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Enchantement paradisiaque d'une histoire merveilleuse Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe

L'auto-stoppeuse

Voilà le premier épisode d'une série qui va relater une rencontre inoubliable.
Ce premier jour de vacances, dans une magnifique région de notre douce France,
reste encore aujourd'hui, un souvenir inaltérable.
Le plaisir d'en raconter le déroulement, par le partage de ce récit,
permettra au lecteur d'en apprécier l'anecdote.

Chaque nouvel épisode suivra lorsque le précédent sera passé en page 2.
Ainsi, dans le marasme de la foultitude de sujets postés, celui-ci restera un repère facile à retrouver.
Bonne découverte.




Rencontre

C'est sur une petite départementale, en partant en vacances, que j'ai fait une rencontre inoubliable.
Je préfère rouler sur les petites routes.
Certes, c'est plus long, mais tellement plus tranquille et sécurisant.
Mais, en roulant à 70 km/h, je prends vraiment le temps d'admirer les paysages.
Lorsqu'un endroit me plaît, je m'arrête et je visite.

Ce jour là, attiré par le magnifique clocher gothique qui dépassait des bosquets d'arbres, dans le lointain,
je décidais de m'y arrêter en ce début d'après-midi ensoleillé. Je garais la voiture à l'entrée du petit hameau.
Inutile d'imposer une pollution sonore dans un petit bourg silencieux.

Là, je descendais la seule et unique rue principale.
Arrivé devant l'église du XIV ème, j'admirais les sculptures en dentelles de pierre.
J'entrais dans le monument historique et y trouvais la fraîcheur de ces lieux clos, lourd d'un passé historique,
plein de mystères. Les vitraux, magnifiques, brillaient d'un éclat doré. Je pris quelques photos.

Là, dans la pénombre, entre un confessionnal et un autel, assise sur une chaise, à l'écart,
il y avait une jeune fille d'environ vingt ans. Elle mangeait un fruit.
Un sac à dos était posé au sol à ses côtés.
Je visitais l'endroit après l'avoir salué. Une fois ma visite terminée,
je sortais pour aller m'asseoir à l'ombre d'un grand platane centenaire,
entre la fontaine et un monument dédié à un héros local.

Au bout d'une dizaine de minutes, je vis sortir la jeune fille.
Elle tourna un peu autour de la fontaine, me fit un sourire et, au bout de quelques minutes,
se dirigea vers la sortie du hameau. Je la regardais monter la rue,
marchant gracieusement malgré le gros sac qui semblait peser son poids.

Un quart d'heure passa ainsi. Je décidais de retourner à la voiture afin de continuer ma route.
Le soleil était haut et chaud. Le chant des cigales et des grillons était la seule bande sonore de ce film d'été.
Je roulais depuis quelques minutes lorsque, au détour d'un virage, je vis la jeune fille qui tout en marchant,
levait son pouce, faisant de l'auto-stop. Je m'arrêtais pour lui proposer de l'emmener un bout de chemin.

Après un long moment de silence que je respectais totalement, la jeune fille se mit à parler.
Nous évoquâmes nos destinations, nos vacances et les motivations qui avaient orienté nos choix.
J'appris qu'elle était partie avec une copine et, qu'après une dispute, les deux filles s'étaient séparées.
Tout comme moi, ses vacances étaient à présent vouées au petit bonheur la chance !

Après une heure trente de route, nous décidions d'une destination commune.
Je lui proposais de partager le repas du soir. Arrivés dans la petite ville,
qui était un peu le but de ma seconde journée de vacances,
nous décidâmes d'aller faire quelques courses dans un supermarché.
Puis, tranquillement installés à la terrasse d'un petit café, à la sortie de l'agglomération,
nous avons dégusté des fruits et quelques délicieuses tartines, terminant par de goûteux yaourts aux fruits.

Pour la nuit, avec un certain "toupet", je lui proposais de la passer avec moi dans le gîte d'étape
où j'avais réservé un lit. Sans hésiter, la jeune fille accepta, trouvant même que c'était une excellente idée.
Arrivés au gîte, la gardienne des lieux nous accueilli chaleureusement.
Elle attendait un homme seul et voilà qu'il se présentait un couple.
Par chance, il restait des places et des lits disponibles.

Nous avons passé cette première nuit chacun dans notre lit, côte à côte.
Nous nous sommes endormis rapidement. Nous sommes restés ensemble durant deux semaines,
passant des moments inoubliables. C'était une autre époque.
Malgré nos dix huit années de différence, nous avons vécu des choses SEX-traordinaires.

Un souvenir inaltérable...

Je ne manquerai pas de raconter ces vacances absolument fabuleuses dans l'épisode No 2.

A suivre...

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Homme, 53 ans, France
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La rencontre - (Episode 2)

Au matin, vers sept heure, je fus réveiller par le bourdonnement d’un frelon qui se baladait dans le dortoir. Le soleil était déjà haut dans le ciel. Sur le mur, face à mon lit, ses rayons soulignaient les irrégularités de la chaux. Cela ne manquait pas de me rappeler une de ces toiles de Johannes Vermeer de Delft que j’apprécie tant. La poussière s’illuminait d’une multitude de points dorés.

Je tournais la tête pour découvrir Christelle qui dormait encore en respirant doucement. Longuement, je la regardais. Son visage angélique, entouré de ses longs cheveux bouclés, lui aussi semblait sortir d’une de ces toiles Hollandaises du siècle d’or. Je me retrouvais en plein XVII ème siècle. Le sentiment élégiaque d’un départ imminent m’envahissait doucement.

Christelle ouvrit les yeux. Elle me fit un sourire. < Bonjour > me fit-elle d’une voix douce. < Bonjour > lui fis-je en me redressant. J’étais assis dans mon lit. Je savourais chaque instant de cette situation. Christelle se redressa à son tour. Nous bavardâmes un petit moment. Après un quart d’heure, la jeune fille se leva en disant : < Pipi ! >. Elle se précipita vers la porte des toilettes. Lorsqu’elle revint, je fis de même.

Vers huit heure, nous étions assis à une des quatre tables du gîte. Personne n’était encore debout. Nous étions seuls à prendre notre petit déjeuner dans la cuisine vétuste et campagnarde. La fenêtre était grande ouverte sur la cour. Le silence était total. Il commençait déjà à faire chaud. Les épaisses tranches de pain complet, beurrées et recouvertes de miel, étaient délicieuses. Notre café fumant était savoureux. Nous mangions en silence.

Parfois, nous nous observions en nous souriant. Nous prîmes notre douche et, pour neuf heure trente, par cette sublime matinée, nous étions à marcher sur un sentier qui montait dans la montagne rocheuse. Des hauteurs où nous nous étions hissés, nous pouvions voir le groupe de maisons du hameau. Notre gîte, vieille ferme, se présentait dans un écrin de verdure près d’un petit lac. Nous décidâmes de rester là jusqu’à la journée suivante.

Les environs promettaient de belles découvertes. Nous nous promenâmes jusqu’aux environs de midi. En descendant le sentier, Christelle me prit la main. Sans un mot, comme si tout cela était quotidien, nous fûmes de retour au gîte. Un autre couple préparait son repas. Je proposais à Christelle de faire de même. Nous avions de quoi nous préparer une salade de carotte, des pâtes et une sauce toute faite, en flacon.

Après le repas, nous nous mîmes en route pour aller découvrir le petit lac distant d’environ un kilomètre du gîte. Il faisait chaud. Nous étions en short, en T-shirt et en sandalettes. Christelle me reprit la main une nouvelle fois. Nous gardions tous deux le silence. Parfois, tournant la tête, je regardais la jeune fille. Ces vingt ans la rendaient rayonnante, mystérieuse, fragile et si belle. Parfois, elle tournait la tête pour me regarder. Mes trente huit ans lui offraient sérénité, expérience et calme.

Arrivés au lac, nous pouvions découvrir un endroit extraordinairement agréable. Nous en fîmes le tour en deux heures. Il était seize heure. Le soleil était à son point culminant. Nous choisîmes un endroit à l’ombre d’épais bosquets d’arbres. L’ombre salvatrice, afin de nous y asseoir à l’abri du soleil. Nous nous sommes allongés sur l’herbe. Les chants des grillons et de quelques oiseaux, constituaient la bande sonore de ce film sublime.

Au bout d’un quart d’heure, nous décidâmes de nous plonger dans les eaux calmes et bleues du lac. Nous nous sommes mis en slips avant d’aller nager ensemble dans l’onde chaude et peu profonde. Dans l’eau, venant vers moi, Christelle approcha son visage du mien. Sa langue fouilla ma bouche. Il fallait continuer à nager pour ne pas couler. Nous restâmes ainsi longuement à nous embrasser, à rire et à nous amuser.

Une fois de retour sous la protection des arbres, Christelle se mis sur moi. Je lui caressais les cheveux. Elle passait l’extrémité de ses doigts sur la peau de mon visage. Doucement, la jeune fille fit les mouvements nécessaires afin que je m’immisce en elle. J’étais rapidement en elle. Nous restions sans bouger. Nous nous fixions de nos regards perçants. Nous étions dans un autre univers…

Au bout d’un très long moment, non quantifiable, lentement, nous avons commencé à nous bercer. Christelle bougeait à peine. Son bassin imprimait un rythme régulier. Parfois, cherchant des sensations particulières, la jeune fille se cambrait. Cessait de bouger. Gémissait. M'embrassait. Je prenais soin de rester immobile. Je voulais qu’elle trouve son plaisir selon ses désirs. Exclusivement. De ses plaisirs dépendraient les miens.

Nous avons fait l’amour jusqu’en soirée. Presque sans bouger, de la même façon. En rentrant au gîte, vers vingt heure, il y avait une dizaine de personnes. Aussi, pour rester entre nous, nous décidâmes de prendre la voiture pour aller manger au village. Nous y sommes restés jusqu’à tard dans la nuit. Nous sommes revenus vers minuit.

C’était le silence, tout le monde dormait déjà. Dans notre dortoir, les quatre autres lits étaient occupés. Cette promiscuité indésirable nous fit prendre la décision de trouver des chambres d’hôtel sur l’itinéraire de nos vacances improvisées. Dès le lendemain…

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Classe

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Les choses à venir se précisent... Danser
Tuesday 22 December 2015 11:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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L'auto-stoppeuse - (Episode 3)


Cette deuxième nuit, au gîte d’étape, nous permis de récupérer dans les toutes meilleures conditions.
Malgré la promiscuité déplorable que présente un dortoir, nous nous sommes endormis.
Serrés malgré nous, tous les deux, dans ce même lit trop étroit.
Il était sept heure lorsque Christelle me réveilla en couvrant mon visage de bises.
J’ouvrais les yeux pour voir qu’il faisait déjà bien jour.
Un rayon de soleil faisait briller des particules dorées en suspensions dans l’air.



La jeune fille se serra contre moi. Son corps fin et chaud était d’un contact agréable.
A l’oreille, elle me chuchota : < Tu viens, on se lève et on se sauve. Tu veux bien ? J’en ai marre ici ! >.
Rapidement, nous prenions notre douche, ensemble.
Nous étions à présent entrain de prendre notre petit déjeuner.
< On va rapidement se trouver un petit hôtel ou nous serons tranquilles ! > lui fis-je.



Une fois nos affaires dans le coffre de ma voiture, j'ai payé payé notre seconde nuit.
Je réglais à la responsable du gîte puis nous prenions la route.
Je roulais doucement sur cette petite route de campagne.
Le soleil distribuait déjà, à huit heure trente, sa douce chaleur.
Christelle et moi, nous étions incroyablement heureux. Le paysage était de toute beauté.


J’arrivais à l’entrée d’un petit bourg. C’était jour de marché.
Aussi, je garais la voiture à l’extérieur du village.
Nous en profitions pour acheter des fruits à profusion, du pain et quelques crudités pour nos salades.
Christelle me tenait par la main ou me prenait par le bras.
Toujours avec cette approche tactile pleine de délicatesse et de douceur.



A un des commerçants où nous prenions des fromages, je demandais s’il connaissait un petit hotel.
Un truc sympathique, de caractère et pas trop cher. Une chambre meublée, par exemple.
Quelle ne fut pas notre surprise de découvrir qu’il nous proposait une petite chambre meublée.
Une chambre libre, au premier étage de sa maison. Des touristes s'étaient désistés.
A l’entrée d’un hameau situé à quelques kilomètres. Rendez-vous fut pris pour la soirée.



Nous quittions le village, contents d’avoir la perspective d’un endroit tranquille et indépendant.
Nous nous sommes arrêtés aux pieds d’une colline. L'endroit était bucolique en diable.
Nous pouvions y voir, au sommet, les ruines d’un vieux château.
Je disposais des fruits, deux bouteilles d’eau, et d’autres victuailles dans mon petit sac à dos.
Nous nous mîmes en marche. Parcourant le sentier qui montait à travers d’épais massifs.
Christelle s’arrêtait souvent pour m’embrasser.



Nous arrivions dans les ruines d’un vieux château médiéval.
Ces ruines étaient infiniment plus petites que l’impression qu’elles donnaient depuis la vallée.
Nous avisions un coin à l’ombre. Il était midi. Le soleil, haut dans le ciel devenait très chaud.
La vue sur les environs, depuis notre position stratégique, était fabuleuse.
Nous étions assis sur deux grosses pierres de granit.
Je disposais la nourriture sur une troisième pierre, plate et large. Nous mangeâmes avec appétit.



Christelle se rapprocha de moi. Elle posa sa main sur mon sexe.
Presque de suite, une forte érection, contrariée par le tissus de mon short, me procura une sorte d’inconfort.
Cette impression désagréable du membre contrarié au fond du slip.
Comme si elle le devinait, la jeune fille ouvrit ma braguette pour en tirer ma turgescence.
S’agenouillant dans l’herbe, entre mes jambes, elle se mit à me masturber doucement.
Intéressée et scrutant mon sexe avec une curieuse attention.



< C’est sur "ça", que j’étais assise, hier, au bord du lac ? > me demanda t-elle, espiègle.
< Oui, c’est sur "ça" que tu t’amusais, hier! Pour notre plus grand plaisir ! > répondis-je, amusé.
Christelle scrutait mon sexe avec une incroyable attention.
Me décalottant et me recalottant à de nombreuses reprises.
Jouant avec mon prépuce qu’elle tirait entre son pouce et son index. Je commençais à couler…


Du liquide séminal se mit à perler à l’extrémité fripée de ma peau.
J’appréciais de me faire caresser ainsi. J’observais le visage angélique de la jeune fille.
Chacune de ses expressions était comme le témoignage heureux d’une nouvelle découverte.
Elle resta ainsi, une bonne vingtaine de minutes, à "explorer" mon intimité.
Elle m’avait sorti les couilles, une à une , avec d’infinies précautions.



Christelle, approchant son visage, se mit à renifler mon sexe.
Je pouvais en sentir l’odeur. Les "senteurs" inévitables pendant les grosses chaleurs, sans doute.
Malgré la douche du matin, avec la chaleur et l’effort de la marche, les effluves me montaient aux narines.
La jeune fille resta ainsi, respirant longuement mes senteurs.
L’excitation était considérable. Ce qui avait pour effet de faire couler du liquide séminal.
Liquide qui coulait sur ses doigts.



