La rencontre inattendue

Suite à une suggestion d'un ami bobeur par l'écrit , vous retrouverez sur cet édito , les récits de certaines de mes aventures auprès de celles que j'ai rencontré . Ceci permettra de regrouper les textes et empêchera qu'ils ne se dispersent dans le forum tel que :

Au centre commercial
La femme du colonel
La coiffeuse
Un covoiturage amélioré

J'affirme également que ces fresques narrées , et à venir , sont authentiques et vécues .


Moral dans les godasses

Juillet 2014 , seul , ma compagne avec laquelle nous nous voyons lorsque l'envie s'en ressent , partie en vacances avec ses @#$%& . Le moral dans les baskets , j'épluchai mon répertoire téléphonique pour trouver de la compagnie .

Manque de chance , mes contacts féminins se désistaient l'un après l'autre , départ de congés annuels , remis en couple , hospitalisé , j'en passe , bref personne !!!!
La guigne !!!! je décidais donc d'empoigner mon ordi et me connecter sur quelques sites de rencontres gratuites .
Ma recherche sur Google me donna la liste la plus populaire avec inscription et tout le baratin !!!!! un seul site attira mon attention , il acceptait les annonces , les validait dans l'heure rien qu'en y inscrivant une adresse e-mail . Je m'en fabriquais une , et j'optai pour ce protocole .

Pour me remonter le moral , j'allais voir régulièrement sur la page du nouvel e-mail , mais la boite de réception était plus désertique que le désert Africain , rien , nada !!!!
Faut dire qu'en Juillet , la gente féminine , ne cherche plus dans son coin , mais près du lieu où elle va séjourner au soleil .... encore une fois , tintin pour moi , je réside dans les terres où les corbeaux volent sur le dos pour ne pas voir la misère . J'abandonne donc mon ordi sur la table , page ouverte sur la boite mails et je pars faire un tour en quad dont je raffole les sensations qui font grimpées l'adrénaline .

De retour , une heure et demie plus tard , passant mon doigt sur le pavé tactile de l'ordi pour qu'il se réveille de sa veille , je découvre que le site de rencontres m'avait expédié plusieurs réponses .
Sans tarder , je m'attelais à lire ces messages , les deux premiers provenant de professionnelles , le troisième ressemblait à une touche : "intéressée mais à voir" . Ni une , ni deux , je répondais dans la foulée .
Le soir , j'allais cliquer mais sans succès d'une deuxième réponse .

Le lendemain matin , sitôt levé , la tasse de café à la main , je me positionnais devant l'écran et là , toujours rien !!! c'était frustrant ..... ce n'est que vers midi après maintes et maintes fois à cliquer , je découvrais le retour de mon mail ... il y avait un numéro de tel .....arnaque ou réel ?
Curieux de nature , j'envoyais un texto rappelant mon annonce et le nom du site , le bip du portable se fit entendre dans le quart d'heure suivant et je pouvais lire : "Si tu es ok , RDV dans un lieu public de ton choix après 17h00 " . J'y répondais promptement , un SMS me confirmait l'heure en retour .

Une chose était certaine , pas de photo , pas de description , une femme qui se faisait appelé Valéria en speudo , simplement son âge annoncé par le site au premier contact , 48 ans .
A l'heure indiquée , j'étais présent sur le lieu que j'avais choisi , devant la boutique de parfum à l'hyper centre commercial , non loin de chez moi . Durant de longues minutes d'attente , je pensais qu'un "lapin" m'avait été posé , je m'avais fixé un temps maximum pour faire le pied de grue lorsque mon portable me mit à vibrer , un texto " tu es où , je ne te vois pas" , j'y répondais en indiquant ma position exacte .

Trente secondes plus tard , je faisais connaissance de visu avec l'inconnue Valéria , une femme disons classique, ni belle , ni moche , bien rembourrée au niveau "air bag" , l'arrière train assez joufflu , habillée d'une jupe genre kilt , pull style coton léger , jaunâtre en V . Je l'invitais donc à prendre un verre au bar situé au fond de la galerie marchande .
Assis en retrait de l'entrée , même n'étant pas connu , ni l'un , ni l'autre dans ce secteur , nous sirotions nos consommations , tout en discutant de choses et d'autres , j'apprenais que de temps en temps , elle s'offrait un sex friend , elle vivait seule aussi .

Assise sur ma gauche , sur la banquette , j'avais une vue étroite sur ses jambes qu'elle croisait , laissant apparaître ses cuisses à une bonne vingtaine de centimes au dessus du genou , le rebord de sa jupe étant fermé par une grande épingle .
Je n'avais qu'une envie , la basculer au plus vite et basta !!! je tentais donc une approche en effleurant ce que je voyais d'un geste discret , tout en continuant de parler . Ma surprise fut qu'elle n'esquiva pas ma façon de faire , acquiesçant même ,un large sourire .

Elle me demanda de prolonger la discussion pour faire plus ample connaissance dans sa voiture , et m'avertit qu'elle ne couchait pas au premier rencard !!!! Je m'exécutais donc à la suivre sur le parking et grimpais à bord de sa Clio . Nous reprenions notre conversation stoppée au bar , je remettais ma main gauche sur sa fesse droite en la caressant du genou jusqu'à l'épingle .
Elle fit tinter une agréable phrase " je ne porte jamais de culotte " , "A voir" répondis je . A peine répondu , elle empoigna ma main pour la diriger sous sa jupe et ainsi découvrir au toucher son abricot rasé de près .

On pouvait observer la turgescence de mon sexe, tellement l'excitation était forte à contenir . Ne pouvant pas de débraguetter , nous étions sur le parking où les ménagères accompagnées de leurs maris et @#$%& défilent devant un caddie vide ou plein , je demandais donc à ma conductrice , de rejoindre un endroit plus discret sans voyeurisme . Une entrée de champ à proximité s'y prêtait .

Pour la deuxième fois, nous reprenions conversation et caresses me concernant . Dans un second temps je faisais sauter l'épingle qui m'empêchait d'avoir visuel , et là je pouvais observer deux croissants formant une belle coquille vulvaire . J' y introduisais un doigt , sans difficulté , je remontais sur son clitoris , elle écartait les cuisses et me demandait de la doigter avec plusieurs doigts . Elle possédait une chatte de salope , large et profonde . N'en pouvant plus , ma queue poussait largement mes boutons de braguette , je la libérais , Valéria s'en saisit et se mit à me masturber , telle une professionnelle , j'appuie dessus en montant , une caresse sur la tête du jonc , et je redescends en pleine main .

Une à deux minutes plus tard , elle se mettait à me sucer , là aussi digne d'une pipe "professionnelle" . Malgré le bien qu'elle me procurait , j'enfilais ma main entière dans sa chatte autolubrifiée , quelques instants plus tard , elle me lâchait la bite , avança d'un bond sur le bord de son siège , un jet de liquide presque aussi clair que de l'eau jaillissait de son sexe et arrosait pédales et tapis au sol , ses cris me déchiraient les tympans .
Surpris , du jamais vu pour moi , je débandais , je rangeais même le matériel !!!!!

Le temps qu'elle récupère , elle m'expliquait que je venais de découvrir la raison pour laquelle, elle ne couchait pas le premier jour !!!! , on aurait dit qu'il avait plu dans la voiture côté chauffeur .
Je décidais d'en rester là , je n'avais pas été satisfait côté sexe mais qu'il fallait aussi que je me remette de ma surprise tout de même !!!
Nous décidions de nous revoir le lendemain , veille de son repos hebdomadaire .

superbe recit

Encore une histoire pleine de rebondissements

Le lendemain , je regardais mon téléphone avec réticence , appeler Valéria me faisait peur , la première fois que je rencontrais une vraie salope ....surtout qu'elle ne s'était pas cachée de me raconter certaines histoires qu'elle avait vécu par rapport au site ...
J'abandonnais donc l'idée de la revoir , je la blacklistais de mon répertoire ....

Deux semaines plus tard , rien à me mettre sous la dent , ma compagne toujours en congés avec les siens , de plus , je revenais de voyage , parti quelques jours chez un ami . Y a pas , chez un mec tout à fait constitué , faut que ça sort !!!! si je puis m'exprimer ainsi .
La montre du tableau de bord de la voiture affichait 20h30 , m'approchant de ma région , de chez moi , il me venait à l'esprit d'aller me restaurer et pourquoi pas tirer un coup ...c'est péjoratif , mais c'est l'expression de tous les mecs ....pardon mesdames !!!!!

Je décidais donc d'envoyer un texto à Valéria " Besoin d'une salope ce soir , mais je lui offre le repas " .....cinq , six minutes plus tard réponse ...: " Garde ta bouffe , mais ok pour une baise , quelle heure ?" ... 21h45 renvoyais je .
Aussitôt lu , mes oreilles chauffaient , soit de honte ou d'impression ....
J'arrêtais avant de regagner mon domicile , dans un snack sur la route d'Arras à Bapaume , les connaisseurs reconnaîtrons l'endroit . Le temps d'avaler ma commande , je partais sur les chapeaux de roues , je textotais du mieux que je pouvais , pour annoncer l'endroit de rencontre . Pour tout vous dire , je désirai qu'elle vienne chez moi , elle refusait m'indiquant un endroit neutre en plein air à côté d'un aérodrome .

Tel Vatanen , j'allignais les derniers kilomètres sans oublier de faire un arrêt devant un distributeur de pneumatiques , situé là où il y a une croix verte .
J'arrivais donc en lieu et place au RDV , que j'apercevais la Clio . Je faisais halte à côté , Valeria en descendit pour me rejoindre . Une jupe ouverte sur le côté jusque mi cuisse , un chemisier blanc à peine fermé laissant apercevoir une belle paire de seins .
Elle entama la conversation en me précisant qu'elle croyait me revoir le lendemain de notre première rencontre , sans plus ,ni moins .
Je ne savais pas comment commencer , je posais donc ma main gauche sur sa fesse gauche , de ma droite , je décidais de la saisir par le cou , pour lui rouler une pelle .

Ce fut bref , je n'aimais pas la façon qu'elle m'enfonçait sa langue ..., je passais donc ma main sous sa jupe , je découvris qu'elle ne portait rien en dessous laissant place à un minou rasé comme une Barbie . Pour éviter ses lèvres , j'inclinais la tête dans son cou , je lui faisais sauter les seins au dessus de son sous tif pour commencer à les téter , pendant ce temps , elle me saisissait la queue et la branlait , j'allongeais mon doigt pour titiller son clito , en faisant attention à ne pas lui donner trop de plaisir , je ne désirais pas d'inondation sur mes sièges ....

Cinq , six minutes à nous caresser , j'avais envie de lui mettre une longueur , j'enfilais donc mon caoutchouc , elle m'invita à descendre de la voiture et de la prendre sur le capot , elle s'installa le nez à même la tôle , je la prenais en levrette . "plus fort" me criait elle , je tapais le va et vient avec hardeur , elle réclamait encore si bien qu'elle s'inclina , les mains se tenant les chevilles . Je découvrais malgré la pénombre sa rondelle anale ainsi que sa coquille d'abricot . Je lui enfilais le jonc pour la défoncer , la tenant par les hanches afin de lui mettre en profondeur . Elle en voulait toujours , pendant que je la limais , elle se gratouillait le clito avec une main , me réclamant même de lui dilater le trou du cul . Je ne donne pas dans la sodomie , je n'aime pas être dans la merde , dans tous les sens du terme , je lui fis donc part .

