Les hôtels des lieux de jeux très érotiques

L’été dernier j’étais dans un petit hôtel du sud de l’Espagne. Je choisis toujours les hôtels un peu vieillots car je sais qu’ils sont souvent mal insonorisés et que l’on peut entendre les râles excitants de couples qui s’entremêlent dans la touffeur de l’été.
Bref il est un peu plus de minuit et je rentre dans ma chambre, j’espère en laissant traîner mes oreilles entendre des bruits qui me laisseraient profiter du sexe qui aurait lieu dans cet hôtel. Mais rien. Je suis déçu… J’entre donc dans ma chambre mais toujours l’oreille attentive ne sait-on jamais ?
Plus de trente minutes après mon arrivée, j’entends des talons dans le couloir qui résonnent. Je passe un œil en entre-ouvrant la porte. J’aperçois deux femmes, voisines de ma chambre, habillées en danseuses flamenco. Elles entrent dans leur chambre. Il y a un festival de danse dans la commune et le spectacle vient sans doute tout juste de se terminer. Elles se douchent, le bruit de la tuyauterie de l’eau qui coule vient jusqu’à ma chambre. Logique dans un vieil hôtel. Au bout de quelques minutes elles ressortent, les couloirs sont silencieux et je les entends partir. Je me dis que la nuit va être infructueuse et que je ne vais pas entendre grand chose malgré mon envie et ma forte excitation. Il fait chaud je me dénude et m’allonge sur mon lit, totalement nu. Mon cerveau est envahie par des pensées érotiques, voyeuristes qui se passent toutes dans un hôtel. Mais hélas le silence est maître lors de cette nuit. Je somnole, je suis ni endormi ni éveillé. Le temps passe, je ne sais pas combien, et d’un seul coup ces mêmes pas de femmes résonnent de nouveau dans ma tête mais surtout en bas des couloirs de l’hôtel. Je bondis , je suis au troisième, j’entre-ouvre ma porte de nouveau, la lumière de ma chambre perce l’obscurité du couloir. Je ne sais pas pourquoi mais je bande fort. Enfin si je sais pourquoi, dans ces secondes qui défilent me vient une idée. Je vais laisser ma porte entre-ouverte, m’allonger sur mon lit et me masturber. J’espère qu’elles jetteront un œil par cet entrebâillement. Pourvu qu’elles soient attirées par cette lumière et qu’elles s’attardent sur ce qu’il se passe dans le lit. Un homme excité qui se fait du bien en espérant un regard même furtif. J’entends le bruit des talons des chaussures monter les escaliers qui doivent les mener jusqu’au troisième étage. Ces pas se font plus forts et présents secondes après secondes et je suis toujours plus excité à mesure que les danseuses Flamenco montent. Voilà elles arrivent, je les entends parler. Je ne peux pas les voir, elles, si elles regardent par la porte verront un corps allongé en train de se branler mais ma tête est cachée par un mur. J’entends qu’elles sortent les clés, pour la porte de leur chambre. Elles sont toutes les deux dans la même chambre. Elles parlent et d’un seul coup le silence se fait. Je n’entends pas leur clé dans la serrure. Puis un chuchotement bref, mécanique pour elles, ne pas faire de bruit j’imagine, mais à cette heure ci… tout s’entend. Je sais qu’elles observent, alors je me branle fort, je suis excité, je vais jouir en deux secondes tellement la situation est incroyable pour moi. Je pousse un râle très mesuré, le sperme gicle. Dans la foulée, la clé entre dans la serrure de la porte de mes voisines, elles entrent dans leur chambre. Quelques secondes plus tard quelques ricanements, et paroles échangées, je ne peux comprendre le sens à travers les murs.
Je vais refermer la porte discrètement, pourquoi discrètement ? Je ne sais pas. Je vais m’endormir.
Le lendemain matin, je me lève et entends encore les deux danseuses dans leur chambre parler. Je me dis que je veux croiser leur regard. Je décide donc de partir en même temps qu’elles. Lorsqu’elles ouvriront la porte je sortirai à ce moment là. Mon souhait s’exécute. J’entends la porte s’ouvrir dans la foulée je sors aussi, nous sommes tous les trois au fond du couloir nez à nez. Les deux femmes se regardent, c’est entendu, elles pensent à hier soir. Je leur dis « Holà », elles me répondent avec deux sourires. Je les laissent passer devant, elles descendent les escaliers avec des petits rires mesurés. Je ne les reverrai plus…

