Français English
FORUM

Il y a longtemps. Mon autre vie avec Christine Coeur

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe - 1 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 1



Bien avant Clémentine, il y avait une autre vie.

Je propose aux lecteurs aimant les récits de découvrir ici les histoires que j'ai publié sur mon Blog il y a quelques années déjà.
"Christine" était ma compagne pendant 18 ans. Mais notre histoire a commencé bien plus tôt. " Christine" n'étant évidemment
qu'un pseudo permettant de préserver son identité. Je partage ici la narration de ces aventures d'une autre vie.

Ces récits ne demandent aucun commentaires. Je remercie le lecteur de les éviter. Cela permet une suite chronologique sans
interruption. Nous privilégions les appréciations en messageries privées auxquelles je réponds toujours avec rapidité, célérité.

Classe

Le début

Christine et moi, vivions ensemble depuis deux ans. Cette histoire était un petit bonheur sans nuages. Nous aimions à nous promener dans la nature. Aller au restaurant. Aller au cinéma. Partir en vacances au bord de la mer. Là, nous sommes tous les deux encore étudiants.
Elle et moi avions une grande complicité. Nous aimions les choses inhérentes à l'amour et au sexe. J'aimais cette fille. Elle m'aimait.

Nous nous sommes rencontrés lorsque nous étions âgés de cinq ans ! Christine est venue vivre avec ses parents, dans la maison voisine.

Afin de préserver l'anonymat de la personne, "Christine" est bien évidemment un pseudonyme.

Classe

Christine

Nous étions jeunes. Vingt deux ans à peine...

Un après-midi de congé, j'en profite pour aller faire quelques courses. J'ai le projet de concocter un délicieux petit plat, pour le retour de Christine, en soirée. Je marche entre le parking et l'entrée du supermarché. En traversant la rue, quelle n'ait pas ma surprise de voir passer Christine. Dans une voiture qui n'était pas la mienne, aux côtés d'un homme qui n'est pas moi. Et qui doit bien avoir quinze ans de plus que moi...

Curieusement, je n'éprouve qu'une lointaine et diffuse interrogation. Par contre, j'éprouve une certaine excitation. Certaines légères contradictions, de ces deux dernières semaines, dans les rendez-vous et activités de Christine, s'illuminent soudain d'un jour nouveau...

Je fais mes courses. De curieuses pensées animent mon esprit. Je suis d'un caractère enjoué. Amusé. Le soir, vers dix neuf heures trente, il y a trois coups de sonnette. Ce code de trois fois deux coups qui annonce le retour de Christine. La cuisine sent bon. J'ai préparé un délicieux gratin dauphinois "personnalisé". Tout est prêt. Une salade verte. Une bonne bouteille d'un délicieux jus de mangue.

En mangeant je regarde Christine avec un regard amusé et très coquin. Christine ne manque pas de me demander le pourquoi de cette attitude. Je lui lance : << Tu es une coquine ! >>. Un silence. << Pourquoi me dis-tu cela ? >> me fait elle interrogative et le sourcil froncé. Je réponds : << Je t'ai vu, cet après-midi, passer en voiture ! >>. Je ménage mon petit effet pour la taquiner quelque peu.

Soudain, Christine repousse son assiette. Pose sa tête sur ses deux mains et regarde son assiette d'un air boudeur. Presque fâchée. Une attitude bien féminine. Tout particulièrement dans les cas de flagrant délit, dument constatés. Je lui dis : << Ne t'inquiète pas ! Tout cela n'a strictement aucune importance. J'aime te savoir libre et heureuse ! >>. Son visage s'éclaire. Elle s'écrie : << Tu ne m'en veux pas ? >>

Je me lève. Je me tiens debout derrière elle. Je lui prends ses longs cheveux. Je serre délicatement sa tête. Je lui murmure à l'oreille : << Surtout, ne change rien. Je t'aime comme tu es. >>. Je suis vraiment sincère. Christine le sent bien. Elle lève sa tête pour me fixer dans les yeux. Se tournant lentement sur sa chaise, elle me dit : << Tu ne m'en veux vraiment pas ? Tu n'es pas jaloux ? Tu m'aimes vraiment ? >>

Je m'empresse de préciser : << Non, tout cela me procure une certaine excitation. Je crois que je t'aime encore plus. Et, à présent, tu éveilles en moi une curiosité nouvelle. Je veux te découvrir. >> Je suis heureux de pouvoir aborder ce sujet, souvent délicat et sous son meilleur angle. En effet, pour moi, rien n'est plus agréable que "d'étudier" le comportement de mes semblables les plus proches. Et semblables, nous le sommes, indubitablement !

Christine me regarde avec une douceur infinie. Je peux deviner un immense soulagement mêlé à une certaine gêne. C'était donc le meilleur moment pour rendre l'ambiance légère et désinvolte. Je déboutonne ma braguette. Je sors mon sexe. En ce faisant, je lui murmure : << Et ça, tu lui fais ça, aussi ? >>. Approchant son visage, juste avant de prendre mon sexe en bouche, elle me dit, amoureusement et un peu amusée : << Oui. Tu sais, j'aime comparer ! >>

C'est pour moi comme une soudaine libération. Une sorte de "révélation". Je peux enfin me laisser aller vraiment. Christine aime donc vraiment sucer. Lorsqu'elle me le fait, j'éprouve toujours une certaine gêne. Je pense qu'elle ne pratique cela que pour me faire plaisir. Là, pour la première fois, je me laisse fondre dans sa bouche, sans retenue, sans appréhension...

Pendant qu'elle me suce je lui dis : << J'aimerais beaucoup que tu me fasses un beau cadeau ! >> Christine se retire et me dit : << Pour me faire pardonner, je suis prête à beaucoup >>. Je réponds : << Mais, il n'y a rien à pardonner ! Je voudrais simplement te regarder voir faire "ça" avec un autre ! > Un lourd silence s'installe. Pesant et presque palpable.

Pendant ce long silence Christine regarde le sol. Mon érection est retombée. Au bout d'au moins cinq minutes, elle lève les yeux et me dit, d'un ton presque sévère : << Tu es vicieux ! D'accord ! Mais tu ne m'en voudras pas ? >> Je réponds : << Non ! Je ne t'en voudrais jamais d'être ma complice ! >> Je lui dépose de délicates bises sur le front, tout en lui caressant les cheveux. Christine avance ses lèvres, la bouche en cœur, elle saisit mon sexe et se met à sucer. Poussant de petits gloussements qui m'excitent considérablement.

Je chuchote : << Je serais caché. Je te regarderais faire. Tu seras la seule à savoir. C'est le plus beau cadeau que tu puisses me faire dans ce domaine. Un domaine que tu aimes visiblement autant que moi ! >> Christine cesse de me sucer pour me fixer d'un étrange regard. Elle suce à nouveau quelques instants. S'arrête une nouvelle fois pour me regarder avec curiosité. Elle aussi me découvre un peu plus.

Christine me pompe avec délice. Jamais je n'ai éjaculé aussi vite, aussi fort et avec autant de plaisir. Contrairement à toutes les autres fois, je ne me retire pas après l'éjaculation. Je découvre, surpris et avec bonheur que Christine ne se retire pas non plus. Au contraire, elle continue à sucer. Avec plus de conviction encore. Je prends conscience de la passion qu'elle y a toujours mis et que je n'ai pas remarqué. Que du bonheur !

Je prends conscience de toutes les jouissances, à côté desquelles je suis passé, tant de fois, en me retirant après l'éjaculation. Un peu par respect ridicule et inutile. Un peu par gêne et par inhibition. Beaucoup par connerie pure.

Avec un immense bonheur, dans une osmose totale, nous repartons pour un second tour...

Classe



Classe
Christine Coeur
Monday 13 April 2020 13:34

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 2 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 2 -



Christine me suce dans la chambre à coucher

Le dimanche matin, Christine et moi, nous avons l'habitude de faire la grasse matinée. Nous restons donc souvent au lit jusqu'aux environs de neuf heures. Comme nous aimons profiter de nos journées, nous ne dépassons jamais les neufs heures du matin. Ce dimanche là, il pleut si fort que nous pouvons l'entendre tomber malgré les fenêtres fermées. Une pluie de printemps.

Christine se met à jouer avec mon sexe qui traîne sous les draps. Tout en bavardant nous nous tripotons. J'aime le contact de ses lèvres. Elles sont presque aussi envoûtantes que celles de sa bouche. Aussi, je m'amuse à les défriper, à les défroisser tout en conversant. Ma compagne fait pareil en malaxant la peau de mon prépuce.

Tous les deux, nous commencons à mouiller. Je descends doucement le long de son corps avec ma bouche. Je m'attarde longuement sur ses petits seins. Puis, je descends encore. Me mettant sur le ventre, le visage entre ses cuisses, je me mets à lécher. Les saveurs de ses muqueuses m'enivrent toujours. Je peux l'entendre gémir de plaisir. Elle me tient la tête, les cuisses largement écartées les jambes repliées. J'adore le goût de sa nuit...

Je me mets à suçoter son bouton que je peux sentir grossir. Son clitoris est impressionnant. Comme les deux dernières phalanges d'un petit doigt. Après la nuit, il y a un délicieux petit goût acide que j'aime à déguster dans les plis de ses peaux. De sa source secrète, rapidement, un filet laiteux coule jusqu'à son anus. Très pileuse, j'aime savourer cette partie de son corps et cette masse de poils. Même si j'en ai sur la langue...

Toujours trop vite, Christine a son premier orgasme. Tout son corps se cambre de façon presque inquiétante. La jeune fille, dans de longs souffles, lâche quelques râles de plaisir. Comme à chaque fois, elle veut repousser ma tête. Mais moi, coquin, j'anticipe en résistant. Elle cherche à se débattre quelques instants et je la relance pour un second tour. Les filles savent la profondeur de ce second épisode et ses conséquences.

Ce qui doit arriver, arrive. Et toujours beaucoup trop rapidement à mon goût. Mais, là, d'une poigne de fer, Christine, me saisit par les oreilles, me repousse vivement dès la fin du second "crakou". J'ai le menton trempé. Cela la fait toujours rire. Elle m'appelle alors souvent : << Mon lécheur >>. Elle rajoute : << Il est tout mouillé mon "lécheur" ! >>...

C'est elle qui descend soudain pour s'emparer de mon sexe. Immédiatement, je peux sentir sa bouche, chaude et douce, qui se referme sur ma virilité encore molle. Cette indicible sensation de ventouse me donne, une fois encore, la sensation d'avoir mon sexe dans une purée tiède. Je précise que depuis trente ans, je n'ai pas d'autre métaphore pour décrire cette invraisemblable douceur. Le bol de purée...

Christine suce avec cette passion habituelle. Comme toujours, ses gémissements m'indiquent le degré d'excitation que cette caresse lui procure. Elle aime "ça". Elle aime souvent me confier, en riant, que son vrai point "G" est dans sa bouche. Nous sommes tous deux des cérébraux. Aussi, les caresses ont la primeur de nos ébats et tout fonctionne autour et au travers d'elles.

Comme souvent, je maintiens sa tête par ses cheveux. Je la "guide". Elle aime également être maintenue par la nuque. Elle en glousse de plaisir. Le nec plus ultra consiste à lui passer la main sous le menton et de jouer à la "forcer" légèrement. Christine apprécie tout particulièrement la "contrainte". J'aborderais ce chapitre dans les récits à venir, car ce n'est qu'au bout de quatre ans que nous avons osé pénétrer ce domaine particulier. 25 ans avant Clémentine qui n'était pas encore née.

De manière régulière, cyclique, je retire mon sexe de sa bouche pour le lui passer sur le visage. En plus de lui permettre de reposer sa mâchoire, c'est un acte qui la passionne. Souvent elle me dit : << Ça, j'aimerai bien le comprendre ! >>. J'ai pour seule réponse, un peu bancale : << Il n'y a rien à comprendre, c'est juste vicieux ! >>. Rapidement, par un mouvement de tête, elle rattrape mon sexe pour le reprendre en bouche.

J'aime la regarder. Les filles sont tellement belles lorsqu'elles font "ça". De plus, dans le miroir de l'armoire, nous pouvons apprécier, tous deux, sous un angle différent, ce à quoi nous sommes entrain de nous livrer. Elle se regarde pomper. Puis, voyant que je l'observe avec attention, elle me fixe longuement, terriblement vicelarde, en me faisant des clins d'œil lascifs. Cela stimule les sécrétions de liquide séminale et en augmente les quantités. Elle le sait bien et en profite en gémissant à chaque épanchement.

Au bout d'une petite heure, j'éjacule avec mes trois saccades habituelles. Une fois encore, elle déglutit avec peine. Le plus souvent, elle garde mon sexe juste entre ses lèvres afin de pouvoir laisser sa bouche se remplir de mon sperme épais et visqueux. Si je ne la retire pas, en la tirant par les cheveux, je sais qu'elle repart systématiquement pour un second tour. Aussi, je la sens, elle aussi, lutter contre mon étreinte afin d'en avoir encore.

Au bout d'une minute, vaincu, je la laisse repartir pour le second opus. Là, pendant environ cinq minutes, j'arrive à contrôler parfaitement les sécrétions et le "choix" des épanchements. Je lui fais donc de petites "surprises" par petites giclées. Je l'entends glousser de plaisir. La ventouse de ses lèvres aspire à la puissance maximum. Ses joues sont creusées. Elle suce à fond. Je peux entendre les gargouillis. Cela nous excite au plus haut point.

Une fois encore, j'impose des pauses en lui passant mon sexe sur le visage, mouillant sa peau en laissant des traînées un peu partout. La saisissant par les cheveux, je lui tourne la tête afin qu'elle puisse se voir, pleine de jus sur le visage, certaines mèches de ses cheveux trempées, dans le miroir de l'armoire. Elle adore ces jeux et apprécie mes initiatives vicelardes. Elle est en sueur et mon jus rend son visage luisant de vice...

Au bout d'une nouvelle demi-heure, j'éjacule une nouvelle fois dans une série de spasmes qui secouent tout mon corps. Nous poussons, de concert, ensemble, plusieurs râles de plaisir et de bonheur. Là, de façon rapide, au bout de quelques minutes, je me retire en me sauvant du lit. << Il faut que j'aille faire pipi ! >>, me lance t-elle invariablement après les pipes de la chambre à coucher...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 3 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 3 -



Christine me suce devant un bon porno

En ce temps-là, en 1995, il y a encore le bon vieux magnétoscope. Cette machine permet de visionner les bonnes vieilles cassettes vidéos. Branché sur le téléviseur par ces vieilles bonnes prises péritels, le magnétoscope permet au regardant de visionner le film de son choix. Il y a même encore ces bons vieux "Vidéos-Clubs" qui offre la possibilité de choisir et de louer les dites cassettes vidéos.

De temps en temps, avec Christine, ma compagne, nous allons louer quelques films. Le plus souvent le vendredi soir afin de pouvoir les regarder durant le week-end. C'est le plus souvent à la mauvaise saison. Il n'est pas rare que le téléviseur reste éteint de mars à novembre. Sportifs et amoureux de la nature, appréciant la lecture, nous avons toujours mieux à faire que de faire du "gras" sur un canapé.

Ce vendredi soir du début de décembre, nous sommes allés choisir quatre cassettes vidéos. Nous parcourons les différents rayons du vidéo-club. Au rayon "classique", nous choisissons le film "Diva" de Jean-Jacques Beineix et "Les Valseuses" de Bertrand Blier. Au rayon porno, nos choix se font sur "Gloryhole adventure" et "Joséphine Mutzenbacher". De quoi passer du bon temps en ce week-end froid et pluvieux à venir.

Le soir même, devant un délicieux repas de pâtes à la quinoa et aux champignons noirs, arrosé d'un excellent jus de kiwi, nous choisissons de visionner "Les Valseuses". Même si ce film n'est qu'une caricature des mœurs d'une époque révolue, le jeu des trois acteurs reste un savoureux moment de cinéma. Sans évoquer les dialogues proprement surréalistes et créés au millimètre pour les besoins d'un scénario épique. Fameux.

Ce n'est que samedi soir que nous introduisons "Gloryhole adventure" dans le magnétoscope. Une production Californienne de toute première "bourre". Film d'une durée d'une heure trente qui met en scène des jeunes femmes "bourgeoises", plutôt attractives. Jeunes femmes qui découvrent, avec ravissement, des trous parfaitement ronds dans des lieux insolites. Trous de six à huit centimètres de diamètre.

"Gloryhole adventure" se décline sur quatre aventures différentes. Des acteurs, on ne sait rien sinon que leurs virilités pendent de l'orifice d'une façon assez pathétique. Par contre, la première protagoniste, une brunette d'environ trente ans, dès son arrivée dans l'endroit, joue très bien la surprise, le ravissement puis tout ce qui s'en suit. La jeune femme, pas du tout "doublée", fait toutes les cascades elle-même. Excellentissime...

Au bout d'une dizaine de minutes, Christine et moi, il faut bien le préciser, nous nous retrouvons plutôt excités. Ce n'estpas seulement le stimuli des images qui est responsable de nos accélérations cardiaques, mais surtout le fait d'êtres tous les deux à les regarder. Bientôt, nous nous caressons. Ma main dans sa culotte, la sienne dans mon slip. Indéniablement, "Gloryhole adventure" est une réussite. Une sorte de "chef-d'œuvre" à voir absolument par tous les couples un peu esthètes. Amoureux de cinéma de qualité en versions originales.

Christine se laisse tomber sur le côté, me sort le sexe du slip. Ma turgescence humide dans la main, elle me commente les images que pourtant je regarde aussi. Me précisant les impressions et les sensations que doivent ressentir l'actrice à tel ou tel moment. A la limite de la tachycardie, je demande à ma compagne si elle n'a pas le désir de faire l'amour, là, sur le canapé. Elle-même, le cœur battant, me précise qu'elle veut "me faire" comme dans le film...

Christine commence donc sa fellation pendant que débute la seconde aventure du long métrage. Une belle brune, vêtue d'un manteau de fausse fourrure, d'une jupe en cuir et de cuissardes, découvre à son tour un de ces trous mystérieux. Elle s'y affaire avec une virtuosité toute particulière. Christine, tout en me suçant, ne perd pas le fil de l'histoire. Nous sommes tous les deux à gémir de concert avec la fille du film. Un "cœur" à trois, en quelque sorte, et dans le registre soprano.

Le second film termine à peine, dans un flux laiteux dégoulinant sur la fourrure synthétique de la belle, que j'éjacule une première fois. En abondance. L'excitation double, due à l'image et aux sensations, a eu raison de ma maîtrise habituelle. Christine, avide de ne pas perdre le fil de l'histoire, ne lâche pas prise. Aussi, après avoir surmonté cette première épreuve, je m'apprête à subir la seconde.

La troisième aventure commence à peine. Une très belle blonde, pas du tout "Bimbo", vêtue d'un jeans et d'un chemisier, chaussée de "baskets", découvre, elle aussi, un de ces trous magiques, dans les toilettes d'un hôtel de grand luxe. Qui dit "magique" dit "baguette". Cette dernière apparait très vite pour le plus grand ravissement de la fille. Christine, excitée comme une puce, se met à me pomper comme si elle était l'actrice du film. Fabuleux...

Là, à présent maître de mes émotions, je me fais sucer en savourant l'instant autant que ma compagne. Les stimulations que procurent les sens de la vue, conjugués aux sens tactiles, sont tout simplement divines. Il faut l'essayer au plus vite toute affaire cessante. La fille blonde, au bout de vingt minutes, reçoit le fruit de ses efforts. Visiblement avec un enchantement non feint.

Christine, s'arrêtant régulièrement de sucer, me fait des commentaires sur ce qu'est entrain de déguster la fille du film. Avec un luxe de détails plus salaces les uns que les autres. Christine, comme je t'aime ! Là, devant nos yeux, commence la quatrième et dernière aventure du film. Une grande rousse, sosie d'une actrice célèbre, découvre elle aussi un de ces trous sans fond, au bout du couloir d'un vieil immeuble.

Christine, tout en continuant sa merveilleuse caresse, tout en commentant certaines images, se met à bouger du bassin. Nul doute, les effets conjugués des images et de son activité commencent à porter atteinte à son habituelle et parfaite maîtrise d'elle-même. La redressant pas les cheveux, je l'installe à mes côtés. J'enlève rapidement sa petite culotte, dont le fond mouillé ne laissait aucun doute sur son état, pour m'introduire dans sa petite fente trempée. Un délice...

Je ne peux plus voir le film puisque je tourne le dos au téléviseur. Il m'importe subitement très peu de découvrir ce qui va encore arriver à la rouquine. Christine par contre, en gémissant, n'en rate pas une miette. Tout en se faisant niquer comme une bête, elle commente, entre deux râles, ce qui se passe à l'écran. C'est tout simplement grandiose. Je n'ai jamais vu la fin de cette quatrième aventure !

Le lendemain, dès le début de l'après-midi, nous visionnons le second film, "Joséphine Mutzenbacher". Un grand classique Autrichien de 1974. Dehors, il fait un temps épouvantable. Une fois encore, le canapé résiste à nos ébats avec la solidité légendaire du matériel Suédois...

Joséphine Mutznbacher interprétée par la sublime et candide Patricia Rhomberg...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 4 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 4 -



Une superbe pipe dans la cage d'escalier

Ce mercredi, avec Christine, nous voulons faire une surprise à une de ses collègues enseignantes. C'est l'anniversaire d'Annie et, à cet effet, nous avons acheté des fleurs et un petit livre sur un sujet qui la passionne. Nous nous rendons donc à la Résidence où Annie loue un magnifique appartement. Un balcon qui offre une superbe vue sur la forêt voisine.

