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Excitation du 3e type (suite crossdressing).

Envoyé par Oasis17100 
Homme, 61 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
J'ai parfois honte de ce que j'écris... Savez-vous, je ne pensais pas que mes seins soient aussi sensibles.

Je crois bien que je l'ai découvert cet après-midi là, tandis que je me frottais doucement à la couverture de lin de ma méridienne. Alors que j'écartais au maximum mes cuisses pour exciter au maximum mon entre jambe, je devinais tout à coup mes deux petits beignets rose se raidir sous mon soutien gorge.
Je n'y tenais plus : je ne pouvais qu'ôter ma robe. Je portais un soutien-gorge blanc, sans armature, très simple et transparent de soie. Le fin tissu me permettait donc d'éprouver mes sensations à plein. J'ai deux petits tétons très sensibles (je le sais désormais), qui pointe au milieu de deux belles aréoles d'un rose clair. Même elles sont très sensibles ! Leur plaisir préféré est quand je les mouille légèrement de ma salive, très doucement, puis je les mouille encore, puis les caresse jusqu'au petit sommet des tétons. J'imprime un petit mouvement circulaire, comme si je les lavais. Oh que j'adorerais laver ainsi les anneaux de Saturne de mes seins, mes petits bouts qui trônent au milieu ! Quel régal.

J'ose à peine écrire tout cela mais, j'ai aussi tout mon corps qui se réveille, même mes cuisses et mes genoux, mes chevilles ainsi que mes pieds ont tellement faim de caresse... Tandis que mes jolis tétons n'en peuvent plus, mon clitoris si spécial entre mes cuisses me tourmente de plus en plus, oh oui, me tourmente d’appétit. Vais-je l'entreprendre lui aussi ?
(à suivre)
Homme, 30 ans, France, Hauts-de-France
recit qui demande a etre poursuit j attend la suite avec impatience
Homme, 61 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Je salive encore mes doigts... Puis j'ose glisser ma main en bas, j'écarte encore afin qu'elle se fraye un passage. Est-ce la moiteur ou l'humidité et la liqueur de mes doigts, je sens comme de la rosée tout au creux de ma secrète. J'appelle "ma secrète" ce que ma pudeur m'empêche d'appeler par le vrai mot, ce coffre fort qui sait si bien se refermer alors qu'il ne demande qu'à s'ouvrir pour de tendres cambrioleurs(euses).

tandis que j'humecte ma secrète, je sens tout mon corps se détendre. Était-ce la nuit où j'avais si mal dormi ? En effet, j'avais passé des heures à penser ma tenue pour le lendemain. Cela n'a l'air de rien, mais la façon d'habiller mes jambes, bas noirs ? blancs ? collants ? short court ? a pour moi beaucoup d'importance.

Car, quoi de plus beau ? Qui pour décrire la beauté des jambes recouvertes de bas ? Tout y est à goûter ! Depuis les pieds nonchalants, qui glissent l'un vers l'autre comme dans une approche amoureuse, les mollets, puis genoux puis enfin les cuisses...
Qui pour décrire la sensation des doigts sur le nylon d'un bas ? d'abord ce doux murmure, cet imperceptible crissement sur les fibres de nylon qui se tissent, s'accouplent sur la jambe à l'infini...

Mais le collant blanc par dessous un short très court en jean ? N'est-ce pas aussi magnifique ? Bien sûr, c'est un peu plus compliqué pour aller aux toilettes. Mais, le savez-vous ? Oh.... je n'ose pas vous le dire... Vais-je y parvenir ?

Le savez-vous ? Quand je m'installe sur la cuvette blanche (toujours impeccable comme si je devais y boire) de mes toilettes, que je retire mon short, mes collants puis ma petite culotte de dentelle, (J'aime les culottes en dentelle à la condition qu'elles aient le devant en lycra pour un meilleur maintien), je suis incroyablement excité(e) à la vision de mes sous-vêtements (que j'aime garder toujours impeccables eux aussi, malgré parfois quelques incidents dans la journée), j'aime voir, en particulier, ma culotte qui s'alanguit sur mes genoux ou en bas de mes mollets, attendant patiemment que mon pipi soit terminé.

Donc, disais-je, j'ai très mal dormi la nuit précédente. Ayant tant de difficulté à choisir avant d'opter pour mes bas blancs. Alors que ma main s'aventurait toujours entre mes cuisses, mon esprit s'est mis à vagabonder. Comme s'il s'évaporait en un pays magique du désir. C'est alors que, au bout peut-être d'une dizaine de minutes, j'ai entendu des pas qui s'approchaient dans le couloir.
(à suivre)



Modifié 2 fois. Dernière modification le 20/05/25 19:27 par Oasis17100.
Couple, 47 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Merveilleusement écrit...superbe récit sensuel et érotique... une lecture ennivrante



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/05/25 23:35 par sensualbodygirl.
Homme, 61 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Merci beaucoup pour votre appréciation. La suite arrivera bientôt...
Homme, 61 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
N'hésitez pas à apporter vos appréciations si cela vous plait. Cela m'encourage à écrire les suites...
Homme, 61 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
L'excitation sensuelle, pour ne pas dire sexuelle et érotique, que je ressentais dans tout mon corps a alors fait place à un sentiment bien plus désagréable, la peur voire l'effroi.
Car j'étais tellement abandonné(e) à mon plaisir, à mon désir.. Et si quelqu'un entrait ! Mon Dieu. Je n'aurais pas eu le temps de changer de position, de situation et surtout de me changer d'habit. Je me sentais piégé(e).