A force de la tambouriner , je n'en pouvais plus, épuisé par l'effort , elle se mit à genoux dans l'herbe , me retira la capote , et se mit à me sucer , quel plaisir !!! pour changer , elle retirait ma bite de sa bouche et se la claquait sur les lèvres , sa langue chopait le gland à chaque fois .
Assis sur l'aile , je me laissais pomper , elle se fritait le clito en même temps de l'autre main , une minute plus tard , je sentis l'humidité envahir ma chaussure , un jet de cyprine sortait de sa chatte dilatée , elle criait des ah ah ah!!! , elle évacuait un torrent la salope ..

Sitôt sa jouissance terminée , elle reprenait la cadence de la masturbation de mon braquemard , lorsque le gland gonfla , elle le prit en bouche , effectuant un va et vient , sa langue frottait le long du jonc , je me lâchais , j'évacuais mes trois semaines de privation , le sperme lui coulait des commissures des lèvres .Elle se dégageait , crachait la semence épanchée au fond de sa gorge .
Elle regagnait illico presto , sa voiture , comme une pute qui a terminée sa prestation en indiquant ceci " A quand tu veux "

Etrange relation... c'est juste mon avis. Du sexe pour du sexe... et rien d'autre ?!

Je peux affirmer qu'avec Valéria , c'est le sexe pour le sexe , rien d'autre et aucune affinité .

Le Mans Camion

Octobre l'an dernier , comme tous les deux ans , je me fais un plaisir avec des amis de nous rendre sur le circuit Bugatti du Mans pour y découvrir ces monstres de plus de 1000 chevaux conduits par des pilotes chevronnés plus ou moins dingues de la vitesse et de la dextérité .

Avant de prendre place sur les gradins qui bordent la piste , étant très bien organisés , nous élaborons un barbecue au fond du parking que jouxtent le parc des expositions du Mans . Il est évident que nous avons à bord de nos véhicules un Sam pour nous Français , un Bob pour nos amis Belges .
Ce qui a pour avantage de pouvoir faire la fête jusque plus soif , si je puis m'exprimer ainsi .

Nous entrâmes donc sur le circuit , vers 13h30 , la première série de course étant bien entamée . Entre deux départs poids lourds , il y a les spécialistes du Nascar qui tournent , cela plait ou pas , et pendant cet entracte, nous circulons pour découvrir les paddocks des firmes qui rivalisent pour obtenir le premiers prix .
Dans ces derniers , nous pouvons jeter un oeil sur les mécanos qui s'affairent sur les monstres , les directeurs de courses qui hurlent dans tous les coins avec le chronomètre qui pend au cou , des nanas en jupette malgré le manque de chaleur .
On peut toutefois avoir la chance d'avoir une belle vision si une de ces demoiselles s'abaissent , mais il ne faut pas venir là exprès pour traquer ce genre de fait .

Tout au long de l'après midi , c'est le grand spectacle avec les fameuses courses , vers 20h00 le défilé des bahuts décorés . Le show terminé , nous décidâmes de repartir , Sam au volant et nous arrêtames sur la route dans un resto grill .
Aussitôt installés , aussitôt servis , il faut dire qu'il avoisinait 22h30 . Au moment de régler , la serveuse apportait la note et avant de me rendre pour payer , j'inscrivais mon numéro de téléphone sur le ticket , chose que je ne fais jamais de sang frais .

En sortant du resto , l'air était plutôt glacial , ce qui n'arrangeait pas nos états , nous n'avions pas sucé de glaçons en journée , ni la soirée, nous décidâmes de coucher à l'hôtel voisin du resto grill., deux par chambre , limitaient les dépenses .
A peine poussés la porte , nous nous endormions . Vers 02h00 , mon portable se met à sonner sous mon oreillet , dans le "gaz" , je porte mon tel à l'oreille , et j'entends " j'ai trouvé un numéro sur un ticket, j'appelle ".

Ne pouvant nier , ni me soustraire à ce fait , je rétorquais "A quelle heure peut on se voir " , la voix m'indiqua "tout de suite si vous pouvez " ," le temps de me rhabiller , je vous rappelle " répondis je .
Dix minutes plus tard , je faisais éruption dehors sur le parking désert de l'hôtel , je chopais mon portable et appuyais sur le dernier appelant , expliquais à la voix que je me situais à côté du resto , ainsi que je ne pouvais prendre le volant en toute sécurité , la voix m'informant qu'elle se trouvait à quelques minutes , qu'elle faisait demi tour pour venir me servir de taxi .

Le temps de raccrocher , quelques secondes plus tard , deux feux apparaissaient , une petite citadine s'arrêtait devant moi , je découvrais la serveuse du resto au volant , qui m'invita à son bord pour prendre le chemin d'une boite de nuit qui se trouvait aux alentours d'Alençon .
Sitôt arrivés , nous nous assoyions à une table pour faire plus ample connaissance , elle était vêtue d'un costume , jupe veste rouge , un chemisier banc avec un lacet qui fermait le col , sa tenue de travail ...

Pendant la conversation, je lui demandais si cette pratique était régulièrement employée , j'entendis que c'était la première fois à ses yeux mais qu'elle avait réagi sur le coup d'une rupture amoureuse datant de deux mois .
Au bout de deux consommations , elle m'invitait à reprendre la route , quelle n'a pas été ma surprise lorsque j'ai constaté que nous reprenions le sens inverse de notre arrivée . Pendant le trajet , nous traversions des zones de pénombre , je profitais pour poser ma main gauche sur sa cuisse droite , celle ci la balaya d'un geste , je comprenais que j'avais été tiré du lit pour aller boire un coup .

Je réitérais la même tentative quelques secondes plus tard , cette dernière devenait payante , j'entrepris donc de caresser cette cuisse sans vouloir aller où toutes les caresses aboutissent . Nous roulions et abordions un boulevard sectionnés de croisements , à l'un de ceux ci , un feu rouge était mis , la conductrice Michèle stoppait donc son véhicule , se tourna vers moi et avec ses yeux de biche , me tendit ses lèvres , nous partions dans un long baiser profond si bien qu'une séquence de feux eut le temps de se réaliser .

Le prochain vert allumé , nous repartions , ma main toujours en place sur sa cuisse , je décidais de pousser les investigations , essayais de passer sous sa robe , elle me bloqua la main en appuyant dessus en prononçant ces paroles " pas ici " .
J'expliquais , que nous étions deux par chambre et que je ne pouvais pas virer l'autre au cas échéant , cela ne me dérangeait pas de reprendre une piaule .
Toujours en conduisant , elle me faisait comprendre qu'elle se dirigeait vers son domicile , me demandait de me tenir en gentleman durant le trajet .

Arrivés à destination , nous entrions dans une résidence correcte , prenions l'escalier en silence pour nous rendre au 1er étage , j'étais invité à franchir le seuil de la porte qui donnait sur salon garni de deux fauteuils et un canapé de cuir blanc .
Je pris donc place sur le sofa , un café me fut offert , il avoisinait le 04h00 . Le temps d'avaler ma boisson , Michèle s'était éclipsée et revint vêtue d'un peignoir soyeux imprimé de fleurs d'Asie , s'assoyait près de moi , posait la tête sur mon épaule , c'était pour moi une invitation .

Je passais donc mon bras autour de son cou , une main découvrait au toucher un sein au travers du tissus , elle me tirait donc vers elle pour que je rejoigne ses lèvres . Un très long baiser s'en suivait , je profitais de l'occasion de reprendre ma prospection au toucher , toujours affairé à ce long baiser, je sentais sous le peignoir la nudité de sa peau , je touchais son sexe de mes doigts , elle ne décollait pas de mes lèvres , je pouvais entendre sa respiration s'accélérer .

Mon majeur remontait dans sa fente vaginale , pour trouver son clitoris plutôt bien dissimulé derrière les plis de ses lèvres pubiennes , elle s'était agrippée à mon cou , sa respiration devenait haletante , elle m'embrassait toujours .
Je commençais un massage du clito assez lentement , elle quitta mes lèvres en ouvrant la bouche presque à s'étouffer , le spasme de la jouissance l'avait envahi , quelques secondes plus tard, elle revenait sur terre en murmurant ces mots " que c'est bon" .

Son sexe était tout humide , je quittais son clito pour la pénétrer de mon doigt , Michèle se raidissait à nouveau partant presque pour un nouveau départ de la jouissance , elle décidait tout de même de s'occuper de moi , ma queue formait un arc à me faire mal dans le boxer , de sa main , elle me massait , j'enlevais les boutons de ma braguette , tombais le jeans, le boxer , laissant apparaître ma bite bien raide , elle s'en saisissait pour la fourrer dans sa chatte .
Dès la pénétration , elle se serra fort contre moi , m'empêchant de bouger . Sur le dos , le bassin cambré , elle se crispait en me tenant les fesses près de la raie du cul , je sentais ses ongles me labourer le fessier .

Pour la 3eme fois , elle partait pour un voyage spasmodique , je me retirais , me glissant sur son corps pour atterrir devant sa vulve entourée par une toison taillée en ticket de métro , devant cette image , j'introduisais ma langue pour lui chatouiller son minuscule clito , chaque fois que je passais dessus , elle levait le bassin et sa respiration se saccadait .
Je me relevais pour reprendre une position plus confortable , Michèle prenait mon braquemard en main pour commencer une fellation , elle suçait comme si elle mangeait un esquimaux , il lui manquait de l'expérience .

Je la retournais pour la prendre en levrette , elle s'occupait elle même à faire le va et vient assez fougueusement , cette position m'excitait , à chaque mouvement , j'apercevais les balourds de ses seins , j'expulsais ma semence en elle .
J'attendis que ma queue se rétracte pour me retirer , je voyais couler mon sperme de son abricot en vue arrière .

Au fond du salon , se trouvait l'horloge qui indiquait 04h40 , j'étais HS après cette journée à arpenter les stands même après une remise en forme avec cette brune. Je squattais son lit , elle me raccompagnait à l'hôtel pour 10h00 où les trois copains s'interrogeaient sur ma disparition.

Sympa cette petite aventure

Les faits contés sont très récents ....

A la boulangerie ,

Comme à l'habitude , quotidiennement , je me rends à la boulangerie chercher ma baguette , faut dire aussi que la boulangère possède une belle paire de miches et un de ces culs que beaucoup de mecs voudraient bien tâter , peut être mieux , y rentrer ....selon la religion !!!! la mienne me l'interdit ..
L'espace de vente était plein , nous faisions " la queue ", faut dire aussi qu'une bourgeoise commentait ses commérages , un tel est parti en laissant trois gosses et l'une trompe son mari à tout va .

A bout d'argument , elle franchissait la sortie , "la queue " se réduisit comme peau de chagrin . Baguette en main , je retournais chez moi en bout de rue , et comme tout bon collectionneur , je commençais à laver mon véhicule pour pouvoir l'exposer le dimanche . Avant de commencer à arroser la voiture , je faisais le tour de l'auto pour vérifier que tout était en ordre lorsque je découvris que le pare choc arrière vibrait sur son support d'aile . J'installais le tapis moquetté , le cliquet à la main , je me glissais sous ma vieille Allemande .

Pas encore pris position pour resserrer l'écrou du pare choc , j'entends " il est rare de nos jours de voir quelqu'un sous une voiture sur le trottoir" , j'incline la tête sous l'aile , je découvre deux jambes , une jupe sous laquelle j'observe une culotte blanche quelques poils qui dépassent .... je m'incline davantage, je vois la bourgeoise de la boulangerie qui devait être allée faire son tiercé au PMU , 100 m plus loin .
Loin de vouloir discuter avec elle , je retourne à mon taf et j'entends de nouveau " j'ai un ami acharné par les vieilles mécaniques , cela vous ennuierez s'il venait admirer votre voiture ?" " Pas du tout" répondis je en sortant la tête du dessous .

