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Le photographe

Envoyé par ClemNico 
Le photographe
Thursday 19 July 2018 08:57

ClemNico
Homme, 52 ans, France, Occitanie
Après en avoir parlé longuement, nous avons décidé de faire appel à un photographe pour réaliser des images de nu de mon épouse. Un œil extérieur habitué pour tenter l'esthétique dans la nudité.
>> Décontenancée par une de mes idées bizarres à nouveau, ma femme n'a pourtant pas mis longtemps à accepter sans retenue. A deux conditions toutefois, ne pas poser "les pattes écartées" et ne pas se faire pénétrer par des objets.
>> Soucieuse de son apparence, elle aura soin d'aller se faire épiler la veille au soir de la séance.
>> Le photographe, je le contacte sur un site qui met des books en ligne.
>> Il est très intéressé par le projet et accepte volontiers ma présence et les desiderata de ma douce. Il demande le type précis de clichés que nous souhaitons, et des détails sur le physique du modèle qu'il aura. C'est un homme qui à l'époque a passé la soixantaine, ses photos sont sobres, avec quelques tendances fetichistes légères. Je l'interroge sur l'aspect confidentiel, il me rassure par l'envoi d'un contrat. Je lui propose donc de lui faire parvenir des photos de mon épouse, ce qu' il accepte volontiers. Par rapport à son type de travail, nous lui demandons du nu intégral, pas d'accessoires.
>> Je lui envoie donc quelques images soft, des photos où elle est nue dans la maison ou sur la plage, de face et de dos.
>> Sa réponse m'enchante. Non content de me féliciter sur sa plastique naturelle, il part dans un descriptif détaillé de ce qu'il voit et ce que cela lui inspire, en prenant soin de détailler les parties du corps. Je crois y lire son excitation à écrire "sa bouche, ses seins, son dos, ses fesses, sa vulve, ses cuisses, ses orteils", comme si la précision m'invitait à en discuter davantage.
>> Mon épouse, qui n'est absolument pas prétentieuse ni fière de son corps, aime pourtant assez son postérieur, un beau cul rond et tendu. Je le relate au photographe, lui précisant aussi que si sur certaines photos il a vu sa toison, elle tient en revanche à se faire épiler. Sa réponse ne se fait pas attendre, il entre dans des considerations relatives aux formes de chaque vulve, à leur lèvres et quant aux fesses, à l'intérêt d'un travail sur le mouvement. Non sans lui rappeler qu'elle ne veut pas ouvrir les cuisses pendant la séance, je profite de l'occasion pour lui envoyer des images plus intimes. Il me répond très vite en proposant un contraste à travailler entre la pâleur de sa peau et le rosé de ses lèvres, de son clitoris, la discrétion de son anus entre ses fesses musclées. Je sens qu'elle l'excite , que la situation l'excite et que notre dialogue lui plaît. Je lui livre alors des confidences sur cette mère de famille sage et tranquille, qui n'aime absolument pas les films X ni la bestialité, les dialogues trop crus, mais qui dans le même temps se révèle parfaitement impudique par moments, se masturbe frénétiquement quand ça lui prend, ou se rend chez son kiné sans soutif "de toute façon il me demande de l'enlever" et en string "je sais que l'idée te plaît".
>> Notre expérience se présente bien, rendez-vous est pris à Toulouse, dans l'appartement de fonction d'un ami absent. La seule demande du photographe est de ne pas porter de sous-vêtements avant, afin de ne pas marquer la peau. Ma femme enfile donc une robe sous laquelle elle reste nue, et une paire de bottes. L'excitation me gagne déjà. Pour s'habituer progressivement, notre correspondant a suggéré qu'elle prenne quelques habits amples et longs, un peu transparents si elle en a. Elle a choisi une chemise ornée de dentelle et pour commencer, une tunique offrant un grand décolleté. Nous arrivons tôt chez mon ami, nous installons, ma femme enfile la tunique, se met pieds nus et sort sur le balcon fumer une cigarette tandis que je descends accueillir ce chanceux.