La jeune fille, changea de position. Elle s’assit sur sa fesse gauche.
Cherchant la disposition la plus confortable. Je regardais autour de moi.
Nous étions parfaitement seuls.
Le chant des grillons, de plus en plus sonore, constituait la "bande-son" de ce film merveilleux.
Christelle déposa le bout de ses lèvres sur mon sexe.
Je pouvais sentir sa langue tenter de s’immiscer entre la peau du prépuce et celle du gland.
Elle resta ainsi, luttant longuement pour y parvenir.
Je la regardais, ses yeux fermés, concentrée sur son exploration linguale.


Tout comme elle, je partageais cet indicible moment avec toute la solennité de ce qui allait suivre…


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Homme, 44 ans, France, Hauts-de-France
Courte, rapide à lire mais beaucoup de plaisir à lire. Merci.Super
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L'auto-stoppeuse - (Episode 4)


Christelle était assise sur sa fesse gauche depuis cinq minutes.
De sa langue agile, elle explorait la peau fripée entre mon prépuce et mon gland.
La jeune fille arrivait à fouiller cet espace intime avec une certaine vélocité. Je l’observais.
Christelle, les yeux fermés, concentrée sur son activité linguale, donnait l’impression de vivre une sorte d’extase.
Son visage angélique, aux traits délicats, reflétait cette fausse innocence des jeunes filles espiègles.
Comme elle était belle.

En appui sur mes coudes, je disposais le sac à dos afin de pouvoir m’y adosser confortablement.
Je ne voulais rien perdre de ce spectacle exceptionnel.
Christelle me tenait le sexe entre le pouce et l’index de sa main droite.
Sa main gauche palpait délicatement mes couilles dodues.
J’étais à présent dans un état de semi érection. J’ai le privilège de pouvoir me contrôler parfaitement.
Autant sur le plan psychologique que sur le plan physiologique.
Je pouvais, une fois encore, mettre à profit ces possibilités.

Christelle, se penchant un peu plus, prit l’extrémité de mon membre dans la bouche.
Elle resta ainsi longuement sans sucer. Je pouvais sentir sa langue qui continuait son activité exploratrice.
C’est à ce moment qu’elle ouvrit les yeux pour me regarder.
Surprise de me voir entrain de la scruter, elle semblait étonnée.
Ses yeux, après une expression d’intense surprise, prirent une expression amusée.
Soudain, ses joues se creusèrent. La jeune fille se mit à sucer.

Je me contrôlais parfaitement.
Cette particularité me permet de jouir de l’instant avec une acuité qui décuple les sensations.
Je me concentrais longuement. Je pouvais entendre de légers gargouillis.
Ce bruit de "bulles", me donnait une indication parfaite de ce qui se passait.
Christelle, jusqu’alors silencieuse, se mit à émettre de légers gémissements.
Des gémissements qui appuyaient sans doute les arrivées de liquide séminal.

Parfois, afin de pouvoir déglutir, elle se retirait en émettant un < han, haaaaaa > tout en avalant.
Son plaisir montait visiblement autant que le mien. Sournoisement, je laissais couler un rapide filet pisseux.
Je suis un spécialiste.
Plutôt que de lâcher un jet, même bref, je préfère contrôler l’arrivée du liquide en le laissant couler.
Christelle, sans doute novice et ignorante de ce que j’étais entrain de faire, savourait en poussant des gloussements.

Je pouvais l’observer.
Lorsque le "mélange" lui envahissait la bouche, elle se retirait en déglutissant avec peine.
Toujours en poussant des petits gloussements ravis.
De longs filaments laiteux liaient ses lèvres à la peau trempée de mon prépuce.
Ces mêmes filaments finissaient invariablement par venir s’étaler sur son menton.
Dégoulinant de plus en plus dans son cou puis sur le haut de son T-shirt.
Une mèche de ses longs cheveux collaient sur sa joue gauche.

Christelle suçait avec un plaisir manifeste.
Elle faisait des efforts pour tenter de ne pas en perdre la moindre coulée.
Je pouvais quelquefois voir des bulles perler sur les commissures de sa bouche.
Je lâchais, pour la première fois, une petit giclée.
Croyant à une éjaculation, elle précipita sa tête afin de prendre le maximum de mon sexe dans la bouche.
Pompant avec avidité. Je crois que c’est là qu’elle venait de comprendre ce que j’étais entrain de faire.
Elle me fixait, interrogatrice…

La jeune fille ouvrit des yeux amusés. La bouche ruisselante de pisse jaunâtre, elle riait.
Elle semblait ravie de l’aubaine. Il n’y a qu’un vieux cochon pour apprendre ce genre de chose à une jeune fille.
Du haut de ses presque vingt ans, Christelle découvrait une "spécialité" gouteuse.
Un truc "juteux" qu’elle ne soupçonnait sans doute pas.
Je la vis reprendre sa pipe goulument, avec une avidité surprenante.
J’en profitais évidemment pour lui en lâcher une nouvelle lampée.

Christelle gémissait à présent de plus en plus fort.
Parfois, sous l’abondance des "coulures" que j’imposais pour son plus grand plaisir, la jeune fille se retirait.
Elle se retirait pour tousser.
Avec des efforts louables et compréhensibles, elle tentait de tout avaler en toussotant.
Elle en avait les yeux humides. Elle me souriait alors avant de reprendre sa pipe juteuse.
Son menton était trempé. A cause de la chaleur, cela devait la picoter.
De plus en plus souvent elle s’essuyait le bas du visage.

Nous étions là depuis trois bons quart d’heure.
Parfois, je lui retirais délicatement la tête afin qu’elle puisse reposer sa mâchoire.
Elle m’en était reconnaissante.
Comme pour me témoigner son appétit, Christelle ouvrait sa bouche gluante.
Une bouche emplie de filaments laiteux, qu'elle ouvrait afin de m’en montrer l’intérieur.
Il lui était impossible de déglutir en une seule fois tout le liquide visqueux que je lui offrais.
Au bout de quelques minutes, reposée, elle revenait pomper.

Je décidais d’éjaculer. Là aussi, je contrôle parfaitement le déroulement de mon orgasme.
Plutôt que d’éjaculer dans des saccades habituelles, je "bloquais" pour laisser s'écouler.
Ainsi, sans les spasmes du corps qui l'accompagnent, je laissais s’épancher le sperme longuement.
Je laissais couler sans bouger et sans gémir.
Christelle, surprise, ne savait plus à quel jute se vouer.
Elle déglutissait avec grand peine et en gloussant de plaisir.
Comme elle ne comprenait pas, je la laissais continuer sa pipe pour un second tour.

Il n'y a qu'un vieux salop pour se comporter ainsi ! La jeune appréciait visiblement...

Ma situation devenait un peu inconfortable. Christelle s’était remise à genoux. Je me redressais.
Debout devant la jeune fille, je lâchais plusieurs giclées qui faillir la noyer.
Désireuse de ne pas en perdre la moindre goutte, m’agrippant par les hanches, elle faisait des efforts.
Christelle faisait des efforts désespérés pour avaler tout ce qu’elle pouvait.
En toussant, en ayant des hauts le cœur et en se retrouvant trempée.
Même ses cheveux étaient mouillés par endroit comme sous une douche.

Nous restions ainsi un nouveau quart d’heure. Soudain, un violent haut le cœur saisit la jeune fille qui se retira.
La tête penchée sur le côté gauche, Christelle, le corps secoué de spasmes, se mit à vomir dans l’herbe.
Lorsqu’elle redressa son visage pour me regarder, les yeux larmoyant, elle me fit un sourire avant de me dire :
< Excuse-moi, je crois que mon estomac aime moins que moi ! > .
Je la saisis sous les aisselles pour la redresser. Je lui essuyais le visage avec des mouchoirs en papier.

Nous nous sommes allongés dans l’herbe, à l’ombre des épais murs de pierres. Silencieux.
Doucement, Christelle, apaisée, s’endormit. Sa tête contre mon épaule.
Je ne tardais pas à la rejoindre dans un profond sommeil…


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L'auto-stoppeuse - (Episode 5)


Je fus réveillé de la plus agréable façon. Christelle me couvrait le visage de bises.
Je la serrais contre moi. Je regardais l’heure. Il était déjà dix sept heure trente.
Je m’étirais et je me levais. Nous étions à l’ombre des murailles. Il faisait chaud.
La vue sur la plaine ensoleillée était somptueuse.
Je proposais à la jeune fille de prendre le chemin du retour.
Il nous fallait une petite heure de marche pour retourner à la voiture.

Nous sommes arrivés au véhicule vers dix huit heure trente.
Il nous fallait encore rouler une bonne demi-heure pour arriver chez le commerçant fromager.
Cet homme providentiel qui nous proposait une chambre dans sa propriété.
Christelle, durant le trajet, avait glissé sa main gauche dans ma braguette.
Elle me racontait des choses très amusantes et nous éclations de rire à tout bout de champ.
Nous étions submergés de bonheur.

Nous arrivions enfin à la sortie du petit bourg.
Là, sur la gauche, un grand portail de fer forgé, ouvert, était surmonté d’une pancarte.
Dessus, inscrits en lettres gothiques : "Fromagerie artisanale". C’était donc ici.
J’engageais la voiture dans le chemin.
Une centaine de mètres et nous nous retrouvions devant une grande maison.
A côté, une grande dépendance et un hangar.

Je garais la voiture sur le petit parking de droite. Une jeune femme vint à notre rencontre.
Je sortais du véhicule pour venir la saluer. < Vous êtes le couple pour la chambre ? > demanda t-elle.
< Oui, c’est bien nous ! > répondis-je. La jeune femme nous regardait en souriant.
Je devinais la question qui la taraudait. Est-ce que j’étais avec ma fille ou avec ma compagne ?
Christelle allait sur ses vingt ans, moi, sur mes quarante.
Nous allions nous amuser, durant tous les jours suivants, de cette fatalité cocasse.

La jeune femme nous invite à la suivre. Nous pénétrons dans la maison. Il y fait frais.
Nous montons un escalier pour arriver à l’étage.
Au fond du couloir, notre hôte ouvre une porte qui donne sur une grande chambre lumineuse.
La vue par la fenêtre, donne sur les collines rocheuses et les bosquets d’arbres alentour.
Un petit balcon permet d’apprécier le panorama. L’odeur est agréable.

A côté de notre chambre, il y a une petite salle de bain.
En face, il y a un cabinet de toilette. < Vous pouvez rester le temps que vous voudrez.
Le couple qui avait réservé s’est désisté ! > fit la jeune femme. L’endroit nous convient parfaitement.
Je propose de payer immédiatement pour les treize jours à venir.
Ainsi, Christelle et moi serions libre d’aller et venir sans trop penser aux choses pratiques.

Nous sommes retournés à la voiture pour y récupérer nos affaires.
Nous remontons à la chambre pour ranger nos vêtements et nos accessoires dans l’armoire.
Un coin cuisine permet de se préparer les repas. Un placard mural contient le nécessaire.
Christelle insiste pour me rembourser la moitié de la somme.
Soucieuse de ne pas être redevable. J’apprécie tout en rechignant. Elle insiste vraiment.

Seuls, debout sur le balcon, nous observons le paysage.
Le soleil descend au-dessus des collines rocheuses.
Christelle se serre contre moi : < On sera bien ici, c’est mieux que dans un gîte d’étape ! >.
Elle rajouta encore : <et sa promiscuité non désirée ! Non ? >.
Je la regardais pour lui répondre :
< C’est vrai ! Une fois à deux, c’est difficilement supportable d’être en dortoir ! >.
Elle mit sa main dans ma braguette en riant.

Il est vingt heure. Je propose à Christelle de nous offrir un repas dans un petit restaurant typique de la région.
Elle me saute au cou en me faisant quantité de bises.
< Tu as toujours de bonnes initiatives ! Je suis si bien avec toi.
Tu te rends compte, nous n’en sommes qu’au début ? > me fait-elle avant de m’embrasser avec passion.
C’est vrai, nous n’en étions qu’au tout début…


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L'auto-stoppeuse - (Episode 6)

Après notre douche, Christelle et moi sommes redescendus à la voiture. Il était vingt heure trente.
Nous prenions la route afin de nous trouver un petit restaurant sympathique.
La jeune fille était vêtue d’une robe rouge à petits points blancs.
Une ceinture enserrait sa fine taille. Pour l’occasion, elle s’était chaussée de souliers ouverts à légers talons.
Christelle était superbe.

J’étais vêtu d’un pantalon blanc et d’une chemise crème.
Avec la douceur de la soirée, je portais des espadrilles très confortables.
Christelle, une fois encore, avait glissé sa main dans ma braguette. Je roulais doucement.
Nous nous racontions quelques anecdotes amusantes.
Le plus souvent des histoires ayant traits à nos activités professionnelles. La jeune fille était étudiante.
Elle avait quantité de choses à raconter.
Nous étions à rire.

Au bout d’une dizaine de kilomètres, nous arrivons à l’entrée d’un petit bourg.
Là, sur la droite, un de ces restaurants "routiers". Je gare la voiture sur le parking.
Je ferme ma braguette. Christelle et moi, nous allons nous installer sur la terrasse.
Il y a là deux couples et une tablée de six petites vieilles très élégantes et plutôt discrètes.
Une fois encore nous avons droits quelques regards interrogateurs.
Suis-je le père ou l’amant, Qui est donc ce couple ?

Nous commandons un plat typique. La Maôche est une spécialité de la région.
C’est une préparation à base de chair à saucisse et de choux farci dans une panse de porc.
Nous décidons d’accompagner ce repas d’un vin rouge, des Côtes du Vivarais.
Christelle est ravissante.
Son visage angélique, entouré de ses longs cheveux en libertés, trouble mes sens plus d’une fois.
Je le lui fais remarquer.
Comme le prétendent souvent les belles filles, elle affirme que ce n’est pas si vrai que ça !

Pendant le repas, absolument délicieux, Christelle me fait du pied.
Parfois, entre deux sujets que nous aimerions sérieux, la jeune fille se montre facétieuse et espiègle.
Elle aime à lancer une plaisanterie ou un bon mot. Toujours d’une finesse étonnante.
Discrètement, en me fixant dans les yeux, elle se pince le téton de son tout petit sein droit.
Elle s’amuse à tourner son pouce et son index comme sur un bouton.
De sa langue, elle fait une boule contre l’intérieur de sa joue.
Sa main fermée devant la bouche. Belle, intelligente et vicelarde.
J’apprécie. Je passe ma langue sur mes lèvres pour lui rendre le "message".
Elle fait : < Mmmmmh ! >.

Nous prenons chacun une énorme coupe glacée. Une spécialité de la région, à la crème de marron.
Un délice absolument prodigieux. Je paie.
Christelle, toujours soucieuse de rester indépendante, insiste pour partager l’addition.
Je rechigne, je renâcle, je m’offusque.
En pure perte. La jeune fille, fière et autoritaire, sort de son petit sac à dos, un porte monnaie de vieux cuir.
Je fais la gueule. Elle me tire la langue avec une horrible grimace.

