit. Nous trouvons l’endroit fort accueillant. De rares voitures passent sur la petite route juste au-dessus. Le chant de la rivière est continu et des plus agréables. Christelle me pousse pour me faire tomber sur le dos. Elle pose sa tête sur ma poitrine. << Je t’aime comme une folle ! >> me fait-elle. << Tu sais que je suis un peu jalouse et avec des tendances possessives quand je suis amoureuse ? >> rajoute t-elle en glissant sa main sur ma braguette pour l'empoigner avec fermeté. Elle pose ses lèvres sur les miennes. Tout en riant nous continuons à mâcher nos bouchées. En nous fixant.

Je lui caresse les cheveux. Nous sommes tous deux silencieux. << Comment vais-je survivre à tout ça, lorsque les vacances seront terminées ? >> me demande la jeune fille en se redressant pour me fixer d'une expression soudain inquiète. Je ne sais quoi répondre car il en va exactement de même pour moi. Nous en parlons presque tous les soirs avant de nous endormir. Un peu comme si cette interrogation récurrente était devenu notre principale source d'inquiétude. << Tu te rends compte, il ne nous reste plus que neuf jours ! >> rajoute t-elle d’un air grave. Je la serre contre moi. Je lui chuchote à l’oreille : << Ne pense pas à des choses tristes ! >>. Elle lance : << Je ne dois pas penser au pire ? >>

Un peu lourd après ce délicieux repas sur le pouce, une torpeur nous gagne. Nous nous endormons ainsi. Christelle allongée à côté de moi. Sa tête sur mon épaule, sa main sur ma braguette qu'elle masse encore quelques instants. J'adore l'entendre respirer de plus en plus régulièrement. D'à peine perceptibles ronflements. Nous sommes réveillés par des voix. J’ouvre les yeux. Là, à quelques mètres de nous, un couple prend des photographies de l’endroit. Ils nous saluent avant de continuer à marcher le long de la rivière. Il est quinze heures. Nous décidons de prendre le chemin du musée. Il est décidé de faire la découverte des environs. Nous y avons vu le départ de quelques sentiers.

Nous réunissons nos affaires. Avec l'esprit quelque peu ensommeillé nous remontons jusqu'à l'auto. Je roule lentement. Christelle s'allonge sur le siège passager. Elle n'est pas grande. Malgré l'inconfort de la position, elle pose sa tête sur ma cuisse. << Je dors encore un peu ! >> dit elle. Je gare la voiture sur le même parking qu’en matinée. Il y a beaucoup plus de monde. Nous partons marcher sur le sentier qui contourne les bâtiments. Le chemin monte. Nous sommes rapidement sur les hauteurs des collines. Nous avons une vue splendide et parfaite. En bas, il y a le bourg dont les toits reflètent le gris du ciel. Vers 17 h30 il est temps de redescendre. Jusqu'au lieu de notre rendez-vous.

Bien en avance d'une dizaine de minutes nous sommes devant le tourniquet pour regarder les cartes postales. La boutique à souvenirs est un centre d’attraction. Il y a un coin bar et une terrasse sous pergolas. Il règne une délicate odeur de crêpes ou de pâtisseries. Les clients bavardent. C'est un peu l'ambiance "bistrot" à l'extérieur. Christelle reste tout contre moi pour feuilleter des albums. Soudain, là, sur notre droite, arrive la jeune fille du musée. << Bonsoir ! C’est super d’être venu ! >> nous fait-elle en nous serrant la main. << J’ai ma voiture là-bas, près de l’enclos, on se suit ? >> nous fait-elle encore en s’éloignant vers ce qui semble être une ancienne petite maison de gardien.

Il y a comme un élan d'impatience chez cette jeune personne. Elle monte dans une petite "coccinelle" d'un vert pâle. Nous allons nous installer dans la nôtre. Christelle caresse ma braguette en me demandant : << C'est comment là dedans ? Tu me montres ? >>. Je démarre. Je reviens en roulant doucement me positionner derrière la Volkswagen. Amandine démarre. Nous la suivons sur quelques kilomètres. Christelle joue avec mon sexe dur comme le bois. Nous arrivons dans la petite cité de Joyeuse. L’endroit est réellement charmant. Nous traversons la commune. Amandine s’arrête devant une maison à deux étages. Elle sort de sa voiture pour nous faire signe de la suivre.

Je gare l'auto à mon tour. Il est difficile de remballer mon "démonte pneu" lorsque celui-ci est en fonction. Sous les rires de Christelle qui me dit : << Nous les filles nous n'avons pas de problème de ce genre ! >>. Nous sortons de la voiture. Nous montons à la suite d'Amandine. << C’est ici que j’habite durant mon mois au musée. C’est l’appartement de mon oncle et de ma tante qui sont en vacances. Venez, entrez ! >> nous fait la jeune fille. C’est un grand appartement lumineux, meublé avec goût. Nous prenons place sur le canapé. Amandine nous propose un thé. Nous préférons de grands verres d’eau. Elle nous laisse un court instant avant de revenir avec une carafe et des verres

Amandine, un genoux à terre, emplit les verres. Elle porte encore sa tenue de travail. Son uniforme de guide. Une jupe droite qui ne facilite certainement pas la position. Elle se redresse pour s'installer dans le fauteuil qui nous fait face. Nous bavardons. Nous faisons connaissance. Les choses sont très simples car Christelle ressemble comme deux gouttes d’eau à la meilleure amie de la guide. Florence. "Flo", étudiante elle aussi. La même université ! Amandine nous montre d’ailleurs des photos. C’est vrai que la ressemblance est frappante. Christelle semble même troublée. Nous sommes tous les trois très à l’aise. Un peu comme si nous nous connaissions depuis quelques temps. C’est agréable.

Après quelques échanges d'impressions quand à leurs études les filles en arrivent à des préoccupations beaucoup plus "signifiantes". << J’aime "voir". J’aime faire ma voyeuse. Et votre attitude au musée ce matin m’a interpellé ! Si vous saviez ! >> nous confie Amandine, tout de même un peu gênée. Nous ne savons quoi dire. Christelle me prend la main. << Chasse gardée ! >> lance t-elle. Les deux filles éclatent de rire. Je ne tarde pas à faire pareil, comprenant ce que cela signifie. << Vous mangez avec moi ce soir. Je vous invite. Je peux regarder ? >> demande Amandine. Christelle et moi nous nous regardons perplexes. << Regardez quoi ? >> demande ma compagne d'aventures.

Amandine hésite un instant. Comme si sa main ne lui appartenait plus, elle mime une rapide masturbation masculine. Elle n'ose plus soutenir mon regard. Cache son visage dans ses mains. Elle fixe Christelle comme pour avoir son assentiment. Christelle me fait du coude en lançant : << Tu attends quoi ? >>. Je sors mon sexe. Christelle écarte ses cuisses. Nous nous contemplons de longues minutes. Amandine nous observe avec attention. Je trouve la situation à la fois surréaliste et cocasse. Une fois encore le destin a placé sur notre route des vacances un personnage atypique ! J’en fais la remarque à haute voix. << Les grands esprits se rencontrent toujours ! >> fait Amandine. Nous rions aux éclats. Un peu gênés.

Julien



Classe
Christelle
Friday 18 August 2023 12:19

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 38 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Le passage d'un état à l'autre

Nous nous observons depuis une bonne dizaine de minutes. Amandine me fixe. J’ai du mal à soutenir son regard. Un curieux sentiment de honte. Un malaise mental dans une situation particulière. J’ai mon sexe dressé hors de ma braguette. Christelle, cuisses largement écartées, semble plus à l’aise que moi. Je passe par toutes ces phases où je suis terriblement gêné. Inhibé comme le serait un adolescent. Il y a d'ailleurs ces mêmes émotions élégiaques de l'interdit. Du moins c'est ainsi que je tente d'analyser ce moment dans toute son intensité. Après tout, je suis là à m’exhiber devant une parfaite inconnue. Dans le plus total consentement et sur sa demande certes, mais je dois en rester conscient pour en jouir pleinement. Le silence est lourd et pesant. Dehors, un puissant coup de tonnerre éclate soudainement.

Un éclair zèbre la pièce où nous sommes installés. Un éclat lumineux d'une extrême puissance. Suivi d’un nouveau coup de tonnerre. C'est comme une succession de roulements de tambour. Un percussionniste fou quelque part dans les cieux qui interprèterait une partition démente. Christelle s’empare de mon sexe. Je suis en érection. Elle me masturbe doucement. Amandine continue de me fixer ostensiblement. Sur son visage grave, je ne peux pourtant aucune autre expression. C’est un sentiment curieux qui m’envahit peu à peu. Qui est cette jeune fille et où veut-elle en venir ? Je ne suis pas véritablement excité mais plutôt terriblement troublé. Peut-être tourmenté par de vieilles inhibitions, des inquiétudes et des interrogations.

Amandine est vêtue de sa jupe bleu nuit, d’un T-shirt blanc sous une veste qui évoque celle d'un uniforme. Il y a même des galons. Elle est chaussée de mocassins noirs à légers talons. Rien dans son attitude ne laisse présager d'un quelconque désir de participation. C'est de l'ordre de l'observation. La jeune fille reste d'ailleurs assise, immobile. L'air grave. Une expression difficilement pénétrable. Je n'arrive pas à l'interpréter. A peine si par instant elle croise les bras ou pose ses mains sur ses cuisses. Christelle me masturbe doucement. Doucement l'excitation me gagne. Je suis à la fois excité et dubitatif. La situation perdure dans un climat plutôt insolite.

<< Vous ne souhaitez pas un thé, un café ou une infusion ? >> nous demande Amandine. << Tisane ! >> lance Christelle en se mettant à genoux à mes côtés devant le canapé où je reste vautré. Amandine se lève pour aller à la cuisine. Nous l’entendons s’affairer. Je demande à Christelle la meilleure attitude pour laquelle nous pourrions opter. << Tout, mais pas la baise devant cette meuf ! >> me chuchote t-elle. Ma complice me fait une bise sur le sexe avant de rajouter : << Mais s'il te plaît, laisse-toi aller. Ce n'est pas que ta queue que je sens raide. Tout ton être semble aussi rigide que ta bite ! Tu as peur de quelque chose ? >>. Je reste médusé. Pantois. Une fois encore ma comparse trouve les mots les plus justes. Pertinents. Je murmure : << Oui j'ai un peu peur ! >>

Amandine revient avec un plateau. Elle dépose trois tasses sur la table basse. Une théière fumante contient trois sachets de verveine odorante. Un petit sucrier en laiton contient des petits cristaux de sucre roux. Amandine reste très près de moi et m’observe avec beaucoup d’attention. Son regard en biais fixe une fois encore le mien. La jeune fille scrute mon visage. Elle a une expression vraiment vicieuse. Je suis toujours aussi gêné. J'essaie de me remémorer toutes les paroles chuchotées par Christelle il y a quelques instants. Un effort de concentration est impossible. Mais l'excitation me gagne. Remporte doucement la victoire sur mes sens. Ma libido m'emplit inexorablement. Telle une cruche à la fontaine.

