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Mes bouquins de cul - De l'hyper crade - Bien dégueu

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
- Épisode 1 - Tous droits réservés - © - 2025 -



Chères amies lectrices - Chers amis lecteurs

Toutes les deux semaines je partagerai avec vous, ici même, un nouvel épisode de cette histoire. Ce sera le plus souvent le vendredi. Ce seront des republications remaniées et étoffées de détails souvent truculents. Je tiens à préciser que tout est vrai, vécu et authentique. J'étais jeune et plein d'illusions sur le romantisme et le sentimentalisme. Fort heureusement les années m'ont apporté bien d'autres satisfactions bien plus pérennes.

Nous sommes en 1992.

J'avais trouvé, chez un bouquiniste Belge, exerçant en France, tout un carton plein de supers bouquins de cul. Principalement ces magazines Danois absolument extraordinaires que connaissant certainement les amateurs les plus éclairés. Ce brave homme m'avait laissé ce carton contenant plus de deux cent magasines pour trois cent francs de l'époque. Autant dire un cadeau. Il allait fermer définitivement sa boutique. J'étais donc au bon endroit et au bon moment. Dans le carton, il y avait des magasines "Privates" (mais les anciens , les excellents), des "Pirates" (extraordinaires) et d'autres trucs totalement inconnus de mes éruditions livresques. Des magazines vraiment hyper cochons, je tiens à le préciser. Je n'étais pas vraiment attiré par les cassettes vidéos de l'époque. Je préférais les images fixes.

Je me souviens qu'en sortant de sa boutique, je tenais ce carton comme le ferait un religieux d'une relique précieuse. Il me manquait juste la mitre et la soutane. J'en tremblais de fébrilité. Que du contenu hautement branlatoire que je fixais sur le porte bagage de mon vélo tous terrains "Lapierre". En pédalant, j'imaginais le contenu de mon nouveau trésor. De la vulgarité la plus exquise. De vraies friandises... Il y avait quatre-vingt cinq Color-Climax. Des numéros mythiques comme le No 7 de 1969. Des numéros qui se suivaient du 18 au 31. Toutes les bonnes années et tous les bons numéros. De 1972 à 1977. J'arrivais chez moi en sueur. Je montais directement dans ma chambre, prétextant un malaise pour éviter de manger avec mes parents. Ils ne s'inquiétaient jamais outre mesure. Un artiste est par nature fantasque.

J'en ai épanché des litres de sperme sur ces magasines ! Put-hein, mon poignet ne suivait même plus. Parfois j'en choisissais cinq ou six et je partais me planquer dans un cabanon de jardin, sur les flancs d'une colline peu fréquentée. Là, peinard, dans la tranquillité, je me livrais à mon sport favori. Ce carton était comme un magasin de bonbons pour un gamin. Une boîte de Pandore. La hotte du Père-Noël. La caverne d'Ali Voleur et des quarante Babas... Il y avait des magasines tellement salauds, tellement bandants, que je reprenais plusieurs fois les mêmes. Pour les "étudier" , pour les "scruter", pour les "analyser". Je me souviens d'un magasine Allemand qui avait pour nom "Pfouïï".

Sur les photos de "Pfouïï", il y avait des filles assises en jupe sur des chaises. Mais assises à l'envers. Le dossier les obligeant à rester avec les jambes écartées, assises, dans le restaurant où se déroulait l'anecdote. Elles suçaient avec un bonheur que les photographies traduisaient le plus parfaitement possible. Avec cette virtuosité propre aux professionnels de la prise de vues. Les Gloryholes du sous-sol du restaurant, où les plus gourmandes allaient savourer d'autres bites de toutes les couleurs. Des pages de photos qui puaient le vice à l'état brut. Des mecs qui leur éjaculaient dans les assiettes. Lorsqu'ils ne leurs pissaient pas dans les verres.

Il y avait également d'autres magazines de la "Color-Climax-Corporation" de Copenhague. "New cunts" avec des moules bien rasées et bien fraîches. Même si déjà tout jeune j'étais extrêmement attiré par les touffes velues et "sauvages", ces "abricots" glabres savaient me ravir. M'enchanter. "Sex Bizarre" avec des scénarios bien dégueulasses et pisseux. "Teenage sex" avec de fausses adolescentes bien salopes et hyper vicelardes. "Rodox" avec des femmes invraisemblablement vicieuses, délurées et merveilleusement salopes. Je me souviens de cette histoires de strip-poker où elles étaient assises avec leurs culottes sur les chevilles. Souvent au-delà de la quarantaine, ces belles bourgeoises se montraient assoiffées autant que gourmandes.

