Je ne m'attendais pas à tomber sur quelqu'un dans ce petit coin à l'écart...
J'étais partis pour faire un tour en vélo au bord du fleuve, le hasard
m'ayant conduit dans de petits chemins. Il faisait beau et chaud et l'envie
de me poser sur un petit bout de plage ce fit sentir.
Je me frayais donc un passage à travers un petit bois, je n'étais jamais
venu et je me demandais si j'allais finir par trouver mon bonheur.
C'est pourquoi lorsque je franchis le dernier talus, je fus comblé. À mes
yeux s'offrait devant moi un panorama typique du bord de Loire.
L'impression d'être seul au monde, sans un signe visible, ni audible, de
trace de présence de l'homme. Un paysage vierge, si beau sous cette lumière
de fin du printemps.
J'avais déjà quitté mon t-shirt et ayant jeté un coup d’œil rapide
alentours, ainsi que tendu une oreille attentive, je me laissé tenter par
l'envie de retirer le reste de ma tenue. Non pas que j'avais l'habitude de me
dévêtir en extérieur. Mais l'atmosphère était propice à la prise de "risque".
Une fois nu, je me tint debout, offert aux rayons du soleil, sensation au
combien agréable, n'est-ce pas ?
J'en profitais pour m'offrir une petite séance de relaxation, essayant de
me concentrer sur ma respiration. Cela dura quelques minutes, jusqu'à
ressentir un bien être total.
Rasséréné, donc, je me mis en route pour une petite ballade le long de la
plage.
Je ne fis pas dix pas que devant moi, caché jusqu'à présent par la pénombre
sous un grand chêne, je me rendis compte que je n'étais pas si seul que ça.
En effet, quelle ne fus pas ma surprise de découvrir là, deux jeunes femmes,
qui m'observaient et discutaient le plus tranquillement du monde. Elles ne
pouvaient pas ne pas m'avoir vu depuis mon arrivée et je compris que je
m'étais offert en spectacle. Je ne pus m'empêcher de rougir, mais je
continuais d'avancer.
J'osais leur lancer un: "Bonjour, comment allez-vous?" L'air de rien, mais
je n'en menais pas large.
L'une d'elle me répondit: "Bien et vous, c'est agréable comme endroit. Et
puis on a une belle vue."
Là dessus, elle me gratifia d'un sourire et d'un clin d’œil. Son amie
paraissait un peu plus gênée, mais je la voyais, du coin de l’œil, qui me
matait aussi.
Un peu plus à l'aise, après tout elles n'avaient pas rigolé en me voyant,
je leur demandais la permission de me joindre à elles, histoire de discuter.
On se présenta, et elles m'apprirent que lorsque qu'elle m'avaient vu
débarquer, elles avaient remis leur maillot vite fait. On en vint donc à
parler naturisme, sujet que ni moi ni elles ne connaissaient plus que ça.
Elles venaient souvent sur cette plage, toujours à deux, et aimaient aussi
profiter du bonheur d'être nue.
En rigolant, je les invitais à faire comme si je n'étais pas là, ce que
l'une fit, l'autre était peut-être plus pudique. Elle enleva tout d'abord
son haut de maillot de bain, dévoilant une petite, mais très jolie
poitrine. Son teint pâle contrastait avec ses longs cheveux roux et faisait
d'autant plus ressortir ses tétons fièrement dressé. Je n'avais qu'une
hâte, découvrir ce qui ce cachait sous sa culotte. J'eus du mal à
dissimuler mon excitation et je vis leurs yeux s'attarder sur mon
entrejambe. Un début d'érection m'avait gagné et je m'en excusait auprès
d'elles... mais cela ne semblait pas les gêner le moins du monde, car la
rousse continua son effeuillage en me regardant droit dans les yeux.
Elle se releva, et doucement fit glisser son bas de maillot à ses pieds,
j'avais les yeux au niveau de son minou, que pas un poil ne dissimulait.
Ses grandes lèvres étaient légèrement bombées et peinaient à dissimuler de
petites lèvres très développées. Une impression d'infini douceur émanait de
ce sexe et j'eus le sentiment de me perdre dans sa contemplation. Voyant
mon visage, elle fut très satisfaite de son effet et se rassis en tailleur
face à moi, permettant à ce petit abricot de s'entrouvrir et à mon regard
d'y plonger...
Sa copine, une blonde, pas très jolie mais avec un certain charme avaient
les joues empourprées. Elle ne quittait pas des yeux ma queue, qui au vu de
cette beauté, avait finie par se redresser complétement. J'eus ainsi droit
à quelques compliments sur sa forme et sa rigidité.
