Bonjour,
J'ai toujours rêvé (et continue toujours) d'amener une femme dans une tel état d'excitation qu'elle en vienne à se faire jouir toute seule.
Et cette semaine, ça m'est arrivé ! Je suis tellement content que j'ai envie de partager ce moment sublime.
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Ce matin là, il faisait déjà chaud. Je suis arrivé au bureau en milieu de matinée. En bas de l'immeuble, une collègue que je connais depuis très longtemps écrasait sa première cigarette du matin. C'est une femme d'environ 55 ans (j'aime les femmes mûres), cheveux blonds très courts, petits seins et longues jambes. Jusqu'à présent, mes relations avec elle se bornaient à de simples conversations professionnelles. Mais là, les choses ont évolué...
Est-ce la chaleur, le soleil ou simplement sa silhouette filiforme mise en valeur dans son tailleur jupe chic qui m'ont fait lui dire en arrivant près d'elle :
"Quel accueil ! C'est vraiment très gentil de ta part d'être descendue pour moi. Voilà une journée qui commence de la plus belle des manières. Très joli ton ensemble d'ailleurs."
Et sans trop réfléchir, je lui faisais la bise, chose que je ne lui faisais pas habituellement.
Elle semblait très amusée par cette entrée en matière. Après tout, un petit compliment ça fait toujours plaisir.
Comme elle allait rentrer, je lui ouvrais la porte et lui emboîtais le pas.
Nous grimpions les escaliers, Je restais derrière elle, les yeux à hauteur de ses jolies cuisses. Quelle vision érotique.
Arrivés sur le pallier, j'en ajoutais encore un peu sur le ton de l'humour.
"Oui, vraiment très beau tailleur. La jupe un tout petit peu plus courte, et ça serait parfait !"
Elle m'a regardé en riant.
"Ah les mecs, dès qu'ils voient une paire de jambes... Allez, bonne journée".
"Rectification, tu aurais du dire : Ah les mecs, dès qu'ils voient une belle paire de jambes. Et je confirme, ma journée commence bien"
Et nous avons chacun rejoint nos bureaux respectifs.
En début d'après-midi, je suis appelé par une collègue de ma jolie cinquantenaire. Elle partage son bureau avec deux autres femmes. J'arrive donc et lance un "Bonjour mesdames" d'une manière très enjouée. Je commence à blaguer avec elles tout en cherchant à trouver le problème pour lequel j'ai été appelé. Mais l'excitation provoquée par la vision de ce matin ne m'a pas quittée. Elle me pousse même à en vouloir un peu plus. Au bout d'un moment, je décide de tenter le diable.
"Bon, là, il me faut un autre écran pour comprendre. Y-a-t-il une charmante dame qui voudrait me prêter son PC ?"
La réponse que j'espérais fuse aussitôt de la bouche de ma jolie collègue.
"Oui, prends le mien, pas de problème".
Je contourne les bureaux pour aller dans le coin où elle se tient. En arrivant à son poste, elle pivote sur son fauteuil pour se positionner face à moi. Sa jupe est retroussée d'une manière qui ne laisse aucun doute sur le fait qu'elle l'ait fait intentionnellement. Quelles cuisses. Et quel sourire aussi. Son regard amusé semble me dire "Alors, elle est assez courte cette fois ?". Je sens ma queue se tendre d'un coup. Délicieuse sensation.
Elle fait un mouvement comme pour se lever.
"Non, reste assise, je n'ai pas besoin de ton fauteuil."
Je m'approche très près d'elle, m'empare de son clavier, effleurant au passage ses bras nus. Je n'arrête pas de baisser les yeux pour admirer le panorama. Assise comme elle l'est, je suis le seul à pouvoir jouir de cette vue.
Je fais semblant de chercher une solution au problème mais prends tout mon temps, continuant à converser avec les trois filles, à rire et bien sûr à mater les superbes gambettes dévoilées. Profitant que l'écran sur lequel je travaille ne soit visible que par ma coquine, j'ai l'idée d'ouvrir une fenêtre dans laquelle je commence à écrire.