Il est quatorze heure. Le mercredi, à cette époque, il n'y a pas école. Il y a donc beaucoup de chance de trouver Annie chez elle. C'est une surprise. Aussi, après avoir pris l'ascenseur pour monter au quatrième étage, nous arrivons dans un couloir éclairé par la lumière artificielle des globes lumineux. La porte du fond. Christine sonne avec insistance. Nous attendons devant la porte avec une certaine impatience. J'aime beaucoup la compagnie d'Annie. Toujours drôle, optimiste et pleine de joie de vivre. En plus de ces qualités, elle est plutôt belle.

Force est de constater, au bout de quelques minutes, qu'Annie est absente. Aussi, m'emparant d'un stylo, sur un bout de papier, j'écris : << Que cette journée, avec la douce Annie Versaire, te soit des plus agréables ! >>. Christine et moi signons le papier avant de le glisser sous le tapis. Laissant dépasser un petit bout afin que la jeune fille, à son retour, le trouve.

Comme la journée est grise et le ciel menaçant, Christine et moi prenons la décision de profiter de notre séjour à la ville pour y faire un tour. Comme souvent, Christine me "bloque" contre le mur afin de m'embrasser passionnément. Cette façon de faire provoque souvent de fulgurantes érections. Une fois encore, je ne déroge pas à cette règle. Christine fouille ma bouche avec fougue. De sa langue exploratrice.

Nous sommes à côté de la porte de l'ascenseur. Lorsqu'il arrive, Christine saisit ma main pour m'entraîner vers la cage d'escaliers. Elle en ouvre la porte battante pour me "coincer" contre la rampe. Il n'y a pas de bruit. Les lieux sont déserts. Cet escalier ne sert qu'en cas de panne d'ascenseur. Christine palpe ma bosse avec insistance : < Je peux l'avoir, là, ici ? Tu me la donne ? > me fait-elle, espiègle.

J'écoute, tous mes sens aux aguets. je regarde vers le bas. Je regarde vers le haut. Rassuré, j'ouvre ma braguette pour en sortir mon sexe. Presque de suite Christine s'accroupit devant moi. Posant ses mains sur mes hanches, elle se met à me sucer avec cette avidité coutumière qui m'enchante. Malgré l'indicible caresse je reste d'une grande vigilance. Christine, comme toujours, gémit déjà. Elle aime tant "ça". Moi aussi...

Au bout d'une dizaine de minutes, le fourmillement commence à monter le longs de mes jambes. Christine est déjà à genoux. Je la prends par les cheveux pour la redresser. Elle adore cette initiative. Elle adore être "guidée". Je l'invite à nous assoir sur la première marche de l'escalier. Nous entendons quelques fois une voiture passer dans la rue, en bas. Ma compagne s'assoit à mes côtés.

Se couchant sur le côté, en appui sur ma cuisse, Christine recommence son délicieux pompage. Cette fois-ci je peux vraiment savourer cette nouvelle fellation. Je ne l'apprécie pas de la même manière en étant debout. Je préfère ainsi, la fille sur le côté. Couchée ou assise. Nous repartons pour un nouveau moment de plaisir. Je suis de plus en plus excité. Les possibilités de se faire surprendre m'effraient et m'excitent en même temps. Ma compagne adore ces situations à risques.

Dans la cage d'escaliers il y a une sorte de résonance, ce échos particulier. Aussi, les gémissements lascifs de Christine résonnent d'une étrange façon. Elle suce avec cette gourmandise coutumière qui me ravi. Tout en déglutissant au fur et à mesure les résultats de son pompage. Nous n'avons rien de vraiment important à faire. Cette activité, qui nous enchante, prend donc une dimension paradisiaque.

Au bout d'une bonne demi-heure je me répands dans la bouche de Christine. Dans un râle de plaisir, elle déglutit mon jus. Mes trois saccades habituelles. Comme toujours, soucieuse de ne pas en perdre la moindre goutte, ma compagne procède au vidage du "fond de cuve". Comme toujours, si je veux qu'elle cesse, il me faut la saisir par ses cheveux pour la redresser. Je la laisse donc encore un peu se pourlécher du fruit de ses préférences. Sa "récompense" en quelque sorte.

Peu après, nous descendons les escaliers pour nous retrouver sur le parking de l'immeuble. Nous allons nous promener en ville. En faisant les magasins, dans un rayon, Christine se penche vers moi pour me glisser à l'oreille : < Je me suis régalée pour l'anniversaire d'Annie ! >

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 5 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 5 -



Christine me suce en voiture

En ce début des années quatre vingt dix, avec Christine, nous aimons sortir en soirée. A partir du mois de juin, les soirées sont souvent de sublimes moments de douceurs. Nous aimons prendre la voiture et partir à l'aventure sur de petites et charmantes routes de campagne. Dans notre région il y de superbes départementales. Peu fréquentées ou souvent désertes.

Ces petites routes communales, peu fréquentées, sillonnant au travers la verdure des prés et des champs, proposent souvent un véritable enchantement. Nous aimons à en savourer les surprenants changements de paysages. Traverser des forêts, se retrouver devant les ruines d'un vieux château, louvoyer entre des étangs, tout cela nous charme.

Avec la configuration de ces routes sinueuses, il serait absurde de rouler à des vitesses excessives. Je m'applique donc à rouler à faible vitesse, ne dépassant jamais les soixante kilomètres heure. Il nous arrive parfois de croiser un parfait abruti qui défie la raison à des vitesses absurdes. Pourquoi ce coup de klaxon et ce coup d'accélérateur rageur en nous dépassant ?

Là, en roulant, il n'est pas rare que ma complice me fasse comprendre, par des caresses, qu'il serait agréable de sacrifier au dieu Priape. Comme je ne suis pas homme à frustrer ses élans, éminemment prometteurs et féminins, je me prête de bonne grâce à ses jeux de mains. Rapidement, je me retrouve avec la braguette ouverte, le sexe au courant d'air des vitres baissées.

Je ralentis encore ma vitesse. Ma douce complice est à présent à demi couchée sur le côté. La fellation a commencé pour notre plus grand plaisir. Je roule à dix kilomètres heure. N'étant pas homme à perdre mes moyens, je surveille mes rétroviseurs et la route avec une acuité redoublée. Il est souvent déjà vingt et une heures trente. Le jour, doucement, fait place au crépuscule. La route, déjà peu fréquentée, devient déserte.

Je roule en appréciant l'indicible caresse. Rien n'est plus agréable, lors d'une fellation, que ce plaisir physique qui s'associe à ce plaisir cérébral. Pouvoir offrir, à son heureuse "victime", un des moments les plus sublimes de l'existence. Il doit en être de même pour le cunnilingus. Je ne sais pas. Je suppute qu'il en va de même. Christine m'en décrit souvent les jouissives sensations.

Nous parcourons ainsi de nombreux kilomètres. Rien n'est plus jouissif que de devoir rester concentré sur une activité et de sentir cette délicieuse caresse. De temps en temps, par un reflet dans le pare-brise, dû à la lumière des compteurs, je peux voir mon heureuse pompeuse s'affairer sur mon sexe. Qu'elles sont belles lorsqu'elles font "ça", les coquines ! C'est toujours un spectacle divin. Je savoure l'instant certainement autant que ma douce partenaire.

En temps normal, comme tout jouisseur invétéré, je sais faire durer, maîtrisant parfaitement mon sexe et mes orgasmes. Mais là, dans cette situation particulière, il me faut encore monter le curseur d'un cran. Me mettre en mode "total-contrôle". Je m'y applique avec ma rigueur habituelle. Le plus difficile, au bout d'une trentaine de minutes de conduite, est de surmonter l'excitation prodigieuse que suscitent les gémissements de plaisir de ma suceuse. Un réel bonheur supplémentaire. C'est quand même la fille que j'aime.

Moi, en parfait gentleman, je lui demande : < Tu veux qu'on se garde pour la maison ? Ou veux tu que nous fassions l'amour, là, dans un chemin ? >. Le plus souvent, connaissant sa passion pour la fellation, pour toute réponse j'ai droit à un gloussement. Un petit cri de ravissement suivit d'un gémissement terriblement excitant. Je gare alors la voiture sur le bord de la petite route déserte. Là, au bout de quelques minutes, lui caressant les cheveux, je lui offre le fruit de ses doux efforts.

Dans un long râle de plaisir, ma complice déguste les trois saccades et le "reste". Longuement, sans en perdre la plus petite et précieuse goutte...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 6 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 6 -



Christine se prépare pour son fantasme .

Ce matin-là, Christine essaie de nouveaux vêtements devant le miroir de la chambre à coucher. Moi, assis dans le fauteuil à bascule, je regarde. Je donne mes appréciations. J'aime voir les filles essayer de nouveaux vêtements. Cela les rend tellement heureuses.

Christine, belle brune, au cheveux longs, mince et sportive de vingt deux ans, me rend fou amoureux. Elle a tenu à me montrer ses tenues de printemps acquises la veille. Il y a là des choses réellement très jolies. Mais, rien n'est plus triste que des vêtements "vides", étalés sur un lit.

Lorsqu'elle essaie la jupe à carreaux rouge et brune, coupée à la façon d'un kilt, Christine est superbe. Lorsqu'elle revêt le chemisier blanc, puis le pull fin, bleu-marine, elle devient radieuse. Lorsqu'elle chausse les escarpins noirs, à talons, elle devient la plus ravissante des jeunes filles. Terriblement sexy. Christine tourne sur elle-même, devant le miroir en faisant virevolter ses longs cheveux. Belle, si belle que j'en ai le vertige. Sensuelle, divine et gracieuse.

Je me lève. Je m'approche. Je la prends dans mes bras. Je la fais tournoyer. Je l'embrasse longuement. Je savoure sa bouche, sa salive, sa langue. Le goût de sa bouche est d'une exquise douceur. Nous aimons fouiller nos bouches de nos langues exploratrices et insatiables.

Elle me fait basculer sur le lit en riant. Je suis sur le dos. Christine couché sur moi, se frotte doucement en gémissant. Nous nous faisons l'amour. Nous faisons l'amour en nous "berçant". Nous nous berçons d'un rythme lent. Je suis à présent sur elle. J'approche ma bouche de son oreille pour murmurer : << Penses-tu parfois au "cadeau" que tu m'as promis ? >>. Christine m'embrasse longuement et me dit : << Bien sûr ! J'y pense tous les jours, au moins une fois ! >>. Cela décuple encore mes ardeurs...

Ces mots nous excitent tous deux encore davantage. Accélérant nos mouvements, nous savourons ces instants d'amour comme si c'était la première fois. Christine me prend la tête entre les mains pour murmurer : << Tu veux ? Cet après-midi ? Un inconnu, dans un sous-bois ? >>. J'accélère mon va et vient. Ensemble nous nous mettons à jouir d'un orgasme voluptueux. Un instant sublime...

Christine, allongée près de moi, sa tête contre la mienne respire doucement. Je pense qu'elle s'endot. << Tu dors ? >>. Elle chuchote : << Non je pense à ce que nous projetons pour cet après-midi. >>. Je lui montre ma nouvelle érection en disant : << Regarde un peu l'état dans lequel tu me mets ! Et c'est presque tout le temps ! >>. Elle prend mon sexe en main, se met à jouer avec en me disant : << J'aime savoir qu'il ne reste pas indifférent à mes charmes ! >>. Nous éclatons de rire, heureux...

Je demande : << Tu veux vraiment le faire cet après-midi ? >>. Elle se serre contre moi pour me préciser : << Oh oui. On va bien préparer ça. Mais n'hésitons pas à faire au moins cent kilomètres, afin de ne jamais risquer de revoir la personne. Quoi que le monde est si petit ! >>. Je découvre une fois encore l'esprit pratique de Christine. Un esprit rationnel jusque dans ce fantasme commun que nous avons le désir de réaliser. J'admire cette jeune fille autant que je l'aime. Elle est ma "Star"...

Nous sommes à nouveau très excités. << Gardons-nous bien pour cet après-midi ! >> lance Christine en se levant, en se réajustant. Elle rajoute : << Regarde, ma jupe est toute fripée ! Elle est neuve et déjà bonne pour le repassage ! >> . Nous éclatons de rire une fois de plus...

Je suis très excité à l'idée l'aventure qui nous attend cet après-midi. J'en fais quelques fois part à Christine durant la matinée. << Moi aussi, tu sais, ça m'excite ! >> m'avoue t-elle. Je propose : << Allons au restaurant à midi. Ainsi, dès la fin du repas, nous partons. Il faut rouler au moins soixante dix kilomètres pour aller dans les environs de Ridelles-les Essieux ! >>. Elle s'écrie en sautillant : << Oh oui, excellente idée, préparons nous. Tu veux que je reste habillée comme ce matin ? >>

Je suis impatient de vivre la suite...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 7 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 7 -



Christine et l'inconnu de l'étang

Une fois le repas terminé, vers midi trente, nous roulons quelques quatre vingt kilomètres. Christine est vêtue d'une jupe kilt, d'un chemisier crème et d'un pull bleu-marine. Chaussée de mocassins à légers talons. Au bout d'environ une heure de route, nous arrivons dans la région souhaitée. Je prends la petite départementale qui mène vers la campagne. Je roule lentement. J'avise un chemin, un petit endroit où garer la voiture. A partir de ce lieu part un sentier. Sur un poteau, un panonceau précise : "Etangs du Loir"...

Ce temps de fin avril est doux et agréable. Malgré un ciel un peu couvert, aucun risque de pluie ou de dégradations quelconques. Christine, une fois sortie de la voiture, enlève sa culotte. Je lui demande : << Tu pars pour une pipe ou pour une nique ? >>. Elle me fait un clin d'œil et précise : < Une pipe ! Comme prévu ! Tu sais bien que cela m'excite d'être sans culotte. Donc, pas culotte ! >.

Nous marchons depuis cinq minutes. Ce chemin très agréable parcourt une forêt de chênes. Au bout de cinq minutes nous arrivons sur les bords d'un étang. En face de nous, sur l'autre bord, il y a un petit cabanon de pêche. Quelques bancs sont disposés sur le pourtour du plan d'eau.

Il n'y a personne. Lentement nous marchons en admirant le paysage, faisant le tour de l'étang. Arrivés au cabanon, nous pouvons découvrir qu'il s'agit d'une sorte d'abri précaire constitué de planches. Une simple porte battante donne sur un intérieur dépouillé. Un banquette en fait le tour. Un vieux barbecue rouillé occupe le milieu du petit local. Une porte arrière est entre-ouverte, faisant face à la porte d'entrée.

Par la fenêtre, aux vitres sales, nous pouvons avoir une vue sur le plan d'eau. Nous sommes là depuis cinq minutes, lorsque notre attention est attirée par la silhouette d'un homme se profilant à l'autre bout de l'étang.

Nous restons à observer. Je sors les jumelles de leur étui. Je regarde la silhouette. C'est un homme d'environ cinquante cinq ans, légèrement ventru. Il marche d'un pas lent, presque lourd, portant son matériel de pêche. Je passe les jumelles à Christine. Elle scrute avec attention. Je passe par la porte arrière. Je dis à ma compagne : << Pourquoi pas ? >>. Elle me fait un sourire un peu contrit suivi d'une petite grimace en disant : << Je ne suis pas certaine du tout ! >>.

Je passe derrière le cabanon. Une petite ouverture dans la cloison, destinée à recevoir un tuyau de poêle, me permet d'observer discrètement l'intérieur du local. Christine sort du cabanon. Elle marche lentement, fait semblant de n'avoir pas remarqué la présence de l'inconnu. L'homme installe son matériel. Il déplie sa petite chaise en tissus presque devant le cabanon. Christine, debout sur le bord de l'étang, à demi dissimulée derrière un bosquet, observe la scène distante d'un centaine de mètres.

J'observe avec les jumelles. Le pêcheur est assis. Il a remarqué la présence de la jeune fille. Christine, s'accroupissant près de l'eau, fait semblant d'en scruter la surface, cuisses légèrement écartées, face à l'inconnu. Elle resta ainsi de longues minutes. Avec les jumelles, je peux la voir "loucher" en direction de l'homme. La scène dure quelques longues minutes. Christine, se redresse, revient lentement sur ses pas. Je vois le pêcheur déboutonner discrètement son pantalon pour en extraire son sexe. Chose invisible depuis le lieu où je me trouve, à environ vingt mètres, mais suggérée par ses gestes.

Je peux à présent distinguer le mouvement régulier de son bras droit. Christine s'avance lentement, regardant autour d'elle, comme le ferait n'importe quel promeneur. L'homme, de petite taille, se lève doucement. Christine, arrivée à une dizaine de mètres, peut voir les agissements de l'homme qui lui lance un << Bonjour mademoiselle ! >>. >< Bonjour >> répond la promeneuse. En s'arrêtant à quelques mètres de l'inconnu, elle demande : << La pêche est bonne ? >>. L'homme se tourne pour bien se présenter de face. Je peux vaguement distinguer quelque chose de minuscule pendre de son pantalon de velours marron. Il répond : << Non, pour le moment, rien ! >>.

Christine reste debout à regarder la braguette ouverte du pêcheur. Ce dernier lui demande : << Vous êtes du coin ? >>. Christine répond : << Non, je me promène, j'attends mon ami, nous avons rendez-vous ici ! >>. Cette affirmation peut calmer toutes dérives éventuelles qui seraient inhérentes à la situation. << Vous seriez tentée par un petit digestif ? >> lance l'homme en montrant son sexe. << Pourquoi pas ! >> répond Christine après un instant d'hésitation. << Allons dans la cabane >> propose l'inconnu. Christine y pénètre la première. L'homme se met debout près du barbecue. De ma cachette je n'en reviens pas. L'aplomb de Christine. Quel culot.

Je peux voir le sexe minuscule du quidam. Un sexe presque ridicule et sans érection. Mou et flasque. Un sexe qui pend de sa braguette ouverte. Christine reste en retrait. Elle contemple la "chose". De là où je suis je peux la voir plutôt dubitative. L'homme se met à mimer une fellation de la main gauche en montrant son sexe de l'index de sa main droite.

Christine a un petit rire. Sa façon de se comporter m'excite au plus haut point. C'est ma compagne, là, devant mes yeux, qui m'offre un moment de vice indicible. J'en reste encore, aujourd'hui, admiratif ! S'approchant et s'accroupissant, le visage proche de la braguette, Christine observe la "chose" avec attention. Comme elle aime le faire avec moi. Dans ma cachette, mon cœur bat la chamade. Je me masturbe doucement. Tout en n'en menant pas large, je crois être dans un rêve...

Christine, approchant encore son visage, du bout de la langue, se met à goûter la peau fripée de l'extrémité du sexe de l'étranger. Elle retire sa tête et regarde l'inconnu en faisant une légère grimace. Passant sa langue sur ses lèvres avec un air de dégoût. L'homme saisit son appendice minuscule entre le pouce et l'index et le présente à Christine. Cette fois, la jeune fille prend le sexe en bouche. Son nez et son menton contre le tissus du pantalon. Je la vois sucer doucement. Par l'effort de succion, ses joues restent creusées de longues secondes. L'homme se cambre en avant. Il prend appui des deux mains sur le barbecue derrière lui. Il regarde Christine avec attention.

Soudain, je vois Christine déglutir. Surprise. Le sexe de l'homme reste pourtant mou. Pas d'érection. Lorsque Christine se retire pour reprendre son souffle, je vois la peau fripée du prépuce toute luisante. Dégoulinante. Comme la bouche de Christine. Je devine se qui se passe là. Christine a repris sa succion. Parfois, je peux percevoir de légers gémissements. Connaissant Christine, je devine le plaisir qu'elle est entrain d'éprouver là. Je l'observe rester immobile de longues secondes afin de bien déglutir, très doucement. Ses joues se creusent à intervalles réguliers. J'entends distinctement les gargouillis.

Le sexe minuscule de l'inconnu reste sans érection. Lorsque Christine se retire, je peux voir du liquide séminal s'écouler. Jus visqueux qui coule des lèvres de Christine. Je suis excité comme rarement par ce "film" que m'offre mon "actrice" préférée. Tout cela dure depuis une bonne vingtaine de minutes. L'homme se met sans doute à éjaculer car il a une série de spasmes. Christine, à genoux sur la terre battue, déglutit avec délice. L'homme veut la repousser délicatement. Mais Christine reste comme une ventouse à sucer. Malgré les efforts du quidam, Christine reste comme collée à son sexe.

Au bout de quelques minutes l'homme se "lache" probablement car Christine, se remet à déglutir. Ses gémissements entrecoupés de petits cris de surprises. De dégoûts aussi. L'homme se retire fermement. Vacillant sur ces jambes, il s'assoit sur la banquette. << Tu es une sacrée gonzesse toi ! Tu veux me faire mourir de plaisir ? >> dit-il en reprenant son souffle. Son sexe dégouline d'une substance jaunâtre et visqueuse.

<< Bonne fin d'après-midi >> fait Christine en laissant l'inconnu. Elle sort rapidement du cabanon. Filant à toute vitesse par la porte. Moi, avec une érection délirante, je la rejoins au bout de l'étang. L'homme est sortit du cabanon. Il appelle Christine : << Hé ! Hé ! Revenez ! >>. Comme s'il ne me voyait pas. Rapidement, nous retournons à la voiture.

<< Il faut que je boive, j'ai un goût dégueulasse dans la bouche >> me lance Christine. Elle se met à boire un jus d'orange que nous avons emmené dans la voiture. << Ce vieux salopard m'a tout lâché. Un vrai dégueulasse ! >> fait t-elle. La mine écœurée. Elle rajoute encore : << Plus jamais, beurk ! >>. Elle essuie le haut de son pull avec un mouchoir en papier.

Nous nous arrêtons à quelques kilomètres, terriblement excités, pour faire l'amour dans un chemin creux. Christine reste écœurée par cette expérience. Un écœurement qui perdure les trois jours suivants. Elle me demande de ne pas évoquer cette "aventure" de pêche durant un moment. Pourtant, Christine, quelques semaines plus tard, me demande de revenir nous balader au bord de cet étang...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 8 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 8 -



Christine me suce au centre de thalassothérapie

Toujours en ce premier tiers des années quatre vingt dix, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous aimons aller passer des séjours au bord de l'océan. Tous les prétextes sont bons pour nous offrir des week-ends sympathiques sur le littoral atlantique. Toujours en Bretagne de préférence. Chez nous, ou en Vendée.

