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Angers

Envoyé par intimeo 
Angers
Monday 12 June 2017 23:16

intimeo
Couple, 64 ans, France, Languedoc-Roussillon
Angers, un jour de juin.
Le train n'avait pas de retard, j'en fus agréablement surpris surtout en ce mois de juin, où les premiers vacanciers se précipitent vers les plages de Bretagne ou de Vendée. Angers est une ville étudiante où il fait bon vivre, et où les tourisme,loin de celui de masse, est particulièrement développé, mais ce jour là, le train n’était pas vraiment plein.
Je m’étais mal garé, enfin pas très bien, sur une place pas vraiment interdite mais pas vraiment autorisée non plus.
Je venais chercher Christiane, venue me rejoindre pour qq jours. J’étais à Angers pour raison professionnelle, la mise en place d'un gros système de mesure.
Nous nous connaissions depuis quelques mois seulement, mais l'amour avait déjà fait son œuvre : une semaine loin l'un de l'autre c’était déjà trop. Elle profita donc de quelques jours de vacances à poser, pour venir visiter Angers, avant que nous repartions ensemble par la route en fin de semaine.
Le soleil tapait fort en cette fin d'après-midi, et je vis arriver, par l'allée principale, celle qui deviendra mon épouse plus tard. Elle portait un chemisier à fleur tres transparent, une jupe évasée assez courte des escarpins à talons hauts et fins, et elle tirait derrière elle sa valise à roulettes. Un sourire merveilleux illuminait son visage. Je la serrait fort contre moi.
-tu as fait bon voyage ma chérie ?
-c'est long, depuis Aix en provence, j'ai lu et j'ai pensé à nous tout le temps. Si j'avais une culotte elle serait trempée.
J'approchais mes lèvres des siennes pour nous échanger un baiser torride comme j'aime tant le faire en public. Ma main glissa vers son ventre, souleva doucement le bas de la jupe pour vérifier : pas de culotte, il fait trop chaud.
-Viens, donnes moi la valise, la voiture n'est pas loin.
-On va boire un verre, j'ai très soif. Je suis pressée aussi de prendre une douche, les trains, ce n'est jamais super clean.
-Oui juste en face, il y a un bar avec une terrasse sympa.
Juste le temps de jeter un œil à la voiture,pour vérifier qu'aucun papillon ne risque de venir se poser sur le pare-brise et pour déposer la valise, je rejoins Christiane à la terrasse où elle est déjà installée.
-Tu as commandé ?
-Oui coca-light et une pression pour toi
-Alors ce voyage ?
-Oulala, pas génial jusqu'à Massy, là bcp de monde est descendu, j'etais plus tranquille. Et puis, un homme assez jeune s'est assis en face de moi, à 2 rangs en diagonal. J'avais du mal à me concentrer sur mon bouquin, car je sentais son regard sur moi. A chaque fois que je levait les yeux, il détournait la tête. J'ai essayé de reprendre ma lecture.
-C'est clair qu'une femme aussi belle et sexy, ça donne tout de suite des idées.
-Lui aussi n’était pas mal, alors j'ai décidé de jouer un peu : il veut voir, je vais lui montrer. J'ai petit à petit croisé et décroisé les jambes pour faire remonter ma jupe, puis j'ai allongé mon siège, mis mes lunettes noirs pour faire semblant de dormir. A travers les verres, je le regardait, il ne pouvait rien perdre du spectacle c'est sûr. Heureusement nous n'étions pas nombreux dans le wagon. Mais il avait une attitude étrange, il regardait constamment d'en l'allée comme s'il attendait quelqu'un.
-Un collègue peut etre ?
-Non. Après quelques minutes j'ai me suis levé, je voulais lui faire vraiment plaisir. J'ai voulu attrapé ma valise dans le porte bagage au-dessus de moi, mais, elle semblait si lourde...
-Oh ma pauvre chérie, dis d'un ton ironique. Et personne ne t'a aidé alors que tu avais réussi à la mettre là-haut?
-Et bien devines....
-Pas difficile le...
