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Le romantisme délicat de la soumission - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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Note :

Il y a quelques années j'ai vécu une sublime relation avec une jeune femme absolument adorable. Nous nous sommes fréquentés durant six mois. Puis, pour des raisons qui n'ont pas leurs places ici, nous avons cessé de nous voir. Je tiens à préciser que toutes les femmes que j'ai connu, m'ont toutes "grandi". Aussi, c'est toujours avec un respect total que j'aime à relater mes émotions au travers de récits que je souhaite attractifs. Merci à elles...

Voilà donc le premier opus d'une série de récits qui seront autant de témoignages d'instants émouvants et de moments torrides. J'invite le lecteur à découvrir ces histoires avec toute la réserve nécessaire. Chaque nouvel épisode sera publié à la suite du précédent, lorsque celui-ci passera en page 2. Pour des raisons "mécaniques", chaque commentaire fait remonter le post en début de page. Retardant ainsi d'autant l'épisode suivant. Bonne découverte et bonne lecture...

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Le romantisme délicat de la soumission

Il y a quelques temps, presque deux ans, j'avais entretenu une relation assez régulière avec une délicieuse jeune femme mariée. Et chacun sait que les jeunes femmes mariées, lorsqu'elle ne sont pas satisfaites dans leur couple, savent se montrer délicieusement entreprenantes. Aussi, je me dois de relater cette anecdote croustillante qui saura, toutes et tous, vour ravir. Du moins je l'espère. Nous lui donnerons le pseudo de Lena.

Quelle ne fut pas ma surprise de recevoir un SMS ce mardi matin. Un SMS me prévenant qu'elle serait libre en soirée et qu'elle viendrait donc me rejoindre. Cela fera presque six mois que nous ne nous sommes vus. Après une rupture étrange.

Elle arriva pour dix neuf heure trente. J'avais préparé un de mes délicieux petit plat végétariens. Malgré que son cocu mange du cadavre, elle, depuis qu'elle a découvert les bienfaits du végétarisme ne mange plus de substances mortes. Chacun, dans ce couple, a ses petites habitudes. Je sais que Lena est plutôt indépendante.

Son cocu, ce soir, a entraînement de foot-ball. Il ne rentrera donc que très tard. C'est une sorte de match "pour de faux" qui divise le club en deux équipes. Les "Alpha" et les "Bêta". Eh oui, c'est bête, mais c'est du foot ! "Alpha" va donc affronter "Bêta" afin de préparer les joueurs au vrai match de samedi soir.

Revenons à ce qui nous passionne ici...

Après le repas, nous nous sommes livrés aux passions de la dame. Sur sa demande, je l'attache avec des menottes sur une chaise. Chevilles et poignets entravés, elle me regarde alors, les yeux pleins de cette reconnaissance qui fait plaisir à voir, d'une manière étrangement fixe. Ses yeux implorent, Lena veut du plaisir. Je vais faire de mon mieux.

La chaise est disposée de manière à ce que son dossier écarte les jambes de la Dame. Celle-ci est donc assise à l'envers. Lena est une femme "fontaine". Je me souviens qu'il nous était interdit de faire l'amour dans un lit. Sous peine de devoir changer la literie et le matelas. Aussi, elle aime à "s'oublier" dans des orgasmes souvent délirants. Avec moi, elle sait qu'elle peut se laisser aller.

Parfois, lorsque je lui retire la sangle qui maintient la boule de caoutchouc, je lui enfourne mon sexe, à la place, dans sa bouche gluante. Son menton, plein de salive qui lui coule sur le pull, la chatouille. Aussi, elle me supplie de lui essuyer les coulures. Je n'en fais évidemment rien...

Ensuite, nous passons à la "barre". Debout, menottée à une des poutres apparentes de mon salon, je lui écarte les jambes avec une barre maintenue par des chevillères en cuir. Son corps magnifique est attaché en "X". Longuement, je la regarde, assis dans le fauteuil de mon bureau. Admiratif. J'ai bricolé la plupart des accessoires moi-même en détournant quelques objets de leurs fonctions.

Elle est belle. C'est une belle brune de trente et un an, mince, grande, athlétique. C'est donc une magnifique attraction, attachée là, dans mon salon. Je suis le "Maître", certes, puisqu'elle me le demande, mais je suis surtout maître de mes émotions. Il n'est pas question de se comporter en hussard, en soudard ou encore avec un manque de tact. Le "Maître" est toujours un gentlemen. Toujours. Le Maître ne se laisse jamais aller à des pulsions animales...

Au bout d'un moment de contemplation admirative, je me lève. Je fixe une barre verticale sur la barre horizontale qui lui écarte les jambes. A l'autre extrémité, il y un gode. Je lui enfonce donc le gode, lentement, en la fixant dans les yeux. Je la laisse ainsi pour retourner m'asseoir. Ses yeux plein de reconnaissance me fixent avec passion. Elle est envahie de plaisir.

Malgré la boule dans la bouche, maintenue par la sangle de cuir, je peux l'entendre gémir de plaisir et de bonheur. Ainsi attachée, les yeux brillants de ce vice féminin qui nous émeut, je peux la voir jouir longuement. En gémissant, elle se tortille légèrement, cherchant les meilleures sensations. La barre lui offre quelques possibilités dont elle sait apprécier les effets. De plus, elle adore être regardée.

Lena en pisse de plaisir, ratant le seau en plastique bleu que je place pourtant au sol, juste devant les souliers à talons hauts qui habillent avec élégance ses pieds menus. Je tente de calculer les jets et leurs puissances. Je me trompe car ça coule n'importe comment. Le long de ses cuisses le plus souvent. Lena n'a pas changé. Je passe la serpillère...

Elle adore ces moments intenses. Même si je n'ai pas l'âme d'un vrai "Maître", je m'en tire plutôt bien. Pour terminer, je la détache. Elle me tombe dans les bras, émue et amoureuse. Je lui interdis d'être amoureuse. Elle doit se contenter d'être la soumise. Conformément à sa demande. A son fantasme. Pour lui imposer le silence, je l'embrasse longuement. Une soumise n'a pas à aimer son Maître mais à lui obéir...

Je lui passe les menottes et lui fixe les mains derrière le dos. Après l'avoir fait mettre à genoux sur l'épais coussin de velours carmin. Avec concentration, gardant un calme olympien, je m'installe dans le canapé. Je me tiens le sexe dont le liquide séminal suinte le long de mon prépuce fripé. Je le secoue devant le visage de la Dame que j'éclabousse ainsi de jus opalescent.

Là, enfin, elle peut me sucer avec cette indicible passion. Je la regarde. Ses yeux fermés, entrain de se régaler en gémissant, elle semble prendre un plaisir fou. Parfois, en fonction de ce que je lâche, je peux l'entendre glousser de plaisir en déglutissant. Comme elles sont belles quand elles font "ça" ! Si elles savaient ..!

L'éjaculation fut un grand moment. Trois saccades qui secouèrent mon corps d'agréables spasmes. Si je ne lui retire pas la tête, en la tenant par son catogan, elle repart pour un second tour. Je dois donc être vigilant et regarder la pendule. Il y a le cocu !

Hors, son cocu, match perdu ou match gagné, rentrera invariablement pour minuit. Bourré si son équipe a gagné. Bourré si son équipe a perdu. Demain matin, il a entraînement de volley dans le Club des sapeurs-pompiers de son village. L'après-midi, il lave la bagnole. Il faut donc que je la fasse filer pour vingt trois heure trente. Maximum.

Elle revient mercredi soir pour une nouvelle séance. Pour dix neuf heure trente précise...

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Le créateur mural

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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 2) -


Madame vient savourer sa seconde séance

Comme convenu, elle est revenue mercredi soir pour dix neuf heure trente. Son cocu ayant entraînement dans son club de foot-ball jusqu'à vingt deux heure trente, nous avions deux bonne heures à consacrer aux plaisirs de madame.

Chères amies lectrices, je m'adresse à vous car, à tant me lire, vous n'êtes plus sans ignorer à quel point j'aime préparer de délicieux petits repas à mes complices. Aussi, ce mercredi, une fois encore, je me suis donné beaucoup de peine afin de préparer un délicieux petit plat.

Lorsque nous sommes sortis de table, madame m'a demandé de l'attacher aux poutres apparentes de mon salon. Les bras levés, les mains menottées, je lui attachais également les chevilles aux deux extrémités de cette barre qui l'oblige à rester jambes écartées.

Madame adore être "tourmentée" avec tous les égards dus à son rang. Une fois attachée, conformément à sa demande, j'allais m'asseoir dans le fauteuil à côté de la bibliothèque. Là, en sirotant un jus de mangue, j'admirais à la fois mon travail et la Dame. Remarquable spectacle...

Madame était vêtue d'une jupe noire, d'un chemisier mauve, chaussée de souliers à talons hauts, noirs, maintenus par une délicate sangle de cuir autour de ses fines chevilles. Ses longs cheveux en libertés pendaient sur le haut de son dos. Un spectacle épatant !

Au bout d'une dizaine de minutes, la boule de caoutchouc, maintenue dans sa bouche par une sangle qui enserrait délicatement sa tête, laissait déborder de la salive qui coulait sur son menton. Ces coulures commençaient même à maculer le haut de son chemisier.

C'est son regard, suppliant, qui me poussa à mettre fin à mon observation méditative. Je me levais pour venir m'occuper de ma "captive" volontaire. Passant ma main sous sa jupe, je touchais son sexe pour me rendre compte qu'il était trempé. Je stimulais doucement son petit bouton de plaisir. Ses gémissements ne laissaient subsister aucun doute quand à son état.

J'enfonçais mon index dans sa petite grotte à plaisir. La tête rejetée en arrière, ma coquine se mit à gémir. De la salive, suintant entre la boule de caoutchouc et ses lèvres, coulait partout. J'accélérais mon mouvement. Les sursauts du bassin de la dame ne laissaient aucun doute quand à son bonheur.

Comme toujours, j'avais placé le seau en plastique bleu entre les jambes de la Dame, juste devant la barre horizontale. Je savais que le stimuli de mon doigt allait causer quelques épanchements. Aussi, au bout de quelques minutes d'un mouvement rapide, je sentais le liquide chaud s'écouler sur ma main. Aussitôt, rapidement, je retirais mon doigt.

Comme la dernière fois, madame se mit à pisser un peu n'importe comment. Le jet ratant le seau pour venir se briser un peu plus loin et même sur ma chaussures droite. Cela lui coulait sur les cuisses pour venir faire une flaque sur les lames de mon plancher de chêne. Beaux reflets...

Son regard, plein de reconnaissance, amoureux et humide fixait mes yeux avec insistance. Je savais ce que la Dame désirait à présent. Mais, avant de la détacher, ouvrant ma braguette, me glissant derrière elle, je la pénétrais doucement, avec une infinie tendresse. Ses gémissements reprirent de plus belle.

Je stimulais son clitoris turgescent d'une main, pendant que je la tenais par le menton de l'autre. Je maintenais un rythme régulier, pénétrant profondément la "prisonnière" volontaire. Je restais ainsi, une bonne dizaine de minutes, à lui faire l'amour. Elle se trémoussait de ce plaisir intense et émouvant qui sait me ravir.

Je me retirais. Je revins me placer devant elle. Ses yeux humides, plein de gratitude, me suppliait de lui offrir, enfin, ce qu'elle désirait tant. Je la détachais. Je lui retirais la boule de caoutchouc. Son visage et quelques mèches de ses cheveux, étaient trempés de salive. La tenant par ses cheveux, j'entraînais la Dame vers le canapé. Avant cela, je la promenais un peu dans le salon. Elle adore mes attitudes. Surtout quand j'agis ainsi, après lui avoir menotté les poignets derrière le dos.

Je jetais le coussin de velours carmin au sol, devant le canapé où je me vautrais, pantalon à mi-cuisses. Je la forçais à se mettre à genoux sur le coussin. Puis, la maintenant toujours par ses cheveux, j'enfonçais sa bouche sur la rigidité sans condition de mon sexe dressé vers le plafond.

En gémissant de plaisir madame se mit à me sucer avec cette passion qui suscite mon admiration sinon ma dévotion. J'éjaculais une première fois au bout d'une vingtaine de minutes. Madame gloussait de bonheur. Puis, avec cette concentration soudain silencieuse, elle repartait pour un second tour de pompe.Madame apprécie les mets délicats.

Je surveillais l'horloge Westminster, entre la bibliothèque et le piano. Son cocu rentrait pour vingt trois heure. Il était déjà vingt deux heure. J'invitais donc ma coquine à prendre ce postulat en considération. Me fixant dans les yeux, soutenant mon regard inquisiteur, la Dame me suçait comme si sa vie en dépendait.

Je lâchais quelques petits jets précis pour admirer ses réactions. Madame déglutissait en gloussant. Parfois avec peine, en toussant, car, un peu vicelard, j'en lâchais une giclé plutôt qu'un jet. Enfin, pour vingt deux heure trente, j'éjaculais une seconde fois. De longs spasmes agitèrent nos deux corps fins et humides.

Dix minutes plus tard, après s'être rendu visage humain à la salle de bain, pendant que je séchais ses cheveux au sêche-cheveux, la Dame, mâchant un chewing-gum pour l'haleine, fila à toute vitesse. Il lui fallait être à la maison avant son mari. Rendez-vous fut fixé à samedi soir. Son cocu ayant un match de foot-ball, nous aurions toute latitude pour nous offrir une nouvelle séance.

Après son départ, je passais la serpillère...


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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 3) -


Madame vient apprécier sa troisième séance

Toute cette semaine, elle m'a envoyé de doux messages, de gentils SMS et d'agréables petits mots. Elle était tant pressée de venir me retrouver samedi soir, pour notre nouvelle séance. Impatiente, elle est arrivée, hier soir, pour dix neuf heure trente. Son cocu ayant un match de foot-ball, elle disposait de quatre bonnes heures pour un "dressage" dont elle raffole.