Nous sommes en février et nous avons jeté notre dévolu sur un centre de thalassothérapie. Nous avons choisi cette période car la fréquentation y est relativement plus calme. Nous avons choisi ce centre réputé, très bien fréquenté, pour sa situation géographique dans le Morbihan. De plus, la petite ville de Quiberon offre, en cette période de l'année, une ambiance particulière.

Nous avons donc réservé pour une semaine. Quelques "célébrités" fréquentent également cet endroit en cette période de l'année. Nous sommes donc en excellente compagnie avec un personnel dévoué et aux petits soins. Il n'est pas rare de croiser, aux bords des bassins, des politiciens, des chanteurs, des écrivains et même deux ravissantes actrices inséparables. Il y avait également monsieur et madame Dugland, de Limoges.

Ma compagne a un faible pour le grand bassin qui permet de faire des longueurs avec de grandes brassées. Chose qu'elle apprécie particulièrement, athlète de la natation. Ayant participé à des championnats de renommés, elle trouve là de quoi me battre à plate couture en vitesse comme en distance. J'adore la regarder évoluer dans l'eau de la piscine. Qui connaît cet endroit sait à quel point il est agréable d'y nager comme d'y passer du bon temps. La vue, par les baies vitrées, sur l'océan, est d'ailleurs majestueuse.

Les repas, hautement diététiques, ainsi que les services en chambres, les services en extras, tout cela est d'une qualité qui rend divin notre séjour. Un enchantement paradisiaque qui nous a poussé à récidiver une bonne dizaine de fois en huit ans. Toujours en cette période privilégiée.

Cet après-midi là, en sortant du bain romain, nous tenant par la main pour ne pas nous égarer dans l'épaisse vapeur, nous nous rendons dans le vestiaire afin d'y changer de peignoirs. Les nôtres sont trempés. Il n'y a personne. Ma compagne, toujours très câline, de sa main leste, me saisissant le "paquet", m'embrasse goulument. J'aime...

Comme toujours, "démarrant" au quart de tour, je me retrouve en état d'érection. Une érection fabuleuse. Seulement voilà, je suis nu. Même en ce lieu, ou la nudité est une "nécessité", (et la moindre des convenances), de se retrouver avec une turgescence, n'est pas sans être source de tracas. Aussi fière soit-elle, cette turgescence, pointant vers le ciel, n'est pas sans me tourmenter. Surtout que ma coquine s'y frotte effrontément. Je lance : << Et si quelqu'un arrivait ? >>. Ma délicieuse dévergondée répond : << Tant pis pour lui ! >>

Ma coquine, devinant mon trouble, me couvre d'un peignoir sec. Il y en a quantité, plié là, sur une multitudes d'étagères. Elle m'entraîne vers la sortie. Cette grosse bosse déforme mon peignoir. Dans le couloir, nous croisons des curistes. Tout ce beau monde s'amuse. Il y a une bonne humeur générale. Dans cette ambiance, en parfait capitaine "Bandard", il m'est facile de gérer le mât du bateau. Il me suffit de me tourner vers ma complice, de virevolter autour d'elle. Pour faire diversion, évidemment.

La coquine m'entraîne dans le petit patio des "plantes vertes". Celles et ceux qui connaissent les lieux, savent ces grandes plantes exotiques qui offrent autant de cachettes discrètes. Il est en effet fort simple de s'installer au sol entre deux gigantesque pots. Ou encore de s'installer entre les massifs sortant des carrés de terre. Christine m'embrasse à nouveau avec cette fougue "bouillante". Je commence à être la victime de délicieux vertiges libidineux. Ce qui amuse beaucoup mon adorable coquine.

C'est là, après m'avoir fait glisser au sol, dans la douce chaleur de cette serre exotique, que ma coquine m'offre ma première gâterie de la journée. Il est dix heures trente du matin. Appuyé contre le mur, les jambes allongées et légèrement écartées, je suis la victime des assauts buccaux de Christine. Un vrai délice, surtout après la vapeur, les bains alternativement froids et chauds des bains romains. J'apprécie avec une sorte de grâce divine. Et une méchante trique...

Nous sommes ainsi, depuis une dizaine de minutes, dans un enchantement paradisiaque, lorsque soudain, en riant, arrivent deux personnes. Vêtues comme nous de simple peignoirs. Chaussées comme nous, de ces claquettes immondes si particulières aux saunas, l'homme et la femme s'installent sur deux chaises-longues. Ils ne nous ont pas vu !

Il nous faut redoubler de prudence, rester les plus silencieux possibles. Choses difficiles pour deux individus se livrant à des actes charnels. Je me laisse donc faire dans un silence religieux, retenant souvent mon souffle avec peine. Par contre il faut que ma compagne réfrène les bruits de succions. Et là, nous le savons bien, ce n'est pas simple. N'importe quelle station de pompage génère un bruit de pompe...

Cette situation nous excite quelque peu. Il faut bien l'avouer. Surtout ma coquine qui aime tout particulièrement les situations à "risques". Au bout de dix nouvelles minutes, j'éjacule comme un bienheureux. Un élu arrivant aux cieux. Un véritable orgasme "religieux" qui me pousse à chuchoter, dans ma langue maternelle et à l'oreille de ma comparse : << Oh my God ! >>. Elle chuchote : << T'as un gode ? >>

C'est en sortant du patio que le couple s'aperçoit de notre présence. Après quelques échanges de politesses, de civilités, nous prenons la poudre d'escampette. Dans le couloir, je m'aperçois que je n'ai plus le "pass" en plastique accroché autour du poignet. Il a dû rester au sol. Je retourne dans le patio. Là, avec ma coquine, quelle n'est pas notre surprise de voir le couple faire exactement la même chose ! Thalasso-Pipe. Après milles excuses, je récupère mon badge et je file à l'anglaise. Pardon, à l'écossaise...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 9 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 9 -



Christine me suce dans des toilettes culturelles

En cette agréable année 1996, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous sommes partis quelques jours à Amsterdam. C'est durant le week-end prolongé de la Toussaint. Nous voulons faire notre pèlerinage annuel au superbe Rijksmuseum. Cette destination régulière pour y voir, une fois encore, la merveilleuse collection permanente. En effet, c'est là qu'il faut découvrir les plus belles pièces de la peinture du siècle d'or Hollandais.

Nous avons trois jours devant nous. Pour apprécier pleinement la visite de ce superbe musée, il faut y consacrer un après-midi entier. Il y a tant de belles peintures, tant de toiles extraordinaires. Nous voulons également aller sur Roterdam afin d'y voir, une fois encore, le fameux Museum Boijmans Van Beuningen. Dans ce lieu aussi on peut admirer de sublimes toiles du siècle d'or, le XVII ème siècle Hollandais.

De plus, comme le climat plutôt doux pour cette période nous y invite, nous voulons faire une petite visite en bateau sur les canaux d'Amsterdam. Ces trois jours sont donc dotés d'un timing biens rempli. Nous descendons toujours au même hôtel. Un établissement d'une chaîne bien connue et proposant un service irréprochable. Pour un coût attractif. Le matin, jogging, dans la vieille ville, avec d'autres coureurs et cyclistes matinaux.

C'est en visitant la première salle de l'étage, présentant d'extraordinaires marines du XVII ème , que nous commençons à discrètement nous tripoter. Comme à notre habitude nous aimons manifester notre bonheur d'être ensemble par des témoignages tactiles. Il n'y a que peu de monde en ce jeudi après-midi. Il est donc très simple d'avoir les mains baladeuses. Ma compagne adore fouiller ma bouche de sa langue exploratrice. Provoquant ainsi de formidables érections. J'adore lui mettre la main entre les cuisses. Il y a toujours un spasme étonnant. L'effet de surprise...

Nous passons devant la porte des toilettes à plusieurs reprises. Malgré les grandes libertés de mœurs ayant cours en Hollande, les toilettes ne sont pas mixtes. Il nous faut donc ruser dans la plus totale discrétion. A cette époque, la vogue des caméras de surveillance n'a pas encore gagné les lieux publics. Après avoir bien observé les lieux, j'entre le premier dans les toilettes "Homme". Ma coquine ne tarde pas à me rejoindre sur la pointe des pieds.

Nous sommes seuls dans cet espace lumineux et blanc. Qui connait les toilettes de ce musée sait la petite fontaine qui se trouve au milieu. Me saisissant par la main, ma compagne m'entraîne dans une des cabines de la rangée de droite. Nous avons toujours une préférence pour les rangées de droite. Là, s'accroupissant tout en m'ouvrant la braguette, elle se met en situation fort attractive. Comme elles sont belles dans ces moments-là !

Ma douce complice me suce depuis une dizaine de minutes. Je me suis assis sur le couvercle fermé de la cuvette. La propreté clinique des lieux ne pousse pas à l'hésitation. Nous ne sommes pas dans un pays latin. Elle est à genoux devant moi. Nous sommes à gémir discrètement dans le silence le plus total. Soudain, le bruit de la porte, un bruit de pas, résonnent sur le carrelage. Cet impondérable nous pousse à suspendre nos respirations. Nous écoutons avec attention.

Après s'être lavé les mains, un quidam doit pisser au-dessus d'un des urinoirs. Nous pouvons entendre distinctement le jet venant se briser contre le fond de faïence blanche. Ma douce coquine se remet à l'ouvrage en me fixant de ses yeux troublants. C'est un grand moment. L'inconnu s'en va comme il est venu. Quelques minutes s'écoulent à nouveau. Le bruit de la porte se fait entendre une nouvelle fois. Des pas...

Dans le silence, nous pouvons distinctement entendre la voix d'une femme qui chuchote en Anglais. C'est un couple qui arrive là. Nous entendons la porte d'une des cabines se refermer. Peut-être sont ils venus là dans un but semblable au notre. Au bout de quelques instants, le même bruit se fait entendre que dans notre cabine. Ce bruit de succions, de gargouillis si caractéristiques. Une pipe juteuse. A n'en point douter un couple se livre là aux mêmes occupations que nous.

Ma complice se remet à l'ouvrage avec tout cet enthousiasme dont elle est coutumière. Je lui chuchote les cochonneries habituelles. Ce qui la faisait glousser. Nous pouvons entendre la même chose provenant de la cabine proche de la notre. J'éjacule avec bonheur en caressant les cheveux de ma douce coquine. A présent nous n'observons plus de réelles attentions. Elle se régale avec ses gémissements habituels.

Nous sortons de la cabine après nous êtres réajustés. Nous pissons à tour de rôle. Joindre la nécessité à l'agréable est une formalité obligatoire en vacances. Nous nous lavons les mains lorsque le couple sort à son tour d'un des cabinets. Une ravissante jeune femme accompagnée d'un beau "vieux" viennent vers les lavabos. Nous nous saluons en souriant. Nous échangeons quelques mots. L'anglais étant ma première langue, le couple est ravi de pouvoir partager quelques impressions.

Une fois de retour dans la galerie des "Natures Mortes", nous croisons le couple à quelques reprises. A chaque fois ce sont des sourires complices. Je propose à Christine de faire plus ample connaissance avec ces visiteurs. Elle préfère décliner ma proposition. Nous n'avons plus que deux jours. Mais l'idée n'est pas pour lui déplaire. Christine aime goûter d'autres saveurs. Nous n'en sommes encore qu'au début.

Ce troisième séjour à Amsterdam est superbe. La troisième visite à Rotterdam est agréable. Nous profitons de ce séjour pour nous goinfrer de ces délicieuses glaces Hollandaises, succulentes et à nulles autres pareilles. Trois jours divins.

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 10 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 10 -



Christine me suce dans la descente du parking

Nous sommes en 1995. Avec ma délicieuse compagne, Christine, nous partons souvent en week-end prolongé. C'est le long week-end de la Toussaint. Comme toujours, nous donnons notre préférence au train. C'est tellement plus agréable au-delà de trois cent kilomètres. Pas de stress. Pas d'anxiétés inutiles. La quasi certitude, (à cette époque), d'arriver à l'heure. La découverte permanente.

Nous arrivons à Paris pour dix sept heures. Notre hôtel est à dix minutes de la gare Montparnasse. Nous y avons réservé une chambre du jeudi soir au dimanche matin. Nous venons pour notre visite annuel au musée du Louvre. Nous avons également nos billets pour assister à un concert de l'orchestre philharmonique. Deux billets pour une exposition ponctuelle de toiles des Maîtres Hollandais du XVII ème.

Du côté culturel notre séjour dans la capitale est donc parfaitement organisé. Nous nous sommes toutefois aménagé des plages d'improvisation. Christine veut absolument aller traîner dans cette fameuse "Rue des Branleurs". En bas de la rue des martyrs. Rue située entre le 9 ème et 18 ème arrondissement. Pour rejoindre le village de Montmartre, cette rue est donc un excellent prétexte.

Le premier soir, jeudi, nous nous offrons le restaurant. Un délicieux repas qui est le prélude d'une très agréable soirée. Un début de nuit à traîner dans le village de Montmartre. J'adore ce quartier car j'y ai vécu durant mes deux dernières années d'études à l'école des Beaux-Arts. La place du Tertre est toujours un lieu enchanteur. Même si la majorité des peintres qu'on y voit peindre et exposer sont très mauvais. Quelques bons toutefois.

Nous redescendons par la rue Lepic avec le projet de nous promener sur Pigalle. Passer devant le Moulin rouge. Y voir tourner les ailes lumineuses est toujours un enchantement. Devant le petit kiosque qui précède le Moulin de la Galette, ma compagne commence à me toucher en m'embrassant par surprise. Chose dont elle est coutumière. Divin ! Il y a là un immeuble blanc sur la gauche.

Nous sommes tous les deux très excités. Nous avisons la descente d'un parking souterrain. Nous descendons jusqu'à la grande porte métallique fermée. Là, sur la droite, il y l'anfractuosité d'une porte. Nous nous y mettons. Christine s'accroupit. Depuis notre départ, je porte l'anneau à sexe qu'elle m'a offert au début de l'automne. Je le porte quelques fois plusieurs heures de suite. Lorsque je marche, en ville, en faisant nos courses ou encore à la maison, cet anneau me procure d'agréables sensations. Il enserre couilles et bite en faisant "garrot".

J'ouvre ma braguette. Je tiens mon sexe à sa base. Je le secoue dans tous les sens. Je le passe sur son visage. Christine essaie de le gober. Je l'en empêche. Je frotte mon sexe sur sa peau. Nous restons longuement ainsi. Au bout d'un moment, je lui enfonce mon sexe dans la bouche et je la maintiens. Par la nuque d'une main, par le menton de l'autre. Nous sommes parfaitement immobiles.

L'anneau fait garrot lorsque je suis en érection. C'est également très amusant car cet anneau rend les couilles bien dodues. Peau de poulet garantie. Ma complice est donc obligé d'adapter sa succion. Il faut pomper plus fort pour obtenir le jus. C'est très excitant. Je commence à bouger doucement, me masturbant dans la bouche de ma complice. Je l'entends glousser. Je la connais bien.

Il y a comme un sixième sens qui m'avertit d'un danger. Je tourne ma tête dans toutes les directions. Je ne vois rien. Pourtant cette sensation d'être observé persiste. Je scrute avec attention. C'est là, au-dessus de la rambarde qui surplombe la descente, que j'aperçois deux formes. Il y a deux personnes qui sont entrain de nous mâter. J'en fais part à ma suceuse. Elle me rassure en me disant : << Ils ne vont pas nous manger ! >>.

L'anneau, les voyeurs, la pipe, je n'en peux plus. J'éjacule. Avec le "garrot" il n'y a pas de saccades. Le jus coule longuement. Ma coquine se régale en gémissant. Les connaisseuses et les connaisseurs savent qu'avec l'anneau tout est sublimé. Les spasmes de l'orgasme arrivent un peu après l'éjaculation. Cette sensation décuple la durée de l'orgasme et distille le jus plus longtemps. C'est divin.

Je range mon "matériel". Ma complice se redresse. Nous remontons. En arrivant presque en haut, nous croisons un couple. Ils sont plus âgés que nous. Ils nous gratifient d'un << Bonsoir >> poli et presque obséquieux. L'homme se retourne et nous demande : << La place est chaude ? >>. Nous nous arrêtons. Tous les quatre, nous éclatons de rire. Je réponds : << Oui ! Et on a tout nettoyé ! >>. Ma complice corrige : << J'ai tout nettoyé ! >>. Concert de rires. C'était donc ces deux-là qui regardaient en attendant leur tour ! Ah ! Paris ! ! !

Nous continuons notre promenade nocturne jusqu'à tard dans la nuit. Arrivés à la lumière des lampadaires, je découvre que le visage de ma coquine porte des traînées discrètes de liquide séminal qui a séché. Je le lui fais remarquer en lui tendant un mouchoir en papier. Elle me fait : << Non merci. J'aime porter les stigmates de nos exactions ! >>. De rares personnes remarquent et se retournent sur notre passage...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 11 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 11 -



Christine me suce en forêt

Ce soir de début juin, en ce même début des années quatre vingt dix, avec Christine, nous partons en voiture. Nous roulons doucement, comme j'aime à le faire, afin d'apprécier le paysage. Christine me caresse doucement en me chuchotant des choses excitantes. Pas qu'aux creux de l'oreille.

Au bout de quelques kilomètres j'avise un chemin sur la droite. Il s'enfonce dans la forêt. Roulant au pas, j'avance doucement sur un chemin sec et très carrossable. Au bout d'environ un kilomètre je gare le véhicule sur un petit terre plein dégagé. Nous sortons de la voiture, pressés de nous dégourdir les jambes. Entre autres...

Nous prenons un sentier assez raide qui monte entre deux rochers impressionnants. Nous marchons depuis un quart d'heure pour arriver devant les ruines d'un ancien château médiéval. Il doit être vingt heures trente. Il nous reste deux bonnes heures avant la nuit. Le ciel encore bleu nous rassure quand à la météo de la soirée.

Nous pénétrons dans les petites ruines par ce qui doit être l'ancienne poterne. La végétation a envahi les lieux depuis longtemps. Un vague sentier longe les grosses pierres des murailles. Nous marchons lentement en regardant attentivement autour de nous. La découverte est attractive. Ces ruines nous excitent quelque peu. Christine, entreprenante et coquine, comme j'aime, me palpe parfois l'entre-jambes en m'embrassant goulûment. C'est superbe.

Nous nous installons sur une roche posée comme une table de pierre dans la végétation. De là nous avons une vue magnifique sur la plaine. Nous pouvons voir l'océan qui brille sous le soleil descendant. Mon coquine, se levant, s'accroupit devant moi entre mes jambes écartées. Elle m'ouvre la braguette avec l'admirable virtuosité dont elle est devenue coutumière. Une turgescence magnifique jaillie soudain de mon pantalon à manches courtes. Mon sexe pointe fièrement vers le ciel.

Presque de suite, s'emparant de mon sucre d'orge, Christine se met à en savourer les effluves et les premières arrivées de liquide séminal. J'aime la regarder. Les filles sont tellement belles, les yeux fermés, lorsqu'elles sont entrain faire ça. Elles n'imaginent pas vraiment l'indicible plaisir qu'elles nous procurent, par la vue comme pas les sensations. Nous autres alors, dans ces moments là, nous n'en menons pas large. Les yeux humides de reconnaissance.

La fellation dure ainsi, depuis un quart d'heure, entrecoupée de pauses où nous nous embrassons avec fougue. Je caresse les cheveux, le visage de ma passionnée avec amour. A chaque fois qu'elle s'empare de mon sexe, humide et bouillant, je monte encore d'un cran dans le plaisir. De quoi se damner à tout jamais pour une longue éternité de jouissances.

Nous sommes là, oublieux de tout ce qui nous entoure. Entre le chant des oiseaux, le bruissement des végétaux, je peux entendre les gloussements, les gémissements. Les bruits de succions si caractéristiques. Une pipe. A un moment, j'ouvre les yeux. Suis je alerté par mon sixième sens ? Là, à environ vingt mètres, un couple de jeunes gens nous observe. J'ai le réflexe de repousser doucement ma suceuse.

<< Bonsoir, excusez-nous, nous ne faisons que passer ! >> nous fait le garçon.

La jeune fille me regarde. Elle observe mon sexe avec un sourire étrange. Un vrai bonheur de se faire surprendre ainsi. Les "connaisseuses" et les "connaisseurs" savent ce que je sous-entends là. Un "must". Sans être forcément exhibitionniste, de se faire surprendre dans quelques égarements, reste tout de même un agréable petit stimuli.

Je réponds : << Bonsoir. Il n'y a aucun mal, vous êtes tout excusés ! ! >>. Christine me pince discrètement. Nous sommes très gênés.

Christine se redresse. Elle se pose devant moi afin de cacher mon sexe. Elle réajuste sa jupe que j'avais remonté sur son dos. Le couple s'éloigne. Juste avant de disparaître la jeune fille nous regarde en nous lançant un grand sourire, tout en levant le pouce. Tout cela nous excite considérablement. Nous reprenons les choses où nous les avons laissé. Au bout d'une vingtaine de minutes, j'éjacule avec des spasmes qui agitent tout mon corps. Grandiose !

Après quelques minutes, afin d'arriver à la voiture avant le début de la nuit, nous prenons le chemin du retour. C'est en arrivant au début de la descente du sentier que nous revoyons le couple. Lui, couché sur le dos, se fait sucer. Elle, couchée à ses côtés. En passant près d'eux Christine lance à leur attention : << Ce sont des rencontres qui ouvrent l'appétit, n'est-ce pas ! >>. Pour toute réponse il y a leurs rires. Des rires qui nous amusent autant qu'eux. A tout hasard je laisse tomber ma carte de visite au sol. La fille l'a vu. Nous les laissons vaquer à leurs occupations.

