Les histoires de Sarah et Franck

Superbes histoire

Super de la lecture excitante au bord de la piscine !

Bonjour, j'adore vos histoires, elles sont très explicite, réaliste et du coup très excitante.
Continuez ainsi à nous régaler

Merci messieurs.

Voici la nouvelle histoire

Bonne lecture.

Ma femme et moi étions au camping depuis déjà une semaine, nous avions pris nos marques.
Le samedi suivant, les nouveaux locataires arrivent, nous étions sur notre terrasse, ma douce m'expliquait qu'elle irait bien faire un massage au spa de l'établissement mais que c'était bien trop cher.
Au même moment, une famille bourgeoise (grosse voiture et bagagerie de luxe) (un couple avec un fils) s'installa dans le mobilhome à côté du nôtre.
Nous n'aimons pas parler avec le voisinage mais la dame du couple étant très bavarde et intrusive, vient vers nous et explique qu'ils avaient loué une belle maison sur un site.
Malheureusement c'était une arnaque et ils ont dû se rabattre au dernier moment sur ce camping.

Le lendemain matin notre dame casse tête, nous explique que son fils est en terminale, âgé de 18 ans, et qu'il n'est jamais accompagné de filles.
Elle nous fait part de son inquiétude.
Il est jeune, timide et un peu enrobé, pour ma part je pense qu'il est juste réservé avec la gente féminine.

Le jour suivant, pour fuir miss casse tête nous avions décidé de nous rendre le plus souvent possible dans une petite crique que nous avions trouvé sur la plage proche du camping.
Elle était souvent déserte et nous y étions tranquille.
Je revenais d'un bain rafraichissant alors que ma femme s’enduisait d’huile solaire. Elle était dans la maillot blanc que j'adore car il met en avant sa magnifique poitrine, s'est à cet instant que je vois des branches bouger de façon anormal dans un bosquet non loin de là.
Je dis à mon épouse en passant à côté d'elle "je reviens" et je me dirige vers ce bosquet.
Ma chérie pense surement que je vais exprimer un besoin naturel, ne s'inquiete pas, elle reprend sa séance de bronzage.
Dans le bosquet, je découvre le fils de nos voisins tout rouge avec une énorme bosse dans son caleçon, je lui dis :

• — Il ne faut pas te gêner !

• — Comment ça ?

• — Allons ! Je t’ai bien vu la mater !

• — Euh, mais non…

• — Très bien, je vais aller voir tes parents.

• — Non s'il vous plait… J’avoue, je l’ai un peu regardé…

• — Un peu...

• — Ben, disons que je la trouve très belle avec son maillot.

• — Et cela t'a excité ?

• — Euh… un peu oui…

• — Tu te branlais en la matant ?

• — Euh…

• — J'ai vu la bosse dans ton bermuda...

• — Euh... oui

• — Tu as éjaculé ?

• — Non !!!

Une idée me vient...

• — Je vais te proposer un truc.

Et je lui expose mon idée.
Il partit en vitesse dans le camping sans me donner de réponse.
Je retourne à ma serviette m'allonger.

• — Tu as étais long ? Me demande ma femme.

• — Notre jeune voisin se masturbait dans les buissons en te matant.

• — Et tu l'as viré ?

• — Non je lui ai fais une proposition !

• — Laquelle ?

• — Je lui ai dit que s'il revennait dans moins de trente minutes avec un ticket d'accès pour un massage au spa, tu le laisserais peut être se branler jusqu'à la jouissance en matant ta poitrine.

• — Tu es fou ? Il a répondu quoi ?

• —  Je ne sais pas, il est partit en courant sans me répondre, nous serons fixés s'il revient. Et puis, tu voulais un massage et si je ne l'avais pas vu il aurait quand même giclé en te matant. A toi de voir si le deal t'interresse ?

• — Tu en penses quoi ?

• — Si j'ai fais la proposition, c'est que cela ne me gêne pas... attendons de voir s'il revient...

• — Facile à dire...

Après avoir échangé avec ma femme pendant vingt minutes, nous voyons le jeune nous faire de grands signes.

• — Alors tu veux ton massage ?

• — Je ne sais pas...

• — Allons le voir...

Je me lève suivi de madame et nous nous dirigeons vers le bosquet.

Le jeune nous attend un ticket à la main.

• — Tu as ce que je t'ai demandé ?

Il me tend le billet, je le prends et l'analyse.

• — Pas mal, tu as pris un bon pour une séance d'une heure et demi  !!!

Le jeune rougit.

Je me tourne vers madame.

• — A toi de voir ?

Elle acquiesse d'un signe de tête.

• — Ma femme a l'air d'accord, baisse ton caleçon pour commencer.

Il baisse son caleçon et commence à se toucher mais il a du mal à durcir.

• — Un problème ?

• — Navré, j'ai suis un peu impressionné, je n'ai pas l'habitude.

Je me place derrière ma femme et détache le haut de son maillot libérant ses deux seins.

• — C'est mieux comme ça ?

A peine ai-je finis ma phrase que son sexe grossit à vu d'oeil prenant de belles dimensions... Ses yeux fixent les seins de ma belle.

• — Oui merci !

Il commence alors à s'astiquer avec entrain...
Sa bite est plutôt grosse, il se décallote completement, il fait de grand va et vient avec sa main.

Ma femme me dit à l'oreille :

• — Je peux l'aider un peu ? Ce n'est pas que j'en ai envie mais je ne veux pas que cela dure trop longtemps, des personnes peuvent nous surprendre.

• — Tu as raison, vas y.

Nous nous sourions, puis elle se rapproche de lui en lui disant.

• — Allez jeune homme, il est temps de finir.

Le jeune regarde toujours sa poitrine en  se faisant plaisir, elle tend alors la main et commence à lui carresser les testicules.
Croyez moi, elle est très douée pour ça.
A peine 5 secondes passées et le jeunot nous annonce :

• — Je vais éjaculer...

Il envoie alors un premier jet de foutre bien épais, d'une quantité énorme dans les herbes puis de nombreux autres il ne semble pas vouloir s'arrêter de gicler, il crie de petits "merci madame merci" pendant que ma femme continue de lui carresser les couilles.
Le flot diminue enfin, il continue de faire quelques va et vient pour faire sortir ce qu'il reste de sperme en lui.

Ma femme stoppe et revient vers moi en lui disant :

• — Merci pour le cadeau.

Elle prend le coupon de massage toujours présent dans ma main, puis annonce en partant vers la plage.

• — Je  retourne bronzer, voit avec notre ami s'il souhaite me faire d'autres cadeaux ...

En me faisant un clin d'oeil.

Je suis avec notre jeune ami dans le bosquet et j'apprends qu'il se nomme Paul.
Il me remercie pour le moment passé, je lui dis que s'il souhaite recommencer, la miss voudra surement encore un cadeau...
Il part et je retourne auprès de ma belle sur la plage.

Elle profita de son ticket pour le spa l'après midi même et le soir nous avons parlé de cette recontre.
Je l'informe que j'ai adoré la voir aider Paul à se vider, elle me dit qu'elle est heureuse que j'ai aimé et que vu le cadeau cela n'était pas désagréable.

Le lendemain, nous n'avons pas eu de nouvelle de notre ami, nous passons une journée tranquille a parler de la somme que Paul pourrait amener s'il souhaite recommencer et de ce que madame serait prête à faire pour cette somme.
Le soir arrive et nous faisons l'amour avec passion.

Le jour suivant à 09 heures alors que nous sortons de la douche, on entend frapper à la porte de notre mobilhome.
J'ouvre la porte avec la miss dans mon dos et je trouve Paul l'air déprimé qui me dit :

•  - Je n'ai pas pu venir avant, mais depuis la dernière fois, je n'arrête pas de  me demander si votre femme voudra bien recommencer, mes parents sont partis faire des courses, j'ai un peu de temps.

Il semblait très stressé, il me tend un billet de 100 euros et me dit :

• - Je n'ai pas eu d'idée pour le cadeau mais avec ça, j'espère qu'elle sera d'accord pour recommencer ?

Je me retourne vers ma douce qui me fait un signe "oui" de la tête mais Paul ne l'a pas vu, elle lui dit :

• - Pour cette somme, je veux bien te masturber et que tu jouisses sur mes seins mais rien d'autre. Est ce que cela te va ?

