Je ne cesse de pensez à vous.
Retrouverai-je un jour une telle relation si chaude, si exquise, si impudique ? Une femme tellement libre de laisser sa sexualité s’exprimer en toutes circonstances, de raconter ses envies les plus interdites. Que de moments où, seule ou avec moi, vous avez osé jouir intensément au bureau, dans un parc public, dans votre voiture, sur votre lit.
Comme j’ai envie de vous goûter, de vous faire gémir. Je vous imagine assise dans votre fauteuil, les jambes négligemment ouvertes, votre corps glissé dans une simple chemise ample. Comme presque toujours, vous avez banni de votre tenue culotte et soutien-gorge. Vous aimez tant la liberté.
Je vous regarde avec excitation. J’adore vos jambes. Puis-je les caresser ? Vous hochez de la tête en guise de permission et laissez vos fesses glisser en avant sur l’assise. Me voilà agenouillé à vos pieds à regarder le bas de votre chemise, espérant qu’il se soulève suffisamment pour apercevoir votre sexe. Mais ça n’est pas le cas, pas encore…
Un petit baiser sur vos genoux. Je caresse vos mollets. Votre peau est douce et chaude. J’en aime la senteur et le goût. Ma langue l’effleure avec soin. Vos cuisses s’ouvrent. Votre main glisse entre. Sans aucun tabou, vous vous caressez pendant que mes baisers remontent lentement le long de vos jambes. Je relève mon visage. Vos doigts me cachent encore votre abricot. Ils le frôlent sensuellement. Je le devine déjà trempé. Il faut dire que vous mouillez si facilement.
Mes dents mordillent l’intérieur de vos cuisses. Vous frémissez de bonheur. L’une de vos jambes vient se poser sur mon épaule. Votre chemise remonte. Vos doigts glissent dans votre fente. Enfin je le vois. J’ai faim. Vous vous masturbez en me regardant. Mon souffle est chaud et s’approche de plus en plus de votre bonbon. Je suis fou d’excitation à mater votre index écraser votre petit bouton pendant que votre majeur et votre annulaire entrent et sortent avec soin de votre puits inondé. Votre cyprine ruisselle sur votre peau. Vous n’avez vraiment aucune pudeur.
Je veux vous dévorer. Laissez-moi la place. Avec autorité, je soulève votre cuisse pour la poser sur mon épaule. Me voilà la tête entre vos jambes, prêt à vous gâter. Je plonge mon visage. Ma bouche vient au contact de votre main fouilleuse. Je la lèche, la mords, la suce. Mon menton dégouline déjà. Que c’est bon, que c’est chaud. Je bande.
Je hisse vos fesses à hauteur de mes lèvres. Ma langue se fraie un passage jusqu’à atteindre votre petite rondelle. Vous gémissez. Je sais que vous aimez ça. Et moi j’adore. Je vous lèche le cul avec force et appétit. Mon nez plonge dans votre fente, accompagnant vos doigts fouisseurs dans leur ballet impudique.
Votre cyprine gicle. Mon visage ruisselle. Votre œillet s’est entrouvert. Le bout de ma langue s’y enfonce. Je bois votre mouille qui coule en continu dans ma bouche tout en écartant vos fesses de mes mains pour me permettre de vous déguster la rondelle encore plus profondément. Vous jouissez intensément, devant et derrière. Vous criez mon nom en réclamant ma langue encore et encore. Quel régal.
Cela me manque tellement de ne plus pouvoir vous écrire mes pensées lubriques, de ne plus vous entendre vous faire jouir en me lisant. De vous raconter mes désirs les plus pervers et de vous voir les mettre en pratique avec un bonheur si bien partagé.
Comme c’était bon de vous regarder filmer votre sexe mouillé sous votre bureau. Comme c’était délicieux de vous raconter mes envies alors que vous étiez au milieu de la foule, marchant avec vos boules de geisha profondément enfouies dans vos trous ruisselants. Comme c’était excitant de vous savoir en train de vous offrir à un autre tout en pensant à mes coquineries. Comme j'aurais moi aussi aimé, ainsi qu'ils l'ont fait, vous souiller de semence tiède et épaisse.
Et que vos gémissements me manquent. Tous ces moments où vous avez joui de mes perversions en me réclamant.
Reviendrez-vous un jour ?