Votre première fois

Bonjour,votre première fois était a quel âge?Ca vous a plu?

Moi 14 printemps avec une fille de 17 ans je eu le droit a ma première pipe et au depucelage mais sa était un peut rapide de mémoire

J'avais 16 ans . Dans la voiture avec mon petit copain de l'époque.
J'en ai pas gardé un souvenir mémorable..forcément douloureux.
Je n'avais d ailleurs pas osé toucher ton sexe. J'étais impressionnée et timide.

Moi commencer tard 19ans. Sinf
Elle même âge
Depuis je me suis un peu rattrapé ouff

Moi,a 14 ans,avec le jeune voisin,14 ans lui aussi,c´était uniquement pour essayer,ce n´était pas super.

Généralement la première fois est jamais super mais tout le monde passe par la

J’ai une première fois hyper soft (pas de rapport sexuel) pour ceux qui sont nostalgiques comme moi de la naïveté de l’adolescence à la campagne à une époque pas ou le porno n'était pas courant. Pour les habitués de mes récits, ceci s’est produit après l’exhibition involontaire de mon oncle avec sa voisine Chantal.
Cette dernière avait une fille dans mes âges, prénommée Murielle. Malgré les mises en garde de ma grand-mère (qui la trouvait peu fréquentable) je prenais plaisir à discuter avec elle lorsque je la croisais dans le village. Je la retrouvais parfois dans le lavoir, lieu complètement abandonné des adultes, depuis l’arrivée massive de l’eau courante et des machines à laver. La jeunesse du village y avait son quartier général secret, loin des regards des grands.
Après cette scène entre Chantal et mon grand-oncle mon cerveau tournait en boucle, et les draps s’en sont souvenus longtemps… Je fantasmais de réaliser la même chose avec Murielle. Mais comment lui proposer un tel scénario ? J’étais affreusement timide avec les filles et elle était très délurée et très bavarde…. Je craignais qu’elle ne se moque de moi et qu’elle ne parle de ma proposition dans le village où tout se savait très vite !!!