• - OUI !!!

• - Alors entre et fais vite, lui dit elle.

Il fait trois pas dans le mobilhome, elle enlève sa nuisette et se retrouve en culotte devant lui.
Elle s'accroupie devant lui et baisse son bermuda, elle constate qu'il est déjà bien dur.
Elle prend alors sa queue en main et commence à le branler délicatement en lui massant les couilles.
Il a un braquemard impressionnant, pas hors norme mais de belles dimensions, plus imposant que le mien.
Elle fait de grand va et vient avec son membre en alternant la vitesse, il pousse de petits cris mais comme il a dû beaucoup se masturber le jour précédent en pensant à la miss, il résiste mieux aux caresses mais il reste sans bouger, il la fixe elle et ses surtout ses seins.
Il semble néanmoins beaucoup apprécier ce que ma douce lui fait.
Devant cette scène, je commence à avoir une belle érection, je m'approche et sors mon sexe, je le présente à ma femme, elle me voit et prend ma bite de la main gauche.
Elle nous branle tous les deux avec énergie, elle semble s'amuser car elle me sourit et met mon membre dans sa bouche, elle m'astique et me suçe de façon magistrale.
Elle passe sa langue autour de ma queue  et cela me procure de fortes sensations.

Paul voyant ma femme me faire une fellation nous dit :

• - Je vais jouir...

• - Elle t'a dit que tu pouvais gicler sur ses seins, profites ...

• - Ok, oh ça ARRIVE...

Ma femme comprend ce qui va se passer et dirige les nombreux jets de sperme vers sa poitrine, elle continue de bien le branler pendant qu'il se vide les couilles, elle se retrouve rapidement avec une quantité impressionante de jus sur le buste, ses seins luissent de semence.
Cela semble lui plaire car elle me suce avec plus d'ardeur, ayant vu un autre que moi éjaculer sur ma femme pour la premiere fois, je suis énormement excité, j'informe ma douce que je vais jouir à mon tour.
Elle continue la fellation jusqu'au moment où elle me sent venir, puis me masturbe en dirigeant tous les jets vers ses seins.
J'ai eu une jouissance comme je n'avais jamais eu, un vrai bonheur.

Elle continua de faire coulisser nos deux engins, les décallotant lentement jusqu'à ce que les gouttes se tarissent puis se releve et demande à notre ami :

• - Tu as aimé ?

• - Beaucoup.

• - Parfait, vu mon état dit elle en souriant, nous désignant sa poitrine couverte de nos deux liqueurs, je repars sous la douche. Mais avant, à moi de te faire un petit cadeau Paul. J'espère que cela pourra te faire. patienter jusqu'à ta prochaine visite.

Elle enlève alors sa culotte et lui tend, en ajoutant :

• - Vous m'avez sacrément fait mouiller tous les deux, ma culotte doit avoir une odeur qui va te plaire.

Il récupère la culotte, il la regarde comme le plus beau cadeau du monde.

• - Merci à vous.

• - Bon comme vous êtes vides et hors d'usage tous les deux, je vais me faire du bien avec la pomme de douche, puis elle se dirige vers la salle de bain avec un grand sourire aux lèvres.

Nous remontons nos pantalons.

Je dis à notre ami :

• - Amuses toi bien avec la culotte et n'hésites pas à revenir, mais n'oublies pas le cadeau.

Paul quitte le logement en rangeant le morceau d'étoffe de ma femme dans sa poche.

Le jeudi tout dérape, notre chère voisine (la mère de Paul), vient nous voir en milieu d'après midi,  elle nous explique qu'ils doivent absolument retourner sur Paris car son mari doit assister à un conseil d'administration de dernière minute demain à 8 heures, il pourrait être promus !
Je lui répond :

• — Très heureux pour vous , mais en quoi cela nous concerne ?

• — Mon fils ne veut pas partir, il nous dit qu'il s'est fait des copains et qu'il veut rester un peu.

• — Et alors !

• — Et alors je ne l'ai vu avec personne ici et je ne veux pas le laisser seul, il est si fragile. Les seules personnes que je connaisse s'est vous. Accepteriez-vous de l'héberger jusqu'à demain matin ? J'ai négocié avec Paul, il fera la fête avec ses "amis" ce soir et veut bien prendre le train de 10 heures demain. Pourriez-vous le déposer à la gare demain matin ?

• — Nous n'avions pas prévu de jouer les nourrices ma femme et moi.

• — Navrée, je sais, j'ai prévu une légère compensation si vous acceptez. Voici.
Et elle me tend une enveloppe.

Je prend l'enveloppe et la donne à ma femme qui regarde à l'intérieur (elle écarquille grands les yeux) et répond à notre voisine.

• — Aucun problème, nous sommes ravis.

• — Merci à vous, je dois me dépêcher de faire le ménage, je vous envoie Paul avec sa valise dès que nous partons.

Et elle part.

• — Il y a combien dans l'enveloppe demandais-je à ma moitié ?

• — Je ne sais pas mais beaucoup, je vais compter, dit elle en regagnant notre mobilhome.

Je réfléchis un peu dehors et rentre à mon tour.

• —  Alors combien ?

• — 300 euros, ils sont fous ?

• — Non plein au As, voudrais-tu jouer avec Paul ce soir ?

• — Ça dépend, il faut faire quoi ?

• — Ce que tu veux mais je pense qu'il aimerait voir une femme se carresser.

• — Je vais y réfléchir, je commence à apprécier de jouer avec lui et toi ?

• — J'adore !!!

• — Ok

Vers 19 heures, Paul dit au revoir à ses parents et nous rejoint.
Il a le sourire aux lèvres.

Nous mangeons et à la fin du repas, Paul engage la conversation :

• — J'adore l'odeur de votre culotte, je me suis masturbé trois fois en la sentant.

• — Ravie qu'elle te plaise, répond ma femme.

Je regarde ma femme qui semble vouloir jouer.
Je luis dis :

• — Bon  commençons à jouer.

Il relève la tête l'air surpris, avec un sourire naissant aux coins des lèvres.
Je ferme les rideaux et annonce :

• — Chérie met toi nue sur le canapé et commence à te caresser.

Tout le monde prend place. Ma douce est sur le canapé, elle se carresse doucement le clitoris en faisant de petits cercles. Paul regarde en se branlant, sa bite prend rapidement du volume.
Ma femme me dit :

• — Viens je vais te sucer.

Je ne me fais pas prier, je met mon sexe devant sa bouche et elle commence une merveilleuse fellation.
On entend Paul qui dit :

• — Oh non je jouis, je suis nul.
Et en effet, il venait de juter sur le sol...

• — Rien de grave Paul.

•  Chérie  ? Il peut venir sentir ta minette de près ?

Je n'ai jamais vu ma femme excitée comme ça

• — Hum, oui dit elle en continuant de me sucer.

• — Paul vient sentir le sexe de ma femme pour voir si cela te rappel sa culotte.

Notre jeune ami s'approche et commence à sentir délicatement l'intimité de ma douce, il est tellement proche que son nez frotte parfois la vulve de la miss lorsqu'elle ondule.
Celle-ci  suce ma verge de plus en plus vite, elle semble prendre du plaisir à ce jeu , elle n'entend pas que je viens de lui dire de ralentir, que je suis à la la limite de la jouissance.
Elle gobe ma bite avec ardeur, je ne tiens plus et commence à me vider dans sa bouche.
Elle est surprise , recrache le sperme et me dit en continuant de me branler :

• — Tu aurais pu prévenir !

• — Je t'ai prévenu mais tu n'as pas entendu !

• —  C'est dommage, je voulais que tu me prenne, il m'a excité à me sentir la chatte celui-là dit elle en désignant Paul. C'est encore moi qui reste sur ma faim.

Celui-ci est tout penaud mais nous nous apercevons qu'il bande à nouveau.

• —  Chérie tu vois ce que je vois, notre ami à l'air de nouveau en forme. Tu veux jouer avec lui ?

• — C'est sur, ça ne te déranges pas  ?

• — Tu viens de me faire beaucoup de bien alors à ton tour.

• Paul prend un préservatif et enfiles le.

