Lors du précédent récit, je venais de me faire exhiber devant un de mes vieux ami et mon jeune cousin. Toute retournée après m’être faite doigter par tout le monde présent, et avoir sucé mon ami jusqu’à ce qu’il me jouisse dans la bouche, je m’étais précipitée à la maison pour y prendre une douche
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Pendant ce temps chacun reprenait ses esprits mais toutefois marqués par cette aventure inattendue et improvisée totalement inimaginable quelques poignées de minutes avant.
Qui n’a pas eu ce fantasme de voir nue devant soi, l’amie d’enfance, la cousine ou bien une belle voisine ou une collègue de travail… qui plus est d’avoir pu enfiler son majeur dans son vagin humide, encouragé par son compagnon, et enfin de lui avoir mis son sexe dans la bouche pour lui y balancer une grosse giclée de sperme en jouissant bruyamment ?!
JF et mes 2 zouaves étaient tous les 3 à retournés patauger dans l’eau le sourire en coin en échangeant quelques mots sur mon anatomie. Mon jeune cousin voyant la fin de journée approchée sorti rapidement pour prendre ses affaires et commencer à se rhabiller et regarder l’heure sur son téléphone. C’était l’époque des premiers smartphones. Mon ami, lui, continuait à patauger dans la piscine comme attendant quelque chose. Mon retour sans doute. Comme s’il savait que ce rêve n’était pas tout à fait terminé.
En effet, Je réapparus une 15aine de minutes après dans un peignoir. Calmement, je repris mon slip de bain à terre pour le remettre en disant que je souhaitais faire quelques brasses dans la piscine ;JF en riant me dit que maintenant que tout le monde m’avait vue à poils, je n’avais plus besoin de maillot. J’en convenu de suite et retira mon peignoir pour les rejoindre a nouveau totalement nue dans l’eau. Notre ami un peu timidement continuait de me regarder du coin de l’œil. C’est bien cela qu’il attendait depuis tout à l’heure l’air de rien, de pouvoir continuer à me mater. Lui n’avait pas remis son slip et sa queue se redressait à nouveau. Pas complètement, une semi molle en qlq sorte comme si il essayait de se retenir.
Mais ça ne trompe personne, on voyait bien que sa cervelle n’irriguait plus, le sang affluait vers sa quequette. Je fis 2 allers retours de piscine (10 mètres sur 5) puis un 3ème en brasse. Très rapidement il avait enfilé un masque qui trainait sur le bord et me regardait m’éloigner écartant les cuisses à chaque mouvement de brasse laissant ainsi voir ma moule entrouverte. J’étais très calme. Apaisée. M’amusant maintenant du regard coquin qu’il avait sur ce spectacle. JF était assis sur le bord. Je finis par le rejoindre en me hissant à son côté. Mon ami retira son masque et nous rejoignit non pas en s’asseyant, mais face à nous. Plutôt face à moi. Debout dans la piscine, peu profonde, il avait pieds, et avait la tête en face de mon nombril. Enhardit, il avait posé ses mains sur mes genoux. Ses yeux avaient toujours du mal à quitter ma chatte aux poils courts mouillés à un demi mètre. Il faisait durer le plaisir pensant bien que ça ne risquait pas de revenir de sitôt. Regardant tour à tour ma chatte et mes nichons, il avait cette fois la bite toute dure et dressée. Je lui en fis la remarque. Il avoua que ce spectacle ne pouvait pas le laisser indifférent. Je souriais et regardais aussi son chibre à travers l’eau claire. J’aime bien voir des belles bites en érection. Et comme bite qui bande n’a pas de conscience, il avoua avoir un fantasme. Une envie très forte. Il demanda l’autorisation de me lécher la moule….
C’est JF qui la donna, je m’allongeais alors me reposant sur mes coudes et ouvris les jambes. Mes chevilles reposaient dans l’eau. Ma vulve était déjà entre ouverte. Notre ami, tenant mes genoux bien écartés tendit le cou et me mit sa langue directement dans le vagin et léchât mon clitoris. Pas très délicatement d’ailleurs il y avait un peu de précipitation, comme un migrant sub-saharien affamé à qui on pouvait retirer le plat de couscous à tout moment, il me bouffait la moule. Mettant aussi sa langue le plus loin possible au fond du trou. J’aime me faire lécher. En plus, sentir une langue chaude sur la vulve refroidit par l’eau de la piscine me faisait de l’effet d’autant plus rapidement. Je soupirais assez fort avec de petits gémissements. JF qui n’avait pas joui jusqu’alors pris la décision de me mettre son sexe dans la bouche. J’entamais ne fellation sur son gland. Le cousin qui s’était rhabillé nous regardait de l’autre côté de la piscine. Il avait son portable à la main. JF l’invitât à venir près de nous pour faire des photos de nos ébats. Il ne s’en est pas gêné et venant à 2 mètres nous a pris dans toutes les positions jusqu’à la fin. C’est que rapidement nous avons bougé car ma position les coudes sur le carrelage de la piscine n’était pas très confortable. A un moment, j’ai demandé l’arrêt de la manœuvre. JF me pris dans ses bras pour me déposer sur la table de jardin, sur le dos.
Il commandât à mon ami de venir me pénétrer avec son sexe tout dur et de me limer l’étui à cigare jusqu’à l’orgasme. De l’autre côté de la table, maître me l’avait remise dans la bouche. Le cousin prenait des clichés, JF lui dit alors de prendre aussi des gros plans. A un moment, alors que mon ami allait et venait en me tapant bien le fond, et que je gémissais de plus en plus fort, il lui dit de sortir pour que le cousin prenne une belle photo, bien en face, en gros plan, de ma chatte ouverte comme un terrier de lapin. J’eu l’impression d’être chez mon gynéco lorsqu’il me regarde le fond du vagin. Son objectif au ras de mes lèvres gonflées, ses yeux le cherchaient quand JF m’écartait bien la chatte avec les doigts. Ce fût très rapide, il fallait reprendre le coït. Un coup les mains sur les genoux pour me tenir les cuisses écartées, un coup sur mes seins pour les peloter, j’eu mon orgasme dans la foulée. Un orgasme très puissant. Bruyant (comme souvent en fait). Très bruyant. Accompagnant mon soupir de AAHHH et de VAS-YYYY et Ahhh putain mon dieu (je sais ça va pas forcément ensemble) Après mon orgasme, il faut sortir, lui dut continuer à s’astiquer un peu pour jouir sur le ventre. Et je repris le gland de maître dans la bouche pour aspirer son jus qui sortait à son tour, il me remplit la gorge. J’avais gagné un deuxième tour de douche… Eux y sont allés juste après moi. Maître aime bien me voir me faire baiser comme ça devant lui… j’aime ça aussi parce que c’est bon ! On a pris notre pied. Avant de partir, l’un et l’autre ont convenu de ne jamais en parler à quiconque de l’entourage bien sûr. Je regrette toutefois de ne pas avoir vu les photos. Je suis bien persuadée qu’il a dû se masturber plusieurs fois avec. Il n’y eu jusqu’à présent aucune récidive (avec eux du moins).
Vive la liberté bordel.