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 09:05

general84
Couple, 49 ans, France, Occitanie
Wahou ..C'est un début de récit très attirant ...Vivement la suite et quelques clichés ...Amoureux
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 09:51

ClemNico
Homme, 52 ans, France, Occitanie
Nous remontons à l'appartement avec son matériel. Le type est sympa, fait son âge, assez grand et mince avec une voix douce. Il se dit ravi qu'un couple lui demande de faire ce qu'il aime. Il salue très poliment ma femme en entrant, installe son équipement et me fait fermer les volets roulants eu égard à la lumière que ses projecteurs vont faire. Je sens mon épouse un peu tendue. Sa tunique descend à mi-cuisse, aucun bouton n'est attaché, elle est sagement sexy ainsi. Il lui demande si elle n'a pas froid pieds nus, lui propose de s'asseoir sur le canapé et de faire quelques portraits pour commencer. Elle sourit beaucoup, il la rassure sans cesse, et lui demande de faire quelques clichés avec une mise en avant de son décolleté. Elle l'ouvre un peu, on voit le galbe de ses deux seins. Il passe de profil puis lui demande d'en voir davantage. Elle essaie d'en montrer un peu plus. Elle ne voit pas exactement ce que cela peut donner. Vous permettez ? Il approche ses mains, saisit un revers et le contraint. Il dit qu'il aimerait faire apparaître juste l'aréole. Deux photos et il en veut davantage encore. Il décolle le tissu de sa peau, il a une vue plongeante sur ses seins. Je vois que ma femme se détend, elle se prête volontiers à ses demandes. Il souhaite faire un travail de profil à nouveau, il passe la main dans sa tunique pour accentuer le revers. Le dos de sa main frôle son téton, qui durcit. Il fait deux trois photos ainsi, puis tout naturellement lui parle de ce téton bandé. Lui dit que peut-être on pourrait y faire reposer le tissu pour laisser la tunique ouverte. Sa main accompagne la parole, il demande à ma femme de se tenir très droite, il glisse la main dans son vêtement pour lui faire épouser la courbe de son sein. Elle bande franchement, sourit, me lance de petits regards à la fois gênés et fiers. L'érection chez les femmes n'est pas vécue comme pour nous, ce téton qui se dresse de quelques centimètres maintenant est tout sauf agressif. Quelques minutes s'écoulent autour de ce seul thème. Il prend une dizaine de vues, y compris des gros plans.
Il la complimente gentiment, il sait y faire. Lui dit qu'il serait bien de faire des clichés de tout le buste.
La tunique ne peut être dégagée par les épaules. Alors, avec un naturel déconcertant, elle se lève, et ôte son vêtement qu'elle me donne. Elle est nue, entièrement nue, les seins qui pointent délibérément et la situation semble lui plaire franchement.
Les photos de sa poitrine prennent quelques minutes complémentaires puis il propose de passer à autre chose. Vous voulez un café ? Oui, une pause ne déplairait à personne, j'ai vu juste.
Le plus simplement du monde, elle vient dans la cuisine comme elle est. Nous nous sommes installés dans le séjour pour la séance, d'autres pièces peuvent peut-être convenir. Alors elle l'emmène faire le tour de l'appartement, je vois ce type que je ne connaissais pas il y a une heure qui suit ma femme et ses fesses nues dans l'appartement de mon ami. C'est surréaliste. Et plaisant.
Elle est vraiment à l'aise nue, m'impressionne, je la trouve très désirable. Je capte le regard qu'il pose sur elle, je sens bien qu'il se fait mateur discret, spectateur très attentif de ses moindres détails. Il fait toute une série en jouant sur la transparence, c'est sexy comme tout mais c'est concentré sur le haut du corps.
Soudain il lui demande si elle aimerait travailler un thème en particulier. "mes fesses". La réponse attire son commentaire. "j'aimerais bien mettre en valeur mes fesses, c'est ce que je préfère en moi".
Cela plaît au photographe apparemment... "très bien, beaucoup de choses sont possibles et si vous me permettez, vos fesses sont très jolies en effet".
On permet, et comment !!!
Il veut changer la lumière, prendre un autre objectif, on fait une petite pause de nouveau. Nous discutons tranquillement, ma femme et moi, et tandis qu'elle me parle, je vois un petit mouvement caractéristique de sa main droite, qui descend devant son sexe comme pour vérifier. Mais elle n'ose toucher. Je souris, nous nous faisons face, le photographe est plus loin dans la pièce, affairé. Je l'interroge du regard en désignant sa main et son sexe, elle hoche la tête et me fait comprendre que oui, elle mouille. Elle ne résiste pas et glisse ses doigts pour les ressortir aussitôt, humectés de ses parfums intimes.
Mais la technique est prête, il faut repartir poser, elle se présente conquérante. Et je vois ma femme nue comme un ver, aller prendre la pose que lui suggère un photographe pour mettre en valeur ses fesses, sachant qu'elle mouille franchement à cet instant. L'expérience me ravit jusqu'à présent...
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 09:59

ClemNico
Homme, 52 ans, France, Occitanie
Il va falloir vous cambrer un peu plus".
Ce n'est pas un ordre, juste une indication. Mon épouse est assise sur une chaise, à l'envers, elle tient le dossier dans les mains, ses cuisses sont ouvertes, elle a les fesses en arrière. Elle écoute ce qui est demandé, offre sa croupe à l'œil averti de l'objectif, ne nous cache rien de son anus, ses lèvres ne reposent même plus sur l'assise.
Oui, c'est parfait, c'est très sensuel ! Le photographe ne se départit pas de ses propos rassurants et courtois, l'incite doucement à se livrer encore et encore.
