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Les aventures de Gégé-la-Branlette Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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( En été )

Chers amis

Bonjour

Voilà le retour d'un autre viel ami dont quelques aventures ont déjà été comptées ici, sur ce fabuleux forum.
Nous allons retrouver Gégé-la-Branlette, voyeur incorrigible, pas très futé et pas très malin, mais tellement sympathique.

Gégé-la-Branlette, un peu comme son homologue Dédé-la-Lopette, présente souvent un comportement "curieux" à proximité de la gente féminine. Aussi, il n'est pas rare que Gégé-la-Branlette se retrouve dans d'inextricables situations.

Gégé-la-Branlette est également un farceur facétieux. Il n'hésite pas, par exemple, à rouler en voiture portant le masque de Dark Vador ! La gendarmerie l'a même déjà contrôlé, un soir, au volant de sa voiture, sur une petite départementale, portant le masque de Donald. Complètement à poil...

Voilà donc le premier épisode de notre nouvel ami.
Bonne découverte...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

La piscine

Dans son petit sac à dos, Gégé-la-Branlette avait disposé des petits gâteaux BN, une pomme Golden, une bouteille de Cristaline et sa petite perceuse Black & Decker. Perceuse dont la batterie était parfaitement chargée le matin même. Gégé se rendait à la piscine sur son VTC, (Vélo Tous Chemins). Il faisait beau et la chaleur poussait à la baignade.

La Dame de l'accueil, dans sa petite guérite, lorsqu'elle vit arriver Gégé-la-Branlette, lui fit, devant tout le monde : < Ah non ! Pas Vous ! Vous faites pipi dans l'eau tout le temps ! C'est le Maître-nageur qui me la signalé ! >. Gégé, un peu gêné, répondit : < Ben, et alors ? Tout le monde fait pipi dans l'eau, à la piscine ! >. La dame se leva et fit encore : < Oui, peut-être ! Mais certainement pas du haut du plongeoir ! >...

Finalement, c'est après l'intervention d'une assistante que Gégé-la-Branlette eut la permission d'entrer quand même. Notre ami possédait encore dix huit tickets d'entrées dans son carnet d'abonnement. Le client est roi ! Une fois dans une des cabines, où les usagers se changent, Gégé sortit sa petite perceuse de poche. Consciencieusement, il se mit à percer un trou parfaitement rond à l'aide d'une mêche de un centimètre de diamètre. Mêche spéciale "Placo".

Le bruit, léger, mais tout de même perceptible, fut couvert par le chant de Gégé-la-Branlette. En effet, pour masquer ses agissements, notre perceur chantait "Yellow Submarine" à donf. A plein poumons ! A tel point qu'on entendit distinctement un mec hurler : < Tu vas la fermer ta gueule ? >. Fort heureusement, Gégé-la-Branlette avait fini son bricolage.

Là, il ne lui restait plus qu'à attendre l'arrivée d'une baigneuse désireuse de se changer. Arrivante ou partante, cela n'avait que peu d'importance pour Gégé. L'essentiel étant de pouvoir se livrer à son vice. Se pignoller en mâtant.

Au bout d'une dizaine de minutes, enfin, arriva une jeune femme très bien de sa personne. Sifflotant, la belle commenca par enlever sa robe légère. Notre mâteur pouvait donc se régaler de cette petite culotte assortie à un soutien gorges de fines dentelles. Il se pallucha avec une certaine énergie, l'œil collé au trou.

Sortant son Iphone 4, notre vilain coquin, plaçant l'obturateur devant le trou, alluma en fonction "caméra". Il ne lui restait plus qu'à filmer la suite. Seulement voilà, la jeune femme, intriguée par un bruit sourd et régulier, (la masturbation de notre salopiot), colla son œil sur le trou.

< Petit salopard ! > hurla t-elle, en découvrant le reflet de l'objectif. < Espèce de vicelard !> cria t-elle encore en frappant contre la cloison qui séparait les deux cabines. La belle fit un tel scandale que le personnel de la piscine vint en courant.

Un gigantesque personnage, athlétique, les bras croisés, accueillit Gégé-la-Branlette. Gégé qui pensait pouvoir filer à l'anglaise, heureux possesseur d'un film aux images volées, ne se doutait pas de la suite des évènements. En sortant de sa cabine, Gégé se fit donc "cueillir" par le géant. < Tu vas venir avec moi au bureau mon petit gars. Je vais t'apprendre à filmer les meufs à l'insu de leur plein gré, moi ! > fit le personnage vêtu de blanc et chaussé de sabots Scholl.

Assis dans le bureau, Gégé-la-Branlette, penaud, vit arriver deux policiers municipaux. Ces derniers lui signifièrent le délit et les peines encourues. Son Iphone 4 lui fut confisqué. Les policiers emmenèrent notre voyeur au commissariat. Au poste ou il apprit que la jeune femme venait de déposer plainte. Gégé-la-Branlette était donc très mal barré pour cette première aventure...

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Ne manquons pas le prochain opus des aventures de Gégé-la-Branlette, ici-même sur ce fabuleux forum, dans la même rubrique "Être voyeur".

A bientôt...



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Gégé-la-Branlette - Le cabannon - Danser
Wednesday 26 August 2015 09:33

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Le cabanon

Gégé-la-Branlette, en vacances au bord de la mer, emmène avec lui ses petites habitudes. Aussi, vautré sur sa serviette, il mâte avec attention tout ce qui porte bikini ou petit maillot de bain. Sa paire de jumelles toujours dissimulée sous son magazine, notre ami est une sorte de "sentinelle" du voyeurisme.

Devant lui, Gégé-la-Branlette peut voir défiler les belle jeunes filles qui arrivent ou repartent. Devant la falaise, il y a ces cabanons de plage peints en bleu et blanc. Au nombre d'une vingtaine, ces petites constructions de bois permettent aux baigneuses et aux baigneurs de se changer. Ces cabanons attirent tout particulièrement l'attention de notre héros.

Gégé-la-Lopette vit arriver cette grosse berline de marque allemande qui se gara sur le parking. Une belle jeune femme, vêtue d'une mini jupe, d'un T-shirt et chaussée de souliers à talons, sortit de la voiture pour se diriger rapidement vers les cabanons. Cette créature de rêve, pour ce rêveur de Gégé, le poussa à quelques regrettables élans.

Se levant, se saisissant de son petit sac, notre ami se précipita vers les cabanons distants d'environs trois cent mètres. Tout en marchant, Gégé-la-Branlette avait repéré la cabine dans laquelle était rentrée la belle jeune femme. Celui de gauche, immédiatement voisin, était libre et vide. Gégé y entra avec une certaine fébrilité doublée d'une précipitation certaine.

Là, fouillant dans son petit sac, il prit cette petite vrille qui ne le quittait jamais. Rappelant un tire-bouchon, cet instrument permet de percer des surfaces de bois, de plastique ou encore de placo. Gégé-la-Branlette, l'oreille collée à la cloison, tournait avec virtuosité le pas de vis de son engin. Dans l'élan, n'ayant aucune information technique quand à l'épaisseur de la cloison, notre ami enfonça maladroitement la vrille.

Sa main, heurtant le mur, fit un bruit sourd. La jeune femme, de l'autre côté, son attention attirée par le bruit, vit apparaître la pointe de la vrille. Immédiatement, frappant contre le mur, cette dernière se mit à hurler. Gégé-la-Branlette retira vivement la pointe. Essayant d'ouvrir la porte, celle-ci s'était bloquée. Lui aussi. Fait comme un rat. Dans la cabine voisine, l'inconnue continuait ses vociférations.

Enfin, Gégé-la-Branlette arriva à sortir de son cabanon. Mais en même temps que la jeune femme. Cette dernière se mit à traiter notre coquin de voyou, de vicieux, de pervers et même de gros dégoûtant. Un comble ! Quelques messieurs, prompt à faire les jolis-cœur, vinrent s'informer. La jeune femme expliqua à la cantonade les agissements licencieux de notre salopiot.

Un grand balaise s'approcha pour dire à notre incorrigible voyeur : < Je suis un des surveillants secouristes. Nous sommes trois. Ou tu te casses, mon salop, ou je t'emmène au poste du CRS qui garde la plage ! Et ça presse mon gars, tu as trente secondes ! >. Gégé-la-Branlette, sans demander son reste, fila à ses affaires afin de les réunir. Rapidement il quitta la plage. Il avait déjà repéré les vestiaires du camping voisin...

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Ci-dessous, la vrille à Gégé



On peut cliquer sur l'image. Si on veut...

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Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Le vestiaire du camping

Gégé-la-Branlette, après avoir quitté précipitamment la plage, dans l'épisode précédent, a rabattu son élan voyeuriste sur un camping. Et tout particulièrement sur le vestiaire du camping < Le Camping des Gens Heureux >. Gégé avait repéré les lieux l'année dernière. Il avait passé sa première nuit de vacances 2014 dans ce lieu convivial et charmant < Le Camping des Gens Heureux >, à la sortie de Poulfétan sur la route de Plouganec.

Gégé-la-Branlette a garé sa voiture sur le parking, devant l'accueil. Son petit sac en bandoulière, vêtu de son bermuda kaki, de sa chemise hawaïenne et chaussé de ses sandalettes, Gégé-la-Branlette inspirait la confiance. Aussi, après salué la dame, dans la guérite de son poste d'accueil, notre héros se dirigea vers les sanitaires. < Vous cherchez quelqu'un en particulier ? > lui fit une grosse voix, derrière lui.

Gégé-la-Branlette, se retournant, vit le gros moustachu de l'année dernière, gérant du camping. < Oui, bonjour, je vais voir des amis aux caravanes, là-bas, au fond ! > menti effrontément notre héros. Seul dans l'allée qui menait aux douches, Gégé entra dans le vestiaire. Le lieu était désert. Notre drôle entra dans une des dix cabines. Là, méthodiquement, il prépara son "plan". Et son matériel.

De son sac musette, Gégé-la-Branlette tira sa petite perceuse. Perceuse dont il avait chargé la batterie le matin même. Plaçant une mêche de 6, il entreprit de percer un trou dans la cloison de placo. Un BA13 classique recouvert de carrelage. En effet, de l'autre côté, c'était les douches. Gégé prépara également sa petite caméra dont l'objectif s'adaptait exactement à l'orifice percé.

Une fois son travail terminé, au bout d'une petite minute, notre voyeur attendit sa première "actrice". A cette heure-ci, les estivants étaient à la plage ou visitaient l'intérieur des terres. Aussi, rares seraient les utilisateurs des douches. Au bout d'une dizaine de minutes, arriva une jeune femme. Plutôt "enrobée", cette dernière se mit toute nue. Gégé-la-Branlette, l'œil rivé au trou, la bave aux lèvres,observait. Notre salopiot avait sorti son sexe.

Dans la guérite, le gros moustachu, sur l'écran de surveillance, avait vu entrer notre Gégé dans la cabine pour ne plus en sortir depuis plus d'une demi-heure. Aussi, se posant de légitimes questions, ce dernier décida d'aller voir ce qui pouvait être arrivé à cet étrange visiteur. Les caméras de vidéo-surveillances, installées depuis peu, permettaient de contrôler discrètement les agissements des uns et des autres. Surtout les agissements de certains "autres".

Entrant le plus silencieusement du monde dans le vestiaire, le gérant du < Camping des Gens Heureux > pénétra dans la cabine voisine de celle qu'occupait notre ami. Montant sur le tabouret, se penchant au-dessus de la cloison, le gros moustachu pu découvrir les mystérieux agissements de l'étrange visiteur. Il regarda quelques minutes pour bien se rendre à l'évidence.

Là, sous le regard consterné du gérant, Gégé-la-Branlette était entrain de mâter, l'œil collé au trou, tout en se massant la turbe. Rapidement le gros moustachu descendit de son tabouret. Avec son passe-partout, il entra rapidement dans la cabine occupée par notre drôle. < Alors, mon salop, tu viens faire ton voyeur dans les vestiaires de mon camping ? > fit-il en surprenant Gégé.

Saisissant Gégé-la-Branlette par le bras, sans le moindre ménagement, il entraîna le voyeur en dehors de la cabine : < Tu vas prendre tes clics et tes clacs et te barrer vite fait, espèce de salopard ! Tu as le choix, ou je te démonte la tronche ou j'appelle les flics ! Tu choisis ! > fit le balaise en envoyant valser notre drôle qui récupéra sa perceuse, sa caméra et qui fila sans demander son reste. Un record de vitesse non homologué...

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En cliquant sur l'image, si on veut, on découvre la perceuse à Gégé...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Les vestiaires du club de Hand-Ball - (Les féminines)

Gégé-la-Branlette est un grand sportif. Il ne rate jamais un match de foot-ball à la télévision. Parfois même, par passion de l'exercice physique, Gégé regarde un match de Rugby. Il faut le voir, alors, notre Gégé, une bière dans la main gauche, une poignée de chips dans la main droite, s'agiter au fond de son canapé. Donnant même des coups de pieds dans un ballon imaginaire !

Dans son entreprise, où il exerce en tant que "Responsable Qualité", il y a l'équipe féminine de Hand-Ball. Cette dernière rencontre régulièrement d'autres équipes de troisième division. Gégé-la-Branlette ne rate jamais un match. Les filles, entre vingt et vingt cinq ans, sont attractives, belles et sexy. Aussi, notre ami aime à venir encourager son équipe féminine préférée.

Ce vendredi soir, Gégé-la-Branlette était venu applaudir les filles. Assis sur les gradins, dans la salle de sport, il pouvait, de sa place, tout en haut, observer le bon déroulement de la rencontre. Son équipe était visiblement supérieure aux adversaires venus de la ville voisine. Cinq minutes avant la fin du match, Gégé se leva. Discrètement il se rendit aux vestiaires.

Sur les deux côtés des vestiaires, il y avait des armoires grises en métal. Un porte donnait sur les douches. Une autre, au fond, donnait sur un réduit où étaient rangés les seaux, les balais et autres produits d'entretiens. Gégé-la-Branlette y pénétra et referma la porte derrière lui. De son sac-musette, notre bricoleur sortit sa petite perceuse et les accessoires. Il prépara également son I-Phone. Ne manquant pas de vérifier le bon chargement des batteries.

En deux minutes, juste à temps, Gégé-la-Branlette avait percé un petit trou de 6 mm dans la porte, à hauteur de ses yeux. L'objectif de l'I-Phone pouvait s'y coincer parfaitement. Les filles arrivèrent en riant et avec des éclats de voix qui ne laissaient aucun doute, elles avaient gagné. Gégé déboutonna sa braguette pour en extraire son sexe. L'œil rivé au trou, depuis sa cachette, il observa les filles se déshabiller avant leurs douches.

Sur l'écran de l'I-Phone, qui filmait l'ensemble de la scène, Gégé-la-Branlette, se massant la turbe frénétiquement, pouvait se régaler du corps nu des filles. Filles qui se baladaient, en riant, entre les douches et le vestiaire. Fébrile, excité au-delà du raisonnable, dans un de ses mouvements brusques, notre voyeur heurta les balais.

Les filles, alertées par un vacarme infernal derrière cette porte, s'approchèrent. L'une d'entre elle ouvrit brusquement la porte. Là, le sexe encore dans la main, entouré de seaux et de balais, notre Gégé, une serpière sur la tête, essayait de s'extraire de cet imbroglio d'objets divers. < Oh le salop ! > fit la fille qui avait ouvert la porte ! < Oh putain l'enfoiré ! > fit une autre. < Appelle l'entraîneur ! > fit une troisième...

Gégé-la-Branlette, toute affaire cessante s'enfuit en courant. Hélas, alertés par le bruit, les cris et l'agitation, l'entraîneur et le concierge arrivèrent. Attrapant notre salopiot par le bras, l'entraîneur fit : < C'est quoi ce bordel ? Que faites-vous dans le vestiaire des filles ? >. Gégé réussit à se dégager pour se sauver en courant. < C'est le "Responsable Qualité" de la boîte ! > fit une des filles !

