Cela faisait des mois que je ne l'ai pas vue, confinement oblige. Mais aujourd'hui, je reviens enfin au bureau. Ma petite hôtesse d'accueil me manque vraiment.
Nous aimions nous draguer gentiment à chaque fois que nous en avions l'occasion. Paroles équivoques, bises insistantes, mains légèrement baladeuses.
A chaque fois que nous nous croisions, je voyais ses yeux pétiller de malice. Elle aimait jouer avec moi, se pencher un peu trop pour faire apparaître un décolleté des plus provocants, faire remonter légèrement le bas de sa jupe et dévoiler ainsi ses jolies cuisses.
Je l'ai appelée hier pour lui faire part de mon retour. En terminant notre conversation, je lui ai dit que j'étais impatient de revoir ses jolies tenues légères.
Je rentre dans le hall et je l'aperçois assise derrière le comptoir. Elle porte l'un de ces masques dont le port est encore imposé. Ca me fait bizarre. Bien sûr, je savais que ce serait le cas mais quelle déception de ne pouvoir ni regarder son beau visage ni bien entendu lui faire la bise. Je m'approche quand même en respectant les distances. Elle se lève. Je devine son sourire. Elle porte cette robe que j'aime tant, légère et fendue sur le côté. Sa silhouette svelte est admirablement mise en avant.
Nous discutons quelques minutes puis je me dirige vers mon bureau. L'atmosphère est un peu spéciale et je suis frustré. J'avais tellement envie de la revoir comme avant. En début d'après-midi, je la contacte sur la messagerie instantanée et lui raconte cette frustration. Elle me répond qu'elle aussi aurait aimé que l'on se voit comme avant. Je lui propose un rendez-vous à la débauche dans le petit bois qui se situe à quelques kilomètres de l'entreprise. Elle accepte.
17h30. Je suis dans ma voiture et l'attend. Là voilà qui arrive. Elle se gare juste à côté. Malheureusement, il pleut. Je lui fais un signe. De la main, elle m'invite à venir la rejoindre. Je claque la portière derrière moi. Me voilà assis sur le siège passager. Elle enlève sa ceinture. Elle ne porte plus de masque. Je la trouve encore plus belle. Nous nous penchons l'un vers l'autre. Nous nous embrassons sur les joues avec insistance.
Pendant de longues minutes, nous discutons de tout ce qu'il s'est passé depuis des mois. Nous rions beaucoup. Je n'ai de cesse d'admirer ses cuisses. Comme c'était le cas auparavant, je recommence à la draguer outrageusement et ça la fait rire. Il faut dire que je le fais assez lourdement, exprès pour faire de ce moment uniquement un moment de détente. Elle comme moi ne recherchons rien d'autre dans cette relation.
Pour rattraper le temps perdu, et surtout toutes ses bises que nous nous sommes pas faites, j'interromps sans cesse notre conversation pour me pencher vers elle et l'embrasser à nouveau. Je n'hésite pas à déraper sur le coin de ses lèvres de temps en temps. Ma main frôle ses jambes régulièrement.
Je la regarde. "Bas ou collants ?"
Ma question soudaine l'amuse. Elle me fixe et me répond. "Bas, bien sûr. C'est un minimum pour ton retour."
Je ne m'attendais pas à une telle réponse et suis un peu déstabilisé. Mais je me reprends rapidement.
"Bas, vraiment ? Et je dois te croire ou tu dis ça juste pour me titiller ?"
"Tu ne me fais donc pas confiance ?" Elle rit.
"Si mais tu sais, la confiance n'exclut pas le contrôle."
Cette fois, c'est elle qui marque un temps d'arrêt.
"Et tu comptes contrôler ?"
"Si tu n'y vois pas d'inconvénient bien sûr."
"Et tu envisages ça comment ?"
"Je vois deux moyens. Soit par la vue, soit par le toucher."
Elle se redresse sur le siège. Sa jupe se rallonge de quelques centimètres.
"Et lequel des deux voudrais-tu utiliser ?"
La coquine ne repousse pas l'idée. Jusqu'à présent, jamais nous n'avions été si loin.
"Les deux en même temps, c'est possible ?"
Ces yeux sont plein de malice.
"Toi, tu ne doutes de rien."
Mince, l'affaire n'est pas si entendue que ça. Je suis un peu déçu.
"Mais oui, je t'autorise à vérifier comme tu le veux."
Je sens tout à coup ma queue gonfler dans mon pantalon. L'excitation me gagne.
Nous nous regardons. lentement, ma main se dirige vers sa jambe, se pose sur son genou. Elle remonte sur sa cuisse. Les bouts de mes doigts disparaissent sous sa jupe puis la retroussent alors qu'il remontent encore plus haut. Je vois bientôt apparaître la lisière de ses bas puis enfin sa peau blanche. Quel spectacle de tout beauté.
Presque imperceptiblement, je caresse ainsi le haut de sa cuisse. Nous ne disons plus un mot. Je bande.
"Et tu as choisi de mettre quoi en dessous de ta jupe ?"
"Inutile que je te le dise car tu ne vas pas encore me croire sur parole."
Son regard est extraordinaire. Et elle ajoute. "Lors je te laisse le découvrir."
Ses jambes s'ouvrent. Elle pose sa main sur la mienne et la conduit à l'intérieur de ses cuisses. Quelle invitation.
Je la remonte. Mes doigts frôlent un tissu doux, soyeux et chaud. Je l'effleure en suivant ses reliefs. Sa culotte épouse parfaitement les formes de son sexe. Je longe langoureusement la fente de haut en bas puis dans l'autre sens. Le tissu s'humidifie. La coquine a fermé les yeux. Elle s'offre à moi pour la première fois.
Après quelques instants de douces caresses, je me décide à passer à la vitesse supérieure. Mes mains se portent sur le côtés de ses cuisses, agrippent la culotte et commencent à la tirer vers le bas. Ma collègue lève ses fesses de son siège. Le string glisse le long de ses jambes jusqu'à ses pieds. Je l'enlève complètement et le porte vers mon visage pour le hûmer. Ma main droite revient entre ses jambes. Cette fois, elle n'est plus aussi timide. Son sexe est totalement lisse (ce que je savais car elle m'avait déjà confessé qu'elle s'épilait). Il est trempé. Mes doigts écartent ses grandes lèvres puis se glissent dans sa fente. Je la caresse avec de plus en plus d'insistance. Mon pouce écrase son petit bouton. Mon majeur pénètre la grotte, rapidement rejoint par mon index puis mon annulaire.
Son sexe est accueillant et très réceptif. Je le fouille avec application. Mes doigts dégoulinent de sa cyprine. La Belle gémit déjà très fort. Sa respiration s'accélère. Elle se cambre. Ses fesses ne touchent plus le siège. Quelques instants seulement et elle râle de plaisir. Sa main se crispe sur ma cuisse. Elle jouit sans retenue.
Cela faisait si longtemps que j'avais envie de ce moment avec elle...
