Depuis quelques temps, nous avions pris plaisir Arnaud et moi de nous voir nu et de contempler nos sexes dans différents états. Je voyais qu’il bandait plus vite lorsque je me mettais à poil et je constatais que c’était le cas chez moi aussi. Arnaud assumait sa tendance bi et aimait me voir prendre du plaisir à ces nouveaux jeux. Pour ma part, j’aimais de plus en plus me trouver nu avec lui et pouvoir admirer sa longue queue et son beau gland fin. Je lui confirmais que j’aimais beaucoup voir aussi sa pine aller et venir dans la chatte de Corinne, nous voir ensemble éjaculer sur elle et enfin sentir nos bites l’une contre l’autre lorsque nous étions ensemble dans sa chatte. Il m’avait pris un jour le sexe pour le guider dans la chatte de Corinne alors que je me trouvais allongé derrière elle. Cela m’avait surpris, mais je n’avais pas trouvé cela désagréable. Une autre fois, il l’avait tenue serrée à sa base avec deux doigts, comme pour la maintenir dans le con de Corinne. Mon excitation fût plus intense et il put ressentir les spasmes violents de ma queue expulsant le sperme. Il me permit d’éprouver le même plaisir lorsque je pus tenir sa pine alors qu’elle fourrageait dans le vagin de sa femme. Voir et sentir ces spasmes au moment de l’orgasme d’un autre homme furent pour moi une expérience inoubliable. Je réalisais un fantasme. Lors d’une autre de nos rencontres, nous nous étions mutuellement branlés, bite contre bite, nos glands se caressant l’une l’autre, pour terminer par éjaculer ensemble, mêlant notre semence sur le ventre de Corinne qui jouissait comme une folle. Je devinais qu’Arnaud avait envie d’aller plus loin : lécher ma bite, se faire lécher la sienne et enfin se sodomiser tour à tour. Je n’étais pas encore prêt à aller aussi loin.
Corinne, pour sa part, aimait voir, comparer, palper, branler et sucer nos bites et paires de couilles. Elle avait adoré la double pénétration et avait vraiment adoré avoir reçu notre sperme sur elle. Elle m’avait adopté comme amant et Arnaud appréciait le rôle de candauliste. Lors de l’un de nos ébats, pendant que je m’occupais de sa chatte, Arnaud lui avait glissé quelques mots à l’oreille qui décuplèrent son orgasme. Elle avait giclé un flot de mouille et son vagin s’était contracté si fort autour de ma queue que je ne pus m’empêcher de jouir aussitôt. Mon orgasme avait été plus intense que d’habitude. Je demandais plus tard à Arnaud ce qu’il avait chuchoté à Corinne. Il lui avait suggéré d’imaginer qu’elle s’offrait à d’autres queues que les nôtres. Il lui avait demandé si dans le lot, une belle grosse pine de noir lui plairait. Il m’a demandé mon avis et je lui ai répondu que je n’étais pas contre cette expérience.
Quelques semaines plus tard, Corinne et Arnaud m’invitèrent pour leur anniversaire de mariage. Ils m’avaient demandé de m’abstenir de tout rapport sexuel ou de masturbation. J’arrivai donc chez eux les couilles bien remplies et avide de sexe. Corinne m’accueillit en nuisette transparente et avec un petit air mutin. Ses jolis seins pointaient à travers le tissu et je devinais que sa chatte devait être déjà luisante. Je la suivi en admirant le balancement de ses belles fesses et le creux admirable de ses reins. Cela me fit bander un peu. Arrivé au salon, elle me présenta un beau grand black accompagné visiblement de son compagnon, un jeune eurasien assez timide et efféminé. Le premier se présenta à moi avec un large sourire, il se prénommait Aimé. Quel prénom prédestiné ! Son copain s’appelait Julien. Aimé se mit à raconter des blagues pour détendre l’atmosphère et nos échanges furent très vite animés et enjoués. Il était visiblement très à l’aise, ce qui était un peu moins le cas de son compagnon. Pourtant, il nous regardait Arnaud et moi avec beaucoup d’intérêt. Corinne s’impatientait un peu et avait visiblement envie que nous passions à autre chose… Arnaud nous expliqua le but de notre visite : répondre aux moindres souhaits de Corinne. Celle-ci nous fit mettre l’un contre l’autre au garde-à-vous devant elle, Aimé se plaça au centre, Lucien à ses côtés et Arnaud et moi aux extrémités. Elle nous demanda de nous déshabiller en commençant par le