Une fois dans la voiture, je me mets au sol, entre le vide-poche et le siège. Là, j'entreprends d'offrir un somptueux cunnilingus à ma délicieuse coquine. Elle l'a bien mérité...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 12 - Tous droits reservés - © - 2020 - Episode 12 -



Christine me suce au bord de la mer

En cette mi-septembre au début des années quatre vingt dix, avec Christine, nous sommes chez mon oncle et sa femme à Edimbourg. Pour visiter un peu le Nord Est, nous avons loué un studio en bord de mer, à Aberdeen. Je veux lui faire rencontrer ma famille et lui faire découvrir mon pays, l'Ecosse. En ces temps là, Clémentine n'était même pas encore née. Elle aime lire mon Blog pour découvrir ce passé.

Je suis d'origine anglo-saxonne et, par atavisme, j'aime me ressourcer au pays de mes origines. La merveilleuse Ecosse. Il m'est impensable de ne pas y passer au moins deux mois chaque année. Ce que je m'applique à faire quoi qu'il arrive. Depuis l'avoir quitté à l'âge de huit ans. Avec mes parents. L'Ecosse me manque. Aujourd'hui, avec ma nouvelle compagne, nous envisageons de nous y installer définitivement. Clémentine en est tombée follement amoureuse. Elle prétend y avoir vécu dans une autre vie. C'est troublant car elle reconnaît des lieux.

Mais là en 1995, je suis avec Christine. Ce jour-là nous partons pour visiter Dunnottar Castle à quelques kilomètres au sud de Stonehaven. La journée est belle, le ciel d'un bleu limpide et le soleil haut dans le ciel. Qui connait l'Ecosse sait ce que l'été indien veut dire. De la mi mai à la fin septembre, ce pays est un enchantement permanent. Les passionnés préfèrent y venir du début octobre à la mi mai. Beaucoup plus authentique encore.

Je gare la voiture sur le parking. Nous sommes à cinq cent mètres des ruines imposantes de ce château du XIII ème siècle. Il y a plusieurs bâtiments entourés d'un mur d'enceinte. Construit sur une presqu'île dont les falaises surplombent la mer, cette forteresse offre une vue magnifique sur l'immensité de la mer du Nord. Aujourd'hui sous un ciel immensément bleu et un soleil radieux. Il fait chaud.

Le sous-sol du château est un véritable gruyère que les milliers de touristes visitent chaque année. En cette mi septembre, nous ne sommes pas très nombreux à parcourir le site médiéval. Quelques couples parcourent les chemins tracés dans l'herbe verte. Pour la plupart des séniors. Le cri des mouettes qui virevoltent d'une danse incessante au dessus de nos têtes.

Ma compagne, délicieuse coquine entreprenante, que j'aime comme un fou, discrètement me tripote. A tous bouts de champs, elle m'embrasse goulûment. Tout cela participe à entretenir un état d'excitation des plus agréables. Christine est très sensible aux stimuli extérieurs. Elle m'avoue quelquefois être en excitation permanente à se promener dans un endroit magnifique. Ce qui est le cas ici.

Nous débouchons d'une des galeries souterraines parfaitement éclairées pour nous retrouver sur une plate-forme au-dessus de l'abîme. En se penchant sur la rambarde nous pouvons voir et entendre les énormes ressacs qui se brisent sur les rochers, quelque cinquante mètres plus bas. C'est réellement impressionnant. Le vide est vertigineux. Ce mouvement perpétuel des eaux est un spectacle inquiétant.

Nous avisons une poterne fermée à clefs dont le renfoncement permet de se mettre à l'abri des regards. Ma coquine, me prenant par la main, m'attire en cet endroit. << Viens par là, j'ai des choses à te dire ! >>, me fait elle. C'est là que, s'accroupissant devant moi, m'ouvrant la braguette, Christine entreprend d'en extirper la turgescence. J'ai le sexe à l'air, bercé des embruns qui montent jusque là.

Je reste ainsi, tous les sens aux aguets. Je me colle au maximum contre le chêne de la porte. Sans venir par ici il est impossible de nous apercevoir depuis la plate-forme. Mais le risque de se faire surprendre est quand même bien réel. Mais, nous aimons le risque. Surtout ma délicieuse coquine. Combien de fois ne nous fait elle pas courir tous les dangers. Elle aime me savoir sexuellement inquiet.

J'ai vraiment envie de fermer les yeux et de jouir de l'indicible caresse sans avoir avoir à me préoccuper du reste. Je connais le caractère frondeur de ma coquine. Je sais qu'elle apprécie de me mettre dans des situations embarrassantes. Mais là, quand même...

Cela fait quelques minutes que je suis envahi de plaisir. Je sens ma compagne savourer l'instant. Au propre comme au figuré. Ses gloussements ne laissent aucun doute quand aux joies partagées. Habituellement, j'aime à faire durer. Je contrôle toujours parfaitement mes émois et mes orgasmes. Mais là, curieusement, j'ai l'envie folle de me laisser aller sans endiguer la montée de sève. Sans doute un peu par peur. Pour abréger ce mélange d'inquiétude et de jouissance. Je suis jeune à cette époque. Encore un peu "timide".

J'éjacule en retenant ma respiration. En ce faisant, je lève les yeux au ciel. C'est là que, la respiration subitement coupée, je constate l'existence d'une plate-forme supérieure. Une jeune femme, blonde, retenant ses cheveux balayés par le vent, nous observe avec attention, le sourire aux lèvres. Cela ruine quelque peu le bon déroulement de mon orgasme. Retirant mon sexe de la bouche de ma compagne, à son grand étonnement, moi qui aime à partir pour un second tour, je remballe rapidement l'objet du plaisir. Je me sens ridicule.

Christine se redresse. Elle regarde à son tour. La silhouette de la jeune femme qui sourie toujours juste avant de disparaître. Nous nous regardons. Juste avant d'éclater de rire. Ma compagne s'essuyant le menton avec un mouchoir en papier, me fait : << Tu savais qu'elle mâtait ? >>. Je réponds : << Non, je m'en suis rendu compte en jutant ! >>. Christine sait me surprendre. Elle me dit : << Moi, je le savais ! >>. Elle me fixe de son regard espiègle. Comme à son habitude.

Une fois de retour au niveau supérieur, nous nous dirigeons vers le magasin de souvenirs. Chacun, une grosse glace à la main, nous revenons vers la voiture. C'est en quittant l'enclos du site que je regarde avec attention autour de nous. Sur la droite, là-bas, en contre-bas, à environ deux cent mètres, il y a un groupe de six personnes. Elle est là. La jeune femme blonde. Je la montre à Christine. Mon étonnant s'amplifie encore. Christine lui fait un signe de la main. La blonde répond à son tour par un signe rapide.

Cette situation me gratifie d'une nouvelle et formidable érection. J'en fais part à ma coquine qui me murmure : << On va régler ça dans la voiture ! >>.

Ainsi, ma compagne, délicieusement entreprenante, m'a attiré à l'écart dans un but bien précis. Comme je l'aime, la bougresse...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 13 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 13 -



Christine me suce dans la barque sur l'étang

Toujours en ce début des années quatre vingt dix et toujours avec mon adorable compagne. A l'automne, nous aimons louer un petit gîte. En ce début de belle saison c'est souvent en Vendée, du côté de Fontenay-Le-Comte. Une région magnifique. Nous y avons récidivé trois années consécutives.

C'est toujours le même gîte. Accueillant, rural, situé à proximité d'une ferme où nous pouvons aller faire nos courses. A pieds en soirée c'est superbe. Il y a là de délicieux fromages "maison", des yaourts, du beurre, des œufs et du pain de "campagne". Nous sommes devenus amis avec le couple d'agriculteurs qui nous loue le gîte. Qui connaît la Vendée sait à quel point l'accueil y est chaleureux.

Un après-midi particulièrement ensoleillé nous avons demandé à emprunter la barque en bois. C'est pour naviguer sur l'étang à proximité de la ferme. Notre ami fermier est enchanté de nous la prêter. L'étang, plutôt vaste, entouré de bosquets, d'arbres et de hauts roseaux, est un véritable havre de paix. L'étang, propriété de notre ami agriculteur, n'est que peu fréquenté.

Cet étang est souvent le but des cavaliers qui viennent depuis le centre hippique situé à trois kilomètres. Les cavaliers en font le tour en admirant le calme des lieux. C'est dans ce cadre bucolique que nous aimons nous installer au bord de l'eau. Depuis quelques jours, nous nous sommes promis de faire du bateau sur cette eau dormante reflétant le bleu du ciel. Une ambiance réellement romantique.

Nous voilà entrain de voguer sur les eaux de l'étang. Je rame lentement. Christine vêtue d'un short et d'un t-shirt, simplement chaussée de sandalettes, me lit des extraits d'un livre étonnant. Nous faisons doucement le tour du plan d'eau. Je longe les roseaux et les rives au plus prêt. Deux petits ruisseaux viennent déverser leurs trop plein dans l'étang. Ce qui créé un léger courant. C'est poissonneux par là.

Trouvant l'ombre de ces grands peupliers plutôt plaisante, j'arrête de ramer pour me vautrer au fond de la barque. La tête sur un rouleau de cordage qui me sert de coussin. J'écoute la voix douce de ma complice. C'est comme une chanson dans le silence qui nous entoure. Au bout d'une dizaine de minutes, elle vient se blottir contre moi. Nous regardons les environs. Nous profitons du privilège de l'instant.

Très rapidement, au bout de quelques minutes, ma coquine se met à me tripoter. Elle sait que mon sexe réagit toujours au quart de tour dans ces moments là. Se dressant comme le mât d'un bateau, avec vigueur et fierté. Cela fait toujours plaisir à voir. Ouvrant la tirette de mon short kaki, Christine m'embrasse tendrement. Ma turgescence pointe vers le ciel.

Se penchant sur le côté ma complice se met à me sucer. Comme toujours, cette indicible caresse me met dans un état "second". Les yeux fermés, je savoure autant qu'elle. Comme à chaque fois j'ai l'impression d'avoir mon sexe dans un bol de purée tiède, onctueuse. Que l'on me pardonne cette métaphore culinaire mais c'est la plus proche description d'une réalité phénoménale que je ne peux que traduire ainsi.

Nous sommes là depuis un temps indéfinissable. Je lui caresse les cheveux. Je murmure des folies qui participent à la faire gémir. Mon sixième sens se met soudain en "branle". J'ouvre les yeux avec ce fort sentiment d'être observé. Là, sur la gauche, à une vingtaine de mètres, une jeune fille, sur son cheval, depuis la rive, nous regarde avec un curieux sourire. Vision équestre d'une belle amazone.

J'ai ce réflexe imbécile mais normal de redresser ma compagne en cachant ma virilité des deux mains. Je dis : << Il y a quelqu'un ! >>. Ma complice se redresse pour constater à son tour la présence de la cavalière. Celle-ci, la vingtaine au grand maximum, nous adresse un sourire, un signe de la main avant de faire tourner sa monture. Rapidement elle disparait derrière les bosquets. << Tu crois qu'elle mâtait depuis longtemps ? >> me demande Christine. Je réponds amusé : << Je ne sais pas, mais j'ai senti son regard ! >>. Christine s'écrie : << Viens, on continue, peut-être qu'elle reviendra faire sa voyeuse ! >>. Je suis un peu gêné. Christine reprend sa délicieuse activité.

J'ai beau scruter longuement les environs, il n'y a plus personne. Cette situation nous a bien excité. Aussi, rapidement, au fond de la barque, nous nous mettons à faire l'amour. Le secret espoir de nous faire surprendre à nouveau reste toutefois vain...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 14 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 14 -



Christine me suce dans le train

Avec ma délicieuse compagne Christine, en ce début des années quatre-vingt dix, nous aimons par-dessus tout les déplacements en avion ou en train. Nous donnons la préférence au train pour nos déplacements en France. Lorsque nous allons à l'étranger c'est le plus souvent en avion. Il est tellement simple de louer une voiture une fois sur place. Sauf en Ecosse par exemple où nous allons en voiture...

Ce mois de septembre radieux invite vraiment à découvrir les régions enfin désertées. Finies ces cohortes de touristes de juillet et d'août. Rien n'est plus pénible que ces familles de Simpson. Ces familles bruyantes qui touchent à tout, envahissent tout et consomment du congé comme on consomme du hamburger.

Nous avons décidé d'aller passer quelques jours dans ce magnifique pays d'Oc. Destination les châteaux Cathares et les citadelles du vertige. Nous partons donc de la gare de la ville voisine avec le train de huit heures quarante cinq. Cette matinée ensoleillée est une véritable invitation à l'évasion. J'ai réservé les billets de première classe. A cette époque les TGV sont encore confortables et luxueux.

Nous prenons place sur des sièges confortables. Le wagon des premières classes est presque vide. Comme souvent. Pour ce lundi de septembre, rares sont les personnes voyageant de Quimper à Carcassonne, via Paris. Comme souvent, lorsque nous partons en "expédition", ma compagne et moi sommes les proies d'agréables tourments. C'est donc avec une douce complicité que nous nous tripotons avec plaisir. Discrètement tout de même. Christine aime être en jupe. Pour me faire de douces surprises elle ne porte pas toujours de culotte. Une preuve de bon goût dont fait preuve cette jeune fille.

C'est à la hauteur de Rennes que le wagon commence à se remplir de voyageurs. Il nous faut être plus vigilants. Par chance la banquette voisine reste inoccupée. Ma complice écarte ma braguette. Elle est ouverte depuis Lorient. Christine le fait toujours avec cette agilité et cette virtuosité qui lui est coutumière. J'aime tant les filles capables d'initiatives heureuses. Avec elle, je suis "servi".

Ma coquine se penche sur sa gauche. Après m'avoir embrassé goulument elle se laisse glisser sur le côté. Doucement jusqu'à en gober mon sexe. C'est à la fois inquiétant et excitant de me faire sucer ainsi. Nous pouvons entendre le murmure des conversations à quelques sièges. D'être aux aguets participe d'un moment de plaisir total. Je recommande. Surtout pour lutter contre l'ennui des déplacements.

Nous arrivons en gare de Laval. Il faut cesser car le train accueille de nouveaux voyageurs. Avec peine je replace ma turgescence dans son "sac". La bosse ainsi crée dans mon pantalon, refuse de disparaître. Christine s'en amuse en la tenant fermement. Il y a une dizaine de nouveaux arrivants dans le wagon. Toujours personne à nos côtés.

C'est lorsque le train démarre que ma coquine me déboutonne à nouveau. Reprenant sa noble activité, ma compagne se penche à nouveau sur sa gauche. Tout en appréciant je reste d'un vigilance extrême. Je me sers des vitres comme d'autant de rétroviseurs. En effet, il y a toujours des casse-pieds qui circulent entre les sièges dans les trains en marche. Même dans le calme des premières classes.

Ou est le bon vieux temps des compartiments qui se fermaient avec une porte coulissante et où l'on pouvait tirer les rideaux ?

Il y a le nouvel arrêt à la gare du Mans. Une fois encore il nous faut cesser nos activités ludiques. Encore une fois des voyageurs montent dans le wagon. D'autres en descendent. Ça contrebalance. Une fois encore, au départ du train, la banquette voisine reste déserte. Par contre un couple de personnes âgées s'est installés derrière nous. Ma coquine reprend rapidement les "choses" où elle les a laissé. Une légère coulure macule mon pantalon et le chemisier de ma douce. Nous avons des mouchoirs en papiers et de l'eau plate.

Toujours aux aguets je savoure le moment autant que ma compagne. Christine qui se régale à la fois de la situation et de mes épanchements. Je peux la sentir frissonner lors d'instants biens particuliers. Jusqu'à présent le voyage se passe très bien. L'excitation est à son comble. Surtout parce qu'il faut la dissimuler. Maîtrise totale.

Les "connaisseuses" et les "connaisseurs" savent ce que cela sous-entend. Over the top !

Une fois encore, arrivant à la gare de Chartres, le train embarque et débarque des passagers. Crac ! Un couple vient s'installer sur la banquette voisine. Ma compagne me glisse à l'oreille : << Merde ! Des casse-burnes ! >>. Et question "burnes" elle en connait un rayon ! Il faut faire contre mauvaise fortune bon cœur. Nous envisageons toutes sortes de stratégies. Les toilettes par exemple. Finalement, je propose à ma coquine de prendre notre mal en patience et d'attendre la prochaine opportunité.

La fellation en train c'est drôlement sympathique mais il faut parfaitement maîtriser le propos...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 15 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 15 -



Christine me suce dans les toilettes du restaurant

Avec ma délicieuse compagne en ce début des années quatre vingt dix. Christine et moi aimons régulièrement nous rendre dans un petit restaurant charmant. Cet établissement est situé aux abords immédiats d'un petit lac. En soirée, lors des mois de la belle saison, nous aimons aller y manger. La terrasse extérieure nous ravie par son agencement floral. La vue magnifique se conjugue au silence remarquable du lieu. Tout cela participe d'un enchantement paradisiaque.

Souvent ma compagne prend des initiatives heureuses et étonnantes. Il n'est donc pas rare qu'en différentes circonstances, de préférence insolites, Christine me tripote un peu partout. Tous les prétextes sont bons. Et lorsqu'il n'y a aucun prétexte il lui suffit d'en inventer un. Une personne remarquable. Combien de fois ne m'a t-elle pas placé d'en d'embarrassantes situations.

Ce soir du mois de juin, la fréquentation est moindre. Nous devons êtres quatre couples sur la terrasse. Quatre couples pour une dizaine de tables. Ce n'est donc pas réellement la promiscuité. L'ambiance parfaite pour vivre un peu d'érotisme soft et sympathique. Les prétextes qu'invente encore ma coquine ce soir-là sont adorables. J'admire son imagination débordante qui semble fonctionner en permanence.

Son sac à main posé au sol, à côté de la table, devient le principale prétexte de la soirée. Régulièrement Christine s'accroupit devant son sac pour y chercher quelque chose. Profitant au passage pour s'exhiber un peu comme elle aime à le faire. Elle ne cherche rien d'autre qu'à me tripoter sous la table. Un grand moment. Cela me met dans un état d'excitation des plus agréables. Déguster des fruits de mer en érection, sous le regard libidineux d'une belle jeune fille, est une thérapie imparable.

Lorsque la "thérapeute" est âgée de vingt cinq ans, qu'elle est belle comme un soir d'été, qu'elle a du "tempérament", les soins sont d'une efficacité redoutable. Nous dégustons notre plateau de fruits de mer en nous fixant longuement. Celui qui baisse les yeux a un gage. Moi, crapuleux comme elle aime, je triche souvent. J'apprécie tant le gage qui m'attend. En effet, pratiquer le cunnilingus à la fille que j'aime est un bonheur indicible. Elle sait que j'aime tricher. Le léchage de minou est le plus souvent mon gage.

Christine aussi aime tricher. Son gage est l'obligation, (très volontaire), de me prodiguer une fellation. Les tricheries entre nous sont donc monnaie "coulante". Ce soir-là, en suçant la queue d'une crevette, trempée au préalable dans de la mayonnaise, ma complice baisse les yeux. Et pour bien me faire comprendre qu'elle a "perdu", elle garde les yeux baissés en suçant longuement la queue de la crevette. De la mayonnaise autour de la bouche. Peut-on imaginer plus beau spectacle ? Tricheuse de mes rêves, comme je t'aime...

Sans doute à cause du jus de mangue et de Kiwi, coulant en abondance pour arroser les fruits de mer, il me faut me rendre aux toilettes. Je me lève pour aller satisfaire ce besoin. Une envie irrépressible, pressante, devenue urgente et incontournable.

Je suis là à me vider la vessie tranquillement au dessus de la faïence de l'urinoir lorsque soudain la porte s'ouvre. Pour bien me surprendre. C'est Christine. Elle s'approche pour chuchoter : << Alors, on fait des trucs avec son "truc" sans sa copine ? >>. J'éclate de rire en prenant garde de ne pas en mettre partout. Comme à la maison elle me la prend pour la tenir. En diriger le jet. Profitant au passage pour s'amuser à viser partout. Christine aime jouer au pompier et manier la lance à incendie. Moi aussi, je raffole de ses pompiers.

Je m'écrie : << Tu es folle ! Tu laisses la table sans personne ! Et ton sac ? >>. Je tente de faire diversion. Je tente surtout d'empêcher mon érection naissante. Christine lance : << Mon sac ? Mais il est là, avec moi ! >>. Elle me le montre, accroché à son épaule. Elle se penche soudain. Elle s'engouffre mon sexe dans la bouche en gémissant. Elle s'accroupit. Comme souvent elle me fixe.

Son regard dans ces moments intenses me donne le vertige. Toujours. Je dois prendre appui contre le carrelage du mur. Je ne désire pas attirer l'attention du personnel sur notre absence. Au bout de quelques minutes j'éjacule comme un dément. Je fais remarquer à ma complice que ses cheveux pendent dans l'urinoir. Se relevant, prenant du papier, elle s'essuie. La bouche et les cheveux.

Cheveux qu'elle rince aux lavabo avec un peu de savon. Sortir des toilettes avec les cheveux mouillés reste un grand moment de solitude. On rame un peu au milieu du lac. Nous en rions de bon cœur.

Nous ressortons ensemble des toilettes. La serveuse nous observe plusieurs fois avec un curieux sourire. Le couple assis sur notre gauche ne cesse plus de nous regarder comme si nous étions des "curiosités". Cela nous amuse considérablement. Comme à chaque fois, pour le dessert, nous choisissons les plus grandes coupes glacées. Cette soirée reste une sorte de "mesure étalon". Une sorte d'échelle à laquelle nous pourrons comparer nos autres nombreuses récidives à venir. Christine est une personne remarquable.