Le pare choc resserré , je lavais la voiture , la frottais d'une micro fibre pour éviter les tâches , je vis un couple d'une bonne cinquantaine d'années arriver et s'adresser à moi pour causer de mon ancienne. J'appris que le père du bonhomme avait possédé la même mais moins puissante . De fil en aiguille , ils me demandaient de les emmener autour du village par nostalgie de la voiture .

Avant de passer au volant , j'invitais donc la dame à s'installer à l'arrière , la voiture étant un coupé , j'admirais sans aucune retenue l'arrière train de cette dernière , son mari avait pris place sur le siège passager à l'avant . Je démarrais , mes admirateurs étaient aux anges , je revenais dix minutes plus tard à mon départ .Me remerciant , le couple repartait bras dessus , bras dessous , je verrouillais ma voiture lorsque j'entendis " Monsieur , monsieur , j'ai oublié mon écharpe ".
Ni une , ni deux , je rouvre la portière et là pas d'écharpe ... j'en avertis la dame , qui acquiesce un sourire , me donne verbalement son 06 et s'en repart comme elle est venue .

Aussitôt déjeuné , je téléphonais au 06 ........, et j'enchaînais par " vous avez retrouvé votre écharpe ? " "oui oui merci , elle est au gnagna , situé au village d'à côté , nous nous verrons si vous vous y rendez"
Je sautais dans ma voiture quotidienne , j'allais à l'adresse du bar indiqué , je m'y installais , commandais une consommation et attendais ....quinze minutes plus tard environ , la dame au 06 s'engouffra dans l'entrée , et me rejoignais à table .
Elle était vêtue d'une jupe courte , un fin pull col V sur un soutif qui pigeonnait presque sa poitrine . Nous faisions connaissance , cette dernière m'avoua qu'elle s'ennuyait avec son mari , si bien que lorsqu'il était de l'après midi , elle allait de temps en temps s'amuser .

Dès réception du message , je rentrais dans le vif du sujet , proposais le duo qu'elle ne réfutait pas, m'emmenait chez sa cousine dans le quart d'heure qui suivait . Arrivés à domicile , elle me présentait comme ami , dix minutes plus tard nous étions dans la chambre , elle et moi .
M'embrassant goulûment et sans hésiter un seul instant , elle me déboutonnait mon jeans , me débraguettait , me saisissait la queue pour la déglutir , j'ôtais son pull , faisais sauter son soutif laissant apparaître de beaux seins fermes en poire .

Elle se redressait , glissait sa jupe , son string le long de ses jambes , je découvrais un minou en broussaille , impossible pour moi d'apercevoir ses lèvres pubiennes , je plongeais donc la main sur la touffe afin d'y trouver l'entrée .
A la zone humide , j'y introduisis mon majeur droit , en remontant ce dernier , je sentais un mini clito que je chatouillais aussitôt , ce dernier se gonfla très rapidement , pendant ce temps , elle m'enfila un préservatif , j'étais encore debout , elle passait entre mes jambes , elle s'empalait sur ma bite , sa nuque reposait sur le bord du lit .

Je restais immobile , la situation était plutôt scabreuse , je la poussais de mon bassin , entamais un va et vient lorsqu'elle fut le dos sur les draps . Elle écartait les fesses , relevait les jambes , je me trouvais dans la position du pilon , sa chatte se délitait chaque fois que je la lui pénétrais . Je sentais qu'elle en voulait encore si bien que j'enlevais ma bite de son vagin , pour la remplacer de deux doigts que j'agitais fortement . Ce mouvement rapide , la plongea dans une jouissance quasi instantanée , elle se raidit, m'emprisonnait mon bras avec ses fesses , mes doigts dans la chatte .

Engluée de cyprine , je retirais ma main , la caressant tout le long du corps, elle enlevait le préservatif , pour se gorger de ma queue en érection . Une main autour de ma bite pendant qu'elle suçait , l'autre à me palper les couilles . Je sentais le jus monter , elle profitait de passer sa langue sur mon gland luisant de liquide séminal , elle pompait en aspirant . Je ne pouvais tenir longtemps , j'envoyais donc la purée par saccade , elle recrachait au fur et à mesure mais me nettoyait le jonc avec la langue dès les jets injectés .

Nous restâmes à converser pas mal de temps après notre ébat , je compris que pour sauvegarder son couple , elle allait voir ailleurs sans aucune vague autour d'elle .
Son 06 fait parti maintenant de mon répertoire , on ne sait jamais .

Le hasard fait bien les choses .

A la préfecture

Heureux d'avoir acquis une nouvelle voiture , il me fallait me rendre à la préfecture comme tout nouveau propriétaire qui est obligé d'établir une carte grise et surtout soulager son porte monnaie pour régler les différentes taxes .
Arrivé sur les lieux , un monde grouillait de partout , les uns qui râlaient , les autres qui se battaient à la borne électronique pour obtenir le certificat de non gage , ainsi qu'une poignée qui se bousculait au distributeur de tickets qui règlent votre passage au guichet .

J'attendais paisiblement mon tour avec le dossier de paperasserie que je feuilletais et refeuilletais pour vérifier que je possédais bien tous les documents nécessaires pour obtenir le sésame et surtout m'extraire de cette salle d'attente où chacun se regarde en chien de faïence .
Au numéro s'affichant et correspondant à celui de mon ticket , je me rendais au guichet où trônait une dame brune , souriante , portant une paire de lunettes avec une monture dont chaque branche se divisait en deux qui lui allait à merveille.

Je déposais mon dossier sur la tablette surmontée d'une vitre , elle s'en saisissait , vérifiait , annotait quelques mots en stylo rouge , et m'adressa la parole : " vers quelle heure avez vous fait la transaction de la vente ?" étonné je répondais " juste, je n'en sais rien , vers onze heure peut être !!!" , et elle me précisa que c'était une formalité pour protéger l'acquéreur ou le vendeur d'une éventualité d'un passage au radar avant ou après l'acte de vente établi .
Toujours avec le sourire , elle ajouta :" le vendeur vous a offert le café de ce fait " , je répliquais aussitôt "non du tout , mais l'apéro une fois le chèque en main "... sans réflexion ,elle enchaîna en souriant " vous auriez dû m'inviter " , ma réponse fusa " je change régulièrement de voiture , donnez moi votre 06 , je vous préviendrai la prochaine fois ". Aucune réponse de sa part .

Elle me renvoyait sur les chaises d'attente pour passer m'acquitter de la taxe départementale ainsi que le tout le tatoin à la caisse . Je sortais de la préfecture plus pauvre que j'étais rentré .
Le lendemain matin , la factrice plutôt coquette malgré son uniforme bleu, sonnait à ma porte pour me remettre une lettre suivie contenant mon titre de propriété émanant de l'imprimerie des services de la préfecture . Les jours passèrent , le cours de la vie reprenait place sans grand intérêt à raconter .

La semaine suivante , la belle postière qui ,avec son seul bonjour vous égaye le restant de la journée , me déposait dans la boîte aux lettres , une missive comportant mon adresse écrite manuscrite . Devant l'enveloppe qui ne pouvait pas contenir facture , ou pub , ces dernières étant informatisées , l'adresse dactylographiée , je me pressais de l'ouvrir et de lire :

Monsieur coco620 ,

J'espère que vous vous souvenez de moi , je suis l'employée de préfecture qui vous ai reçu
lorsque vous vous êtes présenté pour établir votre carte grise .
La clarté de vos yeux bleus a attiré toute mon attention et je serai ravie de vous rencontrer
autour d'un verre si vous l'acceptez .
Je vous confie mon tel : 06 84 .. .. ..

Cordialement
Julie

J'étais plutôt secoué , étonné , devant ces peu de lignes qui en disaient beaucoup , je décidais de lui répondre par texto immédiatement en lui confirmant l'acceptation de notre future entrevue .
Une heure plus tard environ , je recevais un sms de sa part désirant que je l'appelle après 16h00 .
J'exécutais son désir .

Suspense...

J'appelai donc après 16h00 , celle ci me répondit qu'elle avait flashé sur moi mais qu'au boulot , elle ne pouvait se permettre de sortir pour venir me le faire savoir , si bien qu'elle n'avait eu comme moyen que de copier mon adresse inscrite sur les papiers de vente .
Elle m'invitait donc à nous rencontrer pour 18h00 sur la place face du beffroi .

Arrivé en lieu et place , averti par texto qu'elle se trouvait à table en terrasse , je rejoignais cette jolie brune , cheveux court d'une cinquantaine d'année , habillée d'une jupe crayon noire à fleurs surmontée d'un corsage rose , je la saluais , je m'assoyais près d'elle .
Devant nos verres respectifs , nous faisions à faire plus ample connaissance sachant très bien le motif de notre rencontre , Julie se permettait de m'informer de sa situation familiale , femme seule divorcée depuis peu , ne désirant plus former un couple . Je l'avertissais que mon cas était ressemblant , sauf que mon divorce datait , j'omettais aussi de lui faire part que j'avais une compagne régulière avec laquelle je ne vivais pas 24/24 .

Tout en discutant , l'heure tournait , je l'invitais donc à partager ma table , nous décidions de nous faire une crêperie qui se trouvait face à nous . A table , nous évoquions des choses et d'autres , rigolions de tout et de rien comme des collégiens , nous nous comportions comme deux êtres qui se connaissaient depuis longue date .
Vers 22h00 , nous quittions nos chaises , dehors la température était très clémente pour un mois de septembre , nous entamions une promenade digestive au travers des rues bordées de vitrines .

Devant le ciné , nous nous arrêtâmes pour lire les affiches , je profitais de cet instant présent pour m'approcher du visage de Julie , nos lèvres se rejoignirent comme des aimants , nous partîmes dans un long baiser profond . Nous reprenions la balade , nous bécotant chaque fois que nous nous regardions .
23h00 sonnaient , Julie travaillant le lendemain , envisageait de rentrer chez elle , je la raccompagnais jusque sa voiture stationnée non loin de la mienne , nous nous quittions après de multitudes bisous , sans pour autant oublier de nous fixer rendez vous pour le vendredi soir .

Pendant les jours suivants , je n'avais qu'une obsession , revoir Julie , une femme qui , quelques jours plutôt était absente de mon esprit , et qu'aujourd'hui qui l'hantait .
Quarante huit heures plus tard , nous nous rencontrions au même endroit , presqu'à la même table , cette fois , je ne la saluais plus , mais rejoignais ses lèvres qu'elle me tendait .
Elle m'invitait peu de temps après à partager une table dans une pizzaria en dehors de la ville . Dans nos voitures respectives, je la suivais , ne prêtais aucune attention de la direction que nous prenions , je stationnais derrière elle , devant un groupe de maisons .

Descendant de nos voitures , j'indiquais qu'il n'y avait pas de pizzaria dans les environs , elle m'informait que nous prendrions l'apéro chez elle . Quelques pas de notre stationnement , nous arrivions devant une maison basse enduite d'un crépi ton pierre , elle en ouvrit la porte , je franchissais donc le seuil , me retrouvant devant un salon à ma droite et une salle à manger à ma gauche . Elle m'invita à prendre place sur son canapé revêtu d'un tissu gris avec coussins rouges de part et d'autre des côtés .
Elle me proposait un kir royal mûre que j'acceptais bien volontiers , elle s'installait près de moi sur ma gauche , ne manquant pas de m'embrasser furtivement en me remettant le verre .