-Il est venu se proposer alors que j'avais les bras en l'air et le cul tendu, avec un genou sur mon siège. « Je peux vous aider Madame » « oui avec plaisir, je la retiens, car je pense qu'elle va tomber en arrière, vous pouvez... » sans plus un mot il est venu derrière moi, il était grand et n'a eu aucune difficulté à att****r la valise, j'ai alors tendu mes fesses en arrière pour me retrouver le cul collé contre son pantalon. Aucun doute, il bandait et fort en plus. Il descendit la valise. « Merci beaucoup il est rare d'avoir des gens aussi serviable. Merci beaucoup. » « Ce n'est rien, vous n'alliez pas y arriver, alors... » « J'allais au wagon bar, prendre une boisson, je vous offre quelque chose pour vous remercier ? » « euh et bien, c'est à dire, avec plaisir mais ma femme et ma fille doivent revenir, elles sont aussi au wagon bar. »
-et , lui demandais, impatient de connaître la suite?
-et bien c'est tout, je suis allée chercher une bouteille d'evian, je suis revenue et oui, une femme que j'avais croisé avec une gamine, étaient assises avec lui. Sa femme était super belle, le genre mince, petit seins, jean en 38 et fier de le montrer, pas de fesse ni de hanche, comme tu aimes quoi...,Genre de celles qui regarde les magazines de mode, elle lui parlait tout le temps.
-Je vois le genre. Seulement le samedi soir quand la petite dort, et surtout pas trop de bruit...
-Oui pas comme nous...
-Tu fais référence à la lettre du voisin ?
A cette époque, nous n'habitions pas encore ensemble, et j'avais une appartement dans une maison ancienne, en location. Le voisin m'avait envoyé une lettre recommandée avec copie à l'agence de location. Cette lettre nous mettait en demeure, de bien vouloir cesser nos ébats, de jour comme de nuit, il trouvait cela profondément choquant et ne supportait plus les cris de Christiane ! Il avait 30 ans à l'époque et sa femme etait enceinte. On a beaucoup rigolé de cela. On garde cette lettre précieusement !
-Oui la fameuse lettre.
-Pendant le reste du voyage, il a continué de regarder, mais plus discrètement bobonne était là. En partant , le me suis accroupie dans l'allée, pour glisser mon bouquin dans la petite poche de la valise, en écartant bien les cuisses afin qu'il voit, et je lui ai adressé un sourire en le regardant droit dans les yeux, il a compris ce qu'il avait raté je pense...
-Tu m'étonnes, il va y penser les 10 prochaines années, et quand il aura divorcé de Madame, il se traitera de con...
-C'est ce que tu as fais toi, parfois, avec ton ex, en pensant aux occasions ratées....
-Oui, plein de fois, mais s'il te plait, le sujet est glissant on parle d'autre chose.
Ma main sur son genou remontait en la caressant vers l'intérieur de la cuisse.
-L'hotel est loin Chéri ? J'ai besoin d'une douche et d'un cunni.
-Non, 10 minutes environ, j'ai réservé une table ce soir, en terrasse dans un resto sympa du centre, on va faire se reposer puis on y va pour 20h30 ?
-ça me va, tu as prévu une visite ?
-Oui après le repas, on ira visiter la campagne...
-Hum ah oui, une balade coquine ?
-ça ne dépend que de toi.

L'hotel, où j'ai mes habitudes, est bien placé, avec une piscine sympathique. Nous arrivons dans la chambre où je suis installé depuis 3 jours déjà. Christiane en arrivant, se dépêche de sortir ses vetements et les places dans l'armoire à notre disposition.
« Chérie, tu as vu ce que j'ai pris » et de me montrer une guepière noire, et une paire de bas.
« Il fait un peu chaud pour mettre ça non ? »
« Il fera encore plus chaud une fois que j'aurais mes armes de séductions »
Je l'enlace et la couche sur le lit, je la caresse, passant des seins aux hanches, puis progressivement vers sa vulve. Je la frotte de la paume de la main, et mon majeur se glisse sans problème dans son intimité humide.