Nous reprenons le chemin du retour. Encore une fois la jeune fille glisse sa main dans ma braguette.
Il fait nuit. Une fois encore nous rions.
Nous commençons à ressentir la fatigue de cette journée chargée de surprises et d’émotions.
J’invite le lecteur à découvrir les épisodes précédents pour bien en saisir la teneur.
Nous arrivons "chez nous", à la chambre louée. Il n’y a que le chant des grillons.
Les étoiles brillent, nombreuses, dans un ciel d’un noir d’encre.

Une fois couchés, Christelle me chevauche. Elle ne porte que sa petite culotte.
Comme elle semble fragile, mince, fine et légère.
J’ai peur de lui faire le moindre mal par un geste inconsidéré.
En riant, la jeune fille frotte son sexe sur le mien.
Rapidement je me retrouve doté d’une érection rappelant quelque démonte-pneu de camion.
Christelle écarte son slip pour s’enfiler mon chibre.
< Mmmmmh ! Comme c’est doux ! C’est si bon ! > me fait-elle en remuant doucement.

Nous sommes à nous bercer doucement dans une infinie tendresse. Il fait chaud.
Nos corps sont à nouveaux humides. Christelle tombe sur moi. Elle ne bouge plus.
Je cesse de remuer mon sexe dans le sien en contractant mes muscles fessiers.
Rapidement, sans même nous en rendre compte, nous sombrons dans un profond sommeil…

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L'auto-stoppeuse - (Episode 7)


Je fus réveillé de la plus délicieuse des façons. Christelle me couvrait de bises.
Serrée contre moi, couchée sur ma gauche, la jeune fille m'enlaçait amoureusement.
< Bonjour. Tu as bien dormi ? > me demanda t-elle.
< Comme une véritable enclume au fond de l'océan ! > lui répondis-je en la prenant contre moi.
Je la serrais encore plus fort, avant de rajouter : < Bonjour ! Et toi ? >.
Pour toute réponse Christelle se blottit contre moi en faisant : <Mmmmmmmh ! >.

Doucement, descendant son visage, elle me couvrit la poitrine puis le ventre de bisous.
La jeune fille, de sa bouche chaude, vint s'emparer de mon sexe. Je lui caressais délicatement la tête.
Sous l'effet de l'indicible étreinte, je me retrouvais rapidement avec une érection de style "démonte-pneu".
Modèle "camion". Christelle s'en amusait et semblait en apprécier les effluves matinales.
Et les parfums de la nuit...

< Je ne réponds pas de la qualité de ce que tu suces, parce que j'ai une méchante envie de pisser ! > lui fis-je.
En éclatant de rire, essayant de continuer son labeur, elle me fit : < Intéressant ! >.
Je la tenais par la nuque, essayant de me dégager de cette étreinte trop délicieuse.
Peine perdue, la coquine s'accrochait fortement.
Sa bouche, telle une ventouse, me procurait quelques extases matinales du meilleur effet..

Enfin, au bout de quelques minutes, elle se redressa pour venir caler sa tête contre mon cou.
< Je vais m'occuper de ton cas tout au long de la journée ! > me chuchota t-elle.
Je posais ma main sur son sexe en répondant : < Oui, moi aussi, et ça va barder pour ton matricule ! >.
Elle retira ma main doucement en me disant : < Impossible. Pour deux jours, j'appartiens à Dracula ! >.

Cette déclaration, en ce troisième jour avec elle, me demandait quelques réflexions.
Rapidement, je comprenais que Christelle avait ses "petits machins".
En éclatant de rire, nous nous sommes levés. Rapide passage aux toilettes avant un copieux petit déjeuner.
Pour cette matinée à venir, nous décidâmes d'aller nous promener vers le grand viaduc.
Cette construction millénaire que nous avions vu depuis la route.

Dès neuf heure, douchés, vêtus légèrement, nous prenons la voiture. Nous saluons la propriétaire du gîte.
< Bonjour. Vous venez manger avec nous, dimanche soir ? > nous fit-elle.
< Peut-être, nous vous confirmons demain, samedi ! > Fit Christelle.
Avant de rajouter; en montant dans l'auto : <Nous avons une telle soif de découvrir la région ! >.
< Putain, j'ai pas envie de me faire chier, je veux être seule avec toi pendant deux semaines ! > me fit-elle.
Elle se mit à souffler < Pfffff ! >, en posant sa tête sur mon épaule.

Nous roulons sur la petite route. Le soleil est déjà haut dans un ciel d'un bleu lapis-lazulien.
Il commençe même à faire chaud.
Christelle, comme elle le fait tout le temps, en voiture, passe sa main gauche dans ma braguette.
Là, nous n'avons pas fait cinq kilomètres, qu'elle sort mon sexe pour le sucer. Je roule doucement.
La route est déserte. Nous arrivons en vue du viaduc.

Je gare la voiture sous un bosquet d'arbres. Christelle se redresse.
Nous sortons de la voiture, je remballe l'artillerie et referme ma braguette.
La jeune fille, toute heureuse, sautille autour de moi : < Je ne veux plus compter les jours, et toi ? > me fit-elle.
< Ah, mais moi, depuis toi, je ne les compte même plus ! Tu penses bien ! Le reste m'est égal ! > lui répondis-je.
< Si tu t'en branle de tout le reste, c'est moi qui veut le faire ! > me répondit-elle.
Nous éclatons de rire.

Nous marchons sur un sentier aride. Nous montons vers le viaduc.
Une construction romaine, imposante, qui se détache sur l'azur du ciel. Nous voilà au pied du premier pilier.
Ce qui doit être une large rivière n'est, en cette saison, qu'une sorte de large ruisseau.
Christelle met sa main dans mon short. Elle joue avec mon sexe humide.
< Tu me le donnes un peu, j'ai soif ? > me fit-elle en s'accroupissant.

Je regarde autour de nous. Le lieu est désert. Christelle m'ouvre la braguette et me sort le sexe.
Il est humide et un filet opalescent s'écoule du méat.
Lapant la coulure de sa langue, la jeune fille ouvre la bouche pour me gober en gloussant.
Immédiatement, elle me suce.
Je la regarde, les yeux fermés, concentrée, un air d'extase se lit sur les traits de son visage.

Nous restons ainsi cinq bonnes minutes. Christelle se redresse et, en souriant, me fait < Ahhh, ça va mieux ! >.
Nous éclatons de rire. Je remballe et nous marchons vers la colline.
Nous voulons prendre le sentier pour tenter d'arriver sur l'édifice de pierres.
La jeune fille me tient la main.
Elle me parle d'elle, de ses études, de son "petit copain", un garçon un peu niais.
Un jeune gars qui la néglige. Christelle évoque aussi sa passion pour l'équitation.

Nous marchons environ trente minutes. Nous arrivons enfin sur haut de la construction. Il y a un chemin.
Un panneau et une chaîne en interdisent l'accès. Un interdit fait pour être contourné.
Nous n'allons pas en priver nos légitimes curiosités. Christelle m'ouvre une nouvelle fois la braguette.
Elle me sort le sexe et, avant de s'accroupir pour en tirer de nouvelles substances, elle me dit :
< Défense de la rentrer jusqu'au retour ! >. Soudain, en regardant en bas, j'ai le vertige...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 8)


Christelle s'était redressée. Me prenant par la main, elle m'entraîna jusqu'à la chaîne.
La jeune fille passa dessous et m'invita à la suivre. Je me baissais à mon tour pour prendre le même chemin.
Celui-ci n'était autre que le sommet du viaduc. J'évitais de regarder vers le bas d'un côté ou de l'autre.
Christelle ne semblait pas souffrir du vertige autant que moi.

L'étroitesse du chemin de pierre, était entouré de chaque côté d'un muret d'environ un mètre de hauteur.
Le chemin, lui, ne mesurait pas plus d'un mètre cinquante de large.
C'était réellement impressionnant de se balader là-haut, à certainement plus de soixante dix mètres.
Une brise légère soufflait sans apporter la moindre fraîcheur.
La jeune fille m'entraînait en marchant de plus en plus vite.

Soudain, là, devant nous, un trou béant empêchait tout passage.
Christelle, s'avançant au mépris du danger, me fit : < Oh punaise, viens voir, c'est vachement impressionnant ! >.
A la limite de la nausée, très inquiet et plutôt effrayé, je posais un pied devant l'autre.
< Mais c'est qu'il tremble notre quadra ! > me fit-elle encore en me saisissant par le sexe.
Ce sexe qui pendait lamentablement de ma braguette.

Je n'en menais pas large et c'est moi qui prenais l'initiative de l'entraîner à retourner sur nos pas.
Christelle, amusée, me suivit sans rechigner. Elle me demanda :
< Tu sais, j'ai la trouille aussi, tu imagines un peu les pierres sous nos pieds, avec nos poids ? >.
Je marchais de plus en plus vite en l'entraînant de toutes mes forces.
Arrivés au bout du viaduc, Christelle me sauta dans les bras.

< Mon héros m'a sauvé ! Il mérite une récompense ! > me fit la jeune fille en s'accroupissant devant moi.
Me fixant dans les yeux, elle engouffra la totalité de mon sexe dans sa bouche.
La sensation, délicieuse, ne me fit pas cesser d'avoir une légère tremblotte.
Je la laissais faire quelques minutes. Se retirant, Christelle me fit :
< J'aime aussi quand tu ne bandes pas ! Je vais t'emmener dans des endroits dangereux plus souvent ! >.
Nous éclations de rire. La jeune fille se redressa.

Nous décidions de reprendre le sentier qui descendait.
Christelle me proposa de nous installer au bord de la rivière et d'y passer une partie de la journée.
A deux reprises, sans me prévenir, en me disant d'abord :
< Stop ! Contrôle ! > la jeune fille, s'accroupissait pour me sucer quelques instants.
Je retrouvais une érection qui me réconfortait.
Le vertige qui m'habitait à présent était d'une toute autre nature.

Nous arrivâmes à la voiture. Nous y étions revenus pour récupérer le plaid, la glacière, des fruits et le pain.
Nous éions de retour à la rivière dix minutes plus tard. Il était presque midi.
Mon sexe toujours à l'air car interdiction formelle de le rentrer, j'avais souvent un sentiment d'insécurité.
Nous n'avions encore croisé personne.
Nous nous sommes installés au bord de l'eau claire, à l'ombre d'un pilier.

A peine étais-je allongé que Christelle se lova contre moi.
Comme une petite chatte, elle se frottait contre ma cuisse.
Doucement, cessant de m'embrasser, la jeune fille descendit vers mon sexe qu'elle goba de la plus douce des façons.
Je me laissais faire. < Surprends-moi ! > me fit-elle durant le court instant où elle sortit mon sexe de sa bouche.
Je compris ce que la jeune fille sous-entendait.

< Tu ne veux pas qu'on mange d'abord ? > lui demandais-je.
< Tu as faim aussi ? > me répondit-elle espiègle et mutine...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 9)


Assis tous les deux sur le plaid, les victuailles au milieu, Christelle et moi partagions notre repas.
La jeune fille me parlait de sa première année d'étude et de son "petit copain".
Moi,je lui parlais de mes activités artistiques. De mes projets.
Tout en conversant, notre attention fut attirée par des mouvements de l'autre côté de la rivière.
C'était un pêcheur qui remontait le cour d'eau. Il était équipé de sa cane et de son matériel.

Quinquagénaire plutôt enveloppé, le quidam nous salua d'un signe de la main.
Nous lui rendîmes son signe amical. Je découpais les tranches de pain et les morceaux de parmesan.
Nous reprîmes notre conversation.
Je fis remarquer à la jeune fille que ses petites économies allaient fondre comme neige au soleil.
Surtout si elle voulait partager tous les frais.
< Ne t'inquiète pas, sur un simple coup de de téléphone je peux acheter ta voiture ! > me fit-elle.
Me disait-elle cela pour me rassurer et en m'avouant la raison sociale de ses parents ?
Situations professionnelles forts enviables.
A l'époque, je roulais dans une grosse berline allemande. Et j'y tenais...

Une fois notre délicieux repas terminé par des fruits goûteux, je remballais les affaires.
Je disposais la glacière dans l'eau en la coinçant avec deux grosses pierres. Je revins m'allonger sur le plaid.
Christelle, coquine, me fit : < Je peux avoir mon dessert et mon digestif ? Tu m'as promis ! >.
Elle ouvrit ma braguette avec une certaine agilité pour en extraire ce qui la passionnait de plus en plus.
Elle me fixait avec des yeux terriblement suggestifs.
Par en-dessous. Amusée et vicelarde.

Je regardais partout autour de nous. Avec attention, je scrutais les lieux. Tout était désert.
Seul le bruit de l'eau et le chant des grillons emplissaient l'atmosphère bucolique de l'endroit.
Christelle, s'allongeant à côté de moi, déposa sa tête sur mon ventre.
Longuement, tout en me racontant des anecdotes amusantes, elle jouait avec mon sexe.
Le décalottant puis repoussant la peau pour recouvrir mon gland.
Je préfère le savoir bien à l'abri dans son capuchon...

Au bout d'un moment, approchant son visage, elle goba ma turgescence.
Immédiatement cette indicible sensation de plaisir intense envahit tout mon être.
Je restais parfaitement immobile.
Parfois, par contractions de mes muscles fessiers, je faisais bouger mon sexe dans la bouche de la jeune fille.
A chaque fois la délicate sensation de ventouse semblait se refermer davantage.
Les gémissements de satisfactions commençaient à se faire entendre.
Cette action, permettant la "fabrication" abondante de liquide séminal, semblait ravir ma suceuse.

Christelle pompait, alternant avidité et douceur. Sous ma tête, comme un oreiller, j'avais disposé mon sac à dos.
Je pouvais voir la tête de la jeune fille. Le plus souvent sans bouger, je la savais concentrée sur sa pipe.
Je ne pouvais pas voir ce qu'elle faisait mais je pouvais le sentir.
Je fermais les yeux et je me laissais sucer dans les plus subtiles voluptés.
L'enchantement paradisiaque. Parfois, je lui tenait la nuque pour appuyer légèrement.
Parfois je lui caressais les cheveux.

Christelle avait des mouvements de tête légers mais de plus en plus fréquents. J'ouvrais un œil.
Là, planqué derrière les bosquets, de l'autre côté de la rivière, il y avait le pêcheur. Le bougre mâtait.
Christelle l'avait sans doute repéré depuis un moment.
Ce qui expliquait les mouvements de tête depuis dix minutes.
Je faisais semblant de ne m'être aperçu de rien, gardant les yeux plissés.
Je pris mes lunettes de soleil noires. Le mec avait la bite à l'air.
Il l'a montrait à la jeune fille.

Derrière les verres fumés, je pouvais observer le manège du type. Il fit un petit signe à Christelle.
Etonné, presque consterné, je vis Christelle lui répondre par un discret mouvement de la main.
En fait, la jeune fille s'amusait de cette situation.
Soudain excité au-delà du raisonnable, j'éjaculais avec plusieurs jets.
Plusieurs jets dont l'abondance devait surprendre ma petite salope. Avec peine, elle déglutissait.
Fixant sans doute le type entrain de secouer son membre dans la direction de la fille.