Celui-ci vient de comprendre que c'était sa chance, il saisit une capote rapidement et tente de la mettre avec maladresse.
Ma femme lui dit :

• — Viens ĺà, j'ai très envie et je ne veux pas que ça passe.

Il s'approche, elle lui prend le préservatif des mains et l'enfile sur le membre de notre chanceux. Puis elle rajoute en s'allongeant sur le canapé, jambes ouvertes :

• — Viens approches toi.

Paul execute il se met genoux au sol entre les jambes de la miss , torse droit et  approche sa verge de la cavité de mon épouse.
Paul la pénètre et elle me dit tout bas.

• — Ha comme il est gros mon amour, il me remplit. Tu m'aimes  ? Me demande t elle.

• — Oui je t aime.

• — Dis lui de bouger s'il te plait.

• — Paul bouge doucement ton membre, la miss attend.

Celui-ci étant perdu dans ses sensations m'entend et commence de doux va et vient.

Ma belle me dit à l'oreille :

• — Que c'est bon, qu'est ce qu'il est gros. Dis lui d'accélérer, je sens que je vais venir.

• — Paul va plus vite, avec des coups plus amples.

Paul m'obeit et démarre un mouvement plus ample et plus sec avec ses hanches.
Ma femme immédiatement m'informe.

• — Ha c'est trop bon ce qu'il me fait avec sa queue. Chéri dis moi encore que tu m'aimes, je vais venir.

• — Je t'aime princesse.

Entendant ces mots ma douce se cambre et commence à jouir comme je l'ai rarement vu.
Paul nous dit :

• — Elle me comprime le sexe avec sa chatte, je vais éjaculer.

• — Tu la fais jouir, continue, vas y.

Il accèllère encore 30 secondes, il l'a pillonne sévèrement.
Tout d'un coup, ils sont secoués de spasmes, ils ralent et crient tous les deux leur délivrance.
Une fois les mouvements terminés, je demande à Paul d'aller prendre une douche.
Il s'éloigne en enlevant le latex de son membre encore énorme du plaisir pris.

Je caline ma femme, ses yeux sont flous, je lui dis

• — Ça t'a plus ?

• — Oui énorment.

Nous nous embrassons longuement et Paul sort de la douche, en nous annonçant :

• — Je vais me coucher, merci madame d'avoir était ma premiere.

• — C'est un plaisir jeune homme répond t elle.

Et nous allons tous nous coucher...
Le lendemain, je laisse ma femme dormir et emmène notre ami à son train.
Je n'ai jamais vu quelqu'un sourire autant.

Fin...

Merci SetF pour ce récit délicieux, j'aimerais avoir cette chance un jour aussi

Merci messieurs pour ces gentils commentaires.
Bises

Oh quelle lecture excitante , un scénario empli de sensualité ! Comme j’aurais aimé être à la place de Paul ! Encore un jeune heureux ! Bravo à tous les 2 pour ces récits toujours très erotiques et excitants .

Un service sur mesure... joliment raconté

Merci Occicuni et thejack56.
Toujours des commentaires qui encouragent à continuer.
Bises

Avé plaisir vos textes sont toujours très excitants on ne peut que vous encourager à continuer !

Toujours aussi excellent et excitant

Excellent récit très bandant.

Bonjour,

Encore un grand merci à vous messieurs.

Sarah devrait publier un de ses textes dans les jours à venir.

Nous avons également une autre idée, il s'agit de réaliser l'un de vos fantasme par écrit.

Les conditions :

- nous faire une demande assez détaillée en message privé, précisez si vous souhaitez être le narrateur ou l'un de nous,

- dans le respect de la législation, pas de mineurs, pas d'animaux...etc

- que nous soyons dans le fantasme,

- que vous nous transmettiez une fois le récit envoyé, un gif de vous qui vous masturbez en le lisant.

Le tout sera en messages privés, pas de publication de récit hormis avec votre accord et le gif restera pour nous.

Si trop de demandes, nous ferons des choix et nous stopperons quand nous le souhaiterons, surtout si vous ne jouez pas le jeu pour le retour du gif.

Ce message s'adresse aux bobeurs et aux bobeuses si elle le souhaite.

Bise



Modifié 2 fois. Dernière modification le 21/06/23 08:19 par SetF.

Voici le récit de la miss, n'ayant jamais mis les pieds dans un club, la vue de celui est romancé par Madame.

Bonne lecture à vous.

Comme tous les ans nous partons en week-end à deux pour se retrouver hors de la routine boulot @#$%&. Cette année direction la Belgique !
Nous arrivons, déposons les valises dans notre chambre d'hôtel et étant fatigués du voyage nous faisons une petite sieste car ce soir nous avons réservé dans un restaurant gastronomique réputé.
Nous n'aimons pas ce genre d'établissement car c'est assez guindé alors que nous sommes plutôt simples mais les avis étant tellement bons, nous voulons essayer. Bien entendu, tenue classe exigée. Mon homme enfile un jean noir avec une chemise blanche classique et moi la robe qu'il préfère, près du corps courte avec un decolté en V et un dos nu en dentelle, en seul sous vêtement un shorty en dentelle noire. Je veux être belle pour lui, je me fais donc un chignon pour laisser ma nuque apparente il adore ça.
Le dîner se passe bien et pour un gastro nous avons le ventre plein. Nous décidons de marcher un peu afin de digérer. Malgré l'heure tardive la ville est encore vivante et nous flanons main dans la main. Lorsque notre regard se porte sur une très belle maison, que dis je, un manoir et pas mal de monde qui rentre à l'intérieur, une grande proportion de couples apparemment. On se rapproche et mon homme un peu plus alerte sur ces choses me dit que c'est un club libertin.
Avec un grand sourire je lui dis :
- On va voir ?
Mon homme sait très bien que c'est l'un de mes fantasmes mais de là à franchir le pas .... Il me regarde avec de grands yeux et me dit :
- Je te connais tu es hyper jalouse même si ici tout se passe dans le respect de l'autre il y a automatiquement des femmes qui vont me regarder ou même venir nous parler je n'ai pas envie que notre escapade finisse dans les journaux dans les faits divers "une femme dans un club libertin tabasse une femme parce qu'elle a regardé son mari" !
- Aller juste pour voir au moins une fois, et si je vois que je monte en pression promis je prends sur moi et on part je ne taperai personne.
- OK on va faire un petit tour mais si l'un d'entre nous ne se sent pas bien on sort.

Et voilà on s'approche de l'entrée. J'avoue que j'ai le cœur qui bat la chamade de crainte mais aussi d'excitation d'enfin d'assouvir mon fantasme de voyeur.

A l'entrée l'hôtesse très sympathique et légèrement vêtu nous explique comment ça se passe étant donné que nous lui avons dit que c'était notre première fois. Elle nous rassure personne ne nous dérangera si nous ne voulons pas l'être. Nous pouvons prendre une table pour prendre un verre, danser et si l'envie nous prend aller nous balader dans les pièces où s'adonnent les personnes à leur plaisir. Les voyeurs sont les bienvenus si ils ne gênent personne. Les pièces sont toutes ouvertes tout le monde peut regarder.
C'est parti, on rentre dans la salle principale avec un bar des tables et pas mal de monde sur la piste de danse. On décide de prendre un verre et on trouve une table. L'ambiance ressemble fortement à une discothèque sauf que d'ici de là les mains sont fortement baladeuses. Une femme danse en sandwich avec deux hommes celui dans son dos lui remontant sa jupe laissant voir son string et lui caresse ses fesses. Les 3 rigolent, elle embrasse goulumant l'homme devant elle et ensuite le second. On voit directement deux belles bosses dans les pantalons. Après ce baiser la femme prend par la main les deux hommes et les emmène vers les pièces où ils pourront faire ce qu'ils veulent. Mon mari me dit alors
- Tu as aimé ce que tu viens de voir ? Tu pointes !
Je regarde effectivement j'ai les seins tout tendus. Discrètement mon homme en prend un en main et ma chatte réagi de suite. Je le regarde et lui fait un grand sourire. Il me demande alors si je veux faire un petit tour vers les "salles de jeux" je lui répond à l'affirmative par un hochement de tête. Il me prend la main et nous déambulons parmis les danseurs qui nous regardent avec intensité.