Amandine retourne s’assoir dans son fauteuil. Le jeu de son regard intense recommence. Christelle tourne souvent la tête pour constater ce manège étrange. Je décide de faire des efforts. Dur. Tenter de surmonter mes dernières inhibitions. Je saisi Christelle par les cheveux. J’approche son visage de mon sexe et la force à le prendre en bouche. Sans doute par jeu, la jeune fille oppose une résistance. De ma main libre je prends mon sexe. Je le passe sur le visage de Christelle en le frottant sur ses joues, ses lèvres, son nez et son menton. Cette acte vulgaire me procure une certaine contenance. Je retrouve lentement le vicieux qui sommeille en moi. C'est même un sentiment plaisant qui m'envahit soudain. Aurais-je gagné ? Très certainement car je m'entends pousser un profond soupir.

Après ce soulagement libérateur, Amandine observe ce que je fais. Ses yeux vont de mon activité à mon regard. La tension presque palpable durant cette première demi-heure cède maintenant sa place à l'excitation. Dans une complicité graduelle que nous pouvons ressentir. C'est libérateur pour tous les trois. Enfin, au bout de quelques minutes, Christelle prend franchement mon sexe en bouche. Je la maintiens fermement par l’arrière de la tête, par ses cheveux. C’est moi qui fixe à présent Amandine avec un air de défi. La jeune fille semble enfin se dérider car elle m’adresse un léger sourire. Christelle me suce. Toujours sous contrainte. En apparence. Car il n'y a nul besoin d'imposer une contrainte quelconque. Ma compagne d'aventures est chaque jour un peu plus passionnée de fellations. Nous jouons.

Amandine, les mains posées sur les accoudoirs de son fauteuil observe la scène parfaitement immobile. Je lâche les cheveux de mon amie intime. A présent Christelle me suce libre de toute contrainte. Je me contente de laisser ma main posée sur sa tête. Je décide de briser ce silence et je demande à Amandine : << Le spectacle est-il à votre goût mademoiselle ? >>. La jeune fille reste silencieuse. Aucune réponse. Par contre, et dans de délicieux frissons qui parcourent mon échine, je peux sentir la succion de Christelle s’amplifier. Je perçois même les tous premiers gargouillis. Des gémissements à peine audibles. Une respiration qui s'accélère par instants. Suivie de difficiles tentatives d'avaler. Parfois un léger toussotement avant qu'elle ne cesse pour enfin pouvoir déglutir.

Je lance à notre voyeuse : << Je suis un grand producteur de liquide séminal ! Un "vignoble" personnage ! >>. Sans me répondre, Amandine esquisse un sourire, le regard par en-dessous, elle lève le pouce de sa main droite. Je suis en apnée pour contrôler la jouissance que m'offre Christelle en gémissant de plus en plus fort. Comme enchantée de ce qu'elle pompe. Amandine m’adresse enfin un sourire franc, redresse la tête pour me fixer d'un air moqueur. Peut-être même avec un soupçon de mépris. Christelle, parfaitement immobile, tente de déglutir avec peine. L’excitation que je suis à subir là produit quantité de substances. Amandine perçoit les efforts de Christelle. Elle m’adresse un nouveau sourire, le regard à nouveau par en-dessous. Terriblement vicieux. Je lui adresse un clin d’œil. Elle me fixe soudain sévèrement.

Je contracte mes muscles fessiers ce qui a pour conséquence de faire bouger mon sexe dans la bouche de Christelle. Cela fait aussi monter quantité de jus. Ma suceuse, sans doute prise au jeu de sa fellation, se met à gémir franchement en déglutissant. Sans chercher à dissimuler sa passion et l'immense satisfaction qui la possède totalement. Amandine semble très intéressée par ce nouvel épisode. Elle me fixe toujours avec autant d’attention. Sans doute désireuse de percevoir mes émotions. Ses yeux inquisiteurs semblent percer jusqu'au plus profond de mon être. Je me sens vraiment nu devant cette jeune fille décidément pleine de curiosité. J'ai connu quelques voyeuses, mais celle-ci remporte la palme académique. Son calme, la sérénité qui émane de sa personne, malgré la situation, participe de mon excitation folle.

Je lui fais un nouveau clin d’œil tout en mimant un mouvement masturbatoire de ma main libre. Je suis là, à me faire pomper par Christelle en mimant un geste masturbatoire devant cette jeune fille qui me scrute avec l’attention d’une entomologiste. << Vous êtes vulgaire monsieur. Dans l’instant présent je trouve ça du meilleur goût ! >> me fait soudain Amandine, brisant le silence. Christelle glousse, sans doute amusée par les mots d’Amandine. Elle reste toutefois passionnée par sa pipe. Je quitte le regard interrogateur de notre voyeuse pour scruter les expressions sur le visage de ma comparse. J'y découvre une expression de félicité totale. Un épanouissement incongru et insolite.

Une fois encore je peux ressentir la succion délicate de Christelle qui s’amplifie. Je m'adresse à nouveau à Amandine : << Une véritable ventouse n'est-ce pas ? >>. Amandine reste silencieuse. Elle se contente de me regarder comme si j'étais le dernier des pervers. Christelle ouvre quelquefois les yeux, lève légèrement la tête pour voir ce que je fais. Elle pousse de tous petits cris de ravissements. Nous pouvons l’entendre glousser de plaisir. Je lâche moi aussi quelques soupirs de bonheur. Je reprends ma respiration après de longues apnées épuisantes. Je souffle comme un bœuf. Je reste concentré à la fois sur la présence d'Amandine et sur l'évolution de cette fellation épique. Cette situation me semble maintenant la plus excitante de ma vie. Jusqu’à la prochaine en n'oubliant pas la précédente, bien évidemment.

Amandine me fixe à nouveau avec sévérité. Un peu comme si elle me reprochait ce qui se passe là, devant ses yeux. Je prends soudain conscience de la vicelarde qui nous observe là ! Moi aussi je la fixe à présent avec sévérité. Je murmure : << Une vraie vicieuse ! >>. Un silence. Je rajoute : << Une véritable voyeuse qui vit là ses préférences ! >>. Toujours aucune réponse. Décidément le mutisme est une des caractéristiques de la jeune regardante. Je lui adresse un nouveau clin d’œil ce qui provoque un nouvel air de faux mécontentement. Visiblement Amandine aime jouer la comédie. Plaçant mon poing fermé devant ma bouche, en tournant lentement le poignet, je mime une fellation. J'agite l'index. Lui faisant signe de venir. Amandine a un mouvement de répulsion et s'écrie : << Vous êtes décidément d’une vulgarité exemplaire ! >>. Je m'exclame : << Ah ! Enfin une réponse ! >>. Amandine fixe la pipe que me prodigue ma complice. En m'ignorant.

Ma main toujours posée sur la tête de Christelle, assise sur une de ses fesses, à ma gauche, je me fais sucer de la plus belle des façons. Quelquefois, en fixant Amandine, entre deux clins d’œil, j’appuie sur la tête de ma pompeuse. Parfois jusqu’à provoquer un mouvement de recul. Quand elle se met à tousser à cause de mes substances au fond de sa gorge. Il y a du jus qui dégouline d'une de ses narines. Est-ce de la morve ou du sperme ? Sans doute un peu des deux. Christelle, en toussant à nouveau légèrement, tente de reprendre son souffle. Je recommence en ne lui laissant qu'un bref instant de répit. Je découvre enfin que notre voyeuse perd un peu de son calme. De petits gestes brusques qu'elle ne contrôle plus vraiment. De légers mouvements de son bassin permettent de mieux comprendre ce qui se passe.

Amandine lutte visiblement contre une sorte de conflit intérieur. L'excitation la gagne inexorablement. Surtout dans les bruits bulleux de plus en plus nombreux qui envahissent l'espace sonore de la grande pièce. Les traits de son visage ne peuvent plus dissimuler l’excitation qui commence à la gagner ouvertement. C’est moi qui lève mon pouce comme pour la féliciter. Amandine tente bien une dernière fois de donner le change. De presque imperceptibles mouvements réguliers agitent son bassin. La jeune fille appuie sur son bas ventre de la paume de sa main droite. Posant l'autre dessus comme pour appuyer plus fort. Je comprends également ce qu’elle tente de dissimuler. L'atmosphère qui règne dans ce salon devient étouffante. Et non pas seulement à cause des chaleurs de ses derniers jours ou de l'orage qui redouble de violence.

Soudain, se projetant en avant, perdant tout contrôle d’elle-même, Amandine, dans un râle profond et longuement modulé, est victime d'un orgasme irrépressible. Son corps agité de spasmes se cabre. Elle retombe au fond de son fauteuil en poussant un cri. Cela ne dure qu’un petit moment. Rapidement la jeune fille reprend sa posture de "coincée". Son air "pincé". Tout cela n'est plus qu'un jeu. Par cette attitude elle le révèle enfin. Une "joueuse" qui a le besoin de faire "l'actrice". Sans doute pour dissimuler l'indicible plaisir que lui procure ses déviances. J’éjacule dans la bouche de Christelle qui pousse un long gémissement de plaisir. J'appuie sur sa nuque Avant de saisir ses oreilles pour la "bloquer".

Christelle, comme à son habitude, reste longuement à pomper le "fond de cuve". Je sais que si je ne retire pas mon sexe de sa bouche, nous repartons pour un second tour. Je force Christelle à revenir s’installer à mes côtés sur le canapé. Nos infusions ont eu le temps de refroidir. Aussi, Amandine nous propose d’en préparer d’autres. Notre vicieuse a retrouvé toutes ces facultés. Tous ses esprits. Alors que Christelle et moi sommes encore dans une toute autre dimension. À tenter de retrouver nos moyens. Amandine quitte la pièce d'une démarche rapide. Fière, droite, le port de tête altier. Christelle se blottit contre moi pour murmurer : << Quelle salope ! >>. Je ne dis rien. Elle enfonce sa langue dans ma bouche.

Julien



Classe
Christelle
Friday 25 August 2023 12:08

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 39 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Christelle reste surprise

Après un nouveau moment de silence où elle nous observe tour à tour, Amandine vient s’asseoir sur le grand coussin posé au sol, à côté du canapé. Christelle s’essuie la bouche avec un mouchoir en papier. Nous sommes tous les trois silencieux. Il y a quelque chose de très étrange. De diffus. Pas seulement l'atmosphère du lieu ou de la situation, mais dans la perception que nous avons de la personnalité de cette jeune fille. Nous dégustons enfin ces infusions bien chaudes. Nous regardons par la fenêtre. Le ciel s’est assombri. Il n’est que vingt heures et il règne une sorte de crépuscule. Soudain, un éclair déchire l’obscurité naissante. Suivit d’un coup de tonnerre d'une puissance inouïe.