Je louchais sur le mec. Il devait comprendre ce qui se passait.
Christelle devait continuer à le fixer car l'inconnu leva le pouce de la main droite.
Un peu comme pour manifester et témoigner de son admiration.
La jeune fille, sans doute aussi excitée que moi, continuait à me vider avec soin.
Je restais ainsi, immobile, ma curiosité aiguisée par ce qui allait suivre.
Je me mis à bouger doucement, d'un mouvement masturbatoire, dans la bouche de ma pipeuse.
Affolée de plaisir, elle poussa un râle de plaisir en se mettant à me pomper comme si sa vie en dépendait.

Qu'allait encore me réserver cette étonnante jeune fille ?


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L'auto-stoppeuse - (Episode 10)


J'étais couché sur le dos. Sous ma tête, en guise d'oreiller, j'avais disposé mon petit sac à dos.
Allongés sur le plaid, Christelle et moi nous faisions une sieste tout à fait "crapuleuse".
Du coin de l'œil, discrètement, derrière les verres fumés de mes lunettes de soleil, je surveillais.
J'observais les agissements du pêcheur.
Ce dernier, bien vicelard, agitait son sexe dans notre direction.

Le bougre ne se doutait certainement pas que je l'observais.
Christelle, sans doute très excitée par la situation, me suçait avec cette passion dont elle était coutumière.
Elle devait fixer le voyeur-exhibitionniste car il semblait, lui aussi, passablement excité.
En effet, avec un culot certain le salopiot se masturbait ostensiblement au bord de la rivière.

Je pris pleinement conscience de cette situation plutôt surréaliste.
J'entraînais ma pompeuse à côté du plaid, sur les cailloux. Je posais ma main sur la tête de la jeune fille.
Doucement, j'appuyais. Je la forçais ainsi à gober en peu plus de ma turgescence.
Christelle émit un léger cri de surprise. J'enfonçais encore un peu plus.
Le type regardait avec une attention encore décuplée.
Je saisis la jeune fille pas ses cheveux pour lui retirer la tête.

En même temps que je sortais de sa bouche, je lâchais un jet. Court, net et précis.
La jeune fille, surprise, poussa un autre petit cri. Je lui appuyais une nouvelle fois sur la tête.
Elle n'eut d'autre choix que de gober à nouveau mon sexe.
Elle le fit avec avidité en poussant de longs gémissements. Je me lâchais en plusieurs petites giclées.
Elle essayait de se retirer. Je la maintenais fermement.
Je décidais de me comporter en salopard.

Je fis cela à plusieurs reprises.
La relevant en la tenant par les cheveux, pissant un coup bref, en lui appuyant à nouveau la tête.
Je jeu devait plaire à la jeune fille.
Car, se sachant observée entrain de se livrer à sa gourmandise, elle poussait des gloussements sonores.
Des gloussements que devait percevoir le voyeur car son comportement devenait de plus en plus perturbé.

Le type devait éjaculer car je le le vis se cambrer, rester immobile en ahanant.
J'en profitais pour faire de même.
Un second orgasme, absolument fameux, dans la bouche de ma merveilleuse suceuse.
Avec soin, longuement, elle me fit le "fond de cuve", sans en perdre la moindre goutte.
Je voyais le type s'en aller, sa musette en bandoulière, son épuisette et sa cane à pêche à la main.

Christelle, les cheveux trempés, se redressa.
Elle me regardait avec un sourire radieux, visiblement heureuse : < C'était comment ? > me demanda t-elle, mutine.
Je lui tendis le rouleau de papier sopalin en lui disant : < Tu es une merveilleuse petite salope ! >.
Elle éclata de rire en faisant :
< Oh, comme tu es vulgaire ! Salope ? Moi ? Mais où vas-tu chercher des choses pareilles ! >.

Se levant, allant à la rivière, Christelle, prenant appui sur un gros cailloux, trempa sa chevelure dans l'eau.
< Wouah ! C'est froid ! > fit-elle en agitant ses cheveux longuement au-dessus de l'onde.
J'avais de la pisse sur mon short et sur le bas de mon T-shirt. Christelle en avait sur le haut du sien.
Nous décidions donc de laver nos vêtements dans la rivière.
Avec la chaleur, tout serait rapidement sec.

Nous sommes revenus, en sous-vêtements, nous allonger sur le plaid. Christelle s'endormit contre moi.
Je ne tardais pas à la rejoindre dans un profond sommeil.
Nos vêtements étaient entrain de sécher sur deux grosses pierres. Nous avons dormi ainsi deux bonnes heures.
Il était dix sept heure. Nos fringues étaient secs.
Nous nous sommes habillés pour retourner à la voiture.

J'invitais Christelle à nous mettre en quête d'un petit restaurant pour le repas du soir.
La jeune fille ne semblait pas s'être rendue compte de ce que j'avais vu. Où faisait-elle comme si ?
Je décidais de ne pas évoquer la présence du mec. Volontairement j'occultais sa présence.
Christelle, était-elle dupe ?
J'avais à présent la certitude d'être en compagnie d'une sublime petite salope.
Le rêve...

Nous sommes arrivés dans un charmant village aux maisons de pierres blanches. Je garais la voiture.
Nous nous sommes promenés dans les ruelles.
Christelle, à plusieurs reprises, discrètement, lorsqu'elle se blottissait contre moi, me palpait la braguette.
Elle le faisait parfois avec vigueur.
Au sommet de la colline, à côté de la mairie, il y avait une petite auberge. Il était vingt heure.
Nous nous sommes installés sur la terrasse pour y commander notre délicieux repas du soir.


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L'auto-stoppeuse - (Episode 11)

Nous avons encore profité de cette douce soirée d'été en nous promenant longuement dans les ruelles du village.
Notre repas au restaurant nous avait légèrement alourdi.
Aussi, c'est avec un réel plaisir que nous profitions de cette légère fraîcheur de la nuit.
Christelle me tenait par la taille en me racontant des anecdotes de sa vie.
Elle le faisait avec passion, s'arrêtant souvent pour se serrer contre moi.

Nous sommes revenus à la chambre pour minuit. Me chevauchant, Christelle profitait de ma splendide érection.
Malgré que son cycle, (et son tampon), lui interdisaient toute pénétration, elle se frottait avec fougue.
Tous deux fourbus, nous nous endormîmes sans même nous en rendre compte.
La jeune fille après avoir pesé sur moi de tout son poids, glissa doucement sur le côté.
Cette position lui permettant de plonger dans un profond sommeil réparateur.
Je la rejoignis presque immédiatement. Elle ronflait doucement.

Il devait être sept heure. Le soleil jouait déjà sur le mur en face du lit.
Christelle, déjà réveillée, me chuchota les premières douceurs de la journée. Je la serrais contre moi.
C'était le quatrième jour que nous passions ensemble.
La jeune fille désirait, comme moi, profiter de chaque instant, avec la même acuité que la mienne.
Nous ne voulions rien perdre de ce temps ensemble. C'était notre "contrat".

Nous nous sommes levés pour prendre notre douche.
Puis, assis à la petite table, nous prenons notre petit déjeuner. Christelle évoque le bord de rivière, hier.
Tous deux, nous évitons de parler du pêcheur. Je n'aborde pas le sujet.
Je veux découvrir si la coquine sait, si elle "joue", et tout cela m'excite considérablement.
Sera t-elle la première à en parler ? Nous envisageons une nouvelle expédition dans la région.

Notre choix se porte sur La Cascade du Ray-Pic. Nous feuilletons une brochure.
Je propose à Christelle de passer un peu de temps à Annonay.
Nous pourrons y visiter quelques Musée, aller à l'office de tourisme et découvrir la ville.
< Tu as toujours de bonnes idées ! > me fait la jeune fille en me sautant dans les bras.
Toutes ces émotions commencent à me pénétrer de plus en plus profondément.

Nous nous mettons en route. Je roule sur la petite route, départementale 121 qui nous mène vers Annonay.
Le paysage, sec et ensoleillé, est de toute beauté. Je roule doucement.
Nous nous faisons doubler par quelques rares véhicules. Christelle a enfourné sa main dans ma braguette.
Elle est là, les pieds sur le tableau de bord, à me raconter des histoires amusantes.
J'apprécie l'optimisme et la constance de caractère de la jeune fille.

Christelle est vêtue d'une jupe légère, courte et plissée. Un simple T-shirt lui recouvre le buste.
Ses tous petits seins ne nécessitent aucun sous-vêtement. Je sais toutefois qu'elle porte une culotte.
Elle est libre de ses mouvement, souriante et heureuse.
Je la trouve chaque jour plus fine, plus belle et plus délicate.
Dans ma poitrine, mon vieux cœur commence à m'imposer de curieuses sensations.

A la sortie du magnifique village de Saint-Bonnet-le-Froid, Christelle sort mon sexe avec une agilité étonnante.
Doucement, alors que je roule, elle imprime un léger mouvement masturbatoire.
Je suis beaucoup plus amusé qu'excité. Nous rions.
Doucement, la jeune fille, baissant ses jambes pour les poser au sol, se penche sur le côté.
Christelle gobe mon sexe en poussant un < Mmmmmh ! >.

Je suis très concentré. Je scrute chaque angle de mes rétroviseurs et de la route.
En restant parfaitement lucide, maîtrisant totalement la situation, j'éprouve un plaisir décuplé.
Je peux sentir la langue agile de Christelle qui tente de pénétrer sous la peau de mon prépuce.
Je contracte mes muscles fessiers à plusieurs reprises afin de lui offrir un peu de liquide séminal.
De sympathiques < Mmmmmmh ! > résonnent à quelques reprises.

Nous prenons la départementale 17. La route est étroite.
Parfois, tirant Christelle par ses cheveux attachés en natte, je la redresse afin qu'elle puisse admirer le paysage.
< Oh, regarde, là-bas, la drôle de montagne ! > me fait-elle.
La jeune fille me montre, au loin, une sorte de "brioche conique".
La jeune fille feuillette la brochure avant de me dire : < C'est le Mont Gerbier de Jonc ! >.
< C'est superbe ! > lui dis-je.

Je gare la voiture afin de prendre quelques photographies.
J'oublie que mon sexe pend de ma braguette et je sors de la voiture.
Un coup de klaxon d'une auto qui passe attire mon attention.
Christelle, pliée de rire, pointe son doigt en direction de mon entre-jambes.
Je remballe très vite. La coquine n'arrête pas de me tripoter à travers le tissus de mon pantalon.
Je prends quelques clichés...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 12)


Nous étions entrain de rouler sur la petite route qui nous menait vers Annonay.
Christelle avait sorti mon sexe.
Je roulais donc doucement, avec de grandes précautions, en me faisant caresser.
L'activité qui consiste à conduire un véhicule.
Conduire le sexe à l'air, en compagnie d'une délicieuse ingénue, devrait être reconnue d'utilité publique.
En effet, le conducteur redouble de prudence et fait très attention.

Parfois Christelle se laissait glisser sur le côté pour récupérer le liquide séminal.
Ce jus qui perlait à l'extrémité de mon prépuce.
La jeune fille me suçait alors avec cette délicatesse presque émouvante qui créait une nouvelle addiction.
Parfaitement consciente de l'effet qu'elle suscitait sur ma pauvre personne, elle en profitait.
Elle en profitait même avec une effronterie adorable.
Se redressant avec les lèvres humides. Prenant plaisir à montrer les coulures.

Nous arrivions à la ville pour treize heure. Nous avions faim.
Cette fois-ci, avant de sortir de la voiture, je fermais consciencieusement ma braguette.
Christelle, prenant l'air triste, tout à fait de circonstance.
Elle me fit : < oh, dommage ! Je pourrais l'avoir encore un peu après ? >.
Je contournais le véhicule pour serrer la jeune fille contre moi.
Elle enfonça sa langue au goût de sperme dans ma bouche.

J'avais garé la voiture à l'entrée de la ville. Nous décidions d'aller manger dans un parc.
J'avais le petit sac à dos contenant les victuailles.
Après avoir demandé notre chemin à un passant, nous nous mettions en route pour le parc Mignot.
Ce parc réputé et distant de quelques centaines de mètres.
La vue sur le lieu, décoré "à la Française", était de toute beauté. Nous avisions un banc en retrait.

Je découpais les tranches de pain pendant que Christelle, ouvrait le Tupperware.
La jeune fille remuait la salade préparée le matin.
A cette époque, le téléphone portable n'était encore qu'un luxe rare.
Aussi, la jeune fille me fit :
< Tout à l'heure, il faut qu'on trouve une cabine, je vais téléphoner à mes parents, ça les rassure ! >.
Je lui tendais sa tartine de Roquefort, son fromage préféré.

Après le repas, lorsque nous avions tout rangé, Christelle s'allongea sur le banc, sa tête sur mes cuisses.
Elle me regardait longuement. Je caressais ses cheveux. Elle me parla de sa première année de faculté.
Elle me fit : < Tu viens à mon anniversaire, le 18 septembre ? >.
Après un moment de silence, je répondais :
< Cinq cent kilomètres ! Oui, je viens, c'est sûr, mais dans le plus grand secret ! >.

Pour fêter ses vingt ans, elle souhaitait ma présence.
Nous n'étions encore qu'en été. Je savais pouvoir organiser ma venue. J'y tenais vraiment beaucoup.
Christelle aussi. La jeune fille regarda longuement autour de nous. Scrutant avec attention les alentours.
Puis, elle se coucha sur le côté. Ouvrant discrètement ma braguette, elle s'empara de mon sexe.
Celui-ci était encore suintant des caresses précédentes. De quoi la régaler.

Christelle se mit à me sucer avec passion. Je regardais partout autour de nous.
Parfois, je baissais le regard pour observer la jeune fille.
Son visage lisse, angélique, présentait un réel paradoxe avec ce qu'elle était entrain de faire.
Tant que j'en fus considérablement excité. Elle donnait l'impression de "biberonner" avec bonheur.
J'éjaculais une première fois.
Avec peine, Christelle tentait de déglutir la quantité de sperme que je lui offrais.

Christelle commence à bien me connaître. Elle sait donc que le "meilleur" reste à venir.
Aussi, avec avidité, elle continue de pomper. Nous partons pour un second tour.
Je lui propose :
< Et si on s'offrait les plaisirs à venir au petit bonheur la chance, dans des endroits insolites et fous ? >.
La jeune fille se redresse pour me répondre : < Tu as toujours de merveilleuses idées ! > avant de sucer encore.

La tirant doucement par les cheveux, je forçais Christelle à se redresser.
Elle sembla reprendre ses esprits avec une certaine peine.
< En route, mauvaise troupe ! > fis-je.
Elle mit sa main sur sa tempe en répondant : < Oui, mon Capitaine, à vos ordres ! >.
Nous nous levions pour aller à l'aventure et découvrir Annonay...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 13)

Nous déambulions dans les rues qui nous menaient au centre ville.
Nous marchions doucement en découvrant les vitrines entre la rue Sadi Carnot et le boulevard de la République.
Les touristes, nombreux, flânaient comme nous.
Christelle prenait nombre de photographies, me demandant quelquefois de poser devant tel ou tel monument.
Combien de fou rires, combien de baisers échangés aux alentours de l'église Saint-François.
J'y pense encore aujourd'hui. Avec des frissons.