Chères amies lectrices, vous connaissez à présent toutes le plaisir divin que me procure l'élaboration de délicieux petits plats. J'excelle dans le CUL-inaire et je me vante d'être un remarquable Maître-Queue. Aussi, ma "coquine", une fois encore, put se régaler d'une de mes secrètes recettes.

Après le dessert, constitué d'une délicieuse coupe glacée, (quatre boules, vanille, pralin, pistache et nougat), nous sommes passés au salon. Ma "visiteuse" me supplia de l'attacher aux poutres apparentes de mon salon. Aussi, toujours soucieux de contenter la Dame, je l'attachais avec les menottes qu'elle me tendait, les yeux pleins d'espoir.

Vêtue de sa jupe-kilt rouge, à carreaux, d'un fin pull mauve, chaussée de ses souliers noirs à talons hauts, elle se retrouva, bras en l'air, menottée à une des poutres du plafond. Pour écarter ses jambes, à ses chevilles, je fixais la barre qui l'empêchait de les rapprocher. Sur cette barre horizontale je fixais la barre verticale dont l'extrémité était un gode. Doucement, en l'embrassant, je lui enfonçais ce gode.

Puis, comme nous adorons le faire, j'allais m'asseoir dans le fauteuil. Là, en sirotant un jus de mangue, avec des glaçons, je l'observais. La boule en caoutchouc rouge, maintenue dans sa bouche par la sangle de cuir qui enserrait sa tête, luisait de salive dégoulinante. La belle bavait déjà sur le haut de son pull. Merveilleux spectacle...

Je restais ainsi plus d'une vingtaine de minutes à la scruter. Elle me fixait de ses yeux suppliants. Elle désirait à présent passer à des choses plus "humides". Que la lectrice me pardonne ce néologisme absurde et surréaliste, mais c'est le terme le plus approprié. Je me levais pour venir lui lécher le menton et me régaler de sa salive.

Je passais ma main sous sa jupe. Le gode était bien enfoncé. De la cyprine coulait le long de la barre et dégoulinait sur les planches de mon parquet de chêne. L'intérieur de ses cuisses était trempé tout comme son sexe suintant. Je m'accroupissais pour aller me régaler de tout ce jus. Qui ne connait la jute d'une "esclave" ne sait rien des plaisirs du cunnilingus.

La belle se tortillait de plaisir en gémissant de bonheur. Je retirais le gode. Je passais derrière elle. J'ouvrais ma braguette et je la pénétrais avec une infinie douceur. Mon sexe entrait tout seul, sans aucun effort. Je restais ainsi, sans bouger. C'est elle qui se tortillait doucement. Elle cherchait le meilleur angle afin de trouver la meilleure sensation. Je lui caressais ses tous petits seins. Je lui léchais les joues, le cou et la nuque.

Je restais ainsi, une vingtaine de minutes, à lui faire l'amour. Toujours avec cette infinie tendresse qui la ravissait. Le paradoxe entre la situation et ma douceur lui procurait les plus délicats plaisirs. Puis, je la délivrais enfin. Je lui fixais les mains derrière le dos. Menottée, maintenue par ses cheveux, je lui faisais faire le tour de la maison. Elle adore être "guidée"...

Je lui montrais la pendule. Il était déjà vingt et une heure trente, il fallait penser à la dernière phase de notre séance. Il restait une heure. Aussi, m'installant dans le fauteuil, mon pantalon aux genoux, je la fis mettre à genoux sur le coussin posé au sol. Là, entre mes cuisses, elle pouvait s'installer confortablement.

Me fixant dans les yeux, avec ce regard plein de reconnaissance, elle me suçait avec cette passion si admirable. Les gargouillis, mêlés à ses gémissements de plaisir, étaient la bande-son de ce film épatant. Parfois, en fonction de ce que je "lâchais", déglutissant avec peine, elle gloussait de bonheur. Je lui lâchais des petites "surprises"...

Au bout d'environ quarante cinq minutes, j'éjaculais. Trois saccades secouèrent mon corps de délicieux spasmes délicats. Avalant goulument, en gémissant, ma "coquine" me fixait avec ses yeux brillants de vice, de stupre et de luxure. Il fallait cesser. Aussi, à son plus grand regret, ainsi que du mien, je la relevais.

Son cocu rentrait pour vingt trois heure. Il fallait donc que ma complice soit de retour chez elle au plus tard pour vingt trois heure. La douche, reprendre visage "humain" et se mettre au lit afin de faire semblant de dormir. Pour éviter les assauts de son conjoint aviné.

Rendez-vous fut fixé pour samedi prochain...


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Le romantisme délicat de la soumisson - (Séance 4)


Madame vient savourer sa quatrième séance


Ma "coquine" m'avais téléphoné juste avant mon départ, à la fin du mois de juin.
Prétextant une visite chez sa collègue de travail pendant le dernier entraînement de foot-ball de son mari,
elle avait prévu de passer ce jeudi soir en ma délicieuse compagnie.
Nous avions donc quatre heures à consacrer aux plaisirs de la Dame.

Ma "coquine" arriva pour dix neuf heure. Comme d'habitude, j'avais préparé un délicieux repas.
Il est toujours plus agréable de se livrer aux plaisirs de la chair après s'être livré aux plaisirs de la table.
Aussi, nous avons fait honneur à ce gratin de tomates et de courgettes accompagné d'une salade de carottes et d'avocats.

Vêtue d'une jupette de style "tennis", d'un T-shirt laissant poindre le bout de ses petits seins pointus
et chaussée de "basket", je la trouvais délicieusement sexy.
Après le repas, la saisissant doucement par les cheveux, je l'entraînais vers mon salon.
Les fenêtres ouvertes offraient un agréable courant d'air.

Avec les menottes qu'elle me tendait, presque suppliante, j'attachais ses mains, les bras levés,
à une des poutres apparentes du plafond.
J'écartais ses jambes pour fixer à ses chevilles cette barre qui l'empêchait de les resserrer.
Passant ma main sous sa jupe, j'écartais son slip pour me rendre compte que la Dame était bien "humide".
Elle eut un gémissement significatif.

Je fixais la boule en caoutchouc rouge dans sa bouche, maintenue par une sangle qui l'enserrait par la nuque.
Les yeux pleins de reconnaissances, ma "coquine" bougeait déjà doucement du bassin.
Au milieu de la barre horizontale qui écartait ses jambes, je fixais la barre verticale.
L'extrémité terminée par un gode que je lui enfonçais doucement.
Je regardais son visage se couvrir de sueur.

J'allais m'asseoir dans le fauteuil pour, une fois encore, l'observer longuement pour notre plus grand plaisir.
Elle aime tant être vue dans ces situations. Aussi, je me fais un devoir de lui offrir ces moments "précieux"
pour sa libido et ses fantasmes exhibitionnistes. Elle est si belle, là, sur la pointe des pieds,
de la salive coulant sur son menton pour dégouliner sur le haut de son T-shirt.

Son bonheur est palpable. Et pour m'en assurer, au bout de dix minutes, je me lève pour venir la toucher.
Je passe une nouvelle fois ma main sous sa jupette. Tout y est mouillé.
Je l'embrasse, je lui lèche le visage avant de tomber à genoux pour savourer ses muqueuses de ma bouche avide.
Elle gémit sans retenue.

Au bout d'une dizaine de nouvelles minutes, je me lève. Je la détache. Je lui passe le collier.
Avec une laisse courte, je la promène dans toute la maison. Je lui retire la boule de la bouche
et je l'embrasse comme un fou. Sa salive est un véritable nectar.
Je lui enfonce un doigt dans le sexe. Trempé ce dernier est animé de spasmes musculaires.
Etonnante sensation qui électrise toute ma main.

Soulevant son corps qui me semble si léger, je la dépose sur mon grand bureau.
Je lui écarte les cuisses largement pour déposer chacun de ses pieds sur mes épaules.
En appui sur ses mains, derrière elle, j'ouvre ma braguette.
Immédiatement je la pénètre avec une infinie tendresse, doucement, lentement.

La tête rejetée en arrière, murmurant des mots incompréhensibles,
elle pousse des gloussements de plaisirs qui affolent mes sens.
J'accélère le mouvement du bassin. Nous restons ainsi longuement à faire l'amour.
Je la soulève sans me retirer. Elle passe ses jambes autour de mes hanches.
Elle me tient par les épaules.

Je la promène ainsi, pénétrée par mon sexe, dans tout le salon.
Elle m'embrasse goulument avec une avidité folle. Elle ne pèse rien et nos corps fins sont trempés l'un de l'autre.
De nos substances collent mon pantalon. Je l'emmène sur le canapé. Là, je me couche sur elle.
Des soubresauts, nombreux, parfois violents, secouent tout son corps.

Au bout d'une demi-heure, j'éjacule comme un dément. Elle se cabre.
Nous avons plusieurs orgasmes communs. Elle se coule contre moi.
< Je t'aime ! > me dit-elle avant que je ne pause ma main sur sa bouche.
Ses yeux m'implorent. Je ne veux pas entendre la suite. Rien n'est possible.
Sa vie est trop compliquée. La mienne est tellement plus simple...

Nous définissons une nouvelle séance pour le début du mois d'août où j'aurais deux jours de battement.
Il est temps qu'elle rejoigne ses foyers. Son cocu ne va pas tarder. Il est déjà vingt trois heure.
Nous nous embrassons longuement dans l'allée du jardin.
< C'était bien ! Tu es merveilleux ! < me fait-elle encore avant d'entrer dans sa voiture.
< Je sais ! > lui fis-je avec un clin d'oeil.

Je la regarde partir. La voiture disparaît dans la nuit, au bout du chemin qui monte vers la route...


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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 5) -


Madame vient savourer sa cinquième séance


Ma "coquine" me fit un SMS dès le vendredi soir. Me prévenant de son arrivée le lendemain, samedi, pour dix neuf heure trente. Pour donner libre cours à mes penchants culinaires, j'envisageais déjà le premier plaisir de préparer un délicieux petit repas. Une entrée en "matière" des plus gastronomiques.

Elle arriva à l'heure. Elle est toujours d'une ponctualité exemplaire. Pourtant, c'est une femme ! J'entends sa voiture descendre le long du chemin, depuis la route. J'entends le crissement des pneus sur les gravillons devant la maison. Je viens l'accueillir. Elle est là, debout devant sa voiture, souriante, heureuse de me voir.

Vêtue de sa jupe "kilt", de son chemisier crème, chaussée de ses souliers noirs, fermés, à talons hauts, ses longs cheveux en libertés, tombant sur ses épaules, sa longue silhouette filiforme, me séduisent d'une façon de plus en plus prégnante. Elle est belle. Elle est séduisante. Elle est attractive. Je suis sous le charme.

Je l'invitais à me suivre. Le bruit de ses talons, sur le carrelage de l'entrée puis de la cuisine, résonnait déjà comme la première musique de cette nouvelle soirée ensemble. L'odeur du gratin de courgettes caressait de ses effluves délicates les narines de ma belle visiteuse. Je l'invitais à s'asseoir. Je disposais le saladier et le plat sorti du four. Je pouvais découvrir son regard émerveillé. C'était beau. Première douceur.

Après le dessert, constitué d'une énorme coupe glacée, que nous avons dégusté dans le salon, elle me tendit les menottes sorties de son sac à main. La saisissant par les cheveux, je la levais du canapé. Je lui attachais les mains derrière le dos. Je lui demandais de se mettre à genoux sur le coussin de velours carmin.

Là, je la fis basculer délicatement au sol. Couchée sur le côté, les mains attachées derrière le dos, je lui fixais les chevilles. Les sangles délicates, du cuir de ses souliers, qui enserraient ses chevilles fines, ne gênaient pas la grosse corde de coton blanc. Dans la bouche, je lui enfonçais doucement la boule de caoutchouc rouge que je maintenais par une sangle autour de son cou. Fermée dans la nuque.

Lui levant la jupe, je pu découvrir sa belle et abondante touffe noire. Elle ne porte que rarement une culotte lorsqu'elle vient me visiter. Je la caressais doucement. Rapidement de la mouille coulait sur mes doigts. C'était merveilleux. Je lui enfonçais le gode. Puis le plug anal, le fameux "rosebud" en métal chromé. Préalablement chauffé et lubrifié de crachats. Je me redressais pour m'asseoir dans le fauteuil. Sirotant un jus de kiwi bien frais, je l'observais longuement.

Ma "coquine" adore être regardée ainsi, dans ces situations si particulières. Elle adore être observée, scrutée longuement. Cela l'excite considérablement. Je fixe son regard parfois suppliant, souvent reconnaissant mais toujours plein de ce ravissement divin qui me rassure quand à la qualité de mes activités de "Maîtres". Même si je n'en ai pas réellement l'âme, je sais quand même très bien donner le change. Pour son plus grand bonheur. Je vois bouger son bassin dans un discret mouvement masturbatoire...

Nous sommes restés ainsi une bonne vingtaine de minutes. Parfois, je me lève pour venir voir couler son jus. Des coulures de cyprines dégoulinent de la "source" pour venir s'écouler, le long du pli fessier, jusque sur les lames de chêne du plancher. Une belle flaque de foutrine reflète les poutres apparentes du plafond. Je lui dépose de délicats baisers sur les joues et le front. Avant d'aller lécher son entrejambe trempé.

Ma "coquine gémit de plaisir. Je me régale de ses muqueuses aux goûts suaves, parfois acides, souvent crémeux. Elle se met sur le dos, malgré ses mains attachées, pour écarter ses jambes qui restent ligotées par les chevilles. Ainsi, elle peut jouir de mes caresses avec fougue. Sa salive suinte entre les lèvres de sa bouche et la boule de caoutchouc. Elle en a jusque sur le col de son chemisier. Je remonte pour m'en régaler.