haut. Nous nous exécutâmes. Lorsque nous furent tous nus, elle se mit à nous observer avec gourmandise. Nous découvrîmes les sexes d’Aimé et de Julien. Aimé avait une belle pine épaisse, longue, épaisse et bien noire et de magnifiques grosses testicules qui pendaient harmonieusement de part et d’autre. Elle se trouvait encore au repos, le gland bien recouvert d’un prépuce légèrement plus clair au bout. La queue de Julien était plus petite mais très jolie. Il était entièrement rasé et bandait déjà, les jeunes couilles dressées en avant, le gland presqu’entièrement décalotté. La vue de nos sexes l’avait sans doute déjà excité. Corinne s’avança vers Aimé et commença à lui caresser la bite et les couilles. Il commença à bander et nous vîmes ce braquemart se dresser petit à petit ; le gland étaient brun et commençait à se gonfler de sang. Nous étions fascinés par la vue de cette verge qui commençait à prendre des proportions énormes. Sa longueur nous sembla dépasser le niveau du nombril. Corinne était très excitée à l’idée de l’avoir en elle. Julien se tenait tout près d’Aimé comme pour l’accompagner ; il se masturbait doucement. Corinne prit leurs deux queues en bouche et nous vîmes ces deux glands luisants aller et venir alternativement dans cette bouche accueillante. Arnaud et moi nous nous approchâmes et attendions notre tour. Je remarquais qu’Arnaud bandait à mort et était déjà au bord de l’éjaculation. Pour ma part, j’arrivais à me contrôler mais ce n’était pas facile. Soudain, Julien se saisit de la bite d’Arnaud et se mit à la sucer avec vigueur. Je vis les yeux exorbités d’Arnaud lorsqu’il éjacula dans la bouche de Julien. Sa bite fut prise de plusieurs longs spasmes qui permirent à un flot de sperme de se déverser ; le frein retenant le gland était très tendu et la grosseur de celui-ci me semblait plus importante qu’avant au point de remplir toute la bouche de Julien. Aimé s’était maintenant placé derrière Corinne et avait placé sa grosse et longue pine entre ses fesses. Je vis le gland énorme aller et venir contre la vulve largement ouverte et venir titiller le clitoris. La vue de cette magnifique pine noire aller et venir entre les fesses de Corinne jusqu’au clitoris m’excitait énormément. Ma queue était tendue à mort le long de mon ventre. Corinne me fit venir devant elle et commença à me caresser la hampe de la pine et les couilles. Elle nous voulait visiblement tous les deux en elle. La station debout n’était pas idéale pour ce petit jeu, mais Aimé était plus fort que moi. Il prit Corinne par la taille et la souleva de manière à pouvoir la pénétrer par l’anus facilement. Je pus dès lors m’introduire dans son vagin avec facilité. Corinne était prise en sandwich et Aimé dirigeait les mouvements. Je sentis son gros et long sexe aller et venir contre la paroi. Il prenait beaucoup de place et je me sentis très à l’étroit mais la sensation était très excitante. Corinne criait et jouissait comme une folle sous nos coups de butoirs. Entretemps, Julien avait entreprit Arnaud et le suçait en se tenant assis end-dessous de lui, ce qui visiblement lui plaisait énormément. Sa queue avait repris vigueur. Julien avait dû jouir de son côté car, je remarquai une flaque de sperme près de sa queue qui pendait vers le sol. Pendant qu’il suçait Arnaud, il se masturba pour faire regonfler son pénis. Julien se mit ensuite à quatre pattes et demanda à Arnaud de le sodomiser. Arnaud pouvait enfin réaliser son rêve et ne se fit donc pas prier, après s’être enduit la verge de vaseline pour entrer plus facilement. J’eus dès lors ce spectacle de voir la longue pine d’Arnaud aller et venir dans le cul d’un autre garçon. Julien se mit à bander comme un âne. Je ne pus me retenir plus longtemps et éjaculai dans le con de Corinne. Mon sperme reflua rapidement à l’extérieur lorsque je me retirai, Corinne étant prise de plusieurs spasmes du vagin tant la jouissance était extrême. J’admirai pour la première fois ce vagin s’ouvrir et se refermer durant l’orgasme, évacuant le sperme à chaque contraction. Je gardai une bonne érection, tant la vision de ces sexes féminins et masculins était excitante. Aimé jouit à son tour dans le