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Soirée érotique entre douleur et plaisir

Envoyé par yoxxxx22 
Homme, 57 ans, Nioué
J'ai eu la chance de vivre un moment particulièrement érotique et ai envie de vous le faire vivre.

Mesdames qui allez lire ce petit texte, je m'adresse directement à vous. Imaginez-vous avec moi ce soir là. J'espère que cette lecture vous émoustillera un petit peu..


Nous sommes assis dans un coin du restaurant. Vous vous êtes changée et portez une petite robe légère et des chaussures fines. Je ne cesse de poser ma main droite sur votre cuisse. Votre peau est douce et chaude. Je vous caresse sensuellement, glissant sur votre genou puis remontant sous votre robe. Il y a peu de monde ce soir mais comme d’habitude ces attouchements en public ne vous mettent pas à l’aise. Vous n’arrêtez pas de stopper la course de ma main lorsqu’elle remonte trop haut. Et moi je n’arrête pas de recommencer. Je suis très joueur.

Je profite du moment où le serveur vient débarrasser notre table pour insérer mes doigts entre vos cuisses jusqu’à appuyer sur votre sexe. Vous fermez les jambes mais je reste en contact de votre petite culotte. Alors que le garçon nous parle, et malgré vos efforts pour immobiliser ma main, je continue ma progression. Le tissu de votre string s’insère dans votre fente. Elle me semble humide.

Il est reparti. Vous me regardez avec un air réprobateur. Avant même que vous ne prononciez un mot, mes doigts écartent votre culotte et glissent fermement dans votre antre. Je vous regarde fixement. J’aime votre expression de surprise mêlée de plaisir et de gêne. Vous attrapez mon poignet. Je remonte encore. Vous commencez à me gronder discrètement. Mon index s’enfonce plus loin.

Vous n’avez rien à dire ma jolie. J’ai pris les commandes et n’ai pas l’intention de les abandonner. Vous relâchez la pression de vos cuisses. Elles s’entrouvrent. Ma main plus libre peut vous fouiller plus facilement. Vous mouillez en jetant toujours des regards dérangés sur les gens qui nous entourent. Mais malgré votre peur de vous faire démasquer, vous prenez du plaisir.

Notre repas est terminé. Mes doigts sont tout mouillés. Il est temps de remonter dans notre chambre. Nous sommes seuls dans l’ascenseur. Malgré l’excitation que j’ai développée chez vous, vous me regardez et commencez à me faire des reproches sur ma conduite. Ma main vient couvrir votre bouche. Les portes se referment à peine. Je vous ai plaquée contre la vitre. Ma main libre plonge dans votre culotte et j’enfonce mon majeur fermement, à tel point que vous êtes obligée de vous mettre sur la pointe des pieds. Quelques secondes ainsi et je ressors mon doigt pour m’emparer de votre string. Je le descends d’un coup sec le long de vos cuisses. Il tombe sur vos chevilles. Je vous pénètre à nouveau, mais avec trois doigts cette fois.

Je libère votre bouche. Donnez-moi votre string. Au prix d’incroyables contorsions, vous parvenez à le récupérer. Je vous l’arrache des mains. Il est humide. Je le fais glisser sur votre visage, sur vos lèvres. Je veux que vous le goûtiez. Petit à petit, je l’introduis dans votre bouche, jusqu’à l’y faire entièrement disparaître. La porte de l’ascenseur s’ouvre. Nous sommes arrivés à notre étage. Je délivre votre sexe. Il suinte.

Je viens de refermer la porte de la chambre. Votre bâillon improvisé vous empêche de parler. Je me suis collé à votre dos et vous entoure avec mes bras. Je malaxe le haut de vos cuisses, votre ventre, vos seins tout en suçant votre cou. Je froisse le tissus de votre robe, défais un à un les boutons qui la maintiennent fermée, glisse en dessous pour caresser votre peau. J’emprisonne vos tétons entre mes doigts. Je les fais rouler entre mon pouce et mon index, d’abord doucement. Mais rapidement je me mets à les presser plus fort. Nous faisons face à un grand miroir. Je nous regarde. J’aime ce que j'y vois.

Votre robe est descendue le long de vos bras et vous entrave. Je tiens vos seins entre mes mains et continue de les maltraiter. J’écrase vos tétons, les étire, les pince. Vous en fermez les yeux. Je vous ordonne de les garder ouverts. Vous vivez ainsi pleinement cette délicieuse torture où douleur et plaisir se mêlent dans un cocktail érotique explosif et jouissif.

Vous serrez vos cuisses l’une contre l’autre, compressant votre sexe, écrasant votre clitoris. Vous regardez vos tétons se faire déformer. Je les fais vriller entre mes doigts, les pince, les serre, toujours plus intensément. J’ai envie de vous mordre. Je frotte mon sexe raide et dur contre vos fesses. Comme j'aimerais le glisser dans votre grotte étroite. Jamais encore vous n’avez accepté, mais ce soir, je ne vous laisse pas le choix...
Homme, 57 ans, Nioué
Je vous regarde dans la glace. Vos bras, prisonniers de votre robe tombante, longent votre corps. Votre bouche est toujours obstruée par votre string. J'ai libéré vos seins. Vos tétons sont meurtris. Leur couleur oscille entre le bleu et le rouge.

Je me surprends à voir un léger sourire se dessiner au coin de vos lèvres. Je vous le rends avec plaisir. Je bande toujours autant. Du dos de la main, je caresse votre visage. Lentement, je retire votre culotte. Votre bouche est enfin libérée. Vous l’ouvrez grand et aspirez l’air à pleins poumons. Sensuellement, je vous embrasse dans le cou, , vous mordille les épaules, laisse glisser mes doigts le long de votre corps, effleurant votre peau si douce.

