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MA FEMME BAISE AVEC UN AMI ALORS QUE CE N’ETAIT PAS PREVU

Envoyé par Helenetluc 
Couple, 70 ans, France, Centre-Val de Loire
Il y a quelques années nous avions un ami, commercial dans une grande société de produit d’entretien industriel.
Nous nous recevions une ou deux fois par an avec son épouse.
Un jour il téléphone qu’il est entrain de divorcé et qu’il n’a pas trop le moral.
Il nous dit qu’il vient le vendredi dans notre région et qu’il termine ses visites pas très loin de chez nous. Il nous demande s’il peut venir nous voir.
Nous acceptons et lui disons que nous le garderons à diner.
Effectivement, le vendredi en fin d’après-midi le voilà qui arrive.
Il commence par nous parler de ses soucis de divorce car c’est sa femme qui l’a demandé.
Nous lui disons d’oublier tout cela pour ce soir et nous passons à l’apéro.
Nous lichons bien. Nous passons à table à laquelle nous nous tenons bien également.
L’alcool aidant nous dérivons sur le sexe.
Il nous avoue que cela fait plus de six mois qu’il n’a pas baisé et que ça lui manque.
Je lance deux ou trois piques à Hélène, mais elle ne réagit pas.
Il ne serait pas raisonnable qu’il reprenne la route et lui proposons de rester coucher.
Pendant qu’il passe à la salle d’eau avant de monter se coucher, je dis à Hélène que ce serait bien qu’elle fasse quelque chose pour lui.
Elle me dit que ça l’ennuie un peu car nous n’avons jamais rien fait avec lui, que nous connaissons sa femmes, que .., que.. ; enfin elle trouve plein d’excuses.
Toutefois au moment de se séparer devant les chambres elle a une attitude un peu bizarre. Quand le copain veut l’embrasser elle ne tourne pas la tête et c’est près de la bouche qu’il l’embrasse et de plus, il laisse ses mains un peu plus que nécessaire sur ses hanches et il a même tendance à le glisser sur ses fesses.
Une fois au lit je commence à caresser Hélène et je constate qu’elle est bien mouillée. J’en profite donc pour relancer mon souhait.
Ça serait bien que tu ailles lui faire une petite gâterie, cela fait très longtemps qu’il n’a pas baisé, il doit avoir les couilles biens pleines. Tu y vas mais tu laisses les portes ouvertes afin que j’entende (car les deux chambres sont contigües).
Elle se lève et la voila partie toute nue, car elle ne met jamais rien pour dormir.
Lorsqu’elle arrive dans sa chambre, le copain est un peu surpris. Je n’entends pas distinctement ce qu’ils se disent, mais cela ne tarde pas avant que le copain pousse des « ha » de satisfaction, puis des « Oui, vas-y continue ».
Elle était entrain de lui tailler une pipe.
Puis j’entends que ça remue et se déplace puis le lit se met à grincer de plus en fort et un grand « ha ! ouuuuiiiiiii !!! » et le calme plat.
Quelques minutes après la voila qui revient la chatte grasse et pleine du sperme du copain.
« - qu’est-ce qu’il t’a mis ! »
«- oui il avait les couilles bien pleines et avait de la réserve »
Ça m’avait tellement excité que je lui en ai remis un coup dans son con tout baveux.
Quel délice !
Le lendemain quand le copain est reparti, il n’a pas cessé de nous remercier. Il était tout ragaillardi.
J’ai dit à Hélène qu’elle avait fait une bonne action en allant le retrouver dans sa chambre et le laissant la baiser.
Mais il y a un MAIS …
Homme, 65 ans, France
Mais....quel est ce Mais???
Homme, 55 ans, Luxembourg, Luxembourg
Oh oui, mais quoi?
La suite...
Couple, 70 ans, France, Centre-Val de Loire
MAIS c'est qu'il y a pris goût le coquin !!!


Effectivement, peu de temps après le copain téléphone.

« - Je dois retourner dans votre secteur, ça vous ennuie si je passe vous voir »
« - non pas du tout »
« - Mais ne préparez rien je vous invite au restaurant »
« - Tu resteras coucher ? »
« - Si cela ne vous dérange pas, ça sera avec plaisir ! »

Tu penses que j’ai compris pourquoi il voulait repasser.

Je lui retéléphone la veille en lui demandant vers quelle heure il compte passer. Vers 19 heures me dit-il

Je propose à Hélène qu’elle l’accueille seule. J’attendrai dans la voiture dans une rue adjacente à la nôtre et je verrai quand il arrivera. J’attendrai un petit peu et j’arriverai ensuite.
Pendant ce temps là elle fera tout pour qu’il la saute. Elle n’aura qu’à lui dire que j’ai un peu de retard mais que ce n’est pas grave.

Le vendredi vers 19 heures effectivement, je vois sa voiture arriver. J’attends 20 à 25 minutes et j’arrive à la maison.

Là dans le salon, notre ami n’a pas attendu et il est entrain de bien prendre Hélène.

Voici la preuve.






Couple, 70 ans, France, Centre-Val de Loire
Pas à ce moment là car nous partions ensuite au restaurant

Nous sommes allés au restaurant et en rentrant nous avons fait une partie à trois.

Nous avons continué plusieurs fois, mais il a trouvé une nouvelle femme et a déménagé loin de chez nous.