Comme souvent le hasard et la patience ont bien fait les choses. Un matin en faisant les courses pour ma grand-mère, je la croise et on se retrouve au fameux lavoir. On parle de banalités et je finis sans vraiment réfléchir, par me vanter d’avoir reçu cette semaine, pas mal de pourboires, grâce à de nombreux services rendus à mon entourage. Elle était très envieuse, car elle n’avait jamais l’occasion d’en avoir. Sa famille était plutôt pauvre et elle n’était pas non plus très serviable et courageuse…
Sans vraiment réfléchir je lui dis que moi je pourrais lui en donner si elle me rend des services…
Elle dit en riant :
Tu veux que je te fasse les courses ou que je lave ton vélo ?
Euh non…
Puis suivi un long silence je ne savais que dire et je me sentais mal, presque pris dans mon propre piège involontaire. Murielle fini par briser le silence :
Je pourrais te… montrer un truc…
Quoi ?
J’étais tétanisé, n'osant rien laisser paraître, je faisais l’âne pour avoir du son comme disait souvent ma grand-mère.
En me regardant dans les yeux elle me dit :
Mes nichons ….
Je répliquais bêtement :
Tu en as toi ?
Oui bien sur des petits mais ils poussent bien… T’en a déjà vu ?
Euh oui …un peu…
En photo... Mais des vrais de près, t’en as vu ?
Euh...
J’étais tout rouge je ne savais plus quoi faire… et j’osais même plus la regarder.
Tu me donnes combien pour les voir ?
Je marmonne 1 francs…
T’es fou ça vaut plus…
Mais ils sont tout petits, je suis sûr …
Pour moi 1 franc c’était déjà énorme, car les pourboires moyens dans les années 70, c’était des pièces jaunes, de 10 ou 20 centimes.
Allez d’accord, donne-moi 1 franc et tu peux les voir de près, vite fait.
Pris par le jeu, je sortis de ma poche la fameuse pièce avec la semeuse, qu’elle empocha prestement, un peu comme sa mère avec mon grand-oncle !!!
Elle souleva son tee-shirt et je pu admirer deux petites bosses très peu épaisses, avec des pointes fines à peine plus grosses que celles des garçons.
Je peux toucher ?
Je n’ai pas attendu sa réponse, mes mains ont fondues chacune sur un sein. J’ai essayé de reproduire les actions de mon oncle. Mais il y avait peu de choses à palper. Même les pointes étaient difficiles à saisir entre deux doigts tellement elles étaient petites. Cela semblait pourtant lui plaire, car j’ai eu l’impression d’entendre sa respiration s’accélérer. Je pressais et palpais dans tous les sens. Peut-être un peu trop brutalement… Elle recula d’un coup et rabaissa son tee-shirt.
Je n’ai rien vu …
Tu parles t’en a vu assez et tu ne devais pas toucher…
Aller encore un peu.. j’ai pas bien vu… s’il te plait…
T’en assez pour 1 francs !
Aller….soit sympa…
Non c’est fini ou tu me redonnes 1 franc !
J’en ai plus !
Je mentais, il me restait une pièce mais j’étais très déçu, ses seins n’étaient vraiment pas ceux de sa mère dont je rêvais depuis des semaines !!
Fâché et mauvais joueur je devenais méchant...
- ils sont nuls tes nichons pas de quoi peloter… rend moi ma pièce !
- tu te prends pour qui pauvre puceau… c’est déjà pas mal pour toi !
Je ne compris pas le mot « puceau » mais je savais que ce n’était pas un compliment !
Elle fila aussitôt… Et je restais seul dans le lavoir, avec l’impression de m’être fait arnaquer.
Plus jamais je n’eus l’occasion de revoir sa poitrine ou de rejouer au jeu d’argent avec elle. Elle eut peu de temps après un copain plus grand avec une mob, et elle n’a plus parlé aux gamins de mon âge. Elle est devenue très vite une « grande » avec des minijupes et du maquillage… Moi je suis resté un gamin qui trainait au lavoir. Une chance, toutes les filles du village n’ont pas grandi aussi vite qu’elle, et j’ai eu d’autres expériences au lavoir.
Si certains veulent la suite … tout aussi soft évidemment, il y a qu'à demander.

Allez, je mets un franc dans le nourin pour demander la suite…

deux francs!!!

Merci pour la petite participation financière, ca fait plaisir, je vais me racheter une tirelire pour les ranger...

Voilà la suite, pour ceux qui attendent du hard, désolé. Sinon ravi de faire plaisir aux passionnés d’anecdotes softs. Perso ça m'amuse vraiment de me rappeler tout cela aussi, alors profitons…
C’est donc quelques mois plus tard, toujours au lavoir, mais avec une autre fille du même âge, prénommée Nathalie. On parlait de choses et d'autres et notamment d’embrasser sur la bouche, comme dans les films. Elle m’a expliqué les détails car elle avait une grande sœur qui lui avait tout détaillé.
Je comprenais bien le principe mais n’arrivait pas à bien imaginer le travail de la langue.
Je pensais bêtement que le baiser s’arrêtait au contact des lèvres. Je me rappelle évidemment que partiellement les échanges réels évidemment, car ils furent de mémoire très longs et décousus voire même interrompus et repris à plusieurs occasions … J'étais très timide avec les filles alors je prenais le prétexte de la technique, pour évidemment passer à la pratique.. Méthode de drague nulle avec de grosses ficelles, une chance les filles à cette époque n’étaient ni très farouches, ni difficiles…Mais en gros le dialogue se rapprochait de ceci, quand Nathalie m’expliquait en détail la pratique :