Nous arrivons à la première pièce une femme est allongée sur un lit en train de se caresser avec 4 hommes autour d'elle. Ils alternent pour se faire sucer, pendant ce temps les autres lui lechent la poitrine et le sexe, elle à l'air d'être en extase. Je mouille et ma vulve est gonflée ca commence à me gêner.
J'emmène mon homme vers un autre lieu 3 couples se mélangent, on passe à une autre et nous retrouvons nos danseurs, madame se fait prendre en levrette tout en sucant le deuxième. Cette scène est très excitante à regarder je m'imagine à sa place et commence à me laisser aller. Je carresse l'entre jambe de mon homme où je sens son membre que j'aime tant gonflé. Mes caresses deviennent plus insistantes, je le veux maintenant. Le trio nous a repéré et nous invite si nous voulons nous joindre à eux. Là c'est trop pour moi mais mon mari demande si nous pouvons nous mettre sur le côté et nous amuser à deux en les regardant . Ils acceptent et retournent à leurs occupations. Mon mari me regarde et me dit
- Seulement si tu veux aussi ?
Je suis tellement exitée que j'accepte du moment que personne ne vient toucher à mon homme ça va.
Je l'emmène sur le fauteuil devant le lit l'assoit et lui sort sa queue que j'avale avec plaisir. Il en est tout surpris car d'habitude la sucette c'est après un bon nettoyage ! Du coin de l'œil je regarde le trio madame se fait lecher par ses 2 amants et ma culotte est détrempée. Mon mari me dit
- Calmes toi tu va me faire venir je ne vais pas pouvoir tenir comme ça je vais te prendre.
Il enleve ma culotte et veut que je vienne m'asseoir sur lui. Je me mets dos à lui, il me demande pourquoi ?
Je lui répond que je ne veux pas louper le spectacle en face de nous alors que madame se prépare pour une double penetration. Je m'enpale sur le membre de mon homme, je ne l'ai jamais senti si grosse.
Je pense que cette situation lui fait le même effet qu'à moi. Je la sent en moi et ça me fait tellement du bien, il fait sortir mes seins du décolleté et ne les ménage pas !!! J'adore !
Le trouple est au bord de l'orgasme, je bouge de plus en plus ma délivrance est proche.
Je sens la bite de mon homme grossir encore plus et ses jets exploser en moi il râle de plaisir. Je jouis également, le sentir ejaculer en moi m'a toujours fait venir, je cri de bonheur et le trio exulte à leur tour. Cinq personnes qui ont un orgasme en même temps ça fait du bruit. Je reprends mes esprits et c'est là que je vois que nous n'étions pas que 5.
D'autres personnes queue en main étaient à la porte en train de nous mater. Je suis mal à l'aise je veux partir.
Nous nous rhabillons vite fait et en disant rapidement un merci timide à nos trois complices.
Nous repartons vite à notre hôtel.
Sur le trajet nous ne disons pas un mot je n'arrive même pas à regarder mon mari dans les yeux honteuse de ce que j'avais fait.
Dans la chambre il me prend dans ses bras me relève le menton et me demande si j'ai aimé. Je lui répond que je ne sais pas car sur le coup j'ai adoré mais à cet instant je regrette j'ai l'impression de l'avoir trompé... Il éclate de rire et me demande comment j'aurais pu le tromper car personne ne m'a touché. Sur ce il m'embrasse tendrement me dit qu'il a adoré ce moment avec moi et que je n'avais rien à me reprocher. Il part sous la douche. Je me remémore l'instant torride que nous venons de passer et je mouille à nouveau. J'entends l'eau de la douche et imagine mon mari nu. Je me déshabille, retrouve mon homme qui devait penser à la même chose que moi car son membre a repris une belle taille. Je me mets à genoux et commence une fellation.
Cette nuit nous avons encore fait l'amour mais cette fois ci plus tendrement.
Fin...

Superbe lecture ! J’y étais avec vous , tellement excitant que j’avais l’impression d’être dans un coin de la salle à me branler en vous regardant ! Merci pour cette lecture emplie de sensualité , d’érotisme et d’excitation ! Encore !!!

Merci messieurs ;-)
Bise à vous

Nouvelle histoire écrite pour un bobeur, il se reconnaitra ;-)
Bise à lui
Il nous a autorisé à la publier.

Bonne lecture :

Avec mon mari nous sommes à l'hôtel, nous avions besoin d'une escapade à deux.
Nous descendons dans la salle de restaurant et j'ai mis une petite robe noire assez courte pour lui plaire.
Nous commandons un apéritif et nous discutons des choses que nous pourrions faire pour pimenter nos ébats, il me dit que le fait d'écrire des récits pour le site Bobvoyeur lui plait énormément mais qu'il souhaiterait que je sois plus coquine.
Estimant avoir fait des efforts en acceptant de nous inscrire sur le site, je suis piquée par la remarque.
C'est à ce moment que j'aperçois un homme derrière mon époux, il mange seul à une table et regarde dans ma direction, il me sourit.
Ce monsieur à l'air d'être un VRP et il est plutôt mignon.
Mon chéri veut jouer, on va jouer !!!
Pendant que je discute avec mon homme et que l'on nous sert les entrées, je remonte lègerement ma robe afin de voir la réaction de mon VRP, celui-ci n'en perd pas une miette, il regarde ma petite culotte, curieusement cela m'excite.
Je continue à montrer mon entre jambe au coquin en fermant puis réouvrant les cuisses.
Nous continuons notre discution avec mon mari, toujours sur le même thème quand je lui explique ce qui se passe avec notre voisin de table, je lui dis de ne pas se retourner afin de rester discret.
Il me demande si je ne me trompe pas.
Les plats arrivent et je dis à mon amoureux :
- Attends moi ici, on va vérifier. Puis je me dirige vers les toilettes.
En refermant la porte de celles ci, je constate que mon voyeur arrive.
Je verrouille vite la porte, que dois je faire, l'alcool aidant, j'ôte ma petite culotte et la laisse en évidence dans les wc.
Je ressors et croise notre ami qui me dit :
- Joli sous vetements madame.
Je lui répond et je ne sais pas pourquoi :
- Attendez le repas n'est pas fini.
Puis je retourne à ma place.
Je confirme à mon mari que ma sensation était la bonne et lui demande quoi faire.
Il me répond de m'amuser.
Notre homme revient s'asseoir et me montre le morceau de tissu m'appartenant dans sa poche.
J'écarte directement les cuisses pour lui donner une vue sur mon ticket de métro.
J'ai très chaud et je suis terriblement excitée.
Pendant que nous mangeons, je pose discretement ma main sur ma chatte afin de me carresser le clitoris, notre amateur semble apprécier la chose et moi je suis trempée.
Je continue de me faire du bien en montrant ma fleur à mon spectateur, je me fouille avec passion en écartant mes lèvres quand ma moitié me demande si cela se passe bien, je lui répond que le monsieur prend son pied.
Nous décidons de ne pas prendre de dessert et remontons dans notre chambre, nous nous apercevons que notre ami et derriere nous.
Coup du sort, sa chambre est à côté de la notre.
Nous refermons notre porte.
Mon homme me dit :
- Cela t'a plus ?
- J'étais stressée mais oui amusant, je suis toute humide, j'aurais bien jouer encore un peu.
- Tu veux que je tape à sa porte ?
- Oui mais à mes conditions, il a apprécié de voir ma petite chatte, il vient juste pour la gouter, aucune pénétration, toi tu t'asseois et tu regardes, que ce soit bien claire.
- Tu es directive ce soir me dit il en s'éloignant vers la porte.
J' enlève ma robe et attend nue sur le lit.
Notre invité arrive :
- Bonsoir madame.
- Chut pas un mot si vous êtes d'accord tout se passe en silence.
Il se tait immédiatement et mon mari s'installe.
Notre inconnu s'approche du lit, commence par embrasser mes chevilles puis remonte vers mon intimité en déposant des baisers sur mes mollets puis mes cuisses, je n'en peux plus.
Quand je sens sa langue entrer en contact avec ma vulve, je me cambre.
Sa langue lêche mon clitoris avec application, il est très doux et semble ressentir mes attentes.
Je vois mon mari nous observer, il apprécie ce qu'il voit.
Sa langue se fait plus pressante, il sent que je monte et commence un très doux massage de mes seins, l'excitation monte à son paroxisme et je finis par jouir avec force.
Notre compagnon se relève, je vois la bosse dans son pantalon, je me dis que je ne peux pas le laisser partir comme ça.
Je sors alors sa verge de sa prison, elle est déjà terriblement raide.
Je commence des va et vient réguliers, notre ami semble apprécié, je lui carresse également les couilles avec douceur de mon autre main.
J'accélère et embrasse sa queue avec gourmandise. Je donne juste quelques petits coups de langue en amplifiant mes mouvements.
Le résultat ne se fait pas attendre les premiers jets de sperme s'échappent de sa bite, je les dirige vers ma poitrine tout en continuant de bien le branler afin de faire sortir toute sa liqueur.
Mes seins luisent avec sa semence.
Je le remercie et lui demande de sortir afin de pouvoir me doucher.
Il ne discute pas et repart vers sa chambre en n'oubliant pas de saluer mon époux.
Mon amoureux à l'air aux anges, je lui dis :
- Je me douche et je m'occupe de toi mon amour !!!
Fin.

