J'ai toujours cru que l'exhibition était plus chaude lorsque que le voyeur était de notre entourage. Car après tout de nos jours, voire une belle fille à poils est possible facilement en ouvrant internet. Alors que la collègue ou la cousine, même si elle n'est pas canon est un fantasme plus prégnant. Mais ça reste parfois risqué voire tabou...
Un jour d'été au bord d'une piscine privée, chez ma belle-mère, nous avions invité, un de mes cousins accompagné d’un ami de longue date à moi. Nous nous connaissions depuis fort longtemps et ils ne savaient rien de nos activités libertines. Mon cousin avait à l'époque environ 22 ou 23 ans et mon ami, plus âgé, devait approcher les 37. Un vieux garçon, il est toujours célibataire.
J’avais un maillot de bain 2 pièces blanc à ficelles. Légèrement translucide, après la baignade on pouvait deviner mon tout petit poilu à travers le tissu. C'était déjà énorme pour ces 2 lascars qui ne m’avaient jamais vu aussi dénudée que cela. Je voyais bien leurs regards convergés sur mon slip de bain et cette petite ombre brune sous le tissu blanc.
Il n'en fallait pas davantage pour que la température de maître ne monte. Le sang de sa cervelle commençait déjà à descendre vers son chibre, l'empêchant de réfléchir. (C’est connu, bite qui bande n'a pas de conscience - en voilà bien la raison).
Maître JF, mon chef de corps, me somma d’un ordre bref d’aller chercher des boissons dans la maison. Mais je n’étais pas disposée à obéir ce jour-là devant mes proches. Je fis un acte d’insubordination. Le prétexte était lancé. Les 2 acolytes étaient assis sur un transat 3 mètres devant nous lorsque j'ai été empoignée par les bras, dans le dos au niveau des coudes, me privant de tout mouvement. Je bombais le torse lorsqu’il me glissa à l’oreille que je lui devais obéissance n'en déplaise à Sandrine Rousseau. Debout collé derrière moi je sentais sont sexe durcir contre mes fesses. Bien que n’osant pas y croire sur le coup, j’ai compris ce qui allait m’arriver.
Devant les 2 autres, il me rappela mes devoirs de femme. Dans la bible, il est écrit : -heureux est l’homme dont la femme lui obéit et sait se taire. Evidemment, pour ne pas perdre la face, à défaut d'autre chose, je tentais de résister en jouant la féministe version Némésis (car je reste lucide, je ne vais pas faire la féministe gogolle de gauche quand même).
Sur ce, il dénoua le haut de mon maillot comme punition. La ficelle du cou dénouée, les 2 petits triangles de tissus cachant mes nichons tombèrent les libérant à la vue de mes proches. Sur le coup, je râlais et me détournais du regard abasourdi des 2 autres... Mais JF me tenais fermement et me remit face à eux. Interloqués, ils n’en perdaient pas une miette. C'est la 1ere fois qu'ils voyaient mes tétons. A ce moment, JF les interpella en leur demandant si mes petits nichons étaient mignons. Très surpris de la tournure des évènements mais néanmoins intéressés, ils approuvèrent de suite.
Puis, réitérant ses injonctions à servir à boire, je résistais toujours. Il me menaça de continuer la "nudification". J’avais déjà décidé que je ne céderais pas car en vérité je vous le dis, l’excitation d'être exhibée ainsi commençait à me faire mouiller. Il a donc fait tomber à terre le haut du maillot en dénouant la ficelle du torse.
Nos invités aux yeux ronds de stupeur et d'envie étaient à 3 mètres, me tenant les bras bloqués dans le dos, JF m’emmena 3 pas en avant pour me présenter à eux juste devant, à 1 mètre seulement. Ayant refusé d'obéir à nouveau, il sollicitait la ficelle droite de mon slip de bain laissant soudain entrevoir les quelques poils de ma chatte. Les 2 hommes, bouches bée ne disaient plus un mot mais avaient leurs regards bloqués sur ce spectacle aussi inattendue qu'extraordinaire pour des célibataires non avertis.
