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MISSION TEMPETE DU DERRIERE

Envoyé par JB41 
MISSION TEMPETE DU DERRIERE
Saturday 21 June 2025 10:39

JB41
Femme, 99 ans, France
Tout commença par un cadre d’ordre militaire pour une mission dont j’étais l’objet. Destiné au sergent T. de passage dans la région.
Nous connaissions ce mister T blanc (prononcé à l’anglaise : mister Ti) car il était déjà passé à la maison pour me démonter la chagatte avec son gros canon à sperme digne d’un char tigre du IIIème Reich. Dur comme un pied de biche, long et épais à la base avec un évacuateur de fumée en pointe pour mieux démonter ses victimes et fouiller les turbines à chocolat récalcitrantes, il savait aussi bougrement bien s’en servir.
Maître, ancien officier faut-il le rappeler l’avait choisi pour me faire parler. Me faire avouer que quand un intrus se glisse dans mon panier à crotte, c’est trop bon.
Ainsi, il lui avait envoyé par une application codée les ordres suivants :
Un PATRACDR puis un SMEP.
Le PATRACDR :
-Personnel : Le sergent T et monsieur X… (un copain à lui que je ne connaissais que de nom)
-Armement : Le sergent sera équipé de son zob calibre 12 prêt à servir. Celui-ci sera chargé à bloc, bourses pleines (interdit de vidanger pendant 48h avant l’opération).
-Tenus : Peu importe pourvue que ce soit léger, on finit tous à poils.
-Radio : A charge monsieur X d’avoir 1 Smartphone pour recueillir les images des aveux et servir de témoin à charge et surtout à décharges.
-Alimentation : Prévoir bouteilles d’eau parce que ça va chauffer dur.
-Camouflage : sans objet
-Divers : Prévoir capotes britanique pour les 2 participants
-Rassemblement : Tel jour, telle heure, chez nous tel adresse.