Merci monsieur le VRP ;-)

Petite photo de la miss pour montrer à certains que nous sommes bien en couple sur ce site.



Bise

Superbe vos histoires érotique, j'adore.
Lire pendant mes pauses en camion m'excite fortement...
On s'y croirais bravo, continuez ainsi.!



Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/06/23 08:36 par Routierdu45.

Merci pour cette histoire ! Je m’en délecte et chaque relecture est une belle excitation !

Bonjour super écriture

Merci à vous messieurs ;-)

Ptit up
Bise

Nouvelle histoire, bonne lecture :

Quel surprise !

Hier, on a fêté mon anniversaire et comme cadeau mes amis m'ont fait une blague en m'offrant une boite de viagra, leur message sur la carte laissait penser qu'à mon âge, je devais en avoir besoin !!!

N'ayant jamais eu de problème d'érection mais étant joueur, je décide de prendre une pilulle un peu avant d'aller me coucher afin de faire une surprise à mon épouse.

Une fois au lit avec elle, je sens une réaction commencer, je montre à ma douce mon état, heureusement elle est d'humeur coquine et nous commençons à faire l'amour.
Mon sexe est très gonflé, beaucoup plus qu'à l'habitude, ma femme semble apprécier et j'enchaine les vas et vient.
Ma belle commence à jouir et j'éjacule en même temps mais je sens que ma bite reste gonflée en elle et qu'elle ne veut pas dégonflée.

Ma moitié est surprise donc je lui explique que j'ai pris un cachet, elle me fait la morale et pour ne pas me laisser dans cette état, elle commence à me chevaucher, après une trentaine de minutes ma femme a joui plusieurs fois mais mon bâton reste terriblement dur, il me fait très mal.
Ma femme n'en pouvant plus, elle regarde sur internet et découvre que si le pénis reste trop longtemps en érection, il peut nécroser.

Ni une ni deux, on se retrouve au urgence de l'hôpital, coup de chance, il est tard,  et la soirée semble calme, peu d'admission, je me retrouve à devoir expliquer ma bétise à une doctoresse, elle confirme que le priapisme peut  faire nécroser le pénis et qu'elle n'a pas une bonne nouvelle.

En effet, les matières premières pour fabriquer le serum censé être injecté dans le sexe sont en rupture et ceci à cause du conflit en Ukraine, donc pas d'injection possible.
Elle nous dit que cela est très grave, qu'elle va contacter d'autres hôpitaux afin de savoir s'ils ont une dose disponible.

Elle nous installe dans une chambre et demande à Madame si elle peut de nouveau avoir des rapports avec moi afin de sauver mon membre.
La miss lui répond qu'elle a déjà essayé à plusieurs reprises mais qu'elle veut bien rééssayer.

La doctoresse part passer des coups de téléphones, et nous nous remettons à la tâche.
Au bout de trente minutes mon épouse est épuisée.

La doctoresse entre dans la chambre en nous disant qu'elle n'a pas trouvé de dose disponible.
Elle savait que ma femme fatiguerait, elle lui a ramené de l'eau et du sucre.
Moi, j'ai le droit à un café.

Elle nous explique que nous devons prendre une décision soit on attend et il y a de fortes probabilités que l'on me coupe le sexe, soit elle a trouvé une infirmière qui veut bien prendre le relais de madame afin d'alterner.
Je demande à ma femme ce qu'elle en pense, elle me répond :

- Je ne vais pas te laisser te faire couper la queue et j'ai mal au vagin, putain tu fais chier, aller envoyez cette infirmière.

- D'accord répond la médecin.

Elle ouvre la porte et une mamie quasiment à la retraite entre, je ne vais pas me plaindre, j'ai de plus en plus mal au sexe.

On nous donne du gel et des préservatifs, j'en enfile un et je commence à besogner grand-mère qui discute avec ma femme en même temps.
Malgré son âge, elle tient le choc car je ne l'a ménage pas.
Elle jouie à plusieurs reprises mais mon état reste le même alors elle alterne avec mon épouse.
Elle sorte de temps en temps pour allez chercher à boire , au bout d'une heure les deux fatiguent mais le médecin arrive en nous annonçant qu'elle a une nouvelle volontaire pour aider, une jeune infirmière de 25 ans fait son entrée, elle nous dit :

- Je suis célib donc si je peux aider ?

Je regarde ma femme, qui répond directement :

- Allez-y mais toi ne fait pas ton malin.

- Crois moi mon ange, j'ai super mal, si je pouvais éviter.

- Alors dépêches toi.

Et voilà que je prends la nouvelle arrivée en levrette, j'enchaine les va et vient, elle semble apprécié mais pour ne pas énerver mon épouse, elle reste discrète, elle fatigue également et je prends les trois exténuées  à tour de rôle mais ma vigueur ne retombe pas !
Après deux heures les pauvres n'en peuvent plus, la doctoresse arrive et constate les faits,

La plus jeune annonce :

- Il tient la forme le monsieur, on n'en peut plus !


La médecin prend alors la parole :

- Mon mari ne va pas être content mais il s'agit de sauver un patient, madame si vous le permettez, je prends le relais ?

- Allez y je ne suis plus à ça pret ! Répond ma femme.

Et je voilà que je mets de grands coups de bites dans mon médecin, après 20 minutes, je les informe :

- Je sens que ma queue commence à se relâcher.

- C'est peut être notre chance, il faut qu'il reste excité et qu'il gicle. Annonce la soignante. Qu'est ce qu'il aime ?

- Il aime se faire sucer. Dit ma moitié avec de l'espoir dans la voix.

Et paf, je me fais sucer par quatre femmes qui alternent. Je leur baise littérallement la bouche.
Les malheureuses ont mal aux machoires mais ne lâchent pas.
Après une heure de ce traitement alors que ma femme me suce je crie :

- Ah  ça vient ! Et j'éjacule de puissants jets de sperme. Ma liqueur sort en grande quantité.

Ma femme qui n'aime pas prendre ma semence dans sa bouche, ne bronche pas et continue de me pomper. Elle recrache le surplus à la commissure de ses lèvres. Ma verge commence à ramollir dans sa bouche jusqu'à se mettre au repos total.

La doctoresse dit :

- C'est bon les filles, on a gagné, on a sauvé son membre.

- Alléluia !!! Crie la benjamine.

- Vivement la retraite. Nous déclare l'ainée

- Toi tu vas me payer ça. M'annonce ma femme.

Merci les copains : Quelle nuit !!!

Hum j’adore irréelle mais tellement bon de s’imaginer vivre un tel moment ! Encore une histoire excitante !!

Trop forte cette histoire, l'abus de médicaments est mauvais pour la santé, il faudrai publier ce récit dans les magazines médicaux. mdr
Merci encore pour vos histoires, continuez surtout...bises



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/07/23 12:35 par Routierdu45.

Merci à vous messieurs.
Bise

Merci à vous
Bise

Coucou, vos histoire me manque, peut être êtes vous en vacances.!?

