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De la confiture aux cochons - (Episode 4) -

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe

NOTE

Pour savourer toutes les saveurs de ce quatrième opus, j'invite le lecteur "gourmet" à découvrir, ici-même, sur ce forum, dans la même rubrique "Confessions intimes", les trois épisodes précédents de cette saga. (Isabelle - Episode 1 - Episode 2 et épisode 3)

Bonne découverte.

Classe


Isabelle (Episode 4)


J'étais assis sur la chaise, près de la fenêtre. Je contemplais avec délice ce spectacle. Isabelle, couchée sur le côté. Les bras derrière le dos. Menotée, sur sa demande, aux poignets et aux chevilles. Une boule en caoutchouc dans la bouche, maintenue par un bracelet de cuir qui lui enserrait la tête. Un "rosebud" enfonçé là où il faut. Le visage et les seins mouillés de salive.

La jeune fille me regardait. Fixant mon regard comme une demande d'en rajouter encore. Pourtant, même si ces jeux ne font pas réellement partie de mes fantasmes, je dois avouer que le moment était passionnant.

Je m'approchais. Je la fis se relever. Là, debout devant moi, je passais ma main sur son sexe trempé. J'introduisais mon majeur. Je me saisis de ses cheveux pour tirer délicatement sa tête en arrière. Elle me regardait avec une sorte de fierté mêlée de défiance. J'imprimais un mouvement régulier de mon doigt. Isabelle se cambrait en avant. De la salive coulait de sa bouche. c'était terriblement excitant.

Je la fis mettre à genoux. Je déboutonnais ma braguette. Sortant mon sexe, je lui présentais "l'objet" de notre délire. Détachant la boucle de la sangle de cuir, je sortais la boule de caoutchouc de la bouche de la jeune fille. Je la lêchais pour en récupérer toutes les saveurs.
Isabelle me regardait me masturber devant son visage. Son regard allait du mien à mon sexe. Le silence était épais et lourd. De temps à autre, une voiture passait dans la rue, en bas. Un petit courant d'air rafraîchissait agréablement les lieux.

Subitement, lui saisissant le menton, j'introduisais mon sexe dans sa bouche. Je restais ainsi sans bouger. Par contractions, je faisais bouger mon sexe. Excité comme je l'étais, Isabelle devait pomper bien des quantités de "jute" gluante...

Au bout d'une dizaine de minutes de pompage, je commençais à imprimer un mouvement régulier du bassin. Me masturbant dans la bouche de la jeune étudiante. Je lui maintenais la tête afin de la forcer à ingurgiter le maximum de mon sexe. Au bout de quelques minutes, je cessais afin de lui faire déguster le fruit de mes efforts. Elle déglutissait en savourant et en gémissant .

A un moment , je retirais mon sexe . Un long filament gluant et épais reliait la bouche de la jeune fille à mon méat .

C'était presque dégueulasse !

Un vrai "Face-fucking". Pour les connaisseuses et les connaisseurs...

Je la fis se relever. Les chevilles maintenues et entravées par les menottes, elle avait du mal à marcher au rythme que j'imposais, jusqu'à la salle bain. Je la tenais à la laisse.

Je la fis s'accroupir à côté des toilettes. La maintenant par les cheveux, je plaçais son visage à quelques centimètres de mon sexe. Là, je lâchais de petits jets. Je n'avais même pas besoin de la forcer. Isabelle, entre chaque jet, venait pomper mon sexe avec avidité. Nous étions tous deux dans les sphères les plus hautes du vice. Elle me regardait, me fixait, semblant implorer encore plus de saloperies...

Je la fis se relever et l'emmenais, toujours tenue à la laisse, sur le lit. Je décrochais ses menottes. Libérant ses poignets et ses chevilles. Là, je me mis sur la jeune fille, la pénétrais et lui fit l'amour comme un damné.

Isabelle en gémissait de plaisir et de bonheur, m'embrassant goulument, fouillant ma bouche de sa langue. "Maître TALISMAN" faisait de son mieux.

J'imprimais à mon bassin des mouvements de va et viens de plus en plus rapides. Puis, je les ralentissais. Pour repartir dans un rythme effréné. Un peu comme dans la chanson de Serge Gainsbourg.

Isabelle gémissait comme une démente. J'étais obligé de placer ma main sur sa bouche. Je la baisais comme un vrai salopard ! Je la baisais, encore et encore. J'enfonçais mon sexe le plus profondément possible. Dans son cul, il y avait toujours le gode ! Soudain, reprenant ses esprits, Isabelle me cracha dans la bouche ! Me traitant de vicelard, de salopard d'ordure ! Je la baisais encore plus fort !
La tête rejetée en arrière, les reins cambrés, la jeune fille se faisait niquer comme une folle. J'y mettais tout mon coeur.

Ses cheveux trempés de sperme et de pisse collaient sur ses joues et sur l'oreiller. Elle n'arrêtait pas de me cracher dans la bouche, au visage, me traitant de tous les noms. Isabelle se lâchait sans doute pour la première fois d'une telle façon...

Quel bonheur !

Je me retirais afin de ne pas éjaculer. Quoi qu'il arrive, je reste toujours "Maître" de mon corps. Je relevais la jeune fille. La forçant à se mettre debout. Me saisissant du gode, je le lui enfonçait dans le sexe. Elle eut un réflexe jouissif du plus bel effet. Cambrée en avant, les jambes écartées. < Tu es le pire salaud que je n'ai jamais vu ! > me fit-elle en tombant à genoux. J'appréciais le compliment. Il faut préciser que je m'appliquais avec peine à être à la hauteur des attentes de la coquine...