Si vous aussi avez des histoires d’hôtel à raconter n’hésitez pas à faire vivre cette conversation. Je vous en raconterai d’autres très vite, si cela vous plaît.

Autre histoire….

Lorsque je vais dans les hôtels par définition je suis toujours en alerte. Un mélange d’exhibitionnisme et de voyeurisme s’installe chez moi, je ne sais jamais laquelle de ces deux envies va prendre le dessus…
C’était l’hiver. Je rentre à l’hôtel tôt ce soir ça là. Je laisse mes amis prématurément, c’est une soirée bien alcoolisée et je n’ai pas envie de boire pour profiter de mon week-end.
A l’entrée de l’hôtel je vois un couple au desk en train de valider leur Check-in auprès du responsable de l’hôtel. Je sens que ce couple en est encore à ses débuts. Je ne sais pas comment l’expliquer, mais vous savez lorsque un couple en est encore à ses balbutiements. Je fais un détour à la machine qui distribue les bouteilles d’eau. Je veux prendre l’ascenseur en même temps qu’eux. Ma bouteille en main je me dirige vers l’ascenseur alors qu’eux terminent leurs formalités. Ils quittent le desk, le responsable leur lance: « Voilà ce sera chambre 224. Bonne soirée »

Nous attendons à trois l’arrivée de l’ascenseur au pied de la porte, elle ne tarde pas à s’ouvrir. Je les laisse passer, je sais que nous sommes au même étage. Lui a un long manteau d’hiver épais, elle en porte un aussi, ses jambes longilignes sont couvertes par un collant noir qui laisse deviner un jupe ou une robe qui descend jusqu’au dessus des genoux. Ce qui m’interpelle le plus dans cet endroit confiné, c’est le parfum de cette femme brune, au cheveux qui tombent jusqu’à la lisière de ses épaules. Ce parfum sucré inonde mes narines et créer une excitation chez moi. L’odorat peut aussi être tellement sexuel. « Ting » L’ascenseur vient d’arriver au deuxième étage. De nouveau ils passent devant moi et à ma grande surprise leur porte est en face de la mienne. Ils s’engouffrent dans leur chambre et je leur lance un « Bonne nuit », et me répondent « Merci bonne soirée »
Les portes se referment, je sais que je vais être très attentif au moindre bruit. Je les ai vu, et cela m’excite vraiment de les imaginer à leur affaire alors que des bruits sortent de leur chambre. Mais rien… plusieurs heures se passent et ne se dégage que le son de la télévision. Je me suis trompé et je vais m’endormir il est plus de minuit. Déception.
Puis, je ne sais comment, comme si mon cerveau s’était mis en veille, je suis réveillé au cœur de la nuit. Des râles d’une femme viennent jusqu’à mes oreilles il est plus de trois heures du matin. Mon réveil est immédiat, mon sexe ne tarde pas à se durcir. Je me lève et ouvre ma porte de chambre pour tenter de savoir d’où viennent ces moments de plaisirs. Je passe une tête dans el couloir. C’est chambre 224. Finalement le couple est passé aux choses sérieuses. Elle est bruyante, il n’y a pas de retenue. Aux râles de plaisir se mêlent le bruit du claquement des mouvements des corps du couple qui se font de plus en plus secs. D’abord des « Aaaah », puis des « vas-y », ces sons résonnent dans le couloir silencieux. L’homme respire de plus en plus fort, entraîné sans doute par les mots et les râles de sa partenaire, il accélère, ses mouvements de hanche claquent de façon plus puissante maintenant contre le corps de sa femme, elle lui donne des ordres maintenant « Viens !! Viens !! » Il accélère encore, son souffle est de plus en plus saccadé mais il ne dit rien, juste son souffle. Elle insiste, elle veut qu’il éjacule, qu’il ai son orgasme maintenant les « vas-y » sont de plus insistants.