<< Enfin un peu de pluie ! Cela fait plus d’un mois qu’il n’est pas tombé une goutte ! >> fait Amandine avec un naturel désarmant. C'est surréaliste d'aborder des lieux communs dans cette ambiance sensuelle. Va t-elle continuer ? Depuis plus de deux semaines que nous sommes dans la région, c’est vrai que c’est la toute première séquence pluvieuse. Christelle se lève pour aller regarder par la fenêtre. Amandine se lève à son tour mais pour venir s’asseoir à mes côtés sur le canapé. Elle m’observe, la tête tournée vers moi. Dehors, la pluie se met à tomber. L'air me semble de plus en plus lourd. La météo n'en est certainement pas la seule cause. Je me sens quelque peu stupide.

Un peu comme le serait un adolescent lors d'une première confrontation réelle à la sexualité. Pour retrouver un peu de contenance, je regarde Christelle. Sa silhouette fine et élancée se détache sur le rectangle de lumière. À contre jour son corps paraît encore plus frêle. Plus fragile. J'en éprouve une émotion. Je regarde également Amandine. Sa proximité troublante. Cette présence pourrait très facilement me déstabiliser. Cette dernière me fixe à présent dans les yeux. Toujours comme un adolescent je dois faire un effort pour soutenir son regard pénétrant. Insistant. Elle a toujours cet air de reproche qui me gêne un peu. Je sais que c’est de la provocation. Je ne sais que faire si ce n’est ranger mon sexe et refermer ma braguette. Amandine observe le moindre de mes gestes avec une grande attention. Très concentrée.

Christelle s’est retournée et nous regarde avec l’air amusé. Elle lève son index pour l’agiter doucement comme pour me tancer ou encore me lancer un avertissement. Je la rassure par un sourire. Amandine continue de m’observer, son visage tourné vers moi. C'est étrange car je découvre qu'elle ne cille jamais des yeux. Ses paupières ne clignent jamais. Ce qui confère à son visage une certaine gravité. Belle mais austère. Distante et pourtant si proche à la fois. Son visage qui est à quelques cinquante centimètres du mien, environ. Je ne perçois aucun souffle. Son excitation de tout à l'heure est-elle retombée ? Je ne comprends pas du tout où elle veut en venir. Comportement énigmatique.

<< Où sont les toilettes ? >> demande Christelle. Cette question rompt un silence pesant. Il n'y a que le crépitement de la pluie sur les rebords de fenêtres, sur le balcon. Amandine se lève et fait : << Suis-moi ! >>. Christelle me fait signe de l’index afin que je l’accompagne. Je la devine soudainement inquiète. Je me lève à mon tour. Amandine en semble un peu contrariée. Est-ce une impression ? Il est difficile de percer les intentions de cette énigmatique jeune fille. Nous nous retrouvons tous les trois dans l’étroit cabinet de toilettes. Christelle remonte sa jupette et descend sa culotte. Sans s’asseoir, cambrée en se tenant à moi, elle se lâche. Amandine, accroupie entre la cuvette et le mur me fixe. Juste le bruit des jets sonores qui tombent dans le fond de la cuvette. C'est surréaliste. Je ne perçois que la respiration de Christelle.

J’ai une soudaine et terrible érection car la situation m’excite à nouveau considérablement. Cela doit être commun à tous les trois. Amandine lâche enfin un profond soupir. Elle mime une masturbation masculine en montrant ma braguette. Elle écarte légèrement ses cuisses. Je distingue enfin le blanc du coton de sa culotte. J'hésite. Je me sens stupide. Presque gêné. Je consulte Christelle du regard. Elle hausse doucement les épaules comme sous le poids de la fatalité. Je sors mon sexe qui est raide et dur. Amandine a toujours ce regard sévère qui me scrute jusqu’au plus profond de moi-même. Christelle semble un peu dépassée par mon initiative car elle me regarde, interrogative.

Je la prends par les cheveux. Je la redresse et tombe à genoux pour lui lécher l’entre jambes. Rien ne m'excite davantage quand une fille m'invite à l'accompagner dans les toilettes. J'adore le cunnilingus. Et tout particulièrement après que la protagoniste ait pissé tout son saoul. Le sexe de ma compagne d'aventures est trempé et goutte encore un peu. Je me régale de cette liqueur. Christelle a une série de soubresauts. Son étonnement doit être considérable. Elle écarte les bras pour se retenir aux murs carrelés de chaque côté. Elle se cambre. J’ai rarement de telles initiatives. J’ai toujours peur que ce ne soit pas le bon moment. Avec les filles c’est parfois si compliqué de savoir…

Christelle pousse de profonds soupirs entre deux gémissements. Ne pouvant lutter contre l'immense plaisir qui l'envahit. Amandine tout en restant accroupie se rapproche. Son visage tout près de mien, elle m’observe lécher le sexe de Christelle. La position est inconfortable car la tête relevée ma nuque devient rapidement douloureuse. Je peux sentir son souffle sur ma joue. Cette proximité et ce souffle chaud m’excitent au plus haut point. Il y a quelque chose d’animal dans le comportement de cette jeune fille éminemment vicieuse. Christelle me repousse doucement après un spasme qui vient de secouer tout son corps. J’ai le bas du visage mouillé. C’est si bon ! Amandine m'observe.

Christelle saisit mes épaules qu'elle empoigne fermement. Me forçant ainsi à me redresser. Je me relève péniblement en faisant des rotations de mon cou endolori. Elle me fait un baiser sur les lèvres. << Ça va ? >> me demande t-elle alors qu'Amandine se relève à son tour en disant : << C'est la position. Pas très zen ! >>. Je prends Christelle par la nuque. Nous sortons des toilettes alors que je la tiens de cette manière. Je la découvre très surprise par mon comportement. Je maintiens fermement ma comparse ainsi. Nous retournons au salon. Amandine nous précède en se retournant souvent pour nous regarder. Elle mime une nouvelle fois une masturbation masculine. Elle paraît passionnée et excitée en me voyant promener Christelle dans son salon maintenue par la nuque. J’en fais plusieurs fois le tour. Le silence.

Dehors la pluie a cessé. Il règne une humidité lourde. Tropicale. Très désagréable car elle rend les vêtements moites. C’est la toute première fois que j’ai ce comportement avec Christelle. Elle semble d'ailleurs beaucoup apprécier. Nous venons sans doute de découvrir une dimension nouvelle. Il est certain que cela est dû à l’attitude d’Amandine. Je tiens Christelle debout à côté de moi. Toujours par sa nuque. De mon autre main je me masturbe devant Amandine. Son regard est alors d’une terrible sévérité. Je suis rarement déstabilisé. Là, je dois reconnaître qu’il m’est impossible de vraiment saisir, dans sa totalité, ce qui se passe réellement dans la psyché de cette étrange jeune fille. Je vais devoir improviser…

Julien



Classe
Christelle
Friday 1 September 2023 11:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - Épisode 40 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Nous attirons les filles étranges

Je tiens Christelle par la nuque. Nous sommes debout, l’un à coté de l’autre devant Amandine. Cette dernière est assise dans son fauteuil. De ma main libre, je réunis les cheveux de ma partenaire pour la tenir ainsi, en catogan. Je la force à s’accroupir. Je découvre une fois encore la propension amusée que manifeste Christelle à se laisser faire. Je reste toutefois étonné par un comportement aussi docile. Ma comparse fait quand même souvent preuve d'une attitude sinon autoritaire au moins déterminée. Je la maintiens fermement par ses cheveux pour la forcer à se mettre à genoux. Cette fois, elle renâcle un peu. Christelle lève la tête pour me fixer d'un regard interrogateur. Incisif et pénétrant.

Une fois ma volonté accomplie j'en rajoute dans l'exigence. Je tire sur ses cheveux pour la faire mettre à quatre pattes. Christelle pousse un petit gloussement que j'interprète comme moqueur. Elle joue pourtant le jeu. Mon admiration va grandissante. Mon érection également. Et à nouveau bien dure. Je la promène ainsi devant Amandine qui m'adresse enfin un sourire. Un sourire aussi franc et sincère que son regard. Oui. Ce sont ces impressions de franchise et de sincérité qui m'interpellent sur l'instant. Qui me rassurent aussi, d'une certaine façon. Amandine a les mains croisées, juste à l'endroit de son sexe, sur sa jupe. A nouveau, en observant attentivement, je peux voir qu’elle exerce une pression rythmée et régulière sur son pubis. Elle se masturbe.

Pas de doute, notre voyeuse se touche discrètement. Je constate une fois encore qu'elle le fait d'une manière élégante. Sans ostentation. Ne le faisant que pour s'offrir un plaisir tactile autant que cérébral. Ce constat participe de mon excitation revenue et grandissante. Je tire les cheveux de Christelle pour la forcer à se remettre sur les genoux. Ce jeu doit beaucoup lui plaire car elle semble ravie. Docile, la jeune fille se laisse parfaitement guider. Le corps à la vertical. Bien droite et fière ma compagne d'aventures me toise. Je viens poser ma braguette sur son visage. Je me frotte quelques instants. J’observe les mains d’Amandine. Pas de doute possible. Je sais ce qu’elle est entrain de faire.

Amandine me fixe à nouveau avec sévérité. C’est insensé. Si ces deux jeunes filles pouvaient se douter du bouleversement qui s'opère dans ma psyché ! Mais, ne s'en doute t-elles pas un peu ? Mes yeux vont de ceux de ma "captive" à ceux de ma voyeuse. Je prends une respiration forte. Je reste en apnée. J’ouvre ma braguette et je sors mon sexe que j’agite doucement dans la direction d’Amandine. L’intensité de son regard, à nouveau d’une sévérité inquiétante, me laisse dubitatif. Elle observe mon sexe longuement. Christelle se demande certainement ce qui se passe. Je la maintiens toujours fermement par ses cheveux. A présent, Amandine me toise aussi avec interrogation.

J’ai presque du mal à soutenir ce regard inquisiteur. Je peux même affirmer qu'il me met mal à l'aise. Je ne fais pourtant rien de mal. Je passe mon sexe sur le visage de Christelle. Tout en faisant cela, pour décrisper son expression inquisitrice, j’adresse un clin d’œil à Amandine. Elle reste à me fixer sans broncher. Imperturbable. C'est moi qui m'interroge à nouveau. Ce comportement est-il vraiment un jeu ? Ou est-ce le naturel de cette étrange fille qui reprend le dessus ? Je place mon sexe dans la bouche de Christelle. Elle oppose une résistance de principe. Je m’y introduis profondément, ce qui semble provoquer un haut le cœur à ma joueuse. Je la maintiens fermement.