Au dessert mon adorable coquine recommence à fouiller son sac à main...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 16 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 16 -



Christine me suce au bord de la route

Toujours en cette époque, les années quatre vingt dix, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous aimons à nous promener à bicyclette. Nous avons une préférence pour ces petites routes peu fréquentées que nous aimons à parcourir en soirée. Lors de ces magnifiques soirées d'été, entre la mi juin et la mi septembre, quand nous ne sommes pas en vacances, nous randonnons à vélo pour notre plus grand plaisir.

Parfois, lorsque notre libido nous démange, nous faisons alors quelques haltes afin de nous embrasser longuement. Ce qui ne manque jamais de nous exciter considérablement. Ces petites pauses nous permettent également de savourer la douceur de ces soirées. Il est souvent entre vingt heures et vingt deux heures. Nos choix nous emmenent sur ces toutes petites routes communales qui traversent d'étonnants paysages.

Christine, délicieuse coquine, aime faire de la bicyclette vêtue d'une petite jupette, d'un T-shirt. Il est donc extrêmement agréable de voir sa plastique avantageuse montée sur un vélo. De la voir pédaler devant moi sur les petites routes. En la regardant ainsi je suis conscient de ce privilège supplémentaire que m'offre l'existence. Elle doit ressentir les mêmes émotions. Surtout que la culotte est dans la pochette du guidon.

C'est une de nos nombreuses soirées de virées. Il est vingt et une heures. C'est un tronçon de quelques kilomètres parfaitement droit. Il traverse une superbe forêt. Nous nous arrêtons pour nous assoir sur un vieux banc de pierre. Nous aimons nous tripoter. Ma main va rapidement se promener sous sa jupette. La sienne vient rapidement se glisser sous mon short. Nous nous embrassons comme des fous. Nous fouillons nos bouches de nos langues exploratrices. Un délice car il y a encore le goût de la pomme que nous avons partagé.

Je me mets à genoux dans l'herbe. Je regarde à gauche. Je regarde à droite. La route est déserte. Je me mets à savourer son sexe avec appétit. Je m'attarde longuement sur ce clitoris turgescent. Je stimule le plaisir de ma douce complice. Par intervalles réguliers je vais fouiller de ma langue agile les plis et les replis de ses lèvres. Avec mon index, doucement, je reste à l'entrée de sa petite grotte. Je caresse la muqueuse trempée. C'est une si douce sensation.

Ma coquine, les cuisses écartées, me tient la tête comme pour me guider. Je l'entends gémir. Parfois, entre deux aspirations, je la regarde. Comme elle est belle. Sa tête rejetée en arrière, les yeux fermés. << Tu es fou ! >> me dit elle. Christine rajoute dans un soupir : << Et tu vas me rendre folle ! >>. Tout cela en cambrant son bassin avec des mouvements réguliers.

Ce qui devait arriver fini par arriver. Dans un râle Christine a son premier orgasme. Elle veut me repousser doucement. J'adore résister. Je lui offre un second tour. Elle a beau lutter pendant trente secondes, elle finit toujours par succomber. A s'offrir une nouvelle fois. Je continue de lécher les saveurs de ce sexe si doux, si tendre si coulant. Mon miel. Sans évoquer ce clitoris en érection.

Le bruit d'un moteur. Une automobile. Il doit être vingt heures quarante cinq. La voiture ralentit. Nous avons sans doute l'air ridicule. Je suis à genoux. Christine les cuisses relevées, les pieds posés sur le banc. Je regarde. C'est un couple. La femme nous fait un signe de la main et un grand sourire. L'homme présente un pouce levé comme pour signifier "Super" ! La voiture disparait rapidement.

Suite à cette séance exhibitionniste involontaire Christine connait un second orgasme très rapidement. Des frissons la parcourent. Je me relève. Christine me saisis par les hanches. Elle m'attire entre ses cuisses écartées. Elle s'empare de mon sexe. Nous regardons de tous côtés. Il n'y a personne. Là, avec cette indicible douceur, sa bouche se referme sur ma virilité. Je suis couvert de frissons.

Je suis debout devant ce banc. Je me tiens entre ses jambes. Je me fais sucer. Toutefois je reste vigilant. Cette obligation de devoir surveiller les environs rajoute encore à l'excitation. Nous gémissons de concert. C'est réellement fameux. Même si je préfère être assis ou couché sur le dos pour me faire sucer, j'apprécie. De savoir que ma compagne a déjà eu son plaisir deux fois me stimule considérablement. J'ai envie de fermer les yeux. J'ai envie de me laisser aller.

Une dizaine de minutes. Par crainte et par l'inconfort de la situation je me retire. << Tu n'es pas bien ? >> me demande Christine qui semble inquiète. Interrogative. Je la rassure : << Si ! Je suis trop bien. Mais j'aimerais être dans de meilleures dispositions ! >>. Je me réajuste. Je remballe. << Tu veux qu'on change de coin ? >> me demande Christine. Je réponds : << Non, je vais me garder pour la maison, je veux te faire la totale ! >>. Je l'aide à se relever doucement. Je l'embrasse tendrement.

Nous reprenons la longue ligne droite. Sur nos bicyclettes nous pédalons en chantant. Là, garée dans un chemin perpendiculaire à la route, la même voiture. Nous sommes heureux de constater que les deux hédonistes de tout à l'heure s'adonnent à quelques agapes. C'est une si belle soirée d'été. Ces deux coquins sont sans doute quelque peu stimulés par nos agissements libidineux de tout à l'heure.

De retour à la maison c'est le feu d'arti-fesse habituel...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 17 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 17 -



Christine me suce au parcours sportif

Cet après-midi d'une agréable journée de mai 1994 avec Christine, nous sommes entrain de courir. C'est sur le parcours sportif de la forêt voisine de la propriété. En temps normal, nous pratiquons notre jogging en matinée. Là, pour des raisons de travaux dans la maison, préférant être présents durant l'intervention de l'entreprise, nous avons différé notre entraînement aérobic à l'après-midi.

En arrivant devant la station No 5 quelques rotations de bustes. Notre attention est attirée par des mouvements et des bruits dans les fourrés. Christine est un fille très curieuse. Elle est toujours désireuse de tout voir, de tout savoir. Elle s'avance en silence. Je l'observe longuement faire sa voyeuse. Au bout d'un petit moment elle me fait signe de la rejoindre. Je découvre ce qui attire tant son attention. Christine pose son index à la verticale devant sa bouche. Elle chuchote << Chut >>...

Je m'approche pour voir. Là, à une dizaine de mètres, un couple se livre à des ébats amoureux. Deux personnes, un homme et une femme, couchés sur un plaid, qui font l'amour. Christine pose sa main sur mon "paquet". Elle me chuchote à l'oreille : << Super, non ? >>. C'est à cause de la main de ma coquine que je me retrouve en érection. Certainement pas à la vue de ce que fait le couple. Ce que font les autres me laisse d'une indifférence abyssale.

Je glisse également ma main entre les cuisses de ma complice. Je lui demande : << Ça te donne envie ? >>. Christine met sa main dans mon short. Elle se saisit de mon sexe. Elle me répond, amusée : << Avec lui ? >>. J'adore l'humour de ma délicieuse compagne. Une fois encore elle me déstabilise par une fulgurance dont elle a le secret. Je fais de gros efforts pour ne pas éclater de rire. Il n'est pas question de se faire repérer.

Au bout de quelques minutes, laissant le couple à ses ébats, nous quittons les lieux. Nous sommes à présent dans un tout autre état d'esprit que celui de l'entraînement sportif. Avisant un sentier qui s'éloigne du parcours sportif ma complice m'entraîne par là. Nous n'avons pas fait cinquante mètres qu'elle me pousse au sol. Christine me descend le short. Ma turgescence s'agitant toute seule par un effet "élastique" qui l'amuse toujours beaucoup.

Christine s'empare de mon sexe fièrement dressé vers le bleu du ciel. Elle le prend en bouche avec l'avidité coutumière. Comme toujours, sous l'indicible caresse, je suis parcouru de délicieux frissons. Les choses durent ainsi un bon quart d'heure. Ma complice, sachant que je suis un jouisseur invétéré, savoure mes sécrétions avec des gloussements de plaisir. Toutefois, gardant toujours mes esprits, je surveille les alentours avec une vigilance accrue. Ce qui décuple l'excitation. Les connaisseuses et les connaisseurs connaissent...

Je suis un grand spécialiste des plaisirs "tantriques". Je sais faire durer mon plaisir. Ainsi que celui de ma partenaire. Avec une infinie patience et un total contrôle. Pour moi, il n'est jamais question de céder à un orgasme qui arriverait sans qu'il ne soit totalement contrôlé et souhaité. Le plaisir, s'inscrivant dans la durée, est beaucoup plus important qu'un orgasme. Aussi, pour le plus grand plaisir de ma coquine, je fais durer longuement avant de lui retirer le "bâton-des-délices" de la bouche.

<< Pourquoi tu t'en vas ? >> s'écrie t-elle, surprise par mon attitude. Je réponds : << J'ai envie de te faire l'amour ! >>. Je l'embrasse goulûment. << Là, maintenant, comme eux ? >> demande t-elle en essayant de récupérer mon sexe avec sa bouche. Je précise : << Oui, peut-être comme eux, mais surtout comme nous ! >>. Je la retiens par les cheveux. << Pas maintenant. Je veux te sucer. On baise ce soir à la maison. Tu veux ? > me répond t-elle en s'enfournant à nouveau mon sexe. Tout en gémissant de bonheur.

Je suis un homme conciliant, toujours désireux de faire plaisir. Aussi, vaincu par tant de détermination, je me laisse faire. Christine nous offre une nouvelle demi-heure de pompage. Soudain, là, sur la droite, arrive une joggeuse. La jeune fille s'est sans doute écartée du parcours sportif pour satisfaire à un besoin naturel. Je la vois. Elle a un mouvement de recul. Elle s'arrête net. << Oh, excusez-moi ! > fait-elle en tournant les talons avant de filer à toute vitesse.

Cette "surprise" décuple encore notre excitation. Ma suceuse, toujours ravie d'être surprise dans ces moments-là, se redresse pour me dire : << Peut-être qu'elle s'est planquée pour nous mâter quelque part dans les bosquets là-bas ! >>. Puis, avec célérité, elle reprend sa ponction de liquide séminale. Je scrute attentivement l'endroit où a disparu la joggeuse. L'idée qu'elle est cachée à nous observer me parait fort plaisante.

Malgré tout, au bout d'environs une heure dans cette "station de pompage", je décide qu'il est temps de changer d'endroit. J'éjacule. Je le fais souvent sans bouger. En sournois. Je noie la bouche de ma coquine d'un flot épais et visqueux. Avec peine, sous l'effet de la "surprise" prévisible, cette dernière tente de tout déglutir le plus proprement possible. Au bout de cinq nouvelles minutes, après avoir procédé à un vidage de fond de cuve en règle, nous nous levons assez péniblement. Courbatures de l'après...

C'est là, en revenant sur le chemin du parcours sportif que nous croisons la joggeuse de tout à l'heure. << Tu vois, je te l'avais dit ! Elle était planquée ! > me fait Christine . << J'aurais fait pareil ! >> rajoute t-elle encore en me touchant le sexe. Un peu perplexe, je demande : << Tu crois qu'elle mâtait ? >>. Je suis encore jeune et un peu crédule. Je regarde Christine. Je suis toujours surpris par tant de lucidité.

De retour à la maison, considérablement "émus" par le déroulement insolite de notre entraînement sportif, nous mangeons rapidement. Nous nous dépêchons d'aller faire l'amour. Comme des bienheureux. Nous nous aimons jusqu'à vingt heures trente. Ensuite, vautrés dans des chaises longues, nous profitons de la soirée jusqu'à la venue du crépuscule...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 18 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 18 -



Christine me suce dans les ruines du château médiéval

En ce mois de juin 1996, avec ma délicieuse compagne, Christine, nous sommes allés passer quelques jours dans les environs de Tiffauges. Cette région de la magnifique Vendée mérite une découverte impérieuse. C'est un véritable enchantement. Afin de profiter pleinement des produits du terroir et de l'hospitalité des autochtones nous optons pour la formule de la chambre d'hôte.

Nous arrivons le vendredi en fin d'après-midi. Nous sommes accueillis par les propriétaires. Des gens charmants. Nous prenons possession de notre chambre dans une grande maison typique de la région. Une grande chambre aérée et lumineuse. Le parquet en lames de chêne clair, le fin crépis des murs, la grande baie vitrée donnant sur le petit balcon, tout cela sent bon la tradition. C'est propre et entretenu.

Un grand lit recouvert d'une couverture en lin brodé. Deux grands coussins également recouverts de lin brodé. Deux tables de nuit, une grande armoire, une table, deux chaises et un fauteuil à bascule constituent le mobilier très XIX ème. Tout cela est de toute beauté. Réjouissant. Le soleil et une grande douceur ajoutent encore au bonheur de la découverte. Nous avons prévu un repas gastronomique à base de poisson dans un petit restaurant du bourg.

La petite salle de bain ainsi que les toilettes adjacentes présentent le même luxe simple et la même propreté exemplaire. Nous décidons de prendre une bonne douche afin de nous rafraîchir. Nous nous changeons pour notre sortie gastronomique de la soirée. Nous croisons le couple de propriétaires. Des quinquagénaires sympathiques. Ils nous proposent de partager le repas de midi, demain samedi. Nous acceptons avec plaisir.

En quittant la propriété, nous voyons arriver une jeune fille d'environ vingt ans sur une bicyclette. Elle nous fait un sourire et un signe amical de la main. Sans doute la fille des propriétaires. Je roule lentement sur la petite route. Le bourg est distant de deux kilomètres. Le paysage est enchanteur. Qui connait cette région sait le plaisir d'y évoluer dans la douceur. La sérénité qu'elle inspire.

Nous passons une soirée très agréable. Après la dégustation d'un délicieux repas nous nous promenons longuement dans le bourg. Demain après-midi, nous irons visiter les ruines du château de Gilles de Montmorency-Laval. Ce seigneur plus connu sous le nom de Gilles de Rais. Maréchal de France. Probablement l'amant de Jeanne d'Arc.

C'est un haut lieu historique. Gilles de Rais ayant même inspiré le personnage de "Barbe-Bleue". De quoi nourrir nos imaginaires pour le reste de la soirée. Un personnage haut en couleurs. Mais également un monstre qui a laissé le souvenir du premier serial killer de l'Histoire.

Le lendemain matin nous prenons notre petit déjeuner dans la chambre. La lumière du soleil inonde la pièce devant la baie vitrée largement ouverte. Nous savourons les petites baguettes beurrées. Dans la matinée nous allons nous promener au marché du bourg. Une matinée des plus agréables. Pour midi nous mangeons en compagnie de nos hôtes. Un repas délicieux. La jeune fille est avec nous. C'est bien la fille des propriétaires. Une étudiante tout à fait charmante.

L'après-midi, comme prévu, nous nous rendons aux ruines du château de Tiffauges. Malgré la luminosité, la chaleur et ce magnifique soleil, il se dégage de cet endroit une ambiance lourde et pesante. Il s'est passé ici des choses terribles. Nous pouvons ressentir de curieuses "vibrations". Il y a ici des choses invisibles et terrifiantes. Christine partage le même ressenti. Quelque chose d'oppressant.

Nous avisons une grande pierre sans doute tombée des remparts afin de nous y asseoir. Le lieu est parfaitement désert. Il n'y a que nous et le silence. Parfois le chant de quelques oiseaux résonne. Une légère brise agite les branches. Les arbres nous offrent leurs ombres protectrices. Nous sommes à l'écart du sentier qui monte vers les sinistres restes du donjon. Christine pose sa main sur mon sexe. Elle murmure : << J'ai envie d'une petite gourmandise ! >>.

Elle déboutonne mon bermuda pour en extraire le locataire. Mon érection fièrement dressée vers le bleu lapis-lazulien du ciel est comme une "friandise". Christine s'amuse longuement avec. La secouant dans tous les sens en riant. Elle me décalotte. Elle joue avec la peau de mon prépuce qu'elle frotte entre le pouce et l'index. J'apprécie en lui chuchotant des cochonneries. J'aime tant l'entendre rire.

Doucement, Christine se laisse glisser sur le côté jusqu'à poser sa tête sur ma cuisse. Elle continue encore un peu à jouer avant de poser ses lèvres douces et chaudes sur l'extrémité de ma turgescence. Je peux sentir sa langue qui fouille les plis entre mon gland et mon prépuce. Sensation délicieuse qui me fait frissonner malgré la douceur du climat. Au bout de quelques minutes ma coquine se met à sucer avec passion. Que du bonheur...

Nous sommes là, silencieux, à nous livrer au plaisir. Je regarde avec beaucoup d'attention partout autour de nous. Christine se déplace pour se mettre à genoux entre mes jambes. Ses coudes posées sur mes cuisses, elle est toute entière à son activité. Par moments je l'entends gémir. Ces gémissements sont le plus souvent causés par des montées de liquide séminal. Liquide que je peux sentir pompé avec régularité. Cette douceur indicible et unique. Je lui caresse doucement les cheveux.

Parfois je tiens ses cheveux en catogan. Je peux ainsi la "guider". Christine adore mes initiatives. Aussi, lorsque j'appuie sur sa tête, je peux l'entendre glousser. Elle me confie souvent qu'elle adore être surprise par mes petits élans fougueux. Parfois je la tiens par ses deux oreilles pour la "forcer" un peu. Je ne suis bien sûr pas obligé de "forcer" quoi que ce soit. Mais ce "jeu" nous ravit toujours beaucoup. De l'entendre glousser m'excite un peu plus. Ce qui déclenche évidemment de nouvelles et abondantes montées de sève.

De quoi régaler ma gourmande. De quoi me procurer les sensations les plus raffinées. Souvent, je lui retire la tête pour lui accorder quelques pauses. Elle en profite pour m'embrasser. Insatiable Christine.

Je suis un jouisseur invétéré. Rien ne peut tempérer mon hédonisme naturel. J'aime à faire durer en maîtrisant parfaitement mon sexe. C'est moi, dans la plupart des cas, qui décide d'éjaculer ou pas. Au bout d'une bonne heure je décide de faire cadeau de ma substance à ma pompeuse. J'éjacule donc en trois merveilleux spasmes qui me secouent de plaisir. Ma colonne vertébrale, parcourue de frissons, me picote de haut en bas. Je me retrouve soudain en légère sudation. Christine déglutit en gémissant. Assise sur le fessier gauche elle savoure avec application.

Comme toujours si je ne lui retire pas la tête elle continue. Christine aime repartir pour un second tour. Je regarde une nouvelle fois autour de nous pendant que Christine reprend mon sexe en bouche. C'est là que j'aperçois la jeune fille de la chambre d'hôte. Nul doute qu'elle est cachée là depuis un moment. Peut-être même depuis le début. J'ai bien remarqué son attitude durant le repas de midi et ses regards équivoques. J'en ai fait part à ma compagne qui l'a remarqué aussi. Elle m'a confié son impression. << Une belle petite salope sans aucun doute ! >>. Christine se trompe rarement. Ses convictions se vérifient souvent.

Nous nous redressons. Christine voit également la jeune fille qui reste debout près du bosquet. Ce bosquet ou elle est sans doute restée cachée. La jeune fille reste ainsi, avec un aplomb effronté, à nous observer en souriant. Une trentaine de mètres nous séparent. Je fais un "coucou" de la main. Elle vient vers nous. << Vous aimez la région ? >> nous demande t-elle. Avec un naturel désarmant. Comme si rien ne s'était passé.

C'est ma compagne qui répond : << Oui, il y a des endroits et des situations vraiment extraordinaires ! >>. Nous éclatons tous les trois d'un rire sonore. La "messe" était dite. Je propose à la jeune personne de nous accompagner pour le reste de la visite. En fin d'après-midi je propose un restaurant à trois. La jeune fille décline gentiment notre offre. Ses témérités et sa curiosité ont des limites. Elle évoque la présence de ses parents dans la maison.

Nous comprenons son embarras. Nous n'insistons pas...

Classe



Classe
A genoux. C'est l'heure... - Coeur
Wednesday 13 May 2020 13:13

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
Classe - 19 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 19 -



Christine me suce dans une chapelle (Désacralisée)

Nous sommes au début du mois d'août 1997. Il y a un soleil radieux sur les falaises qui surplombent l'océan. Il doit être quinze heures. La chaleur est forte. Fort heureusement le vent du large tempère quelque peu ce qui peut ressembler à un début de canicule. Avec Christine nous randonnons sur le sentier côtier. Nous sommes partis en fin de matinée et nous marchons depuis plus de trois heures.

Comme nous avons l'habitude de le faire en tous lieux, nous nous arrêtons parfois pour nous embrasser longuement. Nous le faisons souvent, partout où cela est possible. Nous aimons nous tripoter. Nous nous caressons doucement. En fonction de notre fougue, avec passion. Il y a souvent le désir de témoigner de nos sentiments respectifs dans cet acte tout de douceur et de tendresse.

Une fois encore durant la randonnée nous sacrifions à ce rituel. Nous croisons quelquefois d'autres couples, d'autres personnes et même parfois des familles de Simpson. De temps en temps, derrière un amas rocheux, des fourrés, nous aimons approfondir ce témoignage. Cet après-midi encore il n'est pas question de faire une entrave à ce rituel délicieux. Christine et moi nous nous "allumons" une fois de plus. Et de façon sévère...

Je suis vraiment très excité. Ma complice également. J'apprécie le soleil. J'apprécie la chaleur et j'aime la canicule. Ces conditions me mettent dans un état d'euphorie. Nous marchons depuis un bon quart d'heure en évoquant la possibilité de trouver un lieu retiré. Discret. C'est plutôt difficile car sur le sentier côtier, cet ancien sentier des douaniers, il n'y a pas beaucoup de possibilités. A notre droite c'est le vide des falaises surplombant l'océan. De l'autre c'est la platitude de pâturages verdoyants. Parfois un amas rocheux.

