Bonjour,
Madame P était notre femme de ménage. Mariee avec deux @#$%&, cette femme de condition moyenne etait néanmoins très attentive a son apparence. Maquillee et parfumée, c'était pour moi jeune adolescent un plaisir que de la voir chaque samedi matin. Pensionnaire pendant la semaine, je me réjouissais a l'idée de rentrer a la maison chaque vendredi soir. D'ailleurs, bien souvent, je me masturbais dans les toilettes du train en pensant a elle. Cette femme était une splendide "femelle", au sens noble du terme. Ses jambes étaient galbées et d'ailleurs ça se devinait sous ses jupes droites bien ajustées. Elle possédait des cuisses solides, et plus d'une fois j'ai reve de pouvoir aller la contempler a la piscine de notre ville, sans hélas pouvoir atteindre le "Graal". Sa taille était relativement fine et ses hanches étaient terriblement, magnifiquement marquées. C'etait un régal a contempler a chaque fois que je l'observais penchée en avant en train de nettoyer la baignoire. Sa croupe était sublime, magnifiée par ses vêtements qui lui collaient parfaitement au corps. J'adorais ses seins. Ils étaient très généreux, et véritablement, elle savait les mettre en valeur. Ses soutiens gorges étaient parfaitement remplis. D'ailleurs, que de beaux souvenirs lorsque je me remémore les broderies de ses bonnets apparaitre en relief sur ses pull overs en V, laissant du meme coup deviner la naissance de ses seins et une partie de ce magnifique sillon que je rêvais de caresser. A tout point de vue, cette femme éveillait en moi des désirs et des pulsions qui ne m'ont jamais quitte.
Mes parents avaient l'habitude d'aller au marche tôt le matin. Je me retrouvais donc seul a la maison. Des que je les entendais partir, j'en profitais pour me glisser hors du lit, afin d'enlever mon pyjama. Nu, je me glissais a nouveau dans ce cocon tout chaud. Au contact de cette chaleur nouvelle, mon érection ne tardait pas. Quel plaisir!
Je suis convaincu aujourd'hui, que Madame P savait parfaitement quels émois elle suscitait chez moi. Vers neuf heures, je l'entendais monter avec l'aspirateur a la main, prête a démarrer sa journée. C'etait toujours un moment très attendu pour moi. Le détail qui me frappait a son entrée dans ma chambre était son parfum. Enivrant! Sucre, suave, mon érection était a son paroxysme. J'etais tendu comme jamais. Une sensation de bonheur total. Elle me laissait parfois dormir en refermant la porte, mais pas ce jour la. Elle entrouvrit les rideaux pour ouvrir les volets. Une lumière legere balayât la pièce. Mes yeux s'habituèrent a la lumière pour enfin la découvrir. Elle était belle. Une fois encore, elle était habillee comme je l'ai décrite plus haut. A une seule différence. Elle portait un pull blanc et son soutien gorge était également blanc. Mes yeux se sont tout de suite portes sur sa poitrine. En effet, au moment ou elle levait les bras pour atteindre les rideaux, un rayon de lumière a fait apparaitre une partie de ses aréoles. En effet, possédant des seins généreux, son soutien gorge était seulement en dentelle sur la partie supérieure de ce dernier. Ce qui était habituellement du domaine du reve et de la supposition, venait soudain de s'offrir a moi. Delibere ou moment d'insouciance de sa part, c'était néanmoins un joli cadeau pour l'adolescent que j'etais.
Je me relevais pour m'asseoir dans mon lit. La couette glissait jusqu'en bas de mon torse. Je bandais terriblement, et mon gland libérait des flots de pré semence. Apres nos echanges de politesse, Madame P passa a cote du lit, pour me demander si j'avais pris mon petit déjeuner. Je répondais par la négative. Elle me dit alors qu'elle allait s'occuper de moi. Imberbe sur le torse, j'avais une belle toison autour de mon sexe qui remontait jusqu'à mon nombril. Mon sexe était gonfle de désir, et la bosse qui se dessinait sur la couette ne laissait aucun doute quand a mon état. Mon pyjama qui était sur le sol, allait me donner l'occasion d'assister a un magnifique spectacle. Appuyee sur le bord du lit, me faisant face, Madame P se pencha pour le ramasser. Le V de son décolleté, laissa alors apparaitre toute la puissante generosite de ses mamelles. J'etais subjugue, et au moment ou elle se relevait, elle vit mon regard pose sur ses seins. Mon coeur battait a plein régime. Le sang affluait dans ma queue. Quand a mes bourses, le sperme contenu en leur sein ne demandait qu'a pouvoir jaillir. J'etais au paradis! Je ne saurai jamais sur de l'effet de nos regards croises, mais se tenant maintenant devant moi, ses tétons étaient dresses, et percaient fièrement le fin tissu qui finalement la protégeait de la nudité. Quelque chose était en train de se passer, et nous en étions tous les deux conscients. Elle me faisait devenir Homme et du meme coup, de femme mariée, elle devenait a cet instant précis, Femme Désirée.