Amandine ne peut plus dissimuler le mouvement régulier de son bassin. Il suit exactement le rythme de ses mains qui appuient son bas-ventre. Je lui fais un sourire complice. Soudain, une fois encore, se projetant en avant, avec un rictus, notre voyeuse, tout en poussant un râle profond, connaît un orgasme. C'est sidérant autant qu'émouvant. Je la regarde en essayant d’avoir une expression moqueuse. Comme essoufflée, en proie à un évènement qui la dépasse, qu'elle ne désirait peut-être pas, elle s'écrie : << Stop ! >>. En sueur elle se lève. Ayant sans doute retrouvé ses esprits, elle se redresse de toute sa haute taille. Elle me toise. Elle se touche encore mais pour se réajuster.

<< Stop ! On arrête pour ce soir ! >> fait-elle d’un ton péremptoire. Je me reboutonne. Je lâche Christelle qui se redresse également à son tour. De mon liquide séminal s'échappe de sa bouche. Elle tente de le rattraper de sa main maladroite. Il en coule sur son T-shirt. Notre masturbatrice fait une horrible grimace. Nous n’avons tous les deux plus qu’un seul désir, celui de quitter les lieux. Nous saluons Amandine qui semble soulagée également. << Je vous invite à manger ici, demain soir, si le cœur vous en dit ! >> fait-elle sur le pas de sa porte. Christelle et moi, nous nous regardons. Nous ne répondons pas. Nous prenons congé de cette étrange personne. Sans nous retourner.

Une fois dans la voiture, Christelle, aussi dubitative que moi, me fait : << Elle est vulgaire sous des apparences bourgeoises ! C’est une vraie vicieuse celle-là ! >>. Je reste un moment silencieux. Christelle rajoute : << Tu as compris quelque chose toi ? >>. Je ne peux que faire le même constat que ma complice. Nous rentrons sans cesser d'échanger nos impressions. Je roule prudemment. << Tu crois que c'est une tarée ou elle un autre plan en tête ? >> me demande plusieurs fois Christelle. En évoquant cette curieuse soirée nous n'avons pas de réponse. Christelle dit encore : << On répond à son invitation pour demain soir ? >>. Je propose d'y réfléchir devant un bon repas. Sur la route, un petit restaurant nous attire. Grande maison de maître plutôt sympathique. Une étoile. Nous décidons de nous y arrêter…

Julien



Classe
Christelle
Friday 8 September 2023 12:00

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
- Épisode 41 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Les aveux, les craintes et les confidences

Nous sommes dans la voiture, sur la route du retour. Nous avons apprécié ce délicieux repas dans ce petit restaurant. Nous n'arrêtons pas d'échanger nos impressions sur la qualité des grillades de poissons. Il est déjà vingt deux heures trente. Nous bâillons à nous en décrocher les mâchoires. Ce qui nous fait rire. Christelle, redevenant soudain sérieuse, pose sa main sur ma cuisse en me disant : << Je ne veux pas revoir Amandine. Je ne la sens pas cette fille. J'ai une copine du lycée qui est un peu pareille. Une teigne. Je suis certaine que c’est un "plan" foireux ! >>. Je reste silencieux, méditatif. Je m’en réfère complètement aux ressentis de ma compagne d'aventures. Depuis presque trois semaines j’ai pu apprécier la justesse de ses propos, de ses décisions ou de ses initiatives. Elle s'empresse d'ailleurs de rajouter : << Heureusement qu'elle n'est pas dans la même fac que moi ! Elle s'appelle Désirée en plus ! >>. Nous rions.

Nous arrivons à l'appartement. Dans l'escalier Christelle s'arrête, passe ses bras autour de mon cou pour murmurer : << C'est bien nous deux, hein ? >>. Je la serre contre moi pour chuchoter : << C'est même encore mieux que ça ! >>. Elle enfonce sa langue dans ma bouche. Nous sommes fatigués. Nous faisons une rapide toilette. Christelle se blottit contre moi. Je nous couvre du drap. Ma complice me fait encore quelques confidences sur l'oreiller. Revenant sur l'étrange comportement d'Amandine. Nous nous endormons rapidement. Peut-être moi le premier. Au matin, c’est moi qui ouvre les yeux. Je tourne ma tête sur ma gauche. Christelle est couchée sur le dos. Un léger ronflement, évoquant quelques ronronnements félins, s’échappe de sa bouche ouverte. Je la regarde dormir un long moment. Comme elle paraît fragile. Émouvante. Doucement, avec précautions, pour ne pas la réveiller, je me lève, pressé par un besoin naturel.

<< Tu vas où ? > me fait t-elle en se tournant tout en se cachant sous le drap. << Toilettes ! >> que je lui fais. << Des bisous d’abords ! >> me fait-elle. Je reviens pour m’asseoir à ses côtés. Je lui dépose plein de bises sur le front, sur les joues et même sur le bout du nez. Soudain, jaillissant comme un diable de sa boîte, la jeune fille me prend par le cou pour m’entraîner contre elle en s’écriant : << Plus que cinq jours ! Il faut qu’on profite de chaque instant ! Après je vais être trop malheureuse. Je le sais déjà ! >>. Nous nous levons. Ma comparse m’entraîne par la main. Je la rassure : << Nous gardons le contact. Quoi qu'il arrive. Tu dois penser à ton année universitaire. Tout le reste doit rester très secondaire. Et s'il y a quoi que ce soit tu m'appelles immédiatement ! >>. Christelle tient mon sexe pour en diriger les jets. C'est devenu machinal. Quotidien. Elle me demande : <<Et toi, tu seras comment dans ta tête après nous deux ? >>

Pour toute réponse, je passe mon bras autour de ses épaules. Elle pose sa tête contre ma poitrine en secouant les dernières gouttes. Dehors, le ciel est lumineux. Par contre il reste d’un gris très clair. Il fait doux. Un climat bien plus agréable que les grosses chaleurs des jours passés. Un temps qui avance dans la saison. Nous prenons notre petit-déjeuner en envisageant le programme de cette nouvelle journée. Impossible de se décider véritablement. Nous optons alors pour l’improvisation la plus totale. Après la douche, nous préparons nos petits sacs à dos. Nous prévoyons de partir pour la journée. Une éventuelle randonnée ne serait pas pour nous déplaire. Aussi, dans la voiture nous prenons la direction des montagnes rocheuses. Christelle se montre d’une grande tendresse. Sa tête posée sur mon épaule. Silencieuse. Je sais les pensées qui la rongent. Aussi, pour la faire sourire je parle de mon sexe qu'elle a surnommé "Gros minet".

J'en parle à la troisième personne comme d'un fidèle ami qui nous suit partout. Christelle pose sa main sur ma braguette. << C'est devenu mon meilleur ami. Lui aussi va me manquer ! >> dit elle d'un ton fataliste. Nous rions. Enfin le visage de la jeune fille s'illumine comme aux premiers jours de notre rencontre. Nous avisons le chemin qui quitte la route après la petite chapelle de pierres. Je gare la voiture derrière le sanctuaire qui semble à l’abandon. Nous préparons nos affaires. Une fois encore le soleil sera le grand absent de la matinée. Mais sa douceur reste perceptible car la température est de 25°. Nous marchons sur l’étroit sentier qui s’élève vers les falaises. A plusieurs reprises Christelle s’arrête pour se blottir dans mes bras. Parfois nous nous embrassons longuement. La jeune fille murmure cette même phrase à plusieurs reprises : << Plus que cinq jours ! >>. Je la rassure par mes baisers. Je dis : << Interdiction d'y penser ! >>

<< Viens, on fait l’amour ici, au bord du chemin, il n’y a personne ! >> me fait soudain Christelle. Devant mon hésitation elle saisit ma main pour m’entraîner à une trentaine de mètres, derrière un groupe de bosquets. Je sors le plaid de mon sac. Nous sommes assis à nous caresser. Nous tombons tous deux sur la couverture. Christelle porte une jupette. Elle retire sa culotte, se couche sur le dos en écartant largement ses cuisses. << Prends-moi ! >> me lance t-elle en m’attirant contre son corps. Je retire mon short. Nous nous embrassons avec fougue. Je ne veux pas peser de tout mon poids sur ce corps "modèle réduit". Aussi, je reste en appui sur mes bras. Ma complice s'accroche à mon cou. Ses jambes autour de ma taille. Une fois encore je découvre qu'elle ne pèse vraiment pas grand chose. << Cinquante quatre kilo pour un mètre soixante huit ! >> comme elle le précise parfois. Ses lèvres se collent aux miennes dans un râle.

Je m’introduis dans la fille avec d’infinies précautions. Nous restons longuement sans bouger comme nous aimons tant à le faire. Christelle a découvert cette façon de faire au début de notre relation. D'abord surprise par ce comportement passif, elle s'en est éprise jusqu'à me demander de ne surtout pas bouger. J'aime quand c'est elle qui en prend l'initiative. Le plus souvent mue par les pulsions de son excitation grandissante. Entre les étreintes de nos bouches qui font l’amour comme le font nos sexes, nous nous fixons longuement. Comme pour scruter au plus profond de nous-même. << Je t’aime comme une folle ! Comment je vais faire une fois à la maison ? >> me fait encore Christelle. << Et moi ? >> que je lui réponds pour rassurer ses craintes et lui témoigner du sentiment identique qui m’habite. Nous nous berçons doucement, bougeant lentement. Je déteste toujours les derniers jours d'une merveilleuse et sublime histoire. .

<< Je veux m’accrocher à toutes ces choses, à tous ces souvenirs ! >> me fait encore ma compagne d'aventures en accélérant le mouvement de son bassin. Je cesse complètement de bouger. Je reste profondément en elle, lui faisant profiter de ma formidable érection. La jeune fille tente de tempérer ses ardeurs afin de faire durer ce plaisir qui nous enivre. << Tu voudrais retourner au lac ? Tu sais, le vieux peintre ? >> me chuchote t-elle à l’oreille. Je lui réponds : << Et comment ! Nous laissons là-bas de délicieux souvenirs. Il est temps d'aller les récupérer. Et dès cet après-midi ! >>. Dans plusieurs gémissements, avec quelques propos incompréhensibles, Christelle accélère. Accrochée à moi comme une naufragée à sa branche. Ses lèvres sur les miennes. Sa langue qui s'enfonce. Son souffle sur mon visage avant qu'elle ne rejette sa tête en arrière en lâchant des gémissements de plus en plus rapides, de plus en plus forts. Presque inquiétants.