Je vous libère des entraves de votre robe. Elle tombe à vos pieds. Vous êtes entièrement nue. Mes lèvres parcourent votre dos. Je vous tiens par les poignets tout en continuant à vous goûter. Je descends de plus en plus bas, arrivant bientôt à hauteur de vos fesses. Je me suis agenouillé, maintenant toujours vos bras fermement contre vous. Je me régale de votre cul, de vos cuisses. Je vous lèche, vous embrasse, vous mords.

Je pose vos mains à plat sur vos fesses et les pousse vers l’avant. Elles s’écartent me permettant d’avoir une vue magnifique sur votre petit trou serré. Je glisse mes doigts le long de votre raie. Ils montent et descendent, allant de votre anus jusqu’à votre sexe mouillé. Je vous déguste du bout de la langue. Vous vous cambrez pour mieux vous offrir. Je lèche votre fente. Vous coulez dans ma bouche. C’est délicieux.

Vous vous penchez de plus en plus, sans doute pour encore mieux sentir ma langue glisser entre vos grandes lèvres. Vous en perdez l’équilibre et posez l’une de vos mains contre le mur. Vos fesses se referment. Je ne peux plus vous lécher comme je le veux. Il est donc temps que je passe à un autre plaisir.

Je me suis relevé et vous observe dans le miroir. Vous me regardez, vous reposant toujours sur votre main. J’ai empoigné ma queue raide et en frotte le gland à l’entrée de votre sexe, l’enduisant de ce mélange de salive et de cyprine si délicieux. Vous attendez avec impatience le moment où il va s’insérer entre vos lèvres et se planter au fond de vous. Mais je fais durer le plaisir.

J’ai remplacé votre main par la mienne et vous écarte à nouveau les fesses. Le bout de mon membre glisse toujours le long de votre fente. Vous êtes de plus en plus excitée. Vous n’en pouvez plus d’attendre. Je vous regarde. Vous me suppliez de vous prendre. Je souris. Et là…

Mon pieu vient de glisser de votre sexe jusqu’à l’entrée de votre petit trou. Je le presse fort tout contre. Il est trempé. J’aime l’expression de votre visage. Vous semblez à la fois inquiète et heureuse. Votre envie de vous sentir pénétrée a atteint son paroxysme. Peu importe par où je passe, il vous faut sentir ma queue en vous.

Mes doigts serrent mon dard, ne laissant échapper que le bout de mon gland. Je force l’entrée de votre cul. Il s‘entrouvre sans résistance. Le bout de ma queue a disparu. J’attends quelque secondes, laissant à votre anus le temps de s’habituer à ce corps étranger si large et si gonflé. Puis, lentement, doucement même, je glisse en vous, jusqu’à vous pénétrer jusqu’à la garde. Votre rondelle serre la base de mon sexe. C’est bon. Je commence alors à aller et venir, d’abord gentiment. Vous ne me lâchez pas du regard, comme pour me défier.

N’inversez pas les rôles ma belle. C’est moi qui décide. Vous êtes à moi. Mes cuisses commencent à claquer sur les vôtres. Mes pénétrations se font plus vigoureuses. J’ai passé ce moment où j’avais peur de vous faire trop mal. Je n’ai plus d’appréhension à vous prendre violemment. J’ai envie de voir votre anus d’élargir, j’ai envie de vous entendre gémir. J’ai même envie de vous faire ressentir de la douleur à présent.

Alors je vous pilonne, fermement agrippées à vos hanches. Je vous secoue d’avant en arrière, vite, fort. Vos deux mains sont posées sur le mur, de part et d’autre du miroir. Mes doigts entrent dans vos chaires. J’en viens à claquer vos fesses. Et toujours mon pieu qui vous défonce. Je le ressors complètement. Votre rondelle reste ouverte, béante et dilatée. D’un coup de rein, je m’enfonce à nouveau. Vous gémissez, vous criez. Je suis tellement excité de vous posséder ainsi.

Tirant sur vos cheveux, je relève votre tête. Sur votre visage se mêlent plaisir et soumission. Encore quelques saillies et je vous force à vous assoir à terre. Sans ménagement, je maintiens votre tête à quelques centimètres de ma queue. Je me branle intensément. Un premier jet de foutre gicle sur votre front. J’éjacule puissamment et souille tout votre visage. Vous sentez mon jus chaud et épais ruisseler sur votre peau. Je l’étale avec ma queue puis vous la mets dans la bouche. Il ne vous reste plus qu’à la sucer pour me la rendre propre et brillante.

Vous m’avez magnifiquement nettoyé. Je bascule votre tête en arrière. Vos yeux scintillent de plaisir. Ce traitement n’a manifestement pas éteint votre soif de sexe. Malgré la brutalité de mes pénétrations, mon pantalon n’est pas tombé à mes pieds. Je porte alors la main sur la boucle de ma ceinture défaite et commence à tirer dessus. Et si…
Homme, 50 ans, France, Île-de-France
Et si... tu nous racontais la suite, c'est excitant.
Femme, 53 ans, France, Occitanie
Hummmmm... Votre plume est toujours aussi inspirante... Alors aujourd'hui je vais travailler ainsi, sous ma sage tenue mes seins sont accessibles, pointes érigées... Et je sens la délicieuse morsure de ces pinces que je m'amuse parfois à resserrer un peu plus, parfois je tire discrètement sur la chaîne à travers mon chemisier... Que diriez vous si nous allons dîner habillée de la sorte.. '?
Homme, 57 ans, France, Centre-Val de Loire
Impudique une plume habile sait faire ériger la plus sensible des pointes
Mais si celle ci s orne d une jolie clarinette, ces anneaux doivent être de redoutables alliés
Au plaisir de vous lire
Amicalement coquin
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