Je les imagine, avec ce que je connais d’eux, c’est à dire rien, 1 minute d’ascenseur et ce parfum sucré que mon cerveau tente de se remémorer. Je ferme les yeux, pour me concentrer sur ces sons. Je suis sur mon lit mon sexe entre les mains et la porte entre ouverte pour laisser passer le son plus facilement.

« Maintenant !! Maintenant !! » Elle scande son envie de le voir jouir quand elle le veut car son orgasme semble venir. Elle exprime de plus en plus fort son plaisir, le couple est de plus en plus audible pour tout le monde au deuxième étage de l’hôtel. Lui finit par relâcher la pression, dans un long « Aaaaaaah », il jouit et elle dans « ouiiii » prend tout le plaisir que son partenaire lui donne. Après quelques secondes, où l’on sens les deux corps récupérer, le silence se fait. Je vais moi aussi jouir en finissant d’imaginer dans ma tête ce qui a pu se passer derrière cette porte 224.
Puis, il me vient une idée. Je décide de leur écrire un petit mot que je coincerai dans la porte au niveau de la poignée.
Sur le papier :« Merci pour ce doux moment, et ce moment partagé. Le voisin d’en face. »
Je vais pousser le vice à frapper à leur porte. Je coince ma « lettre » dans rainure, laisse ma porte ouverte pour m’éclipser au plus vite.
« Toc Toc » rapide et je cours dans ma chambre et m’enferme. Je pose mon oreille sur ma parois et de longues secondes après j’entends la 224 s’ouvrir puis se refermer. Rien ne se passe. Je m’endors il est tard.

Le lendemain je me lève et au moment de quitter ma chambre, un papier tombe a mes pieds. Je le ramasse. Il s’agit de celui que j’avais laissé au couple du soir.
Une réponse : « Avec plaisir ;-) »

Faites moi des retours sur ces histoires. Vous plaisent elles ? Dois je continuer à vous les écrire ?
N’hésitez pas à dire si il vous arrive des histoires dans les hôtels ?

Merci Adeben. J’allais finir par croire que j’étais seul au monde a trouver ce genre de situation sexy. ;-)

Salut,pour ma part j’ai souvent entendu des voisins de chambres prendre du plaisir et j’ai même beaucoup d’enregistrement pour me remémorer tout ça lol.

Un soir dans un hôtel ibis j’arrive en même temps qu’un jeune couple. Ils avaient la trentaine, l’homme avait la barbe naissante et la femme portait une jupe noir avec des motifs blancs et les collants fuselaient à merveille ses longues jambes. Je décide de les suivre pour voir dans quelle chambre ils vont passer la nuit. Ils n’ont pas de bagage, je devine qu’ils espèrent passer une bonne soirée… Dans l’ascenseur le parfum de la demoiselle inonde la cabine, cela commence à m’émoustiller. Arrivés au troisième, je sors en même temps qu’eux de l’ascenseur , je les laisse passer et les suis dans le couloir. Au milieu de l’allée ils entrent dans leur chambre. Je décide dans la foulée d’aller dans la mienne et d’attendre un peu avant de repasser prêt de la leur pour écouter d’éventuels râles de plaisir. Plus de 30 minutes après, je ressors de ma chambre et arrivé devant la porte du couple, la surprise est de taille… la porte est mal fermée, elle permet d’entendre parfaitement ce qu’il se passe de l’autre côté. Il y d’abord des soupirs féminins, timides dans un premier temps puis soutenus très vite. Puis un silence. Très le son si caractéristique de cette femme en train de sucer profondément dans sa gorge le sexe que j’imagine turgescent de son homme. L’homme râle , un son qui vient du fond de la gorge et laisse deviner son plaisir. La fellation c’est le moment choisit pour passé à la pénétration, et la j’entends les bourses et le sexe masculin percuter le corps de cette femme qui avec des aaah de plaisir se laisse aller et augmente le volume à mesure que la jouissance envahit son corps. Je suis au milieu du couloir de l’hôtel, je bande dans mon pantalon jogging, je ne porte pas de sous vêtement et mon sexe gonflé est très facilement devinable. La porte mal fermée donne l’impression d’être dans la chambre. Pendant de longues minutes j’écoute ce jeune couple se donner du plaisir. Et d’un seul coup dans ce couloir, j’entends la sonnette de l’ascenseur. Un client vient d’arriver au troisième… je dois quitter mon poste d’écoute. Je marche donc dans le couloir déçu. Je croise alors le nouvel arrivant dans le couloir, ou plus exactement la nouvelle arrivante. Je bande encore fort et dans le long couloir droit, le regard de cette femme se porte sur mon sexe qui tend le tissu de mon jogging. Elle lève les yeux vers moi et sourit … je n’ ose rien faire ou dire. Je rentre dans ma chambre et me masturbe, en quelques minutes je jouit après cette soirée dans les couloirs de l’hôtel.