« Mais c'est vrai que tu es trempée, ça t'as vraiment excité ce voyage en train. »
« Oui mon amour, j'ai mouillé comme une gamine à me frotter contre le gars puis à lui montrer mon minou tout lisse, que j'ai fait épilé entièrement hier »
Mes mains, alors remonte sur ce chemisier, pour lui ôter les boutons, un à un. J'embrasse ses seins encore prisonniers du soutien gorge blanc à balconnet de chez Aubade, que je lui ai offert le mois dernier. A travers la dentelle je sens ses seins gonfler et ses mamelons durcirent, sûrement à lui en faire un peu mal. Ma bouche se ferme sur l'un d'entre eux à travers le tissus que je trempe de ma salive, et ronronne comme une chatte.
Doucement, mes baisers descendent sur son ventre que j'adore, ma langue goûte chaque centimètre de sa peau, j'introduis ma langue dans son nombril, et de mes mains j'att**** ses hanches.
« Humm chéri, j'adore vas y sert les forts, plotte moi les seins et le ventre, c'est trop bon »
Après quelques minutes de ce petit jeu, n'y tenant plus moi même, ma bouche s'installe sur son sexe, et le mange doucement. J'aime mettre les levres et le clitoris entièrement dans ma bouche, faire une lègère succion et saliver pour que ma langue explore tendrement ce lieu de plaisir.
Installé sur le ventre entre ses cuisses, s'aspire son clitoris, la langue jouant à la ronde autour de lui, Chaque aspiration lui fait soulever le bassin, et de ses mains tirer sur mes cheveux pour mieux plaquer mon visage et me faire comprendre, sans un mot, que je ne dois plus m'arrêter.
A cette époque mon grand jeu était de l’amener juste qu bord de l'orgasme, puis d'arrêter pour faire redescendre le feu dans son ventre, et reprendre, cela 4 ou 5 fois, ses orgasmes étaient alors d'une puissance incroyable. Mais là, pas de ce je là, je voulais faire durer le plaisir, le sien, mais aussi le mien, alors j'ai juste aspirer et lécher plus doucement, très doucement.... L'orgasme qui suivi, environ 40 mn plus tard fût aussi fort que long.
« olala, olala, ça vient.... » plaquant encore plus fort ma tête et serrant les cuisses, son orgasme dura sûrement 2 ou 3 minutes pour descendre progressivement. Durant ses soubresauts, et ses cris, je continuais à la lécher et surtout aspirer. Son clitoris avait triplé de volume, ses lèvres étaient gonflées, et sa vulve ruisselait, je m’abreuvais de ce nectar doux et suave, avec goût que je n'avais jamais connu chez aucune femme avant, malgré ma longue vie de libertin, et ayant vécue auparavant avec une femme fontaine.
Christiane n'est pas de cette catégorie de femme, non, son nectar est tout autre, doux, sucré même parfois, lisse et clair. Par la suite chacun qui y aura gouté lui fera la remarque de se merveilleux souvenir, comme un bonbon, une madeleine de Proust, le goût de la vie, de la femme, de MA femme.
Elle reprend doucement ses esprits, rigole, « mamour, dire que je pensais que mon premier mari etait le roi du cunni....et j'avais peur de rencontrer un homme qui s'y prenne mal ou pire qui n'aime pas cela, mais ce n’était qu'un apprenti comparer à toi. Comment fais tu pour me connaître mieux que moi, pour pouvoir continuer à me lécher pendant et après l'orgasme alors que bien souvent c'est trop sensible ? »
« L'amour peut être ? Une dose d'expérience, une recherche de différence à chaque fois que je peux embrasser ton intimité... c'est tout rien de plus».
« Rien de plus ? Et bien moi je te dis que c'est énorme, je ne voudrais pas que tu fasses ça à une autre femme à partir de maintenant, tu es MON lécheur, et il n'y a que moi que tu puisses honorer de la sorte, je serais trop jalouse de voir une autre se trémousser sous ta bouche ».
Elle changera d'avis pas la suite, me laissant lors des soirées couples, honorer de ma bouche d'autre femmes, sans la moindre jalousie, mais avec des questions du genre « tu lui as fais comme à moi quand tu lèches du dessous du vagin jusqu'au clito ? ». Je vous laisse imaginer ma réponse.
Depuis effectivement j'ai pu constater, quand le feeling passe avec une amie de jeu, que je suis encore très bon, paraît il, pour les plaisirs de la bouche, on m’appelle parfois en plaisantant, le linguiste.
