A la lecture de ce sujet me reviennent des souvenirs comme par exemple quelques instants mémorables pour le gamin de 11 ou 12 ans que j‘étais. Désolé si c’est un peu long, mais pas facile de décrire ce que j’ai vécu en résumé, sans que cela ne perde de sa saveur et de sa candeur…et j’avoue c’est excitant de se remémorer en détails ces instants.
Donc j’étais, comme souvent en juillet, en vacances chez ma grand-mère dans un petit village de sologne. Mon grand-oncle, veuf qui vivait seul à quelques kilomètres de cette dernière, avait décidé un matin, vu la profusion de fruits qu’il récoltait prématurément, de faire des confitures. Sa voisine devait l’aider, et ma grand-mère allait lui fournir les pots en verre. J’eus pour mission de lui porter un carton rempli de ces derniers en tout début d’après-midi.
Avec la chaleur tout s’arrêtait dès midi, ainsi j’ai traversé un village désert digne d’un western. En arrivant chez lui, j’ai trouvé tous les volets clos, a priori il ne m’attendait pas si tôt. Afin de ne pas le réveiller, car je savais qu’il était adepte de la sieste, je fis le tour de sa maison. Les volets de sa chambre était presque clos, maintenu ainsi par un fil de fer, pour laisser passer un peu d’air et un filet de lumière. En m’approchant je reconnu le son de sa voix. Il ne dormait donc pas. En plaçant mon œil discrètement, entre le volet et le mur je vis mon oncle de dos. En face de lui debout, et à côté du lit, je reconnus Chantal sa voisine, la quarantaine, assez grande, brune un peu maigre, avec un visage ingrat dévoré par une grande paire de lunette. J’avais du mal à saisir leur conversation.
- Allez montres les moi…
- Non je suis une femme mariée… je ne peux pas…
La voix de Chantal était bizarre comme si elle jouait à la petite fille. Elle était d’habitude beaucoup plus sûre d’elle et même presque arrogante et délurée. Ma grand-mère ne l’aimait pas, la trouvait vulgaire. Elle me conseillait aussi de ne pas trop trainer avec ses @#$%& qu’elle qualifiait de « mal élevés ». Il faut dire que son mari ouvrier passait son temps entre le l’usine et le bistrot et qu’elle se débarrassait d’eux le plus souvent possible à l’école ou au centre aéré comme on disait à l’époque. Évidemment leur éducation n’était pas celle qui était bien vue dans cette campagne traditionnaliste.
- Allez juste montre les… Je te donne 10 francs…
- Mais vous me prenez pour qui ?
Le jeu continuait, j’essayais de comprendre leur conversation, et à mon âge ce n’était pas facile, mais cela m’intéressait. Je n’aurais raté pour rien au monde la suite, car je pressentais que cela allait être captivant.
Mon oncle venait de sortir de son porte-monnaie une pièce de 10 francs et lui tendit. Elle la prit et la glissa dans sa poche. Dans un soupir, elle déboutonna le haut de sa robe d’été et écarta les deux pans. Je vis un soutien-gorge blanc assez rempli. Puis d’un geste brusque le souleva. Je vis à quelques mètres de moi ses deux seins lourds et un peu flasques, pendre. Mon oncle fit un geste pour les toucher, elle se recula d’un pas. Il insista. Elle se laissa faire. Il lui écrasait les pointes et malaxait l’ensemble. Ça ne semblait pas lui déplaire…
J’étais scotché à mon poste d’observation. Je n’osais même pas me toucher ou même bouger de peur d’être surpris. Je devais faire déjà de gros efforts pour ralentir ma respiration qui devenait trop rapide… Finalement je n’ai pas résisté j’ai baissé mon short et j’ai commencé à me masturber maladroitement, d’instinct. J’avais déjà essayé un peu dans mon lit mais sans arriver à mes fins…
Maintenant mon oncle était presque collé à elle et continuait à la peloter.
- Hummm montre-moi ton cul… ton joli petit cul que j’adore…
- Je sais pas si je peux… c’est pas bien…
Elle minaudait toujours avec cette voix d’ingénue que je ne lui connaissais pas.
- Aller tient prend..
Il venait de sortir de sa poche un billet, qu’elle attrapa prestement. Mon oncle se recula un peu. Elle se retourna et remonta sa robe jusqu’aux hanches. Je vis une culotte blanche de coton qu’elle baissa rapidement. Les mains de mon oncle reprirent leur action de pétrissage cette fois sur ses fesses blanches. Elle se laissait faire. Il glissait ses mains entre les deux globes et remontait. J’entendais leur souffle s’accélérer. Il la fit se retourner et je pu voir pour la première fois en vrai un pubis de femme, il était très touffu. J’avais beau essayer de deviner on ne voyait que du poil noir, une vraie fourrure animale. La main de mon oncle pris directement le chemin de la forêt en son centre.
Sous ses doigts les poils s’écartèrent et je pu deviner des parties de chair rouge écarlate.
Il la fouillait frénétiquement. Elle semblait aimer cela. Tout à coup un ou deux doigts rentrèrent en elle, j’étais ravi. Elle aussi car elle a gémi et bondi sur le lit en écartant les jambes au maximum. Je voyais vraiment bien les deux doigts qui entraient et sortaient ainsi et qui remontait plein de mouille sur son clito (dont je ne savais pas le nom a l’époque). Elle était allongée en travers du lit en train de se faire doigter par un vieux qui avait presque deux fois son âge, et elle prenait son pied…
Elle venait de prendre ses seins entre ses mains et se les malaxait tout en accompagnant le travail des doigts par des mouvement de bassin. Tout occupé à découvrir l’anatomie féminine qui pour moi était encore très mystérieuse, je n’avais pas remarqué que mon oncle, de sa main libre avait ouvert son pantalon et manifestement se donnait aussi du plaisir. Les deux étaient de plus en plus bruyants. Leurs grognements, et le clapotis des doigts pilonnant Chantal étaient très forts. Mon oncle avait baissé son pantalon, il a voulu s’avancé encore plus. J’étais déçu, je ne voyais plus rien que ses fesses à lui… D’une main Chantal le repoussait mollement.