Le gode tombe tout seul au sol de son sexe trop humide. J'ouvre ma braguette et je prends sa place. Je m'introduis doucement en elle. Avec d'infinies précautions. Lentement. Lui faisant savourer longuement chaque avancée de mon sexe à la rigidité de fer. Je fais durer tout cela un temps indéfinissable. Puis, après lui avoir détaché les mains et les chevilles, je lui fais l'amour. Son "rosebud", lui, est toujours en elle dans l'autre "trou". Je le fait parfois tourner un peu.

Les yeux fermés, de la salive suintant des lèvres de sa bouche, la tête rejetée en arrière, elle gémit d'un bonheur intense. Je détache la sangle qui maintient la boule dans sa bouche pour y mettre ma langue. Je fouille chaque recoin de sa cavité buccale en bougeant doucement mon bassin. Sous sa tête, j'ai placé le coussin.

Nous restons ainsi longuement. Puis, au bout d'une bonne demi-heure, doucement, je me retire. Elle veut me retenir. Je me lève. Je la saisis par ses cheveux pour la redresser. Puis, la maintenant ainsi, je la promène dans toute la maison. Je l'emmène à l'étage. Je lui fais faire pipi debout au-dessus de la faïence des toilettes. Elle pisse un peu n'importe comment en mettant partout. Délicieuse salope ! Je viens lui lécher le minou trempé.

Je lui mets le doigt et nous reprenons notre "promenade". De retour au salon, la faisant mettre à genoux sur le coussin de velours, je descends mon pantalon avant de me vautrer dans le fauteuil. Je guide sa tête en la tenant par la nuque et le menton. Elle suce en gloussant de bonheur. En gémissant de plaisir. Je lui lâche quelques "giclées" qui la ravissent. Surprise, elle en tousse...

Je regarde l'heure sur la grande pendule Westminster. Il est déjà vingt deux heure trente. D'ici une demi-heure il lui faudra rentrer. Être à la maison avant le retour de son cocu. Je lui offre une première éjaculation, abondante et saccadée. Puis, la redressant, je la fais mettre à genoux à ma place dans le fauteuil. Je m'introduis en elle une nouvelle fois en faisant tourner le "rosebud" toujours planté dans son orifice anal.

Je lui fais l'amour par derrière en accélérant le mouvement jusqu'à une seconde éjaculation qui la fait crier de plaisir. Je reste encore quelques minutes à me secouer en elle. Puis, avec d'infinies précautions, je me retire. Il est temps de monter à l'étage, à la salle de bain, afin qu'elle retrouve apparence humaine. Ses cheveux défaits, son visage trempé doivent faire place au visage habituel de la belle bourgeoise rassurante et excitante.

Je la regarde partir après lui avoir interdit de me parler de ses sentiments de plus en plus affirmés pour ma personne. Je lui ai précisé qu'il est impossible d'aimer un "Maître". Il faut se contenter de lui obéir et d'optempérer à ses exigeances. Même si tout cela n'est qu'un jeu délicieusement excitant. J'ai envie d'elle tout le temps. Mais je ne le lui dis pas !

Je regardais monter la voiture le long du chemin qui menait à la petite route, en haut de la propriété. Le bruit de l'accélération et la disparition dans la nuit chaude de ce mois d'août inoubliable me laissaient une impression de soudaine solitude. Elle reviendra samedi prochain...


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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 6) -


Madame vient savourer sa sixième séance


Elle arriva pour dix neuf heure trente. Précise comme à son habitude.
Comme toujours, je mis à profit cette visite pour donner libre cours à mes passions culinaires.
Je concoctais donc un de ces délicieux repas dont je conserve jalousement le secret.
Aubergines farcies au pâté de lentilles, gratinées au four, avec parmesan.
Le tout accompagné d'une onctueuse salade d'avocat.

Lorsque ma complice arriva, sous une légère bruine Bretonne, je vins la débarrasser de son imperméable.
Vêtue d'une jupe noire, de style "tailleur", d'un chemisier blanc et chaussée de souliers noirs.
Avec ses escarpins, fermés, à talons hauts, je la trouvais absolument exquise.
Ses longs cheveux noirs flottant en toute liberté jusqu'en haut de son dos.
Je l'invitais à me suivre à la cuisine.

Je la regardais se régaler de mes préparations gastronomiques. Comme elle est belle.
Après ce délicieux repas, je l'invitais à passer au salon afin de déguster la glace du dessert.
Deux grandes coupes glacées posées sur la petite table basse, devant le canapé.
Vanille, pralin et pistache surent attiser nos palais.

Lorsque je revins de la cuisine, après avoir débarrassé la table, je revins vers ma complice.
Vautrée, lascive, au fond du canapé, elle me tendit les deux paires de menottes.
Ces accessoires qu'elle avait tiré de son sac à main.
Je compris que nous allions sacrifier à l'un de nos rituels érotiques.
Aussi, la prenant par la main, je l'invitais à se lever.

L'entraînant sous une des poutres apparentes du salon, je lui levais les bras.
Je les fixais, avec une des paires de menottes. Ses poignets entravés, elle me fixait amoureusement.
Je lui menottais également ses chevilles délicates.
La sangle de cuir fin, enserrait chacune de ses chevilles avec délicatesse.
Tout cela était du plus bel effet.

Dans la bouche, je lui plaçais la boule en caoutchouc rouge que je fixais dans sa nuque.
Je fixais cet accessoire par la sangle de cuir clouté.
Son regard, suppliant, en disait long sur sa motivation.
Je passais une main sous sa jupe. Elle ne portait aucun sous-vêtement.
Je pu donc me rendre compte que la belle mouillait déjà considérablement.

La "coquine" gémissait en respirant fortement.
Parfois, en apnée, les yeux fermés, elle cherchait la meilleure position de son bassin.
Je la caressais. Je passais mon doigt délicatement sur son petit bouton.
Doucement, j'introduisis mon médius. Un soubresaut secoua soudain tout son corps.
Je cherchais les angles les plus subtils. Du jus dégoulinait sur ma main.

J'étais accroupis. Je levais sa jupe et la fixais en l'enfonçant dans sa ceinture.
Lui écartant les cuisses, je vins me régaler de cette délicieuse cyprine qui suintait.
Je léchais avec un plaisir immense, me régalant des saveurs de la Dame.
Celle-ci, inclinant son bassin de gauche à droite, se cambrait en avant et en arrière.
Elle cherchait les toutes meilleures sensations.

Ma complice eut un premier orgasme. Je me relevais.
De la salive lui coulait sur le menton, maculant le haut de son chemisier.
J'ouvrais les bouton pour caressaer ses tous petits seins qui pointaient avec le bout turgescent.
Elle me regardait avec une infinie reconnaissance.
Je lui léchais le menton, la bouche, savourant sa salive délicieuse.

Je passais derrière elle. Me débraguettant, je sortis mon sexe.
Doucement, avec d'infinies précautions, je m'enfonçais dans son antre secrète.
Une fois encore, la tête rejetée en arrière, elle se mit à gémir.
Je bougeais doucement, imprimant un rythme lent et régulier.
Je lui caressais les seins de ma main droite, tout en la maintenant par le menton.

Parfois, j'accélérais le mouvement. Les gémissements redoublaient.
J'accélérais encore. Nous étions en sueur. J'ouvrais mon pantalon qui tomba sur mes pieds.
Je ralentissais afin de bien contrôler tout ce qui se passait.
Nous étions là depuis une bonne demi-heure.
Je commençais à ressentir des crampes et quelques douleurs lombaires.
Ma complice était couverte de sueur et, parfois, agitée de tremblements.

Avec d'infinies précautions, je me retirais. Je détachais ses mains et ses pieds.
La tenant par les cheveux, je la promenais dans tout le salon.
Elle tomba soudain à genoux. Je lui retirais la boule de caoutchouc pour m'en pourlécher.
Aussitôt, avec une avidité étonnante, dans un cri, elle s'empara de mon sexe avec sa bouche.

Cette caresse, d'une indicible douceur, m'enivrait immédiatement.
Me tenant par les fesses, me suçant en gémissant, elle me procurait les plus extatiques sensations.
Je la tenais par les oreilles. Je bougeais doucement.
Je pouvais la voir déglutir avec quelques difficultés.
Au bout d'une dizaine de minutes, j'éjaculais dans un orgasme qui secoua tout mon corps.

Rapidement le temps passa. Il était déjà vingt deux heure trente.
Il lui fallait passer à la salle de bain pour retrouver apparence "normale".
Ma "coquine" devait être de retour chez elle pour vingt trois heure trente.
Avant le retour de son cocu. Lorsque je la vis partir, j'eus un délicieux frisson.
Nous devons nous revoir mercredi prochain.

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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 7) -

Le Gode


A mon retour de mes vacances, je découvrais, dans ma boîte aux lettres, une belle enveloppe.
Une de ces enveloppes imitant le papier jauni des temps passés.
Mon prénom, écrit avec une calligraphie magnifique, m'intriguait vraiment beaucoup.
Parmi les factures, les publicités, cette enveloppe m'invitait à m'en occuper en priorité.
J'ouvrais avec d'infinies précautions. C'était un mot de ma coquine.

Ma complice m'apprenait son désir de passer la soirée de samedi avec moi.
Ce premier samedi d'octobre s'annonçait donc sous les meilleures augures.
Je m'empressais d'envoyer un SMS de confirmation.
J'avais ramené quantité de photographies de mon séjour à Edimbourg.
Des clichés de mes périples à Aberdeen, à Inverness et à Saint-Andrew.
Je savais que ma coquine rêvait de ce pays et qu'elle serait ravie de découvrir ces clichés.

Comme pour chacune de ses visites, je préparais un délicieux repas.
Un gratin Dauphinois agrémenté d'une petite astuce culinaire personnelle.
En effet, j'aime faire revenir du choux à la poêle, avec de l'ail et de l'oignon.
Puis, avant de mettre les rondelles de pommes de terre, je dépose cette préparation au fond du plat.
C'est un délice supplémentaire, accompagné d'une salade de tomates au basilic.

Ma complice arriva pour dix neuf heure. Toujours avec cette précision exemplaire.
L'odeur qui provenait du four et qui envahissait la cuisine, était le prélude d'un repas qui serait apprécié.
Tout en conversant, j'observais ma coquine se régaler de ma cuisine.
Nous prenions le dessert assis dans le canapé du salon. Deux énormes coupes glacées.
Après ces délices, ma coquine, de son sac à main, sortit deux paires de menottes qu'elle me tendit.

Vêtue de sa jupe kilt, d'un chemisier recouvert d'un pull fin, elle était spendide.
Chaussée de ses escarpins noirs, fermés et à talons hauts, sa fine silhouette était magnifiée.
Ses longs cheveux flottaient en liberté jusqu'au milieu de son dos. J'en avais des frissons.
Je pris ses mains pour les regarder longuement. J'aime ses doigts longs et fins.
Tout est fin chez elle. J'attachais ses poignets avec la première paire de menottes.

Ma complice me regardait avec des yeux implorants.
Je savais que ce mois d'absence avait pesé lourdement sur sa libido.
La prenant délicatement pas la nuque, je la forçais à se lever.
Lui passant un collier clouté autour du cou, je lui mis la laisse.
Dans sa bouche, je plaçais la boule de caoutchouc rouge.
Cette boule, fixée dans sa nuque, par une sangle de cuir, achevait de lui procurer quelques excitations.
Ce qui est bien compréhensible par les "connaisseuses".

La tenant par la laisse, je promenais ma complice dans tout le rez-de-chaussée de la maison.
Après la visite, j'emmenais ma douce dans le jardin.
Là, entre deux haies, lui appuyant sur les épaules, le la forçais à s'accroupir.
En gémissant elle se laissa faire, lascive et heureuse. Je l'invitais à faire son "besoin" par petits jets.
Lorsque je disais < Go >, je voulais entendre le bruit net et précis.
Lorsque je disais < Stop >, tout s'arrêtait. Elle attendait, haletante, mon ordre.

Je ramenais ma coquine dans le salon. Je la forçais à s'asseoir sur une chaise.
Mais à l'envers, l'obligeant ainsi à garder les cuisses écartées à cause du dossier.
Je fixais ses chevilles aux pieds arrières de la chaise.
Je la laissais ainsi pour aller me vautrer dans le canapé.
Ma complice aime tant être vue, elle adore tant être regardée.
C'est donc avec joie que je lui offris mon regard et toute mon attention.
Je l'admirais une bonne quinzaine de minutes. Elle était aux anges !

Parfois, je me levais pour tourner autour d'elle. Ses yeux, pleins de reconnaissances, me suivaient.
Du tiroir de mon bureau, je sortis le gode en ivoire jauni.
Vieil objet acquis dans une vente aux enchères pour une somme dérisoire.
Présenté comme étant un "objet de culte", je devinais immédiatement quel était son usage véritable.
Une vraie œuvre d'Art de collection, sculptée et polie. Ce gode devait dater de l'époque Ming.
En ces temps lointains, en Asie, les gens étaient beaucoup plus avides de plaisirs qu'aujourd'hui...

Ma complice, lors de nos séances, ne porte pas de culotte. Aussi, il était très facile de lui introduire l'objet.
De mes doigts, je pouvais constater l'humidité du sexe de ma coquine.
De la cyprine laiteuse et visqueuse coulait de son intimité. La petite flaque sur le cuir de la chaise, était belle.
Doucement, avec d'infinies précautions, j'y enfonçais le gode. Elle eut une série de soubresauts.
Assise, le gode enfoncé et coincé, je la laissais à nouveau pour aller m'installer dans le canapé.
Je la contemplais à nouveau longuement.

Je pouvais découvrir d'imperceptibles mouvements de son bassin.
Ma complice se masturbait doucement sur la pièce d'ivoire. De la sueur coulait sur le bout de son nez.
De la salive suintait autour de la boule de caoutchouc pour couler sur son menton. et
Ce nectar dégoulinait sur le haut de son pull.
Ses yeux me suppliaient de venir la rejoindre, de venir m'occuper d'elle.
Je décidais de jouer avec cette impatience. J'estimais que cela faisait partie de la séance...