cul de Corinne. M’étant mis à genoux, je vis parfaitement les contractions partir du scrotum vers la base de la hampe de la pine d’Aimé pendant qu’il éjaculait. Après s’être retiré du cul de Corinne, je vis cette bite noire recouverte de sperme blanc qui moussait légèrement. Je me tournai vers Arnaud et Julien, ma bite toujours bien tendue, le gland bien décalotté et gonflé. Julien appréciait énormément la sodomie. Il n’avait plus besoin de se masturber pendant qu’Arnaud l’entreprenait. Sa bite se tenait raide contre son ventre, le gland tout luisant et les couilles tendues. Arnaud les lui prit délicatement d’une main, les caressa et ensuite les tira en arrière afin de décalotter au maximum le gland et tendre la bite. Il augmenta ses poussées dans le cul. Ses couilles se rapprochèrent de celles de Julien. Cela lui fit un effet immédiat puisque, soudain, il poussa un petit cri et je vis cette jolie queue se tendre au maximum le long de son ventre, le gland gonflé à l’extrême; il me regarda alors que je me masturbais devant eux et se raidit brusquement; je pus admirer ces spasmes qui firent bouger son pénis de bas en haut et permirent à de longs jets de sperme de sortir de ce beau gland écarlate et tendu vers l’avant. J’étais assez fasciné de voir cette semence projetée aussi fort et si loin. Elle atteignait la tête de Julien qui s’était recourbé, comme pour l’avaler. La jouissance de Julien avait dû être très forte, sans doute par le fait d’avoir dans le cul une autre bite que celle d’Aimé et de voir la mienne mais hors de portée. Pour la première fois, je voyais comment un véritable homo pouvait prendre son pied. Arnaud jouit lui aussi peu après dans un râlement d’animal. Je ne pouvais rien voir car sa bite était entièrement enfouie dans le cul de Julien. Mais je pouvais deviner à son visage crispé par la jouissance que l’orgasme devait être puissant. Je pus conclure qu’Arnaud était bien bi et l’assumait parfaitement. Pour ma part, ce n’était pas aussi marqué, mais la vue d’autres bites que la mienne dans leurs différents états, la fascination de les voir et sentir éjaculer et le fait d’avoir apprécié me faire caresser et branler par Arnaud pouvaient tout de même poser question…
Le spectacle que Julien et Arnaud me donnèrent, me fit presque éjaculer. Faisant fi de mes réticences du début, je m’approchai de Julien pour qu’il me suce à son tour, ce qu’il fit bien volontiers. Arnaud s’était retiré du cul de Julien et se plaça près de moi. Il bandait toujours et demanda à Julien de le masturber. Il ne se fit pas prier. Nos deux queues furent donc réunies pour des caresses à la fois buccales et manuelles, cette fois-ci par un garçon. Visiblement, Julien savait y faire car nous bandions comme des taureaux et nous nous tenions arc-boutés comme pour mieux présenter nos sexes aux caresses de Julien. Il s’occupa tour à tour de la hampe, de nos glands et caressa nos couilles avec un savoir-faire évident. Aimé ne put résister et vint nous rejoindre. Corinne assista à ce spectacle étonnant : trois bites en train de se faire sucer par un garçon. La timidité de Julien n’étais plus qu’un mauvais souvenir : il suçait avec ardeur nos pines et recommençait à bander comme un étalon en rut. Il commença à se branler vigoureusement, mais Corinne prit le relais en se plaçant à côté de lui juste en-dessous de nous. Bien que Julien préfère les garçons, il prit plaisir à se faire caresser par une fille. Corinne aimait bien s’occuper de cette jolie queue. Julien léchait avec beaucoup de délicatesse nos glands et leurs freins. Il avait visiblement l’habitude. Il malaxait doucement nos couilles et devinant que notre excitation était à son comble, il rapprocha nos trois glands qui se touchaient maintenant et fit un mouvement de lèvres pour titiller nos freins. Nous nous tenions Arnaud et moi par la taille comme pour conjuguer nos efforts afin de faire durer le plaisir. Julien caressait nos fesses l’une après l’autre. Aimé se retira et se tenait maintenant en face de nous, la bite triomphante, le gland énorme et luisant. Julien sentit que nous allions bientôt jouir : il prit nos deux bites et les réunit dans ses mains ; nous fîmes