Il suggère maintenant qu'elle se couche sur le canapé, sur le ventre, en repliant une de ses jambes sur l'autre, tout en déportant son bassin sur le côté, à peine. Le mouvement rend la cambrure gracieuse et prononcée. Cette fois, la pose se veut érotique, elle s'en rend compte, forcément. Pourtant elle le fait sans retenue, elle sait inévitablement qu'elle nous tend ses appâts, exhibe ses orifices sans pudeur. Je suis fasciné, captivé par ce corps que je connais par cœur. Je scrute la raie de ses fesses, qui descend lentement vers les plis de chair qui ourlent son anus, dont l'entrée circulaire est si visible dans cette position. Je me prends à penser que la légère ouverture qu'il propose est la trace de nos pratiques, la preuve de l'élasticité provoquée par la répétition des sodomies. Je me dis qu'il le voit aussi, qu'il le comprend ainsi, et la situation m'excite au plus haut point.
Une impression de chaleur a envahi mon ventre, comme un mélange de désir et d'interdit que ma tête commanderait. Je comprends alors ce qu'elle me racontait, elle sage et prude en apparence, de ses émois à se montrer, plus jeune, en toute fausse innocence. Elle vivait, à l'étranger, dans une belle maison que ses parents occupaient, privilège d'expatriés. La piscine privée, peu courante à l'époque, donnait lieu à des après-midis de liberté entre lycéens. Elle y nageait seins nus, systématiquement, et les plus tardifs des visiteurs ne rataient pas une miette du spectacle quand, à l'heure de se rhabiller enfin, elle se changeait devant eux, se séchant tranquillement, non sans avoir quitté son slip de bain et laissé à l'air sa toison blonde et fournie. Elle me disait que cela l'amusait beaucoup, surtout de voir leurs regards furtifs ou envieux, et l'excitation à se dévoiler ne l'incitait alors nullement à passer à l'acte mais à rester nue le plus longtemps possible.
Pour quelques clichés, le photographe s'approche soudain de très près de ses fesses. Il me regarde avant et place son objectif à la verticale de son cul. D'où il est, si proche, elle doit sentir son souffle dans les reins. Elle tourne la tête au maximum pour voir ce qu'il fait, sans oublier de se cambrer autant qu'elle le peut. Je la sais excitée davantage , il ne peut en être autrement. Il demande de rectifier la pose, non pas comme ça, non plus, attendez, vous permettez ? Et il pose une main sur le pli du genou, l'autre sur les vertèbres sacrées, pour qu'elle ouvre un peu plus le champ de sa vision intime. Il touche sa fesse, pour rectifier encore, je n'en crois pas mes yeux, sa main est à la pliure de ses cuisses. Je suis excité et jaloux, c'est étrange à vivre.
Mais il s'éloigne, vérifie sur son appareil la qualité des derniers clichés, vient me les montrer, lui dit de se relaxer.
Il lui demande si elle veut faire d'autres clichés, il a saisi son état, aucun doute, et veut voir ce qu'elle a à donner. Debout, mais prise du dessus, c'est intéressant ?
Bien sûr, avec un miroir à vos pieds, posé au sol, ce sera une très belle série. Il monte sur une chaise, la surplombe nettement. Elle le regarde, la tête penchée et levée dans le même mouvement, se pose les mains sur les hanches. La posture est fière, elle est campée sur ses jambes, elle semble le défier. Il prend plusieurs clichés, je sens qu'elle s'amuse et soudain, comme n'y tenant plus, sa main droite remonte à son sein. Elle le masse doucement, son téton durcit c'en est affolant, au tour du sein gauche. Il l'encourage, mais sans obscénité. Elle se lâche, n'y tenant plus sans doute et sa main, la droite toujours, vient frôler sa vulve. Elle reste en place, se fait de petites mais nettes caresses, en effleurant son sexe. Il apprécie, approuve. Son geste devient précis, en un mouvement de doigts qu'elle maîtrise, elle écarte ses lèvres et son index libère son clitoris. Sa vulve est trempée, le petit bouton ne tarde pas à être luisant. Puis elle s'arrête, sans doute rattrapée par le côté insolite du moment.
Que voulez-vous maintenant ?
Elle se tourne vers moi et me demande "tu ne veux pas en faire ensemble, des belles images tous les deux nus ?"
Je bredouille non, je ne sais pas... Le photographe est enthousiaste, il me dit d'avoir confiance, que c'est une superbe idée. Oui mais je ne sais pas, je n'avais pas prévu et puis comme ça, je n'y suis pas préparé et pour être franc, je crains d'être émotif.
Si ce n'est que ça, nous dit-il, la nudité ne me gêne absolument pas, chez les femmes bien sûr, mais aussi celle des hommes. La nudité des autres tout comme la mienne d'ailleurs. Si vous voulez, je me déshabille aussi, nous serons à égalité.