La jeune fille se cabre soudain. Relevant son buste, elle s’accroche à mon cou en s’écriant : << Je t’aime ! >>. Son orgasme est merveilleux. Prodigieux sans doute. Christelle est agitée de plusieurs spasmes. Elle pousse de profonds râles tout en maintenant sa prise. Je sens ses jambes m’enserrer aussi fort que ses bras. Elle lâche un dernier cri qui se termine en râle profond. Christelle retombe doucement en poussant un profond soupir. Le sourire qu'elle m'adresse dans cet instant restera gravé à tout jamais dans ma mémoire. Il fera partie des grands évènements de mon existence. Aujourd'hui encore, quand j'en parle avec Clémentine, elle me dit : << Tu en as connu des filles dans ta vie ! Je veux que tu me racontes. Je veux tout savoir ! >>. Christelle et moi restons ainsi un long moment. Je lui murmure à l’oreille : << On redescends à la voiture et on file au lac ! Mais c’est moi qui dirige "l’opération" ! >>. Elle saisit mon sexe en disant : << Oh oui ! OK ! >>

Julien


Christelle
Friday 15 September 2023 12:27

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - Épisode 42 - Tous droits réservés - 2023 -



L'inconnu du lac

Nous sommes dans la voiture. Ma charmante passagère n'arrête plus de me caresser doucement. Remontant depuis mon genoux jusqu'à sous mon short. En me chuchotant d'amusantes plaisanteries concernant nos aventures. C'est qu'il y en a déjà un certain nombre. Nous roulons sur cette magnifique petite route. Ma compagne de voyage commente les paysages. Ne manquant pas d'attirer mon attention sur tel ou tel détail. Je ralenti alors encore davantage. Nous nous dirigeons vers le lac St Martial. Il est déjà quinze heures lorsque je gare la voiture le long du chemin. Christelle est impatiente. Elle sort du véhicule avec agilité pour aller ouvrir le coffre. Je la rejoins. Nous préparons nos petits sacs à dos. Tout y est bien en place. Nous nous régalons d’une pomme avant de nous mettre en chemin. Nous prenons le sentier qui nous mène vers le promontoire rocheux.

Nous marchons d’un bon pas durant vingt minutes. Quelques arrêts ou ma complice pose sa main sur ma braguette en murmurant quelques mots que je ne comprends pas toujours. Prononcés si bas qu'ils me sont presque inaudibles. La coquine le fait évidemment exprès, aimant exacerber mes sens. Je la prends par la taille pour l'éloigner de moi. J'adore quand elle se met sur la pointe des pieds, ses lèvres projetées en avant. Nous contournons le lac par la gauche. Nous arrivons au bas de l’espèce de balcon rocheux que nous avions découvert lors de nos précédentes visites. Nous gravissons l’étroit sentier. Nous arrivons à la première terrasse. L’endroit où était assis le vieux peintre. Personne. Nous montons les trente mètres restant pour arriver sur notre "balcon" de pierre. La vue sur le lac est splendide. Les eaux claires reflètent un ciel laiteux, très lumineux. C’est de toute beauté.

Christelle semble un peu dépitée par l’absence du vieux peintre. Nous sommes assis à observer les environs. Nous nous passons la paire de jumelles. Nous scrutons avec attention. Il n’est pas impossible que notre artiste se soit installé à un autre endroit. Ce côté-ci du lac offre les meilleurs points de vues. Pourtant, malgré nos explorations visuelles, force est de constater que le vieux peintre n’est pas dans le coin. Ma compagne d'aventures pose sa tête sur mon épaule. Tout en soupirant, elle me fait : << Tant pis ! >>. Sa main remonte de mon genoux jusque sous mon short. Ça me procure de délicieux frissons. Elle fait cela plusieurs fois en essayant de fourrer sa main plus profondément sous mon short. << C'est con un slip. Ça empêche les explorations ! >> lance t-elle en passant ses deux bras autour de ma taille. Serrée contre moi. Je peux sentir battre son petit cœur.

Nous restons silencieux. Christelle s’empare une nouvelle fois de la paire de jumelles. Elle scrute longuement une portion du littoral. << Ces arbres gênent la vue. Il y a peut-être quelqu'un qu'on ne voit pas ! >>. Un couple de nageurs passent doucement à une centaine de mètres de la rive. Un garçon et une fille. Blonds tous les deux ils bavardent dans une brasse régulière. Même si sur l'eau les sons portent loin nous ne comprenons pas le moindre mot. Nous ne percevons que les rires. Ma complice me pousse du coude et me fait : << Regarde là-bas, près du rocher, entre les bosquets d’arbres, il y a un mec ! >>. La jeune fille me tend les jumelles. Elle guide mes mains en demandant : << Tu le vois ? >>. Je regarde. Plus attentivement. Effectivement, il y a un type assis dans l’herbe. Il bouquine. Il doit être à environ trois cent mètres de là où nous nous trouvons. Christelle reprend les jumelles pour regarder plusieurs minutes.

Nous nous passons la paire de jumelles plusieurs fois. << C’est un mec de ton âge ! On descend voir ? >> me fait ma comparse en me repassant les jumelles. Je regarde avec la plus grande attention. Avec le réglage le plus précis possible. Il me serait bien impossible de donner un âge quelconque à l’individu chauve ou rasé, légèrement bedonnant que je distingue entre les fourrés. Il porte une maillot de bain short. Ma coquine, pendant que je scrute, garde sa main dans mon slip. J'adore sa respiration contre ma joue, mon cou. Christelle se lève soudain pour me tirer par la main. << Viens, j’ai envie de faire des trucs un peu fous ! >> fait elle avant de m’entraîner vers le sentier qui descend. Elle marche très vite, courant presque lorsque le sentier le lui permet. J’ai du mal à suivre. Elle s'arrête, pose ses lèvres sur les miennes. Repart. S'arrête à nouveau. Nous rions.

Nous venons de parcourir deux cent mètres. Nous nous arrêtons. << Prudence ! >> me chuchote Christelle. Nous nous accroupissons derrière des bosquets. La jeune fille tire la paire de jumelles de mon sac. Elle scrute, silencieuse et concentrée. C'est moi qui caresse son dos. Je passe mes bras autour de sa taille. Je pose mes mains sous ses seins. Je passe mes doigts sur les extrémités qui durcissent. Ce qui ne déstabilise pas ma regardante. << Regarde, il s'est mis à poil ! >> me fait Christelle en me tendant l’appareil optique. C’est vrai ! Notre quidam est maintenant nu comme un vers. Il doit être plus âgé que moi. J'étais quadragénaire à cette époque. J'entamais ma quarantaine. Je le fais remarquer à la jeune fille qui me répond : << On s’en fout ! C’est sans doute un vicelard ! Viens ! >>. Je cesse de caresser ses seins lorsqu'elle lance : << Tu sais que c'est bon ce que tu me fais ? >>

Nous nous relevons. Nous avisons le sentier qui descend vers l’endroit où est vautré le type. << Toi, tu restes là et tu mâtes. S’il y a un souci tu viens de suite, OK ? >> me fait Christelle en retirant sa culotte, en ajustant sa jupette et son T-shirt. J'ouvre de grands yeux étonnés. Les initiatives de cette étonnante jeune fille me ravissent plusieurs fois par jour. Je la regarde descendre. J’ai les yeux rivés contre les objectifs de la paire de jumelles. Je m'installe sur le rocher. La jeune fille passe sur l’étroit sentier qui longe le bord du lac. Elle fait mine de ne pas avoir vu l’homme assis là à quelques mètres. Je regarde, concentré et le cœur battant. Je tente un ultime réglage de mes jumelles. Je suis au maximum. Pourquoi n’ai-je pas choisi un plus fort grossissement ? J'évalue la distance. Anticipant l'éventualité où je serais obligé d'intervenir. J'essaie de mémoriser les endroits les plus critiques. Comment les contourner en courant.

L’inconnu a certainement prononcé quelques mots à son intention car Christelle s’arrête. Je ne vois pas ce que fait le quidam car il me tourne le dos. La jeune fille a un air terriblement sérieux et reste silencieuse. Il se passe quelques instants ainsi. Je maudis la trop faible puissance de l'appareil oculaire. Je peux observer les traits de son visage se détendre. Christelle, soudain affable se met à parler. De l’endroit où je suis caché je ne peux rien entendre des propos qui s’échangent là-bas. Christelle, debout au bord de l’eau, de trois quart devant l’inconnu, est immobile avec les bras croisés. Comme elle semble petite, fragile dans sa jupette, son T-shirt. Sa silhouette se détachant sur les eaux reflétant le blanc laiteux du ciel. Je tiens les jumelles d'une main en sortant mon téléphone du sac de l'autre. Je veux absolument prendre quelques photos.

Les deux protagonistes bavardent quelques longues minutes. J’aimerais beaucoup savoir la nature de leurs échanges. Je me contente d’observer. Christelle n’a absolument pas changé d’attitude. Par contre, je vois des sourires de plus en plus nombreux qui illuminent son visage d'ange innocent. La jeune fille, faisant mine de continuer son chemin, adresse un salut amical de la main au type. Avant de disparaître derrière les arbres, elle se tourne vers le mec pour mimer une masturbation masculine. Elle lui adresse un dernier sourire, dit quelque chose avant de s’éloigner. C'est à cette seconde précise que je prends conscience de l'érection douloureuse que je frotte à plat ventre sur le rocher où je suis couché. Et ça fait sans doute quelques minutes qu'il en va ainsi. Tellement concentré sur mon voyeurisme, je ne m'en suis même pas rendu compte. Agréable stimuli qui accompagne le spectacle.

Je vois le type se lever pour venir au bord de l’eau et sans doute pour regarder s’éloigner cette étonnante jeune fille. Il reste ainsi un long moment en se touchant. Il se gratte le crâne d'une main. Il se gratte la raie des fesses. Il se tourne pour se dissimuler derrière un tronc afin de ne pas être vue du couple de nageurs qui repassent. Je distingue son sexe en érection. Il l'agite, se masturbe, cesse, l'agite à nouveau. De taille moyenne mais paraissant vigoureux. La jeune fille, cause de son tourment, a disparu. Et pour cause, elle revient dans notre cachette, essoufflée et ravie. << Quel salaud ! Un vrai vicelard ! Il n’a pas arrêté de se la secouer en me racontant des cochonneries ! >> me fait Christelle avant d’éclater d’un rire silencieux. Je lui tends les jumelles. << Wouah ! Comme il se branle ! Il faisait pareil en discutant, le salaud ! >> me fait-elle encore en riant. Elle découvre rapidement que je fais pareil. << Coquin ! >> lance t-elle.