- Putain je vais te la mettre, j’en peux plus de ta chatte… j’ai trop envie…
- Non tu sais bien je peux pas…
Elle avait repris sa voix de femme, habituelle. Mon oncle s’écarta et pris un autre billet qu’il lui jeta. Elle l’attrapa prestement.
- D’accord mais tu fais vraiment gaffe hein… Finis pas de dedans, j’ai pas envie d’un quatrième… L’autre con m’a pas touché depuis six mois ça serait la merde…
- Hummm elle est bonne ta chatte…
Mon oncle venait de s’avancer entre ses jambes, je ne voyais plus rien que ses fesses et ses mouvements de va et vient. J’étais un peu déçu car l’anatomie féminine m’excitait bien plus que le tableau d’ensemble.
- Hummm t’es trop bonne… ta chatte est bouillante …
- Ouii oui vas-y bourre moi bourre moi… hum ça fait du bien Ahaha..
Mon oncle s’était reculé, je pouvais à nouveau voir un peu mieux son sexe qu’il pénétrait de deux puis trois doigts. Elle était de plus en plus bruyante.
- Vas-y lache toi ma salope gueule vas-y…
- Ouiii éclate moi bien… fait moi reluire…
Ses doigts rentraient maintenant facilement, le trou restait béant quand ils sortaient.
Mon oncle se rapprochait à nouveau j’allais encore ne plus rien voir hormis ses grosses fesses. Mais par chance il se tourna un peu de côté et je compris pourquoi il la doigtait ainsi…
Je vis sa main tenir son sexe un peu mou et le rentrer en l’accompagnant même un peu à l’intérieur. A priori il avait des problèmes d’érection. Je ne comprenais pas trop ce phénomène, car pour moi, à l’époque cela n’était pas concevable. Il tenait serré son sexe entre le pouce et l’index alors que le majeur accompagnait le reste à l’intérieur, comme un tuteur. La pénétration était plus laborieuse qu’au début. Il finit par glisser deux doigts avec son sexe mou maintenant et reprendre ses oscillations. Elle semblait adorer se faire écarter ainsi. Le mouvement, la position m’interdisait de bien voir la scène, mais je devinais qu’il avait de plus en plus de doigts dans l’orifice. Il rentrait presque à moitié sa main, le trou était de plus en plus béant, et son sexe était de plus en plus ridicule à l’entrée de cette caverne. J’étais aux anges n’en perdant pas une miette afin de garder ses images gravées pour mes longues soirées seuls au fond de mon lit… Là je me branlais déjà comme un fou, avec ce cours accéléré, j’étais passé du débutant au mode presque expert.
Mais le téléphone se mit à sonner. Mon oncle continua un peu ses va et vient. Puis s’arrêta et parti répondre, en remontant son pantalon. J’avais ainsi le sexe de Chantal à deux mètres de moi totalement ouvert. Elle était restée ainsi attendant son retour.
J’en profitais pour le détailler, quand je vis sa main se poser sur son clito. Elle commençait à se donner du plaisir ainsi et se finir. J’étais surpris de la pression énorme qu’elle exerçait dessus, ainsi que de la vitesse du mouvement. Je n’avais jamais vu une fille se caresser à l’époque et je ne pensais pas que cela pouvait être aussi frénétique. J’étais surpris aussi qu’elle ne se pénètre pas et ne descende pas plus bas. Elle glissait parfois un peu sur ses lèvres prendre de la mouille mais remontait bien vite écraser son clitoris. Au bout de quelques secondes elle s’arc-bouta bloquant sa respiration, et jouit dans un râle.
J’en pouvais plus je me sentis défaillir…ma tête tournait un peu et je vis un liquide sortir de ma verge pour la première fois, comme si j’urinais mais avec une sensation étrange… par à coup.
Mais très vite je revins sur terre, dans la pièce d’à côté, je compris à la conversation que mon oncle était au téléphone avec ma grand-mère. Elle voulait savoir si j’étais bien arrivé. Je ne pouvais plus rester la … Chantal compris aussi que la récréation était finie. Elle se redressa, se leva, remonta sa culotte et rajusta sa robe. J’en fis de même.
Je filais faire mon entrée en frappant à la porte de devant, et en justifiant mon retard par un déraillement de ma chaine de vélo…
J’ai essayé d’autre fois de surprendre, mon oncle et Chantal ; malheureusement aucune occasion de ce type ne s’est présentée. Mais cette scène m’a permis de découvrir très jeune les jeux de rôle sexuels, ce qui m’a donné des envies un peu plus tard de les reproduire. A l’époque, ensuite, j’ai essayé de jouer ainsi avec la fille de Chantal, mais c’est une autre histoire.. Si ça intéresse du monde je pourrais aussi essayer de décrire tout ça en privé en échange de vos anecdotes du même genre... Je suis friand des récits des premiers émois, et principalement si ce sont des femmes qui racontent, ça me fait bien plus d’effet que ceux des hommes qui me ressemblent trop…