« Je vais m'occuper de toi allonge toi. Tu sais quand je suis excité comme ça, j'ai une envie de sodomie incroyable, si on me prépare bien, je peu devenir folle comme l'autre jour à Argeles, tu te souviens? »
Si je me souviens ? Tout Argeles doit s'en souvenir, la bouteille de Pic-Poule avait bien aidé la miss à se détendre et à la rendre folle de désir, mais cela je vous le raconterai une autre fois.
« Oui je me souviens, je m'en souviendrais jusqu'à mon dernier souffle, une nuit de folie comme on a quelques une, parfois. Chérie, je préfère aller prendre une douche avec toi ou un bain, car la chambre a un jacuzzi »
« Oui j'ai vu mais une bonne douche, ensemble ce sera bien le jacuzzi, on verra plus tard, peut etre ».
Nus sous la douche nous nous savonnons mutuellement, frottant nos corps l'un contre l'autre ma queue raide de désir, se glissant entre ses grosses fesses sublimes, ses fesses mes fascinent, à moins que ce soit ses seins, ou ses cuisses, ou son visage...je suis juste en admiration devant elle, devant ma reine, de presque 9 ans mon aînée.
Je ne peux m’empêcher de remettre ma bouche sur sa chatte brûlante, de la faire se retourner, et écarter ses fesses pour pointer avec ma langue l'entrée de son anus.
Nous devons finir par nous sécher et nous préparer pour aller diner.
« j'ai prévu de mettre ma robe noire, en soie et dentelle, celle entièrement boutonnée, des pieds à la tête, dessous ma nouvelle guêpière, et mes bas. Je laisserai nombre de boutons ouvert pour que quand je marche ou m'assoies, nul ne puisse douter de ce que je porte . »
« Chérie, je vois que tu commences à comprendre les jeux que j'aime, et que tu aimes me semble t il ? Ce sera juste parfait, et pratique si après le resto tu veux visiter Angers. »
« Si je ne suis pas trop fatigué, tu seras mon guide, mon maître, tu me diras ce que je dois faire ».
Elle entrait doucement dans ce monde qui lui était encore inconnu 10 mois plutôt. Elle se révélait à elle même, à moi et aux autres. Elle était belle, elle devenait sublime.
« Oooops, la fenêtre etait ouverte ? Tu penses qu'on nous a entendu ? »
« Oui c'est sûr, tu es assez expressive sans être démoniaque, tu gémis assez pour ne laisser aucun doute ce le plaisir que tu prends. Il faut assumer, et tu fais cela comme une reine »
Ma reine.
Je ne sais pas comment j'ai pu rés****r à l'habillage de ma belle, elle a poussé le supplice à me demander d’accrocher ses bas, alors que ma queue me fait mal dans mon jean trop serré. Les bas sont clair légèrement gris avec une couture noire et une bordure en dentelle rouge. Mes mains sont passé partout sur la peau et le nylon, j'ai sucé les pieds et les orteils de ma belle, avant d'accrocher les 4 jarretières de chaque jambe. La guêpière noire avec des lacets rouges, s'harmonise parfaitement avec la robe noire asses stricte dont les bouton du bas sont ouvert à mi-cuisse et ceux du haut ne cachent plus rien de l'affolante poitrine de Christiane, enserrée dans la dentelles.
Une paire d'escarpin terminent de me terrasser.
« J'espère qu'on aura pas trop à marcher car ceux sont des escarpins pour le fun, plutot pour servir allonger que debout »
Je ne m'en serais pas douter.... effectivement si ma femme mets des talons, ils font rarement plus de 7 cm , je ne sais pas combien. Elle est divine.
Je vais cherche la voiture. Elle m'attend devant l'hotel où nombre de personnes vont et viennent, je gare la voiture, je descends pour lui ouvrir la portière, elle comprend de suite mon manège à cause du petit sourire que orne mon visage.
Elle s'avance, regarde autour d'elle, une proie, oui, trop tard pour lui.
Il pense être le voyeur, il n'est en fait que l'instrument du pouvoir de la femme sur l'homme.
Lentement elle se tourne pour monter dans la voiture, sa jupe s'ouvre, le haut des bas apparaît, elle dégage la jupe pour la faire remonter un peu plus, en un instant, on voit qu'elle ne porte ni culotte,ni string, je ferme la porte délicatement.