Le SMEP :
1-Situation :
Juliette nie le fait qu’un gros calibre dans son oignon soit un bienfait pour son épanouissement, l’objectif sera de lui faire avouer par la contrainte s’il le faut, que c’est bon. Le conditionnement sera la clé de la réussite de la mission.
Pour cela, j’ai besoin d’un sous-officier robuste et d’un homme du rang, civil accepté.
2-Mission :
Obtenir des aveux tacites en la faisant jouir par tous les trous, puis dans un deuxième temps par reconnaissance vocale.
Lui faire avoir au minimum 3 orgasmes dans la soirée par bondage dans un premier temps (en excluant la douleur), puis par envie de récidive.
3-Excécution :
Phase 1, la prisonnière (moi) sera attachée les mains dans le dos. Habillée d’un veste vinyle noir avec bouton pressions sur le devant. Elle ne portera pas de soutif mais aura une culotte rouge.
Phase 2, le sergent T se placera derrière elle afin d’exécuter des préliminaires avec objectif de la faire mouiller. Monsieur X sera tenu de noter toutes ses déclarations et de filmer les évènements.
Phase 3, nue, elle gardera son bandeau sur les yeux pendant que le sergent T lui remplira les trous.
Monsieur x et moi-même (maître) serons en réserve d’intervention pour suppléer le sergent durant cette phase.
4-place du chef : 2 mètres devant pour diriger les opérations en cours.
Les consignes étant passées, je me suis mise en condition le jour J et l’heure H. Nos hôtes étant arrivés, je fus ligotée les mains dans le dos bandeau sur les yeux. Je connaissais donc le sergent T et me délectais toutefois à l’avance de l’orgasme qu’il devait me faire atteindre. En revanche, bien que je connaissais M. x de nom, je ne l’avais jamais rencontré. J’avais déjà mon bandeau lorsqu’il est rentré dans le salon où j’allais subir mon interrogatoire. J’étais debout face à eux trois quand cela à commencer. M. x et maître étaient assis dans le canapé alors que le sergent se mit derrière moi. Il commença par me prendre délicatement par le cou pour ensuite descendre ses mains le long mes épaules, mes bras et mes cuisses. Puis il les remontait le long de mes hanches en faisant remonter ma robe faisant apparaitre ma culotte. Elle était rouge et transparente, j’imaginais déjà le regard lubrique de M. x qui avait commencé son travail de voyeur preneur de notes, j’entendais le cliquetis du déclenchement des photos du smartphone.
Le sergent continuait sa mission, il en était à la phase 1 et entamait de déboutonner le devant de ma robe après m’avoir touché la chatte à travers la culotte et en dedans, il m’avait délicatement frotté la moule qui commençait à mouiller sérieusement. Ensuite il me pinça les tétons ce qui a sur moi un effet aphrodisiaque immédiat. Il voulut me descendre la culotte quand maître lui signifiât de me retirer intégralement la robe d’abord. Au paravent, agenouillée, je dus lui sucer son dard poilu. Toujours devant M. x dont je sentais bien la présence devant moi. A nouveau debout, je fus mise à poils après que le sergent eu baissé ma culotte. Il entreprit alors de me doigter. Ma vulve était déjà trempée. Je sentais son doigt aller et venir dans mon vagin et parfois tournoyer sur mon clitoris, son autre main me pelotait le nichon et me pinçait le téton. M. x était à ce moment tout près de moi. Le sergent changea alors de position pour se mettre devant moi continuant à me doigter. C’était bon de se sentir fouillée ainsi. De son autre main, avec un doigt il me titillait l’anus pour le préparer.
Toutefois, cela ne suffisait pas. Maître avait décidé de me faire hurler de plaisir avant la grosse pénétration. Toujours avec le bandeau, toute nue, je fus emmenée sur le canapé. Presque allongée sur le dos, les cuisses écartées, M. propre continuait à me fourrer avec les doigts quand maitre intervint avec son rasoir branleur de clito (mon jouet préféré, de son invention, explication sur demande). Le sergent m’écartait les lèvres de la chatte et maître me faisait vibrer le clitoris sous le doigt artificiel du rasoir en question. J’eu mon premier orgasme en à peine une minute. Le rire du sergent, ses doigts en dedans, et le rasoir sur mon clito faisait un cocktail explosif.
Le tout filmé par M. x, le salopard qui se réjouissait du spectacle pornographique que nous lui fournissions.
J’avais joui et j’étais trempée, j’avais avoué à qui voulait l’entendre que c’était divin par des cris de jouissances aigus. Je n’eus pas le temps de souffler qu’on me retira le bandeau. Je découvris le personnage de M. X qui par ailleurs avait sorti son sexe tout dur et fin de son jean. Je haletais et n’eu pas la politesse de lui dire bonjour. Je l’ai regardé furtivement du coin de l’œil alors que maître me mis en position de levrette, attablée devant la table du séjour. Je venais d’être comme une esclave nue trimbalée à la travers la pièce sous le regard avide de l’employé de service. C’était avilissant et jouissif à la fois.
Le sergent T. enfila une capote et me pénétra profondément la chatte comme il savait si bien le faire. Sa grosse bite était dure comme un missile du plateau d’Albion. Ses aller et venue me démontait la vulve à chaque fois. J’allais hurler (de plaisir) comme une écolo folle qui croit que la planète va cuire quand un gros Dodge V8 essence passe dans sa rue, lorsqu’il fit un coïtus interruptus soudain…. Laissant ma chatte vide, explosée comme un cratère de volcan grand ouvert. Jouant les Haroun Tazieff , je vis M. X la bite serrée dans sa main se précipiter pour y jeter son œil glauque de voyeur pervers. Je reprenais ma respiration. Lorsque je sentis le gros zob à la tête d’obus me toucher l’anus. Deux mains m’incarcèrent les fesses. Je sentis le froid d’un gel lubrifiant me parcourir la raie et le petit trou. Le moment était arrivé.
Puis je le sentis s’enfoncer doucement mais surement, sans à-coups, dans le fondement de ma boite à caca. Nulle douleur mais un plaisir insidieux et vertigineux me saisissait. Il me l’avait tellement bien enfoncé que j’avais du mal à respirer comme si son gland venait par l’intérieur me boucher le nez. Puis après l’avoir retiré sur les 3 quarts de sa longueur, il revint en moi… et ainsi de suite, provoquant de petits cris de jouissance que je ne pouvais étouffer, j’avais pourtant la bouche grande ouverte comme pour soulager la fluidité de l’air pulsé par la seringue de mon inquisiteur.
C’est à ce moment, que maître me fit avouer que c’était bon. Il m’était impossible de réfléchir et les injonctions de maître à avouer mon orgasme eurent leurs échos par des poussées de «oui » haletants. J’eu un orgasme puissant et bruyant qui me fit trembler les jambes quand le soldat se fût retiré.
Je restais une poignée de secondes à reprendre mon souffle avant de retourner m’assoir le cul en compote de pommes. Les 3 mecs me matèrent le sourire en coin.
Le sergent s’était vidé dans sa capote à l’intérieur de mon cul et les 2 autres se tenaient la bite. Ils s’approchèrent de moi. Assise, sur ordre, je dus les sucer tour à tour jusqu’à ce qu’ils jouissent. Maître m’aspergeât le visage de foutre alors que l’autre se vida dans ma bouche. Si je lui en recrachai un peu sur le gland, je dus en avaler une grosse gorgée.
L’opération tempête du derrière prenait fin, j’avais avoué que c’était bon de se faire enculer même par un calibre hors norme. Un peu plus tard dans la soirée, je me fis re-ken par le sergent T. cette fois ci sur la table du salon par la voie agrée par l’église de Rome, Bergoglio ne m’en voudra pas à l’heure où il vient de partir faire son compte rendu au seigneur tout puissant. C’était aussi juste l’histoire d’en reprendre une bonne couche et de remercier ce soldat d’élite qui, par sa fougueuse jeunesse pouvait bien assurer une deuxième fois.
Remercions maître JF de m’avoir initié à la méthode de raisonnement tactique simplifiée et de m’avoir rappelé pour le coup, les cadres d’ordres règlementaires inhérents à cette mission, afin que je puisse vous la conter le plus justement possible.
Vivement le prochain interrogatoire.
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