Ma femme sourit, dit "au point où on en est" et tandis que je vais dans la chambre où elle a posé ses affaires en arrivant pour enlever les miennes, le photographe fait le tour du canapé pour sans doute ôter les siennes.
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 11:31

clean83
Couple, 67 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Magnifique... c'est du vers l'aine, elle a le rein beau. Pardon du verlaine. Ouf!
La suite SVP.
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 11:59

sgallichet2012
Homme, 47 ans, France, Auvergne-Rhône-Alpes
hummm la suite...
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 12:39

nico3522
Homme, 40 ans, France, Bretagne
Merci pour cette histoire si bien raconté
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 14:21

ClemNico
Homme, 52 ans, France, Occitanie
Je me déshabille dans la chambre, je prends mon temps, hésite. J'ai l'habitude d'être nu, d'être vu nu, mais cette fois, tout est différent. Et puis allez, zou, à poil ! Qui plus est, je ne vais pas les faire attendre trop longtemps. Depuis la chambre, j'ai entendu qu'ils échangeaient quelques mots, quelques rires aussi. Mais en sortant dans le couloir je n'entends plus rien de précis. La porte du couloir au séjour est entrouverte et le spectacle m'arrête.
Ma femme est allongée sur le canapé, relevée sur un coude. Juste devant sa tête, le photographe se tient, la surplombant encore, proche. Il est nu. Épilé, rasé très court plus précisément. Son pénis est beau, déjà plus vraiment pendant. Il prend des photos du dessus donc et je comprends que dans le champ, figurent son sexe et le visage de mon épouse. Elle fixe cette queue inconnue avec une expression que je lui connais. Pas exactement passionnée par les bites, elle s'est en revanche toujours amusée de l'effet qu'elle leur faisait, l'érection l'interroge. J'entre dans le séjour. Il ne prête pas attention à moi. Elle détourne un instant son regard et se tourne vers moi. Elle me sourit comme pour me rassurer, elle a pris le contrôle de la situation.
Je m'approche. Le photographe me regarde enfin, les yeux un peu dans le vide. Puis replonge sans tarder sur son "travail". Cette fois c'est lui qui prend la pose. Il fait son possible pour rentrer son ventre, il est mince et c'est facile. Ce faisant il peut à loisir photographier sa bite au plus près du visage de ma femme, tout près de sa bouche. Elle est toujours sur un coude, une jambe repliée sur le canapé, l'autre à l'équerre. Elle a donc les cuisses ouvertes et je vois qu'il y jette un œil. La tension est palpable. C'est une tension sexuelle, un moment d'hésitation. Je pense qu'il peut se passer beaucoup de choses, je ne sais si j'en ai envie ou si j'ai hâte qu'elles se produisent.
Je reste en retrait, un bon mètre sur le côté et derrière le photographe. Le spectacle me fascine. Il s'est encore rapproché, il doit à son tour sentir son souffle. Il fait un petit mouvement pour changer son équilibre, sa queue la touche. Dans un geste brusque, elle recule sa tête. Il s'excuse, elle le regarde et rigole. Puis, comme si elle s'adressait à ce sexe qui lui fait face depuis quelques minutes, elle dit "dis donc toi, tu me cherches ou quoi ?". Et joignant le geste à la parole, sa main gauche empoigne la bite, sur laquelle elle dépose un baiser rapide.
La réaction ne se fait pas attendre, il se met à bander un peu. Il lui demande si ça ne la dérange pas de tenir la pose quelques instants. Pour toute réponse, elle garde la bite dans sa main et tout en lenteur, tandis qu'il photographie, elle le décalotte et fait apparaître un gland qui, une fois libéré, grossit encore.
Elle me jette un coup d'œil tranquille et continue à solliciter son sexe. Puis très naturellement, elle le porte à sa bouche. Je vois ses lèvres se refermer autour de l'engin, juste le gland mais en entier. Puis soudain elle se recule, le regarde et s'en approche à nouveau, tend la langue et le lèche, sur le dessus d'abord, puis, le redressant, elle adresse de petits coups de langue au frein.
Sa bite est de taille respectable, mais surtout bien large. Il en a une plus grosse que moi, c'est sûr. Je bande à fond de mon côté, très dur.
Elle s'adresse encore à moi, me dis "tu vois ça passe" en rigolant et se remet à le sucer.