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Ne manquons pas l'étonnante suite, (Le gode 2), du prochain épisode de la nouvelle saison à venir : < Le Romantisme "Glamour" de la soumission >.
Ici-même, sur ce fabuleux forum, dans la même rubrique < Pratiques sexuelles >.

Les filles, je vous embrasse.
Les garçons, je vous serre la main.

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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 8)

Le Gode - (Episode 2)

Ma "coquine" était assise sur sa chaise, le gode enfoncé dans les douceurs de son intimité.
Elle imprimait un léger mouvement masturbatoire à ses hanches.
Les cuisses écartées, à cause du dossier de la chaise, elle me fixait avec ses beaux yeux pleins de reconnaissance.
M'implorant de venir la rejoindre afin de m'occuper d'elle.

J'étais vautré au fond de mon canapé à l'observer. J'estimais que cette situation participait de son plaisir.
Et du miens. Au bout d'une dizaine de minutes je me levais pour venir la rejoindre.
Je passais ma main sous sa jupe pour constater que tout était trempé.
Madame adore "s'oublier". Cela dégoulinait sur les lames de chêne de mon plancher.
Le long des pieds de la chaise Louis XV...

Je me débraguettais une nouvelle fois pour lui passer mon sexe sur le visage.
Elle me fixait en gémissant de bonheur.
L'extrémité humide de mon prépuce laissait des coulures de liquide séminal sur ses joues.
Je faisais pareil sur le bout de son nez, ses paupières et son front.
Je restais ainsi à la "tourmenter" pour son plus grand plaisir.
Au bout de dix nouvelles minutes, je la détachais.

La saisissant par ses cheveux, je l'obligeais à se lever.
Le velours carmin du siège de la chaise était trempé.
Il en dégoulinait sur ses cuisses et jusque sur ses chaussures.
Une femme "fontaine" dans toute sa sublime splendeur.
Le gode glissa tout seul et faillit tomber au sol. Je le rattrapais à temps. Objet d'Art de la période Ming.
Accroupi, je me régalais de la saveur des jus et sécrétions de ma complice.

Elle me tenait par les oreilles. Gémissant de plaisir, elle était cambrée sur ses jambes fléchies.
Dans cette position inconfortable elle connaissait malgré tout quelques spasmes. Un régal. Je me redressais.
Ma "coquine" cherchait à m'embrasser.
Je détachais la sangle pour lui retirer la boule de caoutchouc rouge de la bouche.
Tout était trempé. Son menton, son cou et le haut de son pull.
Merveilleux spectacle. Sublimes émotions.

Avec cette étonnante avidité, dont elle est coutumière, elle se précipite dans mes bras pour m'embrasser.
Quel délice ! J'adore sa salive. Autant que les jus de toutes ses muqueuses.
Elle se laisse tomber à genoux, à même le bois du sol, pour se mettre à me sucer.
Je peux entendre ses gloussements de bonheur. Sous l'effet de l'indicible caresse, je me sens vaciller.

Je me penche vers le fauteuil pour y récupérer le coussin de velours carmin.
Je le jette au sol et l'invite à s'y agenouiller.
Plutôt que de risquer d'abîmer ses beaux genoux sur les lames de chêne.
Au bout d'un petit quart d'heure d'une exquise fellation, je l'oblige à se relever.
Je l'emmène vers le bureau. Elle ne pèse rien. Je la soulève, je la dépose sur la surface du meuble.

Ma complice, déposant chacune de ses délicates chevilles sur mes épaules, se laisse pénétrer.
Je m'introduis en elle avec les plus infinies précautions.
Elle aime me sentir venir en elle doucement, lentement, avec tous les égards que je sais y mettre.
Malgré la situation torride, elle admire ma totale maîtrise.
Elle sait qu'elle peut perdre la tête, se laisser aller, dans la plus totale et confortable liberté de ses sens.

Je reste en elle sans bouger. Je lui tient les chevilles. Elle me fixe. Son visage est couvert de sueur.
Doucement, ma complice se met à bouger du bassin. Je reste parfaitement immobile.
Je pose le pouce de ma main droite sur son clitoris turgescent.
Elle rejette sa tête en arrière dans un râle de plaisir. Je bouge doucement.
Les poils pubiens de sa touffe épaisse, sont dégoulinants. Superbe !


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Le romantisme délicat de la soumission - (Séance 9)

Le Gode - (Episode 3)


Ma coquine est couchée sur mon bureau avec ses jambes relevées.
Ses chevilles maintenues par mes mains, bougeant lentement son bassin.
J'étais debout, introduit en elle. J'alternais les mouvements réguliers et les séquences d'immobilité totale.
Je pouvais l'entendre respirer fortement et lâcher de petits gémissements.

Nous sommes restés ainsi une bonne vingtaine de minutes. Ma complice allait connaître un nouvel orgasme.
C'était probable car elle semblait ne plus pouvoir cesser les mouvements de son bassin.
Ses hanches s'agitaient de façon rythmée.
Soudain, dans plusieurs spasmes, poussant un long râle, ma coquine s'envoya en l'air.

J'admirais son corps fin. Ce corps à présent parcouru par quantité de frissons.
C'était à la fois ravissant et émouvant. Je la laissais savourer l'instant.
Lorsque ma coquine eut retrouvée ses esprits, retrouvée son calme, je me retirais doucement.
Mon sexe était trempé et dégoulinait du jus de ma complice et de mon liquide séminal.

La saisissant par les cheveux, je l'entraînais au milieu du salon. Là, je lui passais la laisse.
Je lui enfonçais un plug anal dont l'extrémité se terminait par une queue faite de longs crins de chevaux.
Autour de ses genoux, je fixais des genouillères de roller. Je lui demandais de se mettre à quatre pattes.
En remuant son fin fessier elle pouvait donc aussi agiter la queue qui venait chatouiller ses mollets.
C'était beau...

Lentement, je l'emmenais "promener", faisant le tour de la pièce.
Je la "promenais" ainsi dans tout le rez-de-chaussée de la maison.
Une surface au sol de 130 mètre-carrés permettait de découvrir des recoins inattendus.
A la salle de bain, je lui demandais d'entrer, toujours à quatre pattes, dans l'espace douche.
Large et spacieux, cet espace permet de se mouvoir à plusieurs.
Un mètre cinquante sur un mètre cinquante, au sol.

Là, je lui demandais de lever la patte pour y faire son "besoin".
S'exécutant en gloussant, elle leva la tête pour me regarder de ses yeux malicieux et espiègles.
Elle lâcha plusieurs jets. Comme elle était belle, ainsi, la jambe droite relevée.
Tout coulait presque directement dans le trou d'écoulement.
Pratique, propre et net.

Je la laissais s'essuyer les genoux, les mains et la pointe de ses escarpins, sur la serpillère.
Je la tirais vers les toilettes, pour la faire mettre à genoux à côté de la faïence de la cuvette.
Redressée, m'observant avec attention, de ses yeux emplis d'une demande que je devinais, je lui offrais mon sexe.

Je le frottais doucement, tout mou, sur la peau de son visage.
J'y laissais quantité de coulures qui maculait son derme.
Je le lui passais dans les cheveux, sur ses oreilles. Je m'accroupissais pour venir la regarder de près.
Son nez coulait. J'avais l'envie folle de le sucer pour en récupérer la morve.
Ce que je fis...

J'adore lécher toutes ses muqueuses. Chacune d'entre elles m'offre les plus suaves délices.
C'était la première fois que je gouttais ce nectar. Salé, doux. Du jus de nez...
Cela dut la chatouiller car elle eut quelques frissons du visage. Je me redressais.
A présent en érection, je me masturbais doucement en observant ma douce complice.
Amusée, du doigt, elle se grattait les narines.

Doucement, j'enfonçais ma turgescence dans sa cavité buccale.
En gémissant de plaisir, elle l'engouffra en se mettant à pomper comme si sa vie en dépendait.
Savait-elle, une fois encore, ce que je lui réservais, là, au dessus de la faïence de la cuvette des WC ?


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Le romantisme délicat de la soumission - (Episode 10)

Le Gode - (Episode 4) - Suite et Faim -


Ma délicieuse coquine, accroupie devant moi, se régalait de mes épanchements.
Nous étions là, tous deux, dans le romantisme insolite de mes cabinets de toilettes.
J'étais debout. Légèrement cambré, la main gauche en appui contre le mur.
La main droite dans ses cheveux.

De par ma position plutôt inconfortable, il me fallait contrôler la cambrure de mes reins.
Je tenais ma coquine par ses longs cheveux. Je pouvais l'entendre gémir de plaisir.
Je sais que ces situations ont toute sa préférence.
Elle "goûte" ces instants avec délice.

Nous étions là depuis une dizaine de minutes.
Je l'entendais glousser, tentant de déglutir la quantité de mes substances.
Je savais que ses joies allaient en grandissant.
Je me mis à bouger de façon régulière, observant un rythme léger mais soutenu.
Entre Samba et Tango.

Cet acte masturbatoire, conjugué à la succion, permettaient des épanchements de très bonne qualité.
Ma délicieuse "soumise" volontaire, savourait mon liquide séminal avec ses gémissements habituels.
Mélodie merveilleuse.
Elle, toujours cantatrice talentueuse et Diva de nos luxures...

Pour la surprendre, comme j'aime à le faire, je me concentrais longuement.
Enfin, après moult efforts, je lâchais une discrète giclée. Un tout petit jet.
Ce changement de goût dut la ravir car elle enfonça mon sexe plus profondément dans sa bouche.
Sur les traits de son visage, se lisait une expression extatique.
Yeux fermés et concentrée, elle était si belle.

Ses lèvres agissaient comme une douce ventouse.
Une fois encore j'avais l'impression d''avoir mon sexe dans un bol de purée chaude.
La lectrice qui connait mes descriptions imagées me pardonnera la métaphore culinaire de la purée.
C'est la seule qui me vient à l'esprit.
Image pourtant si juste et si pertinente.

Je lâchais une seconde giclée, un peu plus appuyée. Ma coquine savourait en gloussant de plaisir.
Le bruit de bulles, caractéristique de cette acte ludique, résonnait dans le silence des WC.
Cette "musique" résonnait avec une réverbération étrange.
L'echo lointain de quelques jets d'eau.

Soudain, se retirant, laissant dégouliner le trop plein, en riant,
ma douce coquine me fit : < Il ne faut pas que ça parte en sucette ! >.
Tous deux, heureux, nous éclatâmes d'un rire sonore. Je lui enfonçais toutefois mon sexe à nouveau.
Il n'était pas question de nous égarer dans d'autres considérations.
Il nous fallait rester concentrés.

Depuis une bonne dizaine de minutes, ma chère complice était à genoux sur le carrelage.
Hors, cette idée même d'une éventuelle douleur, me tortura l'esprit.
Je la relevais doucement. La tenant par les cheveux, je l'emmenais vers le salon.

Là, je la fis mettre à genoux sur le coussin de velours carmin.
Mon pantalon aux chevilles, j'étais vautré dans mon canapé.
Je me faisais pomper le nœud avec cette manière "académique" qui faisait l'admiration de ma suceuse.

Je regardais l'heure. Il était vingt trois heure. Je le lui signalais en éjaculant longuement.
Cette fois, maîtrisant toujours parfaitement mon sexe, je m'épanchais sans saccades.
Je me laissais aller sans spasmes, en laissant couler.
L'orgasme fut à la hauteur de la virtuosité de la Dame.
Une véritable surprise...

La lectrice, connait la profondeur et la douceur indicible de ces fabuleux moments.
Elle sait les petits cris de plaisirs qui peuvent s'échapper dans le trouble et le tourment de l'instant.
Je laisse deviner, à cette même lectrice, émue, les petits cris de ma complice.
Comme enivrée d'un bonheur indescriptible...

Nous passions à la salle de bain afin que la belle se donne visage humain.
Pour l'haleine je lui offris un chewing-gum à la menthe forte.
Je lui essuyais les coulures de sperme qu'elle avait dans les cheveux.
Je lui proposais de me laisser son chemisier plein de pisse afin que je le lave.
Je faisais justement une machine le lendemain.
Avec du blanc ! Juste Le Blanc, (clin d'œil)...

Je raccompagnais ma douce coquine jusqu'à sa voiture.
< Je t'aime ! Je peux revenir samedi prochain pour une nouvelle séance ? > me fit-elle.
Chuchotant cela à mon oreille, sensuelle, avant de m'embrasser avec fougue.
< Il est interdit d'aimer son "Maître", dois-je vous le rappeler, délicieuse sa-lo-pine? > lui répondis-je.
Je lui précisais cela avant de la serrer très fort contre moi.

Je regardais partir la voiture en haut du chemin.
Je la vis s'évanouir dans la nuit.
Mon cœur se serra d'une étrange façon...


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Mais ?
Que peux bien m'avouer la belle jeune femme, ci-dessus ?
Il suffit de cliquer sur l'image pour le découvrir...

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Le romantisme délicat de la soumission - (Episode 11)

Promenée à la laisse - (Partie 1)

Ce mercredi matin, je passais l'aspirateur dans mon atelier.
Pour pouvoir créer dans les meilleures conditions, je dois pouvoir évoluer dans un espace d'une propreté clinique.
N'étant pas du tout un artiste "bohème", je déteste l'idée même d'un quelconque laissé aller.
Soudain, mon vieux téléphone "vintage", se mit à sonner.
Les deux cloches de cuivres martelées par de petits marteaux se mirent à tinter.