"J'ai bien fait de te faire la remarque sur ta jupe ce matin... J'avais raison, non ? En tout cas, j'avais raison de dire que tu as de très jolies jambes. Merci de m'offrir cette vision."
Je me retourne vers son visage pour être certain qu'elle lit bien ce que je suis en train d'écrire. Son petit clin d'oeil me montre que c'est le cas.Je continue.
"Quel dommage de ne pas être seuls. Quand je vois tes cuisses, j'ai des envies. Tu veux savoir lesquelles ?" Je m'arrête d'écrire et la regarde à nouveau (tout en continuant à pester car je ne trouve pas le problème). Elle hoche la tête de bas en haut. Elle semble elle aussi toute excitée.
"Je voudrais m'agenouiller à tes pieds. J'embrasserais tes genoux. Des baisers tout doux. Mes mains remonteraient le long de tes cuisses, jusqu'à tes hanches. Avance, assieds-toi au bord de ton fauteuil".
Lentement, elle décolle son dos du dossier pour m'obéir et s'asseoir bien en avant.
"Et puis ma bouche glisserait plus haut, remontant tes cuisses qui s'écartent pour me laisser le passage."
Ses jambes s'éloignent l'une de l'autre. Elle est totalement entrée dans mon jeu.
"Je lèche l'intérieur de tes cuisses. Plus je monte, plus je sens la chaleur augmenter. J'ai envie que tu te sentes très humide."
"Les filles, on dirait que le temps va tourner à l'orage. Vous trouvez pas q'u'il fait chaud et humide ? Moi je trouve."
Sacrée coquine, elle aime jouer.
"Humide, ça n'est pas assez. Mouillée voire même trempée. Ca serait un délice pour ma langue que de goûter à ton plaisir. J'ai très envie de ton sexe, qu'il me coule dans la bouche. Je suis hyper excité. Et toi ?"
La manière dont elle se dandine sur son fauteuil ne laisse pas de doute. Et sa main qui se pose sur sa cuisse et commence à la caresser me le prouve.
"Je voudrais que tu jouisses pour moi. Que tu te touches à n'en plus pouvoir. Que tu trempes ta culotte (si tu en portes une). Vas vite aux toilettes et masturbe-toi en pensant à ma bouche qui te dévore. Vite STP. Fais-le pour moi."
"Excuse-moi, je te laisse la place, un besoin urgent."
Quelle satisfaction que de la voir se précipiter vers cette jouissance que j'ai provoquée. Le problème pour lequel je me suis déplacé, cela fait longtemps que je l'ai résolu en fait. Au bout de deux minutes, je peux prendre congés.
Me voilà dans le couloir, la queue toute raide de savoir ce qu'il se passe dans les toilettes. J'attends patiemment pas loin de la porte. La voilà qui s'ouvre sur ma collègue. Elle me lance un sourire éclatant. Ses yeux pétillent encore du plaisir qu'elle s'est donné.
"Tu as résolu le problème ?"
"Oui, ça y est. Et toi, tu sens toujours que le temps tourne à l'orage ?"
"Une vraie tempête en fait. A tout détremper."
Et, discrètement, elle ouvre sa main dans laquelle je vois un string roulé en boule.
"Je peux ?"
Elle me le fait glisser dans ma main tendue. Il est trempé. Elle a du s'essuyer avec, c'est pas possible. Je le porte à mon visage, le renifle, le lèche. Je bande encore plus fort.
"Ca te dérange si je le garde ? Moi aussi j'ai envie d'aller aux toilettes. Et je pourrais m'en servir... enfin je te laisse imaginer."
"Oui, j'imagine très bien. Et ça me plaît beaucoup. Mais surtout, n'oublies pas de me le rendre, même sale. Surtout sale."
Je vous laisse imaginer la suite lorsque je me suis retrouvé tout seul dans les toilettes. Mais je suis certain que vous aussi avez suffisamment d'imagination, sinon vous ne seriez pas en train de vous promener sur ce site.
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Quel plaisir en tout cas d'avoir une femme qui se fait du bien en pensant à vous.
S'il y a des amatrices...