Mais je me trouvais aussi d'une humeur bien étrange : comme si j'étais dans un drôle de monde, de l'autre côté d'un miroir. Je ne m'expliquais pas cette situation.

Elle me rappelait un peu la déréalisation que j'avais ressenti lors de mes crises d'angoisse. J'avais en effet eu des crises d'angoisse. Le seul moyen que j'avais trouvé pour les calmer, c'était de me masturber copieusement, de masser bien comme il faut mon gros clitoris, de saliver mes seins - Oh faire couler sa salive sur ses tétons ! Puis de saliver mon entre cuisse jusqu'à mon cul, de bien insister sur l'orifice, puis de m'entreprendre jusqu'à ce que tout mon être exulte. Tout cela pour dire que la crise d'angoisse peut être quelque chose d'évidemment très désagréable, et qui peut entraîner dans une sorte de déréalisation. Comme si l'on se trouvait tout à coup dans un autre monde.

Là aussi, j'étais dans un autre monde, mais bien moins désagréable que celui que je connaissais en crise. C'était au contraire bien agréable. J'ai entendu alors les pas se rapprocher jusqu'à la porte. Et si c'était lui ? Je n'osais y penser. Je sentais mon cœur à se rompre par dessous mon soutien gorge, dessous mes seins. Je ne pensais plus, bien loin de là, à les caresser. Je refermais mes cuisses, je les serrai fort à sentir une chaleur dans mon bassin, comme si j'avais eu peur du viol.

Alors, la poignée de la porte tourna, puis elle s'ouvrit. Que pouvais-je faire ? Comme toute réponse, je cachais mon visage dans le coussin de mon canapé, je fermais les yeux. J'attendais. Je l'entendis s'approcher. Je ne connaissais pas son parfum, mais je le reconnus pourtant, Maison rouge de Guerlain, aux senteurs de patchouli. Il ne dit rien mais je devinai qu'il s'accroupît vers moi, à hauteur de mes jambes. Bientôt, le murmure de son souffle vint à mes oreilles.
(à suivre)
Homme, 61 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
À ce stade de mon récit, ne m'en voulez pas si je fais une parenthèse. Car, il me faut à présent évoquer la genèse de toute cette histoire. C'est à dire, comment je me suis retrouvé(e) ainsi, dans cette maison étrange, sur ce canapé.

Mon métier dans l'expertise linguistique ainsi que le télétravail me le permettant, nous avions acheté une belle et vieille maison, loin de Paris, dans l'un des plus beaux villages de France dans les Causses, à la Couvertoirade, une ancienne place forte des templiers, qui, on le disait furent peut-être des plus dépravés.

Une grande et belle maison d'au moins 250 m2, venue directement du Xvème siècle. Nous l'avions acheté d'un prix moins élevé car la maison en question avait un mystère : il existait une vieille porte dans l'une des chambres, qui semblait ne donner sur rien... L'agent immobilier avait été catégorique : n'essayez pas d'ouvrir cette porte, nous commanda-t-il, il parait qu'elle ne s'ouvre sur rien. Mais une légende templière dit qu'elle est sacrée et qu'elle doit à jamais rester fermée.

Mais qu'importe. La propriété était pourvue d'un grand jardin, sans vis à vis, et le jour même de l'achat, je courus m'y étendre sous le soleil. Oh, la plénitude ! Je n'étais habillé(e) que d'un léger vêtement d'été que j'ai vite ôté et jeté au loin. Je ne gardai que mon petit slip noir en lycra, car j'avais peur d'être importuné(e) par quelques habitants de la pelouse.

Je me suis étendu(e) de toute ma longueur sur l'herbe bien grasse, si chaude et accueillante... Oh, une telle osmose avec la nature est inoubliable. Je sentais la pelouse sous ma poitrine, mon nombril, mon pubis par dessous le slip. La chaleur caressait mes jambes, je commençait doucement des mouvements de va et vient avec mon ventre. Mon pubis s'enflammait tandis que j'écartais les jambes. Je ne faisais plus qu'un(e) avec la nature. Je voulais.. Tout à coup, là sur l'herbe, je voulais que tout mon corps exulte.

Subrepticement, ma main s'est glissé dans mon slip. Mon petit secret était gonflé. Mon slip était légèrement mouillé. Qu'était-ce ? Un peu d'urine ou de la rosée merveilleuse ? J'aime cette humidité, j'aurais eu envie de lécher mes doigts. Mais ils avaient autre chose à faire : ils sont descendu toujours plus bas, se sont aventurés jusqu'à mon petit paradis : l'ilot sombre au milieu de mes fesses, mon anus. Oh, j'aurais voulu qu'une langue bien attentionnée me le mouille, me le lave consciencieusement, puis se glisse – tout doucement, il est tellement sensible - et détende mon petit trou serré et merveilleux... J'imaginais la pression de la langue amie, ses mouvements d'abord sur mon joli sillon, la salive qui s'y coule, ohh, qui gagne bientôt mon anus et ses petits plis tout vibrant sous la langue qui s'affaire. Puis enfin qui mouille le petit trou. Oh, je prierais ! mes prières iraient au Dieu des plaisirs : afin qu'il y ait un doigt pour abuser mon petit orifice si serré...
(à suivre)



Modifié 2 fois. Dernière modification le 25/05/25 19:00 par Oasis17100.
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