L'entraîneur trouva l'I-Phone encore coinçé dans le trou. Pas de doute, les policiers, appelés sur place, découvrirent les images licencieuses et, surtout, l'identité irréfutable du propriétaire de l'appareil. Le pire, c'est que les agents de la force publique découvrirent, dans l'I-Phone, d'autres films du même genre, tournés en d'autres lieux. Douches, toilettes et autre cabines d'essayages !

Convoqué, assis sur cette vieille chaise, ce lundi matin, notre Gégé était plutôt mal à l'aise dans ce vieux commissariat de quartier...

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C'est encore l'été

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

La cabine d'essayage

Gégé-la-Branlette avait décidé d'aller à l'hypermarché de Barge-les-Ecluses, la ville voisine. Nous étions au début de l'automne. En ce mardi après-midi, la météo était plutôt maussade. Il n'allait sans doute pas tarder à pleuvoir. Gégé gara sa voiture sur le parking. Il était quinze heure. Il n'y avait pas grand monde, notre ami pouvait déambuler tranquillement.

Gégé-la-Branlette venait régulièrement dans cette grande surface. Cette enseigne faisait un peu partie de son "terrain de chasse" habituel. Aussi, notre ami venait y marquer son territoire assez souvent. Il aimait à traîner dans le rayon culturel avant de se rendre aux rayons des vêtements et des chaussures. Poussant son caddie, notre héros se promenait avec nonchalance dans les allées du magasin.

Passant dans le rayon des pantalons, son attention fut attiré par ce bel article en velours côtelé. Il prit sa taille, (un petit 44 pour 1,70 m), et se dirigea vers les cabines d'essayage. Attendant son tour, pour obtenir son numéro de cabine, derrière une ravissante jeune femme, Gégé-la-Branlette eut soudain le "déclic". Mettant la main dans la poche de son blouson, il pouvait sentir le contact rassurant de sa vrille. Petit outil de métal qui ne le quittait jamais. Son porte-bonheur ?

Au bout d'une minute d'attente, Gégé-la-Branlette reçu le numéro 3 correspondant à la cabine 3. Cabine à côté de laquelle la jeune femme venait de pénétrer. Gégé, soudain un peu fébrile, eut le mouvement hésitant. Une fois enfermé dans sa cabine, notre héros colla son oreille contre la cloison. Reprenant une respiration calme et normale, Gégé retrouva tous ses seprits. Il pouvait entendre, à côté, quelques légers "froufrous".

Sortant la vrille de sa poche, la tenant comme un tire-bouchon, Gégé-la-Branlette se mit à percer un trou. Environ à une hauteur d'un mètre. Silencieusement, d'une rotation régulière, en appuyant délicatement, notre ami fit passer la pointe de son outil. En même temps que la vrille passa le trou, un hurlement violent retentit. < Aïe ! Put-Hein ! C'est quoi ! > hurla la jeune femme depuis la cabine voisine.

Il y eut le bruit de la porte qui s'ouvrait et une certaine agitation dans le hall d'essayage. Des bruits de voix. < Put-Hein, je viens de me faire planter une pointe dans la fesse ! > criait la jeune femme. Cette dernière, se mit à pleurnicher en regardant ses doigts. < Heureusement il n'y a pas de blessures ! > fit la responsable des essayages. Une voix masculine résonna : < Qu'est-ce qui passe ? >. La responsable répondit : < La personne vient de se faire piquer le cul ! Il y a un mec dans la cabine à côté ! >.

C'était un vigile. De grande taille et d'une carrure impressionnante, ce dernier vint frapper contre la porte de la cabine 3. Rien ! Pas un bruit. Avec son passe-partout, le vigile ouvrit violemment l'huis. Là, après une seconde de stupeur, en levant les yeux, il vit notre Gégé à cheval sur la cloison. Gégé-la-Branlette essayait de s'enfuir par la cabine 4. Le salopiot voulait filer à l'anglaise...

Le géant attrappa Gégé par le fond de son beau pantalon de velours côtélé. Le tirant à lui, il lui fit : < C'est toi qui pique le cul des clientes ? Je vais t'emmener chez un toubib mon vieux et après t'avoir présenté aux flics ! >. Le vigile entraîna notre voyeur. Ce dernier, une fois assis sur une chaise, devant le bureau d'un petit réduit, attendait, penaud, l'arrivée de la police.

Dans la cloison de la cabine, n'ayant pas réussi à la retirer, puis à l'arracher, Gégé avait abandonné sa vrille. Coinçé, l'outil était là, pathétique, enfoncé dans la cloison. Orphelin. Celle vrille allait constituer, très bientôt, une regrettable pièce à conviction. Pouvant hélas être considérée comme une arme par destination...


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L'outil "fétiche" de notre ami Gégé-la-Branlette

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Gégé-la-Branlette - Le train - Danser
Saturday 5 September 2015 09:21

Oncle-Julien
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Le train

Gégé-la-Branlette, devant se rendre à Barge-les-Ecluses, avait choisi le train. Un voyage de quelques trois cent kilomètres. Gégé aimait bien prendre le train. En plus d'une promiscuité prometteuse, il y avait toujours ces possibilités de rencontres. Autant de raisons qui avaient poussé notre ami à réserver son billet dès la semaine précédente. Ce matin, à dix heure quinze, Gégé embarquait dans le wagon 3, place 117.

Gégé-la-Branlette se retrouva sur une banquette double, en milieu de wagon. En face de lui, assise aux côtés de son petit garçon, une ravissante jeune femme le salua. Notre héros s'installa confortablement. Sortant son journal, il s'apprêtait à se plonger dans la lecture. Gégé regardait par la fenêtre. Non pas seulement pour regarder ce quai de gare mais pour mâter la belle inconnue, dans le reflet de la vitre.

Le train se mit à bouger lentement, semblant glisser le long du quai. Accélérant au fur et à mesure de son avancée. Gégé-la-Branlette avait remarqué le galbe superbe des jambes de la jeune femme. Cette dernière, vêtue d'une jupe légère, d'une veste façon blaser, présentait un physique attractif. Tout cela n'avaient pas échappé à notre héros. A présent, d'ailleurs, il louchait à s'en déboîter les globes oculaires.

Gégé-la-Branlette tentait de voir sous la jupe de la jeune femme. Cette dernière, pour décourager toutes velléités de cet ordre, gardait ses jambes serrées. Tout en chuchotant quelques mots à son fils, elle sortit un magasine du sac coincé entre elle et la fenêtre. Quelques sourires de politesses plus tard, échangés avec notre Gégé, elle se plongea dans sa lecture.

Gégé-la-Branlette, prenant son journal, discrètement, fit un petit trou dans la première page de son journal. En levant les yeux, il put découvrir que le petit garçon le regardait avec un sourire moqueur. Par le petit trou, du diamètre de son index, notre voyeur pouvait continuer à scruter les jambes de la jeune femme. L'astuce, vieille comme le monde, fonctionnait encore une fois, à plein.

Nous avions déjà parcouru plus de cent kilomètres à grande vitesse. Gégé-la-Branlette mâtait comme un dément. A plusieurs reprises, la jeune femme, se croyant protégée par l'écran du journal de notre coquin, avait croisé et décroisé ses jambes. Notre salopiot, une grosse bosse déformant sa braguette, regardait avec l'attention d'un entomologiste. L'œil presque collé au trou dans la page de son journal.

Soudain, un jet d'eau vint embrumer le regard de notre drôle. La vision floutée, Gégé-la-Branlette baissa son journal. Là, il put découvrir le petit garçon, un pistolet en plastique à la main qui se faisait gronder par sa maman. Le gamin venait d'utiliser son pistolet à eau, diriger vers le trou du journal ! < Le monsieur n'arrête pas de te regarder par le trou de son journal ! Je le vois dans le reflet de la vitre ! > fit le gosse.

La jeune femme, regardant notre ami avec un air dubitatif, fit : < Excusez-le. Il est gentil mais facétieux. Je vous présente mes excuses ! >. Gégé-la-Branlette un peu gêné d'avoir été surpris en flagrant délire répondit : < Oh, ce n'est qu'un @#$%&, vous n'avez pas à vous excuser ! >. Le gosse lança : < Et toi, tu es un vilain qui guette ma maman par le trou de ton journal ! >.

Pour mettre un terme à toute ambigüité, la jeune femme, prenant ses affaires et son fils par la main, changea de banquette. Le train n'allait pas tarder à entrer en gare de Barge-les-Ecluses...


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Gégé-la-Branlette - La maison - Danser
Monday 7 September 2015 10:48

Oncle-Julien
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

La maison

Ce bel après-midi d'automne, Gégé-la-Branlette se promenait en bicyclette. Il faisait très agréable. Notre ami venait de quitter le chemin forestier pour se retrouver sur le sentier qui passait derrière le lotissement "Les Brugnes". Gégé connait bien les lieux puisque c'est un de ses circuits pédestres ou cycliste préféré. Aussi, c'est en toute quiétude qu'il s'apprêtait à rentrer chez lui.

C'est en passant devant un des pavillons que l'attention de notre héros fut attirée par cette jeune femme qui suspendait du linge. Nous le connaissons bien notre Gégé, dès qu'il peut mâter, il se complaît dans le voyeurisme. Aussi, descendant de son vélo, restant dissimulé derrière des bosquets, notre bougre se mit à observer.

La jeune femme, vêtue d'une robe légère, s'accroupissait fréquemment pour se saisir du linge dans une grande bassine. Parfois, Gégé pouvait apercevoir un petit bout de culotte entre les cuisses de l'inconnue. Il n'en fallait pas plus pour mettre notre ami dans tous ses états. Une érection commençait même à former une grosse bosse dans son short de cycliste. Short en lycra, fesse renforcées, de chez Décathlon, en promotion, pour 22 euros jusqu'au 8 juin, (c'est déjà passé)..

Au bout d'une dizaine de minutes, ramassant la bassine, regardant une dernière fois son travail bien fait, la jeune femme s'en alla. Montant les trois marches l'inconnue disparut dans sa maison. Gégé-la-Branlette, sortant une paire de jumelles de son petit sac à dos, monta sur la barre de son vélo. Ce dernier appuyé contre la cloture de la propriété.

Grâce à ses jumelles, Gégé pouvait scruter à l'intérieur de la maison par leux deux fenêtres ouvertes. Notre voyeur pouvait à présent regarder la jeune femme occupée à repasser du linge. Sa robe déboutonnée, profitant de la douceur de ce magnifiqie après-midi d'automne, chez elle, dans son intimité, elle se mit à son aise. La vapeur du fer à repasser rajoutant encore à la chaleur.

Gégé-la-Branlette, la main droite dans son short, les yeux collés à ses jumelles, mâtait. Concentré sur son "affaire", notre voyeur avait oublié son environnement. Aussi, lorsqu'une voix masculine lui fit : < Alors, mon gars, tu es au spectacle ? Dis-moi, ça vaut le coup d'œil au moins ? >. Le grognement d'un gros chien en fond sonore.

Gégé, surpris, regarda autour de lui. Effrayé, tout en reprenant ses esprits, notre lascar, par un mouvement brusque du buste, fit bouger sa bicyclette. Ce qui eut pour effet de le faire tomber, lui et son vélo, dans les fourrés. Le chien-loup, que promenait le quidam, n'avait même pas eu le temps de finir son besoin contre la roue arrière. < Excusez-moi, je ne fais que passer ! > fit lamentablement notre ami en se relevant. Le chien devenait menaçant.

L'homme, amusé, fit encore : < Si tu repasses, à l'occasion, vient donc boire un verre, tu verras ma femme de plus près ! >. Gégé-la-Branlette, très gêné, en s'essuyant, répondit : < C'est gentil, mais je ne voudrais pas déranger ! >. Le quidam, avant d'ouvrir le portillon pour entrer dans son jardin, lança : < Remarque, je ne crois pas que ma femme apprécierait vraiment ! Le chien non plus d'ailleurs ! >.

Sous les grognements hargneux du clébard, Gégé-la-Branlette se dépêcha de ramasser ses jumelles, son sac à dos et de filler sur son vélo. Dans la précipitation, fébrile, notre ami renversa même la grande poubelle, au bout du sentier.
Notre voyeur rentra chez lui, sur la petite route de la photographie ci-dessous, penaud et frustré...


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Ne manquons pas le prochain épisode de Gégé-la-Branlette, à la suite de celui-ci, ici-même, dans ce fantastique espace d'expressions. Merci Bob...



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Les aventures de Gégé-la-Branlette

L'échafaudage

C'est en sortant de la boulangerie que Gégé-la-Branlette croisa cette ravissante brune qui marchait rapidement. Il l'a vit entrer par la porte voisine de la boutique. Son intérêt subitement éveillé, notre ami évalua la configuration des lieux. Cette jeune femme était-elle en visite ou habitait-elle dans cet immeuble haussmannien ? Notre héros aurait bien aimé pouvoir répondre à ces questions.

Dans la rue adjacente, Gégé-la-Branlette avisa cet échafaudage qui emplissait presque toute la haute façade. Sur la droite, il y avait l'entrée d'une cour. Notre ami, poussé par sa curiosité, pénétra dans le petit espace. Une sorte d'impasse entourée de murs cyclopéens. Là, contre l'un de ces murs, Gégé remarqua une étroite échelle qui menait au premier étage de l'échafaudage.

Gégé-la-Branlette, animé de cet esprit frondeur, monta le long de l'échelle. Rapidement, il prit pieds sur les deux longues planches de l'assemblage. Notre ami avança avec prudence. Il arriva à la hauteur de la première fenêtre. Fenêtre par laquelle il pouvait voir dans la pièce. Quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la jeune femme vue dans la rue.

Cette dernière, debout devant une grande armoire dont les deux portes étaient ouvertes, semblait ranger du linge soigneusement plié. Gégé-la-Branlette observa longuement la scène. Dissimulé derrière un montant de bois, la tête penchée sur le côté, notre héros pouvait mâter tout à loisir. Ce qu'il ne manqua pas de faire avec une grande concentration.

C'est lorsque la jeune femme retira sa robe d'été, pour se retrouver en sous-vêtements, que Gégé-la-Branlette, en érection, sortit son sexe pour se masser la turbe. Notre voyeur, les sens aux aguets, observait avec une attention décuplée. L'inconnue, dans la pièce, semblait choisir de nouveaux vêtements. Elle procéda à quelques essayages.

Gégé-la-Branlette, agité de son bras mécanique, en sueur, tout rouge, retenait son soufle dans des apnées qui le privaient d'oxygène. Son cerveau, irrigué d'un sang amoindri de ce précieux élément, provoqua sans doute ce manque fatal d'attention. Dans un bruit sourd, une douche d'eau glacée s'abattit sur notre bougre. Trempé, dégoulinant d'eau, Gégé releva la tête pour regarder d'où venait cette surprise mouillée.

Là, deux ouvriers peintres, riant aux éclats, se moquèrent de notre drôle. < Alors ? on mâte les femmes chez elles ? > fit l'un des deux hommes. L'autre rajouta : < Tu nous excuses, hein, on ne l'a pas fait exprès ! >. Ils rirent tous deux de bon cœur d'un rire sonore. Ce rire attira l'attention de la jeune femme qui vint à sa fenêtre : < Que se passe t-il ? Qu'est-ce que vous faites tout mouillé avec votre sexe à l'air ? > demanda l'inconnue.

Gégé-la-Branlette, d'un pas rapide, remballant sa "chose" avec des gestes précis, dévala l'échelle pour disparaître rapidement au coin de la rue...

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Pour voir l'échafaudage, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

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Gégé-la-Branlette - Les toilettes - Danser
Thursday 17 September 2015 09:39

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Les toilettes

C'est lors d'une de ses explorations que Gégé-la-Branlette avait découvert la configuration des toilettes de la faculté. Précisons que l'attention de notre héros s'est très rapidement braquée sur les toilettes "Femmes". En effet, notre ami, toujours à l'affut, explorait souvent les lieux les plus divers et les plus insolites.

Voyeur impénitent, Gégé-la-Branlette avait donc découvert cet endroit par hasard. Espace ouvert, la faculté de Brugne-les-Figues est réputée pour sa modernité et pour le sérieux de ses étudiants. Gégé avait garé sa voiture sur le parking. Discrètement, mais d'un pas rapide, déguisé en plombier, notre ami se rendit pour la seconde fois dans les lieux.

