Rencontre du 3ème type

Contrairement à l’habitude ou je vous ai raconté diverses aventures anciennes, voici celle qui nous est arrivée tout récemment lors d’une sortie en sauna libertin.
Lors des dernières chaleurs, nous avions envie de faire trempette. Donc quoi de plus naturelle que d’aller faire un tour dans ce genre d’attraction. C’était en semaine, on savait qu’il n’y aurait pas beaucoup de monde et effectivement en arrivant devant l’établissement, il n’y avait que très peu de voitures.
En y entrant, nous constations en effet la présence d’un homme seul et un couple.
Qu’importe, au moins dans un sauna, contrairement aux clubs, on peut aussi profiter des bains et du bagna. Toutefois en passant dans le vestiaire pour se déloquer, un autre se rhabillait. Tant mieux car il n’était pas du genre de la maison. Un homme blanc tout maigre, des biceps de phasme, des petites mains aux doigts fins, sans poils, qui doivent lui servir de grappin à soja pour s’alimenter. Une grosse touffe de cheveux en dreads locks en plus, peu compatible avec la baignade. Il remettait sont sarouel d’écolo mangeur de kinoa ainsi qu’un tee shirt à l’effigie du Chié Guevara et des sandales de clodo du Cambodge. Pas vraiment attirant. Le genre gastéropode homme-anus à la Yann Barthès, la coupe de cheveux en plus.
Je préfère encore un beau black chrétien taillé façon Marvelous Hagler qui regarde prédator en boucle en mangeant des côtes de bœuf avec une casquette make america great again. Au moins avec un mec comme ça, on ne doit pas se faire emmerder dans la rue par les petites frappes dont les sœurs ressemblent à un parasol fermé.
Couvert de la serviette règlementaire autour de la taille, nous nous sommes directement dirigés vers la douche, puis vers le bain à bulles faire trempette en compagnie du couple assez âgé par ailleurs.
Nous y sommes restés une dizaine de minutes sans dire un mot à part un bonjour de politesse et quelques amabilités insignifiantes. Ensuite, après un passage au bar percevoir un verre de coca, nous prenions la direction d’une banquette moelleuse au fond de l’unique salon de ce petit club. J’avais remis ma serviette autour de mes seins. Elle me descendait jusqu’à mi-cuisse. Il y avait une télé qui passait un film porno en boucle et nous le regardions machinalement. Cela étant, maitre avait passé le bras par-dessus mon épaule, la main sous la serviette qui ne tenait plus qu’à peine. Il me titillait le téton tandis que je regardais le beau missile tomawak avec lequel l’acteur du film démontait l’arrière train d’une midinette en lui sondant les intestins. Je m’imaginais bien à la place de celle-ci.
LORSQUE SOUDAIN…. Un 3ème type (sans compter maitre ni l’homme anus car ça ne m’arrangeait pas pour vous trouver un titre évocateur) apparut. Damned, je le reconnaissais. C’est parfois le danger en province, on peut se retrouver nez à nez dans des endroits louches avec quelqu’un que l’on connaît. Un ancien client de l’époque où j’étais salariée aux ….(censured). Kinésithérapeute que je savais divorcé, je lui avais autrefois proposé des produits d’assurances lui permettant d’échapper au moins partiellement au racket fiscal organisé depuis 40 ans par l’état français. Bel homme qui, du fait de son métier, devait en savoir long sur le démontage de joints d’articulations en diverses positions kamassoutrèsques.
Sur le coup, j’avais envie de me cacher. Avec sa serviette autour de la taille, il s’était directement assis au bar. La lumière tamisée et le coup d’œil rapide autour de lui ne lui avait pas permis de me reconnaitre. Notre banquète était à une bonne dizaine de mètre de lui. Toutefois, nous ne pouvions pas lui échapper vu le peu de monde présent. Le sergent Garcia et la mère Denis étant restés dans l’eau, nous étions le seul couple. Donc moi, la seule cochonne à 20 mètres à la ronde.
Après quelques minutes à siroter son verre, il se dirigeait vers nous. A vrai dire, il m’avait reconnu du premier coup d’œil mais n’osait pas trop nous accoster. Plus par discrétion que par timidité. Finalement s’asseyant à un mètre de moi, il vint me présenter ses hommages comme le ferait le chevalier Bayard sous François Ier.
Etonné et ravi de me rencontrer en ce lieu, je lui présentais maître qui me tenais toujours le nichon de sa main gauche. Il se pencha en avant pour lui serrer la main droite. Aussitôt, offrant sa tournée, il retourna au bar pour nous ramener des verres pleins.
Je vous passe quelques échanges à demi pro sur l’évolution de nos carrières respectives qui n’ont servi que d’échanges de circonstances.