<< J’y retourne ! >> me fait-elle après m’avoir fait une rapide bise. Elle se redresse d'un bond. Je la regarde s’éloigner à toute vitesse. Je me saisis de ma paire de jumelles…

Julien


Christelle
Friday 22 September 2023 12:21

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - Épisode 43 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Le naturiste grivois

Je regarde Christelle descendre le sentier à toute vitesse. Sa jupette vole dans tous les sens. Je prends peur, la voyant prendre des risques inconsidérés en dévalant la sente pentue. Je croise les doigts. Pourvu qu'il n'arrive rien. En même temps j'évalue la difficulté. Si j'étais amené moi aussi à courir à son secours il me faudrait prendre toutes les précautions d'un joggeur sur terrain accidenté. Elle arrive sur le sentier qui longe le lac à cet endroit. Sans avoir rencontré le moindre souci. Ma complice a ralenti son allure. Elle avance à présent avec précaution. Prudente elle arrive à proximité de notre "naturiste". Christelle contourne le bosquet, restant à distance. Depuis ma cachette je vois presque chacune de ses manœuvres d’approches. Fine stratège la jeune fille repère le type assis dans l’herbe, sur une couverture. Elle est dissimulée derrière les fourrés. Je ne discerne qu'une masse informe de chair au travers des végétaux denses. Touffus.

Christelle reste ainsi de longues minutes sans bouger. Je suis certain qu’elle envisage avec soin la suite des opérations. Le type se lève avec ce qui semble être un poste de radio à la main. La masse de chair a repris forme humaine. Il s’avance au bord de l’eau. La jeune fille, avec la prudence d’un guerrier Sioux, descend lentement la pente en restant hors de la vue du quidam. A une trentaine de mètres de l’inconnu, la voilà accroupie à faire mine de fouiller dans son petit sac à dos. Notre nudiste ne s’est encore aperçu de rien. Il semble absorbé dans l’écoute de son poste à transistor. Appareil qu'il porte à son oreille alors qu'il serait pourtant plus simple de se munir d'écouteurs. Je vois balloter ses attributs virils. Il s'arrête un instant, se gratte les testicules, la raie des fesses. Repart pour s'arrêter quelques mètres plus loin. Ne se doutant pas un seul instant être observé de deux points de vues différents. Il s’avance. Soudain, il voit la jeune fille.

L’inconnu reste sans bouger. Il observe. Christelle se sait bien évidemment observée. Elle porte ses larges lunettes de soleil. Je scrute son visage dans ma paire de jumelles. Pas l’ombre d’un doute, la petite vicieuse louche vers le type. Je le vois bien. Ses yeux juste au-dessus des montures. Elle a les cuisses écartées dans la direction de notre gaillard. Je l’observe. Notre quidam se touche soudain le sexe. Tout en posant son poste de radio au sol. Je peux voir bouger sa bouche. Il doit dire quelque chose. Depuis l’endroit où je suis dissimulé, il m’est impossible d’entendre quoi que ce soit. J'essaie de lire sur ses lèvres, d'interpréter leurs mouvements. Impossible. Christelle a relevé la tête. Elle semble répondre à l’homme qui agite son sexe dans sa direction. Sans bouger, Christelle engage la conversation. Le type reste à sa place. J'admire son self contrôle autant que celui de Christelle. Mon érection déforme mon vêtement.

La jeune fille reste ainsi un moment, échangeant sans doute des propos amusants avec le type. Il se rapproche imperceptiblement. Christelle se redresse, prête à prendre ses jambes à son cou. Je la devine à présent sur ses gardes. Je le vois très bien à son attitude. Son corps se tend comme pour préparer l'élan d'un départ fulgurant. Moi aussi je me prépare à dévaler la pente pour voler au secours de ma comparse. L’homme s’est arrêté et se masturbe doucement tout en conversant. Son attitude est redevenue rassurante. Il n'avance plus. Il montre son sexe de l’index de sa main libre. Je vois Christelle éclater de rire. Je peux entendre l’éclat de son rire sonore. L’inconnu se couche au sol, le sexe dressé il reste ainsi, comme en attente. Une position quelque peu ridicule. La jeune fille s’assoit à quelques mètres. La conversation continue. Je reste prêt à intervenir. Pas question de m'alanguir dans des considérations existentielles et ludiques.

J'ai le désir fou de me masturber. Pour d'évidentes raisons de sécurité je préfère m'abstenir. Je calcule bien mon coup si je dois descendre en courant. Mes craintes sont peut-être inutiles. À maintes reprises Christelle éclate de rire. Le type doit beaucoup l’amuser. J’aimerais beaucoup savoir ce qui s’échange là-bas. Moi aussi après ce petit moment de tension j'aimerais bien rire un peu. Il est préférable de rester dans ma cachette que de tenter de m'avancer caché. Je maudis ma paire jumelles qui n'est pas suffisamment puissante. Le type se redresse. Il est assis, jambes en position 'yoga", tout en se masturbant doucement. Il cesse. Se lève assez péniblement. Christelle, sans doute rassurée, reste assise en laissant s’approcher l’inconnu. Il est debout à un mètre environ de la jeune fille. Tous les deux semblent rire de bon cœur. L’homme secoue son sexe de manière vulgaire. A quelques cinquante centimètres du visage de la fille confiante.

Cette fois, je suis prêt à sprinter. À bondir à la moindre alerte. Christelle se redresse pour se mettre sur les genoux. Le type s’approche encore davantage. Il passe son sexe sur le visage de la jeune fille tout en bavardant. Cette curieuse situation dure ainsi plusieurs minutes. J'assiste à un de ces rituels vicieux que j'aime moi aussi à pratiquer avec mes partenaires "éveillées" aux petites perversions amusantes et "courtoises". Je vais de surprises en surprises. Toutes mes inquiétudes s'envolent en un instant. La jeune fille ouvre la bouche pour gober le sexe de l’inconnu. Il a les mains sur ses hanches et reste parfaitement immobile. Christelle a les joues creusées par la succion qu’elle exerce sur le membre du type. Il pose une main sur la tête de sa pompeuse. Il bouge doucement son bassin, imprimant un lent mouvement de va et vient dans la bouche de ma compagne d'aventures. Et nous en avons vécu des aventures ces vacances !

Je suis terriblement excité. Ma situation est doublement privilégiée. De plus je peux enfin me laisser aller. Je me masturbe doucement. C’est ma complice et je suis le voyeur exclusif de ce qu’elle fait. L’inconnu caresse délicatement la tête de Christelle qui a posé ses mains sur les hanches du type. Je le vois de profil. Ventru, une "bouée" autour de la taille. L'embonpoint grassouillet. Au traits de son visage que je scrute dans mes jumelles, je peux découvrir l’expression d’extase qui en exhale. Nul doute, Christelle aussi est dans son élément. Elle connaît probablement là un moment intense. Je me masturbe doucement. Le spectacle est enivrant. Malgré mon activité, je reste concentré sur ce qui se déroule au bord de l’eau. "Gras du bide" se laisse sucer sans perdre de son calme bonhomme. Parfois il bouge doucement. Il se déplace en surveillant les alentours. Je le vois de dos maintenant, le bougre. Ça me frustre. C'est dommage.

Soudain là, sur la droite, surgit une dame accompagnée de deux ânes. C’est Alexine, la femme que nous avions déjà vu au bord du lac la dernière fois. Chez qui nous avions mangé et qui avait quelques penchants homosexuels envers Christelle. Christelle qui l'aperçoit en même temps que notre naturiste. Cela met un terme immédiat à la fellation. Décidément, la frustration est proportionnelle à l'excitation de la situation. La jeune femme fait semblant de s’occuper d’un des deux animaux. Alors qu'elle vient de surprendre la scène. Sans doute pour laisser les deux protagonistes reprendre leurs esprits. Le type se cache les parties génitales avec les mains. Christelle s’essuie la bouche. Alexine se met à bavarder avec le type. C'est étonnant. Étrange même. Ils semblent se connaître. Je vois Christelle ramasser ses affaires, faire un signe de la main pour s’éloigner très vite. Je la regarde monter en soufflant. Elle se retourne plusieurs fois pour voir.

Christelle vient me rejoindre : << Génial ! Décidément on décroche toutes les timbales de la région. C’est sa frangine ! Tu parles d’une chance ! Il est censé s’occuper des ânes et il se fait sucer par une fille ! >> s'exclame t-elle en saisissant mon sexe redevenu mou. Nous éclatons de rire. << C’était comment ? >> que je lui demande. << Juteux ! >> se contente t-elle de me répondre avec un clin d’œil en mordant dans une pomme. Nous regardons en nous passant les jumelles. Nous voyons le couple s’éloigner. Tout en discutant, Alexine pousse son frangin qui manque de tomber. << Laurel et Hardy ! >> lance ma complice. Nous sommes pliés de rire. << J’ai son numéro de téléphone ! >> me fait encore Christelle. Nous prenons le chemin qui nous ramène à la voiture. À peine assis ma coquine rajoute : << Tu me la donnes un peu. J'ai besoin d'un élément de comparaison ! >>. Je roule doucement alors que Christelle s'offre une fellation.

Julien


Christelle
Friday 29 September 2023 11:32

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - Épisode 44 - Tous droits réservés - © - 2023 -



L'avant dernière journée

Christelle a pour habitude de se serrer contre moi lorsqu'elle se réveille. Le plus souvent la première. Ce qui me tire du sommeil tout en douceur. Nous restons alors ainsi à nous raconter nos nuits. Je ne me rappelle que très rarement de mes rêves. J'écoute donc avec beaucoup d'intérêt ceux de ma compagne d'aventures. Ce matin elle se couche sur moi. Frottant doucement son pubis sur mon érection naturelle. Turgescence purement physiologique. Il est presque neuf heures. << J'aime les grasses matinées avec toi ! >> murmure Christelle en saisissant ma tumescence. C'est ainsi qu'elle me tire du lit. Pendant que je prépare le café, ma complice est aux toilettes. Je l'entends chantonner. C'est à la fois amusant et émouvant. Elle me rejoint. C'est à mon tour. Quand je reviens la table est mise. L'odeur du pain grillé.

Nous prenons notre petit déjeuner en slips et T-shirts de nuit. La météo reste sensiblement la même depuis trois jours. Christelle aimerait consacrer la journée à une promenade d'amoureux. C'est notre avant dernier jour ensemble. Demain je ramène Christelle à la gare de Privas. Nous mangeons de bon appétit. Je propose une nouvelle fois de parcourir les 300 km pour la ramener en auto. La jeune étudiante décline une fois encore mon offre. Prendre le train est une façon brutale de nous séparer. Elle en ressent le profond besoin. Invoquant en riant sa santé mentale : << Tu te rends compte ? Tu me déposerais à quelques centaines de mètres de chez moi. Mais je se serais morte de chagrin en passant là tous les matins pour aller en cours ! >> m'explique t-elle. Je comprends. Je crois que ce serait probablement réciproque.