Arrivé dans les toilettes désertes durant cette heure de cours, notre héros s'enferma dans une des six cabines. La seconde cabine. Laissant ainsi la première, la plus immédiatement accessible, libre. De son sac-musette, il sortit sa perceuse. Cette petite Black & Decker sans fil, à la batterie toujours chargée, peu encombrante et légère. Il tira également de son sac un jeu de mèches et la vrille.

Les cloisons de BA-13, ce placo de treize millimètres, très pratique, fonctionnel et facile à percer, n'opposa donc aucune résistance. Gégé, équipant la perceuse d'une fine mèche de 3 mm, amorça le premier trou. Mettant du chewing-gum sur l'emplacement à percer, notre ami évitait ainsi de répandre de la poussière de plâtre partout.

Lorsque ce premier trou fut percé, Gégé-la-Branlette mit la mèche ronde de 1 cm. A vitesse lente, en une minute, un trou parfaitement rond décorait la cloison. Dans l'orifice, notre bricoleur colla du chewing-gum. Ce dernier destiné à bien caler un anneau de caoutchouc. Ainsi, notre héros pouvait coincer l'objectif de son I-Phone.

Il ne restait plus qu'à attendre. Au bout d'une dizaine de minutes, un bruit de pas se fit entendre. La porte de la cabine voisine s'ouvrit puis se referma. Le son du loquet que l'on refermait. Gégé-la-Branlette, allumant son I-Phone, put voir, sur l'écran, une jeune fille qui descendait son pantalon.

Nous le connaissons bien notre Gégé. Une telle situation et le voilà avec une terrible érection. Sortant son sexe, il se mit à se masser la turbe. Tout en regardant l'étudiante entrain de pisser. Filmant la scène pour ses archives personnelles, notre voyeur était aux anges. Tout cela dura deux minutes. La jeune fille s'en alla.

Une dizaine de minutes plus tard, un nouveau bruit de pas. Une fois encore le son du loquet. Gégé-la-Branlette alluma son I-Phone. Toujours en se massant la turbe, notre salopiot en observait l'écran. La jeune fille, sortant son téléphone portable, assise, se mit à bavarder en riant. Dans l'eau du fond des toilettes, on entendait tomber les crottes. Gégé était dans son élément. Une situation merdique, comme il les affectionne...

Gégé-la-Branlette vit le visage de l'étudiante se tourner dans sa direction. Soudain, poussant un cri, elle se releva. Comment avait-elle put découvrir le minuscule objectif de l'appareil ? Sans même se torcher, elle se redressa, réajusta sa jupe. Elle sortit de sa cabine en criant des insultes. Gégé-la-Branlette, enlevant prestement son I-Phone eut rapidement l'explication de cette curieuse réaction.

Une grosse araignée noire se faufila par le trou. L'arachnidé, comme collée au chewing-gum, se débattait de son piège gluant. C'est l'araignée qui avait d'abord effrayé la fille.Rapidemment, Gégé-la-Branlette se reboutonna, rangea son matériel. Trop tard. Des voix se firent entendre. L'une d'entre elle, grave et masculine fit : < C'est la quelle ? >. Une voix de fille fit :< Celle-là ! >.

Gégé-la-Branlette enfermé dans la cabine était pris au piège. Fait comme l'araignée !

< Ouvrez ! Ouvrez où j'appelle la police ! > fit encore la voix. Gégé-la-Branlette, n'ayant pas d'autre choix, sortit de la cabine. Devant lui, un homme rond et fort, fit encore : < Je suis le concierge ! Expliquez-moi ce que vous faites dans les toilettes des filles ? >. A ses côtés la jeune fille au cul crotté et une femme plus âgée qui lança : < La police est prévenue, ils arrivent dans quelques minutes ! Je suis la directrice ! >.

Gégé était fait comme un rat !

C'est au commissariat, lorsque les policiers visionnèrent le contenu de son I-Phone, qu'ils découvrirent des images filmées dans nombre de toilettes publiques de la ville et de ses environs. Gégé-la-Branlette, risquant une srieuse sanction pénale, serait convoqué prochainement...


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En cliquant sur l'image ci-dessus, nous découvrons, émerveillés, le fameux I-Phone à Gégé...

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Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Les journées du patrimoine

Gégé-la-Branlette désirait depuis longtemps visiter le Musée Régional. Avec cette opportunité des journées du patrimoine, proposant une entrée gratuite, l'occasion se présentait enfin. Aussi, notre ami, en ce dimanche de septembre, vêtu de ses plus beaux habits, se rendit en ville. Gégé portait son magnifique baisenville de cuir brun.

Gégé-la-Branlette gara sa voiture sur le parking du Musée. En pénétrant dans l'austère bâtiment hausmannien, notre ami eut comme un frisson. La beauté de l'intérieur conjugué à l'affluence des visiteurs, avait souvent cet effet là sur notre homme. A l'accueil, Gégé se fit remettre un dépliant, descriptif des choses à découvrir.

Gégé-la-Branlette gravit le large escalier central pour se rendre à l'étage. Notre héros voulait absolument découvrir la collection permanente des Hollandais du XVII ème. Amateur de cette époque, appelée "Le siècle d'Or", Gégé appréciait cette peinture fine, délicate et souvent extrêmement détaillée. Le Musée en proposait une quinzaine.

C'est en admirant un splendide Gerard Dou, élève de Rembrandt, né à Leyde, le 7 avril 1613, que l'attention de notre regardant fut attirée par cette belle jeune femme. Cette dernnière, penchée en avant, admirait un magnifique Gabriel Metsu, également né à Leyde, en janvier 1629. L'inconnue allait d'une toile à l'autre en leurs prêtant un regard attentif.

Gégé-la-Branlette, au risque de se déboîter les globes oculaires, louchait sur la jeune femme. Une sorte d'œuvre d'Art mobile qui se mouvait parmis l'immobile. L'inconnue, vêtue d'une jupe, d'un pull, d'un imperméable ouvert et chaussée d'escarpins à talons hauts, déambulait avec une certaine nonchalance. Notre ami, tout en admirant les toiles, mâtait la visiteuse.

Gégé-la-Branlette avait avisé la porte des toilettes. Il n'y avait pas grand monde dans la galerie des Hollandais. La plupart des visiteurs étaient attirés par l'exposition des contemporains au rez-de-chaussée. Un auteur y signait son dernier livre. Surveillant notre promeneuse, notre héros la vit s'approcher imperceptiblement de cette porte.

Rapidement, pour anticiper une éventualité, Gégé-la-Branlette entra dans les toilettes. Là, il choisit d'entrer du côté Dame. Il y avait deux cabinets. Notre coquin s'enferma dans la première cabine. De son baisenville, il sortit sa minuscule perceuse. A l'aide d'une mèche de 3 mm, notre voyou fit un premier trou. Puis, avec une mèche de 10 mm, il procéda à la finalité de son travail.

Gégé-la-Branlette, collant du chewing-gum sur les bords du trou, y fixa l'objectif de son I-Phone. Le voilà opérationnel, il ouvre sa braguette, se masse la turbe et attend. Le bougre. Au bout de quelques minutes, le bruit de la porte résonna. Puis celui de la porte de la cabine que quelqu'un refermait. Gégé-la-Branlette alluma son I-Phone. Immédiatement, sur l'écran, apparue l'image de la jeune femme.

Notre salopiot, tout en se massant la turbe frénétiquement, regardait l'inconnue se débarrasser de son imper, relever sa jupe, descendre sa culotte. Là, cambrée sur ses jambes fléchies, en appui sur ses main contre les cloisons, la jeune femme fit son pissou. Sans s'asseoir. Nous le connaissons bien notre Gégé ! Il ne lui en fallait pas plus pout causer ce profond tourment qui le pousse à faire le con.

Soudain, alors que notre drôle se massait la turbe tout en mâtant l'image, son I-Phone se mit à sonner. Sur l'écran s'afficha le numéro de Dédé-la-Lopette ! Il fallait que l'autre con l'appelle juste à ce moment là ! Sans doute effrayée, la jeune femme regarda autour d'elle. Puis dans la direction d'où venait la sonnerie. Là, elle découvrit l'objectif photographique. Elle se mit à hurler...

Gégé-la-Branlette, réunissant toutes ses affaires dans la précipitation, n'importe comment dans son baisenville, sortit des toilettes à toute vitesse. Sa braguette encore ouverte. Une fois en bas, sur le parking, en faisant démarrer sa Toyota Yaris bleue, notre héros souffla ! Cette-fois, il pouvait filer, son forfait accompli, sans crainte.

Hélas pour lui, la dame de l'accueil et la belle inconnue, sur le haut des marches de l'entrée du musée, avaient relevé le numéro d'immatriculation de la Toyota...


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Sur le cliché, ci-dessous, nous découvrons le magnifique baisenville de Gégé.
Baisenville acheté à Paris, en 2014, dans une boutique de la rue de Rivoli, lors de sa visite du Musée du Louvre.



On peut cliquer sur l'image, pour l'agrandir. Si on veut...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

L'épouvantail

En ce bel après-midi de juin, Gégé-la-Branlette, avide d'un peu d'aventure, s'en alla à travers champs. Vêtu de son short kaki, de sa chemise hawaïenne, chaussé de ses baskets, notre ami portait sur le dos, son petit sac. A l'intérieur, comme toujours, il y avait son matériel. Perceuse, mèches, vrille, papier à poncer et outillage habituel.

Cette fois-ci, pour cette nouvelle expédition, Gégé-la-Branlette avait emmené des vieux vêtements. En effet, depuis quelques temps germait dans son esprit un nouveau projet. Avançant d'un bon pas, notre héros arriva à proximité d'une forêt. Là, au pied d'un mirador, Gégé, monta le long de l'étroite échelle. Pas de chasseurs...

Installé dans la petit guérite, à environ cinq mètres d'altitude, Gégé avait une large vue sur les environs. Assis sur une inconfortable banquette, notre ami scrutait les lieux à l'aide de ses jumelles. Une voiture arrivait au loin. Au bout d'une dizaine de minutes, notre voyeur descendit de sa cachette. Ouvrant son sac à dos, il en tira les vieux vêtements.

A l'aide de deux longues branches, bien droites, ramassées au sol, notre ami noua l'ensemble en croix. Sur la branche horizontale, il enfila la vieille chemise. Sur la branche verticale, il fixa le vieux pantalon. Gégé-la-Branlette n'avait plus qu'à se glisser dans les loques. Il pouvait donc imiter à la perfection un de ces épouvantails que l'on rencontre dans les champs.

A une dizaine de mètres du mirador, Gégé-la-Branlette, à l'ombre des grands chênes, attendit l'improbable arrivée de quelques promeneuses esseulées. Le bruit d'un moteur, se rapprochant, attira soudain l'attention de notre épouvantail.
Coiffé d'un vieux chapeau, portant des gants, Gégé commençait à avoir chaud. Le visage dissimulé derrière un masque en chiffon, la sueur commençait à perler.

Un bruit de portière qui claque, des paroles échangées par une voix féminine et une voix masculine, il y avait du monde. Gégé-la-Branlette, parfaitement immobile, retenant sa respiration, vit arriver un couple. Un grand chien, sans doute un Doberman, sautillait de joie tout en pissant contre l'échelle du mirador. Notre ami pouvait entendre, dans sa poitrine, battre son cœur.

La jeune femme, posa sa main sur la braguette du jeune homme, celui-ci l'entraîna au sol. Rapidement, le jeune couple se mit à faire l'amour. Gégé-la-Branlette, en érection, tenait dans sa main droite son I-Phone. Appareil avec le lequel il filmait la scène. Tout cela durait depuis un quart d'heure. De temps en temps, surgissant des buissons, le Doberman venait renifler.

Gégé-la-Branlette, de sa main gauche, se masturbait doucement. Cette fois-ci, le Doberman vint dans sa direction. Longuement, le chien observait ce curieux épouvantail. L'animal commençait même à grogner. Notre héros, mort de peur, lui murmurait < Chut ! Tais-toi, je te donne des petits gâteaux tout à l'heure ! >. Comme si le clébard pouvait comprendre !

Le Doberman leva la patte pour venir pisser longuement sur les pieds de Gégé. La chaleur devenait insupportable. Notre voyeur était en nage. Soudain, le chien, en sautant dans tous les sens se mit à aboyer et à se montrer menaçant. Gégé-la-Branlette n'en menait pas large. Le couple cessa ses activités pour observer l'animal. Et l'épouvantail...

Le chien attrapa le bas du pantalon de l'épouvantail et se mit à le déchirer. Gégé-la-Branlette fut démasqué. En slip, notre ami se mit à courir pour échapper au Doberman. Lâchant son I-phone qui tomba dans l'herbe. L'animal, tout heureux d'avoir une proie pour ses jeux, se mit à poursuivre notre héros. Le jeune homme, lâchant sa compagne, se relevant, se mit à crier : < Max, revient ici ! Max, aux pieds ! >. Le chien s'arrêta pour rejoindre ses maîtres.

Gégé-la-Branlette, son sac à dos resté dans le haut du mirador, voyant repartir le chien, n'avait d'autres alternatives que de retourner à sa voiture. En slip, en chemise déchirée, chaussé de bottes en caoutchouc, notre ami fit grosse impression aux près des promeneurs qu'il croisait. Ce n'est qu'en soirée qu'il retourna récupérer son sac à dos.

Par contre, impossible de retrouver le bel I-Phone...


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Ci-dessus, Gégé dans ses œuvres...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Les toilettes publiques

Gégé-la-branlette avait son "circuit-voyeur". Partout en ville, notre héros avait ses repaires. Il connaissait les lieux et les endroits les plus chauds si pas les plus glauques. Il y en avait deux qui suscitaient tout particulièrement l'intérêt de notre ami. Les toilettes publiques du vieux parc et les toilettes publiques abandonnées derrière le stade de foot-ball, à la sortie de la ville.

Ce jeudi après midi de novembre, par cette journée froide et brumeuse, Gégé-la-Branlette fit son circuit habituel de ce côté-ci. C'est donc derrière le stade de foot-ball, désert, que se rendit notre promeneur. Gégé gara sa voiture sur le parking. Il n'y avait personne. Notre héros sortit du véhicule pour se rendre dans le petit bâtiment désaffecté.

L'odeur désagréable des lieux d'aisance saisit immédiatement les narines lorsque l'on pénètre en ces endroits. De vieilles portes, à la peinture bleue écaillée, entrebaillées, permettent d'apercevoir la faïence jauni des toilettes. C'est là, dans cette espace merdique, que notre voyeur aime à s'embusquer pour guetter l'éventuelle visiteuse.

Il arrive, de très rares fois, qu'une femme, poussée par l'urgence, vienne faire son besoin ici. Au printemps, Gégé avait pu admirer une jeune fille venue à bicyclette. Celle-ci avait fait son pissou rapide, toutes portes ouvertes. Notre ami, à cette pensée, en est encore tout retourné. Surtout qu'il avait pu échanger quelques mots avec elle.

Gégé-la-Branlette, préparant son I-Phone dont il avait chargé la batterie le matin même, se cacha dans la première cabine du côté femme. Cette cabine donnait sur la porte d'entrée. Par le petit trou, que notre ami avait percé l'année dernière, il pouvait guetter une arrivée éventuelle. Il arrivait fréquemment que Gégé passe ici deux heures sans qu'il ne passe strictement rien. Notre voyou avait bloqué les portes laissant juste l'accès à la cabine voisine.

Ce jour-là, Gégé-la-Branlette, était présent depuis une heure. Soudain, le bruit d'une voiture qui se garait sur le parking attira son attention. Tous les sens aux aguets, notre héros, retenant son souffle, l'œil rivé au trou, guettait une possible arrivée. Bingo ! Une jeune femme, visiblement pressée, entra dans les toilettes. Tenant un mouchoir dans sa main pour éviter tous contacts, elle entra dans la cabine voisine de celle de Gégé.