Sa proie l'a vu aussi, il se déplace pour mieux voir, fait semblant d'allumer une cigarette pour s'approcher de la voiture, pendant que je fais le tour pour reprendre ma place, il est au bout du petit trottoir où nous devons passer, sa vue sera plongeant sur l'entre cuisse de Christiane, qui maintenant règle le siège pour être plus allongée. Je démarre doucement.
« Montres lui ce qu'il veut voir » dis-je.
Elle remonte encore plus sa jupe, écarte les plis, et je passe doucement devant la proie, je m'arrête et demande à ma femme :
« on a bien pris les clefs de la chambre ? »
elle comprend de suite le but de mon arrêt.
Le voyeur est devant la portière et regarde en essayant de ne pas se faire prendre, lancant des coup d’œil furtifs.
Elle ouvre son sac et ne le regarde pas, cherche comme si elle ne trouvait pas, la clef de la chambre, 20 secondes, 30 peut être puis ô miracle le porte clef apparaît, chambre 10....
Nous redémarrons doucement, elle souris à sa proie, qui rougit.
« Bonne soirée » lance-elle.
« Vous aussi ».
Elle rit, « c'est trop bien la vie avec toi »....
Nous dînons tranquillement, nous buvons peu, mais Christiane a déjà le rouge aux joues.
« Alors chérie, tu as prévue une visite d'Angers by night ? «
« oui un petit tour sur un parking le loin de la rivière, puis ensuite un autre endroit plus isolé, toujours le long de la rivière »
Je dois avouer ne plus me souvenir du nom de ces lieux, je suis capable de m'y rendre sans difficulté.
Arriver sur le parking, vers 23h30, nous ne sommes pas seuls, quelques voitures que les voyeurs de nuit savent repérer, sont en place pour le grand jeu. C'est la première fois que je pratique à Angers, alors je me fie à mon instinct. Je passe sur le parking une fois, puis une seconde fois ce qui ne laisse aucun toute sur notre recherche : nous sommes là pour un rendez vous, pas pour nous garer, mais un rendez vous ne veux pas dire f***ement « homme seul », nous pourrions chercher un couple.
Je vais me placer dans un coin reculé et stratégique du parking, plus sombre mais aussi facile à quitter, je stoppe le moteur, je laisse les veilleuses, prends un CD d'opéra et régle le son.
La douceur envahie la voiture, ma main caresses les cuisses de ma belle qui regarde cette main aller et venir sur elle. Déjà 2 hommes s'approchent, pas en ligne droite, mais comme s'ils se promener, personne n'est dupe, mais c'est bien, ça fait parti de signe des gens bien élevés. Ils passe derrière la voiture pour s'approcher très très doucement du coté de Christiane. Je l'embrasse m'occupe de son corps, je lui parle, lui demande si ça ca, « Ouiii super, je crois que j'ai vu un homme dans le rétro.. »
« Non tu te trompes »
« si regarde bien... »
« Tu te trompes, ils sont 2 »
« 2 pour moi ? »
« oui c'est bien non ? »
« j'adore, je vais leur montrer. »
Joignant le geste à la parole,elle ouvre un peu plus son décolleté, je croisse le regard d'un voyeur, ne voyant pas de désapprobation dans mon regard, il approche jusqu’à la vitre. J'allume le plafonnier du miroir de courtoisie coté passager pour qu'ils profitent du spectacle.
Christiane ouvre doucement sa robe, en regardant l'un des voyeurs dans les yeux, passant sa langue sur ses lèvres et ne laissant aucun doute sur ses capacités.
Ils se masturbent assez fortement.
Elle met ses pieds sur le tableau de bord, écarte les cuisses, et je glisse 2 doigts dans sa chatte bouillante. Je la branle doucement. Elle se mort les lèvres.
« Je peux ouvrir la vitre ? J'ai envie de me faire peloter... »
« Oui chérie pas de problème. »
Je descend la vitre.
« Bonsoir, madame et sublime, on peut toucher ? »
« Oui mais doucement, dit elle, mes seins ensuite mes fesses. »
Les 2 voyeurs doivent se connaître, car ils se partagent à tout de rôle les seins emprisonnés dans la guêpière.