Nous traînons à table. Assise sur mes genoux, Christelle me raconte la rentrée universitaire qui l'attend au début septembre. Dans exactement sept jours. << J'aurai tout juste le temps de me remettre de nos aventures ! >> dit elle. << Tu vas me manquer. Je crois que ce sera l'épreuve la plus difficile de ma vie ! >> rajoute t-elle. Je fais : << Interdiction absolue d'être triste. Au moindre pépins, tu me téléphones. On se fait des webcams et on se raconte. Au pire je rapplique ! >>. Pour toute réponse la jeune fille m'embrasse passionnément en changeant de position. À califourchon sur mes cuisses, ses bras autour de mon cou, elle prend un air grave pour murmurer : << En plus, j'ai mal au ventre ! C'est quand j'angoisse ! >>. Nous rions aux éclats quand elle chuchote : << C'est pour nous empêcher de faire l'amour une dernière fois ! >>.

Nous faisons une rapide vaisselle. Une douche. Christelle adore se faire frotter le dos. Elle fait alors des imitations de gens que je ne connais pas mais dont elle parle souvent. Son oncle. Un professeur, son petit copain ou encore la fille avec qui elle est partie pour deux semaines de vacances alors qu'elles se sont disputées dès le premier jour. << Ça fait une semaine que je devrais être rentrée ! Mais c'est cool avec mes parents ! >>. Christelle est en jupette et en T-shirt. Je suis en bermuda et chemisette. Il fait légèrement moins chaud depuis deux jours. Ce qui est appréciable. Mais c'est très relatif. Nous quittons l'appartement pour descendre par l'escalier extérieur. Nous tombons sur le propriétaire. << Alors, ça vous a plu ? Vous étiez bien là-haut ? >> demande le brave homme en louchant sur la jeune fille qui tient ma main. Il sait bien que je ne suis pas le papa.

Nous réglons les dernières modalités. En partant demain, nous mettrons les clefs dans la boîte aux lettres. Non, je ne désire pas de reçu. Le paiement s'est fait en espèces en début de location. C'est bien préférable pour ces entrepreneurs qui ne roulent pas sur l'or. Et tant que c'est possible il faudrait être le dernier des imbéciles pour ne pas en profiter. Nous nous saluons chaleureusement. Il y a trois kilomètres jusqu'au bourg voisin. C'est vendredi. Il y a des touristes car l'endroit est un haut lieu médiéval. Je propose de réserver une table dans un des trois restaurants. Par chance, il y en a une qui nous attend sous la tonnelle. C'est la large entrée d'une cour intérieure. Il y a là une dizaine de tables. La nôtre sera celle du fond. Nous flânons dans les ruelles en escaliers. Les ruines des murailles servent d'appui aux maisons typiques construites au début du vingtième siècle. Il y a même des habitations troglodytes.

Christelle garde sa main dans la mienne. Malgré que la température les rendent moites. Il y a tout de même 26°. Nous montons sur ce bout de muraille. Un ancien château dont il ne reste qu'un morceau de donjon. L'endroit est désert. Nous nous asseyons sur un banc en pierre. La vue sur les monts rocheux qui barrent l'horizon. Ma complice glisse sa main dans mon bermuda. << Depuis trois semaines tu ne m'as pas montré ton "côté sombre". Les ténèbres qui t'habitent ! Ta bite >> lance t-elle. Nous rions aux éclats. Elle est adorable quand elle rit ainsi. Je réponds : << Mais ma douce coquine, depuis trois semaines tu n'as à faire qu'au côté sombre de ma personne. Tu es dans les ténèbres avec moi ! >>. Christelle s'écrie : << Alors montre-moi ton côté "lumineux" ! >>. Je dis : << Il n'y a pas en magasin ! >>. Christelle sort mon sexe pour le tordre dans tous les sens.

<< Allez, montre-moi ! >> s'exclame t-elle. Je réponds : << Il n'y a pas de côté lumineux quand on fait un pacte avec le diable ! >>. Elle s'écrie ; << Quoi ? >>. Je dis : << Pour vivre d'exaltantes aventures avec plein de filles de rencontres et pour faire fructifier sa fortune il faut un pacte ! >>. Christelle reste un long moment silencieuse avant de demander : << Tu es sérieux ? Tu déconnes, hein ? >>. Je ne réponds pas. Je tourne la tête pour plonger mon regard dans le sien. Elle a beaucoup de mal à le soutenir. << Tu me fais peur ! >> finit elle par dire en lâchant mon érection. Elle se lève d'un bond. Place ses deux index contre ses tempes pour imiter les cornes d'un diable. Elle me fait une horrible grimace pour s'écrier : << Et bien tu as passé trois semaines avec une diablesse ! >>. Elle s'assoit sur mes genoux pour cacher mon sexe au yeux du groupe de touristes qui montent les marches.

Dès qu'ils ont disparu derrière le donjon, Christelle se redresse pour s'accroupir entre mes jambes. Elle saisit mon sexe pour le frotter autour de sa bouche. Elle me fixe à nouveau avec cet air de défi qui lui est coutumier. Habituel. Sans ciller, elle prend l'extrémité de mon sexe en bouche. Avec ses dents elle tire la peau de mon prépuce. Ce qui évoque un chewing-gum. C'est qu'elle tire fort la bougresse. Ce n'est pas vraiment douloureux car le prépuce est peu innervé. Elle m'adresse un clin d'œil. Elle relâche la peau. La reprend pour la tirer à nouveau. Comme un élastique de chair. Je demande : << Tu fais quoi là ? >>. Elle ne dit rien. Par contre en relâchant la peau rougit par la morsure, Christelle gobe mon sexe en fronçant les sourcils. Je caresse sa tête. Elle ferme les yeux pour s'adonner aux saveurs de sa fellation. Je reste sur mes gardes. Je regarde partout autour de nous. On entend rire. Des voix.

Il n'est pas loin de midi. Notre table nous attend dans la demi heure. Christelle, du liquide séminal aux coins des lèvres, se redresse. Je frotte ses genoux plein d'herbes et d'humus. Ils restent verts. Nous rions quand elle dit : << Les clients du restaurant auront une idée de ce qui s'est passé. Viens mon diable ! >>. Je me lève alors qu'elle me tire par la main. << Je suis tellement bien avec toi. Tu te rends compte. On s'est mis dans un truc de ouf. La facture sera salée ! >> s'écrie t-elle en s'accrochant à mon cou. Petit bout de femme minuscule pendu à mon cou comme pour crier au secours. Comme pour manifester son désarroi. Ses craintes. Je me promets d'être d'une immense tendresse tout l'après-midi. Nous arrivons au restaurant. Notre table est mise. Des nappes blanches. De belles assiettes traditionnelles ardéchoises. Nous attirons bien des regards, des interrogations et des curiosités.

Julien


Christelle
Friday 6 October 2023 12:26

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - Épisode 45 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Un après-midi sous le soleil de l'Ardèche

Nous restons longuement à savourer ce délicieux repas. Tout aussi délicieux que le cadre. Sous cette pergolas, à l'ombre d'un soleil qui refait son apparition. Tout en mangeant, nous faisons le bilan de ces presque trois semaines ensemble. Depuis notre rencontre dans la petite église de village, jusqu'à nos folies amoureuses quotidiennes. Dans la mesure du possible, nous évitons d'aborder l'aspect émotionnel, émotif de cette histoire. C'est bien évidemment impossible. Le côté passionnel réapparaît à chaque nouvelle évocation. Nous finissons par en rire. Même si le cœur n'y est plus vraiment. Nous prenons une fois encore conscience d'être à la veille d'une séparation. Tout cela terminera demain sur le quai d'une gare. Christelle ayant son train pour 17 h50. Nous essayons d'occulter cette fatalité en revenant sur d'amusants détails qui ont parsemé ces vacances à deux. Le vieux peintre du bord du lac. La femme aux deux ânes. Le naturiste grassouillet.

L'addition alors qu'il est déjà quatorze heures. Nous ne sommes plus que quelques clients encore attablés. Un autre couple un peu plus loin. Deux jeunes femmes à une table voisine. Deux couples de touristes très certainement Allemands. Après ces quelques jours de répits, le soleil semble vouloir prendre une sérieuse revanche. Il fait vraiment chaud en retournant à la voiture. La climatisation fonctionne parfaitement, nous mettant à l'abri de ce soleil accablant. Je roule en direction du petit bourg qu'on distingue sur les hauteurs. Il y a une forêt sur sa droite, aux bas des falaises qui le surplombent. Les ruines d'un château peut-être. Christelle s'est recroquevillée sur son siège passager. Sa petite taille lui permet d'y être à l'aise. Sa tête posée sur ma cuisse gauche. Les grosses berlines Allemandes que je choisis proposent l'option "boîte automatique". Beaucoup plus pratique. Ma conduite tranquille ne nécessite pas de changer de vitesses.

<< Raconte-moi ! >> lance soudain Christelle en se tournant sur le dos. Jambes repliées, sa tête sur ma cuisse. De ma main droite je caresse ses cheveux en demandant : << Je te raconte le paysage, d'accord ? >>. Elle passe ses doigts sous mon mentons en répondant : << Tout ce que tu veux mais à propos de nous deux ! >>. Je glisse ma main droite entre ses cuisses. << Oh oui, j'aime quand tu t'exprimes par gestes ! >> s'exclame t-elle en saisissant mon poignet. Je doigte sans cesser de me concentrer sur la conduite. Je prends à droite. Une route qui monte, qui devient rapidement sinueuse. Christelle se redresse. De rester couchée avec les incessants virages en épingles à cheveux peut donner la nausée. C'est sa main qu'elle glisse dans la braguette de mon bermuda. Qui remplace sa tête. << On fait l'amour ? Juste un peu. Pour ne pas êtres tristes ! >> murmure t-elle en approchant sa bouche de mon oreille. Je passe mon bras autour de ses épaules.

Nous arrivons dans le village. Les maisons blanches, aux toits de tuiles brunes. Le soleil éclaire toute chose de sa lumière impudique. Il n'est pas loin de quinze heures. Quand je gare la voiture sur la place de l'église, que je coupe la climatisation, que nous sortons, c'est une véritable fournaise. Il n'y a personne. Un chat couché à l'ombre d'un platane. Christelle saisit ma main pour m'entraîner vers l'église. Nous gravissons le large escalier. Elle est ouverte. Nous y pénétrons pour trouver un peu de fraîcheur. Cette odeur de beurre rance si caractéristique des bâtisses anciennes. L'intérieur de l'édifice est très simple. Presque austère. << On a commencé dans une église, on termine dans une église ! >> chuchote Christelle en s'accrochant à mon cou. Je la soulève. << Tu as déjà fait l'amour dans une église ? >> demande t-elle.