Gourmands et désireux de nous offrir tous les plaisirs, nous marchions en tenant nos glaces.
Glaces que nous mangions presque à la chaîne.
Nous arrêtant à la première boutique qui en proposait lorsque nous avions déguster la précédente.
J'aimais goûter la bouche de la jeune fille, entre deux glaces.
Cette bouche, lorsqu'elle était froide, parfumée à la vanille, à la pistache ou au pralin.
Le plaisir était réciproque car Christelle fouillait ma bouche avec fougue de sa langue exploratrice.

Après la ville, nous prenions la direction du quartier de Cance.
Le dépliant que je tenais indiquait un chemin de promenade.
De là, nous pourrions avoir une vue épatante sur la ville et sa région proche.
C'est en montant vers l'hôpital que Christelle, me poussa dans le renfoncement d'une porche cochère.
Elle posa sa main sur ma braguette. Elle palpait, tâtait et "malaxait".
Procédant ainsi jusqu'à me procurer une formidable érection.
Il faisait chaud. J'étais soudain en sueur !

Sans s'inquiéter, après avoir jeté un regard dans toutes les directions, elle ouvrit mon short.
Christelle ouvrit ma braguette pour en extraire ma turgescence.
Les voitures garées sur le bord du trottoir nous dissimulaient parfaitement.
Surtout la camionnette jaune des Postes. Christelle s'accroupit. Elle se mit à me téter avec force.
Je regardais partout autour de nous. La situation durait ainsi depuis quelques minutes.
Je tentais de redresser la jeune fille pour la faire cesser.
Avec obstination elle résista à tous mes efforts.

C'est là que je remarquais la jeune femme assise dans la camionnette des Postes.
Elle était jeune et plutôt belle. Elle nous observait en souriant. J'étais soudain terriblement gêné.
< Arrête ! Il y a quelqu'un qui nous a vu ! > fis-je à ma suceuse.
Cessant de pomper un court instant pour me répondre : < Oui, je sais, elle mâte ! >.
Je regardais la jeune postière. Cette dernière me fixait dans les yeux avec un air de défi.
J'essayais de soutenir son regard, terriblement excité. J'aurais voulu me cacher.
Christelle suçait.

La jeune femme me fit un sourire sans équivoque. Elle leva la main pour dresser son pouce en l'air.
Appuyant son geste par deux clins d'œil. Je me sentais couler dans la bouche de Christelle.
Mon excitation distillait quantité de liquide séminal dont se régalait ma petite salope.
La camionnette démarra pour quitter l'emplacement. Nous étions à présent beaucoup trop visibles.
Avant de s'éloigner, la postière m'envoya un bisou, qu'elle souffla depuis sa main ouverte, dans ma direction.

J'arrivais enfin à redresser Christelle. < Alors ? C'était comment ? > me fit-elle, sourire aux lèvres.
Elle rajouta, amusée : < Tu en mets du temps pour te rendre compte de ce qui se passe autour de toi ! >.
Christelle se met à m'embrasser. Je remballe mon sexe et je ferme ma braguette.
< Ainsi tu savais qu'il y avait la femme dans la camionnette ! > fis-je un peu consterné.
< Bien sûr, comme je sais que tu as vu le pêcheur, hier ! > me fit-elle en riant.
Elle me fixe en rajoutant : < Tu sais, le pêcheur qui nous mâtait au bord de la rivière ! > éclatant de rire.
Christelle m'entraîna par la main, mutine et espiègle. Sans même me laisser le temps de répondre.

Nous arrivions sur les hauteurs du chemin de Cance. La vue y était sublime.
L'endroit était très fréquenté. A plusieurs reprises, Christelle, se frotte contre moi en m'embrassant.
La jeune fille me touche discrètement le sexe. J'avais envie d'évoquer le pêcheur.
Elle me posa la main sur la bouche : < Chut ! Je sais ce que tu vas me demander ! Secret défense ! > me fit-elle.
Nous éclatons de rire. Elle s'arrêta pour m'embrasser, encore et encore. Elle approche sa bouche de mon oreille.
< J'ai envie de te tailler une pipe quelque part, viens, on se trouve un "plan" ! > me dit-elle...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 14)

Nous étions entrain de redescendre le long du sentier. Nous laissions le chemin de Cance au-dessus de nous.
A plusieurs reprises, passionnée, Christelle se serrait contre moi, m'embrassant avec fougue.
Nous en avions le menton mouillé. Elle me tenait fermement par la main.
Parfois, cessant sa marche rapide, la jeune fille se frottait contre moi.

Là, sur la gauche, il y avait la ruine d'une maison de pierre.
Envahie de lierre, le toit crevé, il n'en restait que les murs.
Les fenêtres et les portes n'étaient plus que des trous béants.
Le soleil, encore haut dans le ciel, figeait les environs dans les chaleurs d'une fin d'après-midi radieuse.
Christelle, m'entraînant par la main, nous emmena à proximité de la ruine. Nous en faisions le tour.

Une sorte de terrasse subsistait encore, surplombant un aplomb assez vertigineux.
Un aplomb saillant au-dessus des premières maisons de la ville.
Deux bancs permettaient de nous y asseoir. De là nous pouvions admirer les environs.
La vue était magnifique. Nous étions assis à l'ombre de grands arbres.
Une légère brise rafraîchissait agréablement le lieu.

< Demain, je veux faire l'amour avec toi toute la journée ! > me fit la jeune fille en ouvrant ma braguette.
Elle m'embrassa longuement en sortant mon sexe qu'elle masturbait doucement.
< Je découvre de délicieuses choses avec toi ! > fit-elle encore avant de se mettre à cheval sur le banc.
Se penchant en avant, Christelle se mit à me sucer.

Immédiatement, cette indicible sensation de plaisir absolu m'envahit.
Je lui pris les cheveux que je tenais en queue.
La jeune fille resta ainsi quelques minutes avant de se relever.
< Mon "copain", il n'aime pas trop la pipe, et toi ? > me demanda t-elle.
Elle me posait cette question alors qu'elle savait très bien à qui elle avait affaire.
< Moi, la pipe, c'est mon "truc" préféré ! > lui répondis-je.
< J'avais bien compris ! > me lança t-elle avant de s'y remettre.

< Mais demain, je te baise tout le temps ! > lui fis-je alors qu'elle se redressait à nouveau.
< Oh oui ! C'est si bon avec toi et ça dure longtemps ! > me fit-elle en se mettant à rire aux éclats.
Christelle se leva pour s'asseoir à mes côtés.
Sans cesser de me masturber doucement, elle me dit encore :
< Si nous n'étions pas aussi loin l'un de l'autre, on serait tout le temps fourré ensemble, tu ne crois pas ? >.
Je restais un moment silencieux avant de préciser : < C'est même certain ! >.

Nous restions longuement à regarder le paysage. Christelle posa sa tête sur mon épaule.
< Tu crois que ce serait possible entre nous ? Malgré l'âge ? > me demanda t-elle d'un ton grave.
< J'en suis certain aussi ! > répondis-je.
La jeune fille soupira longuement avant de me dire, dans un souffle : < Parce que je crois que je t'aime ! >.
Je ne savais quoi dire. < Et toi ? > rajouta t-elle.

Comment expliquer à cette jeune fille que mon cœur ne battait plus que pour elle depuis deux jours ?
Comment trouver les mots pour lui avouer le trouble et le tourment qu'elle avait induit en moi ?
J'étais devant un curieux paradoxe. Un mélange de peur, de crainte et d'amour.
J'avais peur, en avouant tout cela de perdre un peu de ma dignité, peur du ridicule.
Vingt années de différence ce n'est pas rien !
J'étais conscient de l'avenir douloureux que nous réservait cette merveilleuse histoire.
A l'heure ou viendrait la "facture"...

Christelle, se penchant sur le côté, se mit à me sucer à nouveau.
Elle le fit avec tant de passion que cela allait au-delà de la pure sexualité.
Je lui saisi la tête pour lui dire :
< Moi aussi je crois que je t'aime ! >. Je rajoutais après un moment de silence :
< Et je crois qu'à cause de ce sentiment qui nous habite, nous sommes tous les deux "mal barrés" ! >.
La jeune fille se redressa pour me dire :
< Mal "barrés" ? Parle pour toi, moi je ne veux pas que ça s'arrête à cause de 500 kilomètres ! >
Elle rajouta en riant : < Si tu ne viens pas me voir, c'est moi qui vient ! >.

Lorsqu'une fille affirme une telle chose, avec une telle détermination, pas d'autres options que d'obtempérer !
Si cela peut réjouir, cela peut également effrayer.
J'étais "cuit"...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 15)

Nous étions assis sur le banc.
De cet endroit stratégique, en hauteur, nous avions une vue magnifique sur le paysage et sur la cité.
Nous étions tous deux silencieux. Christelle jouait avec mon sexe humide. J'avais la braguette ouverte.
Je lui caressais la nuque et les cheveux.
La jeune fille tournait souvent la tête pour plonger son regard dans le mien.
Avec parfois une certaine gravité.

La situation que nous avions créé depuis cinq jours commençait à nous enfermer dans une sorte de bulle.
Une bulle de bonheur, de plaisirs mais aussi de craintes.
Nous avions tous les deux la certitude que nous n'en sortirions pas "indemnes".
Le sentiment amoureux nous gagnait.
Ce sentiment s'installant insidieusement dans notre relation pour nous maintenir dans son étau.
La réflexion faisait doucement place à l'insouciance.

Christelle se leva. Elle regarda sur sa droite. Elle regarda sur sa gauche.
Elle alla jusqu'à la rambarde métallique qui nous séparait du vide. Il n'y avait que nous deux.
Le chant des cigales, le gazouillis des oiseaux et ce soleil chaud encore haut dans le ciel de cette fin d'après-midi.
De là elle me regarda longuement.
Je me sentais un peu ridicule, braguette ouverte, assis devant cette belle jeune fille.

Christelle se rapproche. Elle se met à genoux entre mes cuisses, sur l'herbe sèche.
La jeune fille m'embrasse longtemps avec passion.
Je fouille sa bouche de ma langue comme un affamé cherchant sa nourriture.
Ses petits gémissements ravis sont émouvants.
Christelle détache sa bouche de la mienne pour pencher sa tête vers mon entre-jambes.
Ses lèvres se referment sur ma turgescence.

A nouveau, cette intraduisible sensation de plaisir m'envahit complètement.
Je fermais les yeux un instant en me mordant la lèvre inférieure.
Christelle me suçait avec cette passion indescriptible tout en gémissant.
Nous étions dans notre bulle. Avec un bruit de bulles.
Je pouvais sentir de ma substance s'épancher dans la bouche de la jeune fille.
Je pouvais sentir ses efforts pour déglutir. Sa respiration.

Christelle me tenait par les hanches, tirant sur le tissus de mon short au rythme des montées de ma sève.
Je caressais ses cheveux, sa tête. Je passais ma main sous son menton comme pour guider sa bouche.
Je passais le bout de mes doigts sur ses joues creusées par l'effort. Je l'entendais gémir, encore et encore.
Je sentais sa langue fouiller entre mon prépuce et mon gland.
C'était doux et chaud.

Comme toujours, je faisais durer. Et sans doute pour le plus grand plaisir de ma pompeuse.
Souvent, pour lui permettre de reposer sa mâchoire, je lui retirais la tête pour lui couvrir le visage de bises.
Je lui chuchotais des mots, mélanges de cochonneries et de douceurs. Christelle riait.
Comme elle semblait heureuse. J'en aurais pleuré.
Nous avons beau être de sacrés salops, nous avons un cœur...

Le lecteur qui suit mes aventures, sait ma passion pour la fellation.
Mais il est loin de se douter de tous ces privilèges que ma vie d'artiste m'a réservée.
Surtout dans le domaine de la pipe !
Aussi, je me fais un devoir de lui faire part de toutes les plus infimes descriptions.
Ces descriptions détaillées et presque "scientifiques", de mes multiples expériences.
Au nom de la "recherche" et pour la postérité.
Albert Einstein de la pipe ! Tout cela relativise...

Christelle, en parfaite "chercheuse", scientifique surdouée, procédait là à un prélèvement de liquide séminal.
A un prélèvement de tout premier ordre.
Nul doute que les conclusions de cette nouvelle expérimentation nous laisseraient de nouvelles certitudes.
J'éjaculais au bout d'une demi-heure d'une douceur et d'une tendresse absolument indicibles.
Nul besoin d'éprouvette, c'était "in vitro"...

Nous restâmes longtemps serrés l'un contre l'autre, couchés dans l'herbe, devant ce banc.
Il était presque vingt heure. Christelle me proposa de nous mettre en quête d'un petit restaurant sympathique.
Elle m'entraîna à sa suite en riant.
Nous dévalions ce sentier au risque de trébucher, pour arriver aux premières habitations.
Comme dans un film. Comme dans un rêve.

Nous nous sommes promenés dans le centre de la cité.
Plusieurs restaurants invitaient à découvrir quelques petits plats plus goûteux les uns que les autres.
C'est donc dans la cour de l'un d'entre eux, confortablement installés sous une pergola, que nous mangions.
Nous dégustions une Caillette suivie d'une galette aux châtaignes.
Il nous restait cinquante kilomètres de voiture à parcourir dans la nuit...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 16)

Après le repas, un peu lourds, nous nous sommes encore un peu promenés.
Découvertes dans les rues de cette belle ville de Annonay. Il faisait très doux. Pas un souffle de vent.
Nous prenions la direction de la voiture.
Il nous fallait encore parcourir plus de cinquante kilomètres pour arriver à la chambre.
Il était déjà vingt deux heure trente. La nuit était à présent tombée complètement.

Dans la voiture, Christelle avait posé sa tête sur mon épaule. Nous étions tous les deux fatigués.
Sur la petite départementale, je ne croisais aucune voiture.
Le ciel était d'un noir d'encre et les milliers d'étoiles scintillaient de mille feux.
C'était encore une de ces sublimes soirées d'été.
Un de ces moments hors du temps, paraissant éternel. Sur l'instant...

Christelle avait glissé sa main dans ma braguette.
En me faisant quantité de bises dans le cou, elle me fit :
< Demain, je n'appartiens plus à "Dracula", on peut baiser. Il faut que je rattrape le temps perdu ! >.
Cette amusante métaphore du vampire, pour évoquer son cycle menstruel, m'a beaucoup fait rire.
J'en garde encore un souvenir amusé aujourd'hui.

Nous arrivions enfin à la propriété. Je garais la voiture entre les camionnettes.
Nous sommes montés à la chambre à toute vitesse.
Nous étions tous les deux sous la douche :
< On pourrait déjà baiser ce soir, il n'y a plus rien ! > me fit la jeune fille.
Elle me disait cela tout en scrutant avec attention l'eau qui coulait entre ses cuisses.
Elle se blottit contre moi sous le filet d'eau et m'embrassa longuement.