Après quelques minutes, elle les libèrent pour se faire masser encore plus vicieusement. Ils joignent la bouche à leur main, et Christiane att**** une queue de l'un deux, le branle, masse ses couilles bien rondes.
Elle sent qu'il va jouir, à ce moment là, cède la place à son complice, effectivement ils sont bien rodés, ils jouent à ce jeu depuis sûrement longtemps, . Sa bouche s'égare dans le cou de ma femme ses seins, puis l'embrasse à pleine bouche, elle le branle, sa queue est plus petite mais très dure. Il lâche sa bouche « Je vais jouir », « oui viens, sur mes seins » elle continue à le branler, il se lâche sur le cou et la poitrine de Christiane, qui l'encourage. L'éjaculation n'est pas très abondante, mais a encore plus stimulé mon épouse. Elle fait signe au second de revenir prendre place, il a droit au même traitement, mais avec avant une fellation rapide, car il est prêt à exploser.
Il se décharge comme son ami, dans un râle bien plus puissant et de longs jets de foutre.
Christiane frotte son gland sur ses seins, étale le jus chaud , et rigole.
« Merci madame, vous êtes divine, vous venez souvent ? C'est la première fois qu'on vous voit »
La pression redescend, mais elle continue à me branler en parlant avec ses 2 voyeurs, puis att**** à l'arrière une lingette, une serviette pour se nettoyer, elle proposes des mouchoir en papier à ses amants de passage.
Nous papotons quelques minutes, puis reprenons la route.
« Sympa les 2 gars. »
« Oui mais un peu pressés pour moi, il me faut du temps... »
« tu veux rentrer, ou on fini notre tour ? »
« il n'est pas très tard, on peux encore se balader. »
Je roule donc vers ce petit coin, le long de la rivière, comme vu sur le net.
Arrivés là, on se doute que le coin est propice au voyeurisme et autre dogging.
Une seule voiture est garée, feux éteints, un homme fume sa clope adossé à la portière.
On se gare à distance, non loin d'un lampadaire, laissant la place coté passager pour qu'une personne puisse passer entre la voiture et le muret.
Je m'occupe de Christiane, puis elle demande de rouvrir mon pantalon pour me sucer.
Elle att**** mon membre coulant, mais redevenu mou, entièrement dans sa bouche.
Je trouve, comme beaucoup d'homme mon sexe trop petit. Je ne sais pas si ma femme dit vrai et si mes autres compagne disaient aussi la vérité, mais « il est très bien on peut jouer avec, le prendre en bouche sans se décrocher la machoire, il me remplis bien, et surtout quand tu vas fort et bute dans le fond, ne me fait pas mal. » Bref, des mots pour me rassurer, ça marche.
Je suis maintenant dans sa bouche, elle salive très fort, crache sur ma queue, se relève, vient m'embrasser à pleine bouche.
Le voyeurs s'est approché par le coté passager, il arrive à la hauteur de Christiane, elle continue à me sucer. Enfin elle se redresse, regarde le voyeur qui n'a pas sorti sa queue pour s'astiquer. Elle décide de se masturber pour l'exciter, il reste de marbre, il regarde et sourit.
« Étrange, d'habitude ils se secouent frénétiquement et souvent bandent mou, mais là rien. » me dit elle.
« Il y a des voyeurs purs tu sais, chacun prends son plaisir comme il veut du moment que ça ne gêne personne. On ouvre la fenêtre et on allume la lampe ?»
« Oui, mais j'aimerai bien le caresser, tu sais je suis longue à jouir, et je ne jouirai sûrement que lorsque nous serons tranquille dans la chambre, alors le branler ira directement alimenter ma boite à fantasme. »
J'ouvre la fenêtre, Christiane se branle.
« Bonsoir, Madame est très belle, je peux caresser ? »
« Oui allez y », elle se glisse plus profondément dans le siège passager, activant la commande électrique permettant de le coucher.
La main du voyeur se place sur le genou, remonte vers le haut des bas, et ouvre les cuisses de mon épouse, encore plus grand .