Julie portait une jupe droite bleue assez courte échancrée sur le côté droit , chemisier blanc ouvert laissant une entrevue sur un soutien gorge blanc également bien rempli , et portait des souliers à talon moyen assorti à la jupe .
Nous causions de notre rencontre impromptue sur son lieu de travail , elle croisait les jambes , un genou au dessus de l'autre , laissant apparaître son haut de cuisse . Une turgescence fit son apparition aussitôt dans mon jeans , pour cacher cette montée soudaine , j'entrepris d'embrasser Julie , déposais délicatement ma main droite sur cette cuisse dénudée .

Nos verres déposés sur la verre basse , nous nous serrions l'un contre l'autre , partant dans un baiser langoureux , je profitais de l'occasion pour explorer le haut du chemisier rempli de deux voluptés bien fermes et douces terminées par des tétons qui pointaient sous ma palpation .
Julie laissait ses mains parcourir ma poitrine , mon dos sous ma chemise , tandis que je poussais ma main droite sous sa jupe , découvrant au toucher , un textile légèrement humide en milieu de ses cuisses . J'insistais sur le bord du tissu pour sentir un semblant de toison que je caressais , j'introduisais un doigt dans sa fente pelvienne , obstruée par des lèvres vulvaires .

Je décidais d'effeuiller Julie , lui faisant sauter les boutons de son chemiser un à un , lui dégrafant sa jupe pour la lui retirer , glissant sa culotte le long de ses jambes , tout en l'embrassant . Allongés sur le sofa , je la caressais du bout de la langue tout le long du corps pour me retrouver face à son mont de vénus , j'aperçus son clitoris gonflé, excité par l'envie , je le saisissais par succion de mes lèvres , Julie commençait à émettre quelques sons qui en disent longs , le minou se mouillait de cyprine . J'arrêtais immédiatement l'action pour commencer à la pénétrer de mon sexe . Elle se raidissaient chaque fois que j'étais au fond de sa chatte . Un peu à l'étroit sur la banquette de canapé dont le dossier m'empêchait de la chevaucher correctement , je lui proposais discrètement à l'oreille de rejoindre sa table de salle à manger , chose qu'elle accepta tout de suite .

Deux pas plus tard , nous nous trouvions devant ce plateau de bois , elle s'accroupissait , me saisissait la bite pour l'avaler complètement , commençait une aspiration folle qui me faisait venir les premières gouttes de liquide séminal , je m'extrayais de cette bouche avide de ma queue . Je l'installais le cul assis sur le rebord de la table , les jambes pendantes et écartées , j'introduisais mon braquemard dans son puits à foutre et j'entamais un va et vient assez hard à me claquer les couilles contre ses fesses . Elle recommença à émettre des râles de jouissance , si bien qu'elle partit même à me causer vulgairement , employant tous les mots de son répertoire pour désigner sa chatte et ma bite dégageant en même temps un afflux de cyprine qui me trempait les poils .

Elle me demandait de ne pas me lâcher en elle , j'acceptais sans vergogne , je me retirais du gouffre gluant , elle descendait de la table , s'agenouillait, me pompait , aspirait du plus fort qu'elle pouvait , se caressait le clito en même temps , j'envoyais la giclée de sperme au fond de sa gorge , elle déglutissait , et se pâma en emprisonnant sa main entre les fesses . Revenue à elle , elle reprenait ma bite en bouche pour curer la moindre goutte .
Rhabillés , elle m'avouait qu'il y avait assez longtemps qu'aucune visite vaginale n'avait eu lieu , la mise en appétit étant terminée , nous nous rendions à la pizzaria et nous nous quittions après le repas .

De bien belles histoires, merci coco620 pour tous ces détails. Maintenant je me retrouve avec une belle erection et je suis seul à la maison.

L' histoire que je vais vous narrer , s'est déroulée très très vite , sur la demie heure même ....
Sur une autoroute , ignorons laquelle , ce qui préservera l'anonymat , si plusieurs bobeuses ou bobeurs auraient été témoins ou reconnaîtraient l'endroit , je leur demande de ne pas le communiquer .

Journée ensoleillée , je roulais sur l'autoroute , et comme tous , je m'arrête de temps à autre pour me rafraîchir et entamer une pause dans une station service . Me cherchant une place de stationnement , je constatais qu'un bon nombre de minis cars de la compagnie républicaine de sécurité avaient envahis le bitume .
J'entrais donc pour me désaltérer , les machines à boisson étaient prises d'assaut par nos hommes et femmes en bleu qui une fois servis , se groupaient autour des tables mises à disposition à cet effet .

Une fois le gobelet en main , je me mettais à l'écart de ces messieurs dames qui discutaient ensemble , lorsque j'aperçus une gardienne de la paix avec un arrière train rebondi dans ce treillis bleu qui la moulait . Je commençais à reluquer avec insistance , si bien qu'un de ses collègues qui m'avait vu ,m'interpella : " vous pouvez aller regarder ailleurs svp " , comme un bon , moi qui ne se laisse faire par personne , je répliquais aussi sec et à voix plus qu'audible : " aucune loi ne défend quiconque de regarder là où bon lui semble " , de phrases en phrases le ton monta entre les deux parties et l'intéressée qui ne savait rien, s'adressa à son collègue subalterne sans aucun doute et le pria d'expliquer son acharnement contre ma personne .

Ce dernier se trouva dépourvu d'argument et reçu l'ordre de rejoindre son car dehors . J'entrepris à cet instant de me rendre aux toilettes , au sortir de ces dernières , je me retrouvais nez à nez avec la gradée qui s'excusa du comportement de son brigadier , mais qui me demanda de confirmer l'exactitude de ses dires . J'avouais donc sans baisser les yeux le pourquoi de l'altercation , celle ci rougit un peu , j'en profitais pour la flatter et essayais de lui filer mon numéro de portable , elle déclina de le noter .
Quelques instants plus tard , nous nous séparions , elle rejoignait ses collègues féminins , je retournais aux distributeurs (je suis une cafetière) .

Trois minutes après , je la voyais revenir avec un joyeux sourire avec aux lèvres "un s'il te plait , donne moi ton portable , on ne sait jamais " , je ne faisais pas prier pour le lui remettre . Elle repartit aussitôt vers son groupe .
Je rejoignais mon véhicule , mon portable se mit à sonner " tu viens de me donner ton numéro , j'essaie donc et tu es où ? " et je répondais " à ma voiture stationnée sur le parking poids lourds à l'extrémité de la station côté champs " "attends un peu , j'arrive " me rétorque t'elle .

Quelques laps de temps suivants , elle était présente , et m'adressa " c'est vrai ce que tu m'as dit devant la porte des wc " , j'eus le temps de répondre par l'affirmation qu'elle m'empoigna par la main , me tira vers elle , derrière le buisson qui sépare parking et terrain privé , elle s'agenouilla , me dézippa , je sortais ma bite , elle l'engouffra au fond de sa gorge et commença à sucer fortement , tandis que j'appuyais mes mains sur ses seins au dessus de son uniforme marqué du drapeau tricolore . Elle enlevait mon jonc de sa bouche en m'indiquant qu'elle ne pouvait pas se défroquer , elle se redressait , me masturbait , je passais ma main au travers de sa braguette , pour atteindre sa large moule tondue bien lubrifiée de mouille , je lui caressais le clitoris , sa main était figée sur ma queue bien raide , elle jouissait aussitôt en se tordant autour de mon bras , elle me faisait gicler le poireau .

Après ce moment de libération , nous repartions chacun de notre côté , je serai incapable de vous indiquer son prénom , je sais simplement qu'elle possède mes coordonnées téléphoniques mais aucun autre appel depuis .

Les faits contés ne sont pas récents , mais je me souviens des détails comme cela était hier .

Je réside dans une petite commune où nombreux commerçants ont migrés vers les centres commerciaux , donc ce jour là , je me rends dans un de ces centres commerciaux à quelques encablures de mon domicile , pour me faire coiffer et sur le parking géant , je rencontre un de mes amis qui m'apostrophe : "Hé salut , tu vas mettre tes courses dans tes poches que tu n'as pas pris de Caddie " .... Non , non lui répondis je " m'en vais chez le coupe tifs ".
"Ben tu ne vas pas dans celui de ton village , pourtant c'est une femme " , "ah ben je ne savais même pas que c'était mixte".

De fil en aiguille , il m'explique que Bazar a essayé de draguer la coiffeuse , et qu'il a échoué , bref je suis tenté d'y faire un tour , je saute prestement dans la voiture et je me rends donc au salon ...nous l'appelerons Stéphanie , si j'indique ici le vrai prénom , elle serait submergée d'appels !!!!
Bref , j'arrête , j'y rentre et ressors aussi vite avec un RDV .... , mais en voyant la dame j'étais plus que pressé d'y retourner , je comprends pourquoi que Bazar l'avait draguée .

Le lendemain , je m'empresse de me rendre au RDV ....plutôt à l'avance ....en arrivant , je suis invité à prendre place dans les fauteuils d'attente , des livres et revues féminines pour patienter sont à disposition ....
Devant moi tournoie comme un balai , les va et vient de la coiffeuse autour de la tête de la cliente qui avait pris place largement avant mon arrivée .
Du fond de mon fauteuil , je peux admirer le fessier recouvert d'un jeans que m'offre Stéphanie en s'exerçant à coiffer ...., puis vint mon tour à rejoindre le siège , elle me revêt le tablier se fermant derrière comme à l'école maternelle , jour de peinture ....

En s'occupant de mon cas , (me coiffer ) , nous faisons connaissance , mais j'avais une seule idée en tête , celle de revenir chez moi avec un ticket auprès de la belle !!! , comme je l'ai précisé plus haut , elle était vêtue d'un jeans bleue avec de la broderie de chaque côté des jambes qui lui faisait moule cul , si bien que chaque fois elle venait près de moi à gauche ou à droite , on pouvait observer les bords charnus de sont sexe , tellement le futal était serré ....brrr , encore des frissons .....,et un corsage blanc qui lui mettait en valeur la poitrine , si je ne me trompe pas , en estimation d'un bon 105 D .

Au fil de la conversation , j'orientais mon discours sur une invitation à prendre un rafraîchissant après son travail , mais c'était un Non catégorique que j'obtenais ...., si bien qu'une fois la coupe achevée , je reprenais le même chemin que j'étais venu . Arrivé chez moi , déçu d'avoir pris un râteau comme Bazar , je laissais mon imagination voguer à la dérive quand soudain la lampe d'Eureka s'alluma .....un bon plan pour revoir presqu'aussitôt la coiffeuse .
Je saisis le portable et appela l'artisan en coiffure .... "j'ai dû perdre un petit coeur en or , en venant chez vous et il appartient à ma petite fille, vous ne l'auriez pas aperçu ?" lui dis je .. "bien non " me répondit elle " et je n'ai pas le temps de chercher ,j'ai de l'ouvrage " ....fin de communication ....
C'était pour moi un coup dans l'eau , un stratagème de m.....

L'après midi se passa , j'avais entrepris autre chose pour oublier mes idées de conquérant , lorsque mon portable se met à vibrer et sonner , stupéfaction , la voix de la coiffeuse qui fuse et j'entends " venez vers 19h10 après la fermeture , nous chercherons tout de même , on ne sait jamais , il peut avoir glisser sous quelque chose , ou simplement dans une touffe de cheveux que je balaie !! et elle raccroche .