C'était ma coquine. Elle me prévenait de sa venue, ce soir, pour dix neuf heure.
Son cocu ayant entraînement de foot-ball suivi d'une réunion, nous avions toute la soirée.
Toute latitude pour nous offrir une nouvelle séance.
Madame adore les jeux de la soumission.
Ainsi la perspective d'un nouveau "dressage" l'émoustillait au plus haut point.
Je l'invitais à partager un repas avant les cordes et les menottes.

Avec cette ponctualité dont elle est coutumière, ma coquine arriva pour dix neuf heure très précises.
J'allais la recevoir pour la faire entrer dans la maison.
Vêtue de sa jupe "kilt", à carreaux, d'un chemisier blanc et d'un pull bleu, je la trouvais toujours aussi attractive.
Elle était chaussée de ses escarpins noirs, fermés, à talons.
Ces souliers délicats dont la petite sangle de cuir enlaçait délicatement ses chevilles.
Elle s'avança doucement dans la cuisine.
Sa haute silhouette, fine était encore sublimée par une démarche volontairement aguicheuse.
Une merveille !

La délicieuse odeur du gratin aux aubergines envahissait toute la cuisine.
Nous passions presque immédiatement à table. Nous avons mangé avec appétit.
J'adore la regarder manger.
Ses longs cheveux, noués en une natte qui reposait sur son épaule, pendaient sur son sein droit.
Seins minuscules dont je devinais les pointes sous la laine de son pull. Elle avait dénoué sa fine cravate.

Après le repas, comme à chaque fois, nous passions au salon.
C'est là, vautrés dans le canapé, que nous aimons à déguster nos énormes coupes glacées.
Après le dessert, ma coquine se redressant, fouilla dans son sac à main.
Elle en sortit deux paires de menottes.
S'accroupissant devant moi, cuisses écartées, elle me tendait ses poignets d'une finesse émouvante.
Elle me regardait avec ce regard implorant qui me pénétrait d'émotions amoureuses.

Je me levais. J'allais à mon bureau. Du tiroir du bas, je sortais un collier de cuir clouté et une laisse.
Je n'oubliais pas la boule de caoutchouc rouge. Je revins vers ma soumise.
La saisissant par sa natte, je la relevais. Je lui attachais les mains derrière le dos à l'aide des menottes.
Je lui plaçais la boule dans la bouche.
Cette boule maintenue par cette fine sangle que je fermais dans sa nuque.
Je lui passais le collier. Je fixais la laisse.

J'entraînais ma délicieuse soumise volontaire vers la sortie. Dehors, il faisait nuit.
Le chemin qui montait de ma propriété vers la route était sec. Tout était sec t il faisait doux.
Doucement, je l'emmenais vers le gazon. Là, je lui demandais de se mettre à quatre pattes.
Ravie, en gloussant de plaisir, la belle s'exécuta avec célérité.
Je tirais doucement sur la laisse pour la "promener" un peu.

Arrivée au pied du réverbère qui éclaire le petit bassin, je lui fis lever la jambe et lui ordonnais de faire son besoin.
J'en profitais pour lui enfoncer le rosebud en acier chromé que j'avais dans la main.
Lubrifié avec ma salive, il pénétra rapidement dans le fondement de la dame pour s'y coincer.
Son gloussement de contentement ne laissait aucun doute quand aux évènements à venir.
Elle se "lâcha" avec plusieurs petits jets absolument ravissants.
Un spectacle divin. Les choses à venir s'annonçaient d'un enchantement paradisiaque...


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Pour découvrir ce que m'écrit la belle dame ci-dessus, il suffit de cliquer sur limage...

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Le romantisme délicat de la soumission


Promenée à la laisse - (Partie 2)


Je regardais ma coquine, évoluant à quatre pattes sur mon gazon. C'était beau. Tout était bien sec.
Il faisait doux. La nuit était noire.
Je tirais doucement sur la laisse afin de la promener lentement tout autour du bassin.
Parfois, relevant la tête pour me regarder, elle me fixait de ses yeux pleins de reconnaissance amoureuse.

J'estimais que cette promenade avait assez duré. J'entraînais ma "soumise" vers la voiture.
J'ouvrais la portière de ma grosse berline allemande pour la faire monter à l'avant.
Le bon usage, dans une relation normale de "Maître à Soumise" , eut été de la faire monter dans le coffre.
Mais j'aime sa compagnie au-delà de tout.

Je fermais la maison à clef en laissant les lumières.
Je démarrais le véhicule qui s'élança doucement le long du chemin jusqu'à la petite route.
Nous prenions la direction de la petite commune de Barges-les-Ecluses distante de quelques kilomètres.
Ma complice posa sa tête sur mon épaule. J'avais l'envie folle de la serrer contre moi et de l'embrasser.
Elle aussi. Mais nous savions surmonter...

Je garais la voiture à l'entrée du petit parc. Le parc de la Turlute. J'allais ouvrir la porte de la voiture.
Je saisis la laisse pour entraîner ma soumise vers une allée peu éclairée.
Là, au pied d'un réverbère en panne, je la priais de se mettre à quatre pattes.
Je lui ordonnais de lever une jambe et de faire son besoin.
Juste un tout petit jet, net et précis. Pas plus. Elle fit son petit pissou.
C'était un spectacle de toute beauté.

Dans sa bouche, je plaçais la boule en caoutchouc rouge que je fixais à l'aide de la sangle, dans sa nuque.
Ainsi "équipée", toujours à quatre pattes, je lui couvrais le visage de doux baisers.
Son regard, implorant, follement reconnaissant, témoignait de son indicible bonheur.
Je passais ma main entre ses cuisses. C'était mouillé. Le pipi sans doute.
Elle eut un réflexe de plaisir.

Puis, la redressant, je la promenais dans le parc mais en prenant garde de rester dans les allées peu éclairées.
Parfois, je donnais un à coup à la laisse, ce qui la faisait trébucher. Les talons hauts sans doute.
Je regardais cette superbe jeune femme entrain de se faire mener ainsi à la laisse.
Elle, tellement désireuse de vivre ces moments magiques, excitants et inoubliables.

Arrivés près des vieilles toilettes, je sortais les menottes pour lui en attacher chaque main.
Je les attachais à un des montants de l'unique fenêtre à barreaux.
Je la laissais ainsi, dans une semi pénombre.
Ses yeux traduisaient l'excitation, la crainte et l'amour pour son Maître.
Je m'éloignais à une trentaine de mètres. Assis sur un banc, je la regardais longuement.

Malgré l'heure tardive, il pouvait y avoir un quidam, attardé, éméché, ou aventurier pour venir se promener là.
Je restais donc attentif. Scrutant les environs. Il était question de nous amuser et pas d'autres choses.
Soudain, venant de derrière moi, je pu entendre des voix. Je me retournais.
C'était un couple de jeunes gens. Un garçon et une fille. Ils s'embrassaient et riaient.

Rapidement, je me levais pour rejoindre ma soumise. Trop tard, le couple arriva à notre hauteur.
Ils me virent, tenant ma coquine à la laisse, les menottes pendantes à ses poignets.
Ils éclatèrent de rire et la jeune fille nous lança : < C'est bien comme "plan" ? >.
Je ne savais que répondre. C'est ma soumise qui le fit en répondant :
< A faire absolument. Je vous le recommande vivement ! >.
Tous les quatre, nous éclatâmes d'un rire sonore.

Tirant sur la laisse, entraînant ma soumise, je saluais le couple en leur souhaitant une excellente fin de soirée.
Ils nous regardèrent, amusés, disparaître dans l'obscurité des fourrés.
Là, j'ordonnais à ma soumise de s'accroupir. J'ouvrais ma braguette et je lui offrais sa récompense.
Au bout de dix minutes, mon attention fut attirée par un bruit de feuillage sur ma droite.

Je tournais la tête pour apercevoir le jeune couple qui nous regardait en silence et en souriant...


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Le romantisme délicat de la soumission

Promenée à la laisse - (Partie 3)

La jeune fille me fixait dans les yeux avec insistance.
Malgré la pénombre qui régnait dans ce parc, à cette heure tardive de la nuit,
elle pouvait voir ce que ma coquine et moi nous étions entrain de faire.
Le garçon, lui, observait ma complice accroupie devant moi.
Nul doute que sa bouche, luisante sous la lune, confirmait ce à quoi elle s'adonnait.

La jeune fille me fit un sourire équivoque. Je lui fis un clin d'œil en forçant ma coquine à se redresser.
Je restais ostensiblement ainsi, tenant ma soumise par sa laisse.
Le couple se détourna en nous disant < Bonsoir ! >. Ils disparurent rapidement dans la nuit et les fourrés.
Je refermais ma braguette et j'entraînais ma coquine dans l'allée peut éclairée.

J'avisais ce vieux kiosque, au milieu de l'aire dégagée et déserte. Je montais les trois marches le premier.
Je tirais sur la laisse pour faire venir ma soumise.
Là, avec les menottes, je fixais à nouveau chacun de ses poignets à une des colonnes de fonte.
Je lui remontais la jupe et je la coinçais à sa taille. Sa merveilleuse toison pubienne offerte ainsi à la lune.
Je la laissais pour redescendre les trois marches.

Je fis les quelques pas qui me séparaient d'un des bancs disposés en rond autour de l'aire ensablé.
Il fallait scruter avec soin pour voir cette splendide jeune femme attachée dans le kiosque.
J'admirais ce spectacle et je savourais ce moment. Je la laissais ainsi une bonne dizaine de minutes.
J'entendis soudain le bruit d'un jet qui se brisait sur le béton du sol. C'était elle qui se "lâchait"...

Je remontais pour la retrouver.
Effectivement, le sol, à ses pieds était trempé et une traînée commençait à s'écouler le long des marches.
Je montais sur le rebord en me tenant à une des colonnes. J'ouvrais ma braguette et je lui donnais sa récompense.
En tournant la tête, quelle ne fut pas ma surprise de voir le jeune couple de tout à l'heure, assis sur un banc.

Je n'avais pas pu les voir puisqu'ils s'étaient installés de l'autre côté du kiosque.
Décidément, il fallait se rendre à l'évidence, nos deux voyeurs cherchaient l'inspiration.
Je regardais avec attention. La jeune fille tenait le sexe de son amant en bougeant doucement.
Je redescendais. Je détachais ma coquine. Par la laisse, je l'entraînais au bas de l'escalier.
J'y remontais.

La saisissant par les cheveux, je dirigeais son visage vers mon sexe trempé.
Le couple s'était levé pour s'approcher. La jeune fille, comme tout à l'heure, me fixait avec une sorte de défi.
Je soutenais son regard. C'est elle qui me fit un clin d'œil.
Je me retirais de la bouche de ma soumise pour lâcher un jet, bref et précis, vers le sable du sol.
Elle ouvrit de grands yeux et une grande bouche. Le garçon se mit à rire.

Je me plaçais à nouveau dans la bouche de ma coquine. La jeune fille me regardait avec un éclat admiratif.
De ma langue je faisais une boule à l'intérieur de ma joue.
Elle baissa les yeux n'arrivant plus à soutenir mon regard. Le garçon, comme fasciné, regardait ma soumise.
Cette fellation nocturne et toute particulière devait donner bien des idées à ce jeune couple.

Je me retirais une nouvelle fois. Je me tournais vers le couple. Agitant mon sexe en direction de la jeune fille.
Elle observait cette scène surréaliste comme hypnotisée.
Ma coquine, s'adressant au garçon, lui fit < Un échange de partenaire, cher monsieur ? >.
Il y eut un long silence où le jeune homme et la jeune fille se regardèrent longuement.

Soudain, là, sur la droite, surgissant des fourrés, un quidam promenait son gros chien.
L'emmerdeur, l'inévitable casse-couilles, le "gâte-sauce" arrivait enfin pour gâcher la fête...


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Promenée à la laisse - (Partie 4) - Suite et Faim -

Je m'étais rapidement reboutonné. Ma complice s'était relevée. Le jeune couple s'était rapproché.
Le promeneur de chien passa à proximité. Il nous salua en tirant sur la laisse de son grand chien.
Tirant sur un ignoble cigare, il nous en imposa l'immonde fumée.
Ma coquine me tendit la laisse afin que je ne perde pas le fil de notre histoire.
Le quidam s'en aperçut avant de disparaître dans les fourrés.

J'observais la jeune fille. Elle ne devait pas avoir plus de vingt ans.
Elle était belle, brune fragile aux cheveux longs. Le garçon avait presque ma taille.
Il ne devait pas être beaucoup plus âgé que sa copine. Ils étaient tous deux près de nous.
Aussi je plongeais mon regard dans celui de la fille.
Je sortais une carte de visite de la poche de ma chemise, je la lui tendais en me présentant.

Nous fîmes connaissance de Loïc et de Julie.
Loïc était étudiant en dernière année et Julie n'était qu'en seconde année de faculté.
Ma complice lui passa la main sur le visage en lui disant : < Vous êtes beau Loïc >.
Ce dernier faillit vaciller.
Une belle jeune femme de trente cinq ans, hyper sexy, qui manifestait ainsi un tel intérêt pour lui !
Cela ne pouvait pas laisser ce jeune homme "indemne".
Nous savons toutes et tous les fantasmes de la plupart des jeunes hommes !

Le garçon se retrouva rapidement dans un état de confusion.
Alors que la jeune fille me regardait avec un curieux éclat dans le regard.
Pas du tout troublée en apparence, conservant visiblement tous ses esprits, elle me fixait par "en-dessous".
Elle me fixait avec un sourire vicelard.
Elle détacha ses cheveux comme pour me transmettre une sorte de "message" subliminal.
Je lui fis un clin d'œil pour lui faire comprendre que le "message" était bien reçu. Compris...

Loïc, d'une façon soudaine, se saisit de la main de Julie, de façon autoritaire.
Il nous lança : < Enchanté de vous avoir rencontré, mais il faut qu'on y aille. Peut-être à un de ces jours. >.
Ma coquine lui fit : < Oh oui, ça nous nous ferait bien plaisir. >
Elle rajouta : < Nous pourrions faire connaissance autour d'un bon café ! >.
Le garçon, visiblement pressé d'aller dissimuler son trouble, entraîna la fille qui me lança un regard comme peiné.
Elle me fit un léger signe de la main, agitant discrètement ma carte de visite.