-Tu mets ta langue dans la bouche de la fille et tu tournes autour de la sienne…
-T’es sur ? C'est bizarre…
-Pourquoi tu crois que ça s’appelle rouler une pelle alors ?
-T’as déjà fait toi ?
-Non, faut être amoureuse…
-Dans les films elles ne le font pas qu’avec leurs amoureux !
-Oui mais c’est pas bien… moi je le ferai qu’avec mon amoureux…
-Tu crois que tu y arriveras du premier coup ?
-Si il m’aime, il m’apprendra !
-Et si il sait pas non plus ?
-Ben on apprendra ensemble…
-Et si tu le fais mal et qu’il sait bien faire, tu passeras pour une cruche…
-Vaut mieux passer pour une cruche que pour une salope…
-Oui enfin moi j’aimerais bien que ma copine sache bien faire…
-T’en as une
-Euh… non, la non…
-Tu as déjà embrassé une fille même juste un piou ?
-Euh…
-Pourquoi tu rougis …. Ahhh tu vois t’es pas si fort !!!
-Non mais moi je demande qu’à apprendre !
Un long silence….. un peu de gêne… Je n’osais rien dire de plus, toujours ma timidité. Mais d’expérience souvent ça valait mieux que dire une bêtise de plus…
Nathalie me regarda dans les yeux face à moi.

-Tu veux essayer ?
-Bah…oui…
-Je te plais pas ?
-Si si… mais bon…
-On risque rien c’est juste un essai. Je voudrais voir en vrai…
-Ok
Nathalie s’approcha et posa très très lentement ses lèvres sur les miennes, par réflexe je lui fis un bisous sur sa bouche à moitié ouverte…
Pas un piou, c’est pas drôle, je veux essayer la pelle !!! Vas y mets moi la langue…
Ok désolé..
Elle se rapprocha à nouveau et ouvrit doucement la bouche, et je fis de même… Nos dents se touchaient presque par moment, et je n’arrivais pas trop à savoir que faire de ma langue.
Doucement, je la pointais vers sa bouche, mais en touchant la sienne je la rétracte machinalement. Elle se recula…

-T’es con ou quoi je t’ai dit qu’il faut que les langues se mélangent et se touchent…
-Ok désolé je savais pas….

Je n’étais vraiment doué…

-Je vais essayer à ta place, il paraît que la fille peut le faire aussi.
-Ok…

Cette fois enhardi, elle colla ses lèvres sur les miennes j’avais à peine ouvertes les miennes que ma bouche fut envahie par une langue furieuse et hyper active… J’étais tétanisé entre la peur et un peu l’extase… Mais j’étais trop passif pour elle , elle cessa rapidement.

-Alors tu as aimé
-Euh oui sympa.. tu embrasses bien.
-Tu pourrais participer plus….
-Oui on réessaie ?

Pour réponse elle se jeta sur moi, et je sentis sa vigoureuse langue m’envahir. J’en ai profité pour l’enlacer. Nos langues se mélangeaient vraiment cette fois. Elle était vraiment très active, une vraie pile électrique. Elle tournait très vite. Nous étions collés l’un à l'autre. Nos dents se touchaient parfois. Drôle de sensation. Le baisé dura pas mal de temps selon mes critères de l’époque.
Nathalie se retira, peut-être épuisée par son hyper activité lingual. On était un peu essoufflé, on l’avait fait presque en apnée, n’arrivant pas trop à respirer par le nez. Elle s’écarta car je l’avais gardée dans mes bras.

-Tu embrasses vraiment bien.. ouahhh
-Tu pourrais être plus actif, ce n’est pas à la fille de tout faire. Je t’ai dit, tu aurais dû aller dans ma bouche en premier. C’est le garçon qui dirige comme pour la danse !!!

Toutes ses « règles » inconnues de moi, me semblaient étranges…

-On ressaie j’irai dans ta bouche promis !
-C’est bon, c’est fini, je dois y aller. On n’est pas des amoureux, c’était un entraînement.
-Juste une fois que j'apprenne bien …
-Trouve toi une amoureuse et tu le feras autant que tu veux.

Sur ces mots elle fila. Je n’étais sûrement pas à la hauteur de ses attentes. Je me souviens juste qu’après son départ, j’ai constaté que j’avais une forte érection. J’ai souvent ensuite lors de séances de masturbation solitaire repensé à cet instant. J’ai brodé et fantasmé ces quelques minutes bien trop courtes, des milliers de fois.

Voila c’est marrant a chaque fois que j’écris me reviennent d’autres moments de cette époque que j’avais enfouis dans ma mémoire.. c'est vraiment plaisant de revivre ca.