De toute les aventures que j’ai eues ou subie avec maître, il en est un que nous n’avons pas pu mettre en application alors que quelques rares clubs libertins en faisaient leurs choux gras. Notamment un réputé en ile de France dont je ne sais pas s’il existe encore : Le donjon. Je sais qu’il y a des homonymes à celui-ci mais je ne suis pas sûre qu’ils y organisent des ventes aux esclaves à l’identique.
A une époque où nous habitions moins loin de la capitale, et où on pouvait y rouler sans être emmerdé par les règles pourries de la circulation made in Hidalgo, maitre voulait m’y emmener pour parfaire ma formation de soumise niveau 7 rectifiée 33 option salope 2ème degré. Je n’ai donc jamais été vendue comme une esclave. C’est resté un fantasme non assouvi dont je voudrais vous raconter le déroulé au présent tel qu’il aurait pu se faire :
Comme une bonne mère au foyer, après le travail je me dois de préparer le dîner pour mon chéri qui s’est éreinté à la tâche pour me payer le gîte et le couvert. C’est bien connu tout est de notre faute. Eve ayant croqué la pomme et l’ayant tendu à Adam qui en a mangé à son tour, nous avons été chassés du paradis. C’est-à-dire un monde libre ou nous vivions nus sans prophète pour nous imposer la bourka et sans gauchiste pour nous taxer 60% des pommes récoltés pour financer son échec. C’est comme ça que nous nous sommes retrouvés dans un enfer fiscal islamo extrême centriste ou je dois cumuler le travail et les tâches ménagères. Lors du dîner j’ai oublié de mettre du sel sur la côte de bœuf chère à Sandrine Rousseau. C’est à ce moment que maître, mécontent, a pris la décision de me vendre pour me punir. Ou plutôt me louer. L’argent obtenu devant être reversés aux œuvres catholiques de la paroisse après prélèvements de la moitié par l’état obèse. Il faut bien payer la dette de 3 300 milliards d’euros laissée par l’autre con qui se prenait pour le Mozart de la finance.
Nous partons donc pour le donjon où chaque samedi il est organisé cette fameuse vente aux esclaves. Après enregistrement, je suis placée dans une cage de 1 mètre 50 de haut. A genoux en robe de soirée, j’attends mon tour. Lorsque c’est à moi, un homme à l’air sévère, un grand blond cheveux court et tête de nazi vient me chercher. Me ficelle les poignets dans le dos et me conduit sur l’estrade. J’ai la lumière dans les yeux et n’y vois pas grand-chose. Je distingue à peine la salle ou pourtant de nombreux hommes me scrutent du regard. La mise à prix commence. Je ne vaux pas plus qu’un dollar au début, mais les enchères montent rapidement. Lorsqu’elles stagnent un peu, le commissaire-priseur me tire vers lui et descend la fermeture éclair du devant de ma robe jusqu’au nombril. Avec le bout de sa cravache, il caresse mon téton droit encore sous le tissus. Certains hommes dans la salle hurlent qu’il en faut plus… Alors avec ses deux mains il écarte violement les côtés libérant mes seins à la vue des voyeurs. Les enchères repartent doucement. Pour les exciter davantage il se place derrière moi et argumente la douceur de ma peau en me pelotant les nichons. Il pince mes tétons pour qu’ils durcissent et se dressent. Ensuite il libère mes épaules. Le buste nu, je me raidis. J’entends les mâles en rut qui en réclament encore davantage. Alors, toujours derrière moi pour ne rien caché de mon corps, il descend doucement ma robe sur mes hanches, puis sur mes genoux et enfin sur mes chevilles. Il ne me reste plus que ma petite culotte en dentelle qui feint de cacher mon sexe. La tâche noire de mes poils pubiens transperce légèrement le voile dentelé du tissu. Mais à ce moment encore mon sexe est préservé du regard lubrique des hommes voulant m’acheter.
Pas pour longtemps en vérité, car le commissaire-priseur qui serre les fesses (comme y serre les fesses - je sais le jeu de mot est pourri mais je n’ai pas pu m’en empêcher) derrière moi fait mine de me baisser la culotte en portant ses 2 mains à ma taille. Devant les vindictes de la meute d’hommes en rut, il me la descend violement jusqu’aux chevilles. Je sens la chaleur des yeux qui me reluquent le minou. Ma tête bouillonne et les quelques poils de ma chatte sont prêt à s’auto combustier.
Toujours derrière moi, il me pousse en avant pour être au plus près des spectateurs. Je peux maintenant les apercevoir, je reconnais deux collègues à moi qui rêvaient de me voir à poils. Leurs vœux sont désormais exhaussés. Je vois leurs yeux exorbités comme ceux du loup de Tex Avery, ils transpirent à grosses gouttes, ils croyaient que j’avais la chatte toute lisse et découvrent ma petite touffe triangulaire d’à peine 3 cm de cotés. Le commissaire-priseur me malaxe les nichons pour monter qu’ils sont fermes et doux, puis descend une main jusqu’à ma chatte pour me doigter la vulve. Son majeur qui me fouille le vagin me fait frémir de plaisir, je suis déjà toute trempée. Il sent que je vais jouir et s’arrête avant pour me frustrer.