< Ils ont ta carte. S'ils veulent nous contacter ce sera simple ! >.
Elle rajouta encore : < Viens, on rentre, il va bientôt être l'heure ! >.
Je l'entraînais par la laisse. Nous arrivions à la sortie du parc.
Le promeneur de chien, toujours là, me voyant marcher ainsi, tenant ma coquine, il nous parla.
S'adressant à nous avec un ton légèrement sarcastique : < C'est l'heure de la promenade ? >.
Ma complice, toujours agile d'esprit, répondit la première : < Oui, et il faut me sortir pour les pissoux du soir ! >.
Le type, devant tant d'aplomb, resta silencieux.

Dans la voiture, ma complice me fit : < Tu vas voir, la fille va te contacter la première ! >.
Je restais silencieux. Le visage, le regard et le sourire de la jeune fille me laissait une curieuse impression.
Ma coquine, m'ouvrant la braguette, s'empara de ma turgescence pour en savourer les sucs.
Je roulais tout doucement, avançant à peine. Peut-être 10 km/h sur une route prévue pour y évoluer à 90 !

J'éjaculais en rentrant dans la propriété.
Ma complice, pleine de cette reconnaissance émouvante, se serra longuement contre moi.
< Je peux revenir mercredi soir ? > me fit-elle les yeux implorant.
J'essuyais les coulures de foutre aux coins des lèvres de sa bouche.
Je lui réponds : < Séance de dressage mercredi soir. Mais avant, délicieux repas pour tous les deux ! >.
Elle m'embrassa longuement.
Puis, juste avant de filer, elle ouvrit la fenêtre de la voiture pour me lancer : < Je t'aime ! >...


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NOTE :
Pour savourer ce nouvel épisode, j'invite le lecteur à découvrir, (ou à redécouvrir), absolument, l'opus précédent.

Clémence

Je suis en train de passer l'aspirateur au salon. Ce mercredi matin est lumineux. Il est neuf heure.
Le soleil est déjà haut dans un ciel d'un bleu immaculé.
Mon gros téléphone "vintage", noir se met à sonner avec son tintamarre habituel.
Le petit marteau fait tinter les deux cloches de cuivre. J'arrête l'aspirateur.
Je le pose au sol. Je décroche le gros combiné de laiton.

< Bonjour monsieur, je suis Clémence, la fille du parc, vous savez, l'autre soir ! >.
C'est une voix délicate à l'autre bout du fil. Une voix que je reconnais immédiatement.
Je réponds : < Bonjour Clémence, oui, je me souviens très bien ! >.
Il y a quelques instants de silence.
La jeune fille reprend : < Mon copain ne sait pas que je vous appelle. J'aimerais vous revoir ! >.
Je suis agréablement surpris par l'initiative.

Nous mettons au point un rendez-vous pour demain, jeudi après-midi.
Un premier rendez-vous dans un salon de thé de la ville voisine.
J'apprécie les filles capables d'avoir des initiatives judicieuses.
Celles qui savent surmonter des inhibitions ridicules d'un autre âge.
Aussi, c'est avec joie que j'arrive au rendez-vous et à l'endroit convenu.
J'entre dans la boulangerie-pâtisserie.
Je vais directement vers le salon de thé, au fond.

Clémence est déjà là. Assise à la table à demi dissimulée derrière le grand aquarium.
Elle me fait un grand sourire. Elle se lève. Nous nous faisons les trois bises bretonnes réglementaires.
Je m'assois. La jeune serveuse vient prendre ma commande.
C'est devant deux chocolats chauds que nous faisons connaissance.

La jeune fille est étudiante. Seconde année de sciences économiques.
Clémence va avoir vingt ans cet automne. Elle est belle, mince et grande.
Vêtue d'élégante façon, ses manières trahissent une certaine classe. Clémence est attractive.
Dans ses mots, dans ses phrases, aucune de ces expressions "D'jeunes" et ridicules.
Tout n'est que délicatesse et courtoisie.
Une "classe" naturelle...

Clémence évoque le profond trouble qui a suivi sa découverte, le soir où elle nous a vu.
Le soir, dans le parc, avec ma "soumise". La jeune fille me confesse que c'est un de ses fantasmes.
Ce fantasme, qui la taraude depuis trois ans, est devenu très clair et en un instant.
Dans sa psyché, il était incroyable que des femmes et des hommes se livrent à de tels agissements.
Jusqu'à samedi dernier, vers vingt trois heure, où elle a assisté aux agissements de ma "soumise" et moi.

Je lui avoue que je ne suis pas un vrai "Maître" et que ma complice n'est pas une vraie "soumise".
Je lui confesse toutefois que ces jeux sont terriblement excitants et gratifiants.
Toutes les déclinaisons possibles des situations ainsi induites permettent d'élever le plaisir des sens.
Cela permet de hisser les plaisirs à des sommets prodigieux.
Clémence m'écoute avec de grands yeux, la bouche ouverte.
Elle semble réellement de plus en plus intéressée.

Clémence me pose des questions précises. Visiblement elle sait ce qu'elle recherche.
La jeune fille semble bien savoir de quoi elle parle.
Clémence a découvert ces pratiques sur quelques sites Internet.
Je lui explique que ce ne sont que des "vulgarisations" de situations, infiniment plus "nobles" dans la vie réelle.
Elle m'écoute comme subjuguée.

< Un "Maître", dans cette période de ma vie, est important ! > me fait la jeune fille.
Elle rajoute encore : < Je me connais. Cela pourra me procurer des émotions inimaginables ! >
Je précise : < Sans même évoquer les délices, les plaisirs et les jouissances qui vous attendent ! >
Nous restons tous deux à la fois dubitatifs et intrigués.
Je lui demande : < Voulez-vous découvrir une "première fois", Clémence ? >.
Sans même hésiter elle s'écrie : < Oh oui ! Vraiment ! Et le plus tôt sera le mieux ! >.

Nous bavardons encore un peu.
J'apprends que le jeudi après-midi est le seul qui est disponible dans son emploi du temps hebdomadaire.
Ce n'est possible que le jeudi après-midi...

Le samedi soir, Clémence est avec Jonathan, son petit copain de 23 ans.
Leur histoire n'a aucune "profondeur", ils ne font que "sortir ensemble".
Clémence n'a surtout pas envie de s'engager.
Ses études occupent la presque totalité de ses projets d'avenir.

Jonathan, comme tous les garçons de son âge, est plutôt possessif.
Il a une vision "romantique", sentimentale et s'imagine que c'est "pour du sérieux".
Clémence précise : < Parfois il m'énerve avec les "films" qu'il se fait ! >
Elle rajoute : < Il a du mal à accepter que je suis une fille libre et désireuse de le rester ! >.
Je reste évidemment mutique, n'ayant aucun désir de me mêler de ce qui ne me regarde et ne m'intéresse pas.

Je donne mon adresse à Clémence.
La jeune fille me précise qu'elle passe dans le bourg, près de chez moi, avec son bus chaque jour.
Il suffit donc de descendre à l'arrêt. De là, elle aura cinq cent mètres à faire avant d'arriver chez moi.
Nous convenons d'une première "prise en main" pour jeudi prochain.
Quatorze heure.
Clémence devra toutefois ne pas rater le dernier bus de dix neuf heure trente.

Pour éviter de tomber sur des "connaissances", je préconise la prudence.
Pour éviter les "collègues" étudiantes, je propose de laisser Clémence s'en aller toute seule.
Aussi, je ne la raccompagne pas. C'est une fille intelligente. C'est une véritable "cérébrale".
Selon ses dires, ses plaisirs doivent toujours passer par un processus mental.
Le fonctionnement idéal pour aller vers les plus suaves plaisirs.

Rendez-vous jeudi prochain...

Ma soumise me téléphone afin d'organiser notre séance de samedi soir, je lui raconte le coup de téléphone.
Sans entrer dans les détails. Sans lui révéler l'initiation de la jeune fille jeudi prochain.
< Tu vois, je te l'avais dit, elle n'a pas tardé ! > conclue ma complice.

Rendez-vous samedi soir...


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Le romantisme délicat de la soumission

NOTE :
Pour savourer ce nouvel épisode, j'invite le lecteur à découvrir, (ou à redécouvrir), absolument, l'opus précédent.

Clémence - (Séance 1)

Il est quatorze heure. Trois coups de sonnettes brefs, suivis de trois autres coups plus longs.
C'est le "code". Je sais que c'est Clémence. Je m'empresse de poser ma guitare pour aller lui ouvrir.
La jeune fille est vêtue d'un pantalon de toile bleue, d'une veste cintrée noire sur un T-shirt gris.
Elle est chaussée de baskets. Ses longs cheveux châtains flottent sur ses épaules.
Elle me fait un sourire timide. < Bonjour monsieur > me fait-elle.

Je la fait entrer. Je la tiens affectueusement par les épaules pour lui faire les trois bises bretonnes réglementaires.
Je l'invite à prendre place sur le canapé. J'avais préparé des petits gâteaux. Je lui propose le café.
Clémence est toute étonnée de mes attentions. Elle semble ravie.
Elle retire sa veste et pose son sac à ses côtés. Nous conversons un peu.

Je lui pose quelques questions précises sur ses goûts, ses aspirations et ses souhaits.
Tout particulièrement dans le domaine qui l'a emmené jusqu'à moi.
Elle m'avoue que ce qu'elle m'a vu faire au parc, avec ma "soumise", l'a profondément troublé.
Il est donc tout à fait naturelle qu'elle désire approfondir le sujet.

Nous dégustons les petits gâteaux de ma maman.
Nous buvons le café. Je suis assis dans le fauteuil en face de Clémence.
Nous nous observons en silence.
La jeune fille, sans doute agréablement troublée, ne peut pas soutenir mes regards longtemps.
Elle semble gênée mais paraît y trouver une certaine satisfaction.

Je me lève. Je passe derrière le bureau, je ramène la chaise. Je la place au milieu du salon.
Je demande à la jeune fille :
< Clémence, s'il vous plaît, veuillez vous levez et venir vous asseoir ici, sur cette chaise ! >.
Sans aucune hésitation, comme soulagée qu'il se passe enfin quelque chose, la jeune fille obtempère.

Je la regarde s'approcher et je précise :
< Non, Clémence, je veux que vous soyez assise avec le dossier de la chaise devant vous, entre vos jambes ! >.

Surprise, la jeune fille obéit. Je m'assois sur le canapé. Je la regarde longuement, je la scrute.
Cette fois, étonnée, elle soutient mon regard comme un défi.

Je me lève. Je retourne au bureau pour y récupérer une paire de menottes et deux cordelettes.
Je tourne autour de la jeune fille à plusieurs reprises.
Je me penche tout près de son visage pour le scruter avec l'attention d'un entomologiste. Elle sourit.
Je me redresse, je me saisis de ses bras.
Je sens une résistance bien légitime, puisque c'est sa toute première fois.
Elle se laisse faire.

Je passe ses mains derrière son dos et je les menotte pas les poignées.
Je m'accroupis pour attacher chacune de ses chevilles aux pieds de la chaise.
Elle a un regard étrange où alterne la crainte, la curiosité et un trouble de plus en plus apparent.
Je reste accroupis devant la chaise. Je caresse ses cheveux vers l'arrière.
Elle se laisse faire avec ravissement.

Je reste longuement tout près de son visage. Je peux sentir son souffle chaud.
Je la saisi par le menton que je tiens de ma main droite pour lui redresser la tête.
Elle me regarde avec défi. Je me redresse. Je lui tiens les cheveux en catogan de ma main gauche.
Ma braguette est à quelques centimètres de son visage. Le trouble de Clémence est manifeste.
Je reste ainsi de longues minutes.

Les yeux de Clémence fixe ma braguette que je touche de ma main droite.
Son regard interrogateur plonge dans le mien à plusieurs reprises.
Doucement, d'un geste calculé et parfaitement contrôlé, j'ouvre les trois boutons de mon pantalon.
J'introduis ma main droite dans l'ouverture. J'en sors mon sexe mou.

Clémence a un mouvement de recul. Je maintiens sa tête fermement.
La jeune fille n'a d'autre choix que d'accepter une de ces situations qu'elle est venue chercher.
Qu'elle désire avec tant d'enthousiasme.
Elle regarde, comme hypnotisée mon sexe que je tiens à sa base entre le pouce et l'index.
Je le secoue doucement sous ses yeux. Elle lève le visage pour me regarder pleine d'interrogation.

Je m'avance. Je lui passe mon sexe sur le visage. Je le fais longuement, passant dans chaque recoin.
Clémence, les yeux à présent fermés, se laisse faire. J'entends sa respiration.
Nul doute. La jeune fille est très excitée par ce qui se passe.
Parfois, en apnée, elle est comme en attente.
Puis, dans un souffle dont elle ne peut dissimuler la force, elle se relâche en ouvrant les yeux.

Je sais que tout cela est tellement neuf pour la jeune fille. Je reste aux aguets.
J'observe avec attention chacune de ses réactions. Nous restons ainsi un bon quart d'heure.
Je range mon sexe. Clémence, presque déçue, me fixe d'un regard fier et interrogateur.
Elle sait qu'elle vient de passer sa première épreuve avec brio.

Je passe derrière la jeune fille. Doucement, avec d'infinies précautions, je caresse ses tous petits seins.
Elle lâche un gémissement qui trahit son trouble et sans doute son excitation.
Je reste longuement à la caresser ainsi. Je passe mes mains sous son T-shirt.
Elle ne porte rien d'autre. La pointe de ses seins est incroyablement dure.