Bonjour,
La miss travaille sur votre récit.
On manque un peu de temps maisbdes récits vont être publié dès que possible.
Bise

Si d autres on des demandes particulières, envoyez messages.
Nous avons aussi créé des récits pour des personnes qui ne souhaitent pas que l'on publie du coup on passe du temps et les autres bobeurs n'en profitent pas.
Bonne nuit

Navré, mais très occupés en ce moment, nous espèrons publier bientot ;-)
Bise

Bonjour à toutes et à tous.
Nouvelle histoire écrite pour routier du 45, elle est courte car peu de temps en ce moment, bonne lecture :

Mon mari et moi étions sur la route des vacances, direction le Sud, lorsque celui-ci me mis au défi de montrer mes seins aux routiers.
Piquée au vif, je dégrafe immédiatement mon soutien gorge et baisse le haut de ma petit robe afin de faire voir mes seins.
Je ne suis pas très à l'aise mais mon homme m'a provoqué donc tant pis pour lui.
Nous apercevons un poids lourd devant nous et mon appréhension monte d'un cran.
Je reste sans bouger dans le véhicule, sans oser regarder à droite
Mon mari le dépasse sans ralentir sa vitesse mais le routier nous fait un appel de phare.
Mon chéri me fait remarquer que le chauffeur a du apprécier la vue.
La situation et les mots de mon époux commence à me faire mouiller.
Mon homme doit le comprendre car il glisse ses doigts dans ma culotte et joue avec mon clito qu'il carresse lentement.
Je ne m'aperçois qu'au dernier moment que nous allons doubler un nouveau poids lourd.
Mon mari ralentit ce qui laisse le temps au conducteur de voir mes seins et la main de mon amour me malaxer la chatte, j'inonde ma culotte.
Appel de phare du routier, nous n'avons jamais fait cela mais mon mari voit une aire de repos, il met son clignotant et se rend sur l'air, il me dit que le routier et derrière nous.
Je retourne à un mélange d'angoisse et d'excitation.
Mon homme se stationne à l'écart des autres véhicules, mais nous sommes en semaine donc il y a peu de monde.
Le routier se gare pret de ma portiere et descent, il me dit que je suis très agréable à regarder et demande s'il peut nous aider.
Mon mari l'informe qu'il peut me carresser le minou pendant que je le masturbe (sans me demander).
Notre ami ouvre ma portière, se présente et sort son sexe à demi tendu.
Je le prend dans la main pendant qu'il commence à me malaxer le clito, mon excitation remonte en flèche.
Sa bite a pris un beau volume dans ma main.
Mon mari veut jouer, on va jouer, je demande au chauffeur s'il a une capote, il me répond que oui, je lui dit de l'enfiler pour que je puisse le sucer.
Il ne se fait pas prier, je débute alors une fellation sur le monsieur qui grogne de plaisir.
Il s'occupe de ma chatte comme il faut et la situation fait monter mon désir.
Je gobe sa queue en lui carressant les couilles et notre ami m'annonce qu'il va éjaculer.
J'intensifie mes mouvements et je ressens ses jets de sperme percuter le bout de la capote, je jouie en le sentant se répandre dans ma bouche.
Je ralentie mes mouvements, notre ami nous remercie et mon mari repart immédiatement.
Mon homme me sourit et me montre son érection, je débute une gaterie dont il va se souvenir mais c'est une autre histoire...

Merci à vous Routier du 45.

Bise

Un pur plaisir, merci à vous
Bises

Merci beaucoup ça fait plaisir.
Bise

Hum j’adore joli récit ! Bravo on en redemande !J’ai vécu une situation identique mais en voiture je suis commercial ! J’aime la route coquine !

Belle utilisation des aires de repos. SetF

Merci à vous.
Bises

Nouvelle histoire :

Un matin d'automne, mon épouse et moi  partons faire les magasins toute la journée, comme elle sait que ce n'est pas mon activité favorite, pour me divertir, elle n'a pas mis de culotte.
L'été indien frappe à la porte de notre région, elle a donc ressorti la petite robe que j'adore.
Nous sommes sur le trajet pour faire les boutique, ma femme conduit, elle s'amuse à me montrer sa toison et commençons à nous chauffer.
Ma femme relève sa robe et je commence à  jouer avec son clitoris.
Nous sillonons les routes de campagne couvertent de la rosée matinale et de nombreuses haies bordent notre chemin.
L'aube est déjà passée mais le soleil ébloui encore nos yeux.
La miss carresse la bosse que fait mon sexe dans mon pantalon, à cet instant, un cycliste arrive à notre droite, il a la priorité  mais est masqué par une haie, il roule vite et ma femme ne l'a pas vu, le choc est inévitable.
Son vélo frappe violemment l'avant droit de notre voiture, un grand bruit de métal retenti, le cycliste est propulsé dans un champ.

Ma femme stoppe la voiture , elle est bouleversée, nous nous portons immédiatement au secours de la victime.
Je vois l'état du pauvre cycliste, un homme d'une trentaine d'année, je téléphone au 18 afin de prévenir les secours pendant que ma femme s'accroupie et prend des nouvelles du blessé, il est conscient mais à de nombreuses plaies, il nous dit qu'il a très mal aux deux bras.
Les pompiers arrivent vite ainsi que la gendarmerie, un dépistage ď'alcoolémie est demandé à mon épouse heureusement, elle n'a pas bu.
Le blessé est transporté à l'hôpital, un constat est rédigé.
Nous rentrons chez nous, nous apprenons trois jours plus tard que le cycliste a les deux bras cassés mais que ça vie n'est pas en danger.
Par correction, nous allons lui rendre visite dans sa chambre à l'hôpital afin de nous excuser.
Heureusement il est adorable, il est dans une chambre individuelle, il se nomme Alexandre, il nous explique qu'il est triathlète, qu'il s'entrainait le jour de l'accident et qu'il nous excuse, il ne nous avait pas vu non plus, il était perturbé car il venait de se séparer de sa petite amie, ce n'était pas son jour de chance.
Cela faisait vingt minutes que l'on discutait quand il me demande d'actionner le bouton pour avoir de l'aide car il a une énorme envie d'uriner, il peut se lever mais comme ses deux bras sont platrés, impossible pour lui de le faire seul.
Deux minutes après personne ne vient, je vais à la recherche de personnel dans le couloir et on m'informe qu'un malade est en état d'urgence absolu, personne ne pourra venir pour le moment.
Je retourne dans la chambre et notre malheureux nous informe qu'il ne peut plus attendre, il faut l'AIDER et vite...
Ma femme me regarde, je lui dit :

- Désolé ma puce mais il est hors de question que je touche le sexe d'Alexandre, de plus, TU l'as renversé.

Ma femme ne discute pas, elle va avec Alexandre dans les toilettes mais laisse la porte ouverte afin qu'il n'y ai pas d'ambiguité.
Lui a tellement envie qu'il ne discute pas non plus.
Elle sort le pénis de notre invalide et celui-ci commence à uriner, je me tourne afin de conserver son intimité.
Mais ma femme m'informe que nous avons un problème :

- Chéri, on a un souci !

- Quoi ? Lui dis je en me retournant.

- Il a fini de pisser mais il bande !

Je vois alors le sexe Alexandre et autant dire qu'il s'agit d'Alexandre le Grand, son membre est énorme, les dimensions d'une bombe de mousse à raser.
Notre comparse nous explique :

- Je suis navré, mais j'ai repensé à Madame quand elle m'a secourue, j'avais beau avoir très mal, j'ai vu qu'elle ne portait pas de culotte, j'avais sa chatte sous les yeux ! Désolé.

Dans la précipitation, ce jour là, nous avions complétement oublié et à sa place j'aurais profité également, ça a dû légèrement réduire sa douleur.

-  Qu' est ce que je fais ? Me demande ma femme. Il est tellement en forme que je n'arrive pas à remettre son sexe dans son pyjama. Je ne peux pas le laisser comme ça ?

Je regarde notre ami, les bras dans le platre l'air gêné. J'ai une idée !

- Passes sa bite sous l'eau froide.

- Ok.

Ma femme le rapproche du lavabo est commence à lui mettre de l'eau froide sur la queue.
Au bout de deux minutes non seulement cela ne fonctionne pas mais Alexandre nous informe que cela devient douloureux.
Je lui demande :

- Vous voulez retourner dans votre lit ?