quelques mouvements de va et vient ; la bite d’Aimé vint rejoindre les nôtres et Julien fit en sorte de les faire coulisser le long de celle d’Aimé ; celle-ci étant plus longue que les nôtres, nos glands ne pouvaient atteindre le sien. Le fait de sentir nos pénis monter et descendre le long de cette grosse et longue queue noire nous permirent paradoxalement de pouvoir retenir notre jouissance au maximum, tant le plaisir était intense. Nous finîmes tous les deux par éjaculer, notre sperme jaillissant ensemble de nos glands réunis, le long de cette magnifique queue noire. Malgré la confusion due à l’extrême jouissance, je pus ressentir les spasmes de nos bites et voir un ce flot de sperme s’expulser de la fente de nos glands pressés l’un contre l’autre. Cette vision semblait redoubler notre jouissance : la quantité de foutre s’échappant était encore relativement importante. Corinne n’avait rien manqué de ce spectacle : elle se masturbait en se malaxant les grandes et petites lèvres ; elle se tendit en avant, les jambes écartées et le petit capuchon situé au sommet des petites lèvres découvrit le clitoris ; elle s’approcha de la bouche de Julien pour lécher le trop plein de sperme qu’il n’arrivait pas à avaler. Julien tenait toujours fermement la bite d’Aimé qui n’avait pas encore joui et lui imprimait maintenant de longs vas et vient. Vu sa grosseur et sa longueur, il la prit à deux mains ; nous vîmes cette magnifique bite noire se tendre au maximum, les grosses couilles ne pendaient plus et se rapprochèrent de la hampe. Le gland virait maintenant au rouge sombre. Corinne se plaça à côté de Julien et commença à lécher ces belles couilles noires toutes tendues. Aimé poussa un grognement, Julien dirigea cette immense pine noire vers sa poitrine lorsqu’elle commença à cracher sa semence. Nous admirions cette grosse verge noire prise de soubresauts et émettre une belle quantité de sperme qui nous parut plus blanc que le nôtre. Il s’écoulait maintenant le long de la poitrine de Julien. Corinne entreprit de lui lécher le torse afin de recueillir toute cette semence. Elle se dirigea ensuite plus bas vers son sexe qu’elle engloba totalement. Julien était aux anges et tendit les fesses en avant. Corinne lui lécha toute la hampe et ensuite le gland tout en tenant ses couilles serrées dans les mains. Tout en prenant un peu de repos, laissant nos bites et nos couilles pendre sans y toucher, nous admirions le spectacle de Corinne à quatre pattes, plongée vers le sexe de Julien ; comme il se trouvait assis par terre, Corinne avait dû, tout en restant à genoux, abaisser les avant-bras afin de placer son visage presqu’au ras du sol. Cette position nous permit de voir les fesses bien écartées laisser apparaître un sexe aux grandes lèvres bien gonflées, le clitoris bien apparent et enfin les petites lèvres s’écartant comme des pétales pour laisser entrevoir l’entrée d’un vagin tout luisant. Nous nous mîmes à rebander lentement, nos couilles restant bien pendantes; nous vîmes nos bites se dresser à nouveau et nos glands se découvrir peu à peu du prépuce. Arnaud prit ma bite et fit jouer la peau du prépuce afin de faire apparaître et ensuite disparaître le gland. Je le laissai faire et lui pris la sienne afin de lui faire subir le même sort. N’y tenant plus à ce petit jeu, je quittai Arnaud et présentai mon gland écarlate devant l’entrée de ce vagin accueillant et fit entrer entièrement la queue avec une facilité déconcertante. Je tins les fesses de Corinne fermement et commença à effectuer frénétiquement de multiples vas et vient. Adorant cette position, je prenais le temps de voir ma bite aller et venir entre ces magnifiques fesses. Ma bite était très bien tendue mais je n’éprouvais pas le besoin de jouir. Corinne appréciait ces mouvements, surtout lorsque la hampe de ma bite permirent aux petites lèvres de venir s’y coller et d’imprimer une pression sur le clitoris. Elle eut un orgasme alors que je continuais à aller et venir avec une vigueur qui m’étonnait moi-même. Corinne cria et son vagin enserra ma bite, ce qui augmenta mon ardeur ; je vis Julien les jambes écartées et la bite tendue devant le visage de Corinne ; il