Le photographe n'est plus trop à ses photos même s'il semble en faire encore. Il a les yeux rivés sur cette bouche qui lui procure un plaisir apparent. Ma femme, pas trop démonstrative en temps normal, est méconnaissable. Elle suce avec une décontraction d'habituée, comme si nous étions echangistes alors qu'il sait que nous ne le sommes pas. Elle fait un bruit de succion inhabituel que j'attribue à la large queue sur laquelle elle s'active. Il ne cherche rien d'autre de son côté, trop heureux de l'aubaine sans doute. Elle a presque vingt ans de moins que lui. Je le sens dans l'action pleinement. Il me regarde soudain, ses yeux se posent sur mon érection, il me fait signe d'approcher vraiment. Je suis un peu perdu. A la fois encore jaloux et terriblement excité, c'est un mélange de sensations génial. Je viens tout près, il me confie son appareil photo. Il me parle enfin, me dit d'essayer de prendre un cliché qui montre la fellation et ma queue tendue, toute proche du visage de ma femme également.
Elle arrête de le sucer soudain et me prend dans sa bouche. La salive vient me tremper rapidement. Puis elle recule la tête et me dis "excuse moi" tout en reprenant en bouche cette bite qui fait bien plus grosse que la mienne ainsi rapprochées. Sa main libre lui presse doucement les couilles, elle descend les sucer aussi, les lécher bruyamment avant de remonter avec gourmandise engloutir ce gland impressionnant. Le photographe semble nerveux, ses jambes s'agitent, il ne dit plus rien. Je sens qu'il se contracte. Ma femme remonte sa main, le branle doucement tout en le sucant et il ne peut se retenir.
Je savais qu'elle avait fait des pipes à plusieurs types avant de me connaître même si c'était à l'orée de ses vingt ans. Mais j'avais du mal à l'imaginer. Et voilà que je suis en train de la voir se faire décharger dans la bouche, alors qu'elle vit à l'opposé de tout cela. Il jouit en saccades franches, quatre ou cinq belles giclées. Elle s'applique à garder les lèvres resserrées autour de sa bite. Quand il cesse de bouger, elle le branle doucement, essore sa queue en gardant la bouche fermée encore, et avale son sperme sans sourciller. Il est comme hagard, bredouille un merci très doux et me reprend l'appareil des mains.
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 15:15

ClemNico
Homme, 52 ans, France, Occitanie
Mon érection est totale, m'en ferait presque mal. Je suis ko debout, comme dépassé par le cours des choses. Ma femme demande à boire. Je pars à la cuisine chercher de l'eau et des verres.
En revenant, je suis fébrile, énervé en quelque sorte. Elle ne s'est pas levée, mais assise, adossée au canapé, une jambe repliée contre son autre cuisse. Les photos ont repris. Il la photographie de près, la vision qu'elle donne est pleine de féminité animale. Son sexe est à peine écarté, son clitoris lui aussi tendu, discrètement mais très nettement, cette érection redouble mon émoi.
Le photographe me surprend. Il ne débande pas si vite, je trouve son pénis vraiment beau, dans sa forme et son volume. Mais je reste muet, spectateur sidéré, comme si le moindre mot allait être une décharge d'émotion, comme si je craignais de parler. Tout m'échappe, je ne maîtrise plus rien, ni le moment ni ma volonté. Et je bande toujours aussi fort.
Je pose les verres, y verse l'eau, leur tend. Je remarque le regard sur ma bite. Je réalise l'inhabituel qui se déroule. On me voit bander, c'est un homme et j'aime ça. Il s'est tourné vers moi pour saisir le verre, qu'il descend d'un trait avant de me le rendre. Il à son appareil, me prend en photo. Il prend ma queue en gros plan. Pendant ce temps, mon épouse a bu, a reposé nos deux verres, me prend par la main pour m'attirer vers elle. C'est un baiser qu'elle veut. En m'approchant de son visage, je remarque sur ses lèvres les traces de son action passée. D'ailleurs, son souffle sent la liqueur séminale, je reconnais cette odeur qui prolonge mon excitation lorsque nos langues se mélangent et que mon sperme tapisse encore son palais. Sauf que cette fois, ce n'est pas mon sperme. Et cependant, le parfum ne me dégoute pas, pas plus que l'idée. Je comprends les parfumeurs qui utilisent le musc, l'hormone mâle agit sur les mâles, nous sommes du monde animal.
Nous nous embrassons à pleine bouche, nous n'avons pas consommé notre excitation. Ma femme s'allonge sur le dos, son bras enserre mon épaule pour que je vienne sur elle. Sa jambe gauche est contre le dossier, sa droite repliée, elle a descendu sa main derrière son genou pour la soulager. Je repose sur mes coudes, le canapé est assez large tout de même. Je vois son visage à la fois fatigué et serein, ses yeux ont une lumière pleine de désir, ses seins pointent. Ma bite est comme aimantée, je la pénètre. Habituellement, quelque soit le temps de préliminaire, la pénétration est assez progressive, il faut un peu de temps pour qu'elle s'ouvre à moi. Cette fois, il n'en est rien. Son vagin est prêt, depuis quelques temps sans doute. Je ressens à peine le frottement des parois, je suis comme happé. Au premier coup de rein, mon sexe est entièrement entré. Elle est trempée, mouille comme jamais, je sens cette mouille un peu collante qui enrobe mon sexe. C'est chaud, presqu'un peu piquant, c'est inconnu. Mon sexe nage en elle, mon gland ne trouve aucun obstacle, ne ressent pas de frottement. Après quelques aller-retours, je sens que je dois me retenir, je pourrais déjà jouir. Hors de question, même si plus rien ne se passe normalement.