A l'heure indiquée , je pris le chemin du salon , avec le fameux coeur que j'avais pris soin emmener pour feindre de le retrouver , et de surtout pas passer pour un "con" ....
Les stores de la vitrine du salon étaient baissés , je toquais donc à la porte , elle m'ouvrit et me précisa qu'elle cherchait cela uniquement pour la t'iote .
Nous retournâmes les endroits où j'avais pu être présent mais au bout de 20 minutes , je décidais d'envoyer discrètement le petit coeur sous le comptoir et le laisser dépasser légèrement ... "cela y est ' m'écriais je , " mais je n'arrive pas à le saisir avec mes doigts maladroits "..de cette situation , nous nous retrouvâmes à genoux face à face , nos chevelures se touchaient . Elle saisit l'objet en question et en tournant la tête pour la relever , elle tomba sur mes lèvres que j'avais pris soin de placer, en inclinant la tête dans sa direction .Un baiser fougueux s'en suivi , je plaçais une main sur sa poitrine et lui palpais un sein au passage . Sitôt nos langues décroisées , elle m'affirma qu'elle ne désirait pas d'ennuis , qu'elle était mariée , et que la situation allait en rester là .
Je la saluais donc , et regagna mon domicile, en pensant que je ne pouvais pas gagner à tous les coups .

Une dizaine de jours plus tard , un mardi aprem , je reçois un texto: "J'aurai à vous causer, si nous pourrions nous rencontrer après la fermeture " signé Steph , ma réponse "OK"

19h00 , je partais en direction du salon à pied , ce dernier se trouvant à quelques rues de chez moi, en me demandant toujours ce qu'elle avait à me raconter et imaginant aussi qu'elle allait se jeter dans mes bras , bref le film se déroulait .....

J'arrive près de la vitrine , les stores étaient baissés , la porte s'ouvre , et j'entends "bonsoir , je pensais que vous auriez décliné l'invitation " , "tout de même" répondis je !!!!
Ainsi j'entrais dans le salon , elle m'invita à prendre place sur les fauteuils d'attente pour discuter , elle était vêtue d'une jupe noire mi genoux , d'un corsage presque transparent qui lui pigeonnait les seins du même genre que les robes des bavaroises !!! rien que cela me troublait .

Elle commerça par me redire la même chose de ce qu'elle m'avait confié après le baiser , là je redescendais de mon nuage , même devant ce galbe de seins qui me narguaient les yeux et surtout les mains .
Elle profita pour me raconter ses tracas de couple , que depuis le départ de son fils , elle vit presque tous les jours dans les prises de tête et patati, patata .... 20 minutes ainsi , elle voyait bien qu'elle me saoulait avec ses contes , je m'étais levé pour mettre fin à la conversation quand elle m'adressa " je vous aurai bien offert un verre , mais je n'ai que de l'eau ici " , je saisissais donc l'occasion pour en placer une , "nous pouvons aller en prendre un , mais je n'ai pas ma voiture " , "et bien ce sera avec plaisir , je vous emmène si ne craignez pas les femmes qui conduisent ".

Sitôt dit , sitôt assis dans sa voiture , un 4x4 , plutôt un tout chemin ....nous roulons quelques kilomètres opposés de la ville où elle réside , elle n'habite pas au salon non plus , cela se comprend , nous prenons place dans une brasserie , dans un petit coin à l'abri des regards , on ne sait jamais , une de ses connaissances pourrait l'apercevoir .
Nous décidons de prendre l'apéro ....et elle recommence à discuter sur sa vie .....
Après avoir épongé le premier verre , je lui propose un deuxième en prétextant que chez nous , on marche sur deux jambes , cela évite d'être bancal et cette phrase provoque chez elle , un fou rire .
De là , nous discutons de choses et d'autres mais plus de sa misère de couple , ainsi voyant l'heure tournée , je suggère de la retenir pour partager ma table puisque nous nous trouvons dans une brasserie nommée "les trois brasseurs ", une enseigne Nordiste .....

Nous nous restaurons , plat, dessert ,café et nous discutons ensemble sans trouver le moindre blanc si bien que nous sommes surpris lorsque nous regardons la pendule , 22h45 ....., nous décidons de lever l'ancre , et regagnons son 4x4 ....merci et encore merci pour cette soirée me lance t'elle avec un sourire radieux éclairé par les reflets des lampadaires du parking , "de rien " répondis je .
Comme toute bonne conductrice et passager, ceinture de sécurité oblige , nous nous attachons et avec le manque de lumière ,cherchons un peu notre attache respective le long du siège , nos têtes se cognent , je profite de ce cafouillage pour l'embrasser , action qu'elle ne décline absolument pas , puisque ses mains viennent se serrer autour de mon visage . Nos langues se croisent et se recroisent , baiser interminable , pendant ce temps , ma main droite caressait ses cuisses au dessus de sa jupe , là non plus , il n' y avait aucune résistance .

A force , de s'embrasser à répétition , mes mains étaient passée sous sa jupe et caressaient sa vulve au dessus de son string , je sentais une légère humidité à travers du tissus , elle écartait les fesses avec des petits râles que je percevais malgré nos bouches collées , je conclus qu'il était temps de glisser un doigt sous l'élastique et je posais le doigt sur ses lèvres vaginales . Le rythme des râles s'accéléra , je poussais le doigt pour rejoindre son clitoris et à peine touché , je percevais une mouille de plus en plus importante . Elle jouissait déjà , elle avait gardé ses mains sur mon visage sans les bouger , "que c'est bon " me dit elle , elle désirait aller plus loin , mais faire l'amour sur un parking , y a pas mal de chance de se faire ramasser par les bleus qui tournent toutes les demi heures , je suggérais de continuer ce doux plaisir à l'hôtel que l'on apercevait de notre stationnement ....elle mit en route et se dirigea vers notre futur nid momentané , les Vous s'étaient transformés en Tu , et sa main droite posée sur ma cuisse gauche en la caressant du haut vers le centre ....

En deux temps ,trois mouvements , nous récupérions la clé de notre chambre par le biais de la borne C.B. au devant de l'entrée de l'hôtel , et à peine avions nous franchi la porte de notre cellule , elle se jeta à nouveau sur mes lèvres , me caressant le sexe au travers du pantalon , je passais la main droite sous son corsage pour rejoindre caresser ses seins d'un ferme qu'il est rare d'en trouver des pareils .
De la position debout , nous nous laissions tomber sur le lit , et nous commencions à se déshabiller , moi je lui enlevais le haut , j'étais subjugué à découvrir cette belle paire de miches que je malaxais depuis mon entrée dans la chambre , elle , était affairée à mon pantalon pour sortir ma bite et l'avaler .... J'étais aux anges , elle aspirait , jouait à me passer la langue sur le bout du gland , je bandais comme un ours , je laissais faire ....

Malgré qu'elle me suçait avec volupté, je faisais glisser robe et string , et commençais à masser avec ma langue , son clito qui sortait distinctement de sa chatte velue d'un gazon taillé court à la perfection , elle bougeait avec des spasmes nerveux son bassin , et je constatais, qu'elle jouissait encore , elle abandonnant la succion de ma queue et commença à la masturber en demanda "prends moi" ....., je ne m'y fis pas prier , je l'introduisais et commença un va vient avec douceur , je sentais du liquide me couler sur les couilles , elle jouissait toujours . "Défonces moi" me lance t'elle , les fesses écartées au max , je la pilonnais du mieux que je pouvais à grands coups de buttoirs . Elle avait toujours faim , elle me réclama une levrette , je m'exécutais , la prenant par les hanches , je la pénétrais avec ardeur ayant les yeux rivetés sur sa croupe bien en chair et ses gros nichons pendouillant . Je sentais que la messe était dite , mon bout de gland enflait pour lâcher la purée , elle se retira vivement pour m'interpeller "j'en veux encore !!! viens sur moi !!! " je me demandais comment j'allais bien pouvoir tenir encore un round , je ne suis pas un étalon de course .

Je me mis à la chevaucher et la perçais de nouveau , je n'arrivais plus à sentir les bords charnus de sa chatte tellement elle était liquéfiée , je me cramponnais à ses énormes seins à l'auréole assez large surmonté d'un épais tétons que je suçais de temps à autre ." J'ai une dernière requête à te demander" me fit elle " mets toi sur le dos et laisses toi faire " , j'avais presque compris qu'elle voulait mettre fin à mon envie de résister .
Sur le dos , la bite dressée comme un cierge , elle y déposa ses énormes seins autour et commença à me masturber ainsi , plusieurs gouttes de liquide séminal firent leur apparition , dans un état second , à croire que cela l'avait excitée , elle me pompa en me palpant les couilles , ne pouvant plus tenir , je lâchais le jus avec un râle tel un cerf en rut .....!!!
Le sperme dégoulinant de sa bouche , elle s'enduisait la poitrine avec ses mains qu'elle laissait aller jusque son sexe , elle finissait ainsi son plaisir .

Elle s'éclipsa dans la salle de bains à deux pas du lit , j'entendis l'eau couler et 5 mns plus tard , elle revenait perlée de gouttes, la bouche fraîche , elle m'embrassa longuement , se colla le corps contre le mien et entama une conversation plus réaliste que nous avions eu à son salon .
"je suis bien avec toi" me lance t'elle ," j'espère qu'il y aura une suite en nous " rajoute t'elle . Surpris par ces mots , je lui fais savoir qu'elle m'avait dit le contraire 4h00 avant , et au fil de la conversation , je compris qu'elle vivait encore sous le même toit que son mari , mais qu'il n'y avait plus aucune relation depuis deux mois ainsi la situation du divorce avait été décidé entre eux .
"Tu sais , je vis seul depuis mon divorce , je suis libre et je veux y rester " lui répondis je , "j'aime changer de partenaire , mais on peut continuer à se voir" lui rajoutais je , elle n'était pas contre cet argument .

En poursuivant la discussion , nous avons évoqué nos fantasmes , histoire de rire et je lui ai avoué que j'aimerai me trouver en situation avec deux femmes ....la partouze , non merci ...je suis un vrai hétéro et voir un mec bander me découragerait dans la besogne ....y en a ainsi , j'en fais parti .....!!!
"Cela pourrait être un bon plan " me fait elle en rajoutant que son fantasme à elle , serait de jouir comme une femme fontaine ...entre nous , je cherchais une meuf pour expérience , cela tombe parfaitement et je me garde bien de lui faire savoir ...

Toujours collés à l'un , l'autre , je voyais bien une de ses mains ,venir me tripoter la bite , mais avec l'âge , il me faut un chargeur rapide pour regonfler les bouteilles !!! j'essayais à nouveau de me concentrer sur sa devanture , ses gros seins ....au bout d'une bonne trentaine de minutes à tripoter la masse , palper son arrière train en passant effleurer les lèvres de sa vulve , mon braquemard se mit en érection , aussitôt je la grimpais , et la burinais de nouveau avec des "mets moi en encore " .... , à force de la trousser j'éjaculais au bout de 10 mns , épuisé comme un gardon sur la berge qui vient de lutter contre une ligne de pêcheur .