Je descends ma main droite que je glisse dans son pantalon. Clémence a un mouvement de recul.
En même temps, elle lâche un nouveau gémissement. Je caresse sa toison pubienne.
Je retire ma main pour ouvrir sa braguette. Je détache ses pieds.
Je la tire par les cheveux pour la forcer à se lever. Je descends son pantalon à mi-cuisses.
Elle tente maladroitement, et sans réelles convictions de m'en empêcher.

Je touche son sexe. Clémence est trempée. Je me mets à genoux. Je lèche son clitoris.
Je sens la jeune fille vaciller et chercher son équilibre.
Je caresse les lèvres de sa vulve du bout de mes doigts. Clémence a un soubresaut.
Une série de spasmes agitent son corps. Je l'entraîne sur le canapé.

Je continue à la caresser en l'embrassant. Elle enfonce sa langue dans ma bouche.
Clémence connaît à l'instant son premier orgasme de "soumise".
Je lui chuchote à l'oreille : < Nous allons en rester là, pour cette première séance ! >.
La jeune fille reprend doucement ses esprits.

Il est dix sept heure. Clémence ne doit pas rater son bus.
Je la raccompagne jusqu'en haut du chemin de la propriété.
< C'était superbe ! Merci ! > me fait-elle avant de me faire trois bises et tenter de m'embrasser.
< Je vous fais un mail dès ce soir ! > me fait-elle encore avant de se sauver le long de la petite route.
Je reste à la regarder marcher jusqu'à l'entrée du bourg.

Le soir même, je reçois un courriel absolument enchanteur.
Cette première séance, réussite absolue, demande une seconde séance.
Clémence me propose de passer samedi après-midi. Elle vient en vélo.
Je lui réponds que je préfère la récupérer en voiture dans un lieu "secret" qu'elle saura m'indiquer.
Pourtant, elle insiste pour maintenir l'initiative. Elle veut venir d'elle même.

Samedi ? Mais, c'est après-demain...


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Clémence - (Séance 2)

Ce samedi après-midi, pluvieux et gris, procure une curieuse sensation.
C'est comme si nous étions à l'automne.
Je suis entrain de jouer quelques arpèges sur ma guitare.
Je m'appliquais lorsque trois coups de sonnettes brefs me tirent de ma méditation musicale.
Suivis de trois coups de sonnette plus rapides. Il est 14 h.

Je vais ouvrir. C'est Clémence. Elle est vêtue comme mercredi. Pantalon, pull, veste cintrée et baskets.
Elle porte un sac de sport. Clémence veut me faire la bise. Je me contente de lui serrer la main.
Pas d'effusions encore inutiles entre le "Maître" et sa "Soumise".
Je l'invite à entrer.

Clémence me demande si elle peut avoir un endroit afin de pouvoir se changer.
Je l'invite à me suivre à la salle de bain.
Là, je ferme la porte derrière elle et je reviens m'asseoir dans le canapé du salon.
Je mets un disque de musique "classique" en sourdine.
C'est donc sur la musique de Mozart que je regarde tomber la pluie.

Clémence revient. Je suis vautré dans mon canapé. La jeune fille est vêtue d'une jupe noire, plissée.
D'un pull de coton très fin. Elle est chaussée de souliers noirs, fermés, à légers talons.
Des soquettes blanches achèvent de lui donner cette apparence d'étudiante anglaise.
Elle reste ainsi, les mains derrière le dos, à m'observer.

Nous nous regardons ainsi longuement, avec le plus grand sérieux.
Je rompt ce silence en donnant ma première directive :
< Clémence, vous allez vous accroupir là, devant moi, en écartant vos cuisses. En silence ! >.
La jeune fille, après un légitime instant d'hésitation, s'accroupit.
Elle a les mains posées sur ses genoux.

Je distingue sa petite culotte blanche. Sa peau mate participe du mystère obscure qui règne sous sa jupe.
Clémence a laissé ses longs cheveux châtains en liberté. Elle est belle, terriblement troublante dans cette situation.
Je me lève. Je tourne autour d'elle. Je m'accroupis à mon tour. Je rapproche mon visage tout près du sien.
Je le scrute longuement.

Je rapproche ma bouche de son oreille pour lui donner ma seconde directive :
< Clémence. Vous n'aurez la permission de ne prononcer que les mots suivants "Oui Maître", rien d'autre ! >.
Je rajoute encore, péremptoire : < Est-ce bien clair ? >.
La jeune fille, avec un air de défi releva les yeux pour me fixer longuement.
Sa réponse fut conforme : < Oui Maître ! >.

Je me place devant ma "soumise". Je me penche pour regarder sous sa jupe. J'exagère mon attitude.
J'observe les réactions de la jeune fille. Elle a le mouvement instinctif de vouloir rapprocher ses cuisses.
Je fais : < Tss, tss ! >. Clémence écarte ses jambes à nouveau. Je la saisi par la nuque et par le menton.
Je plonge mon regard dans le sien. Elle a ce port de tête altier, fier et noble.
Ce naturel propre à toute authentique soumise.

Je passe ma langue sur les lèvres de sa bouche. Longuement. Le bout de sa langue surgit soudain.
Elle ouvre la bouche. Je l'embrasse. Je fouille sa bouche avec ma langue. Le moindre recoin.
Le souffle de la jeune fille trahi son émotion.
Sa respiration s'accélère. Le plaisir arrive...

Je cesse de l'embrasser. Je me redresse. Je saisi Clémence par ses cheveux que je réuni en queue.
Je la force à se relever.
La jeune fille fléchie les genoux à plusieurs reprises, chassant ainsi l'engourdissement qui risquait de la gagner.
Je l'entraîne sur la chaise derrière le bureau.
Je la fais s'asseoir, dossier entre les jambes.

Du tiroir du bas, je prends la paire de menottes et deux cordelettes.
J'attache les mains de Clémence dans son dos à l'aide de la paire de menottes.
J'attache ses chevilles aux pieds de la chaise avec les cordelettes.
Dans sa bouche je glisse la boule de caoutchouc rouge dont je ferme la sangle dans sa nuque.

Clémence suit chaque phase avec une attention exacerbée et une concentration maximale.
Je sais qu'elle veut imprégner son esprit de tous ces instants.
Un film qu'elle pourra se projeter pour la vie entière.
Aussi, il me faut soigner le déroulement de tout cela en appuyant, en exagérant chacun de mes gestes.

Je passe ma main sous sa jupe. Je touche son sexe au travers du tissus de sa culotte.
Je retrousse sa jupe sur sa taille. Clémence semble à la fois gênée et interrogative.
Je la forçe à se soulever l'instant nécessaire pour tirer sa culotte jusqu'à mi-cuisse.
Le tissus est distendu par l'écartement des jambes. Humide...

Je caresse doucement son clitoris. Je viens renifler le sexe de la jeune fille.
Malgré les soins d'hygiène qu'elle a sans doute exagéré, il y a une odeur.
Je passe mes doigts sur les lèvres mouillées de sa vulve.
Clémence a plusieurs petits mouvements qui trahissent son plaisir.
De la salive suinte et coule depuis la boule de caoutchouc.
Une coulure va tomber de la pointe de son menton.

Je me redresse. Je détache Clémence. Je la soulève. Son corps est aussi fin que le mien.
Je l'assois sur le coin du bureau. J'ouvre ma braguette. Je sors mon sexe.
Je regarde l'expression de la jeune fille. Elle fixe ma turgescence avec une acuité extraordinaire.
Je m'approche.
J'enfonce doucement, avec d'infinies précautions, retenant mon souffle, mon sexe dans le sien...


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Le romantisme délicat de la soumission

Clémence - (Séance 3)

Doucement, avec le mouvement régulier d'une horloge, je berce Clémence.
La jeune fille a la boule en caoutchouc rouge dans la bouche.
Elle a la tête renversée en arrière et me murmure des choses incompréhensibles.
Je peux l'entendre gémir.
Avec la musique de Mozart, en fond sonore, c'est du plus extraordinaire effet.

Parfois, Clémence ouvre les yeux et me fixe avec un air de défi.
Elle est en appui, les bras derrière elle, les mains à plats sur le bureau.
J'accélère subrepticement les mouvements métronomiques de mon bassin.
Je lui passe les mains sous les cuisses. Cela la fait basculer.
Elle se tient à présent sur ses coudes.

J'accélère encore. Je fais "la machine à coudre".
Le corps de Clémence, secoué avec énergie, n'est plus que plaisir.
Rapidement, toutefois, je reviens au rythme de la berceuse.
Peu désireux de m'épuiser dans des agissements inutiles et désordonnés.
J'aime pouvoir maîtriser la situation, l'esprit au calme.

Clémence semble apprécier mes attentions.
A cause de la boule, enfoncée dans sa bouche, je ne comprends pas ce que la jeune fille marmonne.
Elle me regarde, les yeux pleins de reconnaissances.
Elle est soudain agitée de quelques spasmes révélateurs.
Ces cuisses vibrent contre mon bassin.
Pas de doute, Clémence connaît un nouvel orgasme.

Je me retire. Clémence mouille incroyablement.
En sortant mon sexe du sien, de la cyprine s'écoule jusqu'au sol. C'est divin. Une belle récompense.
Je saisi la jeune fille pas ses cheveux. Je lui passe un collier de cuir autour du cou.
Je la libère de sa boule en caoutchouc. Elle peut enfin s'exprimer. < C'est génial ! > s'écrie t-elle.
Je la gronde. < Vous avez oublié vos obligations, Clémence ? >. < Oui Maître ! > répond t-elle.
Rajoutant, follement téméraire : < Et je m'en fout parce que vous êtes merveilleux, Maître ! >.

< Je vais être obligé de vous punir, belle jeune fille ! > fis-je en la faisant mettre à genoux.
Cette fois, il n'y a aucune résistance. Clémence est docile. "Soumise".
Je lui passe mon sexe, trempé de nos jus communs, sur le visage.
Clémence tente de le gober avec quelques mouvements de tête.
Je l'en empêche.

Nous restons ainsi à nous fixer. Son regard est fier. Son port de tête altier est adorable.
Cette jeune fille sait très exactement ce qu'elle veut. Et elle sait où venir le chercher.
J'apprécie les filles qui savent très exactement ce qu'elles veulent.
Je tâche toujours de répondre favorablement à la demande.

Le menton de Clémence, ainsi que le haut de son chemisier, sont maculés de salive.
Pendant que nous faisions l'amour, la jeune fille "en bavait" de plaisir.
Je m'accroupis pour venir lécher toute cette bave.
Chez une jeune fille d'à peine dix neuf ans, le jus de toutes les muqueuses est un nectar.
Je savourais...

Je passe ma main droite derrière la tête de Clémence, sur sa nuque. Je pose ma bouche sur la sienne.
Je l'embrasse longuement. La jeune fille frissonne.
Elle semble étonnée par tant de tendresse, tant de douceur et tant d'attention.
Je la sens vaciller sur ses genoux. Je cesse. Je la saisi par ses cheveux pour la redresser.
Je lui passe la laisse.

Je mets ma main entre ses cuisses. C'est trempé. Je l'emmène sur le canapé.
Je la pousse doucement, la forçant à s'asseoir. Je me mets à genoux. Je veux goûter ce sexe.
Je veux me régaler de son jus, de ses substances et de ses humeurs.
Je n'ai pas commencé depuis une minute que Clémence gémit.
Elle se touche le clitoris.

Je reste ainsi longuement à prendre ma délicieuse collation. Dès que je sens Clémence "arriver", je cesse.
J'ai ainsi la certitude de l'emmener encore plus haut, encore plus loin.
La jeune fille coule presque sans intermittences.
Malgré mes précautions, il en suinte entre la raie de ses fesses, maculant le cuir doux de mon canapé.
Je lui offre enfin un nouvel orgasme.

Clémence est à présent "prête" pour la suite...


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Je veux absolument savoir ce que m'écrit ma délicieuse admiratrice.
Je clique donc sur sa belle image...

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Le romantisme délicat de la soumission

Clémence - (Séance 4)

Clémence reprend doucement ses esprits.
Elle est là, haletante, la tête renversée en arrière, les yeux fermés.
Pouvait-elle espérer connaître tant d'émotions, il y a deux heures encore ?
Je me redresse. Je lui dépose un délicat baiser sur le front.
Je lui murmure :< Clémence, vous êtes adorable ! >.
Je lui prends les cheveux pour la forcer à se lever.

Elle me regarde avec de grands yeux. Je tire sur la laisse.
Je l'emmène faire le tour de la grande pièce. Je la fais passer derrière le bureau.
Je retire sa jupe plissée à présent froissée.
Je lui montre les taches de "mouille" qu'elle a laissé sur le coin du bureau et sur le canapé.
Elle prend un air de culpabilité tout à fait de circonstance.
Merveilleuse actrice.

Je continue notre promenade. Je l'emmène aux toilettes.
Je la fais mettre debout, cambrée sur ses jambes au-dessus de la cuvette.
< Lâchez-vous, Clémence, mais par petits jets. Je veux en compter sept ! >.
Clémence semble soudain très gênée.
Elle me regarde comme si elle implorait quelque pitié avant de répondre : < Oui Maître ! >.

La jeune fille reste ainsi un long moment. Clémence se concentre.
Elle n'a certainement encore jamais fait une telle chose devant témoin.
Je la saisi par le menton pour redresser sa tête. Je la fixe.
Je lui dit : < Je vous veux fière en toutes circonstances, Clémence ! >.
Elle baisse les yeux à plusieurs reprises. Il ne se passe toujours rien.
Je donne quelques coups secs sur la laisse.
En ces instants, elle ne "joue" pas...

Nous sommes là depuis dix minutes. J'entends la respiration régulière de la jeune fille.
Enfin, un premier jet, bref et précis viens se briser sur la faïence du fond de la cuvette.
Clémence est en apnée. Elle contracte ses muscles fessiers. Je vois ses cuisses vibrer.
Un second jet, un troisième puis un quatrième. Le tout accompagnés de coulées de cyprine laiteuse.
De ce jus de fille qui dégouline lourdement après avoir rompues ses longs filaments visqueux.