Ayant un peu de temps pour moi cette semaine, j’envisage de prendre une chambre dans un hôtel parisien. Des couples amateurs de scénarios ?
MP si vous êtes intéressés

Les deux sont possibles. On peut en parler en MP ;-)

Merci pour ces beaux récits… ça donne envie d’aller à l’hôtel !

En vacances en Espagne, hier soir je fias le choix d'aller dans un vieil hôtel 2 étoiles.... souvent de bons lieux les lieux vétustes pour assouvir mon coté voyeur. Au moment de prendre ma chambre un couple arrive et monte dans la sienne. Belle brune avec un jeune homme blond. Mais je vais être déçu rien ne se passe.... Quelques heures plus tard dans la chaleur espagnole je descends prendre une bouteille d'eau fraîche et je croise dans les escaliers un couple qui est au même étage que moi. Une brune au cheveux longs avec des mèches blondes et un homme au physique costaud. C'est un couple espagnol et elle est en béquille et se déplace lentement. Je passe quelques minutes en bas de l'hôtel a chercher ma bouteille d'eau fraiche. En remontant je traine un peu dans le couloir pour essayer d'entendre d'éventuels actions nocturnes. Et au bout de 4/5 minutes j'entends quelques soupirs discrets mais significatifs...
Je m'approche de la porte, dans mon maillot de bain mon sexe commence a gonfler a mesure que mon oreille s'approche de la porte ou ce couple de la quarantaine à commencer a se donner du plaisir. Il fait chaud et mon sexe se tend, si quelqu'un arrive il verra un membre turgescent s'écraser contre le tissu du maillot de bain, je ne pourrais pas le cacher...
De l'autre coté de la porte, ils ne se doutent pas que j'écoute et la chambre résonne tellement que je devine tout ce qu'il s'y passe. Le sexe de l'homme claquer sur les fesses de sa compagne, puis des fessées qui excitent encore plus sa partenaire. Le soupirs sont d'abords discrets puis de moins en moins maitrisés. Son homme lui parle, il demande de jouir en espagnol... "correte corrrete ". Lui il est de plus en plus puissant, le claquement des corps est de plus en plus en plus sec. il soupire lui aussi, il fait des efforts et les râles de sa femme qu'il prend l'encourage. Je bande comme un dingue le fait de les avoir vu avant m'excite encore plus car mon imagination est servie, elle peut imaginer la scène avec les visages de jouissance de ce couple croisé dans les escaliers d'un hôtel. Il va la lécher, je peux entendre ces petits bruits des liquides, puis elle va le sucer, là encore j'entend sa bite dans sa bouche... Il vont faire l'amour pendant plus d'une heure et elle finira par jouir dans des râles discrets... Lui aussi ... Il est 3 heures du matin et je vais à aller dans ma chambre d'hôtel me masturber en revivant cette scène vécue.