Je ne sais quoi répondre. Même si pour moi les religions ne sont qu'autant de prisons mentales, j'observe un certain respect pour les lieux où se pratiquent les cultes. Je réponds : << Non, jamais. Par contre j'avoue quelques égarements ludiques ! >>. Christelle demande à nouveau : << Des pipes ? >>. Je la fais tournoyer dans les airs. Elle ne pèse rien. C'est comme ça que je l'emmène derrière la statuaire du fond. C'est une stèle de pierre sur laquelle trois personnages bibliques prennent des poses ridicules. L'avancée de la stèle permet d'y déposer Christelle. Elle s'adosse contre le socle. Remonte ses pieds pour les poser sur la stèle. Ses cuisses largement écartées, son regard implorant. Il n'y a strictement personne dans l'église. Je sors mon sexe. Je le frotte contre sa culotte qu'elle retire. D'un geste adroit et précis.

<< Je t'aime. Si tu savais ! >> lance t-elle dans un souffle alors que je la pénètre lentement. Elle s'accroche à mon cou comme dans un élan désespéré. Je suis en elle. Je la soulève en murmurant : << Mademoiselle, je vous propose une visite guidée ! >>. Son visage dans mon cou, Christelle pousse un soupir de contentement. Je contourne la statuaire. Au mépris de la prudence la plus élémentaire, j'avance dans l'allée centrale. Doucement. Les vitraux romans laissent passer des rayons diffus et colorés. Nos yeux se sont habitués à l'obscurité. Je commente les lieux en inventant un historique aussi fantaisiste qu'improbable. Christelle ne cesse de rire aux éclats. Je m'arrête contre l'hôtel couvert d'une nappe blanche. Je la maintiens soulevée, coincée contre la pierre pour imprimer un mouvement rythmé. Ses gémissements envahissent l'endroit.

Je cesse pour l'emmener aux bas des marches. Je me retire. Je la pose au sol. Elle s'accroche à mon cou. Sur la pointe des pieds elle pose ses lèvres sur les miennes. La fraîcheur du lieu est appréciable. << Encore ! >> murmure t-elle. Je l'emmène par la main vers le confessionnal. Cette triple armoire de bois est dans l'ombre. J'invite Christelle à entrer dans le compartiment de droite. Je tire le rideau pour l'y laisser seule. J'ouvre la porte réservée au confesseur. Je referme la porte derrière moi. Par la grille en bois je distingue ma complice. Il y a un petit loquet. Un fermoir de cuivre. Je l'actionne pour ouvrir la minuscule fenêtre. Christelle avance la tête pour tenter de voir ce qui se passe dans l'obscurité. Je me dresse pour y introduire mon sexe dur. Il bute sur le visage de ma comparse qui se met à rire en découvrant ce que c'est. L'objet du délire...

Je me fais sucer comme un bienheureux. Je reste en appui de mes mains contre la cloison, ma joue collée contre le bois des lattes qui séparent les deux compartiments. Ce n'est pas très confortable. Le vertige que me procure l'indicible caresse compense largement l'inconfort de la situation. Un bruit sec. Je regarde par l'interstice. Christelle cesse sa fellation. C'est une petite vieille qui vient d'entrer dans l'église. Sans se douter un seul instant d'une quelconque présence. Du grand panier qu'elle pose sur les marches devant l'hôtel, elle tire trois bouteilles d'eau. Elle se met à arroser les plantes vertes en marmonnant. La vieille dame parle toute seule. S'adressant sans doute à quelques divinités. Elle est vêtue d'une robe sur laquelle pend un tablier. Des bas noirs, de grosses chaussures. Comment peut-elle supporter la chaleur ainsi habillée ?

Julien


Christelle
Friday 13 October 2023 12:12

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Fleur - Épisode 46 - Tous droits réservés - © - 2023 -



Une peur bleue avant un plaisir fou

Christelle et moi, enfermés dans ce vieux confessionnal en bois, nous restons silencieux. Je me suis assis. Par la lucarne ouverte, il y a juste la place pour passer nos mains. Nous nous tenons en retenant nos respirations. En apnée. Il faut contrôler sa respiration. Nous observons. La petite vieille termine d'arroser les plantes vertes. Elle prend son temps, vaporisant les plus grosses avec un spray. Jamais les secondes, les minutes ne nous ont paru aussi longues. Heureusement nous échappons aux grosses chaleurs. Les épais murs de pierres, séculaires, offrent un bouclier thermique. Nos yeux se sont complètement habitués à l'obscurité des lieux. Christelle me fait des grimaces, tire la langue, mime des bisous. Quand elle se met à loucher je dois réunir tous mes efforts pour ne pas rire. Le moindre bruit attirerait inévitablement l'attention de la vieille dame. Elle aussi est venue chercher en cet endroit un peu de fraîcheur. Le silence autour de nous.

Christelle approche son visage de la lucarne en pointant sa langue. Je fais pareil pour toucher la sienne de la mienne. Il y a également l'odeur de mon sexe. Elle chatouille mon menton de son index. Nous redoublons toutefois de prudence. Nous observons scrupuleusement entre les croisillons les agissements de la dévote. Elle en a terminé avec les plantes. De sa corbeille elle tire deux chiffons. Christelle lève les yeux au ciel dans une expression de dépit. Mon érection n'est plus qu'un souvenir. Le grincement des charnières de la porte latérale de l'église. C'est une jeune femme qui arrive avec une pile de documents. Elle ne doit pas avoir plus d'une trentaine d'années. En jupette, T-shirt et sandalettes. Les deux femmes bavardent à voix basse. Peut-être pour ne pas déranger les statues, les araignées et les probables chauves souris. Notre situation devient inconfortable. La jeune femme parcourt l'allée centrale en déposant un pli sur chaque banc.

Elle vient par là. Christelle serre les doigts sur les miens. De ma main libre je remballe avec difficulté. Je referme maladroitement ma braguette. Le moindre froissement de tissu, le moindre souffle pourraient nous trahir. Elle s'attarde près du baptistère. Que peut-elle bien faire ? On ne la voit plus. Ses pas s'éloignent. La vieille dame passe le chiffon sur la nappe de l'hôtel, les deux chandeliers. Nous comprenons. Il y a certainement une messe ce soir. La jeune femme revient avec un balai. Elle s'emploie à enlever la poussière entre les bancs. C'est sûr, nous sommes coincés là-dedans pour un moment. << Font chier ! >> chuchote Christelle. Je pose mon index sur mes lèvres. Chut. Nous nous touchons les langues pour conjurer le mauvais sort qui nous emprisonne dans cette grande armoire à trois compartiments. Je commence même à ressentir le froid qui monte du sol. La vieille dame sort de l'église. Si la jeune femme pouvait faire de même.

La voilà avec son balai. Au moment précis où Christelle, allergique à la poussière soulevée, éternue. Faits comme des rats ! La jeune femme semble soudain prise de frayeur. Je sors le premier en m'écriant : << Tout va bien ! >> Elle me regarde d'abord paniquée puis consternée quand elle voit surgir Christelle. << Mais que faites-vous là-dedans ! >> finit elle par lâcher en se tenant à son balai. Christelle ment effrontément : << On a cherché à fuir la chaleur et on s'est endormis ! >>. Tout en disant Christelle me saisit la main. D'un pas rapide nous laissons la jeune femme à son étonnement, à ses questionnements. Je me retourne pour lui adresser un sourire, faire un clin d'œil en levant le pouce de ma main libre. Une fois dehors nous éclatons de rire. La vielle dame qui revient avec un paquet nous salue en lançant : << Vous désirez visiter l'église ! >>. Elle ne peut pas comprendre notre hilarité. << On se moque pas ! >> fait Christelle

Nous marchons à l'ombre grandissante des maisons. Il est déjà dix huit heures. Au soleil, la chaleur est encore cuisante. << Quelle aventure ! Tu sais que je suis toute excitée ! >> me confie ma complice. Nous nous tenons par la main. Elle me bloque sous une porte cochère pour se frotter contre moi. Elle m'embrasse avec fougue. Je propose de nous trouver un bon restaurant. Nous sommes passés devant un "routier" en arrivant à proximité du village. << On se le fait ! >> s'exclame Christelle qui glisse sa main dans mon short par le haut. << Tu es mouillé ! >> s'écrie t-elle en jouant du bout de ses doigts sur l'extrémité de mon sexe. Je glisse ma main sous sa jupe. Il n'y a personne dans cette étroite venelle pavée. Si ce n'est ce chat qui passe sans nous prêter la moindre attention. En retournant à la voiture, Christelle fait plusieurs photos. Avec le retardateur de son téléphone. Nous prenons la pose. << J'en veux une explicite ! >> dit elle.

Là, contre une porte en bois, arrondie dans sa hauteur, je suis prié de sortir mon sexe. Je regarde partout autour de nous. Je peux y aller. Christelle pose son téléphone, enclenche le retardateur. Elle n'a que dix secondes pour me rejoindre. Elle passe son bras autour de ma taille. De l'index de sa main libre elle soulève mon sexe comme pour le soupeser. Nous sourions à l'objectif. Ma comparse précise : << C'est en mode vidéo ! >>. Je me sens soudain un peu ridicule. Je suis entrain de me faire filmer avec cette jeune fille contre moi qui agite ma virilité en direction de l'objectif. Un bip sonore. << Et voilà, exactement une minute ! >> lance Christelle toute contente de m'avoir "piégé". Dans la voiture, avant que je ne démarre, elle me fait voir ce petit film. Je dis : << J'espère que personne parmi tes proches ne tombera jamais sur ces images ! >>. Christelle m'ouvre une nouvelle fois la braguette en répondant : << T'inquiète. Private joke ! >>

Il faut reprendre l'étroite route qui descend en épingles à cheveux. Surplombant des ravins inquiétants. Heureusement aucune voiture ne monte. Il serait tout à fait impossible de se croiser à deux autos. Ma grosse berline Allemande passe quelquefois de justesse entre les murets de pierres. Je respire quand nous revenons sur la départementale. Christelle me tend son téléphone en disant : << Tu appuis là ! >>. Je conduis d'une main, avec prudence en ne comprenant pas immédiatement. Christelle se couche sur le côté pour prendre mon sexe en bouche. C'est donc ça que ma compagne d'aventures veut immortaliser. Je ralentis encore. Je m'efforce de filmer sans trop bouger. Il m'est impossible de me concentrer sur la route et sur l'I-phone. Aussi, je tourne dans le chemin à droite. Une trentaine de mètres. Je peux donc filmer cette fellation sous plusieurs angles. Une bonne dizaine de minutes. J'éjacule. Christelle se retire.

Julien


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