- Non, je ne peux pas rester comme ça, ma soeur doit passer me voir avec ses @#$%& !

- Ha c'est vrai que c'est embêtant.

- Bon bah, il n'y a plus qu'une seule solution, annonce ma femme. De toute façon, je l'ai déjà dans les mains et il a les bras cassés par ma faute.
Et elle commence à le branler au dessus du lavabo.
Ses mains ont du mal à faire le tour du membre d'Alexandre, elle le carresse en alternant les vitesses, celui- ci commence à prendre du plaisir, il pousse des petits râles :

- Continuez comme ça, je sens que ça vient.

Mon épouse continue en mettant plus d'intensité.
La voir masturber un autre homme ne me déplait pas :

- Allez chérie, fais le éjaculer. Quelqu'un peut arriver n'importe quand.

- J'y travaille, figures toi mais sa queue est tellement grosse que je ne peux pas faire ce que je veux.

- Ne vous inquietez pas, c'est tout proche.

Nous informe Alexandre,  puis il crie sa libération :

- Ha oui, comme c'est BON...

Il lâche de grands et épais jets de sperme, ma femme s'arrange pour que tout arrive dans le lavabo même si elle semble lutter avec le colosse qu'elle tient en main.
Elle continue le branler avec douceur jusqu'à extraire les dernières gouttes.
Elle lave ensuite délicatement le sexe du convalescent qui se détend à vue d'oeil, elle l'essuie avec une serviette et replace l'engin avec précaution dans le pyjama.
Alexandre la remercie et va se recoucher pendant que ma belle nettoie le lavabo.

Au moment où elle sort de la salle de bain, la soeur d'Alexandre entre dans la chambre avec sa petite famille. Alexandre nous présente et nous annonçons que nous allons les laisser tranquille.

- Au revoir et encore merci. Nous dit Alexandre.

- Tu les remercies alors que c'est à cause d'eux que tu es ici. Déclare sa soeur visiblement un peu agacée.
Nous ne pouvions pas lui en vouloir, nous avons mit son frère dans ce lit.

- Oui car la personne responsable de mon accident a eu des paroles et des "gestes" réconfortants, il faut savoir pardonner.
A bientôt !

- A bientôt, récupérez bien. Lui dis je avant de quitter la chambre.

Sur la route du retour, ma femme m'a fait part de ses sensations d' avoir touché une si grosse queue. Je lui explique alors que j'ai également apprécié de la voir branler un sexe imposant.

Cela a énorment joué sur notre libido les jours suivants...

Fin

Bise à toutes et à tous

Superbe récit, je ne ferais plus de velo pareil maintenant

Merci à vous routierdu45 ;-)
Bise



Modifié 1 fois. Dernière modification le 08/08/23 08:15 par SetF.

Peu de retour par message.
Dommage.
Bise

Voici un récit écrit pour un bobeur qui souhaitait que sa femme soit obligé de se dêvétir, il se reconnaitra ;-)
Bise à lui.


Histoire :
Je suis agent de sécurité dans un magasin, je surveille toute la journée la clientèle afin d'éviter les vols.
Je travaille en tenue civile afin de ne pas être remarqué.
La journée est très calme, pas beaucoup de clients et la plupart sont agés mais une femme d'une quarantaine d'années attire mon regard.
Je suis le seul agent de sécurité aujourd'hui.
Je m'approche d'elle avec précaution et ne constate rien de particulier dans son sac posé au sol pendant qu'elle regarde le rayonnage.
Je me fais le plus discret possible ce serai bête de me faire remarquer.
Ensuite je m'éloigne et continue de la suivre à distance, elle a un physique qui me plait beaucoup et je ne perds rien à la regarder.
Au bout de dix minutes, elle passe à une caisse et BINGO, elle sonne.
Immédiatement, je me présente à elle :

- Bonjour Madame, sécurité du magasin, vous venez de sonner au portique, je vais vous demander de passer à nouveau.

Elle accepte et bip encore.

- Vous avez quelque chose à déclarer ?

- Non rien, je ne comprends pas !

Elle a l'air honnête mais semble anxieuse, les autres clients nous regardent.

- Passez votre sac à main devant les bornes, s'il vous plait.

Nouveau signal.

- Pourriez-vous m'ouvrir votre sac, Madame.

- Bien sûr, regardez.

Je vois immédiatement un téléphone de marque dans le sac, je le prends et lui demande si il est à elle.

- Non, je ne comprends pas ce qu'il fait là !

- Suivez moi, on va éclaicir la situation dans nos bureaux.

Je l'invite à me suivre en restant vigilant, elle coopère sans difficulté.
Nous nous retrouvons dans le local des agents de sécurité, je dépose mon téléphone à un bout de la table puis verrouille la porte et lui demande de vider son sac à l'autre bout.
Elle fait le nécessaire en tremblant, elle est très anxieuse et mal à l'aise.
Je découvre plusieurs antivols de vêtements dans le contenu.

- Et ça ! Vous pouvez m'expliquer ?

- Non, je ne comprends rien, ce n'est pas moi. Regardez votre système vidéo.

- Navré Madame mais il est en panne, je vais devoir appeler les forces de l'ordre. Le téléphone vaut plus de mille euros et avec les étiquettes cela fait une sacrée somme.

- Et il va y en avoir pour longtemps, je dois rejoindre mon mari et des amis et je ne vais pas les appeler, la HONTE.

- Madame les policiers sont très occupés en ce moment donc je ne sais pas. En plus il y a toute la procédure ca va être long ...

- Il n'y a pas moyen de faire autrement ?

- Ecoutez madame, il s'agit de mon emploi, c'est la première fois que j'ai affaire à vous donc je veux bien être concilient mais je ne veux pas me faire virer.

- Je comprends donc qu'est ce qu'on peut faire ?

- Il va falloir vous déshabiller mais le problème c'est que je n'ai pas de collègue féminine aujourd'hui donc il va falloir le faire devant moi.

- Impossible ! En plus j'ai rien volé.

- Madame je retrouve ces objets dans votre sac et toutes les personnes me disent la même chose, je voulais bien faire un effort mais là, je contacte le 17, je ne veux pas me faire virer si vous avez des chose sur vous !

- Non non ok, je suis très pressée. Allons-y. Purée, fais chier...

Elle commence par retirer ses chaussures puis elle enleve son t-shirt faisant apparaitre un très joli soutien gorge.
Puis elle enlève son jean laissant imaginer ce qui semble être un magnifique cul derrière sa culotte, elle est très gênée de se retrouver en sous vêtements devant moi, elle saute d'un pied sur l'autre.
Je bande légèrement et je pousse ma chance.
Désolée Madame mais il va falloir enlever le reste.

- C'est pas vrai ?

- Je suis navrée madame, c'est la procédure.

- Pas autant que moi.

Elle essaye de dégraffer son soutien gorge mais elle tremble énorment.
Après plus d'une minute, l'attache cède et libère deux très beaux seins avec des mamelons qu'on voudrait sucer. Elle tente de les cacher au maximum mais comme elle descend doucement sa culotte, je vois tout.
Elle pose sa culotte sur son tas de vêtement.
Elle est nue devant moi, elle est désirable, je bande.

- Dernière chose madame, je suis vraiment confus et m'excuse d'avance mais il va falloir vous pencher et écarter vos fesses.

Elle ne réagit même plus, elle pleure, elle se tourne mon montre son ébouissant petit cul qu'elle écarte me donnant vue sur son ptit trou ombragé.