Je ralentis la fréquence, fixe son regard. Ses sourcils sont un peu froncés, elle est comme en attente, à besoin de sexe, c'est palpable. A ma gauche, je vois le photographe. Je l'avais presque oublié. La situation m'envahit de nouveau. Je suis en train de faire l'amour à ma femme, complètement excitée, devant un homme qu'elle vient de sucer devant moi, en prenant soin d'avaler son sperme par pure excitation. Et cette situation est en train d'emporter mon jugement. Le sang cogne dans mes tempes, je me rends compte que la mouille de mon épouse fait un bruit très prononcé sous le frottement de nos corps, qu'elle ruisselle sur mes couilles tant il y en a. Le photographe a débandé cette fois, mais il redouble d'activité pour le coup. J'aime la présence d'un homme nu devant nous qui faisons l'amour, c'est très excitant. Il va falloir que je me concentre, ne pense qu'au plaisir de mon épouse si je ne veux pas tout gâcher. Mais quoi gâcher au juste ? Nous sommes en pleine volupté, ensemble. Tout va bien, chacun semble vivre le moment intensément. Je regarde le visage de ma femme, empourpré soudain. Elle bloque sa respiration, je sais ce qui se passe. Je recule à peine mon bassin et redresse ma queue autant que je le peux. Le frottement sur la paroi de son vagin, du côté de son ventre, l'emporte rapidement. Elle a retenu sa respiration jusqu'au moment de lâcher son plaisir. Une plainte accompagne son orgasme, un léger tremblement des jambes aussi. Curieusement, je me sens reprendre le contrôle, comme si c'était ma réussite. Le photographe a mitraillé son visage, explique que son rêve était de capter l'expression du plaisir, il est comblé également.
Je me sens trempé. Mon épouse a joui en relâchant ses sens. Sans être fontaine, elle laisse s'écouler beaucoup de liquide. Je sors ma queue, toujours aussi dure et luisante. Elle la remplace par sa main, ne peut s'empêcher de se masturber. Son deuxième orgasme arrive très vite. "encore, encooooore..." dit-elle tout en caressant son sexe. Elle appuie fortement dessus. Lorsqu'elle se masturbe, ses doigts sont agiles et légers. Mais lorsque le plaisir vient, elle met davantage d'intensité, de rudesse.
Elle jouit de nouveau, toutes les trente secondes, c'est habituel à défaut d'être le cas chaque fois. Mais son excitation pouvait le laisser penser, on est dans un jour où son état est propice à une jouissance extrême.
Elle nous regarde alternativement dans sa frénésie. Elle est impressionnante de féminité, de sexualité totale. Elle me demande du menton de m'occuper de son sexe. Elle a besoin que mes doigts la pénètrent pendant qu'elle s'occupe de son clitoris. Ma caresse se fait précise également, je connais sa demande par cœur. Elle est animale désormais, ravagée par son désir, par son plaisir. Je m'arrête, me lève et me rapproche de son visage, j'ai envie qu'elle me suce. Elle relève le menton pour me donner sa bouche, ses deux mains restent occupées par son sexe, l'une pour écarter ses lèvres, l'autre pour ne laisser aucun répit à son clitoris. Le photographe ne perd rien de la fellation, puis s'intéresse à son sexe. Elle le voit, écarte les jambes au maximum. Puis relève sa jambe droite, qu'elle lui tend. Il pose son appareil, enserre sa cheville d'une main. Elle appuie son pied contre le torse du type, est très agitée. Il saisit alors son pied à deux mains, le porte à sa bouche. Il lèche le dessous, lui suce les orteils. Sa réaction est immédiate, elle jouit encore. Bruyamment. Le photographe passe sa langue entre chaque orteil, il semble s'exciter de nouveau. Je vois en effet qu'il bande un peu. Puis que sa queue se dresse d'un coup, se déploie sous l'afflux de désir. Ma femme me suce toujours, me lèche les couilles, l'anus. Elle est sexuelle à l'extrême, ne se maîtrise plus. La situation s'emballe, l'instant est irréel. Je place ma jambe gauche tant bien que mal au dessus de mon épouse, et me penche vers son ventre. On fait une sorte de 69, elle a éloigné ses mains, qui parcourent mes jambes, mes fesses. Le photographe me fait face, ne suce plus son pied. Il se penche, regarde de près le sexe que lèche, approche sa main et touche son anus. J'ai relevé ma tête, toujours en 69, je regarde ses doigts pénétrer ma femme. Elle pousse son ventre, il a son majeur au fond de son cul. Quelques va-et-vient et il le retire, se redresse, approche sa bite. Elle bande incroyablement, il a vite rechargé. Elle doit faire plus de vingt centimètres, mais ce qui m'impressionne est cet énorme gland. Je le vois se présenter à l'entrée de son vagin. C'est le moment le plus intense de ma vie sexuelle. Ses lèvres s'étirent inhabituellement sous l'effort nouveau. Elle sait ce qui se passe même si elle ne le voit pas. Je vois son sexe entrer en elle. Il rentre tout, elle émet une plainte.