Homme, 50 ans, France, Provence-Alpes-Côte d'Azur
Superbe histoire
Couple, 57 ans, France, Bretagne
génial
Homme, 52 ans, France, Bourgogne-Franche-Comté
quel chanceux ,ta femme est si jolie ,n'importe quel homme aurait aimé lui faire l'amour ,les photos sont tres reussit j'adore .....quelle belle coquine gros bisous
Homme, 26 ans, France, Île-de-France
Votre ami à de la chance de vous avoir ! Madame est très sexy !
Couple, 70 ans, France, Centre-Val de Loire
Je vais vous raconter une histoire qui s’est déroulée il y a un certain temps.
Nous avions connu dans le début des années 1990, grâce au Minitel un homme pour faire du triolisme.
Nous avions à l’époque une quarantaine d’années et lui dix ans de moins.
Nous nous étions rencontrés une première fois dans un bar-lunche pour prendre l’apéro.
Nous avions bien apprécié notre rencontre et nous avions donné suite.
C’était devenu un copain, avec lequel nous faisions assez souvent de parties à trois.
Il venait régulièrement à la maison, mais pas simplement pour avoir des relations, juste des fois pour dire bonjour, emprunter un livre ou D.V.D. ou boire l’apéritif.
Nous faisions toujours nos parties à trois.
Je travaillais à cette époque comme commercial.
Un après-midi vers 13 h 30, je partais visiter des clients avec un collègue.
Nous étions dans la rue, prêts à monter en voiture, juste à ce moment il arrive. Hélène ne travaillait pas et était à la maison.
• Salut, Luc, tu pars ?
• Oui ! Mais Hélène est à la maison! Tu venais prendre le café ?
• Oui bien sur, mais si tu pars, je repasserai un autre jour.
• Non pas du tout. Ce n'est pas grave, vas voir Hélène elle va t'en offrir un et peut être un café des pauvres. (Pour ceux qui ne connaitraient pas l’expression : lorsque le café a été introduit en France, il coûtait très cher et seuls les riches pouvaient s'en offrir. Les pauvres ne pouvaient pas s’en offrir et pour compenser cela, ils pouvaient faire l'amour à la fin du repas ce qui ne coûte rien - voilà la légende)
• Ok j'y vais
• A bientôt.
Il rentre et nous voilà parti avec le collègue qui attendait dans sa voiture pendant la conversation. Il n'avait pas entendu.
Nous allons à nos rendez-vous et le soir je rentre sans penser à la visite de Jean-Louis.
Je vais faire la bise à ma petite femme qui est dans la cuisine en train de préparer le repas et comme souvent j'en profite pour lui caresser les fesses.
Elle n’a pas de culotte et a la chatte à l'air. Il me semble que ce midi elle l'avait bien une mais bon…
De plus elle n’a pas la même jupe que ce matin.
Je la caresse un peu, lui met un doigt dans la fente et je sens sa vulve toute trempée, toute grasse.
• Tu as lu un livre érotique ? lui dis-je
• Non
• Tu as la chatte bien mouillée
• Oui, c'est la crème du café des pauvres de ce midi!!
• AH !
• Oui, lorsque tu es parti et que tu as dit à Jean-Louis de prendre un café des pauvres. Il ne connaissait pas cette expression et il m'a demandé ce que cela voulait dire. Eh bien je lui ai expliqué avec exercice pratique à la clé.
• Raconte-moi !!!
• C'est très simple : Quand il a sonné, j’étais dans la cuisine entrain de finir d’essuyer la vaisselle. Je vais ouvrir pensant que c’était toi qui avais oublié quelque chose. Je suis un peu surprise. Je le fais rentrer en lui demandant de me suivre dans la cuisine afin que je pose le torchon que j’ai encore à la main Il me fait la bise et me dit aussitôt :
« Je viens prendre deux cafés, un vrai et celui des pauvres. Je connais le premier mais le deuxième pas du tout. »
• Par lequel veux-tu commencer ?
« Celui que tu veux !! Mais avant expliques moi. »
• Je lui explique donc la légende
« J’aime bien le deuxième, on peut commencer par celui-là »
• Je suis mise à genoux et j'ai sorti sa bitte de son pantalon. Il ne fut pas long à bander. Il m’a fait retourner pour m’appuyer sur la table ou plutôt poser le buste sur la table. Il a relevé ma jupe et m’a enlevé ma culotte. Il m’a prise comme cela en levrette. Il m'a limée un long moment comme cela, avant de me décharger dans la chatte. Comme je sais que tu aimes cela, je ne me suis pas essuyée et c'est le reste que tu récupères maintenant. Malheureusement en prenant le vrai café, le trop plein s’est déversé sur ma jupe que j’ai du en changer.

Je ne lui ai pas demandé d'autres explications, je l'ai attrapée, je l'ai assise sur la table de cuisine et je l'ai enfilée aussitôt.
Nous avons pris un pied énorme tous les deux. Elle de s’être faite baisée en dehors de ma présence et moi de savoir qu’elle en avait pris plein la chatte pendant mon absence.

Cela a révélé mon côté candauliste.
Couple, 46 ans, France, Bretagne
Beau récit. Merci
Je vais prendre le café dès pauvres maintenant.
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