Il était près de deux heures , j'avais sommeil , elle ne désirait pas dormir là , pas de change pour la pépette le lendemain !! Nous quittions l'hôtel , pour regagner le salon , lieu pour ma dépose .
Le lendemain aucun contact , pas de nouvelle pendant plus de trois semaines , et un texto de la Steph : "si tu veux que l'on se voit , 19h10 ce soir à la fermeture " , je renvoie OK la tête déjà entre ses deux fesses ....hummm !
J'étais plutôt excité à l'idée de la revoir , un bon coup ne s'oublie pas ...et à l'heure indiquée , je fis route vers le salon ...

A mon arrivée , pas le temps de toquer à la porte , elle s'ouvre , et Steph me fait un bécot , j'en profite pour lui faire une petite tape sur son séant et de l'autre main de lui lever un sein , pour prendre la température !!!!

Les stores tirés contre la vitrine rendent l'invisibilité dans le salon , je m'avance pour saisir la belle dans les bras et à ce moment précis , "écoutes bien , j'ai quelque chose à te demander " , et elle m'explique que pendant la conversation que nous avons eu à l'hôtel , je lui avais confié que j'aimais changer de partenaire .
Elle poursuivit en m'indiquant qu'elle avait coiffé au matin une cliente fidèle au salon , cette dernière lui aurait confié qu'elle cherchait quelqu'un de sérieux . "Hop , hop " lui fais je , je ne veux pas me caser !!!
"Mais non !!" répondit elle , " je pense avoir compris , qu'elle aimerait bien se faire basculer par quelqu'un de correct " me rétorque t'elle en rajouta " Alors" ?

J'étais plutôt dans l'embarras, " je ne suis pas l'abbé Pierre du sexe !!!!" ,
"Je vais te la présenter , tu me diras quoi !! " lance t'elle .....aussitôt elle décroche le combiné téléphone , compose et j'entends "allo , Nicole !!! c'est Steph , c'est toujours d'accord pour rencontrer quelqu'un de sérieux ? " je ne sais pas la réponse , mais toujours est il que Steph me fait " si tu es venu à pieds , retournes chercher ta voiture , tu me suivras " .
Pas tout à fait ok , je m'exécute , de toute façon il me reste le non si cela ne me convenait pas .

15 mns plus tard , j'embrayais derrière le 4x4 de Steph , elle connaissait l'adresse celle ci se trouve dans le fin fond de mon village , où j'emprunte le chemin du bout qui donne dans les champs pour m'y éclater en quad .
Rendu sur les lieux , nous traversons une assez longue allée au milieu d'un jardin et d'une pelouse , avant d'arriver devant la porte d'entrée . Cette dernière s'ouvra , Steph entra la première et fit les présentations , coco620 , Nicole ...
J'avais plus envie de tourner les talons que de rester , bref la maîtresse de maison , brune , le mètre 70 , était affublée d'un legging noir plus ou moins fin et d'une jupette d'une trentaine de centimètres de long , et d'une espèce de sous pull col en V fortement échancré qui donnait vue sur deux énormes seins .

Elle nous invita à nous assoir , Steph réexpliqua le pourquoi de notre venue , Nicole nous servit un pétillant en continuant de discuter avec la coiffeuse . La situation me déplaisait , je regardais les bulles du pétillant qui s'échappaient , je n'allais pas tarder à faire pareil lorsque Steph m'interrogea : "comment vois tu la chose " un bof de ma part congela l'atmosphère .
Les deux femmes se mirent à causer ensemble , si bien qu'une fois les verres vident nous prîmes congé de la maîtresse de maison .
Par politesse , elle nous raccompagna sur le pas de porte , Steph en profita pour annoncer qu'elle était obligée de se sauver pour un repas chez son fils . J'emboîtais son pas lorsque j'entendis Nicole qui m'adressait un S'il Vous Plait !!!!

"J"ai quelque chose de personnel à vous demandez " , "allez y" répondis je à une dizaine de mètres de l'entrée , "mais cela ne regarde personne" me répond elle , en m'indiquant que nous étions dehors , j'avançais donc en direction du pas de porte , elle me réinvita à entrer et me posa cette question : "suis je aussi moche que cela pour avoir répondu Bof tout à l'heure ? , répondez moi franchement !!"
Moi qui n'aime pas me justifier , je ne pouvais me défiler ...., je commençais donc à m'expliquer : "non , ce n'est pas cela , c'est votre habillement qui m'a choqué " , je désirais poursuivre lorsqu'elle réitéra le désir que je m'assois de nouveau et d'accepter un deuxième verre , j'acceptais , je ne désirais pas la traumatiser , et être submergé de la question : et pourquoi .
Je repris donc mon explication en lui disant que le legging avec la jupette était plutôt fait pour une jeune personne mais pas pour une femme de 54 ans .Je ne suis pas vieux jeu ,mais tout de même , chaque chose à sa place et à son temps .

Elle me prit au mot , s'excusa de sa brève absence, me laissant siroter le pétillant pendant 3 ou 4 mns . Elle revint vêtie d'une jupe droite bleu foncé, avec le même haut , cela l'avait totalement transformée . "Vous préférez ainsi "me lance t'elle , je lui fais part de mon affirmation .
Elle s'assoit sur le côté de la table , j'étais positionné à un bout , et croise les jambes en saisissant sa coupe , je pouvais distingué ses intérieurs de hauts de cuisses , cela provoquait en moi une gène , mais mes yeux étaient attirés comme des aimants .

Elle s'était aperçu de mon voyeurisme , puisqu'elle décroisa ses jambes , montra au passage qu'elle avait aussi tombé son dessous . C'est que le braquemard commençait à lever et former une déformation de la braguette !!!
Pendant ce temps la conversation avait évolué , j'apprenais qu'elle avait porter un veuvage durant six ans et que depuis elle n'avait pas vu de loup !!!!
Même en discutant , mes yeux louchaient sous sa jupe , et plus je fixais , plus elle faisait exprès d'écarter les cuisses d'une lenteur extravagante , si bien que j'avais du mal à apercevoir son abricot .

"Vous savez qu'il a longtemps que je n'ai pas vu un homme en érection " me fit elle , je ne savais quoi répondre , je cherchais mes mots , et elle ajoute : " je dis cela parce que je distingue bien que votre braguette a doublé de volume " ..... j'étais sur le cul !!!! il me fallait répondre ....

"lorsque l'on aperçoit une craquette sous une jupe , on est forcé de bander " ...et je tends le doigts vers ses cuisses pour lui signifier .... "Faut pas regarder " me dit elle ...et ajouta , "j'aimerai vous sucer" , je dézipais mon froc , abaissant mon boxer , elle engloutissait ma bite en une seule goulée , et s'introduisit un de ses doigts dans la chatte !!!!! " je n'en peux plus d'attendre " me criait elle , "j'ai envie d'un mec , depuis longtemps " ....elle me suça le jonc pendant 5 bonnes minutes , se retira et s'allongea sur la table et s'empala . Elle bougeait seule , je n'avais qu'à me tenir debout la bite raide .....d'ailleurs je ne faisais aucun effort , juste faire gicler ses énormes seins surmontés de têton , aussi raide qu'un crayon ....
Elle était déchaînée , avec des "laisses moi voir ta queue , ça fait si longtemps " ,elle se remit à me pomper .

15, 20 minutes de sport sexuel , elle se mit à gémir !!! elle jouissait de 6 ans d'abstinence , je l'accompagnais ,et j'envoyais mes jets de sperme sur ses gros seins .
Pour moi ,cela représentait qu'une partie de cul , aucune tendresse , aucun baiser ne fut échanger .Nous nous quittâmes , elle le crincrin remonté et moi les couilles vidées .

La semaine suivante , nouveau texto de la coiffeuse , "tu peux passer stp " ok lui renvoyais je .
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Un second texto arrive aussi vite que mon O.K. "prends ta voiture " , à l'heure de la fermeture , je me pointe au salon , les stores de la vitrine tirés , je pousse la porte , elle n'était pas seule , " bonsoir , je termine avec Madame , encore 10 mns , tu peux rejoindre les fauteuils d'attente ".

Je m'assois , et le balai de jambes commencent à défiler devant les yeux , Steph était habillée d'une jupe noire , ouvert d'une dizaine de cms par l'arrière , chemisier rosé transparent qui laissait la vue par l'avant sur un élégant soutien gorge rosé également bordé de dentelle blanche . Humm , de quoi ne pas rester inflexible sur ce beau monde .
"Je pense que tu pourrais t'entendre avec madame" me lance t'elle , "le pourquoi" fuse de ma part ," madame à le même fantasme que le tien ".... "c'est à dire ?" répliquais je , "celui de faire l'amour avec deux femmes et un homme " !!

Pris à froid ainsi , je ne trouvais plus les mots , un alzheimer soudain !!!!
"Faut voir , tous les partenaires doivent se plaire et se connaître dans un premier temps " annonçais je , Steph terminait un brushing couleur rouge cuivre , je voyais aisément le visage de la dame en reflet de la glace , plutôt pas mal , je lui donnais une bonne cinquante d'année .
Dernier coup de peigne donné sur fond de laque , la dame se lève , steph lui enlève le tablier "à peinture " et je découvre qu'assis , elle paressait mieux faite . Sa jupe assez courte laissait découvrir des fesses trop volumineuses et son corsage flottait sur une paire de seins un peu plus gros qu'une mandarine .

Je m'enfonçais donc dans mon fauteuil , regardais ailleurs et me taisais . La cliente paya et partit sans vouloir aborder le moindre sujet , je pense qu'elle avait capté mon choix sur son éventuel fantasme .
Steph faisait la dance du balai pour nettoyer la place à prendre pour le lendemain matin .
"Ne me refais plus ce coup là stp avec un sac " lui dis je , "pas ma faute , nous parlions de sexe avec que tu ne rentres " .
Et elle ajoute " J'ai faim , où puis je t'inviter pour me faire pardonner" " à Holliday Inn " je rétorque aussi vite ....., "tu as une idée derrière la tête toi " me fait elle !!je haussais les épaules en annonçant "Buffalo " si tu veux .....

L'un comme l'autre sont situés dans la même ville à peu de distance ....Je suivais Steph sur la route , elle devait avoir choisi l'endroit de sa table , nous entrâmes par un joli jardin d'ornement balisé par des bornes lumineuses , les places de stationnement étaient marquées par des pavés creux engazonnés et taillés number one !!! Nous étions à Holliday Inn . Je lui ouvrais la porte d'entrée, digne d'un prince à une princesse !!!!
"J'ai retenu une table au nom de Stephanie , il y a 20 mns " annonce t'elle à la dame de l'accueil , elle avait dû bigophoner en roulant . Placés nous nous assoyions , l'apéro choisi , nous dégustons des bulles ...., et aussitôt elle enchaîna " la semaine dernière avec Nicole , je n'ai pas eu de nouvelle " , je n'avais aucune raison de mentir ou de cacher quoique ce soit , je me mettais donc à raconter mes exploits , en chuchotant !!!!

"Heureusement que tu étais réticent au départ !!, qu'est ce que cela aurait donné si tu y avais mis du tien " me dit elle en souriant .... "le principal est de trouver son compte "
Le repas arrivait , nous mangions en face à face , une vue non désagréable sur une paire miches soutenues dans la dentelle affligeait mes yeux . Le dessert suivait et s'ouvrait sur le café . Nous discutions de choses et d'autres , beaucoup basées sur l'évolution de notre relation .
Nous nous levâmes , "c'est pour moi !!! me chuchote t'elle , en s'avancant à l'accueil , elle introduisait sa C.B. , la dame de l'accueil lui remettais le reçu , je m'apprêtais à lui ouvrir la porte lorsque Steph me fit un non avec le doigt de sa main , s'en suivit la direction de son index me montrant une tout autre sortie . J'ai saisi immédiatement que j'étais réquisitionné jusqu'au petit matin !!!!