< Demain, mon cher monsieur, ce sera le septième jour avec vous ! Vous vous rendez compte ? > me fit-elle.
< Sept jours avec un homme de presque vingt ans de plus que moi ! Moi, jeune fille innocente ! > me fit Christelle.
Nous éclatâmes de rire.
< Moi, je peux rajouter une semaine supplémentaire, personne ne m'attend nul part ! > lui fis-je.
< Mais moi aussi, c'est pareil ! Tu serais d'accord ? > me demanda t-elle.
Soudain sérieuse Christelle rajouta : < Nous en parlons demain, tu veux bien ? >. Je restais silencieux.

La fenêtre de la chambre était grande ouverte. La moustiquaire nous protégeait des nuisibles.
Enfin quelques souffles de brise venait rafraîchir un peu l'atmosphère. Nous nous sommes couchés.
Christelle a soufflé la bougie. Presque de suite la jeune fille me chevaucha.
Malgré la fatigue, mon sexe se redressa pour présenter une magnifique érection.
La douceur de sa peau m'enivrait une fois encore.

Christelle se frottait tout en m'embrassant.
Doucement elle se glissa sur mon membre pour se l'enfoncer profondément. La jeune fille se mit à gémir.
Son souffle chaud dans mon cou me procurait les plus douces sensations.
Nul doute, l'émotion qui m'envahissait à présent, à chaque nouvel élan d'affection, était celle de l'amour.
Christelle me chuchota à l'oreille : < Je t'aime, je t'aime...>.
Mon vieux cœur semblait s'effondrer sur lui-même dans ma poitrine.
Comment pourrais-je survivre à ces vacances ?

Doucement, le mouvement de berceuse cessa. Christelle s'affaissa de tout son poids sur mon corps.
Une fois encore, le sommeil avait gagné la partie.
Je rejoignis rapidement mon amour dans un profond repos régénérateur.
La jeune fille glissa doucement sur mon côté gauche pour se blottir contre moi.
Je lui déposais un dernier baiser sur le front...


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Juste toi et moi ? Un de ces soirs ? Bien sûr ! Tu me fais un MP...

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L'auto-stoppeuse - Episode 17)


Je me réveillais doucement. Une certaine agitation dans la chambre me tira de mon sommeil.
J'ouvrais les yeux. La clarté diaphane d'un matin d'été illuminait la chambre.
Christelle préparait la table du petit déjeuner. Je regardais ma montre. Il était sept heure du matin.
< Bonjour monsieur ! > me fit la jeune fille en plongeant sur le lit.
Je la serrais contre moi en lui chuchotant :
< Bonjour mademoiselle ! Déjà debout à faire tout ce remue ménage ? >.

Me couvrant le visage de bises, Christelle me fit :
< Oui, comme ça tout est prêt, après le petit déjeuner on pourra filer ! >.
Elle découvrit mon corps en tirant lentement sur le draps.
< Mais tu bandes mon cochon ! Tu n'as pas honte de bander comme ça devant une jeune fille ? > me lança t-elle.
Elle me fit cela en se saisissant de mon sexe qu'elle tordit doucement dans tous les sens en riant.
< La journée commence bien ! > fis-je.

Christelle ne portait qu'un léger T-shirt. Elle me chevaucha en frottant délicatement son sexe sur le mien.
Je savais que sa préférence était d'être sur moi.
Non pas dans un élan freudien de domination, mais plus prosaïquement parce qu'elle avait plus de plaisir ainsi.
La jeune fille s'enfila délicatement sur ma turgescence. Nous restions sans bouger comme à chaque fois.
Nous nous fixions dans les yeux. Christelle se débarrassa de son T-shirt.

< C'est qui qui commence ? > me demanda Christelle en enfonçant sa langue dans ma bouche.
Nos bouches étaient encore imprégnées du goût de la nuit et cela nous excita par dessus tout.
Cette fois-ci, c'est moi qui impulsait le mouvement. La jeune fille eut un élan de plaisir.
Elle se cabra contre moi en lâchant un râle sonore.
Je lui appuyais sur le haut des fesses comme pour m'enfoncer encore davantage.

Christelle gémissait de plaisir. Moi, je gémissais de bonheur. Ou bien était-ce l'inverse ? Peut importe.
Sans mouvements brusques, je fis basculer la jeune fille pour me retrouver sur elle.
Prenant appui sur mes bras, je pouvais la libérer du poids de mon corps.
Je me mis à imprimer un mouvement de va et vient régulier, lent et rythmé.
La jeune fille se mordillait la lèvre inférieure, les yeux fermés.

Ses longs cheveux étalés tout autour de sa tête donnaient à son visage un caractère angélique.
Cette vision m'excitait au plus haut point. Faire l'amour avec un ange, quoi de plus divin.
J'accélérais le mouvement de mon bassin. Christelle se redressa pour s'accrocher des deux bras à mon dos.
Nos deux corps, fins, humides et fébriles ne faisaient plus qu'un.
Christelle avait rejeté sa tête en arrière.

La jeune fille, par intermittences, suivait mon rythme en dansant avec moi.
Puis, elle restait immobile pour ressentir toutes ces délicieuses sensations qui nous enivraient.
Après lui avoir fait longuement l'amour, je lui procurais une extase de quelques instants qui la fit frissonner.
Puis je me mis à la baiser. Sans ménagement.
Ces mouvements brusques du bassin lui arrachèrent quantité de petits cris suggestifs.

< Mon amour, mon amour ! > me murmurait-elle à l'oreille de façon à peine audible.
Un peu comme si elle s'adressait à une entité plutôt qu'à moi. Je cessais soudainement pour me retirer.
< Non ! > me cria t-elle. Je revins me fourrer dans sa grotte à nouveau. Je fis cela à plusieurs reprises.
< C'est pour te punir de me rendre fou ! > lui fis-je dans un souffle.
< Alors je vais te rendre dingue ! Il faudra me punir tout le temps ! > me répondit-elle.
Elle me dit cela en me faisant basculer sans ménagement.
Elle se retrouva sur moi.

Je tentais de caresser ses tous petits seins mais elle me bloquait fermement par les poignets.
J'avais les bras bloqués à hauteur de ma tête.
Christelle se mit à bouger, imprimant à son bassin des mouvements lents mais précis.
La jeune fille alternait les rotations avec les allées et venues, s'arrêtant pour recommencer.
Christelle cherchait les toutes meilleures sensations. Elle me fixait avec attention.

Mon sexe, congestionné de plaisir, me procurait les plus indicibles sensations.
Christelle connaissait là un second orgasme. Elle s'effondra sur moi de tout son poids.
Je lui caressais la nuque longuement. Doucement elle se retira pour descendre son visage près de mon sexe.
Je l'empêchais toutefois de le prendre en bouche.
< Et toi ? > me demanda t-elle, presque inquiète. Je la fis remonter.

< Je vais me garder pour toutes les opportunités de la journée ! > lui dis-je.
Je rajoutais : < Ne t'inquiète pas pour moi. J'ai un orgasme permanent avec toi ! >
Je chuchotais ces mots à son oreille. Christelle se blottit contre moi en me disant :
< Tu es génial ! >. < Oui, je sais ! > répondis-je avant que nous n'éclations tous deux d'un rire de bonheur fou.
< Je pourrais l'avoir encore, alors ? > me demanda la jeune fille, espiègle et mutine.
< Seulement si tu n'es pas sage ! > répondis-je.
Comme nous étions heureux.

Nous prîmes notre douche en nous frottant l'un l'autre, nous livrant à de nouvelles et furtives caresses.
Puis, nous prenions un solide petit déjeuner.
Pour cette septième journée ensemble, il fut décidé d'aller visiter le site préhistorique.
Le site encore en construction d'une reproduction de la grotte Chauvet au Pont d'Arc.
Vers dix heure, nous étions dans la voiture.
Je roulais doucement, la main de Christelle dans ma braguette...


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Que peut-elle encore bien me confier ? Pour le découvrir, je clique sur sa belle image...

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L'auto-stoppeuse - (Episode 18) -


Je roulais doucement sur cette toute petite départementale.
Volontairement, Christelle et moi, nous prenions les routes les moins fréquentées.
Nullement pressés, ayant tout notre temps.
Nous avions ainsi l'illusion de pouvoir savourer davantage chaque instant.
La jeune fille jouait avec mon sexe, sa main dans ma braguette.
Faisant cela tout en me divertissant de quelques anecdotes concernant sa vie.
Elle aimait parler "d'avant"...

De ma main droite, j'allais fouiller dans sa culotte, sous sa jupette.
< Tu veux que je l'enlève ? > me demanda t-elle en me serrant le sexe avec force.
< Oh oui, retire là ! > répondis-je.
Je tentais d'introduire mon médius.
Au risque de me faire une entorse du poignet, n'était pas sans contraintes.
Christelle m'aidait de son mieux en s'avançant sur le siège.
Cuisses largement écartées, sa culotte sur le tableau de bord.

Je regardais furtivement sur ma droite. Christelle, parfois, fermait les yeux pour savourer ma caresse.
J'avisais un chemin qui s'embranchait sur la route. Là, à droite, il y avait une vieille ruine.
Sans doute une chapelle. Je quittais la route.
< Tu me fais le "coup de la panne" ? > me demanda la jeune fille en posant sa tête sur mon épaule.
Je garais la voiture entre les ruines et un calvaire.

Je sortais de la voiture en faisant : < Viens ! >. Christelle sortit de la voiture.
Elle me regardait avec de grands yeux.
Peu habituée à de telles initiatives de ma part, elle me suivit au coffre que j'ouvris.
Je sortais un plaid que je mis sous mon bras. Je pris la main de la jeune fille pour l'entraîner derrière la ruine.
Je disposais le plaid au sol. Christelle se précipita contre moi pour m'embrasser.

C'est elle qui m'entraîna sur la couverture.
Sans la laisser prendre conscience de ce que j'allais faire, je me mis à quatre pattes.
Je mis ma tête entre ses cuisses. Christelle me tenait par les cheveux.
Elle écartait ses cuisses pour poser ses pieds nus sur mon dos.
Je me mis à lécher ce minou avec la fougue d'un assoiffé.
Avec la passion d'un dévot et avec l'appétit d'une fin de jeûne.
Un "abricot" de 19 ans, ça donne la "pêche" à un homme de 38...

Christelle lâchait des petits cris, elle se cambrait. Elle avait de petits mouvements du bassin.
La jeune fille se lâchait comme je ne l'avais jamais vu. Elle lâcha un jet de pisse qui se brisa sur mon visage.
Puis un autre et un autre encore en poussant des râles de plaisirs.
Le plaid était aussi trempé que le haut de mon T-shirt. Les jets ne semblaient plus cesser.
< Prends-moi ! > me supplia t-elle.
Je ne l'avais encore jamais vu si excitée.

Je montais sur elle. Je sortais mon sexe pour l'introduire dans le sien.
Je voulais le faire doucement, comme j'aime à le faire. Prendre le temps de savourer cette délicieuse immiscion.
D'un mouvement de ses hanches, se glissant sous moi, elle s'empala complètement.
Cherchant visiblement à ce que je la pénètre encore plus profondément.
Pour ne pas lui imposer le poids de mon corps, je restais en appui sur mes bras.
Je restais étonné par cette attitude inconnue.

Christelle m'attira à elle avec une telle fougue que je m'écroulais sur elle.
Je me mis à imprimer un mouvement de va et vient de plus en plus rapide, devenant même parfois frénétique.
La jeune fille, la tête rejetée en arrière, les yeux fermés, se laissait faire.
Elle qui d'habitude prenait les initiatives les plus heureuses se laissait baiser dans un certain laisser aller.
Une attitude qui me laissait perplexe. En poussant des petits cris stridents.
C'était un enchantement.

Régulièrement, pour me préserver d'une éjaculation non souhaitée, je cessais tous mouvements.
< Je t'aime ! > me fit Christelle en contorsionnant son bassin dans tous les sens.
Sans doute afin de trouver le meilleur angle de plaisir. Elle enfonça sa langue dans ma bouche.
La jeune fille dut avoir un orgasme presque violent car elle se cambra.
Tout en cessant tout mouvement et en poussant un long râle.

Je me retirais. < Non, ne part pas ! > me fit-elle en essayant de me retenir.
Mais je m'étais déjà redressé en répondant : < Direction la prochaine étape et la prochaine "punition" ! >.
Christelle, l'air gênée, me montrant le plaid trempé de pisse, me fit : < Tu as vu dans quel état tout ça me met ? >.
< Oh oui, tu rattrapes les deux jours passés avec passion ! > répondis-je.

Nous avons fixé le plaid à la fenêtre de la voiture, bloquant la partie mouillée avec la vitre remontée.
Ainsi, avec les trente kilomètres qui restaient à faire, ce dernier aurait les possibilités de sécher un peu.
Idem avec mon T-shirt à l'autre fenêtre. Je roulais à nouveau.
Christelle, sa tête sur mon épaule me fit < Je suis si bien avec toi ! >.
Je gardais un long silence avant de répondre : < Moi aussi ! >.
Elle avait sa main dans ma braguette trempée.

Nous arrivions aux environs de Pont d'Arc...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 19)

Nous arrivons aux abords du site préhistorique de Pont d'Arc.
C'est un haut lieu très fréquenté, touristique et bien connu.
Aussi, nous découvrons toutes les voitures déjà garées sur un des trois parking.
Je propose à Christelle d'aller garer la voiture à quelques distances.
La jeune fille trouve que c'est une excellente idée.
Nous pourrons sans doute parcourir la distance sur un chemin. Nous avons une carte.

Je roule dans le sens inverse. Christelle m'indique un petit chemin qui quitte la route sur la droite.
Je m'y engage. Là, sur la gauche, il y a une maison de pierres.
Une vieille dame est penchée sur des pots de fleurs. Nous nous arrêtons à sa hauteur.
Christelle sort du véhicule.
Elle salue la dame puis prend l'initiative de lui demander si nous pouvons laisser notre auto à proximité.

Nous garons la voiture dans la cour. La certitude de savoir la voiture en sécurité nous rassure.
Nous prenons nos affaires dans nos petits sacs à dos.
Christelle me prend la main, heureuse, en sautillant, nous prenons un chemin indiqué par la vieille dame.
Pont d'Arc est à trois kilomètres.
La jeune fille, marchant vite m'entraîne en chantonnant.

Nous marchons depuis environ dix minutes. Nous sommes sur les hauteurs.
Nous voyons l'animation du site touristique depuis notre point de vue stratégique.
Christelle met sa main sous mon short. Sa main exploratrice est douce et chaude.
Je suis rapidement en érection.
Depuis le début de cette journée nous sommes tous deux considérablement excités.

Je regarde autour de nous. Nous sommes absolument seuls.
J'avise le rocher qui fait penser à une table naturelle. Je soulève la jeune fille.
Je l'entraîne et la dépose sur la roche. Elle est en jupe.
Mon initiative doit la ravir car elle m'enserre de ses jambes qu'elle passe autour de ma taille.
Christelle m'embrasse avec une étonnante douceur.
Sa langue caresse la mienne. Je sors mon sexe.