Les enchères montent, un collectif de clients se forme pour me partager à plusieurs. Enfin le marteau s’abaisse pour signifier la fin de la vente. C’est un collectif de 5 déménageurs bretons qui m’emporte. Mes 2 collègues les soudoies pour me voir me faire fucker par tous les trous. On m’attache les mains dans le dos, un molosse me hisse sur son dos comme un baluchon et je suis emmenée toute nue dans une salle BDSM lumineuse. Maître est autorisé à y être pour me surveiller. Il aura le droit de se faire sucer longuement par une pute pendant qu’il me regarde. Je suis installée sur le dos sur une toile de cuir suspendue, mes jambes écartées sont positionnées comme chez le gynéco, mes mains sont détachées pour je puisse en branler des 2 cotés.
Les gaillards m’ont bien écarté les cuisses, ils ouvrent ma chatte, découvre mon clitoris, le caresse chacun leurs tours, me doigtent plus ou moins adroitement, m’écarte aussi le vagin pour reluquer l’intérieur, me pincent les tétons, me biflent également. Ils se sont tous mis à poils. Ils ont des bites toutes dures et grosses comme des obus de mortiers de 80 (rectification de JF : 40, sinon il faudrait me mettre du chatterton autour du bassin pour ne pas m’éclater) J’en prends une dans la main, elle est toute chaude. Je la branle d’avant en arrière et je sens à chaque fois le gland tout humide quand la paume de ma main le décalotte au passage. Je lui tire bien le prépuce en arrière pour que son gland se raidisse, mais j’ai la main gluante qui glisse dessus. Il râle de plaisir.
Chacun leurs tours ils m’ont léchée. Ils ont passés leurs grosses langues partout sur ma vulve et dedans aussi. Deux d’entre eux viennent me glisser leurs langues dans la bouche. Ils me roulent une longue pelle profonde ou nos langues s’entremêlent longuement. Je ne l’ai pas vu mais soudain je sens un chibre vigoureux et dur me pénétrer la chatte jusqu’à taper au fond. Je suis obligée de me dégager de leurs bouches pour gémir violement. Son va et vient me fait suffoquer de plaisir. Mon bassin se soulève à chaque fois qu’il me défonce en rentrant. Il laisse sa place pour le suivant qui me saisit à son tour. Je joui une première fois bruyamment. Il sort alors son sexe et me jute une grosse giclée blanche sur le nombril et les seins. A peine finit, le suivant arrive qui me démonte le cul. Je sens d’abord une douleur vive qui se dissipe rapidement pour un plaisir intense. Il me ramone la turbine à chocolat à 20 tours minutes. Je souffle comme une locomotive à vapeur. Pas longtemps, un grand gaillard Neandertalien genre Sébastien Chabal m’enfile son sexe droit comme une matraque de CRS dans la bouche, me l’enfonce jusqu’à la gorge et joui une pinte de spermes. J’avale le tout. De l’autre côté son copain qui se branlait à 2 cm de ma joue me jouit sur le visage. J’en prend plein la face, dans les cheveux, sur les lèvres et la joue. Un autre qui se frottait la bite sur ma plante de pied balance une giclée monstrueuse qui goutte partout sur mon genoux mon tibia, ma cuisse et jusque sur les poils de ma chatte. Mes seins aussi sont spermés. Je reprends un peu mon souffle quand le cercle qu’ils font autour de moi s’ouvre…. Là, mes 2 collègues apparaissent. Je les avais oubliés les salauds, ils vont me baiser sans mon consentement de féministe débile de gauche. Le premier se dirige entre mes cuisses et me pénètre à son tour. Le second vient m’enfoncer son zgaigue dans la bouche. Je ne peux résister car le major de promo me tient fermement la tête de sorte que je ne puisse échapper à cette humiliation. Pendant qu’il fait des va et vient dans ma bouche, il se penche sur mon corps et le bras tendu, me titille le clitoris. Pendant que le premier coït à mort, à mon corps défendant comme à l’insu de mon plein gré (pour ceux qui ont la ref ) je ne peux m’empêcher d’avoir un nouvel orgasme qui me soulève les fesses. Je me tords d’un plaisir crapuleux et honteux à la fois. Il me cum dans le fond de la chatte quand l’autre enflure de collègue sentant son orgasme arriver ressort. Me prend la mâchoire à pleine main en me regardant droit dans les yeux, puis me forçant à rouvrir grand la bouche me balance toute sa purée dedans comme on pisse dans une cuvette de chiotte. Recolle sa bite sur mon palais et envoie une deuxième salve de sperme que je dois avaler.
Après avoir jouis moi-même à plusieurs reprises, je suis laissée là pantelante toute pleine de sperme de la tête aux pieds, avec une coulure qui me parcoure la raie des fesses. Après une petite minute de répit, ils saisissent tous leurs smartphones pour me mitrailler ainsi, nue et écartelée, dégoulinante de sueur et de sperme. Ils me montreront à leurs amis comme un trophée et à leurs tours ceux-là me dévisageront à chacune de mes apparitions en se disant : Je l’ai vu à poils, cette salope !
je serais peut-être même en poster dans la chambre des célibataires et des divorcés. A la fin maître qui en a baisé une autre que moi viendra m’aider à me relever pour m’emmener me doucher.
Je serais également Bobérisée jusqu’à ce que je devienne une vieille pomme fripée de 90 ans. Bande de pervers. J’aurais eu droit au moins à mon trophée cochonne de platine.
Vive le cochon. Vive la liberté. Vive la république, et surtout... vive la France. (Et la Suisse aussi pour l’asile fiscal).