Alors, je fais tomber le reste ? a-t-il lancé d'un ton sec. Petit mouvement d'une fausse résistance mais il me tenait fermement... Une Esquisse d'un ouiiii de mon ami qui avait dû en rêver. (J’en suis même sûre ! Certains indices le prouvaient depuis longtemps, il a souvent voulu sortir avec moi mais c’est un grand timide. En revanche, c’est aussi vrai que je n’aurai pas donné suite). Maître exécutât la sentence ; la ficelle gauche dénouée, le slip tombait à terre et me voilà toute nue devant eux. La vulve bien visible, avec ma petite touffe de poils courts 2 cm au-dessus de la fente. J'ai de suite remarqué la bosse que faisaient leurs bites dans leurs slips. Celle du cousin, apparemment bien monté, dépassait laissant voir son gland. Je mouillais sérieusement devant ces regards lubriques de mes 2 pervers dont les yeux se dirigeaient vers mon sexe comme ceux du loup de tex Avery. . Maître JF me glissa son doigt dans la fente tout en continuant de me maintenir les coudes en arrière de son bras gauche. Il en fit la remarque immédiatement : Elle est toute humide, regardez...
Ils avaient maintenant le nez devant mon sexe, mes lèvres étaient gonflées lorsqu’il les invita à vérifier. Après un moment d'hésitation, le cousin se lançait et posa timidement l'index sur ma vulve. Vas-y lui dit-il... Et là il me mit le doigt dans sa fente, ça glisse dit il a ce moment... Je commençais à me tortiller doucement. A ton tours l'ami. Et à son tour, avec son majeur il caressa doucement l'entrée de ma moule quand soudain pris par l'envie qui se présentait il enfonça carrément son majeur au fond de mon vagin trempé. A ce moment j’ai poussé un gémissement de jouissance. Il en profita pour faire tourner son doigt dedans doucement me provoquant qlq soubresauts... Pendant ce temps, JF invita le cousin à me caresser les seins pour constater à quel point ils étaient doux... Il s'enhardit et me les pelota avec envie des 2 mains. J’abandonnais totalement toute résistance et profitais de ce doigt qui tournait en moi, dans mon vagin chaud et humide Jamais ils n'auraient pensé un chose pareil, je leur paraissais inatteignable.
A ce moment, faisant place net, Maître me poussa sur un transat, allongée sur le dos, les jambes serrées, il me plia les genoux pour mieux m’écarter les cuisses... j'adore ce moment où l'on m’écarte les cuisses permettant aux mateurs le plus beau des spectacles...ma vulve bien dégagée, comme la mer vue d'un balcon. Je sais que vous adorez ça aussi !
Ma vulve trempée était bien entrouverte et on voyait bien le rose de mon vagin. Ils étaient à ma droite le sexe dur et sorti du slip. En m’écartant les lèvres il leur montra mon clitoris comme au musée, puis il commença à me branler. Oh ça a été assez vite, je jouissais bruyamment à présent et les 2 zouaves avaient aussi commencé à se masturber en cœur. A peine j’avais hurlé de jouissance qu’il retira ses doigts. Ma mouille gicla devant et haletant en reprenant mon souffle, mon cousin me jouissait sur le ventre. Mon ami, lui, se branlait frénétiquement et nous dit qu'il allait jouir. Je l'invitais alors à jouir sur mes seins, mais ne se maitrisant pas il balança une énorme giclée sur mon cou et mon visage laissant qlq gouttes rentrés dans ma bouche haletante toujours ouverte. Surprise, j’esquissais un rire un peu nerveux et fis mine de recracher en m'essuyant d'un revers de main. Mais il n'en fallait pas plus pour que maître réagisse. Voyant les soubresauts de la bite de notre ami, il savait que la deuxième tournée allait arriver. L'incitant à se retenir qlq secondes, ils se serra la bite, puis JF m'empoigna par le coup et m’amena la tête sur son gland trempé. Je compris la manœuvre et le goba lorsque, n'en tenant plus il lâcha sa deuxième grosse giclée. Un vrai bain de bouche, j’étais remplie, il n’avait pas dû se branler depuis un siècle, j’ai dû tout avaler. Privilège que d’habitude je réserve à mon chéri. Tout son sperme dans ma bouche, jamais il n'aurai imaginé que cela soit possible pour ce célibataire par défaut...
Après une petite minute de relâchement générale, je me relevais, pris une serviette et me dirigea vers la maison pour y prendre une douche....
Finalement, le seul qui n'ait pas joui, c'est JF. Il est resté le maître des opérations alors que j’aurais voulu qu’il me ken devant eux J’aurais eu un autre orgasme.
Je n'ai plus de doute, l'exhibition devant une personne de son entourage réclame une soumission qui sert d'excuse pour se laisser faire, mais qui apporte un climat encore plus excitant que devant un étranger. Mais bon, c'est notre avis et on est tous différent.
Cette histoire a eu une suite à mon retour de douche. La journée n’était pas finie. Je la raconterai la prochaine fois si cela vous a plu (ou fait bander). Je ne doute pas que vous me le direz dans vos commentaires.
Vive la liberté bordel.
