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J'ai baisé ma collègue plus vieille que moi

Envoyé par Helenetluc 
Couple, 70 ans, France, Centre-Val de Loire
L’histoire que je vais vous raconter s’est déroulée dans les années 1965-1966.

J'ai tout juste 18 ans et je travaille comme jeune Clerc de Notaire dans une étude.

Il y a comme Caissière-Comptable (terme employé par la profession), Mademoiselle François G., une "Vieille Fille". Elle doit avoir 34 ou 35 ans et n’est pas mariée.
Pour moi c'est une vieille.
Une grande brune, noir jais, bien proportionnée, belle poitrine, B.C.B.G. (Beau Cul Belle Gueule).
Habillée classe.
C'est une collègue, c'est tout.

Elle n’est pas mariée, mais la rumeur à l’étude fait dire qu’elle a quelques amants attitrés, souvent des hommes mariés.

C'est Mademoiselle G… et le vouvoiement de rigueur, surtout qu'elle est un peu hautaine et puis chez ces gens là (les notaires) on est encore un peu rétrogrades. Heureusement que cela c'est bien amélioré. Elle est même un peu autoritaire.
Elle aime quand même bien faire des ronds de jambes à certains clients ou certains fournisseurs.

Par contre, je me suis aperçu qu'elle est très exhibe, car elle a une 2 Chevaux, avec les portes qui ouvrent dans le sens opposé de la marche (c’était ainsi dans les années 60), et lorsqu'elle monte, elle en profite pour bien écarter les jambes et faire voir sa culotte.

Malheureusement ce n’était pas encore l’époque des petits strings et autres tangas. Toujours la culotte blanche avec un fonds bien large.

Elle gare sa voiture dans une rue légèrement en montée que j’emprunte pour descendre chez moi à pied. De ce fait j’ai une vue plongeante sur son entrecuisse. Quand je peux me rincer l'œil j'en profite et d’ailleurs je suis persuadé qu’elle en fait bien exprès.

Elle a également dans son bureau un classeur avec plusieurs tiroirs de dossiers suspendus et lorsqu’elle cherche un dossier dans le tiroir du bas, elle s’accroupit suffisamment en écartant bien les jambes. Si bien que de nombreuses fois j’ai pu admirer ses beaux slips blancs, surement sa couleur favorite et ses bas accrochés par une porte jarretelle. A cette époque, le collant n’est pas encore beaucoup porté. Une fois ou deux c’était un slip noir associé au porte-jarretelle et aux bas.
Quelque fois j’ai également pu voir quelques poils bien noirs qui s’échappaient de la culotte. Mais tout cela est très rapide et fugace.

Et puis un jour elle achète un appartement qui vient d'être remis à neuf par un marchand de biens.
Après avoir aménagé elle s'aperçoit qu'il y a encore pas mal de choses à faire.
Notamment poser une boite à lettre, aménager les placards, faire différents branchements pour les appareils, mettre un store à la fenêtre de la salle de bains, etc …
Comme elle sait que je bricole un peu elle me demande si je peux lui faire les travaux.
- Je vous dédommagerai, me dit-elle !

Je passe un samedi matin, pour voir ce qu’il y avait à faire et acheter ce qui est nécessaire.

Donc un soir après le travail, nous voila partis, tous les deux à son appartement.
En arrivant, elle me fait rentrer, et me dit :
- Si cela ne vous dérange pas, je vais me mettre à l'aise. Faites ce que vous avez à faire.

Je suis un peu surpris, mais je pense qu'elle souhaite se mettre en décontracté, genre survêtement (le terme jogging n’est apparu que bien plus tard) ou quelque chose dans le genre.

Je commence donc mon bricolage.

La voila qui revient dix minutes après, habillée d’un kimono de soie grège.
Rien en dessous. On voit sa poitrine de bonne taille se balader sans maintien et sûrement pas de slip non plus car aucune marque ne se voit.
Ses tétons fièrement pointent sous le tissu.
- Hum, qu'est que l'on est bien comme cela, me dit elle.
Tu penses que Popaul aussitôt se met au garde-à-vous.
Mais je n'en laisse rien paraître et je continue mon travail.
Elle vient plusieurs fois pour voir ce que je fais et à chaque fois elle me frôle, repart, revient.
Mais c'est tout.