Toujours est-il que maitre n’avait pas cesser de m’exciter le téton, et qu’après quelques minutes d’échanges pro, rapidement la discussion avait tourné sur notre appartenance à la paroisse (des libertins). Je prenais soin de maintenir ma serviette suffisamment haute pour cacher mes roploplos lorsque maître eu pris soin de me lâcher le téton pour me coller davantage et me glisser sa main droite sous la serviette en me caressant le ventre. Ce qui eut pour effet immédiat de baisser la serviette. A la vue de mes nibards, il me fit sans tarder une gentille remarque de gentleman. Il s’aventura même à poser sa main sur mon genou. J’avais les jambes serrées à ce moment.
Mais maitre descendit sa main jusqu’à mon clito pour le titiller sous la serviette. Je commençais à avoir chaud. La fête allait commencer. La branlette que me faisait maître et la main chaude du kiné sur mon genou ne pouvait que faire monter ma fièvre, d’autant que je voyais que le type en face de moi était en ébullition testiculaire. La bosse qui se formait sous sa serviette n’en faisait pas mystère. Je sentais que d’ici quelques secondes, j’allais découvrir la bite tendue de mon ex client.
Comme je commençais à me tortiller en soupirant sous la branlette de maître, les jambes à demi allongées sur la banquette face à lui, c’est moi qui, sous prétexte d’avoir trop chaud, pris l’initiative d’ouvrir ma serviette. J’écartais les cuisses aux passages afin qu’il me voit toute nue la fente bien dégagée. Maître écarta sa main quelques secondes afin qu’il puisse profiter du spectacle de ma chatte dorénavant entièrement lisse. Un ouragan hormonal vint me prendre à la gorge et me bomber la vulve quand il approchât la tête entre mes cuisses. Et après avoir écarté mes petites lèvres délicatement avec les doigts, il se mit à me lécher la moule déjà toute humide. Derrière moi, maître continuait à me caresser les nichons. Le kiné s’appliquait à me lécher longuement alternant avec quelques doigtés d’excellentes qualités.
Il me semble être restée assez longtemps comme ça à me faire lécher la chatte. Parfois en apnée, il reprenait sa respiration puis retournait me fourrer sa langue bien profond. Maître mit fin à cette position. Après mettre relevée à genou sur la banquette, j’ôtais à mon tour la serviette du kiné pour découvrir sa bite longue droite et fine toute tendue qui ressemblait au fusil d’un sniper russe à Stalingrad. Je la pris dans la bouche alors que maintenant maître me caressait les fesses. J’allais et venais sur son membre comme on suce un sucre d’orge en lui pelotant le dessous des couilles. Son petit gémissement trahissait mon savoir-faire quand je gobais son nœud avec ma bouche chaude comme un four à pizza. Il était sur les genoux et moi en position brochette entre mes 2 amants. Pas très loin, l’homme seul nous regardait en se branlant.
Après la bonne sucette que je lui devais, je me tournais de l’autre côté lui tendant mes petites fesses. Maître s’était allongé sur le dos afin que je le suce à son tour. En position leuleu pour mon kiné, il enfilât une capote avant de venir me tasser les vertèbres par de violents coup de chibres. En me pénétrant ainsi ardemment, il a défoncé ma grosse chatte avec son missile longue portée. Comme les mollahs iraniens, je me suis faite bombarder l’usine à foutre avec son missile GBU 57 qui s’est enfoui profondément dans ma colline avant d’exploser au fonds du trou. Mon orgasme aussi a été explosif et sans doute entendu dans tous l’établissement comme lors d’une alerte aérienne.
Ainsi, il avait déchargé dans sa capote après avoir pris soin de m’avoir fait jouir. Peu après, Maître s’était redressé et m’avait fait une faciale en me biflant la joue.
Enfin, après ce petit exercice physique nous allâmes ensemble à la douche avant de nous faire un sauna sec et une nouvelle trempette toujours accompagné de notre charmant ami nouvellement retrouvé.
En revanche, nous n’avons pas échangé nos téléphones, pour moi, c’était un bon coup, une retrouvaille sympa mais sans suite. Nous nous sommes quittés le plus simplement du monde en se disant que peut être le hasard nous remettra sur le même chemin.
Vive la liberté.

Excellent! Très joliment raconté avec un talent indéniable pour l’analogie. Je rêve de ce hasard… merci!

Merci pour votre magnifique recis, c'était un plaisir de vous lire et j'adore votre humour

Une anal au logis, oui bien sûr. c'est fait...

Magnifique comme toujours

Excitant, enivrant...
Merci !!

Merci encore une fois pour votre récit, on s’y croirait ;-) et quel humour, j’adore ;-)

« je me suis faite bombarder l’usine à foutre avec son missile GBU 57 qui s’est enfoui profondément dans ma colline avant d’exploser au fonds du trou ». Franchement celle-ci est excellente ! Elle m’a fait beaucoup rire et (en même temps ;)…) m’a donné envie de me branler en pensant à toi ! « Queue » du bonheur ton style d’écriture !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/07/25 13:01 par Dukenuke.

Merci quel talent plus bandant que des images !!

Merci quel talent plus bandant que des images !!