Son I-Phone collé avec du chewing-gum contre la cloison, l'objectif sur le trou, notre salopiot se mit à filmer. La jeune femme, debout, cambrée au-dessus des toilettes, se mit à pisser dans un jet sonore. L'echo particulier de l'endroit faisait résonner ce jet avec un bruit surréaliste. Tout se passait comme le souhaitait notre héros. Jusque là...

Une fois encore, dans sa précipitation, Gégé-la-Branlette avait oublier d'éteindre la fonction téléphone de son appareil. Cet oubli lui fut cruellement rappelé par la sonnerie soudaine de son I-Phone. Sonnerie imitant à la perfection les vieux téléphones de France-Télecom, il y a vingt ans. Avec ce bruit, nous imaginons sans peine la réaction de la jeune femme se croyant seule...

Précipitamment, l'inconnue laissa retomber sa jupe tout en remontant sa culotte et ses collants. Elle sortit de sa cabine pour se sauver par la porte. Sur l'écran de son I-Phone, Gégé-la-Branlette pu voir s'afficher le numéro de Dédé-la-Lopette. Une fois encore ce con choisissait bien son moment ! Gégé, sans répondre, fébrile et nerveux laissa s'échapper l'appareil qui tomba dans le trou des cabinets. Vu l'aspect du liquide, notre héros décida d'abandonner toute recherche.

Dans la voiture garée à côté de la sienne, il y avait la jeune femme assise sur le siège passager. Debout, devant la portière ouverte, il y avait un type. Sans doute le compagnon de l'inconnue. Ce dernier s'avança vers Gégé pour lui dire : < Tu fais le voyeur dans les chiottes ? >.

Gégé-la-Branlette, affirmant le contraire entra dans son véhicule. Le type le regardait d'un air menaçant. Notre ami démarra pour filer rapidement...


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En cliquant sur l'image, si on veut, on peut se faire une certaine idée des lieux de prédilection de notre Gégé...

Classe
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Super Top moumoute Eclats de rire
Gégé-la-Branlette - La voisine - Danser
Wednesday 7 October 2015 09:15

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

La voisine

Depuis trois ans qu'il vivait dans cet appartement, au second étage de la résidence " Les Glands", Gégé-la-Branlette avait remarqué cette jeune femme. Cette inconnue qui habitait dans la première maison du lotissement voisin, "Le clos du Chef". Cette dernière venait régulièrement accrocher son linge par jour de beau temps.

Ce jour-là, Gégé-la-Branlette, après s'être fatigué les rétines à observer dans ses jumelles, décida d'en savoir davantage. Aussi, s'habillant de son jogging bleu à rayures jaunes, se chaussant de ses "baskets", notre ami descendit au rez-de-chaussée. De là, ayant bien étudié la configuration des lieux, notre héros fit mine de partir en petite foulée.

Arrivé dans l'étroit passage qui séparait les deux maisons du lotissement, Gégé-la-Branlette se mit en planque. Regardant dans tous les sens, s'étant assuré être seul, notre héros enjamba les haies pour pénétrer dans la propriété privée. Se dissimulant derrière les rosiers, sous une fenêtre, notre voyeur, sur la pointe des pieds, regarda à l'intérieur de la pièce.

La jeune femme entra dans la chambre. Vêtue légèrement, avec ce sentiment sécurisant d'être à l'abri des regards, elle se mit à ses occupations domestiques. Se saisissant du fer à repasser, elle étala une chemise sur la table. Gégé-la-Branlette pouvait deviner la petite culotte sous la robe transparente. Ce qui le mit en érection. Le bougre se déboutonna pour se masser la turbe.

Soudain, dans un bruit de feuilles, Totem, le chien-loup de la jeune femme attrapa Gégé-la-Lopette par le fond de son pantalon. Dans un grognement le chien entraîna notre salopiot pour finir par lui déchirer le vêtement. Attirée par l'agitation, la jeune femme vint à la fenêtre. Voyant notre Gégé, tiré par le fond de son pantalon, l'inconnue ouvrit les battants.

< Totem, Totem, arrête ! Stop ! Aux pieds Totem ! > cria t-elle à l'adresse de son chien. Celui-ci, obéissant à sa maîtresse, lâcha notre drôle qui s'empressa de s'enfuir, le pantalon en lambaux. Chez lui, au bout d'une demi-heure, des coups furent frappés contre la porte de son appartement. Gégé-la-Branlette ouvrit l'huis.

< Alors ? on fait du voyeurisme en se livrant à de l'intrusion en propriété privée ? > fit le grand type debout dans l'encadrement de la porte. < Tiens mon bonhomme, c'est ton I-Phone ! Parce qu'en plus tu filmes ? >. Gégé-la-Branlette, confus, ne sachant quoi répondre récupéra son appareil. Le grand type rajouta encore : < Si je te vois encore une fois rôder dans ma propriété, je porte plainte ! Ou je te casse la gueule ! C'est clair, mon bonhomme ? >.

Gégé-la-Branlette, une fois seul, s'écroula sur son canapé, soulagé de s'en être tiré à si bon compte...


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Lorsque la réalité rejoint la fiction !

Gégé-la-Branlette ferait-il des émules ? Notre héros susciterait-il quelques vocations ? Laissons le lecteur se faire une opinion en découvrant cet article tiré d'un fait divers récent, s'étant déroulé le 5 octobre 2015, dans les Yvelines.

Découvrons, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés, cet article de presse découpé dans le journal local.



Un imitateur de notre Gégé-la-Branlette ou bien Gégé lui-même ?

Classe
Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Il est partout ce Gégé Eclats de rire
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette


Les toilettes de la salle d'attente

Gégé-la-Branlette était assis dans la salle du docteur Benoît Chauzemol. Un petit embarras gastrique l'avait poussé à prendre un rendez-vous avec le praticien. Notre ami feuilletait un vieux Pars-Match qu relatait l'arrivée au pouvoir de Valery Giscard d'Estaing. En face de lui, il y avait une vieille dame. Sur sa droite, un couple chuchotait en regardant des photographies.

Cela faisait déjà une bonne demi-heure que Gégé-la-Branlette attendait son tour. La porte de la salle d'attente s'ouvrit soudain, laissant le passage à une ravissante jeune femme. Vêtue d'une jupe, couverte d'un manteau et chaussée d'escarpins à talons hauts, sa silhouette élégante ne laissa pas notre héros indifférent. Elle s'assit à côté de la vieille dame, devant Gégé.

Faisant semblant de continuer sa lecture, Gégé-la-Branlette louchait sur les jambes de l'inconnue. Notre ami, "spécialiste" du coup d'œil discret, déposa sa pochette en cuir au sol, aux côtés de sa chaise. Son I-Phone, faisant office de rétroviseur, judicieusement posé dessus. L'écran de son I-Phone permettait, tel un miroir, de distinguer parfaitement ce que ce dernier reflétait.

Gégé-la-branlette, la tête penchée sur son magazine, observait l'écran de son I-Phone. Il tentait de voir entre les cuisses de la jeune femme lorsque celle-ci croisait ou décroisait ses jambes. Nous le connaissons bien notre Gégé, toujours prompt à faire le con dans toutes les situations qui lui en donnaient l'occasion. Là, il y en avait encore une bonne. Notre coquin allait encore se montrer "brillant"...

Avisant la porte des toilettes, au fond de la salle d'attente, la jeune femme se leva pour s'y rendre. Elle n'y avait pas pénétré depuis trente secondes que notre salopiot se leva à son tour pour la rejoindre. A l'intérieur, à côté du lavabo, il y avait deux cabines. Collant son oreille au deux portes, Gégé-la-Branlette repéra rapidement la cabine qui était occupée. Il entra dans l'autre.

Sortant la petite vrille qu'il avait toujours sur lui, comme son "porte-bonheur", notre ami se mit à percer un trou dans la cloison. Presque aussitôt, avec la pression et la vitesse de rotation, la vrille perça la paroi. Sa main frappa donc violemment le mur. Gégé-la-Branlette ne s'attendait certainement pas à une telle absence d'épaisseur ! A peine quelques millimètres d'un panneau de particules.

Trop tard. Les agissements de notre voyeur avaient attiré l'attention de la jeune femme. Celle-ci sortit de sa cabine et, sans même se laver les mains, elle se précipita hors des toilettes. Gégé-la-Branlette terminait de ramasser les copeaux et de ranger sa vrille. Il sortit à son tour de sa cabine pour se retrouver devant l'impressionnante carrure de Benoît Chauzemol, docteur gastro-entérologue...

< Cher monsieur, ma patiente, est venue se plaindre de vos curieux agissements dans mes toilettes ! >. Le docteur entra dans la cabine pour constater le petit trou parfaitement rond dans la cloison. < Je vois ! Et c'est le cas de le préciser, je vois à quoi vous vous livrez ! Je vous demanderais d'aller donner libre cours à vos penchants, chez un autre docteur. Merci et au revoir !>.

Gégé-la-Branlette, évitant le regard furieux de la jeune femme, passa rapidement dans la salle d'attente pour filer, tête basse...


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Salle d'attente...

Classe
Homme, 99 ans, France, Grand Est
Cher LE-BRANLEUR, merci pour toutes ces histoires, que je suivrai avec intérêt désormais.
Votre sens de la narration et du détail nous font apprécier ce malheureux Gégé et compatir à ses mésaventures.
Gégé-la-Branlette - Le drône - Danser
Friday 23 October 2015 10:44

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Le drône

Gégé-la-Branlette avait acquis son drône à la FNAC, en ville. Un drône fabriqué en Chine, petit, compact, pouvant voler grâce à quatre petites hélices et d'une extrême mobilité. Sur celui-ci, notre ami avait fixé une micro caméra à haute définition. C'est dans les prés, près de chez lui, que notre héros fit des tests concluants. Tout fonctionnait parfaitement.

Pas plus grand qu'une tablette, la commande, légère, permettait d'actionner l'appareil jusqu'à cinq cent mètres. Bien sûr, il faut pouvoir bénéficier d'une météo favorable. Une absence de vent. Une absence de pluie. Un temps de brouillard n'étant pas non plus spécialement conseillé, le drône offre alors ses fonctions ludiques.

Gégé-la-Branlette gara sa voiture sur le parking au bas d'un immeuble résidentiel. Sur le couvercle du vide-poche ouvert, notre ami avait disposé sa tablette, écran allumé. Sortant de son automobile, discrètement, notre héros mis son drône en marche. D'un simple élan de la main, il lança l'appareil vers les cieux.

Grâce à sa télécommande, Gégé-la-Branlette dirigea le drône vers les hauteurs. Jusqu'aux derniers étages. Assis côté passager, fenêtre ouverte, notre coquin regardait sur l'écran de sa tablette. L'image était parfaite. Gégé maintenait le drône à l'état stationnaire devant le premier balcon du dixième étage. Tout semblait fonctionner au mieux. Sa braguette était ouverte...

Au bout de quelques minutes, une jeune femme, vêtue d'un simple peignoir ouvert, vint arroser des plantes sur son balcon. Gégé-la-Branlette se mit à zoomer, filmant l'entre-jambes de la dame accroupie. Ses seins en parfaites libertés, n'échappaient pas à la sagacité de la caméra. Notre voyeur se régalait tout en se massant la turbe. L'inconnue disparut au bout de quelques instants. < C'est dans la boîte ! > fit notre salopiot.

Gégé-la-Branlette guida son drône vers un balcon voisin. L'appareil, parfaitement silencieux, blanc, n'avait pas encore attiré la moindre attention. Soudain, derrière la grande fenêtre, une ravissante jeune femme, simplement vêtue de belles chaussettes à rayures, s'arrêta pour regarder le ciel. Gégé en zoomant comme un malade, filma quelques gros plans "croustillants".

L'inconnue disparut à son tour dans l'obscurité de son appartement. Notre salopiot survola un autre balcon. Là, simplement vêtue de sa culotte, une jeune femme suspendait du linge de corps sur un petit étendoir. Gégé-la-Branlette, totalement déconnecté des réalités, se massait la turbe en filmant. Un peu comme s'il était devant un jeu vidéo. La fureur !

Sur l'écran de la tablette, soudain, Gégé vit la jeune femme s'approcher. Son visage en gros plan, scrutait le drône. Elle était étonnée, consternée et venait sans doute de comprendre. Notre ami, soudain fébrile, pressé de mettre un terme aux agissements du drône fit quelques manœuvres maladroites. Aussi, sa commande, tombant sur le sol de sa voiture, la situation lui échappa complètement.

Sur le balcon de la belle inconnue, le drône vint s'écraser, pitoyable, entre un yuka et une jardinière contenant des plans de ciboulettes. La jeune femme ramassa l'engin qui agonisa lamentablement entre ses mains. Sa réaction ne se fit pas attendre. Elle composa le 17 sur son téléphone pour préciser qu'elle emmenait au commissariat un OVNI s'étant abîmé sur son balcon à l'instant.

Gégé-la-Branlette, peu soucieux de tout le reste démarra en trombe. Il quitta le parking en renversant une grande poubelle grise. Là, en excès de vitesse, sur la petite route, il filait à l'anglaise. C'est une heure après son retour chez lui que de violents coups furent frappés contre sa porte. Il ouvrit. Deux agents de police, lui présentant une convocation immédiate, invitèrent notre voyeur à les suivre derechef. Gégé n'avait pas le choix.

Au commissariat, les deux agents qui lui firent visionner, sur un écran de télévision, les images volées. Les fonctionnaires lui signifièrent que trois plaintes avaient été déposées à son encontre. Violation de la vie privée, voyeurisme, semblaient êtres les deux principaux griefs retenus contre notre ami. Avec la chute du drône, il était même possible qu'une tentative d'agression soit mentionnée dans le procès verbal...


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Ci-dessous, nous découvrons le drône de Gégé...



NOTE :
Ne faites surtout pas comme Gégé-la-Branlette, c'est un voyou !
On ne doit pas faire de telles choses. Ce n'est pas correct.
Aussi, il est impérieux de prévenir ceux à qui cette fiction pourrait donner des idées.
Les sanctions pénales sont lourdes et la vie privée est sérieusement préservée par la loi...
Merci

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Gégé-la-Branlette - Halloween - Danser
Friday 30 October 2015 11:26

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Halloween

Gégé-la-Branlette explorait souvent les environs. Notre ami connaissait tous les "hauts lieux", fréquentés et "chauds" de la région. Il avait notamment repéré ce vieux bunker en lisière de forêt, près de la chute d'eau de la rivière. Gégé savait qu'il se passait ici de curieuses choses. Une nuit, caché dans les buissons, il avait même assisté à des groupes d'individus s'adonnant à des comportements étranges.

C'est toujours la nuit de Halloween, le 31 octobre, que se réunissent là, une dizaine de personnes. Cette année, Gégé-la-Branlette a décidé de se cacher derrière les épais fourrés, au-delà de la rivière. Armé de sa paire de jumelle, d'une caméra sur pieds, notre ami s'est rendu sur place pour dix huit heure. Petits gâteaux, chocolats et bières dans son petit sac à dos. Au cas ou...

C'est vers vingt heure qu'arrivèrent les premières voitures. De grosses berlines allemandes et anglaises se garèrent sur une aire de stationnement le long du chemin. Il faisait nuit. Heureusement, la lune encore bien lumineuse, éclairait les lieux. Les convives se saluèrent. Chacune des personnes présentes, indifféremment de son sexe, se fit la bise dans une étrange accolade.

Deux hommes, vêtus de tenues de camouflage, installèrent deux projecteurs. Gégé-la-Branlette avait donc une vue parfaite sur ce qui se passait. Deux autres personnes allumèrent un grand feu. Du coffre d'une des voitures, une femme ramena une grande statue qu'elle disposa sur une table de camping. Une curieuse musique, lancinante et hypnotique se fit entendre.

Les personnes présentes, assises sur des sièges de camping, se mirent à manger, à boire, tout en plaisantant. De l'endroit où il se trouvait, Gégé-la-Branlette ne pouvait pas comprendre les échanges. Par contre, il pouvait constater les mêmes familiarités des membres entre eux. Ces gens devaient très bien se connaître. Et on se touchait les sexes, et on se se tapait dans le dos, et on riait de bon cœur. Copains-Copines, on se touche les machines ! ! !