Fais doucement ! Elle le dit, mais bascule son bassin pour mieux s'offrir. Quelques mouvements de sa part où il ne met que la moitié de sa bite, déjà trempée de mouille, et il recommence à la pénétrer au plus profond. Elle accepte la prise, je m'éloigne pour profiter du spectacle. Elle jouit une fois de plus, puis le repousse. Elle se relève d'un bond, il est stupéfait, son énorme bite est magnifique et prête à tout.
Dans le même mouvement, elle se retourne, s'agenouille sur le canapé. J'entends sa phrase dans un vertige. "Encule-moi..."
Re: Le photographe
Thursday 19 July 2018 16:29

Jardinier31
Couple, 68 ans, France, Occitanie
super!!!! j envie!!!!
Re: Le photographe
Friday 20 July 2018 15:51

ClemNico
Homme, 52 ans, France, Occitanie
Tout s'enchaîne et m'échappe. Comme étranger à ce qui se produit, je n'ai plus aucune capacité de réaction. En se mettant en position de levrette, on voit la trace laissée par la dimension de la queue de notre complice imprévu. La vulve est écartée, on voit nettement les premiers centimètres à l'intérieur de son vagin, avec moi ça ne provoque jamais un tel résultat.
La phrase prononcée, "encule-moi", m'a tétanisé. Non seulement elle n'utilise que très rarement le mot, mais encore jamais ne l'ai-je entendu formuler une telle requête. La sodomie, pour être régulière entre nous, ne s'est installée que progressivement. Ma demande, répétée, a eu raison un jour, celui anniversaire de ses vingt-trois ans, de son refus. Sa douleur et ses pleurs ne furent agréables pour personne. Cependant, avec le temps, elle se laissa convaincre de nouveau, puis y découvrit une forme différente de plaisir, de fierté à pratiquer également. Toutefois, elle en parle généralement en disant "tu vas venir dans mes fesses ? " mais jamais en réclamant un "encule-moi" impérieux et assuré.
Le photographe ne reste pas longtemps stupéfait. Il se dirige de l'autre côté de la pièce, derrière le projecteur qu'il a installé et où ses affaires sont posées. Il en revient avec un pot de lubrifiant. À ma surprise apparente, il explique que cela fait partie du nécessaire de base et qu'il en a toujours, la tournure des séances l'imposant parfois. Je m'approche de ma femme, toujours à quatre pattes sur le canapé, excitée. Je lui embrasse le dos, sa transpiration est complètement inhabituelle, comme lorsqu'elle se masturbe sans pouvoir s'arrêter. Une sorte de transe s'est emparée d'elle. Je lui demande si ça va, elle me répond d'une question "vous vous dépêchez ?". Pas d'erreur, son plaisir est seul maître à bord. Le photographe a pris avec quatre doigts une grande quantité de ce lubrifiant blanc que je ne connaissais pas. On dirait de la crème pour la peau. Il introduit d'abord son index, auquel rapidement il associe le majeur. Il ne rentre que la première phalange, fait de très petits va-et-vients. De sa main gauche, il lui caresse le flanc, la fesse, la cuisse. Il rentre progressivement ses deux doigts, en entier. Fait tourner sa main dans les deux sens, comme en attente de la réponse du corps de mon épouse. Celle-ci semble se produire, il ressort ses doigts pour les rentrer de nouveau aussitôt. Il répète cela plusieurs fois, dit "je crois que vous êtes assez détendue". Sans attendre une éventuelle réponse, il ajoute les deux autres doigts à la pénétration, seul son pouce, d'ailleurs libre de lubrifiant, ne participe pas à la fête. N'allant pas trop loin, il les pousse sur quelques centimètres tout de même. Il fait un peu tourner sa main de nouveau, le bruit du glissement dans son cul est très excitant. Puis il ressort ses doigts d'un coup, les remet très rapidement, presque violemment et répète le geste cinq ou six fois. Ma femme a posé sa tête contre l'assise, de sorte que son corps est courbé, ses épaules sont baissées également, elle est en position de prière. Mais une prière païenne, orgiaque. Le cul levé, tendu, offert à la merci d'un presqu'inconnu à qui elle abandonne ce qu'elle a de plus intime. Il considère qu'elle est prête, retire ses doigts, et avec le lubrifiant en excédant, s'enduit le sexe. Il est vigoureux, mais ce genre de branlette préparatoire termine de le durcir. Son gland est d'une couleur framboise. En s'étalant, cette sorte de crème, blanche à l'origine, devient translucide, très brillante. Le résultat est franchement beau sur une bite, je me fais la remarque que le spectacle d'une queue en érection me plaît. D'ailleurs je bande toujours, sans cesse, je retarde mon plaisir, même si c'est involontaire, réduit à un rôle subalterne. Je suis comme un apprenti, attentif et impliqué. Puis il me tend le pot, je peux servir à cela, au moins...