Une porte dérobée donnait sur l'escalier menant aux chambres , Steph me tenant par la main composa le code d'accès , nous entrâmes dans la pièce pourvue d'un lit grandiose , un éclairage fort et tamisé , d'une salle de bains et d'armoires .
A peine , franchis le seuil , elle m'embrassait goulûment , m'entourant la jambe de la sienne . "j'ai envie de toi chéri" me lance t'elle , et joignant le geste à la parole , me baisse le froc ainsi que le boxer pour se saisir de ma queue et l'engloutir ... , debout , la tenant par sa chevelure blonde méchée , je la laissais faire , tantôt elle jouait avec sa langue sur le bout du gland , tantôt elle l'avait en fond de gorge . Elle en voulait la coquine ...

5 ou 6 mns plus tard , elle se relevait , fit sauter son chemisier , son sous tif pour donner vue à deux énormes seins bien fermes comme je les aime , désagrafa sa jupe , fit glisser son string rosé assorti au haut qu'elle portait , pour me faire profiter de son clitoris émergeant largement de sa toison d'or . Je le titillais , j'y déposais le bout de ma langue en le mordillant gentiment par saccades , j'enfonçais mon majeur droit dans sa chatte humide d'envie , elle gémissait avec des " n'arrêtes pas " "continues"..., elle se pinçait les lèvres avec les dents , ses yeux brillaient , sa respiration s'accélérait , elle jouissait ....

Toujours à genoux , le fûte en bas des jambes , je me déshabillais à mon tour , je l'étendais sur le lit , m'étalant sur elle , nos bouches se soudèrent dans un très long baiser , mon sexe pénétrait sans mal le sien , j'entrepris un va et vient lent , elle suffoquait de plaisir dans la douceur . Sentant la vapeur monter à mon tour , je me retirais , d'un geste doux, la retournais ,et l'introduisais en levrette . Je changeais le rythme , au lieu de la lenteur , je lui assénais de grands coups de bite dans la chatte , claquant à chaque fois mes couilles sur ses fesses rebondissantes , quel pied !!! quel plaisir !!!

A force de limer derrière , la purée était sur le point de sortir , je m'extrayais rapidement et me coucha sur le dos à côté d'elle comme un combattant qui abandonne ses armes , mais la coiffeuse avait faim , elle me l'avait bien dit avant de m'inviter !!!! me voyant ainsi , la queue toujours bien raide , elle s'empala dessus me tenant les mains , ses miches allaient de haut en bas , j'étais au premier rang de ce spectacle , elle montait et descendait seule , je ne faisais que lui prêter le bâton de berger , de temps à autre , elle stoppait pour me caresser les deux orphelines en me passant une main sous mon arrière train . J'étais plus qu'aux anges , peut être au paradis !!!

Elle descendit de sa monture , sans aucune hésitation , elle m'avala le jonc , me pompa , jusqu'à ma profonde libération , elle aimait se faire cracher dans la bouche , c'était une cochonne cachée , je pense !!!! elle dégorgea aussitôt sur mes fesses et se frotta les têtons dessus . Figés ainsi trois bonnes minutes , elle se dirigea vers la salle de bain, j'en fis autant dès qu'elle en sortit .
Blottis l'un contre l'autre sous les draps , nos langues se réunirent pour un profond baiser avant de s'endormir .
Le lendemain matin , déjeuner pris sur le pouce en salle commune du resto , nous rejoignâmes , elle son salon , moi mon chez moi !!

quelques jours plus tard , un texto : " j'ai quelque chose à te proposer " ," Ok ma grande" je viens

Comme promis , je tenais parole , j'arrivais comme d'habitude à la l'heure de la fermeture , "assieds toi , j'ai quelque chose à te suggérer " , ne me faisant pas prier , je pris place dans les fauteuils d'attente et sans attendre elle commença pour étayer sa proposition :
" tu sais , voilà plusieurs fois que nous flirtons ensemble , il serait bon que cela devienne sérieux " , je l'arrêtais aussitôt , lui rappela que je n'étais pas l'oiseau que l'on mettait en cage , que je ne jouais pas avec les sentiments donc qu'il fallait mieux qu'elle ne se fasse pas de film à propos de ce sujet .

Je m'aperçus que la tristesse l'envahissait , et pour me convaincre du contraire , elle se faisait câline , amoureuse , s'était assise à côté de moi , sa main gauche me caressait ma cuisse gauche , de sa droite , elle s'occupait de mon dos , ses lèvres me titillaient les miennes , jusqu'à descendre dans le cou .
Il est vrai qu'il est dur de résister devant autant de tentation, mais là j'étais obligé d'être inflexible par rapport à son souhait . Pour détendre l'atmosphère , je proposais d'aller prendre un verre au piano bar situé à quelques kilomètres de là .

Pendant le trajet , le silence régnait , il se faisait lourd , j'entrepris donc de poser ma main gauche sur sa fesse droite au dessus de son jeans , elle conduisait , mais lorsque je désirais glisser vers son sexe , elle esquiva en se serrant sur sa portière . Pour ne pas montrer ma frustration , je posais ma tête sur son épaule droite , une larme coulait sur son visage .
Première fois que je voyais autant d'émotions que je pouvais provoquer chez une femme .

Arrivés à destination , stationnement sur une place pavée , le piano bar se trouvait à quelques pas de là . Assis dans un sofa rouge deux places devant un guéridon , nous dégustions nos bulles en écoutant le son qui sortait du piano , cela nous transportait loin de sa proposition , je dirai même que la musique nous avait rapprochés , nous nous étions blottis l'un contre l'autre , je la tenais autour de sa taille . Le pianiste jouait les morceaux que les gens demandaient , pour ne pas faire d'impair , il s'adressait à une table , puis à l'autre en ainsi de suite lorsque vint notre tour , Steph murmura "les amoureux de Joe Dassin " .... , Pendant l'interprétation du morceau , elle ne put s'empêcher de m'embrasser longuement et tendrement .

Vingt deux heures trente sonnant , la faim commençait à nous tirailler mais les restaurants ouverts se font rares à cette heure tardive !!!! "je connais une crêperie , si nous pressons le pas , je pense que la porte ne sera pas fermée" lui dis je , main dans la main nous ajustons nos enjambées en faisant attention de ne pas se tordre les chevilles sur les pavés , le centre ville est constitué ainsi !!! , et franchissons l'entrée où l'odeur agréable et alléchante se fit . Nous étions essoufflés , la serveuse nous indiquait que nous avions tout notre temps , que le vendredi la fermeture se situait à une heure avancée .

Comme deux tourtereaux , nous nous placions côte à côte , et pour attendre notre commande , nous partagions bulles et baisers . Nos plats respectifs arrivaient , nous nous jetâmes sur nos assiettes comme si nous n'avions pas mangé depuis six mois , succulent le garnissage des crêpes aux cèpes !!! Steph ne se privait pas pour venir picorer dans mon auge . Repus par l'abondance des plats ,desserts , nous nous sentions un peu lourd et pour favoriser la digestion , je proposai de flâner dans la ville éclairée par ses vitrines et candélabres .
Nous nous tenions , une fois bras dessus ,bras dessous , par la main , par nos tailles , nous arrêtions pour nous embrasser , nous entrelacer , nous serrer fortement si bien que je sentais ses tétons au travers de mon pull .

La fraicheur étant présente , nous décidâmes de rejoindre son 4x4 , il restait très peu de véhicules en stationnement sur la place , il se faisait tard . Assise au volant , elle me remercia de cette soirée , se pencha sur moi , m'embrassa et me chuchota qu'elle ne désirait pas rentrer pour dormir seule . Connaissant la ville , je n'eus pas de mal à trouver un hôtel avec distributeur de clef à l'entrée .

Elle était pressée de se retrouver en milieu clos , pour éviter tout regard extérieur . Cela ne fût qu'une question de minutes . Elle refermait la porte de la chambre en poussant un grand "ouf je peux respirer" , elle enlevait sa veste de laine rouge , se déboutonnait le jeans , laissant apparaître la ceinture de son brésilien borduré de dentelle ,s'accrochant à mon cou en m'asphyxiant de baisers à ne plus reprendre son souffle .
"je sais que je vais te perdre " me lance t'elle , "mais j'ai envie que tu me fasses l'amour" rajoute t'elle .

Debout en face d'elle , lèvres contre lèvres , ma main droite descendit dans son jeans ouvert , lui caressant au passage le sexe au travers de son brésilien , fit tomber son futal , et je m'agenouillais en lui baissant sa dentelle , ma langue rejoignit son clitoris turgescent qui sortait du haut de sa chatte , je le titillais , mordillais , elle mouillait , j'enfonçais de temps en temps le bout ma langue dans son orifice vulvaire , elle commençait à haleter , elle me tenait la tête de peur sans doute que je mette fin à ce délicieux supplice .
Je me redressais , de la main gauche je faisais jaillir ses gros seins fermes , de ma droite , je prenais le relai de ma langue sur son clito , je le malaxais de plus en plus fort , avec un doigt qui lui caressait l'intérieur du vagin , elle se pâma un instant , puis jouit bruyamment , elle trépignait des pieds , elle mouillait jusqu'à s'en mettre plein l'intérieur des cuisses .

Un long baiser s'en suivit , elle enleva son chemisier , dégrafa son sous tif relevé au dessus de sa poitrine , elle était nue , je bandais avec toute cette excitation . Je me déshabillais à mon tour , la queue bien raide , elle s'en saisit , l'avala , suçait le bâton comme une folle , me massait les couilles par la même occasion .
Je la poussais , dos au lit , lui écartais les cuisses pour la pénétrer , elle était ruisselante à l'intérieur , mes va et vient commencèrent , je ne sentais absolument rien . Je dus arrêter en si bon chemin . Elle profita pour visiter la salle de bains , elle revint toute fraîche .

La chatte moins dilatée , je m'introduisais cette fois ci en profitant de ses parois masturbantes , lui mordillant les tétons , elle recommençait à geindre , soit qu'elle en avait envie , soit que je lui faisais vraiment effet !! (mdr)
Je me retirais , je me dressais au niveau de sa poitrine , et descendis mon gland entre ses seins , elle soulevait la tête pour atteindre ma bite du bout de sa langue , un jeu passionnant .

Pour la libérer de mon emprise faites par mes genoux au niveau de sa poitrine , je m'enlevais et me coucha sur le côté , elle en fit de même , collant son fessier contre ma queue , je comprenais que je devais la trousser par l'arrière , saisissant mon gland , je lui plantais ce dernier entre les lèvres charnues de sa chatte et je lui assénais de violents coups de bite qui lui procuraient un deuxième orgasme . Je fus tremper , surpris , cela stoppa mon envie . Elle s'en excusa , et prit le dard en le masturbant doucement , passant sa langue sur le bout quelques fois , en laissant sa joue contre mon ventre . La sensation était trop forte , un jet de sperme apparut , elle plaça ses gros seins dessous tout en continuant son va et vient de sa main , le reste de la purée ne se fit pas attendre , elle me tenait le jonc pour s'arroser les miches . "je préfère avoir le jus sur moi qu'en moi " me fit elle avant de se lever et prendre sa douche .