Vers vingt deux heure, tout ce beau monde se déshabilla, tout nu, pour se revêtir de vêtements ressemblant à ceux d'un ordre monastique médiéval. Les têtes recouvertes d'une cape, les convives enfilèrent tous le même masque blanc sans expression. La scène devenait surréaliste. Gégé-la-Branlette fit tourner la caméra en zoomant fortement.

Se tenant par les mains, les "moines" se mirent à psalmodier d'étranges mélopées. Au bout d'un moment, se divisant en deux groupes, les convives formèrent deux cercles. L'un tournant à l'intérieur de l'autre mais en sens contraire. A ce moment, sortant d'une des voitures, ce qui semblait être le Maître de cérémonie se rapprocha. Il cria un mot et tout s'arrêta.

Comme sur un signal, les convives, retirant leurs robes, ne gardant que leur masque, se ruèrent les uns sur les autres pour se livrer à une partouze magistrale ! Près du grand feu afin de profiter de sa chaleur. Nous le connaissons bien notre Gégé. Voilà une situation qui ne manquait pas de pimenter les profondeurs de sa psyché. Sortant son sexe, les yeux rivés sur ses jumelles, Gégé-la-Branlette se massait la turbe. Il frissonait de froid...

Soudain, avec ce bruit sonore des téléphones gris "France-Telecom" des années quatre vingt, son portable se mit à résonner dans le silence de la nuit. Les participants de l'orgie nocturne, cessant leurs copulations débridées, se levèrent. Tout le monde s'approcha de la rivière. Un des participants braqua un projecteur dans la direction du bruit.

Gégé-la-Branlette, une fois de plus repéré par cette connerie de téléphone s'empara de tous son matériel avec une fébrilité inquiétante. Notre ami, se mettant à courir, protégé par la rivière, laissa tomber un paquet de gâteaux, sa paire de jumelle et la flasque de whisky qui ne le quittait jamais durant ses expéditions nocturnes.

Rapidement notre voyeur fit démarrer sa voiture. Accélérant plus que de raison, notre héros, faisant patiner ses roues sur l'herbe humide, fila sans demander son reste. Gégé-la-Branlette, pour ce 31 octobre, a encore passé une fête de Halloween SEX-traordinaire.

En regardant l'écran de son I-phone, Gégé découvrit que l'origine de l'appel provenait de son vieux pote Dédé-la-Lopette. Dédé qui, depuis le chalet où il passait le week-end, lui souhaitait une joyeuse Halloween en laissant un puissant < Bouhhhhhhhhhh ! >.

< Le con ! > fit Gégé-la-Branlette en éteignant son portable...


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Happy Halloween dears friends...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Les vestiaires du théatre

Ce samedi soir d'avril, Gégé-la-Branlette s'était rendu à une représentation théatrale.
Une pièce donnée par la troupe "Les Joyeuses", jeunes filles de la faculté des sciences.
Gégé avait reçu une invitation par son comité d'entreprise. Une soirée au théatre "L'Orpheon".
Notre ami, pas vraiment fervent "théatreux", mit donc a profit cette soirée pour sortir.

Comme à son habitude, Gégé-la-Branlette avait exploré les lieux, discrètement.
Il avait procédé à une investigation pendant le premier acte, prétextant le besoin d'aller aux WC.
Sur la scène, quatre filles se donnaient la réplique. Pièce burlesque et pleine d'humour.
Notre "explorateur" avait rapidement fait le tour du petit établissement. Saluant la dame-pipi.

Gégé-la-Branlette revint s'asseoir pour assister au second acte. Les filles, plutôt belles, déclamaient.
Notre ami pouvait découvrir leurs plastiques avantageuses dans leurs costumes de sciences-fiction.
Collants, leggings, bottes, capes et maillots plutôt moulants. De curieux casques sur la tête.
Les spectateurs, parents, familles, amis, riaient et applaudissaient en riant. Notre héros appréciait.

A l'entracte, Gégé-la-Branlette s'éclipsa discrètement. Prenant le couloir qui menait aux vestiaires.
Là, avisant la porte qu'il avait précédemment repéré, notre héros la poussa pour entrer dans le local.
Une pièce ou s'empilaient différents accessoires, décors et tentures de toutes natures.
Là, collant son oreille à la cloison, notre voyeur put entendre rire les actrices. Elles parlaient cul !

S'emparant de sa mini perceuse à pile, notre salopiot fit un minuscule premier trou. En silence.
Quasi invisible, pratiqué en silence, derrière un porte cintre, l'orifice permettrait d'être agrandi.
Restant silencieux, écoutant rire les filles, Gégé-la-Branlette prépara son matériel.
Mèche de 6, papier à poncer, petit miroir. Notre voyou fit un essai de la caméra de son I-phone.

Lorsque la représentation repris, Gégé-la-Branlette en profita pour agrandir le trou.
Cette fois-ci, désireux de réussir son coup, il entra même dans les vestiaires.
Là, notre ami put constater la parfaite discrétion de son travail. Le trou restait discret. Secret.
Retournant dans le local, collant l'objectif de son I-phone au trou, il prit son mal en patience.

Enfin, vers vingt trois heure, la pièce de théatre s'acheva dans un tonnerre d'applaudissements.
Les filles, fatiguées mais heureuses, revinrent au vestiaire pour se changer. Riantes et amusées.
Presque nues, se changeant en prenant leur temps, les actrices se taquinaient en plaisantant.
Cela dura ainsi un bon quart d'heure. Les "petits copains" arrivèrent pour rejoindre les filles.

Il y avait une ambiance plaisante. Deux bouteilles de champage firent résonner leur bouchon.
Les parents des filles arrivèrent à leur tour. Des amis, des proches envahirent le vestiaire.
La fête battit ainsi son plein jusqu'aux environs de minuit. Le concierge arriva en chantant.
Ce dernier invita tout le monde à quitter les lieux car il allait fermer le théatre. Demain, expo...

C'est vers trois heure du matin que Gégé-la-Branlette se réveilla. Seul. Ayant tout raté.
Le bougre s'était endormi sans même s'en rendre compte, roupillant comme une encume.
Ce n'est que le dimanche après-midi qu'il fut enfin délivré, se mêlant aux visteurs de l'exposition.
Là, mort de faim, notre Gégé, rapidement sorti pour rejoindre sa voiture et rentrer chez lui...


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Nous découvrons, ci-dessus, les vestiaires, cadre de cette extraordinaire aventure...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Gégé monte au chalet "Les Ritournelles"

C'est au téléphone, que Dédé-la-Lopette avait évoqué ce chalet, en montagne, où il passait son second séjour. Gégé-la-Lopette est plutôt faignant, empâté et traîne une surcharge pondérale. L'idée de marcher trente minutes, sur un sentier de montagne, avec un sac à dos, l'effrayait quelque peu. Dédé insista < Viens, montes, c'est super, il y a de la salope ! > lui avait-il précisé au téléphone.

Aussi, réunissant tout son courage, Gégé-la-Lopette, après avoir préparé son sac à dos, alla faire les courses au Super U. Boîtes de raviolis, de cannellonis, de paëlla et de couscous firent donc l'objet de toute son attention. Nous constatons que, chez Gégé également, la diététique reste un soucis constant. Une cartouche de clopes chez le buraliste.

Ce samedi matin, voilà notre ami en route pour la montagne. Après une heure de route, Gégé-la-Branlette gara sa bagnole sur le parking. De là, il fallait gravir un étroit sentier. Râlant, pestant, déjà découragé, notre montagnard chargea son sac qu'il mit sur son dos. < En route, mauvaise troupe ! > fit-il avant de s'élancer...

Enfin, essoufflé, au bord de l'apoplexie, notre marcheur arriva devant le chalet. Dédé-la-Lopette vint accueillir son vieux pote. < Alors vieux, tu as l'air mourant, ça va ? > demanda Dédé. Gégé répondit : < Putain, j'arrête de cloper et de picoler si je me mets à la marche en montagne ! >. Dédé, saisissant Gégé, l'invita à monter l'escalier.

Là, dans cette ambiance que nous commençons à bien connaître, tous les habitués étaient assis. Parties de tarots, parties d'échecs, parties de belote, tout cela dans la bonne humeur habituelle. Gégé-la-Lopette déposa son sac et alla saluer les convives. Serrant la main à tout le monde il se présenta. "Hulk", le gardien du chalet lui fit : < Les amis de nos amis sont nos amis ! >. Il rajouta : < Tu montres ta bite aux gonzesses toi aussi ? >. Tout le monde ria de bon cœur.

Gégé-la-Branlette monta à l'étage. Il prépara son lit dans le dortoir, à côté de celui de Dédé. Il fit un rapide tour des lieux, palpant le bois des cloison, tapotant les lambris afin d'en tester l'épaisseur. De son sac à dos, il tira la petite vrille qui ne le quittait jamais. Il en profita pour faire un petit trou, juste à côté de son lit, afin de pouvoir mâter dans le dortoir voisin.

Une fois redescendu, Gégé-la-Branlette, sa petite vrille dans la poche, alla visiter les toilettes. Il était comme un chiard dans un magasin de bonbon. Il y avait là de quoi percer ! Il étudia consciencieusement la configuration des lieux. Gégé perça donc un premier trou dans la cloison qui séparait le cabinet des femmes de celui des hommes, juste derrière la chaînette de la chasse d'eau.

Ce week-end pouvait donc commencer dans les meilleures dispositions. Notre voyeur, la batterie de son I-phone bien chargée, avait la certitude de pouvoir immortaliser quelques grands moments. Il était midi. Gégé-la-Branlette se rendit à la cuisine avec une boîte de cassoulet. Natacha Passesky lui fit : < Putain ! Toi aussi tu bouffes des merdes en boîte ! >. "Hulk", le gardien lui fit : < Notre nouvel ami Gégé, eh bien, il bouffe la merde qu'il veut ! >.

Josiane Frouchiez vint à la cuisine avec un gros choux et des carottes. < Tu bouffes avec nous ? Tu vas voir, c'est meilleur que ton Cassoulet "William Sais-rien" ! >. Gégé-la-Branlette accepta. A ce moment, Chantal Mouyet, entrant dans la cuisine avec des pommes de terre, fit : < Toi, Gégé, on va t'appeler "Cassoulet" ! Dédé s'appelle bien "Ravioli" ! >.

Et voilà Gégé-la-Branlette affublé de son nouveau sobriquet. A présent, ici, au chalet "Les Ritournelles", il ne serait plus que "Cassoulet" !

Ne manquons donc pas les prochaines aventures de Gégé-la-Branlette, alias "Cassoulet" au chalet. Ici-même, sur ce même fantastique forum, dans la même rubrique "Être voyeur"...


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Découvrons, ci-dessous les éléments de l'intrigue à venir...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette (alias Cassoulet)

Gégé au chalet - (Partie 2)

Gégé-la-Branlette alla aux toilettes. Par le trou qu'il avait percé dans la cloison, il pouvait parfaitement observer ce qui se passait dans le cabinet voisin. Il prit un chewing-gum qu'il mâcha consciencieusement. Lorsque celui-ci fut correctement mâché, Gégé le colla en quatre parties, autour de l'orifice.

Notre voyeur sortit son I-phone de sa poche. Il contrôla la chage de la batterie. Tout était parfait. Gégé colla l'objectif de son appareil contre le trou. Il mit sur position "film" et alluma l'écran. L'image présentait une résolution extraordinaire. Tout était donc fonctionnel et prêt. Il ne restait plus qu'à attendre une "utilisatrice".

La patience de Gégé-la-Branlette ne fut pas mise à rude épreuve car, à peine deux minutes plus tard, Magalie, la belle blonde, vint faire son pissou. Notre salopiot, sa bite à la main, mit tout en route. La scène allait être immortalisée dans la mémoire numérique de l'appareil.

A l'image, nous pouvions découvrir la jeune femme, de dos, descendant son pantalon et sa culotte. De sa main gauche elle retenait ses cheveux, de l'autre elle prenait appui sur le mur de droite pour ne pas s'asseoir sur la lunette des chiottes. Prudente. Une gastro ou autre saloperie sont tellement vite arrivées en ces lieux de promiscuité.

Nous pouvions admirer, sur l'image, les fesses étroites et fermes de la pisseuse. Soudain, en même temps qu'un léger soupir, il y eut le bruit du jet. Magalie regardait le plafond en attendant que ça se fasse. Gégé-la-Branlette se massait la turbe comme un malade. Lorsque tout fut terminé, que la belle blonde se soit rhabillée et repartie, notre enfoiré regarda le film. < C'est dans boîte ! > fit-il en rangeant son matériel avant de rejoindre Dédé-la-Lopette et les autres.

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Ne manquons pas le prochain épisode de notre ami "Cassoulet"...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (alias "Cassoulet")

Gégé au chalet - (Partie 3)

Gégé-la-Branlette était entrain de taper le carton. Une partie de belote à quatre avec Dédé-la-Lopette, Benoît Chauzemol et Chantal Mouyet. Tout le monde riait de bon cœur, l'ambiance était à son comble. De sa place, Gégé pouvait observer la porte des toilettes, donc qui s'y rendait.

Gégé-la-Branlette, son attention attiré par la grande silhouette de Denise Foutrar, la vit entrer dans les toilettes. Immédiatement, se levant en s'excusant, notre héros se leva pour rejoindre la jeune femme. Il s'enferma dans le cabinet du coté homme. Là, sortant son I-phone, allumant la fonction "caméra", il plaça l'objectif au trou préalablement creusé.

Comme pour la fois précédente, notre salopiot, se masturbant comme un dément, filmait la fille entrain de pisser. Sur l'écran de son I-phone, il pouvait constater, en haute définition, que ce serait encore une réussite. Digne d'un oscar au festival des voyeurs ! Gégé-la-Branlette se réjouissait par avance du nombre de courts métrages qu'il rapporterait, en fin de séjour. Que de séances "privées", chez lui, tout seul sur son canapé, en perspective !

Il laissa la jeune femme se torcher tranquillement, se laver les mains et sortir des toilettes. A son tour, il sortit de son cabinet. Avisant un petit gobelet en plastique, Gégé-la-Branlette y versa de l'eau à moitié. Puis retournant s'isoler, notre voyeur se masturba dans le gobelet. Il sortit des toilettes, cachant le fuit de ses efforts.

A la cuisine, prenant un bac à glaçon, il y versa le liquide. Il déposa le tout sur le rebord de la fenêtre, dans le froid glacial. Il ne fallut pas plus d'une heure, par moins quinze degrés, pour que l'eau contenant le sperme de Gégé, ne se transforme en glace. Aussi, quand la partie de belote fut terminée, notre salopiot alla jeter un coup d'œil à sa "réalisation" !

Gégé-la-Branlette, aime à concocter des glaçons au sperme. Glaçons au sperme qu'il conserve dans son congélateur. Lorsque Gégé est invité à des soirées "étudiantes", dans une glacière, il emmène avec lui ses fameux glaçons. Arrivé sur place, il demande à mettre ses glaçons au frais. Il se propose de s'occuper du bar. En bénévole bien sûr. Là, tranquillement, Gégé peut agir à sa guise. Barman ! Amusé, il écoute les conversations des filles. Etonnantes.

Gégé, sournoisement, oriente les conversations. Il évoque parfois les rapports génitaux buccaux. La fellation. Amusé, il entend des filles prétendre que jamais, oh non jamais, elles ne pratiquent ce genre de choses...
Notre salopard, ravi, observe alors longuement ces jeunes filles. Il les regarde déguster leurs boissons contenant les glaçons. Souvent, ce sont les plus frimeuses qui consomment le plus. Coca, jus de kiwi, nectar de mangue et toujours les glaçons !

Pour la fabrication de ses glaçons, Gégé suit sa recette. Toujours la même. Dans un gobelet contenant de l'eau, notre ami se masturbe tranquillement. Puis il verse le contenu du gobelet dans le bac à glaçons du congélateur.