Je lui enfonçais le gode. Jouant avec, afin de l'emmener à un nouvel orgasme. Ce qui arriva au bout de quelques minutes. Son sexe dégoulinait de cyprine. Je me couchais sur le dos afin d'aller me livrer à mon festin préféré. Je lêchais le jus de la jeune fille ! J'avalais. Je dégustais. Je savourais. C'était le fameux nectar des dieux, à n'en point douter ! L'élixir de longue vie !

Isabelle était agitée de spasmes qui la secouaient de tremblements profonds. Comme elle était belle. Presque angélique dans cette situation paradoxale qu'elle avait désiré de tout son coeur.

Je m'installais sur la chaise après avoir vidé son vagin de toutes ses humeurs. Le goût que j'avais en bouche était un peu acide. Quel régal. Isabelle, se relevant, s'approcha de moi et me dit : < Je n'ai jamais vécu de tels sommets ! C'est la première fois ! Quoi que je fasse , je ne ferais plus que tenter de retrouver cette première fois ! > Elle m'embrassa avec une telle tendresse que mon coeur fit un bond extraordinaire dans ma poitrine...

Les goûts de sa bouche étaient "forts". Cette bouche ayant été le réceptacle de tous les "jus" possibles. Mon vide-couille, mon urinoir. La jeune fille sentait "fort"...

< Maintenant, je veux te les vider ! > me fit-elle en m'attrappant le sexe. Moi, comme un idiot, j'avais la stupidité de m'orienter vers un romantisme couillon ! Alors qu'Isabelle restait "branchée" sur le sexe. Raisonnable et lucide jusque dans les tréfonds du vice ! Que les filles savent être merveilleuses, lorsqu'elles "pilotent" le navire. Alors que nous, les mecs, souvent, sombrons dans le sentimentalisme à "deux balles" ! Suivons-les, tout simplement. Elles sont nos anges de plaisir. Surtout lorsqu'elles se sont débarassées de leurs pénibles inhibitions. Souvent de facade, d'ailleurs...

Je m'installais sur la chaise pour me laisser sucer. Je regardais le beau visage trempé de sueur, et de "liquides" divers de la jeune fille. Ses joues creusées par la suçion, travaillaient au rythme de son pompage .

Elle restait ainsi, sans bouger. Concentrée sur son pompage de sperme. Elle devait en recueillir un bon paquet. Je la voyais déglutir. Le bruit de ces déglutitions m'excitait au plus haut point. Nos corps étaient trempés de sueur. Malgré la fraîcheur toute relative de la nuit.
Je lâchais mon sperme en trois saccades et quelques coulures que la jeune fille savourait avec délice...

Après m'avoir bien rincé, vidé et essoré, Isabelle se redressa. < Je suis crevée ! > me fit-elle !

Nous sommes allés prendre une douche. Au sol, je plaçais les deux serviettes afin d'absorber les flaques.

Lorsque nous nous sommes allongés, l'un à côté de l'autre, dans le lit, après quelques instants d'une indiscible tendresse, nous nous sommes endormis presque tout de suite .

Le lendemain, vers neuf heures, au réveil, j'invitais Isabelle à aller prendre un super petit déjeuner dans le salon de thé de son choix !
Puis, Isabelle m'a emmené aux jardins d'Arcadie, dans le centre de la ville ! Jusqu'à midi nous avons encore flâné au bord de cette si belle Garonne. Ensuite, ce fût l'heure d'un délicieux repas .

Comme par pudeur, nous nous refusions d'aborder et d'évoquer les "aventures" de la nuit passée ...

Il me fallait honorer mon rendez-vous de quatorze heures trente. Raison de ma présence à Bordeaux. J'invitais Isabelle à la retrouver vers dix sept heures devant l'hotel de ville.

J'étais là à l'heure. Nous sommes allés passer la soirée au bord de la mer. Nous avons découvert un agréable restaurant. De retour en ville, vers vingt trois heures, Isabelle me souhaita une bonne nuit. Vivant encore chez ses parents, la jeune fille ne voulait pas découcher une seconde nuit. Je ne le lui proposais pas.

Elle me promit d'être dans le hall de l'hotel, le lendemain à neuf heures, afin de m'accompagner à la gare Saint Jean ou j'avais mon train à onze heure dix .

Il y avait souvent de longs silences. Isabelle m'observait avec une sorte de sévérité, son regard inquisiteur plogeant dans le mien. Une curieuse sensation de passer un nouveau test..

Le lendemain elle était là. Les yeux encore cernés du plaisir de sa première véritable nuit de "soumise". Sur le quai de la gare, mon vieux coeur, ce crétin, se brisait une fois de plus...

Bordeaux est sans doute une des plus belles villes de France.
Six mois plus tard, je reçu un courriel de la jeune fille. Elle m'invitait à venir passer trois jours chez elle, dans son nouveau studio.

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Classe
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
il faut vite aller visiter ce studio... ;-)
Re: De la confiture aux cochons - (Episode 4) -
Wednesday 20 August 2014 14:15

xm69
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
T as l adresse du studio Mort de rire
Re: De la confiture aux cochons - (Episode 4) -
Wednesday 20 August 2014 14:21

xm69
Homme, 45 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
c 'est possible d'avoir des photos de la belle....Tirer la langue
Homme, 53 ans, France
Classe

Et sa pointure de godasses aussi ?

Son numéro de sécu ?

Son adresse aussi ?

Tant qu'on y est...

Classe



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/08/14 19:57 par Oncle-Julien.
Homme, 61 ans, France, Grand Est
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
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