Petite escapade coquine à Paris……..
Comme nous le faisons de temps en temps, nous avions programmé un week-end ‘coquin’, nous avions alors jeté notre dévolu sur la capitale, ha ! Paris et ses plaisirs !!!
Quelques jours avant, je déposai donc une annonce sur l’un des nombreux sites de rencontre afin de trouver une idée de plus, pour surprendre martine.
Très vite, je reçu d’innombrables réponses, beaucoup n’ayant que très peu de relation avec mes recherches, mais l’une d’entre-elles, accompagnée d’une photo attira mon attention, je contacté donc l’auteur pour définir un peu mieux notre scénario………
…………
Paris 20h00
Venant de passer une bonne heure dans la salle de bain de notre hôtel, martine sortit de la salle, encore plus sexy et provocante qu’a son habitude, il faut dire qu’elle était au courant d’une partie du programme de la soirée, à savoir une sortie en resto-club libertin.
Alors que nous nous quittions la chambre, Je prétextai la difficulté à se garer et le cout des parkings parisiens, pour faire appel à un taxi. Pourquoi pas, me répondit martine. Je rèouvrais la porte, et me dirigeai vers l’une des tables de nuit de notre lit, en indiquant à martine, qu’il m’avait semblé avoir aperçu des numéros de taxi sur une fiche. Le coup de fils passé, je susurrai à l’oreille de ma femme que nous avions une petite demi-heure à nous occuper en attendant l’arrivée de notre chauffeur, et dans un même moment, je l’allongeais sur le lit. Je voulais faire monter encore un peu plus le désir en elle, et immiscer ma tête entre ses cuisses. Ma langue ne rencontra comme d’habitude aucun tissu, qui aurait pu lui interdire l’accès, à son abricot entièrement dénué de poils.
Je commencé alors à lui titiller le clitoris, une caresse à laquelle elle ne pouvait résister, et très vite son intimité eut pour réaction de s’humidifier. Une bonne vingtaine de minutes passèrent ainsi sous les caresses de ma langue, jusqu'à ce que mon téléphone retentisse : Le taxi était en bas de l’hôtel.
Martine réajusta avec regret sa mini-jupette, enfila une petit veste, et nous quittions à nouveau notre chambre. Je profitais des quelques étages que nous devions descendre en ascenseur, pour alimenter son excitation, et glisser l’un de mes doigts entre ses petites lèvres.
A la sortie de l’hôtel, garé en double file, le taxi nous attendait …….
Installé confortablement à l’arrière de la berline, j’indiqué à notre chauffeur l’adresse de notre destination, celui-ci, non sans avoir d’abord jeté un coup d’œil à martine, démarra.
Je profitai de notre rapprochement, pour glisser ma main dans le décolleté qui s’offrait à moi, tout en couvrant de martine de baisers. Bien vite martine se retrouva avec un sein l’air. Elle jeta alors un regard inquiet sur le retro intérieur du véhicule, dans lequel elle croisa le regard de notre chauffeur, ce qui la fit immédiatement rougir. Elle tenta alors de s’extirper de mes caresses, mais je lui glissais à l’oreille que les taxis parisiens devait avoir l’habitude de ce genre de situation, ce qui ne la rassura pas mais elle se laissa faire.
Je poussai un peu plus mes caresses, descendant vers son entre-jambes et rencontrai son clitoris, ce qui lui fit ouvrir un peu plus les cuisses, me laissant ainsi le passage. Tandis que ma bouche vint rencontrer son téton, que je délectais avec gourmandise , je sentis son souffle qui s’accélérait sous mes caresses. Alors que mes doigts s’insinuaient en elle, je sentais qu’elle épiait sans cesse notre conducteur qui avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la route.
Martine devenait de plus en plus humide, s’efforçant à retenir des râles de plaisirs, j’en profitais alors pour lui ordonner à l’oreille de venir me sucer. Elle me lança un regard à la fois interrogateur et effrayé, je réitérais ma demande, viens me sucer salope ! , mais cette fois à voix haute. C’est toute tremblante, qu’elle ouvrit ma braguette, avala ma queue et commença à me sucer. Je profitai de sa position pour relever entièrement sa jupe et offrir la vue de son petit cul à notre chauffeur. J’installais alors un dialogue plus hot, plus cru :
- très vraiment une bonne salope ! Vas-y avale ma bite avant de t’en prendre plein le cul tout à l’heure…….
Profitant d’un arrêt au feu, notre conducteur se retourna pour ne rien louper du spectacle, ce que je fis remarquer à ma femme :
- regarde-le entrain de te mater, je suis sûr que tu le fait bander, et qu’il a envie de te baiser….
Elle me connaissait trop et compris de suite que je lui avais monté un petit scénario :
-salop, me lançât-elle, t’avait bien encore prévu ton coup !
Il était maintenant inutile de nier, Romuald (c’est le prénom d’emprunt que je donnerai à mon complice) glissa directement deux doigts dans la chatte trempée de martine, ce qui lui fit pousser un grand cri de plaisirs. Malheureusement, le feu tricolore repassa au vert, il dû reprendre le volant, pour nous trouver un coin tranquille comme nous l’avions programmé.
C’est à l’arrière d’un grand hôpital parisien qu’il se gara, et à peine avait-il ouvert la portière arrière que ma femme s’empressa déjà d’attraper sa bite pour l’avaler. Maintenant à 4 pates sur la banquette, elle m’offrait son petit abricot, que d’un coup sec, je pénétrais sans retenu.
- Alors dis-moi, elle est bonne sa queue ?
- Oui, elle est grosse, j’ai envie de la sentir en moi, me rétorquât-elle.
Je fouillai dans mes poches à la recherche d’un préservatif, que je tendais à martine, qui s’empressa de l’appliquer sur le bel engin. Elle se retourna, et toujours en position de levrette, se fit baiser par Romuald, non sans essayer d’étouffer des cris de plaisirs. La situation était tellement excitante que cela ne dura pas beaucoup plus de dix minutes, avant que tous les trois, presque dans un même temps, nous primes notre pied……….
Quelques minutes plus tard, notre taxi nous déposa devant le club echangiste, ou martine arriva excitée comme jamais, mais cela c’est une autre histoire…..