Nous sommes vraiment très excités. Christine a mis sa main dans mon short. J'ai la mienne dans le sien. Nous marchons comme des clowns. Handicapés par nos pelotages. Là, sur la gauche, un bosquet sous un groupe d'arbres. Enfin se présente une opportunité. Une de ces anciennes chapelles en pierres de granit se dresse entre des roches. Les arbres et les ruines d'un haut muret. Christine me tire par la main. Elle m'entraîne vers la construction. Il y a un panonceau qui informe le visiteur. C'est une chapelle désacralisée. L'endroit abrite régulièrement des expositions d'arts.

La porte est ouverte. Christine m'y pousse. Il y a cette odeur caractéristique de pierre, de bois et d'humidité. Il y règne une certaine fraîcheur. L'espace est vide. Sur son pourtour intérieur il y a des vieux bancs de bois. L'ancien hôtel est encore en place. Nous nous embrassons comme des déments. J'ai déjà mon short aux genoux. Ma compagne me masturbe doucement. C'est divin. Et chacun sait qu'il n'y a pas de lieu plus approprié pour rencontrer le "divin" qu'une vieille chapelle. Même si celle-ci n'a plus aucun caractère cultuel.

Christine, accroupie, suce comme si sa vie en dépendait. Je murmure : << J'ai une méchante envie de te faire l'amour ! >>. Je prends appui des deux mains derrière moi sur l'hôtel de granit. Elle cesse pour me dire : << Attends un peu ! Moi j'ai envie de "ça" maintenant ! >>. Toujours désireux de faire plaisir je me laisse faire. Cambré en avant sur mes jambes fléchies, un certain inconfort me gagne rapidement. Je me retire de la bouche avide de ma suceuse. Je la redresse pour l'entraîner vers les bancs. Là, nous nous asseyons l'un à côté de l'autre. Christine porte sa jupette légère. Sa culotte dans le petit sac à dos comme souvent lorsqu'il fait chaud et que nous partons pour quelques "expéditions". Christine est une jeune femme qui aime l'aspect "pratique" des choses...

Le fait d'avoir les fesses nues sur le bois m'envahit d'une agréable fraîcheur supplémentaire. Christine, penchée sur le côté, reprend sa fellation. Je ferme les yeux pour apprécier l'indicible caresse. Ses gémissements dans le silence résonnent avec une certaine réverbération. Je me laisse pomper avec jubilation. Christine a une jambe posée sur le banc, l'autre au sol. Je peux donc parfois aller m'aventurer dans ses secrets. Soudain, le bruit d'un jet venant s'écraser sur les dalles de granit. J'ouvre les yeux. Christine pisse tout en pompant. Cela m'excite considérablement. Elle fait cela quelques fois. Par envie naturelle certes, mais souvent par vice. Ce détail m'enchante.

Nous sommes ainsi depuis une bonne demi-heure. Des bruits au dehors. Des rires. Des voix féminines. Je saisis Christine par les cheveux pour la faire cesser. << Merde ! Des emmerdeurs ! >> fait elle avant de m'embrasser. Je remonte mon short. La porte s'ouvre. Deux jeunes femmes entrent. Des randonneuses. Les sandalettes typiques, les grosses chaussettes, les sac à dos de type tyroliens. Aucun doute, de l'Allemande. De la vraie. Elles nous saluent poliment. L'une d'entre elles montre à l'autre la flaque de pisse au sol. Elles prennent quelques photos de l'intérieur tristounet tout en échangeant des paroles dans leurs langues.

Nous décidons de quitter les lieux. Avisant un rocher couché nous nous asseyons dessus. Au bout de quelques minutes les deux jeunes femmes ressortent. Après nous avoir dit << Au revoir >> avec cet accent si particulier, elles quittent rapidement l'enclos pour disparaître au bout du sentier. Christine me saisit par la braguette. Elle m'entraîne immédiatement. Nous retournons à l'intérieur de la chapelle. Nous reprenons notre place. Mais là, je la saisis par les hanches pour l'asseoir sur ma turgescence. En imprimant à son bassin un mouvement lent et rythmé elle m'embrasse avec sa fougue habituelle. Nous avons fait l'amour longuement et sans êtres dérangés à nouveau.

Ce n'est que vers seize heures quarante cinq que nous reprenons notre randonnée. Mais en sens inverse. Il reste plus de trois heures de marche pour revenir à la voiture. Encore un après-midi magnifique. En soirée, nous nous prenons un délicieux repas dans le petit appartement que nous avons loué chez l'habitant. Des tomates farcies au pâté de lentilles accompagnées d'une salade verte. Une énorme glace en dessert.

Nous avons récidivé le lendemain...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 20 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 20 -



Christine me suce dans le bus

Avec Christine aussi nous aimons passer nos vacances d'été en Ecosse. Nous y allons tous les ans. Départ fin juin. Retour début septembre. Nous sommes le plus souvent dans ma famille à Edimbourg ou à Saint-Andrew. Nous y allons en voiture. Je n'hésite pas à rouler deux jours pour y monter. Nous sommes en 1995. J'ai 28 ans. Ce mois de juillet est particulièrement chaud et agréable. Ma première Mercedes. Mais pour nous amuser il n'est pas rare que nous prenons le bus pour quelques destinations villageoises.

Ce lundi matin nous prenons le bus à Perth. La région du Perthshire est à découvrir absolument. C'est une succession de vallées verdoyantes, de collines se découpant sur le ciel d'un bleu lapis-lazulien et de petits bourgs isolés. Les autochtones y sont d'un accueil et d'une gentillesse toute écossaise. Il y a le fameux Loch Toy qui n'a rien à envier au Loch Ness. Je n'évoque pas les nombreuses distilleries de Whisky car je ne bois pas d'alcool. Par contre nous aimons visiter les distilleries et leurs installations. L'odeur de l'orge et du malt laisse toujours une douce impression. Les glaces qu'on y sert souvent sont délicieuses.

Ce jour-là nous avons organisé une randonnée le long de la Tay. Cette rivière, au gré de ses fantaisies, se transforme en torrents, en petites cascades selon les reliefs où elle coule. De plus cet itinéraire permet de découvrir les magnifiques châteaux et parcs de la région. Le sentier balisé, partant du Grannog, passant par le parc des rapaces de Gleneagle, nous emmène pour une journée entière d'enchantements paradisiaques. Y aller en bus est tellement ludique.

Nous sommes assis au fond de l'autocar. Il est huit heures du matin. Il fait doux. La luminosité si particulière de ma merveilleuse Ecosse inonde toute chose d'une lumière diaphane. Christine évoque la possibilité de se faire muter en Ecosse dans une école française. Chaque jour elle tombe encore plus amoureuse de ce pays unique. Je dois souvent tempérer ses ardeurs touristiques. Je me dois de faire preuve de raison. Mon business naissant est en France. Il me faut encore faire fructifier mes activités avant d'envisager une installation à l'étranger.

Nous sommes tous deux confortablement installés sur la banquette du fond. Les autres passagers sont assis à l'avant. Il doit y avoir une dizaine de personnes. A chaque arrêt il en monte d'autres mais il en descend également. Le chauffeur à moustaches, jovial et débonnaire, plaisante avec un couple de passagers assis sur les banquettes derrière lui. Christine se met donc tout naturellement à me tripoter.

Rapidement je me retrouve avec la braguette ouverte. Le sexe libre dans l'air écossais. Ma compagne, coutumière du fait, apprécie de me mettre dans l'embarras dans les situations les plus insolites. Surtout les moins orthodoxes possibles. Je me fais donc masser la turbe au fond du bus. Nous parcourons une petite route du Perthshire. A plusieurs reprises Christine m'embrasse goulûment. Ma délicieuse coquine sait bien que cela m'excite encore davantage. Je mouille. << Une fuite au robinet ? >> demande t-elle selon son expression préférée.

Cette activité humide perdure depuis une dizaine de minutes. Nous regardons les magnifiques paysages qui défilent sous nos yeux admiratifs. C'est là, après l'arrêt du Men of stone, à côté de la poste du petit bourg, que Christine se penche sur le côté pour se mettre à me sucer. C'est son second petit déjeuner. Elle l'apprécie autant que le premier. Je reste vigilant. Le bus s'arrête toutes les dix minutes pour charger et décharger des passagers. Et si ça continue, je ne vais pas tarder à décharger également...

Cela dure ainsi une bonne demi heure. C'est tellement doux et bon de me faire sucer ainsi que j'en ai la larme à l'œil, (et la goutte au nez). Parfois, lorsque nous passons en hauteur d'une vallée, je saisis Christine par son catogan pour la redresser. Je veux qu'elle profite du panorama autant que de sa sucette à l'anis. Après tout, elle peut profiter de notre randonnée pour savourer mon sandwich derrière n'importe quel bosquet. Je le lui fais remarquer. Cela l'amuse beaucoup. Ce qui ne l'empêche nullement de retourner à sa dégustation.

Il reste quatre kilomètres avant l'arrêt ultime. Le pont Gone qui sera le prélude de notre randonnée. Je me mets à bouger doucement du bassin. En rythme. Ainsi Christine peut savourer une éjaculation juste avant l'arrêt du bus. Cinq minutes d'une petite concentration émouvante et je lâche mon sperme en trois saccades régulières. Trois abondantes giclées ponctuées d'une grosse goutte. Christine en gémit de plaisir. Les yeux pleins de cette touchante reconnaissance elle se serre contre moi. Nous sommes si heureux tous les deux.

Nous récupérons nos sacs à dos. Ils sont posés sur les filets au-dessus des sièges. Nous descendons du bus. Nous saluons le chauffeur à qui je laisse discrètement un billet d'une livre. Le bus démarre. Un coup de klaxon. Un signe de la main. Nous nous mettons à marcher sur le pont en bois qui traverse la Tay. Ce petit pont couvert d'une étonnante charpente. Une architecture insolite et surprenante. Ce chemin nous emmène sur le Tay footpath. Ce sentier qui va longer la rivière Tay sur six miles. Cette journée exceptionnelle me laisse un merveilleux souvenir.

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 21 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 21 -



Christine me suce sous la tente

Nous sommes au mois de juin 1996. Ce week-end est particulièrement chaud et agréable. Ce ne sont pas encore ces grosses chaleurs de l'été. Le climat est donc tout particulièrement doux. Avec Christine nous prenons l'initiative d'aller camper au bord du petit lac. Cet endroit où nous aimons souvent venir nous promener et nous baigner.

Ce début d'après-midi de samedi nous arrivons après une randonnée de trois heures. Voilà l'endroit souhaité. Ce lac est inaccessible en voiture. Il n'y a donc que très rarement du passage. Quelques amoureux du calme et de la solitude d'une nature préservée. De plus l'endroit est classé parc naturel. Il reste sous l'étroite surveillance des brigades vertes. Le camping y est toléré uniquement le week-end.

Nous garons la voiture aux pieds des collines. De là nous prenons le sentier balisé qui longe la rivière. Ce cours d'eau se transforme. Au fur et à mesure de notre marche sur l'étroit chemin qui grimpe il devient torrent. Pour devenir cascades successives. Nous portons nos sacs à dos. J'ai la tente. Nous avons tout le nécessaire jusqu'à demain soir dimanche.

Ces trois heures de marche sont le prélude à vingt quatre heures de farniente. Les réjouissances sur les bords de ce petit lac aux eaux claires et limpides. Creusée par un glacier il y a des millénaires la formation de ce cratère a permis cet endroit enchanteur et secret. Nous arrivons vers treize heures. Immédiatement nous montons la tente. Il n'y a pas encore ces tentes au montage rapide. Il faut donc se livrer à quelques réflexions. Notice en main...

L'endroit que nous avons choisi est une petite plate-forme légèrement en hauteur. Quasiment invisible depuis le sentier distant d'environ cent mètres. Il faut se livrer à quelques "grimpettes" pour pouvoir y accéder. Après le montage de la tente nous savourons les salades préparées le matin. Dans des tupperwares il y a de la salade de carottes, de choux et d'endives. Un avocat chacun. Accompagné d'un pâté de lentilles. De thon. Un repas qui rend le tonus. Les fruits du desserts sont l'épilogue de ce délicieux repas bucolique.

Nous descendons au bord du lac. L'idée de nous y baigner. Les eaux sont encore fraîches. Elles offrent toutefois une alternative agréable à la chaleur. Nous sommes à quatre cent mètres d'altitude. Nous voilà assis sur les roches. Nous trempons nos pieds. Avec la température de l'eau il vaut mieux s'habituer doucement. Mais le désir d'une baignade reste fort.

Christine, comme elle aime le faire, me tripote le sexe. Sa main dans mon maillot de bain. Je suis donc la victime d'une érection permanente depuis un bon quart d'heure. Nous devisons en appréciant ces moments de bonheur. Soudain un effroyable bruit sourd. Le tonnerre déchire le silence qui nous entoure. Un peu comme un poignard qui déchire la peau d'un tambour. Le vacarme assourdissant résonne longuement. Je lève les yeux pour découvrir de lourds nuages noirs qui s'amoncellent. Là, sur la droite, en haut des sommets.

Il faut se rendre à l'évidence. Nous aurons droit à un des premiers orages de la belle saison. Il y a quelques éclairs lumineux. Impressionnants. Les coups de tonnerre se succèdent. Les premières grosses gouttes nous tombent dessus. Nous remontons rapidement. Nous nous mettons à l'abri sous la tente. Bien nous en prend. Aussitôt sous la toile, la pluie se met à tomber avec un bruit sourd et continu. Le tonnerre gronde. Les éclairs zèbrent le ciel, déchirant cette curieuse obscurité apparue si soudainement.

Je sors mon sexe pour le présenter à Christine. Elle me caresse la braguette depuis un moment. Longuement elle joue avec. Elle le scrute. Elle le renifle. Christine étudie une fois encore son "jouet" préféré. Je l'observe. J'aime la regarder s'amuser. Dans toutes les situations, même les plus prosaïques de l'existence, elle est toujours si attractive. Christine reste mon spectacle. Christine est l'actrice préférée du film de notre vie.

Le tonnerre gronde. La pluie fait un bruit d'enfer sur la toile de la tente. Nous nourrissons quelques inquiétudes. Pour le moment tout semble étanche. Christine approche sa bouche de mon sexe. Elle en lèche longuement l'extrémité après l'avoir décalotté. Elle fouille de sa langue chaque plis de la peau de mon prépuce. Je sens la douce chaleur de sa respiration sur le gland. Sur le méat. Délicate sensation à nulle autre pareille.

Au bout de quelques minutes Christine referme la bouche sur mon sexe. L'indicible vertige m'envahit immédiatement. Il n'y a pas de mots pour décrire le plaisir que procure la fellation. Il en va de même pour le cunnilingus. C'est tout simplement indescriptible. Et c'est tant mieux. Tenter de décrire ces sensations permet de s'exercer à l'art de la sémantique. Je regarde ma complice sucer. Comme elles sont belles quand elles font "ça" !

Christine aime se savoir observée. Surtout dans ces situations. Aussi, pour m'offrir ce sublime spectacle, elle prend garde de ne pas coucher sa tête sur mon ventre. Pour l'aider à conserver cette position inconfortable je la maintiens par ses cheveux. Parfois je lui tiens le menton. J'aime la "guider" en la tenant par les oreilles. Mais le plus souvent, au bout de quelques minutes, elle trouve la meilleure position. La tête posée sur mon ventre. Je me laisse glisser sur le dos. Les coudes endoloris...

Christine sait que j'adore "ça". Autant qu'elle. Je fais durer longtemps. Souvent au-delà du raisonnable. Pour éviter les crampes de sa mâchoire, avec de fréquentes intermittences, Christine cesse. De reposantes petites pauses. Je monte alors son visage près du mien pour le couvrir de baisers. Nous nous murmurons des choses très excitantes. Christine retourne à sa passion. Gloussant de plaisir...

La pluie cesse. Un silence étrange s'appesantit sur toute chose. Il n'y a plus aucun autre bruit que celui de la succion de Christine. Ces gargouillis si caractéristiques d'une fellation passionnée. La luminosité revient. L'orage s'éloigne. Tout en me faisant pomper, j'ouvre la tente. Je regarde au dehors. Tout est trempé. Le ciel est à nouveau immensément bleu. Le soleil y brille en maître absolu.

J'éjacule. Les trois saccades habituelles. Christine déglutit en gémissant. Elle reste longuement à faire le "fond de cuve". Ce fond de couilles qu'apprécient les "connaisseuses". Elle s'apprête à repartir pour ce second tour qu'elle aime tant. Je l'attire vers moi. Je maintiens sa tête par les cheveux. Je l'entraîne au dehors. Il faut nous chausser car le sol est détrempé. Je tiens Christine par les cheveux. Je l'emmène au bord de l'eau. Il est dix sept heures trente. Nous décidons de faire le tour du lac par le petit sentier.

Il y a une nouvelle fellation sous tente durant la nuit. En prélude à l'amour que nous nous mettons à pratiquer longuement avant de dormir. Il y a encore la fellation du dessert le lendemain après le repas de midi. Il y a ce cunnilingus enivrant du réveil. J'aime le goût que laisse la nuit sur le sexe de Christine. J'aime la lécher. J'adore fouiller ses muqueuses après une suée. Les saveurs naturelles et les sécrétions qui s'en suivent ont toujours mes préférences.

Il en va de même pour Christine. Ce week-end est toutefois reposant. Le dimanche est une journée radieuse, chaude et ensoleillée. Nous en profitons. Nous allons même dans l'eau jusqu'à mi cuisses. Démonter la tente reste une épreuve. De retour à la maison pour vingt deux heures. La descente est un autre enchantement. Les pluies d'orages ne laissent que très rarement autre chose que des ravines très rapidement sèches. Nous nous promettons de refaire.

Un grand souvenir...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 22 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 22 -



Christine suce mon ami Jean-Christophe

Mon meilleur ami Jean-Christophe exerce en tant que professeur de mathématiques au lycée de la ville voisine. Il n'occupe cette fonction que pour les classes de "terminale" de l'établissement. Ce n'est pas seulement sa passion première, mais c'est également la possibilité d'être le "personnage" de théâtre qu'il aime incarner devant ses élèves. Elèves qui l'adorent autant qu'ils aiment ses cours.

Il n'est pas rare qu'avec sa compagne, la délicieuse Anne-Marie, également professeur de mathématiques, ils ne viennent dîner à la maison. Nous avons d'ailleurs pris l'habitude, dès la fin de l'année 1995, de partager un repas, le premier samedi de chaque mois. C'est chez l'un ou chez l'autre. Jean-Christophe, tout comme moi, est un remarquable cuisinier. C'est à celui qui épatera l'autre.

Ce samedi soir est particulier. Il fait un froid à ne pas mettre un naturiste dehors. Il neige. Cette neige qui atteint en quelques heures les vingt centimètres. Un "drame" exceptionnel pour la région. Nous sommes déjà à la fin du mois de février 1996. Le département n'est pas équipé pour faire face à une telle calamité. Aussi, après le repas nous décidons, Christine et moi, de rester dormir chez nos amis.

Le repas est des plus agréables. Esthètes tous les quatre, nous savons diversifier les combinaisons les plus savoureuses. Légumes biologiques, accompagnés de céréales biologiques, poisson pané, en grillades ou encore en gratins, offrent de prestigieux mets que nous dégustons dans la bonne humeur. Jean-Christophe, comme moi, est un hédoniste convaincu. Sans jamais tomber dans le graveleux, nous aimons à évoquer la gaudriole. Anne-Marie est plus discrète et plus réservée.

Après le dessert, vers vingt trois heures, nous allons sur la terrasse extérieure. Il fait un froid glacial. La neige tombe toujours en gros flocons. Jean-Christophe nous emmène à l'étage. Il nous propose la chambre d'amis. Une petite pièce qui deviendra plus tard la chambre de sa fille. Fille unique du couple qui est aujourd'hui âgée de douze ans. Antoinette.

Une fois remontés de la salle de bain, Christine et moi, plutôt "allumés" par les propos coquins échangés à table, nous nous mettons à nous embrasser. Tout en nous tripotant de plus belle. Seuls dans la chambre. Mon beau "paquet cadeau" ouvert, Christine commence à en déguster le contenu. Je suis assis sur le lit défait. Ma compagne à genoux sur le tapis. C'est là que soudain la porte s'ouvre. Anne-Marie debout dans l'encadrement qui toussote. Terriblement gênée. Elle murmure : << Oh pardon, euh, excusez-moi ! >>

Jean-Christophe apparaît derrière elle. Ils s'excusent tous deux de cette intrusion. Ce n'est pas voulu. Je cache mon sexe sous l'oreiller. Christine s'assoit à côté de moi. Nous restons tous les quatre silencieux. Un peu comme des imbéciles. Le couple va repartir en fermant la porte. Christine lance : << Une partie de tarot à quatre ? >>. Jean-Christophe répond, espiègle : << Oui, mais sans les cartes ! >>

Christine recommence à me sucer. Jean-Christophe se met à caresser Anne-Marie. Anne-Marie qui admire le spectacle avec un sourire amusé. Jean-Christophe, s'asseyant à mes côtés, invite sa compagne à le sucer également. Nous sommes tous deux, côte à côte, les filles à genoux devant nous, à nous faire pomper comme des bienheureux. La situation perdure ainsi depuis une dizaine de minutes. Dans un silence pesant et gênant. Pour Christine et moi, cette situation est une grande "première".

Jean-Christophe, téméraire, propose aux filles de permuter. Il y a un long moment d'hésitation. Un moment où les filles se regardent en riant. Enfin, la bonne humeur s'installe. La gêne s'estompe. Tout cela nous décrispe quelque peu. Pour Anne-Marie, c'est la toute première expérience de ce genre. Depuis quatre ans qu'elle vit avec Jean-Christophe, elle n'a jamais pompé un autre type ! Aussi, ses regards vont de mon sexe aux yeux de son mari.