J'ai une énorme érection, j'en ai mal.
Je lui annonce qu'elle peut se rhabiller, ce qu'elle fait toute tremblante. Je continue de mater.
Une fois prête, je récupère mon téléphone et l'invite à sortir du magasin en m'excusant d'avoir était obligé de faire ça, je lui dis que je suis navré de l'avoir fait pleurer mais que son mari à beaucoup de chance d'avoir une femme avec un physique comme le sien.
Elle me sourit, me dit qu'elle comprend, que c'est mon travail qui était en jeu puis repart.
Je cours immédiatement vers les toilettes, je m'enferme et sors mon sexe encore dur de mon pantalon, je dois soulager la tension, je commence à me mastuber d'une main pendant que l'autre met en route la vidéo filmée dans la pièce, je vois immédiatement que l'angle de la caméra était parfait, je vois tout.
J'astique ma verge avec panache en faisant des mouvements amples.
Quelle merveilleuse idée j'ai eu de mettre le téléphone et les antivols dans son sac pendant qu'il était au sol.
La vidéo passe au moment où elle enlève son soutif puis sa culotte, la voir se dézapper avec pudeur est tellement bandant.
J'aurai voulu pouvoir la prendre, elle m'excitait tellement avec sa poitrine dressée vers moi et son regard implorant.
J'accélère les mouvements car je sais ce qui suit.
Je gicles de gros jets de foutre dans les wc au moment où je la vois écarter sa rondelle.
Elle est aux abois, cette femme pudique me montre son cul, elle l'écarte bien pour que je puisse le voir.
Des tonnes de sperme viennent percuter la céramique des chiottes, je voudrais tant pouvoir lui décharger dans les fesses.
Je m'astique jusqu'au bout afin de faire sortir tout mon jus en pensant "merci jolie coquine" de m'avoir aidé à me vider les couilles comme ça.

Fin...

Bises à vous

De rien, avec plaisir.

Coucou voici une petite histoire demandée par un bobeur, il se reconnaitra.

Je suis un jeune de vingt ans, toujours vierge parce que je ne suis pas beau, je suis roux, à lunettes avec un peu d'embompoint.
Pour ne rien arranger, je suis timide.
Ce que les filles ne savent pas c'est que j'ai un sexe énorme.
Je garde des capotes dans mes poches au cas où un jour une gentille jeune fille accepte de coucher avec moi.
Je suis en vacances et je décide de me ballader dans le village où j'habite.
Lors de ma promenade, je passe près de la maison de Sandrine la mégère, je l'appelle comme ça à cause de son comportement.
Quand j'étais plus jeune, j'ai voulu lui vendre des cases pour une tombola, elle m'avait accueillit avec un "dégage sale roux avec ton gros bide".
Phrase plûtot étonnante pour une femme en surpoids...
Elle a maintenant la quarantaine mais continue de m'insulter dès que je passe près de chez elle en me disant :
- Alors le gros roux, toujours puceau ou, ça va le binoclard ?
Bref, j'approche de l'antre de la mémère toujours mécontente lorsque j'entends un très faible appel à l'aide, cela semble provenir de chez la sorcière.
Je me méfie mais j'entre dans la cour.
Personne pour me sermoner !!!
J'avance, les bruits d'appel sont plus fort, je continue et derrière la cour, je retrouve ma tyranne la tête enfoncée dans un des regards de sa maison, elle est tombée à genoux avec tout le haut du corps dans le trou.
Sa large robe est remontée sur son dos et on peut voir sa culotte défraichie sur ses grosses fesses toutes flasques.
Elle porte une grosse culotte noire à moitié transparente, on peut voir sa raie et ses poils pubiens, une belle grosse touffe.
Cela doit faire un moment qu'elle est comme ça car elle ne se débat presque plus et sa voix est errayée.
Je ne sais pas ce qui se passe à ce moment dans ma tête mais de voir ma harceleuse dans cette position malgré son âge et son physique, une érection terrible me prend le bas ventre.
De voir sa minette à travers se morceau de tissu fais que mon sexe devient tout tendu et je me dis que c'est peut être ma chance, je peux la prendre sans qu'elle m'identifie et vu sa façon hautaine de parler aux gens cela m'étonnerait qu'elle raconte comment elle s'est retrouvée en état de faiblesse.
Je baisse alors mon pantalon, enfile une capote en tremblant d'excitation, je m'approche d'elle, baisse sa culotte, elle se débat un peu mais n'a quasiment plus de force, j'attends un peu et présente le bout de mon gland à l'entrée de sa chatte.
Elle me traite de salaud.
Dans une seconde, je ne serais plus puceau, je pouce un peu et là miracle mon sexe se retouve au chaud, une sensation que je n'avais jamais éprouvé, je commence des mouvements de va et vient, c'est délicieux, ma grosse bite est bien serrée dans cette vulve accueillante et terriblement chaude.
Sandrine la GRANDE GUEULE ne m'insulte plus, elle semble prendre du plaisir car elle pousse de petits cris, il me semble entendre un "oh putain que c'est bon".
Et oui MADAME, tu vois ce que le rouquin peut faire avec sa grosse queue, j'attrappe le gras de ses hanches pour mieux la baiser.
Je la besogne bien, faisant bouger sa graisse et je ne suis pas loin de jouir quand mon regard se pose sur sa petite rondelle brune, j'allais exploser alors je me retire rapidement, respire fort pour faire redescendre la pression.
Toutes mes années de branlette porte leurs fruits, une fois récupéré, je presse alors mon braquemard contre l'anus de ma bienfaitrice.
J'entend celle-ci dire :
- Pas par là, c'est trop gros !
Mais non, le binoclard va t'éclater l'oignon comme il faut, comme elle est bien bloquée dans le trou et je peux pousser de tout mon poids et mon chibre commence à faire son chemin malgré ses hurlements de protestation :
- Stop vous allez me déchirer l'anus avec votre gros sexe.
C'est fou comme on peut avoir comme mal à pénètrer même un si gros cul.
Je salive alors abondamment sur sa petite entrée puis centimètre par centimètre mon membre trouve sa place et je commence à bouger d'abord doucement puis plus rapidement en continuant de saliver sur son conduit.
Elle crie de nouveau mais de plaisir :
- Merde c'est bon, allez y labourez moi le fion ...
Je ne me fais pas prier, d'entendre Sandrine reclamer, je suis aux combles de l'excitation, je lui pillonne ses grosses fesses pendant une minute de façon frénétique faisant bouger sa cellulite et d'un coup j'éjacule dans son petit trou de balle, mes jets viennent percuter le bout du préservatif, je continue de la limer pendant trente secondes afin de faire durer mon plaisir, une quantité impressionante de sperme sort de ma verge.
Ensuite je ressors mon sexe encore gonflé de désir et je vois son trou béant largement ouvert devant ma capote pleine de mon jus.
Je me rhabille rapidement, remonte la culotte de la dame en lui déposant un baiser sur les fesses puis je rabats sa robe, je suis prêt à filer à l'anglaise.
J'entend alors un :
- S'il vous plait à l'aide, je ne dirais rien à personne.
C'est plus fort que moi, je tire ma dépuceleuse de son trou.
Elle me regarde et me dit :
- Espèce d'enfoiré..., je devrais te taper dessus mais ça devait faire presque une heure que j'étais comme ça et je commençais à manquer d'air.
- Merci binoclard...
- Navré d'avoir profité de la situation...
- Tu es une belle vérole de rouquin et si tu veux que je ne te dénonce pas, viens me revoir demain, je te montrerais ce que je sais faire quand je ne suis pas coincée. Cette fois, c'est moi qui va te chevaucher ptit con...
Nous nous sourions, je l'aide à se relever, l'emmene dans sa cuisine.
Elle boit un grand verre d'eau, elle s'installe sur sur canapé disant :
- Approches.
J'arrive debout face à elle.
Elle me regarde dans les yeux, baisse mon pantalon, mon caleçon en ajoutant :
- Pourquoi attendre demain ? Un ptit jeune comme toi ça récupère vite ? Tu m'as laissé sur ma faim, on va voir si je peux redonner de la vigueur à ton demonte pneus.
Sandrine commence alors une magnifique fellation en suçant mon pieux avec gourmandise, en me masturbant, tout en léchant et gobant mes couilles, je rebande immédiatement comme un âne avec ce traitement mais je dois stopper mon histoire à cet instant pour laisser votre imagination faire le reste !!!

Fin

Bise

Comme à votre habitude
Magnifique scénario très bien détaillé et raconté

J’ai parfaitement imaginer la grosse Sandrine pour ma part

Merci à vous ce fut un plaisir.
Bise

J'adore !!!

Toujours des récits très excitants ! Bravo pour la sensibilité, la sensualité et l'érotisme de vos récits !

Merci à vous messieurs ;-)
Cela motive.