Les glaçons se conservent indéfiniment avec leur contenu. Gégé-la-Branlette garde jalousement ce secret car il lui procure d'incroyables fous rires et des moments étonnants. En écoutant converser toutes ces étudiantes bon-chic et bon-genre. Toutes ces charmantes étudiantes que notre salopard filme alors discrètement entrain de boire !

Les glaçons au sperme, une spécialité très appréciée. Tant par les barmans plein d'humour que par les farceurs. C'est d'ailleurs une "pratique" assez fréquente. Tant dans les soirées étudiantes que dans les "Clubs" parties ! Aussi, possesseur de ses fameux glaçons, Gégé-la Branlette s'apprêtait à en mettre partout dans les boissons des filles du chalet...


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Ci-dessus, pour illustrer les histoires merdiques de Gégé...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet") -

Gégé au chalet - (Partie 4)

Gégé-la-Branlette était à la cuisine. Il bavardait avec "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet "Les Ritournelles". Ce dernier parlait de sa bécane, une Harley-Davidson modèle "Road King" avec laquelle il tapait la route en été. Gégé-la-Branlette a toujours rêvé de posséder une de ces motos de la marque mythique. Aussi, il écoutait, bouche ouverte.

Le gardien évoquait le ronronnement caractéristique d'un moteur de Harley. Un bruit à nul autre pareil. Il évoquait sa routière avec cette passion que connaissent bien les propriétaires de Harley-Davidson. De son porte-feuille, il sortit quelques photographies de sa bécane. Gégé regardait, admiratif, la superbe machine aux chromes rutilants.

Tous les deux discutaient lorsque Josiane Frouchiez vint à la cuisine. < Alors, les garçons, on parle "machines" ? Tu fais de la moto Cassoulet ? > fit la jeune femme avant de rajouter < Vous prenez une tranche de tarte avec nous au séjour ? Et toi, tu aimes la tarte Cassoulet ? >. Tournant les talons, Josiane se dirigea en direction des toilettes. "Hulk" et Gégé se rendirent dans la salle de séjour.

Gégé, discrètement, s'assurant de la présence de son I-phone dans sa poche, alla aux toilettes. Là, Josiane Frouchiez, devant le lavabo, se lavait les mains. < Moi, je les lave avant et je les lave après ! > fit-elle en riant. Gégé-la-Branlette répondit : < Moi aussi, je me lave les mains avant de me la toucher. Avec tout ce que nous touchons, c'est plus prudent ! >. Sur ces mots, notre héros alla s'enfermer dans un des deux cabinets "homme".

Depuis son cabinet, notre ami pouvait entendre Josiane Frouchiez pénétrer à son tour dans le sien. Collant son œil au trou, allumant son I-phone, Gégé-la-Branlette se tint prêt à immortaliser la scène à venir. La jeune femme, descendant son pantalon et sa culotte au dessus de ses genoux, sans s'asseoir, la main en appui contre la cloison, se mit en position. Notre salopiot avait appuyé sur "Start". "Cassoulet" filmait...

C'est dans un long jet, avec un profond soupir, que Josiane Frouchiez se soulagea. Gégé-la-Branlette, se massant la turbe avec frénésie, regardait les images sur l'écran de son I-phone. < C'est dans la boîte ! > pensa t-il. La jeune femme se torcha avec soin, penchée en avant, cambrée sur ses jambes. Notre voyeur était au paradis !

Josiane Frouchiez avait quitté les toilettes pour rejoindre le groupe au séjour. Gégé-la-Branlette ne tarda pas à venir rejoindre tout ce beau monde. Assis à côté de son vieux pote, Dédé-la-Lopette, notre héros dégustait sa tranche de tarte aux pommes avec ce sentiment du devoir accompli.

Chantal Mouyet lança à l'adresse de notre voyou : < Hé, Cassoulet, elle est bonne ma tarte aux pommes ? >


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Ci-dessus la moto de "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet "Les Ritournelles"

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Ci-dessus, une photographie qui nous fait beaucoup rire. Notre ami "Cassoulet"...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet")

Gégé au chalet - (Partie 5)

Gégé-la-Branlette guettait les allées et les venues des filles qui se levaient.
Allaient-elles à la cuisine ? Montaient-elles aux dortoirs ? Allaient-elles aux toilettes ?
C'est donc avec vigilance extrême que notre héros dégustait sa tranche de tarte aux pommes.
Régulièrement, Gégé palpait sa poche pour se rassurer de la présence de son I-phone.

Tout le monde riait, tout le monde s'amusait et tout le monde plaisantait.
Il régnait cette ambiance typique, qui ne se retrouve qu'en haute montagne, dans les chalets d'altitude.
Cela ravissait notre ami.
"Hulk", le géant moustachu, gardien du lieu, sortit son harmonica.
Il souffla avec puissance pour accompagner quelques chansons paillardes du meilleur cru.

C'est sur les paroles et la musique des "Trois Orfèvres" que Denise Foutrar se leva.
Elle se dirigeait vers les toilettes. Gégé-la-Branlette, presque aussitôt, se leva à son tour.
En faisant semblant de se rendre à la cuisine, il scruta l'assemblée.
Personne ne semblait prêter attention à ses agissements.

Il vit Dédé-la-Lopette passer devant la cuisine pour se rendre aux toilettes.
Nous savons tous les penchants de Dédé-la-Lopette.
Il suffit de cliquer sur le lien suivant pour découvrir ses "passions" : [www.bobvoyeur.com]-- Ainsi chacun comprendra ce qui se passe très exactement...

Gégé-la Branlette entra discrètement dans les toilettes.
Il entra dans le cabinet des hommes.
Là, fixant son I-phone au trou avec du chewing-gum, allumé sur la fonction "Caméra", il filmait.
Il mettait en image Denise Foutrar en train de faire ses besoins.
Là, sur l'écran, en haute définition, il pouvait admirer les images explicites.
Et volées à l'insu de la jeune femme !

Gégé-la-Branlette se massait la turbe frénétiquement en observant l'écran.
Denise Foutrar, en appui sur le mur, cambrée au-dessus de la faïence de la cuvette, se soulageait.
Elle le faisait d'un jet net et précis. Elle visait juste. Notre voyeur était au paradis.
Il faillit éjaculer lorsque la voix de "Hulk", le géant moustachu, résonna dans les toilettes.

< Put-Hein ! Mais qu'est-ce qui se passe ici ? Il y en a un qui sort, l'autre qui rentre ! >.
Notre autre ami, Dédé-la-Lopette, en embuscade dans la partie urinoir, était en train de s'agiter la tige.
Il remonta prestement son pantalon.
Denise Foutrar sortit de son cabinet pour demander : < Qu'est-ce qui se passe Hulk, tu as l'air furax ! >.

Le gardien précisa en retrouvant son calme :
< Ravioli, on sait ce qu'il fait dans les chiottes lorsqu'il y a des filles ! Mais l'autre là, Cassoulet, on ne le sait pas ! >. Gégé-la-Branlette sortit à son tour de son cabinet.
Le géant moustachu l'observait avec sévérité pour lui lancer :
< Toi, Cassoulet, je ne sais pas encore ce que tu magouilles, mais je vais finir par le savoir ! >.

Tous les quatre revinrent prendre place dans la grande salle où les convives chantaient " La digue du cul" !
"Hulk" ne perdait plus de vue nos deux zèbres.
Gégé-la-Branlette, discrètement, sous la table, avait sorti son I-phone.
Il mâtait discrètement pour voir si le dernier film avait la qualité requise.


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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet")

Gégé au chalet - (Partie 6)

Il était environ minuit. L'ambiance qui battait son plein, commençait à décliner. Les convives baillaient. Déformant ainsi de plus en plus leurs visages jusque là souriants. Les filles, souvent les premières, par précautions, se rendaient aux toilettes. "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet, surveillait les agissements de notre ami Gégé-la-Branlette.

Gégé-la-Branlette, rusé et vicieux, eut donc la bonne idée de monter aux dortoirs. Il faisait ainsi d'une pierre deux coups. Il détournait l'attention de "Hulk" et pouvait préparer les éventuelles prises de vues à l'étage. Notre salopiot avait repéré les emplacements de chacun et de chacune. Il savait donc où dormaient les filles et dans quels lits.

Gégé-la-Branlette, à son arrivée, avait déjà pratiqué un premier petit trou entre deux dortoirs, juste au dessus de son lit. Les cloisons en bois facilitaient considérablement ce travail. Aussi, notre héros se mit dans un des placards pour y faire un autre trou. A l'aide de sa petite vrille. Cette vrille qui ne le quittait jamais. Tout comme son I-phone.

C'est donc dans le placard à couvertures que Gégé-la-Branlette fit un second trou. Si les filles montaient les premières, il n'avait qu'à se cacher pour filmer. Notre voyeur se cacha dans le placard, fermant la porte derrière lui. Il sortit son chewing-gum de sa bouche pour le coller à côté du petit trou. Ce trou percé à hauteur de regard.

Une première fille monta. C'était Chantal Mouyet. Celle-ci, en chantonnant, ouvrit son lit. Elle s'assit pour vérifier son smartphone et enlever ses chaussures. La jeune femme se releva pour déboutonner son pantalon et le retirer. Gégé-la-Branlette, se massant la turbe, filmait comme un dément, regardant ce qui se passait sur l'écran. Bavant devant les images...

Une seconde fille arriva dans le dortoir. Chantal Mouet, en culotte et en soutif, passa un pyjama. Les nuits en montagnes sont fraîches. La seconde fille, Josiane Frouchiez, tout en baillant à s'en décrocher la mâchoire, s'assit sur son lit pour enlever ses chaussures. Même scénario, même images. Sauf que Josiane retira sa culotte pour mettre une "culotte de nuit". Nous imaginons l'état fébrile de Gégé-la-Branlette dans son placard...

Une troisième fille arriva. C'était Denise Foutrar. Même scénario et mode de préparations. Gégé-la-Branlette, congestionné, à la limite de l'apoplexie, se secouait le poireau avec cette frénésie que nous lui connaissons bien. Soudain, pour une raison inconnue, son I-phone se détacha du chewing-gum. L'explication est simple. La température basse avait tout simplement rigidifié la pâte et l'appareil s'était décollé pour tomber sur le sol. Dans un bruit sec et sonore.

< Il y a un fantôme dans le placard ! > fit Chantal Mouyet en s'approchant. Gégé-la-Lopette, excité comme une puce, reprenait doucement ses esprits. Il était "fait comme un rat" au fond de sa cachette. Il n'avait pas envisage de "plan B". Notre salopiot allait être découvert. Josiane Frouchiez s'approcha. Gégé, à quatre pattes dans l'obscurité du placard, cherchait son I-phone.

Josiane ouvrit la porte du placard. < Put-hein ! Mais c'est cet enfoiré de Cassoulet ! Qu'est-ce que tu fout là ? > fit-elle. Gégé-la-Branlette, comme un con, ne savait pas quoi dire. Aussi, il avança ce ridicule prétexte : < Ah, j'étais venu chercher deux couvertures ! >. < Des couvertures ! Tu n'en as pas dans ton dortoir ? > demanda Denise Foutrar. < Tu ne te moquerais pas de nous, par hasard, Cassoulet ? > demanda Chantal Mouyet.

Gégé-la-Branlette sortit du placard sans avoir récupéré son I-phone. Denise Foutrar, le saississant par le bras, fermant la porte du placard, le reconduisit à la porte du dortoir. < Bonne nuit monsieur et à demain ! > fit-elle avant de pousser notre voyeur dans le couloir. Sans ménagement. Gégé, tête basse, était inquiet ! Et son I-phone ?

La porte du dortoir s'ouvrit une nouvelle fois et l'une des filles lança deux couvertures à la tête de notre héros. < Tiens, Cassoulet, et n'attrape pas froid ! > fit-elle avant de laisser Gégé-la-Branlette seul dans le couloir. Seul avec ses interrogations et une certaine crainte qui commençait à s'éveiller au fond de lui.


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Ne manquons surtout pas le prochain épisode qui va drôlement "secouer" notre ami. Ici, sur ce même fabuleux forum.

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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet")

Gégé au chalet - (Partie 7)

Gégé-la-Branlette était redescendu dans la grande salle, au rez de chaussée. Il y avait encore Benoît Chauzemol qui jouait de l'harmonica avec Laurent Gina qui jouait de sa guitare. "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet, débarrassait les tables avec Magalie, la belle blonde. Tout ce beau monde baillait. Il était temps d'aller se coucher.

Gégé-la-Branlette discutait à la cuisine avec son pote Dédé-la-Lopette. Soudain, avec force, nombre de cris se firent entendre. De vrais hurlements qui provenaient d'un des dortoirs à l'étage. Ce véritable raffut attira l'attention du gardien qui se précipita dans l'escalier en criant : < Qu'est-ce qui se passe là-haut ? >.

Les filles dévalèrent l'escalier en hurlant. Josiane Frouchiez agitait sa main sous les regards de "Hulk". Elle montrait le fameux I-phone de Gégé-la-Branlette en gueulant : < Regarde un peu ! Ce salop nous a toutes filmées en train de pisser ! >. Le géant moustachu, s'emparant de l'appareil l'emmena à la cuisine. Il semblait consterné.

Les filles avaient trouvé cet I-phone qui était tombé dans le placard où s'était caché Gégé pour les mâter. Ce petit trou qu'il avait fait, avec son soin habituel. Ce chewing-gum qu'il avait collé afin d'y fixer son I-phone. Et tout ça qui se casse la gueule ! Pas de chance ! Gégé-la-Branlette avait du soucis à se faire.

Gégé-la-Branlette aurait voulu se faire aussi petit qu'une souris et disparaître dans un trou du plancher. < Dis-dons, espèce de salopard, tu as filmé toutes les filles du chalet ? T'es un vrai enfoiré ! > Gégé, confus, honteux, jura qu'il ne l'avait pas fait exprès ! Si ! Notre héros eut cet invraisemblable culot. Nous le connaissons bien, il en est capable...

Le géant moustachu attrapa notre salopiot par le col de sa chemise. Gégé-la-Branlette n'en menait pas large. < Tu as de la chance, Cassoulet, je ne peux pas te mettre dehors, à une heure du matin, en pleine montagne, mais demain matin, tu dégages ! Ok ? >. Notre salopiot, ne sachant quoi dire se contenta de secouer la tête de haut en bas.

Toutes les filles du chalet étaient là, dans la cuisine, entourant notre voyeur. On pouvait deviner l'envie qu'avait toutes ces furies de taper sur la tête de notre ami, de le rouer de coups. < Espèce d'enfoiré ! Chaque fois qu'on allait aux chiottes tu nous mâtais et tu nous filmais ! T'es vraiment un malade, un pauvre type ! > fit Denise Foutrar, la plus fâchée. Josiane Frouchiez rajouta encore : < Hé, Cassoulet, faut penser à consulter un psy, t'es mal barré ! >.

"Hulk", le géant moustachu, desserrant l'étreinte de sa poigne de fer, tendit cet I-phone qui l'avait trahis à Gégé-la-Branlette en lui disant : < Tu effaces tes saloperies ou je te le casse sur la gueule ! Tu entends, Cassoulet, je te le fais bouffer ! >. Notre voyou effaça donc toutes les images devant les filles qui surveillaient et vérifiaient.

Gégé-la-Branlette monta aux dortoirs, tête basse, heureux de s'en être tiré à si bon compte. Finalement, il fut décidé, en comité restreint, d'autoriser Gégé à rester au chalet jusqu'à la fermeture, dimanche en fin d'après-midi...


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Gégé au chalet - (Partie 8)

Ce dimanche matin, Gégé est réveillé par les rires des filles dans le dortoir. Il ouvre un œil puis l'autre. Là, en face de lui, Natacha Passésky et Magalie, la belle blonde, riaient en se chuchotant des histoires de filles. < Oh pardon Cassoulet, on t'a réveillé ? > font les filles en s'excusant au près de notre ami. Gégé leur fit un sourire pour toute réponse.