Anne-Marie, dubitative, se tournant vers Christine, demande : << Tu en penses quoi ? >>. Ma compagne, beaucoup moins inhibée, propose alors de faire un "essai". Une expérience qui n'engage à rien puisque c'est son mari qui suggère l'échange. Christine, pour l'aider à se détendre, se redresse. Prenant Anne-Marie par les épaules, elle la place devant moi. Je suis terriblement gêné. Peut-être beaucoup plus encore que la jeune femme. Pour moi aussi, c'est une grande "première".

Christine se met à genoux entre les jambes de Jean-Christophe. Elle se met aussitôt à lui sucer le sexe. Anne-Marie regarde la scène. D'abord avec consternation puis avec un intérêt toujours aussi dubitatif. J'agite ma turgescence pour l'inviter à s'en servir à son tour. Elle me fixe longuement dans les yeux. Anne-Marie a un étrange regard. Au bout de quelques minutes elle a même un curieux sourire. Mon érection est considérable. Une grosse goutte apparaît à l'extrémité de mon prépuce fripé.

Enfin Anne-Marie se penche en avant. Du bout des lèvres elle se met à goûter. Cela dure un petit moment. Pour l'aider, je la saisis par la nuque. Je lui enfonce mon sexe dans la bouche. Elle a un mouvement de recul. J'insiste. Puis, comme domptée, elle se laisse "guider". Anne-Marie se met à pomper comme si sa vie en dépendait. La pièce résonne de bruits de succions, de gargouillis et autres "glouglous". Je regarde Jean-Christophe qui se couche sur le dos. Jouisseur invétéré. Comme moi...

J'observe Christine. Souvent elle ouvre les yeux. Tout en pompant. Comme pour me consulter du regard. Elle me fait un premier clins d'œil. Terriblement vicelard. Comme elle est belle ! Elle saisit ma main pour la serrer très fort. Je suis terriblement excité. Anne-Marie s'avère une pompeuse remarquable. Depuis quelques minutes elle gémit. Ce qui ne manque pas d'attirer toute l'attention de son mari. << Pour la faire sucer c'est toujours la croix et la bannière ! Là, je suis émerveillé ! >> s'écrie mon meilleur ami en admirant la performance buccale de sa femme.

Jean-Christophe est le premier à éjaculer. Secoué de plusieurs spasmes il se déverse dans la bouche de Christine. Je l'observe déglutir avec ravissement. Désireux de ne pas imposer une frustration possible aux deux autres qui se réajustent, j'éjacule à mon tour. Trois abondantes giclées dans la bouche d'Anne-Marie. Cette dernière a le réflexe de se retirer. Je suis vicieux. J'ai anticipé cette possibilité. Aussi, je la maintiens par les oreilles. Je la force à déglutir. Visiblement, cela lui est plutôt pénible. Nous percevons ses râles de dégoût.

A son tour, dès que je relâche mon étreinte, la jeune femme se redresse pour rejoindre son homme. Christine vient se mettre contre moi. Il y a un nouveau un silence gênant. << Bon, nous allons nous coucher, bonne nuit ! > fait Jean-Christophe en entraînant sa femme hors de la pièce. Christine me fait : << Eh bien, si nous nous attendions à "ça" ! >>.

Le lendemain matin, nous prenons notre petit déjeuner tous les quatre. Quelque chose a changé. Il y a des instants où nous sommes comme des inconnus. Nos regards deviennent fuyants. Christine et moi décidons de partir immédiatement. Affrontant la neige, dès neuf heures du matin, nous roulons doucement pour rentrer chez nous. Christine évoque le gout amer du sperme de Jean-Christophe. Elle précise : << Mais le jus qui vient avant est une vraie friandise ! >>. Plus aucune nouvelle du couple jusqu'au début de l'été.

Il n'y eut plus jamais aucune récidive...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 23 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 23 -



La visite du VRP - (Partie 1)

Sans doute par réserve je n'évoque jamais l'aventure chez Jean-Christophe et Anne-Marie. Pendant les quelques jours qui suivent cette expérience, Christine évite également d'en parler. Sans doute par pudeur et par gêne. Je laisse donc ma compagne décider du moment opportun où l'envie l'en prendrait. Je respecte totalement le silence quand à ces évènements récents.

C'est vendredi soir, alors qu'elle m'offre une de ses fellations magistrales, qu'elle évoque le sujet. C'est elle qui se redresse soudain pour me dire : << Tu penses parfois au "truc" qu'on a fait chez Jean-Christophe ? >>. Je la ramène contre moi. Je pose sa tête sur ma poitrine. En lui caressant les cheveux je lui réponds : << Bien sûr, et tous les jours. Tu m'as excité comme jamais. J'y pense même là, maintenant ! >>. Christine reste longuement silencieuse.

Elle pose sa tête contre la mienne. Elle me fait : << Que dis-tu si je t'avoue que j'ai envie de refaire ? >>. Je lui fais quelques bises avant de répondre : << Mais, je ne dirais qu'un seul mot : "Bravo" ! >>. Elle se met sur moi, de tout son poids, pour m'embrasser longuement. Elle fouille ma bouche de sa langue avec une fougue rare. Ce qui restitue ma splendide érection dont elle se saisit. Christine reprend sa fellation avec une passion nouvelle. C'est divin.

Tout en me faisant sucer, j'évoque les possibilités éventuelles pouvant s'inscrire dans notre prochain emploi du temps. Lorsque je lui propose la possibilité de récidiver vendredi prochain, je l'entends gémir de contentement. Elle se redresse pour se serrer contre moi. << Génial ! >> me fait-elle avant de m'embrasser à nouveau. La prenant par les cheveux je ramène son visage vers son dessert. J'évoque à présent quelques scénarios possibles. << Il n'y a pas que Jean-Christophe ou encore les vieux pêcheurs incontinents dans la vie ! >> Je l'entends glousser.

Après quelques minutes je lui propose un nouveau scénario possible. << Que dirais-tu de faire venir un représentant, ici, à la maison ? >>. Christine se redresse à nouveau. Elle couche sa tête sur mon ventre. Tout en continuant à s'amuser avec mon sexe dans la main, elle chuchote : << Ouah ! Super ! Ah oui, on peut se faire un "plan" comme ça ! Tu serais d'accord ? >>. Je réponds : << Bien sûr que je suis d'accord puisque c'est moi qui te le propose ! >>.

Christine reprend son occupation pendant que je suggère quelques détails salaces. Lors des évocations les plus suggestives je l'entends gémir de contentement. << Mmmh , mmmh ! >> me fait elle pour marquer son approbation. J'éjacule en trois saccades. Après m'avoir fait le fond de cuve Christine se redresse pour s'allonger à mes côtés. Elle me demande :<< Tu prépares tout ça alors ? Le plus tôt sera le mieux. J'ai hyper envie ! >>. Je lui fais quantité de bisous.

Le bas de la maison où nous vivons est composé de trois pièces, une cuisine, un grand salon, un atelier de peintre d'Art. Un grand cabinet de toilettes. Il y a deux placards dans les murs du couloir. Une simple cloison de "placo" sépare un des placards et le salon. Avec une perceuse, à environ un mètre cinquante du sol, je perce un trou de deux centimètres de diamètre. Au mur du salon, pour cacher ce trou, je place un petit miroir sans teint d'un format photo. 15 cm sur 10 cm. Pour un coût de 150 francs de l'époque, (23 euros). Chez tous les bons vitriers.

Dans le placard, devant le trou, j'installe une chaise de jardin en métal. Pourquoi le métal ? Parce qu'une chaise en métal ne grince pas. Je montre mon installation à Christine qui la trouve judicieuse. Il ne me reste plus qu'à contacter une agence pour me faire présenter quelques encyclopédies juridiques. Ce qui est très en vogue en ces années 90. Dans les pages jaunes je porte mon choix sur une boîte située à une centaine de kilomètres. Rendez-vous est pris pour le mardi soir de la semaine prochaine. Vingt heures. Monsieur "Luc" viendra nous faire des propositions...

Christine, durant tout le week-end, montre quelques signes d'excitations. Attitudes qu'elle dissimule mal. Je connais bien ma coquine. Je sais ce qui la démange tout au fond de sa libido. Elle connait bien son petit salopiot. Elle sait ce qui démange la mienne. Presque tout ce week-end est le cadre d'épanchements les plus divers. Nous faisons l'amour le dimanche après-midi en évoquant sans cesse ce mardi soir à venir.

Le mardi soir arrive enfin. Nous n'avons pas la moindre idée de l'allure de monsieur "Luc". C'est une curiosité légitime à laquelle se mêle une excitation débridée qui nous anime. Tout cela nous rend fébriles. Il est dix neuf heures cinquante cinq. D'une voix sentencieuse je dis : << Les cinq dernières minutes ! >>. Christine éclate de rire. Soudain trois coups de sonnette. Nous nous regardons avec le plus grand sérieux. < Fini de déconner ! > me fait Christine. Je file me cacher dans le placard. Je m'assois sur la chaise. J'y ai disposé un confortable coussin.

De ma cachette j'entends la voix grave de monsieur "Luc". Christine vient de lui ouvrir. Monsieur "Luc" salue la jeune fille. Elle l'invite à le suivre au salon. Tout en proposant une place sur le canapé, elle fait :<< Mon mari a eu un empêchement. Il aura donc une petite demi heure de retard. il sera là pour neuf heures au plus tard ! >>. Monsieur "Luc" est un quidam d'environ quarante cinq ans, de taille et de corpulence moyennes. Par le trou, depuis le placard, j'ai une vue parfaite. J'entends distinctement.

Christine est revêtue de sa jupe écossaise à carreaux rouges. Elle porte un pull bleu. Coton fin sur un chemisier blanc. Elle est chaussée d'escarpins noirs, fermés et à talons. << Bien pute ! >> comme elle aime à le préciser. Moi, je trouve qu'elle fait plutôt lycéenne Anglaise. Ses longs cheveux noirs qui flottent sur ses épaules achèvent de lui donner une silhouette attractive et séduisante. Sexy.

Monsieur "Luc", vêtu d'un costume gris, d'une chemise blanche, cravaté de noir et chaussé de souliers noirs, a l'allure du représentant de commerce qu'il est. Je suis réellement intéressé par une encyclopédie juridique. Je fais donc d'une pierre deux coups. Christine s'est assise dans le fauteuil à la droite du canapé. Toutefois, tournée de trois quart vers monsieur "Luc", elle peut commencer son "show".

Tout en écoutant l'argumentaire classique du représentant, Christine dévoile doucement ses longes jambes. En écartant presque imperceptiblement les cuisses, elle fait un grand "numéro" d'actrice. En fait, je sais que cette attitude très étudiée m'est destinée. Même si son plaisir est également de la plus haute importance. Christine se lève. Elle vient s'accroupir devant une encyclopédie que monsieur "Luc" a posé au sol sur l'épais tapis. Elle feuillette avec attention. Je vois que monsieur "Luc" commence à avaler de travers. Il desserre le nœud de sa cravate.

Je sais qu'elle ne porte pas de sous-vêtements. Je sais que l'épaisse touffe de ses poils pubiens lui sert souvent de culotte. Mais monsieur "Luc", lui, ne le sait pas ! Aussi regarde t-il avec une insistance qu'il ne dissimule même plus. Christine, effrontée comme elle sait l'être parfois, reste ainsi dans cette position, à poser quelques questions. Je la sais capable d'initiatives étonnantes. Là, de ma cachette, une fois encore, j'admire cet aplomb extraordinaire dont elle nous gratifie, monsieur "Luc" et moi.

Le représentant doit commencer à avoir chaud. Il demande s'il peut retirer sa veste. Avoir un verre d'eau. Christine, se lève pour proposer une eau gazeuse. Elle se dirige vers le buffet bas pour en sortir un verre et une bouteille d'eau minérale. S'accroupissant à nouveau, bien en face de monsieur "Luc", juste à côté de la porte du meuble. Les cuisses à présent bien écartées, elle demande : << Vous aimeriez des glaçons peut-être ? >>. Le représentant prononce alors ces mots : << Ce que vous faites madame est absolument superbe ! Si toutes les clientes pouvaient rendre mon travail aussi agréable que vous le faites ! >>.

Christine se redresse. Elle vient s'asseoir sur le canapé en apportant la bouteille et le verre. Elle dépose le tout sur la petite table basse. Restant à distance de monsieur "Luc" elle fait : << Vous fumez ? >>. Le quidam se tourne vers la jeune fille. Il répond : << Non ! Pas du tout ! >>. Christine a un sourire équivoque. Un silence. D'une voix sentencieuse, elle dit : << Moi non plus. Mais une petite pipe de temps en temps, j'aime ! >>. Le silence est lourd. Monsieur "Luc", visiblement troublé, n'en mène plus très large.

Afin de préserver l'anonymat des personnes, il est bon de rappeler ici que Christine et Mr Luc ne sont que des pseudonymes. Si Mr Luc découvre ce récit, il se reconnaîtra aisément. A lui de rester discret. Merci d'avance...

Classe



Classe
Homme, 52 ans, France, Hauts-de-France
Bonjour Oncle Julien
Très beau réci
Je suis avec ferveur
Bonne journée
Homme, 53 ans, France
Classe - 25 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 24 -



La visite du VRP - (Partie 2)

Christine est installée confortablement sur le canapé. Monsieur "Luc" a une extrémité, ma compage à l'autre. Au milieu quelques encyclopédies juridiques sont ouvertes. De ma cachette, dans le placard, je peux distinguer le déroulement de ce "film". Ce moment magique que m'offre ma compagne. Une "actrice" absolument formidable dont je suis le plus grand admirateur. Le scénario est captivant.

Christine se lève. Elle revient s'accroupir devant monsieur "Luc". Elle recommence à feuilleter avec une attention remarquablement feinte les pages du gros classeur posé au sol. A présent, ayant surmonté une inhibition bien naturelle, Christine reste ainsi tout en bavardant. Monsieur "Luc" déglutit de plus en plus difficilement. Il n'a plus de yeux que pour le magnifique "numéro" auquel se livre son interlocutrice. Surtout ce qu'il peut distinguer sous la jupe de la jeune fille. Bien sûr.

Christine, relevant la tête, fait à monsieur "Luc" : << Mettez-vous à votre aise. Surtout ne vous gênez pas, mon mari ne sera là que d'ici une petite demi-heure ! >>. Monsieur "Luc" répond alors avec un aplomb retrouvé : << Qu'entendez-vous par "me mettre à l'aise" ? >>. Christine, dévergondée comme je l'aime, dit alors : << La sortir par exemple ! >>. Monsieur "Luc" reste un moment silencieux. Il ouvre sa braguette d'une manière toute solennelle.

Assis là, sur le canapé, le représentant de commerce a le sexe bien dressé hors de son pantalon. De ma cachette, retenant ma respiration, je regarde avec attention. Ce sont les expressions de ma compagne qui m'intéressent. C'est vraiment trop bon. Christine revient s'asseoir sur le canapé. Elle regarde le membre de monsieur "Luc" avant de dire : << Vous n'êtes pas mieux maintenant, ainsi à l'aise ? >>. Notre quidam ne sait trop que répondre. Décontenancé par ce qu'il vit là. On le comprend.

Se penchant sur le côté, Christine s'empare du sexe de monsieur "Luc". Pendant quelques instants elle renifle la chose. Puis elle se la prend en bouche. Je la regarde. Elle a les yeux fermés. Christine est entrain de se livrer à son activité sexuelle préférée. Elle reste sans bouger. Avec l'excitation, monsieur "Luc" doit être bien juteux. Aussi, je peux admirer Christine déglutir avec passion.

Monsieur "Luc", dévoilant un peu de son caractère, saisit Christine par la nuque. Il appuie fortement sur la tête de la jeune fille. Celle-ci, aux prises avec des difficultés respiratoires évidentes, tente de se dégager. Elle y arrive en se relevant. Monsieur "Luc" se levant à son tour attrape Christine par ses cheveux. Sans brusqueries, mais sans ménagements, il l'a force à se mettre à genoux. Pourquoi lui dit-il : << Petite salope ! >> ? C'est un mystère.

Tenue par les cheveux, Christine, à genoux, suce de son mieux. De ma cachette je regarde la scène. Je suis évidemment prêt à intervenir au cas ou le bougre deviendrait trop entreprenant. Tout reste toutefois dans le cadre de ce qu'aime ma compagne. Moi aussi parfois je la maintiens ainsi. A présent, monsieur "Luc" bouge du bassin dans une sorte de danse tribale et triviale. Il continue à tenir la tête de sa suceuse fermement et des deux mains. Il gémit comme un dément. Elle aussi.

Christine pompe comme une affamée. Je sais qu'elle passe là un des grands moments qu'elle apprécie tout particulièrement. Monsieur "Luc", lui, par contre, semble perdre tous ses moyens. Trempé de sueur, la chemise défaite, décoiffé, il continue son mouvement des hanches. Soudain, tout cesse. J'observe Christine déglutir l'éjaculation du quidam. Avec peine. Il en dégouline même un peu au coin de sa bouche.

Monsieur "Luc", essoufflé, se laisse retomber sur le canapé. Haletant il regarde Christine s'essuyer la bouche avec un mouchoir en papier. Avec cette parfaite maîtrise dont elle est coutumière, elle lance : << Revenons à notre affaire. Mon mari ne va pas tarder. Je vous recommande donc la plus grande discrétion quand à ce qui vient de se passer ! >>. Le représentant se réajuste en répondant : << Ne vous inquiétez pas, je suis marié, je sais ce qu'il en est ! >>. Christine rajoute encore : << Il n'y aura pas de seconde fois ! >>.

Je sors de ma cachette dans le plus grand silence. Je quitte la maison. Je donne deux coups de sonnette. J'introduis ma clef dans la serrure. J'entre à nouveau mais "officiellement". Christine me présente monsieur "Luc". Rien dans les apparences, ni dans le salon, ne peut trahir ce qui vient de s'y passer. Je prends connaissance de l'encyclopédie en six volumes et des conditions. Je signe. Je passe ma commande. Devant des cafés chauds que nous prépare Christine, nous concluons. Cette encyclopédie me sert encore quelquefois aujourd'hui !

Nous restons encore un petit quart-heure à discuter des possibilités offertes en tant qu'adhérant. Ce, afin de recevoir une réactualisation annuelle. Monsieur "Luc" s'en va sans rien montrer de son trouble probable. Une fois seuls, Christine et moi nous éclatons de rire. Elle me fait : << Qu'est-ce qu'il m'a mis ce salop ! Une vraie fontaine à jute ! >>. Elle termine de déguster un petit gâteau à l'orange. << Pour enlever le goût ! >> précise t-elle.

Je l'aime comme un fou. Christine est mon actrice, ma compagne, mon amour et la sublime complice d'une vie quelque peu dépravée. Une vie aussi excitante que celle d'aujourd'hui. Ce soir-là nous faisons l'amour jusqu'aux limites de nos forces. Le lendemain, il faut assurer sa matinée de professeur. Nul doute, avec quelques cernes.

Monsieur "Luc" ne s'est jamais plus manifesté. Surtout après son appel téléphonique où je lui avoue être parfaitement informé. << Pas un mot à mon employeur. Pas un mot à ma femme ! >> me demande t-il. Un parfait gentleman...

Classe



Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les appréciations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 26 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 25 -



Le forestier

En ce mois de mai 1996, par cette belle journée, nous mettons à profit ce mercredi après-midi pour partir en randonnée dans le massif des collines. Il n'y a pas encore ces grosses chaleurs mais il fait véritablement très agréable. Une grande douceur baigne toute chose dans un climat superbement printanier. Nous partons à treize heures.

Je gare la voiture au pied des collines, tout au début du sentier qui monte doucement. C'est l'ancienne voie romaine. Les larges dalles au sol sont encore présentes. Elles permettent une marche aisée sur les premiers cinq cent mètres. Dans nos petits sacs à dos des barres de céréales, des bouteilles d'eau et des fruits. Pommes, oranges et bananes.

Nous marchons depuis une heure lorsque nous arrivons sur la première chaume. La randonnée est un grand moment de plaisir dans cette nature renaissante. Il y a là deux bancs de bois, un abri et surtout un point de vue magnifique sur la plaine. La vue porte jusqu'au lac dans le lointain. Il est quinze heures. Nous avons bien marché. Il est temps de boire. De se sustenter.

Un peu plus bas, depuis le banc où nous nous sommes assis, nous voyons une petite maison de pierres. Elle est entourée d'arbres. Cette masure a un caractère qui fait songer à quelques contes d'antan. Christine, se saisissant de la paire de jumelles, se met à scruter le lieu et ses environs. Au bout de quelques minutes elle me tend les jumelles. Elle m'invite à regarder. Il y a quelqu'un à proximité de la petite maison.

Je regarde. C'est un forestier qui s'affaire. Il y a quelques grumes posées au sol. L'homme élague les branches à l'aide d'une scie. Nous n'entendons aucun bruit. Je propose à Christine de passer par cette maison lors du retour. Décision est donc prise de reprendre notre chemin. De continuer notre randonnée. Arrivés aux ruines du vieux château nous en faisons le tour. Il est seize heures. Il faut songer à revenir.

Après avoir savouré nos barres de céréales et nos fruits, assis sur une grosse pierre, nous reprenons le chemin. Le soleil, encore haut dans le ciel, prodigue sa douceur et sa luminosité partout autour de nous. Nous arrivons à l'endroit des bancs et de l'abri. De là, nous prenons le sentier qui descend vers la maison de pierres. Nous y arrivons au bout de dix minutes. Il est dix sept heures.

Au dernier détour du sentier nous pouvons découvrir la masure. C'est une toute petite maison aux volets fermés. Sans doute une propriété de l'Office National des Forêts. Devant la construction il y a un véhicule tous terrains. Un homme qui range des outils à l'arrière de la voiture. Christine, me retenant du bras, me demande de rester là. Je me mets derrière un groupe d'arbres. Des bosquets.