J'avais pris l'habitude pour satisfaire ma sexualite naissante de me plonger dans les magasines feminins de ma mere, pour me masturber sur les photos de lingerie. L'un deux était glisse sous l'étagère. C'est alors que Madame P s'offrit a nouveau a mon regard pour me présenter sa croupe. Elle entreprit alors de s'asseoir a mes cotes, tout en feuilletant le magasine. Numero spécial été, le nombre de pages allait nous donner tout le matériel et temps nécessaire pour nous. J'etais tout proche d'elle, et son parfum qui s'échappait de son cou contribuait a mouiller allègrement le drap de la couette. Mon gland était une vraie fontaine (ce qui contribuera par la suite a satisfaire pleinement mes partenaires…). Pratiquement appuyée sur mon bras, je me délectais de ce moment si particulier. Mon regard alternait, entre ses jambes croisées, ses seins son cou, et ses mains qui caressaient le papier tout en s'arrêtant parfois sur des pages de lingerie ou de maillot de bain. Elle me demandait mon avis sur tel ou tels modèles, et me prenant au jeu, j'en faisais de meme.
C'est alors qu'un incident (la nature fait bien les choses) survint. Ma fontaine continuait de couler, et bien entendu, le drap laissa apparaitre la marque de mon désir. Aucun moyen de le dissimuler. Notre conversation continuait, lorsqu'au détour d'un regard, elle s'aperçut de ce qui allait être je croyais un désastreux malentendu. Au moment meme ou j'allais m'excuser, profondément gene, elle me fit passer dans son regard, le plus beau des discours. Tout n'était plus que silence, a peine brise par nos souffles respectifs. Je la désirais follement, et elle l'acceptait. Dans une contraction, ma queue souleva le drap, et c'est alors qu'elle prit pleinement conscience du moment. Elle glissa la couette pour enfin me découvrir. Mon sexe atteignait mon nombril, et j'etais littéralement trempe par le désir. Elle regardait ce sexe qui vibrait pour elle. Impossible pour moi d'écrire ce qu'elle ressentait, mais ses gestes allaient me le faire comprendre. Au moment ou elle glissait sa main sur mon sexe luisant, dégoulinant, ma queue lui échappa. Elle entreprit alors de se lécher les doigts. Un nouveau regard, et nous nous embrassions a pleine bouche. Nos langues se trouvaient mutuellement. Je lui passais une main sur ses seins pour sentir sous mes doigts ses tétons. Nous étions heureux, amoureux, épris… Maintenant debout, elle entreprit d'enlever son pull pour me laisser admirer sa lingerie. L'image de cette femme en train de se déshabiller devant moi me hante encore a ce jour. Lenteur, sensualité, beauté, regards, élégance, aisance, nudité… Cette femme était belle. Cette femme est belle… Elle sourit. Elle passe ses mains derrière son dos pour se degraffer. C'est alors que ses mamelles inondent son ventre. Elle est belle, épanouie. Ses aréoles sont divines, et je pense que mon gout pour les seins généreux vient de Madame P. Elle me rejoint alors sur le lit, ou assise, je me penche en avant pour atteindre ses tétons que j'ai tant désire. Elle passe alors sa main sous son sein, et dans un geste que je qualifierais d'amour, elle porte a mes lèvres cette fontaine tant désirée. Dans le meme temps, elle caresse ma queue tout en se délectant de ma pré semence qui continue de couler. Nous nous embrassons a nouveau. Je la touche, je la caresse. Nos regards se croisent, et en un instant, je comprends que de ses doigts mouilles de mon liquide, elle decide d'aller a la source. Moments sublimes, alors a genoux sur le lit, je vois ses seins lourds caresses le haut de mes cuisses. Sa bouche s'approche et dans une nouvelle contraction, mon gland s'élève afin que ses lèvres puissent me gober. Prisonnier heureux, comble, elle entreprend de me sucer. Notre "couple" est sublime. Je sens que je ne vais plus pouvoir me retenir. Son expérience de femme va nous ravir. Un dernier regard echange, et je sens que je jouis. Sa confiance en moi dans ses yeux me rempli de bonheur. Mon sperme jailli, et alors que je finis je vois ses yeux fermes avec un leger sourire qui en dit long sur son plaisir. Plenitude, satisfaction, c'est notre moment. Elle me libère finalement, repue. Nous nous embrassons a nouveau, et nous passons de longues minutes a nous caresser.
Je la vois alors se rhabiller. C'est un moment que je n'oublierai jamais. Au dela de l'acte, ce moment privilegie m'a encore plus fait apprécier sa beauté si besoin était.
Je me leve, tremblant, epuise… Elle passe alors sa main sur mon sexe encore dur pour sentir mon parfum, notre parfum.
Depuis, mon amour des femmes, de la femme a toujours été aussi vif, passione. Toutes les femmes sont belles, a nous de les regarder pour leur faire comprendre!
Beauchene