Natacha Passésky et Magalie étaient assises sur le bord d'un des lits. Toutes les deux étaient vêtues de leur chemises de nuit. Gégé était amusé d'apercevoir leurs pieds chaussés de grosses chaussettes de montagnes. Notre lascar les aurait bien filmé. Surtout que de son lit, il pouvait distinguer la culotte de Magalie.

Dans sa tête, notre ami se dit qu'il valait mieux être le premier aux toilettes. Ce, afin d'être certain de pouvoir prendre son temps. En effet, doucement, dans le dortoir, tout le monde commençait à se réveiller. Gégé se leva et se dirigea vers la porte. < Hé, Cassoulet, comment tu vas faire pour filmer les filles aux chiottes ? > lui lança Laurent Gina.

En haussant les épaules, Gégé descendit l'escalier. Une fois au toilettes, notre salopiot put découvrir que ses petits trous avaient tous été masqués avec de la pâte à bois. Pâte encore humide. A ce moment, la grosse voix de "Hulk", le gardien du chalet, résonna dans les toilettes : < Hé, Cassoulet, que je ne t'y prenne pas à ouvrir les trous ! >.

"Hulk", le géant moustachu était en train de couler un bronze dans la cabine d'à côté. L'odeur venait appuyer cette certitude. Un peu en accompagnement du bruit des crottes tombant dans l'eau, au fond de la cuvette. Il rajouta encore : < Hé, Cassoulet, si tu veux récupérer ton smartphone, ce ne sera pas avant ton départ, à 17 h maximum. Car je ferme la boutique à 17 h30 ! >.

Gégé coula lui aussi son bronze. Les deux hommes discutaient lorsque les voix des filles résonnèrent dans les toilettes. < Put-Hein, ça fouette ! C'est toi Cassoulet qui schlingue comme ça ? > fit Josiane Frouchiez. < Va chier ! > fit notre héros avec une vulgarité que nous ne lui connaissions pas. Après tout, c'est de la faute à Josiane Frouchiez si son "plan" voyeur a foiré. Si son smartphone lui a été confisqué. < Justement, je viens en ces lieux pour "ça" ! > répondit Josiane...

Le petit déjeuner se déroula dans une excellente ambiance de rigolades. Personne ne faisait plus allusion aux évènements de la veille. Benoît Chauzemol n'arrêtait pas de raconter des blagues qui faisaient rire tout le monde. Gégé, toujours victime de ses pulsions, guettait les filles qui allaient ou sortaient des toilettes. Il cherchait une combine pour aller mâter. Sachant qu'il faisait l'objet de la surveillance discrète de "Hulk", le gardien du chalet.

Enfin, Gégé eut une idée lumineuse. < Je vais aller préparer mon sac à dos ! > fit notre héros en se levant. Il palpait la vrille qu'il avait toujours en poche. Gégé avair étudié la configuration des lieux. Le petit dortoir au-dessus des toilettes. Arrivé là haut, à quatre pattes, à l'aide de sa vrille, il se mit à tourner, à tourner et à tourner encore.

Rapidement, il y eut un trou dans le plancher en bois. Gégé regarda attentivement, l'œil collé au trou. Il distinguait parfaitement les deux cabinets de toilettes, en bas. < Génial ! > fit-il en découvrant que c'était le côté "Femmes"...


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Gégé au chalet - (Partie 9) - Suite et faim

Gégé-la-Branlette, à quatre pattes sur le plancher du dortoir, l'œil collé au trou qu'il venait de creuser, observait. Là, par cet orifice, notre héros avait une vue parfaite. Il regrettait toutefois de ne plus avoir la possibilité de filmer avec son smartphone. Smartphone dont les batteries étaient vides. Soudain, en bas, une fille entrait aux toilettes.

C'était Josiane Frouchiez qui venait faire son pipi du matin. Gégé-la-Branlette, fébrile, observait avec une grande attention. Notre voyeur avait même ouvert sa braguette. Notre salopiot mâtait comme un malade. Il avait commencé sa masturbation à la vue d'une des scènes qui avait sa préférence.

Lorsque Josiane eut terminée, ce fut au tour de Denise Foutrard de venir faire son pissou. Gégé-la-Branlette, aux anges, connaissait là quelques frissons qui secouaient son corps. Il y allait à donf, main droite animée d'un mouvement mécanique. Notre bougre était à la limite de l'apoplexie. Surtout qu'arrivait Chantal Mouyet...

< Put-hein ! Mais t'es un vrai malade, Cassoulet ! > fit la grosse voix de "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet. Une fois de plus, Gégé-la-Branlette se faisait prendre la main dans le sac ! "Hulk" l'attrapa par le fond du pantalon et le souleva comme un pantin désarticulé. < Tu vas prendre tes affaires et me foutre le camps ! Ok ? > fit le gardien.

Gégé-la-Branlette, la bite pendante, sa vrille traînant encore parterre, se vit coller au mur par le géant moustachu. Natacha Passésky, montant au dortoir, tomba sur le spectacle. < Alors, Cassoulet ? Encore en train de faire un de tes coups pendables ? > demanda la jeune femme. < Ce salopard était encore en train de mâter les filles aux chiottes ! > fit le gardien en lâchant notre zèbre qui retomba au sol.

Gégé-la-Branlette, sans demander son reste, prépara son sac à dos devant le regard courroucé du géant moustachu. < Et que je te revoie plus là-haut avant un bon moment, mon p'tit pote ! > fit "Hulk" en reconduisant notre voyeur jusqu'à la porte du chalet. < Je ne te mets pas mon pied au cul, mais le cœur y est ! > fit encore "Hulk".

Gégé-la-Branlette avait pris le sentier qui descendait. Soudain, derrière lui, la voix de Magalie, la belle blonde, résonna dans le silence froid et matinal de la montagne. Notre ami se retourna. A la fenêtre, Magalie jetait une boîte de conserve vide dans la neige en criant : < Hé ! Cassoulet, tu redescends ta merde s'il te plaît ! >.

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Il a collé des petits miroirs sur le dessus de ses souliers

Gégé-la-Branlette prend souvent les transports en commun. Il y trouve souvent matière à nourrir son désir obsessionnel de voyeurisme. Notre ami a l'œil vif et reste toujours très attentif. Et il faut dire qu'il y a parfois des opportunités qu'il faut savoir saisir. Tout en restant le plus parfait des gentleman. Ce qui est une grande preuve de tact. Pas précisément la spécialité de notre lascar !

Gégé-la-Branlette a souvent remarqué ces belles jeunes femmes qui, surtout en été, portent la robe flottante. C'est de toute beauté. Une belle silhouette, la taille fine, des petits seins pointus, rien de plus attractif. Notre ami, en connaisseur, n'a pas son pareil pour faire des clichés "secrets" et discrets avec son smartphone. Il fait des petits montages photographiques, chez lui.

Souvent frustré, les matins d'été, dans son bus, notre héros, ne peut pas être partout à la fois. Il lui faut donc choisir, très vite, la jeune femme qui sera le sujet de toutes ses attentions. La ligne que prend Gégé-la-Branlette est la plus longue de Paris. C'est la fameuse ligne 24 qui va de Saint-Lazare à École vétérinaire de Maisons-Alfort, avec ses 13,9 km. Il y a de quoi faire...

Notre ami rate donc quantité d'opportunités qui se présentent à lui. Il lui est difficile de rester couché sur le dos sous les sièges sans se faire remarquer. Il glisse quelquefois son smartphone au sol jusque sous la robe de la dame "étudiée". C'est risqué. Les petites vieilles guettent et surveillent les lascars du style de Gégé. Il s'est déjà fait repérer sur la ligne 22 et sur la 19. Il reste donc très prudent.

Il s'est acheté une paire de beaux mocassins en cuir. Il s'est acheté deux petits miroirs à l'ovale parfaite. Gégé-la-Branlette a collé ces tous petits miroirs ovales sur le dessus de ses chaussures. Ainsi, debout près d'une jeune femme en robe, ou en jupe, il lui suffit de glisser son pied. Gégé est passé maître dans la discrétion.

Gégé-la-Branlette étudie maintenant très sérieusement d'appliquer le même principe avec des petites caméras.

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NOTE
Il ne faut pas faire comme Gégé-la-Branlette. C'est un voyou. C'est un vilain garçon.
Souvent, il se fait toper et c'est bien fait !

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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Surnommé Cassoulet)

Il fixe une micro-caméra sur le dessus de sa chaussure

Gégé-la-Branlette, voyeur incorrigible, se montre toujours très inventif. Après avoir tenté, avec succès, l'expérience du petit miroir fixé sur le dessus de sa chaussure, le voilà qui tente la micro-caméra. Notre ami sévit dans les transports en commun. Sur son mocassin, il a fixé une de ces caméras miniatures, discrète et à haute définition.

Notre salopiot prend donc indifféremment le bus, le métro ou encore le train, sa chaussure équipée de cette micro-caméra. Debout, aux heures de pointe, sans toucher, sans "frotter", subrepticement, il glisse son pied sous les dames en jupes. Il ne lui reste plus qu'à appuyer sur le bouton "ON" de la télécommande qu'il serre dans sa main.

Notre salopard peut ainsi, dans le plus grand secret, réaliser ses films privés. Dans un dossier de son bureau, sur son ordinateur, sont stockés des choses portant des noms amusants. Nous y trouvons < Foufoune de rousses >, < Chatte de brunes > ou encore < Moules épilées de blondes >. Il y a tant de déclinaisons que la liste est non exhaustive.

Ce matin, à l'heure de pointe, Gégé-la-Branlette vient encore de filmer quelques grands instants de cinéma. Notre Sergio Léone de la chagatte a de quoi faire quelques montages artistiques à son retour. Il y aura même la Saison 2 de < Cramouilles de vieilles >. Au festival de sa canne, notre voyeur impénitent, recueillerait sans doute quelques Palmes d'Or !

Ne faites pas comme Gégé-la-Branlette. C'est un voyou. C'est un vilain garçon qui regarde sous les jupes des filles.
Il finira, une fois de plus, comme au Décathlon, l'autre jour, à se faire attraper en flagrant délire...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette

Gégé mâte les danseuses pendant les répétitions à l'opéra

Nous le connaissons bien notre Gégé, il ne rate jamais une opportunité de pouvoir mâter. Que ce soit dans les lieux privés, les lieux publics ou encore dans les lieux culturels. Ce mercredi après-midi, notre odieux salopard s'était introduit en douce dans le grand bâtiment de l'opéra. Là, planqué derrière le rideaux de la scène, il pouvait donner libre cours à ses penchants.

Il y avait quelques petits "rats" qui travaillaient sous la direction d'un professeur de danse. Cette dame au visage sévère, indiquait les figures aux jeunes filles qui levaient la jambe haut. La sévérité du visage de la professeur de danse était encore rehaussée par son port de tête altier, son chignon et ses lunettes. Elle menait les jeunes danseuses à la baguette.

Nul doute que Gégé-la-Branlette, lui aussi, aurait aimé mener ces jeunes filles à la baguette. Mais certainement avec une baguette d'une toute autre nature. Notre drôle, planqué derrière l'épais rideaux, armé d'une petite paire de jumelles, mâtait avec l'attention d'un entomologiste. Il observait surtout l'entre-jambes des filles lorsque ces dernières les levaient très haut.

Les petits "rats" d'opéra préparaient un ballet. La voix autoritaire et puissante de la professeur exigeait des postures difficiles. Parfois, les filles excédées, râlaient en douce. Notre ami, depuis sa cachette, pouvait entendre des trucs du genre : < Elle nous fait chier, la vieille ! > Ou encore : < Put-hein comme elle gonfle, la vieille pouffe ! >. Notre héros rigolait alors de bon cœur.

C'est lorsque qu'une des jeunes danseuses passa derrière le rideaux pour faire un pissou discret dans un seau, qu'elle tomba sur notre salopiot. Gégé-la-Branlette, occupé à mâter avec sa paire de jumelles n'avait pas vu arriver la jeune fille. Cette dernière, culotte aux genoux, tutu relevé, se mit à hurler : < Y a un mec ! > Notre héros n'eut que le temps de rentrer sa bite, de fermer sa braguette et de filer comme un voleur.

Là, dans le couloir, attiré par les cris, le concierge arrivait en courant. Il se retrouva face à Gégé-la-Branlette qui n'avait strictement rien à foutre là ! < Qui êtes-vous ? Que faites-vous là ? > demanda l'employé à notre voyeur impénitent. Gégé essaya bien de passer mais le concierge, balaise et de haute taille attrapa notre salopiot par le col de sa veste. < Tu vas me répondre, dis-donc ! > fit-il encore d'un ton péremptoire.

Gégé-la-Branlette, confus, gêné, ne sachant quoi répondre, lamentable, fit : < Je me suis trompé d'endroit, je me suis perdu ! > Le concierge, tenant toujours notre ami par le colbac l'entraîna jusqu'à une porte de service. Là, en le poussant dehors sans ménagement, il lui fit : < Dégages, que je ne vois plus ta gueule, tu n'as rien à foutre ici, c'est privé ! > Gégé-la-Branlette, sans demander son reste s'en alla d'un pas rapide.

A la fenêtre du premier étage, deux filles gueulaient : < Espèce de vieux salop, vieux dégoûtant, va ! >...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/08/16 22:19 par Oncle-Julien.
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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet")

Il filme en douce dans le camps de nudistes - Club Naturiste -

Gégé-la-Branlette a décidé de passer son premier week-end dans un camps de nudistes. A cet effet, il s'est inscrit dans un club naturiste. Il s'est acquitté de sa cotisation. Il a reçu sa carte de membre. Il a pris une assurance. Gégé-la-Branlette est donc prêt à affronter cette nouvelle expérience. Le voilà entrain de préparer sa valise.

Notre héros prend le train ce vendredi soir pour descendre dans le Sud de la France. C'est souvent là que ça se passe. Conditions météorologiques, conditions climatiques, paysages retirés, tout ce qui fait préférer le littoral méridional. Gégé-la-Branlette arrivera samedi matin pour 7 h. De là, il prendra les transports en commun pour se rendre dans le petit village.

Gégé-la-Branlette arrive à la gare. Il fait beau en cette fin du mois de mai. Notre ami prend le bus pour faire les 18 km pour se rendre au village. C'est à proximité de ce petit bourg que se trouve le camps des naturistes. Notre ami arrive pour 9 h. Il est accueillit devant une haute porte de bois fermée. C'est un sexagénaire moustachu qui le reçoit.

Gégé-la-Branlette entre par la grande porte. Il est dirigé vers un pavillon sur sa droite. Le sexagénaire lui demande de passer dans une des cabines et d'y laisser ses affaires. En échange il lui sera remis une petite plaque portant le No 11 qu'il portera au cou. Gégé-la-Branlette, tout content, se réjouissant déjà, se dépêche de se foutre à poil.

Il sort enfin par l'autre porte qui donne sur le camps. Le soleil est chaud et déjà haut dans le ciel. Les conditions de cette nouvelle expérience sont idylliques. Gégé-la-Branlette suit le petit sentier où est indiqué sur une simple pancarte : "LE BAR". Gégé croise sa première nudiste. Une petite quinquagénaire, plutôt très enveloppée et qui le salue.

Gégé-la-Branlette arrive au bar. Des mecs à poils sont entrain de jouer à la pétanque. Personne ne fait attention à notre ami. Au bar sont assis quelques clients, à poil, bien évidemment. Il y a deux jeunes filles d'une vingtaine d'années qui rient bêtement en se passant leur smartphone. Gégé-la-Branlette tient sa micro-caméra cachée dans sa main.

Nous nous doutons bien que Gégé-la-Branlette n'est pas venu faire du naturisme par amour de la nature ou poussé par une noble cause quelconque. Non ! Notre salopiot est venu mâter. Il est venu avec le secret projet de filmer des gonzesses à poil, à leur insu et en cachette. L'éthique de notre héros se situe à un niveau très basique. Primaire !

Gégé est tout nu, comme tout le monde ici. Pourtant, personne ne semble prêter la moindre attention à son sexe. Comme souvent pour les nouveaux, notre salopiot bande comme un priapique en phase terminale. Les deux filles rigolent en mâtant leur smartphone. L'une porte des écouteurs dans les oreilles. Elle les prête à l'autre. Elles se marrent.

