j'avais les yeux bandés et j'étais tendue car nous étions encore assez débutants dans nos fasques libertines. Il m'a fait descendre de la voiture, m'a prise par les deux mains et guidée pendant un temps qui m'a paru une éternité.
Puis il m'a enlacé et calé entre ses jambes avec sensualité et langueur. j'ai tout de suite pensé à un beau black exotique (un vieux fantasme d'adolescente) et senti une membrure se gonfler au niveau de l'entre jambe.
il me caressait de partout avec beaucoup de douceur et de sensualité ... qu'est ce qu'il embrassait bien !
Puis il a poussé ma ficelle de coté et a commencer à explorer ma féminité ... déjà très très humide à l'idée de consommer ma proie exotique. Jeux de doigts et d'orifices !
Il m'a fait me mettre accroupie et j'ai moi même dégraphé sa ceinture, déboutonné le pantalon de costume et j'ai caressé, sur le tissus du boxer, un sexe comme je n'avais jamais eu dans les main ... J'ai eu (aux dires de mon mari) un soupir de plaisir et d'excitation. Gros, très gros et bien dur. Très excitant car les yeux bandés, celui-ci m'apparaissait encore plus imposant. Tout son corps sentait bon le gel douche et le parfum de qualité, peu de poils et une musculature entretenue et enrobée d'un brin de gras moelleux comme j'aime.
Puis j'ai craquée et abaissé le tissu pour libérer cette bête en me jetant dessus comme une affamée. Mes lèvres étaient bien écartées, j'avais du mal en enbober la chose. Un gland bien saillant avec un frein qui présentait une petite excroissance inhabituelle. une belle hampe que j'avais bien en main et un paquet pendant et bien gros ... sans poils comme j'aime.
Je l'ai sucé à en perdre la tête tout en me touchant le clitoris et ma fente trempée. J'ai eu ainsi mon premier orgasme, intense.
J'ai senti son gland se tendre ... mon orgasme venait aussi titiller son excitation. J'ai stoppé net pour ne pas qu'il se déverse dans ma bouche.
Il m'a fait mettre en levrette et sa langue est venue recueillir le fruit de ces 1ers moments torrides. Il ne suçait et léchait pas très bien ... comme la plupart des mecs ... rires !
Puis j'ai entendu un étui que l'on déchire, qq bruits et une pression est apparue au niveau de mon minou. C'est entré très progressivement avec la sensation d'être écartée à souhait, remplie d'un poids qui ne laisse pas indifférente une femme. J'étais remplie pleinement, sensation nouvelle pour moi.
Il est venu butter au fond ... çà j'aime pas et je lui ai dit avec douceur pour ne pas casser l'acte.
La suite ? j'ai eu au moins 3 orgasmes : il alternait à la fois le rythme, l'angle de pénétration, la douceur, la maîtrise de sa hampe. Parfois juste le gland parfois plus, vers le haut ou vers le bas, vite ou bienlent pour que je ressente chaque cm qui s'emparait de moi.
Bref, un mâle qui sait "ressentir" sa femelle et provoquer son abandon. J'ai découvert cette fois là que je pouvais aussi être fontaine à l'occasion de mon 3ième orgasme. Son sexe venait butter sur le plafond de mon minou ...4 petits jets venus lui tremper le pubis.
Il a voulu me sodomiser. mais si j'adore ce petit plaisir bronzé ... je me suis refusée car j'aime la finesse et la longueur d'une queue pour cette pratique. Je ne voulais pas avoir les yeux plus grands que le petit anneau bronzé ... sourire !
Je l'ai resucé et il s'est retiré prestement pour m'éclabousser les seins ...
J'ai retiré mon bandeau ... et j'ai découvert un beau quarantenaire ... qui n'avait rien d'exotique ! Un européen brun et mat de peau typé italien au milieu d'un squat en ruines truffé de tags dont un immense cochon devant lequel je m'étais abandonnée.
Nous nous sommes embrassé avec langueur ... j'avais adoré. Puis chacun a repris son petit chemin. Nous nous sommes jamais revu mais je n'oublierais pas cette "première".
Depuis j'en ai consommé des mâles et des queues ... très petites ou aussi grosses que celle-ci. Et en fait qu'importe la taille de la membrure ... ce qui compte à mes yeux c'est juste la senualité et le savoir faire pour me "ressentir" dans ma montée vers l'orgasme et accompagner mon abandon. Et çà c'est pas donné à tous les mâles libertins !
Mme Breizfrissons