Vers 20 heures je n'avais pas fini et loin s'en faut, elle me propose un apéritif que nous prenons dans le salon, face à face dans des fauteuils bas.
Comme l’assise de ces fauteuils est très basse, elle a obligatoirement les genoux relevés qu’elle est obligée de serrer, si non j’aurai surement une vision de ses dessous et comme elle ne doit pas avoir de culotte, c’est sa jolie chatte poilue noire que je verrai. Je ne l’ai pas encore vue mais vu sa chevelure de jais sa toison pubien ne peut être que de la même couleur. Elle en est bien consciente. D’ailleurs plusieurs fois elle écarte les jambes ; effectivement elle n’a pas de culotte, ses poils sont noirs. Je me dis que j’aimerai bien voir cela de plus près, mais l’attente est quelques fois encore meilleure que le plaisir immédiat.
Elle se penche aussi plusieurs fois pour prendre des gâteaux sur la table et à chaque fois elle me fait voir ses deux merveilleux globes bien remplis, bien gros avec les pointes toujours bien saillantes. A chaque fois elle me regarde pour voir l'effet produit.
Mais nous en restons là.
Je me suis posé des questions toute la soirée ; que dois-je faire? Tenter quelque chose ou pas?
Et si elle le prend mal, je dois travailler avec elle !!! Je ne voudrais pas qu’elle me prenne en grippe et qu’elle fasse des vacheries par la suite.
L’apéritif pris, je me prépare à partir, lui tend la main et lui dit :
- Bonsoir Mademoiselle G….
- Ici tu peux me dire Françoise et me tutoyer. Mais pas à l’étude.
- Ah ! dis-je un peu surpris.
Au lieu de me serrer la main, elle s’approche et me fait la bise sur les deux joues.
- A demain !
- A demain !

Le lendemain, la journée se passe normalement et après le travail je retourne chez elle.

Elle me refait la même comédie :
- Je me mets à l'aise.
Elle revient cette fois une robe d'intérieur assez courte, croisée et fermée par une ceinture.
Je suis assis sur le rebord de la fenêtre de la salle de bains située au dessus de la baignoire, entrain d'installer le store, dans une position pas confortable et un peu instable, les deux pieds à l'intérieur.
La voila qui enjambe la baignoire pour venir regarder de prés.
En montant, les deux pans de sa robe s’ouvrent et sa ceinture se défait légèrement. J'aperçois plus longuement ses poils noirs et c’est un véritable tablier de sapeur qu’elle a entre les cuisses.
Elle vient se frotter à nouveau.
D’où je suis je peux voir ses deux obus par l'échancrure de la robe, mais je ne peux pas faire grand-chose car je risque de tomber de mon perchoir.
Elle me regarde un certain moment et elle se rapproche.
Comme elle voit que je risque de tomber :
- Attends, je vais te tenir pendant que tu vas finir d'installer le store.
Effectivement elle se colle à mes jambes et les soutient.
Sa tête est à hauteur de mon sexe qui depuis un moment se trouve bien comprimé.
Elle approche plusieurs fois sa tête jusque la coller contre mon bas ventre.
J'ai une envie folle de lui sauter dessus mais j'ai toujours cette trouille. Ce serait aujourd'hui je ne me poserai moins de questions.
Elle aussi en a envie et cela se voit mais elle n'ose pas non plus.
Quand je termine le store, elle me dit :
- Il faudrait regarder dans ma chambre car il y a deux prises qui ne marchent pas.

En arrivant dans la chambre, le soutien-gorge, la petite culotte et le porte-jarretelles sont bien en évidence sur le fauteuil. Je pense que c’est prémédité.

Là, le taux d'excitation monte d'un cran.

Je démonte la prise qui se trouve au pied du lit. Elle s'allonge sur le lit, face à moi et se met sur les deux coudes, le haut de la robe bien ouvert.

Je me dis que si ce n'est pas de la provocation cela y ressemble bougrement.

Je resserre les fils et remonte la prise.

Comme je suis à genoux je me dirige toujours à genoux vers l'autre prise.