Gégé-la-Branlette, discrètement filme la scène. Il a une furieuse envie de se branler le bougre. A ce moment il y a le moustachu qui vient s'assoir à ses côtés. Le mec lui glisse à l'oreille : < Le droit à l'image, mon vieux, tu sais qu'ici, c'est encore plus sérieux qu'ailleurs ? >. Pas de doute, Gégé vient encore de se faire repérer. Lui qui croyait qu'un camps de nudistes permettaient tous les travers, toutes les déviances et tous les vices ! Déçu qu'il est notre salopard !

< Où tu me donnes ta micro-caméra, où je te fais chercher par les flics ! Des gaillards comme toi, on les repère très vite ! > fait encore le moustachu en s'emparant de la caméra de notre drôle. < J'efface tout ce qu'il y a dessus et je te la ramène. Je te la rends devant l'accueil car tu as dix minutes pour t'habiller et dégager ! > fait encore le sexagénaire. Sans aucun doute le gardien du camps.

Gégé-la-Branlette, habillé, sa valise à la main, attend le bus qui le ramènera à la gare...

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Une aventure de Gégé-la-Branlette

Gégé se planque dans les chiottes de la Faculté des Lettres

Gégé-la-Branlette aime beaucoup marcher dans les rues. Ce n'est pas seulement pour admirer les vitrines, regarder les monuments ou pour croiser les belles promeneuses. Non, en marchant, Gégé peut élaborer des stratégies, trouver des "plans" et surtout tenter de les mettre en pratique. Muni de sa micro caméra, il est équipé pour faire face à toute opportunité.

Notre ami Gégé est un voyeur impénitent. Incorrigible, il est constamment en quête de l'occasion rêvée qui ferait de lui le larron. Ce début d'après-midi d'octobre était plutôt maussade. Un ciel gris et bas annonçait l'automne à venir. Il faisait pourtant doux et l'absence de vent rendait la promenade agréable. Gégé-la-Branlette savourait ces instants.

Notre ami, son attention attirée par un groupe de filles, s'arrêta devant la Faculté des Lettres de l'Université Théophile Defer . Gégé-la-Branlette observait amusé, curieux et dubitatif ces quelques jeunes filles qui devisaient en riant. Il y eut rapidement un autre groupe qui se formait près de la fontaine. Puis un autre encore. Gégé regarda l'heure. Il était 13 H55.

Comprenant que les cours allait commencer dans quelques minutes, notre héros eut soudain une révélation. Qui dit université, dit salles de cours. Qui dit salles de cours dit étudiantes. Qui dit étudiantes dit WC ! L'association d'idée fit frissonner de délices notre salopiot. Il ne lui restait plus qu'à entrer dans l'enceinte ouverte et publique de l'établissement.

Lorsque les étudiants eurent quitter la petite place, notre Gégé entra en sifflotant dans le hall de la grande bâtisse. Là, au haut d'un escalier d'une dizaine de marches, il y avait la porte des toilettes. Notre ami y pénétra le plus naturellement du monde. Les toilettes "Filles" sur la gauche. Les toilettes "Garçons" sur la droite. D'une facilité d'accès laissant rêveur.

Gégé-la-Branlette s'était enfermé dans le dernier cabinet. Là, ayant sorti de sa poche la petite vrille qui ne le quittait jamais notre drôle s'appliqua à percer un petit trou. La cloison de bois était fine. Ce fut un jeu que d'y pratiquer une ouverture. Notre ami colla le chewing-gum qu'il mâchait pour le coller au bord du trou. Il ne restait plus qu'à y fixer la micro caméra reliée à son smartphone.

Gégé-la-Branlette, bricoleur et inventif, avais mis au point quantité de petites formules pour satisfaire son hobby. Là, une fois encore, il mettait en œuvre l'une d'entre elles. Il ne lui restait plus qu'à attendre, silencieux, l'arrivée d'une étudiante. Notre saligaud, debout sur le couvercle de la cuvette en faïence guettait la porte d'entrée des toilettes "Filles".

Sa patience fut récompensée au bout d'une dizaine de minutes. Une ravissante jeune fille, d'une vingtaine d'années, insouciante, entra dans le cabinet voisin de celui de notre enfoiré. Il ne restait plus à Gégé-la-Branlette qu'à piloter la mise en fonction de son appareillage. Sur l'écran de son smartphone, notre héros pouvait constater le bon déroulement des opérations.

< C'est dans la boîte ! > se murmura t-il satisfait après le départ de la jeune fille. Un bonheur n'arrivant jamais seul, voilà la venue d'une autre étudiante. Une belle blonde, grande et athlétique. Notre voyeur procéda à la même mise en œuvre de ses qualités de caméraman. Une fois encore, lorsque tout fut terminé, notre salopard se frotta les mains. < Put-Hein génial ! Cet après-midi je me fais du long métrage ! > se dit-il tout content et ravi de son initiative.

En effet, après avoir sévi durant plus d'une heure, notre "documentaliste" se retrouva avec sept petits films. Sept chef-d'œuvres mettant en scène sept "actrices" bien involontaires. Gégé-la-Branlette se tripotait en chantonnant tout heureux se son coup pendable. Il était quinze heures trente. Les batteries du smartphone et de la micro-caméra indiquaient la faible charge restante. Aussi, notre salopiot avisa le retour précipité chez lui, pour faire le "montage".

Gégé-la-Branlette, sautillant, se faisant des grimaces devant les miroirs, chantonnant "La digue du Cul", s'apprêtait à sortir du bâtiment lorsque deux policiers l'invitèrent à le suivre. Au commissariat il fut signifié à notre voyeur que pour d'évidentes raisons de sécurité, les discrètes caméras avaient suivi ses agissements. Et surtout son intrusion dans les toilettes des filles.

L'agent de la force publique qui avait demandé à Gégé-la-Branlette de vider ses poches, demanda à ce dernier de faire fonctionner la fonction "vidéo" du smartphone. Quelle ne fut pas la stupeur des deux policiers et de la charmante policière brune à la vision des images de notre voyou. < Tu vas être nominé pour un César, mon gars ! > lui fit l'adjoint au commissaire.

Il fut signifié à Gégé-la-Branlette qu'il serait convoqué dans les prochains jours pour s'expliquer devant un "jury" constitué de magistrats. Des magistrats appréciant tout particulièrement les documentaires "animaliers"...

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Les aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet") -

Gégé au supermarché, caméra fixée sur le soulier

Cet après-midi pluvieux, notre ami Gégé-la-Branlette s'est décidé au dernier moment pour une visite dans sa grande surface préférée. Le mardi après-midi n'est pas souvent une période de grande affluence. On peut flâner tranquillement sans être bousculé. On peut prendre son temps dans le rayon de son choix et dans la plus parfaite quiétude. Béni soit le mardi après-midi hors des vacances scolaires, bien évidemment.

Gégé n'est pas seulement venu faire provision de papier-cul, de conserves, de bières et de pizzas congelées. Non, notre ami fait d'une pierre deux coups. Sur le parking, dans sa voiture, sur son soulier gauche, Gégé-la-Branlette a fixé sa micro-caméra. Après plusieurs essais puis de mises au point à l'aide de son smartphone, notre héros constatait le bon fonctionnement de son installation.

Cette formule permet à notre salopiot toute sortes de prises de vues discrètes autant qu'efficaces. Du moins le croit-il. Bien équipé, poussant son caddie dans la galerie commerciale, Gégé-la-Branlette faisait quelques essais préalables et fort concluants. Son système fonctionnait parfaitement. Notre ami commença donc par la boutique à bijoux. Il s'y trouve quelquefois de ravissantes bourgeoises désœuvrées, élégantes et raffinées.

Gégé-la-Branlette, faisant mine de s'intéresser à quelques grosses chevalières, louchait en réalité sur le rayon des breloques féminines. Là, une de ces belles femmes, grande, mince, vêtue d'élégante manière, scrutait la vitrine horizontale des boucles d'oreilles. Notre voyeur remarqua la jupe étroite qui arrivait au-dessus du genoux de la belle cliente. Le réflexe de notre petit coquin fut immédiat. Subrepticement il s'approcha. Son smartphone à la main, il se plaça derrière la jeune femme.

Passant son pied le plus près possible de ceux de la regardeuse, il put constater sur l'écran de son smartphone que la jeune femme portait un ravissant porte-jarretelle. Bien évidemment Gégé-la-Branlette filmait ce "paysage" magnifique discrètement. Tout cela perdurait depuis une petite minute. La cliente se retourna plusieurs fois pour tenter de comprendre ce que faisait ce curieux individu si près de sa personne. Gégé cessa et s'en alla s'en demander son reste.

Notre héros entra dans une boutique de prêt-à-porter. Des vêtements féminins de toute beauté. La vendeuse, plutôt amusée par la présence d'un monsieur en ces lieux, vint lui demander : < Bonjour ! Je peux vous renseigner ? >. Notre salopiot, surpris, balbutia : < Non, c'est très gentil mais je regarde un peu. C'est pour faire un cadeau à ma femme ! >. Sur ce mensonge éhonté, Gégé-la-Branlette avait déjà repéré la belle jeune femme qui scrutait des pulls.

Comme la cliente était en jupe, notre voyeur s'avança pour se positionner. Une fois encore, sur l'écran de son smartphone, il pouvait découvrir ce qui se passait sous la jupe de la dame. Surtout qu'il avait son pied tout près de ceux de la cliente. La jeune femme ne portait qu'une culotte très quelconque mais possédait des cuisses invitant à la luxure. Et la luxure était justement une des spécialités de Gégé-la-Branlette.

Pour ne pas se faire remarquer, notre ami s'en alla au bout d'une petite minute. Il eut le temps de filmer. La jeune vendeuse regarda partir cet étrange personnage avec un sourire en lui disant < Au revoir monsieur ! >. Notre quidam entra dans le supermarché. Direction le rayon culturel. Il sait que les "bonnes occasions" se retrouvent souvent devant les étagères à livres. Parfois, de ravissantes jeunes femmes feuillettent longuement le dernier prix Goncourt ou encore le dernier Prix Pulitzer. Avant d'aller découvrir le dernier "Maris-Patch".

Bingo ! Gégé-la-Branlette se rapprocha de cette élégante femme qui feuilletait un livre de poche. Faisant semblant de s'abstraire dans quelques lectures, notre vicelard se mit à l'ouvrage afin de réaliser un nouveau court métrage. Au bout d'une petite minute, la femme intriguée par le comportement de notre ami, l'observait à la dérobée. Dans le miroir fixé sur la colonne, la lectrice se rend soudain compte de ce que regarde le quidam sur l'écran de son smartphone.

La dame peut même reconnaître sa culotte et le tatouage qu'elle porte sous la fesse droite. Elle se tourne vers Gégé-la-Branlette, le toise vertement, pose son bouquin n'importe où et s'en va rapidement. Gégé-la-Branlette, un peu étonné, contemple son œuvre et se dit que de toute manière, c'est "dans la boîte". Notre salopiot continue ainsi sa petite balade dans le rayon des ordinateurs.

Une nouvelle opportunité se présente. Une ravissante jeune femme, hissée sur la pointe de ses pieds, tente de scruter le clavier d'un ordinateur sur la dernière étagère du dessus. Il n'en faut pas plus pour que notre voyou vienne se positionner. Une fois encore il pense réaliser un coup de maître. Tout content, il vient d'obtenir sa quatrième prise de vue. Il est à se réjouir pour les montages qu'il va pouvoir réaliser chez lui, ce soir. Un "artiste" !

Il est temps de passer aux choses sérieuses. Gégé-la-Branlette va faire ses courses. Paquet de lessive, rouleaux de papier-cul, pack de bière, boîtes de cassoulet, etc...

Gégé-la-Branlette passe à la caisse No 6, sa préférée car il y a souvent Mireille, sa "petite caissière" . Hélas, c'est une autre femme qui est assise là. Notre ami dépose ses achats sur le tapis roulant. Il paie avec sa carte bleue. Il s'apprête à partir en sifflotant. C'est là qu'un vigile, un grand noir balaise, lui demande de le suivre. Gégé-la-Branlette ne comprend pas. Il est un client honnête qui ne vole pas ! Un exemple de probité commerciale...

Au bureau, le vigile lui demande de lui montrer ce qu'il vient de filmer dans le magasin, lui rappelant que c'est un acte interdit par la loi. Lorsque le vigile découvre les images révélatrices des passions de notre salopiot, le grand black lui fit : < Ou vous effacer immédiatement, ou on prévient la police. Vous avez été dénoncé par une dame qui ne désire pas porter plainte. Le magasin non plus, mais vous êtes prévenu ! >.

Gégé-la-Branlette, bien triste d'avoir perdu la perspective de son montage du soir, s'en alla tête basse, sous une pluie battante, poussant son caddie.

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Je clique sur l'image pour mieux lire ce qu'écrit la dame. (Un peu offusquée quand même)...

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Le pauvre Gégé... trop sûr de lui peut-être ? Eclats de rire
Homme, 53 ans, France
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Les Aventures de Gégé-la-Branlette - (Alias "Cassoulet") -

Gégé fait la sortie de la faculté - Caméra sur la godasse -

Cet après-midi gris et plutôt sinistre, notre ami Gégé-la-Branlette s'était rendu aux abords de la faculté des Lettres. Il avait déjà repéré les belles jeunes filles, étudiantes entre 18 ans et 25 ans, qui fréquentaient cette université. Un escalier de pierres grises menait en haut du perron de la grande entrée. Plusieurs groupes de filles bavardaient là. L'ambiance semblait plutôt calme et reposante. Nous étions mardi. Il était 16 h.

Gégé-la-Branlette s'assit dans l'arrêt du bus situé juste à une trentaine de mètres, sur le trottoir. Discrètement notre héros fixa sa micro-caméra sur son mocassin droit. Mocassins à glands un peu usés. Les petits glands fixés au bout de leurs courtes ficelles de cuir s'agitaient en tous sens lorsque Gégé marchait. Cela le fit sourire. Sortant son smartphone de la poche de son imper mastic, Gégé-la-Branlette s'assura que tout fonctionnait bien.

Sur l'écran de son smartphone notre voyeur pouvait constater que l'image renvoyée depuis le haut de sa chaussure était en "haute définition". Gégé-la-Branlette se leva pour se diriger nonchalamment vers l'escalier et les groupes de filles. Sortant un paquet de cigarettes de sa poche, il s'approcha du premier groupe. Quatre jeunes filles bavardaient. < Vous auriez du feu, peut-être ? > demanda notre salopiot en positionnant son pied entre les jambes des étudiantes.

< On ne fume pas ! > lui répondit la grande brune plutôt jolie et en jupe. Notre vicelard enchaîna avec une autre question pour bien filmer sous les vêtements des filles. < Vous auriez l'heure peut-être alors ? >. La belle rousse sortait son téléphone pour regarder l'heure. < Il est 16 h15 ! > fit-elle avec un large sourire, toute heureuse de rendre service. Notre salopard remercia la jeune étudiante pour se diriger vers un autre groupe.

Même scénario d'approche. Même résultat. Notre voyou devait déjà posséder quelques minutes de "film". Ce sont les deux garçons, étudiants sans doute aussi, qui trouvèrent cet étonnant manège assez curieux. Les mecs connaissent souvent les "plans". Et tout particulièrement des "plans" aussi foireux que celui de Gégé-la-Branlette. < Hé ! M'sieur, c'est quoi que t'as collé sur ta godasse ridicule ? > fit l'un d'entre eux. L'autre lui fit : < T'as pas une clope ? >.

Gégé, sentant qu'il était repéré, tourna les talons pour se dépêcher de filer. < Hé les filles, c'est un "filmeur" ! > s'écria un des deux garçons. Les filles se tournèrent toutes pour voir disparaître le pervers au premier coin de rue. Les deux zouaves se mirent à le courser pour lui hurler des grossièretés et quelques vulgarités bien senties. Gégé-la-Branlette accéléra le pas et sauta dans le premier bus...

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