La blonde, donc, relativement excitée, si j'en croyais les tétons
pointant à travers le maillot, entama également de se déshabiller... je
n'en revenais pas,
j'allais bientôt avoir devant moi, deux femmes nues, qui
semblaient apprécier ma compagnie, moi d'ordinaire si timide.
Le temps semblait s'être arrêter, aucun bruit à l'horizon ni de preuve de
vie à part nous trois, profitant du moment, ensembles dans le plus simple
appareil et sans aucunes arrières pensées.
Elle me révéla une toison abondante, contrairement à sa copine et une
poitrine plus généreuse. Elles étaient excitantes, toutes les deux côtes à
côtes, on sentait la complicité entre elles.
Elles commencèrent à se taquiner, qui sur sa poitrine, qui sur ses fesses.
Elles se chamaillaient joyeusement, chahutant en m'offrant un spectacle qui
me laissait ébahi. Je regardais leurs corps bouger, se frôler, elles
s'offraient à ma vue, entièrement, sans pudeur, celle-ci les ayant
visiblement quittée.
Les gestes se faisaient plus précis, les mains s'attardaient plus à
certains endroits qu'à d'autres, de discrets gémissements se faisaient
entendre. Puis finalement les bouches se trouvèrent et les caresses plus
franches. J'étais aux anges, tellement excité, que mon gland luisait de
precum avant même de me caresser. Je les regardais faire, mon sexe à la
main, me demandant ou cela allait s’arrêter.
Elle s’arrêtèrent, puis en me regardant, m'invitèrent à les rejoindre, je
m'assis donc entre elles, nos mains s'abandonnèrent sur nos corps
respectifs. ne sachant plus qui caressait qui...
D'un commun accord, leurs mains saisirent ma bite et se mirent en tête de
me faire jouir.
Comment décrire cette sensation que j'éprouvais à ce moment là, quatre
mains massant ma queue et mes bourses, s'aventurant même parfois un peu plus bas...
Je me laissais faire ainsi pendant quelques minutes, savourant chaque instant. Puis, aimant également donné, je suggérais à celle qui le souhaitait de venir s'accroupir au dessus de mon visage, que je puisse goûter et glisser ma langue entre ses lèvres.
Ce fut la blonde qui ne se fit pas prier, et à peine installée, me mouillait le visage de sa cyprine, humm quel délice, elle était si excitée que je n'avais qu'a ouvrir la bouche pour la recevoir en goutte à goutte.
Mes mains ne restèrent pas inactives et j'entrepris de m'occuper de ses fesses. Elles étaient bien rebondies, mais ferme. Je les malaxaient tous en observant ce trou qui s’entrebâillait légèrement sous mes caresses. Il ne m'en fallut pas plus pour y fourrer ma langue, ce qui la surpris, mais lui plut si j'en croyais ce petit gémissement. Jalouse, la rousse vint se mettre également au dessus de moi et ne voulant pas la vexer, je dirigeai donc ma langue vers elle, ou plutôt, elle vint quasiment s'assoir sur ma bouche, ce qui me permis de la fouiller profondément. Ce mélange de saveur ravissait mes papilles, un peu comme le sucré/salé...
Après cette sympathique dégustation, je proposais de passer à la suite de menu.
J'avais envie de les voir toutes les deux, côtes à côtes à quatre pattes. Elles acceptèrent bien volontiers et se mirent en position, tout en frétillant du bassin. Voir leurs culs, bouger comme ça, en devenait presque hypnotisant, avec leurs jolis point de mire.
J'entamais alors un double va et vient, donnant quelques coups de rein à l'une avant d'honorer l'autre et vice et versa... voir mon sexe disparaitre dans des chattes aussi différentes m'excitait au plus au point. Pendant tout se temps, j'avais toujours un ou deux doigts dans leur fondement qui se détendaient de plus en plus.
Mais je savais que si je me glissait dans un de leur petit trou, je jouirais instantanément... et ce n'est pas comme ça que je voyais la fin.
Elles sentirent surement que j'arrivais au point de non-retour car elles se mirent à genoux devant moi, et me gratifièrent d'un fantastique duo pour fellation .
Je sentais leur langues parcourir mon membre, qui commença à tressauter, ce qui les fit gémir un peu plus. La seconde d'après, ma jouissance fut énorme, elles libérèrent ma semence qui s'en alla se mêler au sable chaud.
Mon cœur battait à tout rompre, je me sentais fébrile et je voulus m'assoir pour récupérer. Elles vinrent alors se blottir contre moi et m'enlaçant, je connus le bonheur...