se masturbait lentement en me regardant ; je me tournai ensuite vers Arnaud et Aimé qui admiraient le spectacle ; Arnaud s’occupait de la bite d’Aimé tout en se masturbant. Je voyais tour à tour ces trois queues et ces trois glands sortir de leur prépuce de façon rythmée. Dans un dernier mouvement en avant, je tendis la queue au fond du vagin et je pus ressentir une légère douleur lorsque les spasmes de l’orgasme apparurent. Arnaud vint à son tour et se mit triturer les fesses de Corinne tout en effectuant ses vas et vient ; je voyais cette longue bite couverte de mon sperme entrer et sortir avec vigueur ; Arnaud se tenait à califourchon au-dessus du cul de Corinne et me demandât de lui tenir les couilles en arrière pendant qu’il l’entreprenait ; je l’entendis proférer des mots salaces, ce qui lui permit de renforcer son érection. Ayant mis ma main à la base du pénis d’Arnaud, je ressentis nettement les spasmes lorsqu’il éjacula. Corinne jouissait comme une folle et sa chatte débordait de sperme. Aimé se présenta à son tour et nous pouvions Arnaud et moi admirer cette pine magnifique aller et venir. Nos spermes respectifs collaient sur toute la longueur de ce long et gros braquemart qui coulissait en rythme dans ce trou largement ouvert. Le contraste entre le noir de la bite d’Aimé et le blanc de toute cette semence était saisissant lorsqu’il s’affairait en elle. Julien qui n’avait rien raté de cette vision de nos trois bites s’enfoncer tour à tour dans le con de Corinne, se tendit une dernière fois et il me demanda de lui tenir la queue pendant qu’il jouissait. Je pus donc sentir plusieurs spasmes partir du scrotum vers la base de la bite durant toute l’éjaculation. Le fait que je lui tins la bite dut lui provoquer une jouissance extrême, car du sperme débordait de la bouche de Corinne qui avait du mal à avaler cette quantité. Ce spectacle de ce flot de sperme s’expulsant de la fente de ce gland gonflé à l’extrême dura de longues minutes. J’étais tout de même fasciné par cette performance et bandais à nouveau. Julien s’en rendit compte et entreprit de me masturber pendant que Corinne me léchait les couilles et entreprit de caresser mon anus. Elle entreprit ensuite d’y mettre un doigt, ce qui, passé l’étonnement, redoubla mon excitation. J’étais dans la confusion totale, je ne savais plus où j’étais. Je ne sentais pratiquement plus mon pénis, comme s’il ne faisait plus partie de moi. J’étais spectateur de ma propre montée en jouissance, à la merci de Julien qui tenait fermement ma queue tout en lui imprimant ces mouvements d’aller et venues qui nous faisaient en tant que mâles grimper au septième ciel; Corinne enfonçait vigoureusement son doigt dans mon anus et les deux autres admiraient le spectacle. Ils se masturbaient avec vigueur. Je levai des yeux exorbités au ciel, me tendit une dernière fois et ressentis une douleur exquise lorsque j’éjaculai dans un râle indescriptible. Ce fut cette fois-ci de courts jets d’un sperme presque liquide qui sortit de mon gland gonflé à l’extrême par les doigts de Julien. Le frein était tendu à mort et je voyais ce sperme presque transparent s’éjecter de la fente du gland par saccades. Les contractions me firent un peu mal tant elles semblaient remonter de loin. Les jets avaient atteint le visage de Julien qui était aux anges… Ma bite était maintenant douloureuse pendant qu’elle débandait : j’évitais de la toucher, laissais mon gland décalotté et le reste de sperme s’écouler. Je vis les deux autres bites s’approcher du visage de Julien et lui cracher un foutre également clair. Julien mélangeait nos semences respectives et les lécha avec délectation.
Nous étions tous morts après cette folle soirée. Nos bites étaient flasques et nos couilles bien vides pendaient vers le bas. Elles ressemblaient à deux petits poids perdus dans de grands sacs de peau. Corinne avait encore le vagin légèrement ouvert lequel laissait échapper encore du sperme. Ses seins pendaient gentiment. Il flottait maintenant dans la pièce une odeur mélangée de sueur, de cyprine et de sperme.
Corinne nous remercia en nous embrassant tour à tour et nous proposa de rester dormir, ce qui ne se refusa pas.