Elle se retourne et se met sur le dos.
Les deux pans de sa robe s'ouvrent car elle avait défait la ceinture et elle apparaît dans sa plus simple nudité et ne cherche pas à se rajuster.
Je ne pose plus de question et je lui caresse une jambe. Elle se laisse faire, je m'enhardis et je lui caresse l'autre.
Elle soupire et ronronne comme une chatte en chaleur.
Elle rampe sur le dos de façon à mettre son bassin en bordure du lit et les pieds pendants.
J’ai maintenant à quelques centimètres cette chatte qui a joué à cache-cache avec moi, ou du moins que Françoise s’est amusée de me montrer rapidement.
Ce sont de longs poils noirs qui lui recouvrent tout le bas du ventre ainsi que les aines et sa raie culière.
Quelques gouttes de mouille s'en échappent.
- Lèches moi, me dit-elle sur un ton qui ne demande pas de réplique.
De toute façon, je n'attendais que cela.
Elle pose ses jambes sur mes épaules. J'écarte ses grandes lèvres et je la lèche.
Je prends son clito avec ma bouche et lui titille un peu avec les dents.
Elle attrape ma tête à deux mains et me la plaque sur sa cramouille toute baveuse.
Elle se tortille, elle râle
- C'est bon, continue.
Je m'active, je m'active. Je la caresse, lui aspire son petit bouton.
Je me bats avec ses poils qui sont très fournis. La mode de la chatte lisse n'est pas encore de rigueur.

Une de mes copines de l'époque aimait bien que je lui mette un doigt dans le cul pendant que je lui faisais minette mais cela s'arrêtait là.
Je mouille mon doigt et je me risque à lui faire pareille,
Dès que je lui ai touché la rondelle, elle pousse son cul pour faire rentrer le doigt.
Hum !! Elle aime ça, me dis-je
Effectivement, dès qu'elle a eu le doigt dans le cul elle s'est mise à se tortiller dans tous les sens.
- Continue, continue, ne t'arrête pas …
Mais moi je veux autre chose que cela, je me redresse et m'apprête à la baiser.
Elle se redresse;
- Non, pas comme ça, me dit-elle
Elle se met à quatre pattes sur le bord du lit.
Je vais la pénétrer en levrette.
Elle attrape ma queue et la positionne sur sa rondelle.
Je me demande ce qu’elle fait. J’ai lu dans des livres se vendant en cachette que certaines filles se font enculer mais je pensais que c’était des professionnelles qui faisaient cela. C’est effectivement un fantasme que je ne pensais pas réaliser.

Puisque c’est ce quelle souhaite, je pousse tout doucement ma queue. Ca rentre facilement surtout que je lui ai bien mouillé avec ma salive.
Je l'encule et la pistonne, mais j'étais tellement excité que je pars rapidement dans son cul. Nous nous écroulons tous les deux sur le lit et restons comme cela un bon moment.
Je n'ose pas faire le premier mouvement car je ne sais pas comment elle va réagir.
Je suis surpris qu'elle se soit faite enculer comme cela.
Elle me fournit l'explication peu de temps après.
- Je suppose que c’est la première fois que tu fais cela comme ça ?
- Oui, je savais que cela pouvait se faire.
- Tu comprends comme je n'ai pas de petit ami pour le moment je ne prends pas de moyen de contraception et je ne tiens pas à me retrouver enceinte. Et puis j'aime bien ça, j'ai eu un amant qui me le faisait assez souvent - C'est dommage que tu sois parti aussi vite mais tu feras mieux la prochaine fois.
Cela me met du baume au cœur; il va donc y avoir une autre fois.
- La prochaine fois, apportes des capotes, comme cela tu pourras me la mettre par devant.
Une petite toilette vite fait et je pars tout radieux et le cœur léger.
- Surtout ne dit rien !!! Je compte sur toi !
- Puis-je "vous - te" demander quelque chose ?
- Dis-moi.
- J'aimerai bien te voir en bas et porte-jarretelles!
- Si tu es sage.
Le lendemain au bureau, effectivement ni l'un ni l'autre ne disons mot. Nous faisons comme habituellement, le vouvoiement est revenu de rigueur.
Je la trouve particulièrement joyeuse et radieuse.
Elle a mis un petit costume veste-jupe gris anthracite, un chemisier rouge et des escarpins. Le tout d'un plus bel effet.
Le midi je cours chez le pharmacien chercher des capotes.
Celui aux fins fonds de la ville pour ne pas être connu, car à cette époque là, déjà on ne parlait pas de SIDA et de plus les capotes n’étaient pas très utilisées.
La journée m'a parue bien longue et le soir je me précipite vite chez elle.
Je me permets une petite privauté en lui caressant les fesses en arrivant;
- Pas touche, me dit-elle. Finis de m'installer mon placard.
Contrairement à ses habitudes elle ne se déshabille pas, elle enlève sa veste et reste en chemisier. Malgré tout elle déboutonne juste un bouton de plus.
Je continue donc l'installation des étagères et pendant ce temps je la vois qui va et vient, virevolte à la cuisine.
- Pour fêter mon installation et te remercier de ton aide, je prépare un petit repas sympa !
Lorsque j'ai fini, nous nous installons comme l'autre fois au salon, pour prendre l'apéritif.
Et là, tout en discutant, elle écarte les jambes, puis les referme, les croise, les décroise en faisant bien crisser ses bas.
Mais elle a conservé son slip.
L'alcool aidant elle écarte de plus en plus les cuisses.
Un moment elle va à la cuisine surveiller la cuisson de ses plats et en revenant je constate que la petite culotte a disparu.
Elle remonte un peu plus sa jupe sur ses jambes, à la limite des bas.
Devant son refus de tout à l'heure je n'ose rien entreprendre.
Et puis subitement :
- Qu'est ce que tu attends pour regarder mon porte-jarretelles !
Je me lève sans me le faire répéter et je défais son chemisier.
Ses deux gros seins blancs sont emprisonnés dans un soutien-gorge en dentelle noire. Je fais sauter l'attache et ils se répandent hors de leurs nids.
Je lui suce les pointes bien foncées.
Je m'attaque ensuite à la jupe. Elle se lève pour me faciliter la tâche et se retrouve avec juste son porte-jarretelles et ses bas.
Je continue à la peloter partout. Je ne sais plus où donner de la tête.
Son cul, sa chatte, ses seins.
Elle me prend par la main et m'entraîne dans sa chambre.
- Déshabilles-toi et mets-toi sur le lit.