Pour exploiter la totalité du carton il m'a fallu deux ans de branles acharnées. Branles régulières et hautement jouissives. Il y avait toujours un magazine dont je ne me souvenais plus du contenu. J'ai gardé ce carton une quinzaine d'années puis, par altruisme et bonté, je l'ai offert à un nécessiteux, je l'ai donné à un pauvre. J'ai partagé mon "trésor" avec un démuni. J'ai fait un don aux 'Restaus du Cul"... Un acte de générosité dont je suis coutumier. En ce faisant, je savais que je ferais un bienheureux. Surtout que j'avais préservé ces merveilles avec une rigueur proche de l'obsession maniaque du collectionneur. Pas la moindre tache de foutre. Pas de pages collées. Non. J'ai donné ces raretés dans le même état que je les ai acquise. Parfaites et immaculées.

Mais aujourd'hui encore je me souviens de certains magazines du lot qui se sont imprimés dans mon esprit d'une façon inaltérable. Il y avait quelques magazines Allemands de Thérésa Orlowsky. Les fameux "Madame X". Des femmes, toutes plus belles les unes que les autres qui se faisaient promener à la laisse dans des ruelles sombres pour aller pisser dans des canisettes. SEX-traordinaire ! Des gros plans, dans la pénombre, sur leurs yeux luisants de plaisirs et leurs peaux humide de désirs. Je me souviens de cette sublime brune aux yeux bleus. Je ne vivais pas encore avec Clémentine mais avec le recul, la ressemblance était troublante. Clémentine n'était pas encore née en ces glorieuses années où j'étais étudiant aux Beaux-Arts de Paris. Étudiant en bouquins de cul aussi ! ! !

Je rentrais aux week-end et aux vacances. J'avais une amie, gérante d'un petit magasin de fringues. Quand j'étais jeune, j'attirais des femmes plus âgées. Aujourd'hui j'attire les jeunes filles. Je jure de ne pas le faire exprès. Cette femme divorcée, de trente cinq ans, avait acheté ma première vraie toile personnelle. Je lui prêtais parfois de mes magasines et elle rechignait à me les rendre. Prétextant qu'elle avait oublié de les ramener. Une belle bourgeoise avec qui il ne s'est jamais rien passer d'autre que des masturbations. Elle me regardait me branler dans une des cabines d'essayage du fond de sa boutique. J'adore les branlettes avec une femme, mais elle ne voulait pas le faire avec moi. De grands souvenirs...

Il n'y a pas à dire mais ils savaient y faire, à l'époque, les bougres qui éditaient et produisaient ces saloperies ! Du grand Art ! Félicitations !

Je me souviens d'un de ces magasines. "Madame X". Une jeune femme au corps d'athlète, brune, hyper belle, se faisait "dresser" et "éduquer" dans un manoir. Le "maître" lui pissait dans un verre. La maîtresse lui léchait le fion. Ils lui ont tout fait subir ! De la cage, dehors sous la pluie, à la mare pleine de boue ou elle devait se rouler vêtue en bourgeoise. Un "jardinier" qui venait se faire sucer dans le parc ou elle était ligotée. Un mec qui la niquait attachée dans une charrette à foin. Du sperme laiteux, crémeux et épais collé autour de la bouche pour marcher en ville. Elle était regardée par des passants consternés ! Du grand Art ! De la qualité "Made in Germany". Du style "Réality King" d'aujourd'hui. Ou encore "Public Disgrace". Bref, des trucs d'esthètes et de connaisseurs...

Son pseudo "Lenia". C'était délicieux de la retrouver dans un porno dégueu une dizaine d'années plus tard, un peu vieillie. Un peu vieillie mais toujours hyper bandante et entrain de sucer des dizaines de bites dans un film (en DVD) "GGG" de John Thompson. Couverte de foutre et de pisse. C'était le bon vieux temps. Je suis resté un inconditionnel et incorrigible branleur. J'aime tant les filles. Clémentine, mon alter égo au féminin, partage mes passions. C'est tout simplement prodigieux. Il ne pouvait rien m'arriver de mieux. (Les aventures de Clémentine et de Julien) [www.bobvoyeur.com]

Avec le temps , j'ai acquis une certitude . Dans le domaine du cul , il y a toujours autant de Faux-culs ...



Et vous, femmes, hommes, racontez-nous vos premiers bouquins de cul. Vos branlettes sauvages. Partagez vos souvenirs d'extases dans les lieux les plus insolites. Mais en restant exclusivement dans le sujet. On se moque des DVD, des cassettes vidéos. On s'en fout complètement Non, que vos bouquins de cul et vos émotions. Lâchez-vous...
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