Je ne pouvais la rejoindre , la place est trop exiguë dans les sanitaires d'hôtels , j'attendais donc mon tour .
Couchés sous les draps , entrelacés , elle n'arrêtait de me caresser les couilles , la bite , elle devait encore en vouloir , mais pas moi, j'étais plutôt rincé , je ne suis pas un perdreau de l'année , il me faut un certain temps pour recharger , le même temps qu'il faut pour refroidir le fût du canon dans le sketch de Fernand Reynaud .
Serrés l'un contre l'autre , baisers ,bisous, caresses nous nous endormions .

Le lendemain , elle me reconduisait discrètement à l'approche de mon domicile , elle , prenait le chemin du sien pour se changer , " peut être à un de ces jours" me confit elle .

Bonjour Coco620,

tu as de beaux récits très exitants....

Tu pourrais écrire un livre.... Tu as vécu de belle chose...

J'ai pris plaisir à te lire...

Au plaisir,

Bises Nuange.

Bonjour Coco620 ou dois-je dire l'homme le plus chanceux de France

Tu as vécu de superbe aventures, toutes aussi surprenantes les unes que les autres et surtout toutes très excitantes à lire alors j'imagine pour toi le plaisir que ça du être.

Au plaisir de te lire.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/03/20 11:14 par Heterocurieux33000.

Je tiens à vous remercier toutes et tous pour vos messages publics ou M.P. ....

Je suis loin d'être l'homme le plus chanceux de France , simplement que je suis célibataire , je n'ai pas "bobonne" qui vient me demander des comptes ,je consacre autant de temps qu'il me faut pour telle ou telle distraction , cela est pareil pour mon plaisir intime ...

Par contre , j'assume seul l'entretien de ma maison , intérieur ,extérieur , ma bouffe , mon linge, mon repassage etc ...toute les tâches que "bobonne" fait et ce n'est n'est pas moindre ....elles bossent , croyez moi !!! malgré les dire de certains machos ..., les gros bras qui sans eux les maisons coucheraient dehors !!!

Ce que je narre , c'est la partie positive qui m'a plu mais j'ai ramassé plus de râteaux que de conquêtes !!!!en j'en ramasserai encore ...!!!! malgré cela , je chasse toujours où je me trouve ...

Un vrai plaisir de lire toutes ces aventures ! Merci.

Merci beaucoup , toutes mes aventures ne sont malheureusement pas regroupées , il y a ici et là...

Bonne lecture
coco620

Hélène et Cécile
Thursday 12 March 2020 00:17
coco620
Homme, 60 ans, France, Limousin
Membre depuis : 4 ans
Messages: 94
Tous mes récits sont des faits réels et vécus , sauf les patronymes de mes intervenantes sont changés ou véridiques , ainsi l'anonymat est bien gardé .

Un après midi de Juillet 2019 , Hélène ,ma voisine 66 ans , 200 m nous séparent , avait pour habitude de passer de temps à autre pour se faire remonter le crincrin , bref , elle n'était pas venue dans cet esprit , et m'interpelle alors que j'étais jonché sur une échelle pour changer une gouttière .

"hé coco620 !! , j'ai quelque chose de particulier à te demander " !!
Aussitôt , pour moi , il ne pouvait s'agir que de lui filer un coup de main pour un bricolage quelconque ... Je descends quatre à quatre et comme d'hab, la bise , une tape sur les fesses avec un "ALORS"

"J'aimerai que tu arranges ma soeur Cécile au moins une fois , cela fait maintenant un an que nous baisons ensemble et ... "
Faut dire , je l'ai déjà cité dans une précédente histoire , que Cécile 58 ans est du genre costaude , voire même obèse , 120 ou 130 kgs , et ce type de femme n'est pas du tout ma tasse de thé .
Je hoche donc la tête pour annoncer le non ....voici Hélène qui s'en retourne comme elle est venue , en courant d'air . , une demie heure plus tard , je la vois revenir et recommence à me baragouiner la même demande mais cette fois ci en me montrant des photos prises à l'insu de sa soeur entrain de se masturber dans divers lieux de leur maison puisqu'elles habitent sous le même toit, en ajoutant ceci "fais quelque chose , elle n'a pas été introduite depuis plus de dix ans , et je te propose même de participer également " .

Pour me faire changer d'avis , elle glissait sa main entre mes fesses , pour me masser les testicules et ainsi s'apercevant tout de suite de la réaction dans mon jeans coupé , mais malgré ce petit encas délicieux , je lui faisais savoir qu'il était hors de question que je puisse mettre un coup à sa soeur . Déçue, elle s'éloignait , me lançant une invitation d'un barbecue le soir .

19h30 arrivant , je me rendais à l'invitation , j'entrais chez les filles comme chez moi , ce n'était pas la première que je franchissais leur porte . Aussitôt arrivé , je m'installais à table sur leur terrasse jouxtant la pelouse où était installé le barbecue déjà enflammé .

Le premier verre de bienvenue ,l' apéro, fut immédiatement servi dès que je me suis installé , Hélène était vêtue d'un léger corsage vert clair qui laissait apparaître le galbe de ses seins , et une frêle jupe d'un vert plus foncé que le haut , tandis que sa soeur Cécile , jogging noir assez large et tee shirt blanc couvrant d'énormes nibards tombants , ce qui ne donnait aucune envie d'aller jouer avec .
La conversation se dirigea sur celui ci et celle là qui résidaient dans le hameau , mais vite à bout de souffle , il n'y a qu'une quinzaine de maisons ...et toutes , ne sont pas habitées par leurs propriétaires toute l'année .....

Bref , le deuxième , le troisième , le quatrième verre maison se succédèrent , si bien que les fous rire fusaient pour n'importe quoi ...puis fut venu de faire cuire ...j'étais cordialement invité à m'occuper du barbecue , Hélène profitait pour venir me rejoindre , la tête inclinée sur mon épaule et me sussurer "je n'ai rien en dessous ".
J'avais remarqué que sous son corsage , elle ne portait pas de soutif , malgré son âge , son 95 C restait bien dressé , mais je n'avais rien remarqué en dessous , pourtant elle était installé à côté de moi , et rien par transparence ....

Je m'affairais à faire cuire , lorsque je m'adressais à sa soeur , le nez plongé dans son smarphone , " y a des saucisses , tu as de quoi les mettre"....au lieu de dire , "passes moi un plat " ...mais celle ci avait interprété tout au chose ...et me répondit ...."de la place , j'en ai, deux ou trois ne me font pas peur ...
Je ne savais que répondre ...donc je lance " c"est cuit " ....
Nous passions à table , un cinquième maison m'attendait ...bien qu'elles ne s'oubliaient pas non plus ....de l'épine , apéro local , et sky coca pour moi ....j'avais les oreilles qui chauffaient , les lèvres commençaient à frétiller , j'avalais mes viandes pour dissiper ce nuage ....

Pendant le repas , nous continuâmes à rire aux éclats , Hélène profitait de me saisir la main gauche discrètement et l'emmenait sous sa jupe , ainsi elle disait vrai pendant la cuisson , je pouvais effleurer sa douce toison .
le temps passait , la discussion s'enflammait sur tous sujets et stoppa sur celui du sexe . L'alcool aidant Cécile se libéra dans son langage et tînt à peu près ces paroles " celui qui veut me baiser , qu'il vienne , j'y suis plus depuis des lustres " ça te dirait toi en m'interpellant et sachant que je me farcissais sa soeur Hélène .

Dans la foulée ,je ne savais que répondre , je ne désirais pas la frustrer , la vexer ....ma réponse ..."ça dépend "....!!!!
Hélène enchaînait "ça dépend s'il a les couilles pleines et personne pour lui vider .....!!! un silence régna ....Hélène ne perdit pas le nord , joignit le geste à la parole , me dézipa et fit jaillir mon phalus déjà bien dur , et commença à me pomper , entre deux eaux , je me laissais faire ....!!!!

S'adressant à sa soeur entre deux bouffées , "Vient " , je vis venir Cécile me caresser les "valseuses", se défroquant laissant apparaître un large slip blanc , rien de sexy , heureusement que sa soeur me suçait, je me serai mis à débander .....
Elle ôtait ce vilain coton , pour laisser place à une énorme trousse surmontée d'une toison entretenue avec des lèvres charnues , j'y introduisais un doigt , deux doigts et comme cela le trou béant était plus que lubrifier , j'y enfonçais presque la main laissant mon pouce lui titiller un clitoris extérieur ressemblant à une minuscule bite , et pendant ce temps Hélène avait la bouche rivée sur mon gland ....

Au bout de dix minutes de plaisir , chacun reprit ses esprits , se rajusta et nous passions au dessert , les discussions ne quittant plus le sujet du cul ....
Nous prîmes le dijo (digestif) à l'intérieur , j'étais assis au milieu des deux sur le canapé lorsque Hélène prétextant prendre une douche nous laissait à discuter .
Toujours sous l'effet de l'alcool , j'osai de proposer de faire jouir Cécile , celle ci n'hésita pas une seconde , elle enleva slip et jogging en une fois , je lui remettais ma main dans la moule , inondée sans doute par le désir , je lui brutalisais son clito , pour l'entendre hurler de jouissance , une fois ,puis deux à ne pas savoir reprendre son souffle ...

Hélène qui était partie seulement se rafraichir , refaisait apparition , vêtue d'une nuisette noire transparente , où je pouvais distinguer aisément sa vulve gonflée n'attendant que mon dard la pénètre , vint s'agenouiller entre mes jambes , me débraguettant , faisant jaillir ma pine bien humide et l'enfournant en gorge profonde ....
d'un bond , elle vint s'assoir face contre moi et s'empala ...elle faisait tout l'ouvrage , le cul assis dans le sofa , je faisais le roi , une main à parcourir ses seins , l'autre fourrée dans la chatte de sa soeur .

Pour ne pas rester inactif , je lui proposais une levrette , elle saisit une chaise à proximité , se pencha sur cette dernière , je me suis mis à la besogner tout en lui massant son 95 C tandis que Cécile accompagnait le va et vient de mes couilles avec ses mains .
Je me retirais , la queue toujours bien raide , Cécile désirant me la sucer , je ne me faisais pas prier , la minute suivante ,Hélène qui voulait jouir présentant sa chatte bien dilatée, je l'enfournais à nouveau , et dans un va et vient accéléré , j'inondais sa vulve rien que d'entendre son Ouiiii !!!!

Avec les vapeurs d'alcool et cette partie de cul , je ne me sentais plus la force de marcher les 200 m pour regagner mon domicile , j'optai pour squatter la banquette . Dès les lumières soufflées je m'endormais aussitôt mais sans m'imaginer que la Cécile descendrait quelques heures plus tard ,pour tenter de me ressucer la bite , mais ayant repris mes esprits , je déclinais ses assauts malgré qu'elle avait déjà commencé à me tripoter les roubignoles et au passage, éclairé par le point du jour au dessus de la porte j'avais vu sur l'ensemble de ses atouts puisqu'elle était nue . Des énormes seins tombants...120...130 F au moins !!! y avait toutefois les joues charnues qui débordaient de sa vulve qui m'auraient tenté à palper à ce réveil ....j'ai donc fini ma nuit tranquillement .

Le lendemain matin , je fus réveillé par une petite branlette que m'assainait Hélène , histoire de me la mettre droite ,rien de plus , il était l'heure du café .

Depuis ce temps , je n'ai plus jamais eu de proposition de Cécile , il n'y a qu'Hélène qui vient toujours .



Modifié 1 fois. Dernière modification le 23/03/20 19:37 par coco620.

Bonsoir ,

Je réponds à toutes les questions posés en M.P. ....