Scénario .
Je suis assis à mon bureau, entrain de terminer le rangement de mes derniers dossiers.
Derrière moi et sur la gauche, il y a la grande bibliothèque abritant plus de trois cent volumes, couverts d'une fine couche de poussière.
Pour accéder aux étagères supérieures, il faut utiliser l'escabeau. Cela peut, parfois, être plutôt périlleux. Surtout avec la lumière tamisée du soir.
Sur la droite, il y a les deux grandes armoires ou je classe mes dossiers. Archives, affaires en cours, ou encore en attentes.
Là aussi, pour accéder aux documents les plus hauts, il faut faire preuve d'adresse et ne pas être sujet au vertige.
C'est le même escabeau de quatre marches qui permet de faire les "voltiges" nécessaires.
La grande porte-fenêtre, donnant sur le balcon surplombant le parc, est entourée de deux grandes tentures lourdes d'un velour carmin.
Les élégants brandebourgs pendent presque jusqu'au sol avec une sorte de nonchalance "débraillée" mais romantique.
La double porte, capitonnée de cuir noir, tendu de clous-cabochons en cuivre, juste en face de mon bureau, à cinq mètres, permet une parfaite isolation phonique.
Le plafonnier sert très peu. Je n'aime pas trop l'éclairage de ce vieux lustre Hollandais dont la grosse boule cuivrée est recouverte d'une fine couche de poussière. Je préfère l'éclairage diffus de la lampe de bureau à l'abat-jour très XIX ème.
Comme je ne reçois jamais de visiteurs après dix-huit heure, l'éclairage ne pose pas réellement de soucis.
Sur les lames de chêne du plancher, parfaitement cirées et satinées, il y a un premier tapis sous le bureau et un second entre celui-ci et la porte .
Deux grand fauteuils en cuir marron, devant une petite table basse, permettent l'intimitié confortable nécessaire aux traitement de certaines "affaires". Un petit canapé, assorti aux fauteuils, permet souvent de "conclure" une négociation.
Une grande chaise à bascule, de style "rocking-chair", d'époque Victorienne, juste à côté de la grande cheminée, permet les méditations entre deux visiteurs et deux "affaires".
Sur la cheminée, entre deux satuettes de la Victoire de Samotrace, il y a cette délicieuse pendule Anglaise qui marque chaque heure de cet agréable carillon discret et mélodieux.
Vois-tu, chère complice, toi qui, vêtue en soubrette, saura venir faire le ménage dans ce bureau, il y a du travail qui t'attend .
Tu me contacte donc par MP, ici, sur ce magnifique forum, afin de mettre au point les modalité ayant trait à cette tâche ardue.
A savoir enlever la poussière une fois par semaine .
A bientôt, délicieuse soubrette .
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