Doucement, avec une infinie précaution, je m'immisce en elle.
Christelle n'a que faire de mes précautions et s'empale d'un seul coup sur ma raideur. Je suis en elle.
Je commence à bouger. Nous avons tous les deux le même rythme.
< Tu sais que tu es un parfait salop ! > me fait la jeune fille.
Je demande : < Pourquoi ? >.
Elle me chuchote à l'oreille : < Parce que tu es comme moi, tu ne penses qu'à "ça" ! >...

Je m'agite dans la fille comme un dément et je conclue : < Tu es donc une parfaite salope ! >.
< La tienne ! > précise la jeune fille avant de se laisser aller dans un long râle.
Un râle qui trahis probablement un nouvel orgasme. Ou quelque chose qui y ressemble fortement.
Christelle m'embrasse. Je me retire. < Non ! Reste ! > me fait-elle, presque suppliante.
Je lui dit : < Il n'en est pas question ! En route, mauvaise troupe ! >.

Je remballe. Je suis à chaque fois à la limite de l'éjaculation.
Les sensations induites qui s'en suivent sont absolument divines. Mon sexe dégouline de liquide séminal.
Christelle me montre sa foufoune trempée. Elle se redresse. Nous sommes en route pour Pont d'Arc.
Nous descendons. Nous arrivons à l'accueil.
Une ravissante jeune fille nous remet nos tickets.

Nous partons à la découverte du site. Il y a beaucoup de touristes. Nous nous tenons par la main.
Parfois, comme par défi, devant les regards des gens que nous croisons, Christelle m'embrasse rapidement.
Cette jeune fille d'à peine dix neuf ans, embrasse un homme de presque quarante ans.
C'est certainement, pour certains, une "attraction" supplémentaire...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 20)

Un grand nombre de touristes étaient là, à l'entrée de la grotte Chauvet.
A cause de l'affluence, nous fûmes informés que nous ne pourrions entrer que par groupe de vingt personnes.
Christelle m'entraîna par le bras. Elle s'arrêta devant la cabine téléphonique.
< J'appelle mes parents pour les informer que je reste huit jours de plus ! > me dit la jeune fille.
Elle me fait un sourire en refermant le battant derrière elle.

Je regardais l'affluence des visiteurs. C'est endroit polarise un grand intérêt touristique.
Je regardais Christelle qui semblait avoir une conversation passionnée. Elle resta ainsi dix bonnes minutes.
J'observais ses gestes toujours calmes. Enfin, en affichant un grand sourire, la jeune fille vint me rejoindre.
< Et voilà, tout va bien. Mes parents sont rassurés ! > me précise t-elle avant de rajouter :
< Ils ne voient absolument aucun soucis à ces huit jours supplémentaires ! > me rassura t-elle.
La jeune fille, à présent toute sereine, m'entraîne vers l'entrée de la grotte.

Nous faisions la queue. Il faisait chaud et nous étions en plein soleil.
< Tu n'en as pas marre ? > me fit Christelle en touchant discrètement ma braguette.
< Si ! Tant pis pour la préhistoire et l'art rupestre ! > répondis-je.
< Viens, on s'en va, je vais te faire visiter une autre grotte, tu vas voir ! > me fit-elle.
La jeune fille m'entraîne d'un pas rapide. Presque en courant...

Il suffit de faire trois cent mètres pour se retrouver dans les bosquets.
Nous avisons un petit sentier qui grimpe sur une des collines entourant le site.
Christelle m'entraîne. Elle marche devant moi en me tirant par la main.
Au bout de trois cent nouveaux mètres, nous sommes en hauteur. La vue est magnifique.
Tous ces gens, en bas, font penser à des fourmis qui s'agitent.

La jeune fille m'entraîne encore. Nous passons derrière un amas rocheux.
Personne ne peut nous voir à moins de venir par là.
Christelle remonte sa jupette, descend sa culotte et s'accroupit pour pisser.
C'est la toute première fois qu'elle fait ça ainsi, devant moi.
Elle a un sourire merveilleux et me dit :
< Tu te rends compte, encore quinze jours ensemble, tous les deux ! je suis contente, et toi ? >.
Je la regarde en silence. Je me contente de sourire en hochant la tête.
Elle est trop belle...

Avec le mouchoir en papier qu'elle tient à la main, la jeune fille se torche.
Elle se redresse et retire complètement sa culotte.
Elle vient vers moi, me prend la main pour se la fourrer entre les cuisses.
C'est chaud, c'est doux, ça m'excite. Je sors la petite serviette du sac à dos, je la jette au sol.
Immédiatement Christelle s'accroupit pour l'étendre convenablement.
Elle s'y couche, jambes écartées.

Je veux la lécher. Elle m'en empêche et m'entraîne sur elle. En appui sur mes bras, elle cherche à se coller à moi.
Je ne veux pas lui imposer le poids de mon corps. Je suis l'heureux détenteur d'une nouvelle érection.
La jeune fille se saisit de mon sexe fermement et se l'introduit avec passion.
Moi qui aime la douceur, moi qui ait toujours peur d'être trop brusque, je suis totalement surpris.
Je suis en elle. D'un coup !

Christelle a passé ses jambes derrière mes cuisses.
Elle s'agite d'un mouvement régulier essayant de m'entraîner contre elle.
Que puis-je faire ? Je me sens le jouet de cette jeune fille soudain si passionnée et si fougueuse.
Christelle se cabre à plusieurs reprises. Un nouvel orgasme ? Déjà ?
Elle contorsionne son bassin, cherchant le meilleur angle.
Je suis totalement dépassé par ce qui m'arrive.

Soudain, la tête rejetée en arrière, elle pousse un long râle.
Christelle s'immobilise en se serrant de toutes ses forces contre moi.
Cela dure un moment puis, doucement, la jeune fille relâche son étreinte.
Elle se laisse tomber sur la serviette. J'essaie de me retirer mais elle me maintien.
< Comme je suis bien, quelle journée ! > me fait-elle avant de me couvrir le visages de bises.

Je reste en elle longtemps, sans bouger. Mon érection ne semble pas montrer la moindre faiblesse.
Christelle me repousse légèrement pour pouvoir me chevaucher. Elle reste ainsi à me fixer avec un air de défi.
< Tu m'aimes ? > me demande t-elle d'un ton sévère.
< Oui, comme un fou ! > lui dis-je. Je suis toujours en elle.
Elle se met à bouger tout doucement. Elle imprime un rythme lent mais régulier.

Nous restons ainsi à nous fixer, en silence et en faisant l'amour. Nous n'avons aucune idée de l'heure.
Nous avons simplement la notion de nous consacrer à notre bonheur, hors du temps.
Hors de la réalité et dans une euphorie vertigineuse.
Je pénètre cette jeune fille à plusieurs reprises depuis ce matin et elle en veut encore.
Son endurance est admirable. Ses dix neuf ans y sont sans doute pour beaucoup...

Christelle jouit sans doute une nouvelle fois car sa respiration s'arrête.
Elle pousse quelques petits cris et s'effondre sur moi en me murmurant :
< Tu vas me rendre folle. Je t'aime, je t'aime... >. Je lui caresse la tête et la nuque.
Quelques minutes passent et j'entends un doux ronflement. La jeune fille, épuisée, vient de s'endormir.
Je suis toujours encore en elle.
Je ne bouge surtout pas. Je finis par débander.
Je sens mon sexe trempé tomber de celui de la fille qui dort profondément.
Je ne tarde pas à la rejoindre.

Nous sommes réveillés par de la musique. Nous nous étirons. Christelle se met sur les genoux. Nous écoutons.
C'est du Mozart. Nous nous levons. Je regarde l'heure, il est dix neuf heure trente. Nous regardons en bas.
Là, sur une petite scène, un quatuor fait des essais de sonorisation.
Sans doute en prévision d'une animation musicale une fois la nuit tombée.
Deux femmes violonistes, un pianiste et un violoncelliste.
Cette musique qui s'élève est un nouvel enchantement.

Christelle se serre contre moi. < Encore quinze jours mon amour ! >. Nous prenons le sentier pour redescendre.
Nous décidons de rester une partie de la soirée. Une légère brise s'était levée.
Il faisait si doux, si agréable. Christelle restait tout le temps contre moi.
Nous sommes rentrés pour minuit.
Nous avons tenté de faire l'amour encore une fois mais nous sommes tombés dans un profond sommeil.
Sans même prendre de douche...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 21)

Christelle me sort du sommeil avec ses prestations habituelles. Je me réveille le visage couvert de bises. J'ouvre les yeux, la jeune fille est couchée sur le ventre, à côté de moi. < Bonjour, tu as bien dormi ? > me demande t-elle en se lovant contre mon corps. Nous sommes tous deux nus. Je regarde l'heure. Il est sept heures du matin. Je serre ma douce contre moi. Nous restons ainsi de longues minutes.

Dehors, il fait beau. Le soleil éclaire déjà toute chose de sa lumière presque impudique. Nous nous levons, pressés d'aller savourer notre petit déjeuner. Nous n'avons qu'une idée, nous sauver pour aller profiter de cette nouvelle journée. Durant tout ce premier repas, Christelle se montre très câline. La jeune fille est caressante et affiche en permanence un air espiègle.

Après le petit déjeuner, nous prenons notre douche. Nous sommes tous deux sous l'eau à faire les clowns. Cette attitude nous permet de juguler nos désirs sexuels afin de les distiller tout au long de cette journée à venir. Les choses s'annoncent torrides. Christelle n'arrête pas d'enfoncer sa langue dans ma bouche en soupesant mes organes génitaux. < Bonne qualité, aujourd'hui ! > fait-elle à plusieurs reprises.

Nous voilà vêtus. Christelle est en jupette et en T-shirt. Elle n'a, évidemment aucun sous-vêtement. Ses tous petits seins n'en nécessitent nullement et son sexe s'en dispense agréablement. Moi, j'ai un affreux short hawaïen qui fait beaucoup rire la jeune fille. Nous sommes chaussés de sandalettes. Dans nos sacs à dos, déposés sur le siège arrière, nous avons toutefois prévu du change.

Nous voilà à rouler sur cette petite départementale. Christelle, très à l'aise dans son rôle de copilote, étudie la carte. Direction le lac de Saint-Martial. Lac réputé pour être un agréable lieu de baignade. Christelle me guide avec une précision redoutable. Oui ! Il y a des filles capables de lire des cartes routières ! J'étais en compagnie d'un de ces rares spécimens. Spécimen qui avait sa main dans mon short.

Il y avait environ trente kilomètres à parcourir. Christelle avait sorti mon sexe. Je roulais avec d'infinies précautions, doucement, les yeux rivés sur tous les angles de vision. La jeune fille avait mon érection dans sa main gauche. Tout en me montrant des éléments du paysage, elle me masturbait doucement. Ce qui devait arriver, finit par arriver. Christelle se mit à me sucer.

Tombant au sol, dans la voiture, entre le vide poche et le siège, Christelle était confortablement assise. Installée en train de pratiquer une de ses fellations enivrantes dont elle était coutumière. J'adore me faire sucer en étant obligé de rester profondément concentré. Je suis un maître dans ce domaine. Je ne laisse d'ailleurs jamais monter mes plus bas instincts. Tout doit être maîtrisé. C'est tellement meilleur.

Nous avions déjà parcouru une quinzaine de kilomètres. Régulièrement, Christelle cessait sa succion pour m'entretenir de sujets aussi variés que les études, les amis, son petit copain ou encore sa mamie propriétaire d'un haras. Tout cela participait d'une parfaite maîtrise de nos sens. Puis, la jeune fille retournait à sa dégustation dans un silence religieux. J'aurais bien mis France Inter pour les infos...

Nous arrivions au lac Saint-Martial. Un endroit magnifique. Le lac, presque cercle parfait, était entouré de tous côtés des montagnes rocheuses typiques de la région. Christelle cessa sa pipe, se redressa et revint s'asseoir sur le siège. < C'est magnifique ! > fit-elle. Je répondais, ravi : < Oui, une bel endroit ! >. < Non je parle de ton foutre ! > me fit Christelle avant d'éclater de rire. Une fille avec de l'humour, qui sait lire une carte routière et qui adore la pipe ! Que pouvais-je bien désirer de plus ? D'autres se damneraient pour un seul de ces paramètres !

Nous sommes sortis de la voiture. Il y avait déjà pas mal de monde. Nous avons récupéré nos sacs à dos, la glacière à provision, un plaid et nous nous sommes mis en quête d'un lieu isolé. Nous sommes passés près d'un vieux monsieur, assis devant son chevalet, qui peignait cette partie du point de vue. Nous nous sommes arrêtés pour admirer une peinture de qualité. Nous avons bavardé.

Le peintre, tout heureux de partager un peu de sa passion, fut enchanté de découvrir que j'étais peintre moi-même. Christelle, accroupie, observait les coups de pinceaux. Au bout d'une dizaine de minutes, nous sommes montés légèrement en hauteur. Depuis la petite plate-forme naturelle, la vue sur le lac était splendide. Juste en bas, nous pouvions suivre la progression des travaux du peintre. Ce dernier, de temps en temps, s'emparait d'une des deux grosses gourdes posées à ses pieds. Il l'a portait à sa bouche...

Sur notre droite, une petite cascade permettait d'y déposer notre glacière. L'endroit était paradisiaque. Même aux plus chaudes heures de la journée, nous y serions à l'ombre des épicéas. Pour descendre nous baigner au lac, il y aurait à peine une centaine de mètres. J'étendais le plaid. Christelle avait déjà sa main dans ma braguette que j'avais oublié de refermer...

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Je clique, émerveillé, pour admirer ces belles images. J'en profite pour lire ce qui est écrit dessus. Je clique avec passion...

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Merci Mandy90

Votre commentaire fait plaisir.

Une appréciation fait toujours plaisir.
Tant de gens n'ont pas de clavier sous leur écran.
Ils ne peuvent donc pas écrire...

Cordialement



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Homme, 61 ans, France, Grand Est
Cher LE-BRANLEUR : je tiens à vous féliciter pour vos récits coquins, mais j'aime encore plus votre humour..
Bonne journée. Clin d'oeil
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L'auto-stoppeuse - (Episode 22) -

Christelle était assise au bord de la falaise. Je vins la rejoindre. Juste un mètre nous séparait du vide. De là où nous étions assis, nous avions une vue superbe. Le bleu du ciel se reflétait dans les eaux immobiles du lac. Il était environ onze heure du matin. Il faisait déjà chaud. J'observais le vieux peintre. Son regard allait sans arrêt du paysage à la toile qu'il était en train de réaliser.

Christelle avait pris la paire de jumelles. Elle scrutait avec attention tout en commentant ce qu'elle regardait. Parfois, elle me tendait les jumelles et m'indiquait du doigt une chose à voir. Il y avait là-bas, de l'autre côté de la rive, une jeune femme qui faisait boire deux ânes. Un peu plus loin, quatre jeunes gens étaient assis. L'un d'entre eux jouait d'une guitare où se reflétait le soleil.

Nous étions biens, là, tous les deux, une fois de plus. Nous commencions à avoir faim. Christelle m'embrassait à plusieurs reprises. Longuement et avec cette douceur si particulière dont elle était coutumière. Le goût de sa bouche, de sa salive, étaient savoureux. Lorsque nous cessions, la jeune fille me chuchotait des mots inoubliables, enivrants. Nous sommes restés ainsi jusqu'aux environs de midi.

