Bon, j’étais occupé à rencontrer plein de bobeuses et bobeurs et n’ai pas eu le temps d’écrire la suite jusqu’ici (non je déconne).
Alors la suite de mes aventures avec Monique.
J’ai continué à aller dormir de manière épisodique chez mon pote mais je n’ai pas eu l’occasion d’avoir de nouveau un échange intime avec sa mère Monique jusqu’à mes 17 ans.
Je travaillais tout le mois de juillet dans une maison de retraite et je finissais en début d’après mdi. Je décidai d’aller voir Monique à l’improviste. Le deuxième jour fut le bon, elle était chez elle. Surprise de me voir, elle me dit que son fils était parti en vacances dans sa famille, ce que je savais. Je lui dis, comble de l’audace pour le puceau que j’étais avec les idées qui m’amenaient chez elle, que cela me faisait plaisir de la voir.
Nous discutions autour d’un verre quand elle aborda l’aventure que nous avions eue ensemble, 3 ans auparavant, où elle m’avait sucé. Je n’avais pas eu d’autre expérience depuis. Elle me dit que c’était une erreur, qu’elle en était désolée, que j’étais beaucoup trop jeune, etc. Mais j’étais surmotivé et je lui dis que c’était un souvenir extraordinaire pour moi. Silence, temps suspendu, réflexion intérieure accélérée. Ne sachant pas quoi dire, je lui avouai que c’était toujours ma seule expérience. Elle sourit, c’était gagné. Vous voyez l’étincelle dans le regard qui vous fait comprendre en une fraction de seconde que vous allez voir la personne en face de vous nue dans les minutes qui suivent?
Je passe sur les tergiversations d’usage qui ne nous ont pas empêché de nous embrasser dans les 5 minutes. Elle voulait ma bite: elle se mit à genoux devant moi, dans la cuisine, la sortit mon sexe et commença à me sucer vigoureusement comme si sa vie en dépendait. Elle l'engloutissait entièrement avec le bruit de ma bite cognant au fond de sa gorge. C’était merveilleux et je jutai en 1 minute chrono je pense. Je lui dis que j’étais désolé que ce soit arrivé si vite car ce n’est pas de cela dont je rêvais. Elle rit et m’emmena dans sa chambre. « A ton âge on peut recommencer encore et encore, tu auras ce que tu veux et moi aussi ».
Elle me demanda de la déshabiller. Découvrir le corps qui m’avait tant fait fantasmé était incroyable. Comme fou, je malaxais ses seins en l’embrassant. Elle dirigea ma bouche vers ses tétons que je suçais avidement pendant qu’elle gémissait bruyamment. Enhardi, je glissai une main dans sa culotte et découvris combien elle était humide. Je rebandais, moins de 10 minutes après la pipe. Je ne sais plus comment on en ai arrivé là mais nous avons fait l’amour en tailleurs. Accrochée à mes épaules, elle donnait des coups de reins sauvage en gémissant puis criant. Jamais par la suite je n’ai connu une fille qui criait comme ça. Elle jouit très rapidement et ses cris et tremblements me firent éjaculer en elle; nous n’avions pas de capotes.
Nous fîmes alors la sieste car je m’étais levé de très bonne heure pour travailler le matin. Je dormis par bribes avec des rêves qu’érotiques. C’est ainsi que je me retrouvai sur elle en train de la baiser de nouveau Cette fois-ci c’était moi qui était sauvage. Elle riait un peu narquoise mais rapidement, elle recommença à hurler ce dont je ne me lassais pas. Ce ne fut pas encore bien long: nous baisions comme des sauvage, recherchant la maximum de plaisir le plus vite possible en se disant qu’on recommencerait après, encore et encore.
La fin d’après midi fut plus calme. Après une douche, que je regrettais car je voulais garder son odeur et sa mouille sur ma queue, nous allâmes nous promener et faire des courses pour faire un bon repas. Après celui-ci et après avoir fait tourner tous les sujets de discussion pour meubler le temps entre 2 rapports, il était temps de remettre le couvert. Elle me dit « vient me lécher, je vais te montrer ». Il fallut qu’elle me montre un peu effectivement. Elle était sur le dos, les genoux collés aux épaules, dirigeant ma tête, l’appuyant fortement contre son clitoris tout en bougeant elle même. Elle descendit ma tête de telle sorte que ma langue fut sur son anus. Je n’y pris pas beaucoup de plaisir trouvant ça alors un peu degueu mais ça a bien changé dès les semaines qui ont suivi. Si je peux, je ne m’en prive jamais.
Après l’avoir longuement léchée, j’avais presque des crampes de la langue. Elle m’offrit sa croupe et je la sautais comme un fou pendant qu’elle m’encourageait en me demandant de la sauter jusqu’à l’os. Elle jouit encore violemment mais pas moi cette fois-ci, je n’avais pas encore rechargé :-) . Petit moment de flottement, je ne savais pas ce que je devais faire et elle me dit de continuer, comme ça, en levrette, que c’était la meilleure position pour reprendre après un orgasme. Putain, ce cul, ce bonheur de la première fois, cette chatte si chaude et si humide avec le bruit mouillé des allers retours que tu cherches par des mouvements habiles à rendre le plus sonore possible. Lorsque son plaisir est revenu à un certain niveau, elle s’est placée sur moi et m’a demandé de ne pas bouger. Empalée sur ma bite elle bougeait le bassin qu’elle pressait contre le mien pour son plaisir tout en me regardant droit dans les yeux en manifestant son plaisir toujours aussi fort. Ce fut la dernière fois où je jouit en elle. Nous dormîmes et au matin nous nous quittâmes sans effusion, presque gênés, sachant déjà que nous ne le referions pas et même que nous allions éviter de nous revoir.
Jamais rencontré de femme aussi chaude depuis. J’ai pris confiance grâce à elle et ai pu par la suite multiplier les rencontres avec assurance.