Je vous regarde dans la glace. Vos bras, prisonniers de votre robe tombante, longent votre corps. Votre bouche est toujours obstruée par votre string. J'ai libéré vos seins. Vos tétons sont meurtris. Leur couleur oscille entre le bleu et le rouge.
Je me surprends à voir un léger sourire se dessiner au coin de vos lèvres. Je vous le rends avec plaisir. Je bande toujours autant. Du dos de la main, je caresse votre visage. Lentement, je retire votre culotte. Votre bouche est enfin libérée. Vous l’ouvrez grand et aspirez l’air à pleins poumons. Sensuellement, je vous embrasse dans le cou, , vous mordille les épaules, laisse glisser mes doigts le long de votre corps, effleurant votre peau si douce.
Je vous libère des entraves de votre robe. Elle tombe à vos pieds. Vous êtes entièrement nue. Mes lèvres parcourent votre dos. Je vous tiens par les poignets tout en continuant à vous goûter. Je descends de plus en plus bas, arrivant bientôt à hauteur de vos fesses. Je me suis agenouillé, maintenant toujours vos bras fermement contre vous. Je me régale de votre cul, de vos cuisses. Je vous lèche, vous embrasse, vous mords.
Je pose vos mains à plat sur vos fesses et les pousse vers l’avant. Elles s’écartent me permettant d’avoir une vue magnifique sur votre petit trou serré. Je glisse mes doigts le long de votre raie. Ils montent et descendent, allant de votre anus jusqu’à votre sexe mouillé. Je vous déguste du bout de la langue. Vous vous cambrez pour mieux vous offrir. Je lèche votre fente. Vous coulez dans ma bouche. C’est délicieux.
Vous vous penchez de plus en plus, sans doute pour encore mieux sentir ma langue glisser entre vos grandes lèvres. Vous en perdez l’équilibre et posez l’une de vos mains contre le mur. Vos fesses se referment. Je ne peux plus vous lécher comme je le veux. Il est donc temps que je passe à un autre plaisir.
Je me suis relevé et vous observe dans le miroir. Vous me regardez, vous reposant toujours sur votre main. J’ai empoigné ma queue raide et en frotte le gland à l’entrée de votre sexe, l’enduisant de ce mélange de salive et de cyprine si délicieux. Vous attendez avec impatience le moment où il va s’insérer entre vos lèvres et se planter au fond de vous. Mais je fais durer le plaisir.
J’ai remplacé votre main par la mienne et vous écarte à nouveau les fesses. Le bout de mon membre glisse toujours le long de votre fente. Vous êtes de plus en plus excitée. Vous n’en pouvez plus d’attendre. Je vous regarde. Vous me suppliez de vous prendre. Je souris. Et là…
Mon pieu vient de glisser de votre sexe jusqu’à l’entrée de votre petit trou. Je le presse fort tout contre. Il est trempé. J’aime l’expression de votre visage. Vous semblez à la fois inquiète et heureuse. Votre envie de vous sentir pénétrée a atteint son paroxysme. Peu importe par où je passe, il vous faut sentir ma queue en vous.
Mes doigts serrent mon dard, ne laissant échapper que le bout de mon gland. Je force l’entrée de votre cul. Il s‘entrouvre sans résistance. Le bout de ma queue a disparu. J’attends quelque secondes, laissant à votre anus le temps de s’habituer à ce corps étranger si large et si gonflé. Puis, lentement, doucement même, je glisse en vous, jusqu’à vous pénétrer jusqu’à la garde. Votre rondelle serre la base de mon sexe. C’est bon. Je commence alors à aller et venir, d’abord gentiment. Vous ne me lâchez pas du regard, comme pour me défier.
N’inversez pas les rôles ma belle. C’est moi qui décide. Vous êtes à moi. Mes cuisses commencent à claquer sur les vôtres. Mes pénétrations se font plus vigoureuses. J’ai passé ce moment où j’avais peur de vous faire trop mal. Je n’ai plus d’appréhension à vous prendre violemment. J’ai envie de voir votre anus d’élargir, j’ai envie de vous entendre gémir. J’ai même envie de vous faire ressentir de la douleur à présent.
Alors je vous pilonne, fermement agrippées à vos hanches. Je vous secoue d’avant en arrière, vite, fort. Vos deux mains sont posées sur le mur, de part et d’autre du miroir. Mes doigts entrent dans vos chaires. J’en viens à claquer vos fesses. Et toujours mon pieu qui vous défonce. Je le ressors complètement. Votre rondelle reste ouverte, béante et dilatée. D’un coup de rein, je m’enfonce à nouveau. Vous gémissez, vous criez. Je suis tellement excité de vous posséder ainsi.
Tirant sur vos cheveux, je relève votre tête. Sur votre visage se mêlent plaisir et soumission. Encore quelques saillies et je vous force à vous assoir à terre. Sans ménagement, je maintiens votre tête à quelques centimètres de ma queue. Je me branle intensément. Un premier jet de foutre gicle sur votre front. J’éjacule puissamment et souille tout votre visage. Vous sentez mon jus chaud et épais ruisseler sur votre peau. Je l’étale avec ma queue puis vous la mets dans la bouche. Il ne vous reste plus qu’à la sucer pour me la rendre propre et brillante.
Vous m’avez magnifiquement nettoyé. Je bascule votre tête en arrière. Vos yeux scintillent de plaisir. Ce traitement n’a manifestement pas éteint votre soif de sexe. Malgré la brutalité de mes pénétrations, mon pantalon n’est pas tombé à mes pieds. Je porte alors la main sur la boucle de ma ceinture défaite et commence à tirer dessus. Et si…