Je ne suis pas bien long à m’exécuter. Elle se met à genoux sur le lit pour me faire une pipe d’enfer. Mes différentes copines m’avaient déjà fait cela, mais comme elle, jamais.
Et que je te prends la hampe à deux mains et que je te suce et je te serre les roubignoles et j’enfonce le plus loin possible ton chibre dans ma gorge. On voit bien que ce n’est pas la première fois qu’elle fait cela.
Je suis à deux doigts d’éjaculer et je lui dis.

Elle s'allonge alors sur le lit
- Prends-moi !!!
La capote en vitesse et je m'installe entre ses cuisses
Je la pilonne tant que je peux.
Elle me passe ses jambes derrière le dos pour que je la prenne le plus profondément.
Elle me sert fort dans ses bras et je me libère dans le préservatif.
Nous restons comme cela un petit moment
- Si nous allions nous restaurer.
- Oui, mais tu restes comme cela.
Nous dînons elle en bas et porte-jarretelles et moi à poil.
Après manger nous remettons cela pendant encore un bon moment.
En partant, vers une heure du matin :
- Je t'avais dit que je te récompenserai, je pense que c'est fait !
Par la suite, j'y suis retourné quelques fois, lorsqu'elle en avait très envie.
Elle n’osait pas le demander ouvertement, mais :
- Il y a une porte de mon placard qui ne ferme pas bien ! Ou il faudrait changer le joint de mon robinet de salle d’eau !
Je savais ce que ça voulait dire et surtout comme ça se terminerait.

Un jour elle tellement excitée et en manque que j'ai dû la baiser pendant qu'elle avait ses règles, mais ça c'est une autre histoire.

Quelques temps après je suis parti faire mon service militaire et en rentrant j’ai changé d’étude.
Une quinzaine d’années après, je l’ai rencontrée, seule, dans un supermarché.
- Comme je suis heureuse de te voir.
- Moi aussi.

Nous parlons de plein de choses.
- Tu sais je suis mariée avec un marin aux longs courts.
- Tu habites toujours ton appartement.
- Non, le pavillon de mari, mais j’ai gardé l’appartement que je loue. J’y ai tellement de bons souvenirs que j’ai préféré le garder.
Nous nous séparons en nous disant « A une prochaine fois » et elle me fait un petit baiser sur les lèvres.

Je ne l’ai jamais revue.
Homme, 40 ans, France, Pays de la Loire
Très sympa cette histoire!
Homme, 45 ans, France, Île-de-France
Superbe histoire
Couple, 70 ans, France, Centre-Val de Loire
Il parait que l'amour conserve.
Il y a quelques temps j'ai rencontré un ancien collègue de cette étude.
Nous avons fait le tour des personnes que je connaissais et il m'a dit que cette dame, aujourd'hui âgée de presque 90 ans était toujours aussi pétillante.
Elle est mariée. A savoir si elle se fait toujours trombiner par des "jeunes" (de mon âge !!!!) je ne sais pas.
Il me tente quelques fois de reprendre contact avec elle, mais je n'ose pas.
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