Deux jets suivants résonnent plus fortement.
Le septième et dernier jet dure le plus longtemps et est le plus puissant.
Il se prolonge jusqu'aux dernières gouttes.
Mélangées à la cyprine laiteuse et épaisse de sa muqueuse vaginale.
Clémence, soulagée, respire à nouveau normalement. Je la fais s'asseoir sur la lunette.
Je m'accroupis pour venir lécher le reliquat du mélange de ses substances.
Un régal.

Clémence a un soubresaut. Elle lâche un gémissement.
Ce que je suis à nouveau en train de lui faire découvrir l'excite au plus haut point.
C'est elle qui écarte ses cuisses pour s'offrir encore plus totalement.
J'ai tout essuyé, tout nettoyé et tout léché. Pourtant, il s'en écoule encore. Je me redresse.
Je suis debout devant la jeune fille.
Ma braguette à la hauteur de son visage.

Doucement, avec des mouvements volontairement lents, j'ouvre la braguette de mon pantalon.
Je me déboutonne pour en extraire mon sexe. L'extrémité en est trempée.
Du liquide séminal s'en échappe pour s'écouler au sol. Clémence observe avec une attention fébrile.
Chacun des mouvements de mes doigts est accompagné d'un des gémissements de la jeune fille.

Je la saisi par ses oreilles. Je me cambre en avant. J'attire son visage contre mon bassin.
Presque immédiatement je sens la bouche chaude et douce de Clémence se refermer sur mon sexe.
Inutile de la forcer. La jeune fille suce avec avidité, avec gourmandise tout en gémissant de plaisir.

Je la laisse se régaler longuement en construisant mentalement la suite des évènements à venir...


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Le romantisme délicat de la soumission

Clémence - (Episode 5)


Je maintiens fermement Clémence par ses oreilles. Je suis debout devant la jeune fille.
Elle est assise sur la lunette des toilettes.
Je bouge doucement mon sexe dans sa bouche dans un mouvement de va et vient.
Je suis excité.
Rapidement le liquide séminal, abondant, se met à dégouliner.
Tout cela suinte aux coins des lèvres de la bouche de ma nouvelle soumise.

Je peux l'entendre gémir. Un gargouillis bulleux n'arrête pas de résonner dans les toilettes.
Un gargouillis qui vient chanter en contre-point des gloussements de Clémence.
Je reste ainsi un long moment. Parfois, la jeune fille essaie de se soustraire de l'étreinte forte que j'exerce.
Cela a pour effet de lui faire pousser de longs râles tout en tentant de déglutir avec peine.

Je me retire. Je passe mon sexe sur son visage. Je me concentre. Je reste ainsi plusieurs minutes.
Je m'imagine avec les pieds dans l'eau froide. Cette méthode est efficace.
Juste avant de remettre mon sexe dans la bouche de la jeune fille, je lâche un petit jet bref.
Clémence est évidemment surprise. Elle a compris à présent ce que je fais presque à chaque fellation.

Elle essaie une fois encore d'avoir un mouvement de recul.
Je continue à maintenir fermement sa tête de mes deux mains.
Clémence n'a d'autre choix que de tenter de déglutir le second jet.
Tout en avalant elle pousse un petit cri de dégoût.
Un petit cri rapidement étouffé par le gargouillis bulleux du liquide au fond de sa gorge.
Je relâche mon étreinte. Je veux faire un "test".

Clémence, à présent libre de ses mouvements, me suce avec avidité. Je lâche une troisième petite giclée.
Aucun mouvement de recul. Par contre la jeune fille tombe à genoux sur le carrelage.
Sans cesser de pomper avec gourmandise. A présent je sais que le "dressage" se révèle probant.
Je lâche une quatrième rasade.
En gloussant de plaisir, la jeune fille enfonce sa bouche sur mon sexe.

Je reste ainsi à apprécier l'indicible caresse durant un long moment.
Avec l'excitation intense j'ai perdu toute possibilité de pouvoir pisser.
Par contre la quantité de jus semble ne plus tarir.
Il y en a tant que des coulures maculent le menton de Clémence, lui dégoulinant dans le cou.
Nous sommes là depuis une bonne demi-heure.
Je saisi Clémence par ses cheveux pour la forcer à se relever.

La jeune fille masse ses genoux douloureux. Je l'entraîne vers le salon.
Je jette le coussin de velours au sol. Sans même que je n'ai besoin de la forcer, Clémence tombe à genoux.
J'ai récupéré toute la maîtrise de mes secrétions.
Aussi, dès que Clémence se remet à sa fellation, je peux lui lâcher plusieurs toutes petites giclées.
Les gémissements de ma suceuse ne semblent plus devoir cesser.

Un nouveau long moment s'écoule. Tout comme je m'écoule dans la bouche de ma suceuse.
J'ai beau tenter de m'en empêcher, j'éjacule dans trois saccades.
Trois saccades qui secouent tout mon corps de spasmes violents.
Clémence aussi est agitée de spasmes. La jeune fille reste avec insistance pour me vider.
J'en profite pour lâcher des giclées de plus en plus abondantes.
Elle ne suit plus. Il en coule sur elle, au sol...

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Le romantisme délicat de la soumission

Clémence - (Episode 6)

Nous sommes tous les deux assis sur mon canapé. Clémence vient de prendre sa douche.
Je lui propose une soirée au restaurant. La jeune fille se voit obligée de décliner mon offre.
< Ce n'est pas possible, je vois Jonathan, tout à l'heure, pour 20 h ! > me fait-elle, déçue.
Je n'insiste pas. Il est important pour une jeune fille de vingt ans d'être avec son petit ami.
Il est déjà 18 h30. Nous dégustons un café. Clémence me regarde pleine de reconnaissance.

Je lui demande : < Vos impressions, chère jeune fille ? >. Elle me regarde, timide et souriante.
Elle me répond : < C'était superbe, bien au-dessus encore que l'idée que je m'en faisais ! >
Je passais ma main sur sa longue chevelure, caressant sa joue. Son regard était pétillant.
< On refait quand ? > me demanda t-elle avec un sourire espiègle avant de terminer son café.
Etonné, je lui réponds : < Vous êtes libre jeudi prochain, en après-midi, il me semble ? >.
< Ok, pour moi ça marche ! > me fit-elle avant de rajouter, coquine : < Pour la séance No 3 ! >.

Il est temps de raccompagner la jeune fille. Nous prenons ma voiture. Clémence est silencieuse.
La jeune fille m'observe parfois à la dérobée. Je lui demande : < Vous êtes rassurée Clémence ? >.
< Oh oui ! Avec vous j'irais au bout du monde ! > me fit-elle en me déposant une bise sur la joue.
Elle rajouta, en riant : < Maître ! Je suis à me réjouir pour jeudi prochain. Je serais là pour 14 h >.
Je déposais la jeune fille dans une rue parallèle à la sienne afin de rester dans une totale discrétion.
< A jeudi, Maître ! > me fit-elle avant de filer à toute vitesse. Je rentrais chez moi, plutôt ému.

Vers vingt heure, ma complice habituelle, vint me rejoindre. Je la fis entrer. Elle était séduisante.
Vêtue comme à son habitude d'une jupe kilt, de sa veste blaser sur un chemisier, cheveux en libertés.
Chaussée de ses souliers à talons hauts, elle me suivit à la cuisine. L'odeur ouvrait nos appétit.
Prévoyant, j'avais préparé un gratin de courgettes qu'il m'avait suffit de réchauffer à mon retour.
< Alors, c'était comment avec la jeunette ? > me demanda Florence tout en me touchant le "paquet".
Florence, du haut de ses 35 ans, est ma soumise depuis quelques mois. Une "soumise" de circonstance.
Nous nous aimons en secret et nos jeux de soumissions ne sont qu'un prétexte pour être ensemble.

Après le repas, nous passions au salon. Sur le canapé, dégustant sa coupe glacée, Florence m'observait.
< Elle est vicelarde la jeunette ? Tu lui as fait ton "numéro" ? > me demanda t-elle, tendant les menottes.
Tout en lui passant la paire de menottes, je répondais : < C'est une sacrée petite salope, comme toi ! >.
Je saisis Florence par ses cheveux, sans ménagement, pour l'entraîner au milieu de la pièce. Sous la poutre.
Je lui accrochais les poignets à une des poutres apparentes. Je lui passais la main sous la jupe, vulgaire.
< Tu as encore du "jus" au fond de tes couilles , Maître ? > me demanda Florence avant que je ne la bâillonne.

Je sentais bien, dans son attitude, que Florence manifestait une certaine jalousie. Je passais derrière elle.
Je la troussais avant de m'introduire en elle avec d'infinies précautions. La jeune femme gémissait de plaisir.
D'un coup de rein final, elle s'empala sur ma turgescence. Passant ma main, je touchais son clitoris.
Rarement Florence ne s'agitait ainsi. Elle qui se laissait faire semblait prendre ici certaines initiatives.
La boule de caoutchouc dans la bouche, dégoulinante de sa salive, la jeune femme gémissait doucement.
Nous restions ainsi une bonne vingtaine de minutes. Mon dos, à cause de ma position cambrée, me faisait mal.

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Le romantisme "Glamour" de la soumission

Clémence revient pour sa nouvelle séance.

Florence est toute excitée. Beaucoup plus que moi. Une fois encore la jeune femme est agité de plusieurs spasme.
Je peux sentir son corps vibrer longuement. Je me retire doucement. Je viens me placer devant elle.
Je lui lèche le jus qui lui coule autour de la bouche et sur le menton.
Sa salive dégoulinant de la boule en caoutchouc rouge.
Je la lui retire en ouvrant la sangle, dans sa nuque.

Florence m'embrasse avec fougue, fouillant ma bouche de sa langue avide. Je regarde l'heure.
Je lui fais remarquer qu'il est temps de reprendre nos esprits. < Et toi ? > me demande t-elle.
Je la rassure. Je n'ai nulle besoin d'éjaculer pour connaître les plaisirs les plus divins.
Pour le cérébral que je suis, la succession des situations que je vis, est un orgasme permanent.
Florence me quitte pour être de retour chez elle avant le retour de son mari.

Ce jeudi matin, j'étais assis à mon bureau à régler quelques formalités administrative.
Il était neuf heure lorsque le téléphone se mit à sonner. Je décrochais.
< Bonjour Maître !> me fit la voix de Clémence.
A ses intonations, j'entendais la joie qui devait habiter la jeune fille en m'appelant à cette heure encore matinale.
< Je peux être là, cet après-midi, pour 14 h ! > me fit-elle. Rendez-vous fut pris.

Avec une ponctualité appréciable Clémence arrive chez moi.
Elle est vêtue d'un pantalon noir à pince, d'un pull fin, d'une veste noire cintrée et chaussée de mocassins noirs.
Je me saisis du grand sac de sport qu'elle tient à la main. Je l'invite à prendre place dans le salon.
Pour donner le change, pour n'éveiller aucune suspicion, Clémence prépare ses vêtements.
Ses habits de soumise et de "séances" dans son sac de sport.

La jeune fille plutôt que de prendre une boisson chaude me propose de se changer à la salle de bain.
Clémence est pressée de passer à notre notre nouvelle expérience.
A peine cinq minutes plus tard, elle revient vêtue d'une jupe plissée bleue nuit. Un chemisier blanc.
Chaussée de souliers noirs à talons hauts. Je lui fais remarquer qu'elle est absolument superbe.
Elle me remercie toute souriante.

Je n'ai encore rien demandé.
Pourtant Clémence se met à genoux, les mains sur la tête, sur un des coussins en velours rouge.
Je m'assois dans le fauteuil et je l'observe longuement.
< Maître, je peux rester avec vous jusqu'à dix neuf heure ce soir ! > me fait la jeune fille.
Elle me confie cela d'une voix presque implorante. Je me lève, silencieux, pour venir scruter de près son visage.
Un premier moment de plaisir pour tous deux.

Je reste ainsi longuement. J'entends sa respiration régulière. Je scrute chaque détail des traits de son visage.
Je suis accroupis aux côtés de Clémence. Je passe une main sous sa jupe. Elle ne porte pas de culotte.
Son sexe est humide. Quelques tremblements agitent son corps. J'enfonce un doigt qui entre en glissant.
La jeune fille pousse un premier léger gémissement, court. Puis un second, plus long.

Je la masturbe ainsi un moment. A genoux, elle serre les cuisses sur ma main.
Je peux sentir le jus de son intimité, chaud, qui me coule dans la main.
Je lui demande : < Il faut écarter vos cuisses, Clémence !>. Elle m'obéit. Je me couche sur le dos.
Je passe ma tête entre ses cuisses. Clémence s'assoit sur mon visage. Elle est à présent à quatre pattes.
Je me régale de ses saveurs jusqu'au vertige. Je l'entends gémir de plaisir.
De bonheur aussi, très certainement.

Nous restons ainsi longuement. Clémence connaît un orgasme. Je suce ses muqueuses avec avidité.
Je me redresse, je passe derrière elle. Je suis à quatre pattes aussi. Je lui lèche le cul. C'est un peu salé.
Des poils se décrochent et collent sur ma langue. Je me pourlèche de ces délices et je m'entends gémir.
Clémence repose sur ses coudes, me présentant ses fesses que j'écarte.
La jeune fille se cambre en gémissant.

Je me redresse. Je saisi Clémence par ses longs cheveux en libertés. Sans ménagement je la force à se lever.
Elle me fixe avec un air de défi. Elle regarde mon menton plein de sa mouille et se met à rire.
Je l'entraîne vers la chaise à côté du bureau. Je la force à s'asseoir, le dossier écartant largement ses cuisses.
Avec des cordelettes de coton blanc, je lui attache chaque cheville à un montant de la chaise.
Je fais de même avec ses poignets dans son dos.

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