Il place sa bite sur le haut de la raie des fesses de ma femme. L'image me saisit. Puis très lentement, en s'aidant de sa main droite, il se présente contre son anus. La largeur de son gland fait qu'il touche l'intérieur des fesses, il doit en ressentir le contact. La peau à cet endroit est d'une grande douceur chez ma femme, je m'en fais la remarque chaque fois que je viens la lécher, par derrière, et que j'en sens le contact sur mes joues.
Il saisit sa bite, les doigts en dessous, le pouce au dessus. Il avance à peine, je vois son gland commencer à entrer. Bien que demandeuse, sous la pression, ma femme a un mouvement de refus, elle se voûte un peu, à défaut de pouvoir avancer. De sa main gauche libre, il lui saisit la hanche. Il la fait sienne. Elle a demandé à se faire enculer, elle va y passer. Son gland entré de quelques centimètres, il recule un peu sans toutefois le ressortir, l'écartement de l'anus est déjà très prononcé. Il attend ainsi quelques minutes en répétant la même chose, il la prépare tranquillement. Mais implacablement. Il domine son sujet, sait se servir de son terrible engin, avec maîtrise. Quand il sent qu'elle est détendue, il avance davantage, je vois son gland s'enfoncer, disparaître. L'anus de ma femme s'est refermé autour du col, le gland est passé. Elle émet un petit râle, ses sphincters sont sollicités à la limite. Il ne bouge pas, la laisse s'habituer à l'énorme présence qu'il impose.
Et avec stupeur, je vois mon épouse onduler, toujours un peu voûtée depuis le début, elle remet son dos à plat, se cambre presque, et dit :"Vas-y" en une intonation que je ne lui connaissais pas. Il reprend ses mouvements, glisse une douzaine de centimètres dans son cul, et débute un vrai va-et-vient. Elle gémit, elle aime. L'abondance de lubrifiant rend le glissement aisé, il en a mis vraiment beaucoup. Puis soudain il sort son sexe. Elle a l'anus dilaté, je n'ai jamais vu ça. Il ne se referme pas. Elle doit en avoir la sensation, je vois qu'une de ses mains, par dessous son ventre, vient vérifier. Ses doigts parcourent cet endroit, à l'aveugle. Ils font le tour, elle en glisse dans la béance laissée par la bite de son étalon. Ce ne doit pas être douloureux, elle ne semble pas en souffrir en tout cas. Puis elle dit "reviens !!". C'est une supplique davantage qu'un ordre, elle a besoin de se faire prendre. Tout cela ne dure que quelques instants, pendant lesquels mes pensées s'affolent encore. Je suis dépassé, me demande comment je vais pouvoir faire "après". Mais l'action continue, je n'en perds pas une miette.
Il la pénètre de nouveau. Elle a le même mouvement au moment d'engloutir son gland. Il ressort, rentre de nouveau, ressort encore, elle ne réagit plus, elle a dilaté comme il fallait. Et je vois qu'il lui rentre tout, d'un coup. Il vient en butée, maintient la prise. Puis recommence à bouger. Il fait courir sa queue sur toute sa longueur, lentement. Chaque fois qu'il arrive au bout de la pénétration, il a un mouvement du bassin, vers le haut, comme s'il voulait la soulever. Chaque fois elle émet cette sorte de petit râle, elle s'abandonne. Puis une de ses jambes se met à trembler, elle semble vouloir fuir. Elle gémit, se débat, les coups de boutoir lui défoncent le cul. Elle jouit soudain, sans retenir un grognement prolongé. Satisfait mais toujours gentil, le photographe stoppe en la maintenant contre lui et dit :"je vous félicite, vous avez vingt-six centimètres au fond du cul et vous en sortez comme une grande". Puis il ressort, me fait signe de venir, je me place derrière ma femme, son cul ouvert et luisant attire ma bite comme jamais.
Re: Le photographe
Thursday 21 February 2019 15:42

velour07
Homme, 68 ans, France, Occitanie
Etant photographe je n'est jamais connu un si bon moment !
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