Il me semble qu'il la branle en appuyant assez fort, voir même très fort. Je regarde ma reine : « ça va chérie, tu aimes ». « C'est merveilleux il a des doigts magiques ».
Je l'embrasse, elle a du mal à reprendre sa respiration qui s’accélère, le voyeur, s'active sur sa vulve, puis ralenti, puis accélère, puis recommence. Cet homme est un expert, il n'a pas mis de doigts dans le vagin de ma femme, non, ils glissent avec autorité sur son sexe, 3 minutes, 4 minutes, puis je vois ma femme se cambrer, et pousser un râle de jouissance, s'agrippe à la main du voyeur pour la retirer, mais il a déjà compris et changé de technique, sa main reste coller à ma femme, elle jouit, et n'essaie plus, de peur de trop de sensibilité d'enlever la main du voyeur.
Elle retombe en sueur, comme souvent après ce type d'orgasme.
Le voyeur lèche sa main et déjà s'en va...
« Bonne fin de nuit » dit il
« Tu veux que je l'invite à l'hotel ? »
« oui il a un truc avec ses doigts, je veux bien chéri ».
Je descend de la voiture pour le ratt****r.
« Bonsoir, moi c'est Dominique, super ma femme Christiane a adoré. »
« Bonsoir Denis, votre femme est magnifique et très sensuelle »
« Merci, vous avez l'air cool, on fini la soirée à notre hotel c'est à 10 mn, ça vous branche ? »
« ce serait avec plaisir, mais je dois rentrer chez moi, ma femme va se demander pourquoi je suis si long à rentrer du sport »
« ok, je comprends, dommage pour nous ».
« Merci encore, ce n'est pas souvent que j'ai l'occasion de faire ça... »
« Votre femme doit aimer, car la mienne a adoré ».
« Elle ne veut plus faire l'amour ou alors une fois par mois, depuis les @#$%&... »
« je comprends, vous ne voulez pas que Christiane s'occupe de vous elle adore ça. »
« Merci bien mais je n'arrive pas à avoir de vrai érection avec une autre femme, je suis trop mal avec cette histoire... je me rassure comme je peux en donnant du plaisir à 2 ou 3 couple réguliers ici, c'est ce qui me permet de m'évader un peu.»
« Je vous laisse mon portable si vous avez un moment demain...on ne sait jamais. »
« Merci. Bonne nuit »

J'explique tout cela à Christiane en revenant à la voiture. Elle me raconte l'orgasme foudroyant :
« il appuyait très très fort avec ses doigts sur mon clito, et entre mes lèvres, vraiment très fort. C'etait surprenant au début, presque douloureux, puis, le plaisir est arrivé comme une vague incontrôlable, comme quand tu me lèches façon express. J'ai cru que ça allait être ultra sensible, mais non, il a relâché la pression au bon moment, et j'ai continué à jouir sans sensibilité. Le top. Je veux bien qu'il vienne demain...' » dit elle dans un éclat de rire.
« je pense qu'il n’appellera pas, il est amoureux de sa femme le pauvre, et ça, ce n'est pas comme s'il la trompait, ça lui permet de 'rester vivant comme homme' ».
« Bon, on peut rentrer, c'est pas mal Angers. Tu me feras un autre cunnilingus à l’hôtel ? J'ai trop envie de jouir puis de m'empaler sur ta queue. »
Elle jouit encore une fois cette nuit là et je terminais en elle, m'embrassant à pleine bouche, elle me chevauchait en amazone, me crachant dans la bouche, échangeant nos salives, excités et fou d'amour.
Le lendemain midi, alors que j’étais sur mon chantier et Christiane dans la piscine de l'hotel le téléphone sonna, avec un numéro inconnu....
Re: Angers
Tuesday 13 June 2017 15:54

Hommecourtois
Homme, 63 ans, France, Franche-Comté
Superbe texte, très agréable à lire, très excitant, de l'exhib comme j'aime, merci !
Re: Angers
Tuesday 13 June 2017 20:35

neige69
Couple, 44 ans, France, Basse-Normandie
Merci bitounet bien rédigé
Tonton juju n aurait pas fait mieux hi
Re: Angers
Tuesday 13 June 2017 22:17

intimeo
Couple, 64 ans, France, Languedoc-Roussillon
???
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