Christelle prépara les assiettes en carton, disposant les couverts sur le plaid. Je récupérais la glacière sous la petite cascade. Elle était froide. Nul doute que son contenu était préservé de toute chaleur. Nous avons savouré les crudités préparés le matin, au gîte. De la bûchette de chèvre, du pain complet et de la crème fraîche accompagnèrent nos salades. De l'eau gazeuse, presque trop froide, fut la bienvenue pour nous désaltérer.

Nous avons lavé le peu de vaisselle sous l'eau de la cascade. Nous étions repus. Le plaid, à présent libéré, nous offrait le confort d'une sieste. Christelle, allongée à mes côtés, sa main dans ma braguette, me racontait quelques anecdotes relatives à sa vie. < Tu te rends compte, encore quatorze jours ensembles ! > me fit-elle en ouvrant mon pantalon. Je posais ma main sur son sexe, sous sa jupette.

Christelle posa sa tête sur mon ventre. Elle devait s'amuser à la contemplation de ce qu'elle me faisait de sa main droite. J'avais ma main entre ses cuisses. Doucement, la jeune fille descendit encore jusqu'à prendre mon sexe en bouche. Sous l'effet de l'indicible sensation, je fermais les yeux. Tous les deux nous étions parfaitement immobiles. Une légère brise bienfaisante me caressait le visage.

Depuis une dizaine de minutes j'étais sous l'emprise d'un immense plaisir. Ce plaisir était partagé. Christelle lâchait parfois un gémissement à peine audible. Sa respiration s'emballait par instants. S'en suivaient de légers efforts de Christelle pour déglutir. Une fois encore, je contractais mes muscles fessiers de façon régulière pour lui offrir des sécrétions plus abondantes.

Souvent, au bout de quelques minutes, je lui retirais la tête en la tirant doucement à moi par les cheveux. Christelle appréciait ces attentions qui lui permettaient de reposer sa mâchoire. Elle passait sa langue sur mes lèvres en me murmurant quelques cochonneries biens senties. < Tu crois qu'il y aura un pêcheur à la ligne ? > me fit-elle, espiègle avant de retourner à sa pipe.

A ces mots, mon sang ne fit qu'un tour. Mais quel tour ! Ainsi, cette allusion confirmait ce que je supposais. La jeune fille savait que j'avais observé le pêcheur à la ligne. Elle savait donc que j'avais vu le type nous regarder, la dernière fois, lorsqu'elle me suçait au bord de la rivière. Cette révélation augmenta mon excitation à un point ultime. Je lui retirais la tête pour la ramener à moi. < C'était génial, non ? > me fit-elle. Je ne savais encore quoi répondre. Aussi je me contentais de dire une bêtise : < Tu es une merveilleuse petite salope ! >

< N'est-ce pas ? > me répondit Christelle en retournant me sucer. Nous restions à nouveau longuement immobiles. A présent, la jeune fille lâchait des gémissements plus sonores et plus réguliers. Son excitation devait être aussi forte que la mienne. Il était temps de lui réserver ma "spécialité". Mon attention, sans doute suscitée par une sorte de sixième sens, me fit regarder sur la droite. Là, à dix mètres, entre le bosquet et le rocher, le vieux peintre nous observait...

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L'auto-stoppeuse - (Episode 23)

Christelle ne s'était encore rendue compte de rien. Occupée à sa pipe, elle était concentrée sur son activité. Le vieux peintre s'était rapproché tout doucement et silencieusement. Il se tenait à environ cinq mètres. Les mains sur les hanches il souriait. J'étais plutôt gêné, voire très ennuyé. < Elle semble se régaler la demoiselle ! > fit-il avant de rire.

Christelle, surprise, se redressa soudain pour s"asseoir sur son fessier. Elle eut le réflexe de cacher mon sexe de ses deux mains. Elle regardait le type en riant. < C'est bon, hein ? > fit encore le vieux salace avant de rajouter : < Quand j'étais jeune je venais me faire sucer ici, moi aussi, par une de mes élèves en peinture ! >. Christelle restait silencieuse, gênée mais souriante.

Le vieux peintre, tournant les talons, fit encore : < Allez-y mademoiselle, régalez-vous, c'est un cadeau de la vie ! > . Puis il disparut derrière l'amas de roches pour redescendre à son chevalet. Christelle éclata d'un rire sonore. < Alors celle-là, c'est la première fois qu'on me la fait ! > fit-elle en me masturbant doucement. < Tu crois qu'il était là depuis longtemps à nous mâter ? > demanda encore la jeune fille.

< Le vieux cochon ! > fit-elle encore avant de retourner à sa fellation. A sa façon de sucer, je sentais l'extraordinaire excitation qui l'habitait à présent. < Tu veux faire l'amour ? > lui demandais-je, soucieux d'apaiser cet éventuel état. < Laisse-moi encore faire ça, peut-être qu'il est encore planqué à nous mâter ! >. Cette nouvelle affirmation acheva de me faire comprendre l'aveu que me faisait Christelle. Elle aimait donc être "vue"...

L'indicible caresse prenait à présent une dimension quasi surnaturelle. Je pouvais sentir la langue de Christelle qui tentait d'explorer l'espace entre le gland et le prépuce. La perception de ses efforts me procurait les plus sublimes sensations. La jeune fille respirait avec force. Souvent en apnée, elle redoublait d'efforts pour en récupérer le plus possible. Elle gémissait fortement. Les sécrétions devaient êtres abondantes.

Il me semblait que Christelle forçait les gémissements sonores. Je comprenais qu'en faisant ainsi, elle cherchait à attirer l'attention d'un éventuel voyeur. Je le lui fis remarquer par une plaisanterie : < Fais gaffe, tu vas donner envie au vieux ! > lui fis-je. < J'ai jamais sucé un plus vieux que toi ! > me fit la jeune fille en cessant sa pipe pour venir blottir son visage contre ma joue.

< C'est le moment de tenter l'expérience ! > lui fis-je. Il y eut un long silence. < Tu serais d'accord ? Tu ne serais pas jaloux ? > me demanda Christelle à deux reprises. A mon tour, je gardais un long silence avant de lui dire la vérité : < Non, Christelle, bien au contraire. De te voir faire ça à un autre mec, m'exciterait au-delà du raisonnable ! Je suis un vrai salop, hein ? >.

Christelle resta comme prostrée dans un long silence. Encore un. Elle me fit basculer sur le dos pour me chevaucher. Elle tortilla des hanches jusqu'à s'enfiler sur mon sexe. La jeune fille se mit à bouger en rythme. Elle fouillait ma bouche de sa langue avide. Christelle eut un orgasme incontrôlable. Elle eut une série de râles sonores qui accompagnaient les spasmes de son corps.

< C'est vrai ? Tu serais d'accord ? > me demanda t-elle après avoir retrouvé ses esprits. Immobile, pesant de tout son poids sur mon corps, me couvrant le visage de mille baisers. < Tu es trop génial ! > me fit-elle encore. J'avouais encore : < Bien sûr ! Fais de moi ton complice ! Un complice c'est mieux qu'un adversaire ! >. Christelle m'embrassait avec tant de reconnaissance qu'un profond vertige faillit me faire perdre connaissance...

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L'auto-stoppeuse - (Episode 24)

Christelle resta longuement blottie contre moi. J'entendais sa respiration qui s'emballait parfois. Je lui caressais les cheveux. La jeune fille me chuchotait des mots troublants à l'oreille. Quelques fois, tous les deux, nous éclations de rire. A quelques reprises, elle reprenait mon sexe en bouche pour en savourer les sucs. Nous étions dans un univers qui semblait beaucoup nous convenir.

< Viens, on va regarder ! > me fit Christelle en se redressant et en me prenant par la main. Elle m'entraîna au bord de la plate-forme rocheuse sur laquelle nous nous trouvions. A une quinzaine de mètres plus bas le peintre peignait. Il avait déployé un grand parasol sous le quel il travaillait. Ma complice me fit alors d'une voix sourde : < Attends-moi là, je descends le voir ! >

Je regardais Christelle descendre le long de l'étroit et périlleux sentier. Elle arriva à la hauteur du peintre. Les mains derrière le dos, comme une élève studieuse, la jeune fille contemplait, silencieuse, les petits coups de pinceaux de l'artiste. De là où je me tenais, je ne pouvais pas entendre leurs échanges. Je constatais toutefois que le vieil homme parlait sans détacher son regard de sa toile.

Au bout d'une dizaine de minutes, il posa soigneusement sa palette et ses pinceaux. Les bras croisés il observait Christelle. Le peintre devait lui poser des questions auxquelles Christelle semblait répondre de bonne grâce. Parfois riant, parfois surprise. Je scrutais, dans ma paire de jumelles, les différentes expressions de la jeune fille. Elle était étonnante et radieuse.

Le type l'attira par la main. Il la fit s'asseoir sur ses genoux. D'abord un peu distante, Christelle semblait à présent s'amuser de la situation. Le peintre restait très affectueux, jamais obscène dans ses gestes toujours très mesurés. A aucun moment il ne paraissait profiter de la situation. Pourtant cette petite "demoiselle", comme il l'avait appelé, était bien "appétissante" !

Christelle se leva au bout d'un bon quart d'heure. Elle montrait la plate-forme rocheuse où je me trouvais en pointant son index. Elle secoua sa tête à plusieurs reprises comme pour répondre positivement aux questions du vieux peintre. Puis, rapidement, elle fila pour remonter vers moi. < Il m'a proposé de nous rejoindre ici dans une dizaine de minutes ! > me fit-elle, à la fois amusée et espiègle.

Sans même me laisser le temps de répondre, Christelle s'accroupit devant moi pour se saisir de mon sexe. J'étais terriblement excité. La jeune fille joua un moment avec mon érection. Puis, au bout de quelques minutes, elle se mit à me sucer avec une grande passion. J'éprouvais beaucoup de difficultés à rester debout. Je vacillais souvent au risque de perdre l'équilibre.

Là, sur la droite, arrivait le vieux peintre. < Elle est sympathique la petite demoiselle, hein ? > fit-il en nous observant. J'étais à présent terriblement gêné. Christelle cessa sa pipe pour observer le monsieur. < Merci ! > fit-elle en me masturbant doucement. Je pouvais la voir observer avec beaucoup d'attention les réactions du vieil artiste. Ce dernier fit encore : < Elle va s'occuper un peu du peintre, la petite demoiselle ? >.

Christelle se redressa. < J'ai des fourmis dans les jambes ! > fit-elle. Je m'éloignais pour aller m'asseoir sur un roc. Je pouvais m'adosser à la paroi rocheuse. J'avais un emplacement privilégié pour assister à la suite des évènements. Une suite que nous retrouverons dans le prochain épisode...


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L'auto-stoppeuse - (Episode 25)

Le vieux peintre était debout devant le sentier qui menait à la plate-forme rocheuse. Les bras d'abord ballants, il regardait Christelle avec un sourire évocateur. La jeune fille s'assit sur le sol, les jambes croisées. De sa main, elle invita l'inconnu à venir s'asseoir à ses côtés. < Il reste là, lui ? > demanda le quidam en me montrant du doigt. < Oui, il reste là ! > fit Christelle.

Le peintre eut un moment d'hésitation. Après quelques minutes il vint s'asseoir aux côtés de la jeune fille. Je restais silencieux. J'étais vautré sur le rocher qui me servait de siège. Distant d'une dizaine de mètres. L'inconnu resta silencieux, sans doute mal à l'aise par la situation. Christelle tenta quelques bons mots. Sans grands résultats. L'artiste se releva péniblement pour s'éloigner.

Nous le vîmes redescendre le sentier pour rejoindre son chevalet. Là, assit devant sa toile, il semblait introspectif. < Je descends ! > fit Christelle après m'avoir embrassé. Je la vis descendre prestement. Je me levais pour venir me coucher à plat ventre au bord de la terrasse naturelle. La jeune fille avait rejoint le peintre. Elle était assise au sol, à ses côtés. Je ne comprenais plus ce qui se disait.

Au bout de quelques nouvelles minutes, Christelle, se mettant sur ses genoux, vint se placer entre les jambes du vieux peintre. Ce dernier, à présent beaucoup plus à l'aise, ouvrit doucement la tirette de son pantalon d'épais velours côtelé marron. Je me saisis de la paire de jumelles. Son sexe, plutôt long, pendait mollement entre les pans de sa blouse. Christelle observait avec soin.

Rapprochant sa tête, le jeune fille lécha longuement la peau fripée de l'extrémité du sexe du peintre. Ce dernier lui caressait la tête tendrement. Christelle enfonça une grande partie dans sa bouche. Sur ses traits, je pouvais découvrir une expression curieuse, mêlant dégoût, étonnement et surprise. Ses joues, creusées pas la succion, ne laissaient aucun doute quand à ce qui se passait.

Parfois, Christelle retirait le sexe de sa bouche pour le regarder. De longs filaments jaunâtres reliaient sa bouche au prépuce du vieux peintre. La jeune fille le fixait dans les yeux tout comme elle le faisait avec moi. A plusieurs reprises Christelle se retira pour revenir. Je pouvais la voir déglutir avec peine. Sur ses traits, le ravissement avait fait place à tout autre sentiment. Aucune érection chez le quidam.

Il devait y avoir quantité de sécrétions, voire de "liquide", car, par moment, je pouvais voir Christelle déglutir comme si elle buvait au goulot d'une bouteille. Le spectacle était à la fois prodigieux, excitant et étonnant. Cette jeune fille de dix neuf ans, à genoux entre les jambes d'un homme qui pourrait être son grand-père, proposait une situation surréaliste et d'insolite. J'étais très excité. Un léger pincement au cœur rajoutait encore à mon ressenti.

La situation durait depuis une bonne demi-heure lorsque Christelle récupéra sans doute le résultat de ses efforts. Efforts tous relatifs, tant les traits de son visage reflétaient quelques sentiments d'extases. Le vieux peintre eut une série de spasmes qui secouèrent son corps. Il saisit la tête de la jeune fille pour retirer son sexe de sa bouche. J'entendis un râle sonore durant son orgasme.

Christelle se redressa. Debout, penchée en avant, elle s'essuyait les genoux. D'un signe de la main, elle salua le vieux peintre avant de venir me rejoindre. J'avais préparé des chewing-gum mentholés. Je lui tendais le paquet et un gobelet de jus de fruits. < Quelle bonne idée ! > me fit-elle en crachant dans l'herbe, au bord du sentier. Elle rajouta juste un < Pouahh ! Dégueu ! > sonore et sincère...

Assise à côté de moi, Christelle me demanda : < Tu n'es pas jaloux, vraiment pas ? >. Je la rassurais en lui signifiant : < Absolument pas ! Si tu savais dans quel état tu m'as mis et le plaisir que j'avais à t'observer ! >. La jeune fille buvant de longues gorgées, mâchant son chewing-gum, me demanda encore, espiègle comme à son habitude : < Dans quel état je t'ai mis ? Moi ? Tu me fais voir ? >...


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