De là je vois Christine arriver à la hauteur de la maison à environ trente mètres. J'ai les jumelles. J'observe avec attention. Je vois en gros plan. Aucun détail ne peut m'échapper. Christine fait mine de ne pas s'être rendue compte de la présence de l'homme. Accroupie, elle fouille dans son sac à dos. L'homme, lui, l'a aperçu. Il passe derrière le véhicule.

Christine se relève. Vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt, chaussée de "baskets", sa silhouette fine et élancée est sexy. Attractive. Même dans la nature, comme c'est le cas ici. Elle passe devant la maison. Elle s'arrête devant pour la regarder. C'est à ce moment que le type, la quarantaine, fluet, vêtu d'un bleu de chauffe, s'avance. Il me tourne le dos. Je ne peux rien entendre.

Il adresse la parole à la jeune fille. Christine se retourne. Elle le salue d'un aimable sourire. La conversation dure quelques minutes. Christine s'apprête à remonter dans ma direction. C'est lorsque le quidam se retourne pour continuer à parler que je constate sa braguette ouverte. Sans gêne, l'inconnu se touche tout en conversant. Christine s'arrête pour reprendre le bavardage.

Il agite son sexe tout en discutant. Christine, amusée, converse tout à fait normalement. Son sourire est sans équivoque. Je la connais bien. Je sais pourquoi elle m'a demandé de rester à l'écart. Elle ne tarde pas à se rapprocher tout en parlant. Le type est plus petit qu'elle. De son mètre soixante dix huit, elle le dépasse d'une demi tête. Je vois Christine mimer un mouvement masturbatoire en se cambrant sur ses jambes. De son autre main elle désigne l'abri à bois vide. Petit cabanon ouvert aux vents juste à côté de la maison.

Le type se masturbe. Christine, amusée, se dirige vers l'abri à bois. Son index s'agite. Une invitation à la suivre. Là, elle s'accroupit devant le type. Je scrute chaque geste avec les jumelles. Une fois encore ma compagne m'offre un "film". Elle en est l'actrice. Je suis dans un état d'excitation considérable. Je sors mon sexe pour me tripoter en observant. Je suis envahi d'une étrange émotion.

L'inconnu est cambré sur ses jambes. Il prend appui de ses deux mains derrière lui, sur une palette de bois posée à la verticale contre les planches de la cloison. Je peux voir Christine. Elle renifle le sexe du type. Longuement. Le quidam a une belle érection. Christine se met à genoux. Elle prend ce sexe en bouche. Je peux voir ses joues se creuser par l'effort de succion. C'est fameux. J'en ai le vertige.

L'homme se laisse faire. Ses yeux fermés. Un air d'extase. Avec les jumelles, je peux observer comme si j'étais à trois mètres. Christine suce doucement, sans bouger, concentrée, les yeux fermés, comme à son habitude. Lâchant son appui, de sa main droite, le type prend son sexe pour le retirer de la bouche de la jeune fille. Il le lui passe sur le visage. Je découvre Christine se pâmer d'aise. Je suis un peu jaloux.

Soudain, juste avant de le lui remettre dans la bouche, le vicelard se met à pisser. Un jet bref, précis. Christine, surprise, se met à tousser. La tête penchée sur le côté pour recracher. Le type lui frotte à nouveau le sexe sur le visage. En ce faisant, je constate qu'il pisse par petits jets. Christine essaie de détourner sa tête. Le forestier la maintient par les cheveux. Il l'empêche de se détourner avant de lui enfourner son sexe dans la bouche.

Avec de petits mouvements secs et réguliers le type se fait sucer en maintenant la tête de Christine. A plusieurs reprises il se retire. Il lâche de brefs petits jets de pisse. Christine, tenant le type par son pantalon au niveau de ses cuisses, tente de se dégager. L'étreinte semble vigoureuse. Le bougre la tient bien. Après tout, il a compris à qui il avait affaire. Un fille certainement aussi vicieuse que lui...

Cette pipe hautement juteuse dure une bonne demi heure. Le type a une série de soubresauts. Il éjacule. Il lâche la tête de la jeune fille. Comme moi, le bougre peut constater à quel point elle savoure cet instant. Christine déglutit. Les yeux fermés. Le visage et les cheveux trempés. Elle reste ainsi quelques minutes à déguster ce fameux "fond de cuve". Le type s'arrache de cette succion avec une certaine peine. Il repousse la fille de ses mains. Malgré son apparence fluette, cet homme est vigoureux.

De l'endroit où je me trouve je n'ai rien raté de la scène. Je suis terriblement excité. Christine se relève d'un coup. D'un pas rapide elle s'éloigne dans ma direction. Je vois le quidam se réajuster. Il se met à crier dans la direction de la jeune fille : << Reviens demain, t'en auras encore ! >>. Christine arrive à ma hauteur. Nous prenons rapidement la descente du sentier. Le type ne se fait pas insistant.

Plus bas Christine s'arrête pour boire. Elle mange une pomme, prend un chewing-gum. Je la félicite pour ce grand moment. Elle a les cheveux trempés, le sweat-shirt trempé autour du cou. Jusqu'au bas des seins. Même son jeans présente des coulures. Les vêtements de change sont dans la voiture. Il y a vingt minutes de marche. Une épreuve. << Qu'est-ce qu'il m'a mis ce vicelard ! >> me fait Christine en tentant d'essuyer ses cheveux avec ses mouchoirs en papier.

Nous arrivons à la voiture pour dix huit heures quarante cinq. Christine se change rapidement. Soudain, là, sur la route, un véhicule 4X4 ralentit à notre hauteur. C'est le forestier. Le pouce levé, il me fait : << Une bonne salope ta gonzesse ! Chapeau ! Tu dois pas t'emmerder avec celle-là ! >>. Puis il disparaît après le premier virage. Je regarde Christine qui rit aux éclats. Je lui dis : << C'est vrai, impossible de m'emmerder avec toi ! >>.

Nous arrivons à la maison pour dix neuf heures trente. La douche, le repas du soir. Nous sommes tous les deux tellement excités que nous sommes au lit dès vingt heures trente. Nous faisons l'amour comme des fous. Et jusqu'à une heure avancée...

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 27 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 26 -



Le ramoneur

Dans la boîte aux lettres je trouve l'avis de passage d'une entreprise de ramonage. Cette entreprise propose un contrôle de notre évacuation de fumée. Nous habitons dans une demeure du XIXème. Nous sommes au début du mois de novembre. Ce contrôle obligatoire laisse quand même le choix de l'entreprise. Après en avoir débattu, Christine et moi, plutôt que de consulter tous les appels d'offres, nous décidons de contacter "Glando-Ramonage". Entreprise dont nous avons la publicité sous les yeux.

Rendez-vous est pris pour le second mercredi de novembre. Quatorze heures. Le dimanche précédent, alors que nous faisons l'amour, je propose à Christine un ramonage complet de tous les conduits de la maison. Ma compagne, ravie de cette proposition, m'avoue en avoir l'idée depuis quelques jours. La visite d'un inconnu à domicile étant un de ses fantasmes . Il suffit de scénariser cette éventualité puis de passer aux actes. Ce n'est pas le premier employé qui intervient chez nous. Certainement pas le dernier.

Le conduit principal est situé à la cave, derrière la chaudière à mazout. Le second est celui de la cheminée du salon. Il y a de grandes cheminées dans chaque pièces. Comme nous avons le désir d'allumer des flambées magnifiques dans nos cheminées, il est prudent d'en faire vérifier la parfaite ventilation. Ainsi que leurs nettoyages. Je suggère que l'opportunité d'un ramonage plus intime serait l'idéal. Christine me rejoint dans cette idée.

Mercredi matin Christine plutôt excitée est entrain de me sucer sur le canapé. Nous venons de faire un peu de ménage. Vacances de la Toussaint. J'ai passé l'aspirateur pendant que ma compagne passait le plumeau sur les meubles. Il est onze heures trente. Nous mettons au point les derniers détails afin que tout se déroule comme Christine le souhaite. Je propose de cesser cette fellation pour nous atteler à la préparation du repas de midi.

Nous préparons un délicieux gratin de courgettes, riz complet avec parmesan. Le tout accompagné d'une salade d'endives et de carottes saupoudrées de levure diététique en paillettes. Comme souvent, en périodes de "fêtes", il y a de la glace en dessert. Après avoir fait la vaisselle, nous retournons au salon. Je lèche longuement Christine. Elle est vautrée dans un des deux profonds fauteuils, les jambes relevées sur chacun des accoudoirs. Je suis un passionné de cunnilingus.

Il est prévu que je reste caché dans la grande armoire ancienne entre le bahut et le piano droit. De là, par la petite grille, j'ai une vue parfaite sur l'ensemble de la pièce. Par mesure de précaution, pour empêcher tous craquements intempestifs, nous bourrons le meuble de quantité de chiffons et de vieux vêtements. Christine commence à rythmer le mouvement de son bassin. L'orgasme n'est sans doute plus très loin. Je cesse mon cunnilingus savoureux. Il est treize heures cinquante.

Nous mettons les coussins en ordre. Un véhicule se gare dans la cour. Je regarde par la fenêtre. C'est la voiture de "Glando-Ramonage". J'entre dans l'armoire. Christine vérifie la bonne fermeture du meuble. Ma compagne est vêtue de sa jupe. Bleu nuit. D'un pull bleu passé sur un chemisier blanc. Chaussée de souliers noirs fermés à talons hauts, sa silhouette en est sublimée. Un coup de sonnette tinte dans le silence de la maison.

Le ramoneur est un homme mince, plutôt grand, la quarantaine, vêtu d'une veste et d'un pantalon de toile noire. Christine l'invite à la suivre. Elle l'emmène à la cave pour la première intervention. Elle remonte. Christine me parle devant la fine grille de la porte de l'armoire. Ce n'est pas vraiment son type d'homme mais le désir d'un moment vicelard reste le plus fort. Elle s'assoit sur le fauteuil. Celui où je l'ai léché il y a un quart d'heure. Elle feuillette "Vogue". Elle écarte ses cuisses pour me montrer son sexe. Christine me sourit. Un clin d'œil.

Le ramoneur remonte avec son matériel. Il précise que tout est en ordre. Une intervention a déjà eu lieu au printemps. Par acquis de conscience le monsieur propose quand même de vérifier le conduit de la cheminée du salon. Christine précise que son mari rentre d'ici une petite demi-heure au maximum. Comme toujours, cette formule apporte un certain confort d'esprit. Une sécurité supplémentaire. Pendant que le ramoneur s'affaire devant la cheminée, Christine commence son numéro exhibitionniste.

Le quidam s'en rend rapidement compte. Il regarde discrètement la jeune fille accroupie devant le porte revues. Là, balayant la suie, il se dit probablement qu'elle ne doit pas être farouche. Il lui en fait part d'un air amusé. Christine, entreprenante, écarte un peu plus ses cuisses. Elle propose au monsieur un ramonage de ce conduit-ci. Le bougre, se redressant, ouvre son pantalon. Il s'approche avec le pantalon et le slip aux chevilles. Un sexe de beau calibre en érection.

Christine se met à le renifler avant de le sucer avec avidité. Je suis dans mon armoire. Je retiens ma respiration. Je me masturbe doucement. J'observe le "film" avec attention. Mon actrice préférée est entrain de nous offrir un moment grandiose. Ma compagne se retire. Elle se couche au sol, les jambes largement écartées. L'employé de "Glando-Ramonage" s'allonge sur elle pour s'y introduire. Ma compagne passe ses jambes autour de celles du ramoneur. Elle se met à bouger au rythme de celui du monsieur.

Il tente de l'embrasser. Je sais que c'est la seule chose avec la sodomie que Christine refuse de faire avec un inconnu. Aussi, elle détourne la tête. Le ramoneur, tout à son "affaire", n'insiste pas. Les yeux fermés, imprimant à son bassin un rythme de plus en plus rapide, Christine se retire soudain. Le monsieur, un peu décontenancé, la regarde pencher sa tête vers son sexe. Christine le prend en bouche pour le pomper. La saisissant par les cheveux, il lui enfonce sa queue au fond de la gorge. Christine suffoque en gémissant.

Le ramoneur bascule sur elle. Couché sur la jeune fille, son sexe profondément enfoncé dans sa bouche, il la tient par les oreilles en bougeant son bassin. Christine tente de repousser ce corps qui l'étouffe. << Tu veux de la biroute, je vais t'en donner, tu va voir ! >> fait le malotru avant de se relever. Il continue à la tenir fermement par les cheveux. Là, à genoux, Christine est obligée de pomper à nouveau. Je la connais bien. La situation n'est pas vraiment pour lui déplaire.

Christine, en gémissant indique la montre à son poignet. Le ramoneur comprend le message. Il se cabre. Les jambes fléchies, il éjacule. Son corps, animé de spasmes successifs, se met à trembler de tout son long. Enfin il relâche la jeune fille. Elle essaie de déglutir en s'essuyant la bouche. Elle se relève. Elle demande au monsieur de la suivre dans l'entrée pour le payer. J'en profite pour sortir de mon armoire. Je passe silencieusement par la véranda pour sortir de la maison. Je fais mine d'arriver. Je donne deux coups de sonnette avant d'entrer.

Christine, décoiffée, les yeux encore humides, me présente. Faisant semblant de rien, je salue le coquin. Je lui demande si tout s'est bien passé. Le ramoneur précise que tout est parfaitement en ordre. Cela fait deux cent francs. (Environ trente euros d'aujourd'hui). Je paie le bougre qui s'en va. Il ne s'est plus jamais manifesté. Christine n'a jamais été importunée.

Après sa douche, Christine a une furieuse envie de se faire prendre à nouveau. Gentleman et toujours serviable, je lui fais un remarquable "cadeau". Je suis tellement excité par ce que j'ai vu depuis mon armoire. Nous baisons jusqu'aux environs de dix sept heures.

C'est sécurisant "d'allumer" lorsque les conduits ont été parfaitement ramonés. L'hiver peut arriver en toute quiétude...

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 28 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 27 -



Fellation Londonienne

En cette fin de mois de juin 1997, juste pour week-end prolongé de la Pentecôte, nous avons décidé d'un petit séjour à Londres. Christine est professeur en première et en terminale. C'est l'occasion d'avoir toute latitude pour profiter de ces trois jours à venir. C'est avec l'avion que nous nous envolons pour la capitale britannique. Nous arrivons à l'aéroport Hearthrow vendredi soir vers dix neuf heures. Un soleil enchanteur commence à descendre sur l'horizon. Le week-end s'annonce des plus agréables.

J'ai réservé une chambre à l'hôtel "Euro". Les trois jours pour deux mille francs de l'époque, (environs 300 euros). Une chambre et toutes les commodités souhaitables. Toilettes avec chasse d'eau anglaise comprise. Et qui voyage en Angleterre sait les chasses d'eau anglaises. Situé à quelques minutes de Hyde Park, l'hôtel Euro offre également le petit déjeuner avec le prix de la chambre. Nous avons en projet d'aller nous promener sur Soho dans la soirée. Se trouver un petit restaurant sympathique.

Nous voulons également passer une partie du samedi après-midi au London Trocadero. Ce grand centre commercial sur Piccadilly Circus. L'hôtel Euro est donc situé de façon stratégique. Le samedi matin est consacré à la visite de la National Gallery sur Trafalgar Square. Afin d'y admirer, une fois encore, la collection des peintres Hollandais du XVII ème. Collection de la Reine et mise à disposition du public dans ce superbe musée. Qui connait ce lieu sait les trésors qui s'y trouvent.

Pour midi nous avons préparé quelques sandwichs. Ainsi, en toute liberté, nous restons indépendants. Choisir le lieu de notre repas. C'est derrière l'hôtel "Citadines", dans un charmant petit parc, que nous choisissons de manger. Confortablement assis sur un banc, à l'écart du chemin, au bord d'un petit étang, nous profitons de cette magnifique journée londonienne. De l'eau, versée par une jarre que porte une statue, vient s'écouler avec un petit bruit régulier sur notre droite. Nous sommes seuls. C'est vraiment charmant.

Après le repas nous voilà assis sur l'arrière du socle d'une statue. Là, dissimulés, nous nous embrassons. Nous nous caressons un peu. Christine, toujours désireuse de m'allumer, me tripote à travers le tissus de mon bermuda. Je fais pareil sous sa jupette. Comme à son habitude lors de nos "expéditions" elle ne porte pas de culotte. Ce qui est toujours très pratique pour quantité d'opportunités. Les besoins naturels par exemple. Je suis rapidement l'heureux détenteur d'une splendide érection.

Coutumière du fait, avec son admirable aplomb, Christine ne tarde pas à me sortir le sexe. Elle en masse délicatement le prépuce. J'aime cette douce sensation. Je "mouille" rapidement durant cette manipulation. Il n'y a personne dans les environs immédiats. De temps à autre, à une dizaine de mètres, sous les haies bien taillées, nous pouvons voir les chevilles et les pieds de quelques promeneurs. Ils ne peuvent pas nous voir. Nous sommes donc à l'abri de toutes arrivées non souhaitées.

Subitement, là, sur la droite, un homme. Il vient se dissimuler derrière un bosquet. Il satisfait un besoin naturel. Il ne nous a pas vu. Christine me pousse en me disant : << Cache-toi derrière le socle de la statue ! >>. Rapidement je me lève pour me dissimuler. La coquine se lève. Elle marche en direction du pisseur. De ma cachette je peux entendre les mots échangés. Christine, parfaitement bilingue, salue l'inconnu pour lui demander un renseignement. Son accent français doit la trahir. Le quidam, pas du tout gêné et amusé, renseigne la jeune fille.

Je connais bien les attitudes de Christine dans ces situations là. Elle est aussi confuse que l'inconnu. C'est cette émotion qu'elle aime. Qu'elle recherche. Le type, un grand gaillard d'environ trente cinq ans, termine tranquillement sa petite affaire sous le regard de la jeune fille. Se tournant vers elle, agitant sa virilité, il propose d'y goûter. Christine, hésitante, regarde dans toutes les directions. Elle s'approche pour s'accroupir devant ce parfait inconnu. Rapidement elle se met à sucer. Je suis une fois encore sidéré. Comment peut elle !

Le type la maintient fermement par la tête. Il regarde dans toutes les directions. Il bouge son bassin avec un rythme régulier. Christine est à genoux dans l'herbe. Plusieurs fois il appuie la tête de la jeune fille sur son sexe. Il la force à tout ingérer. Lorsqu'il la relâche, je vois Christine se retirer pour cracher. Reprendre sa respiration. Le quidam a un comportement pervers. Au bout d'une dizaine de minutes, il doit probablement éjaculer. Certain. Il est secoué de quelques spasmes. Christine se dégage de l'étreinte du type. Elle se relève pour filer à toute vitesse. Il s'assoit au sol en criant : << Please. Why you you saved ? Come back. I love the French girls. We could get to know and chat ! >>.

Christine me rejoint. Nous nous mettons à courir pour quitter les lieux. Nous nous mêlons aux nombreux promeneurs de Trafalgar Square. En nous retournant, nous ne voyons aucun individu ressemblant au type du parc. Christine avale le restant de la bouteille de jus de fruits. Elle déballe un chewing-gum qu'elle porte à la bouche. << Beurk le sperme de ce mec ! >> me fait elle. Nous éclatons de rire.

Le reste du week-end est absolument superbe. Dimanche soir nous arrivons à l'aéroport de Guipavas. Nous y récupérons notre voiture. Très bons souvenirs anglais...

[attachment 716000 Mais faut aimer ça ! - .JPG]

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe


Homme, 53 ans, France
Classe - 29 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 28 -



Le plombier

Souvent, lorsque nous faisons l'amour, Christine évoque les petits "extras" qu'elle s'offre pour diversifier ses saveurs. Elle aime bien se retrouver dans des situations embarrassantes. Mais toujours avec ma complicité passive. Ainsi, avec ma présence sécurisante, elle peut profiter des moments les plus excitants en toute sérénité. En toute quiétude.

Ce soir-là, comme nombre de mardis soirs, nous faisons l'amour. Les mardis sont des soirées qui permettent une certaine insouciance. Christine, professeur en première et en terminale, peut profiter de sa matinée libre de mercredi. Il me faut avouer ici que le mercredi matin consiste souvent à récidiver quand à nos penchants libidineux. Quelle santé !

C'est donc ce soir-là, vers vingt et une heure, que, revenant de la salle de bain, Christine me fait part de cette fuite sous le lavabo. Une fuite qui devient de plus en plus ennuyeuse. Le seau placé dessous se remplis de plus en plus vite. Je suis très peu bricoleur. Il m'arrive fréquemment, en changeant une ampoule, de me faire un trou dans le pied. C'est dire si je suis maladroit pour tout ce qui sort des domaines créatifs. Nous décidons donc de faire appel à un plombier le plus rapidement possible.

C'est en évoquant cette réparation, tout en nous goinfrant de délicieuses glaces, qu'il nous vient l'idée d'élaborer une stratégie. Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable. Faire venir un plombier par exemple. C'est Christine qui évoque cette éventualité la première. Quoi que l'idée est commune, je n'ai pas le temps de la formuler le premier. Il nous reste donc à échafauder le "plan" plombier.

Il est convenu que je reste dissimulé dans la salle de bain. Nous avons un vieux placard à la cave. Un de ces meubles affreux, haut, étroit et laid. Il suffit de le monter. De lui donner un coup de peinture blanche. De faire un trou dans la porte. De me cacher à l'intérieur. Il y a bien sûr la possibilité de la douche et du rideau tiré. Mais si le type contrôle toute la robinetterie c'est risqué. Une petite heure du mercredi matin est donc consacrée à la peinture et à la restauration de l'affreux placard. Travail bâclé.

Je place ce meuble hideux mais repeint entre l'armoire murale et le bidet. J'ai percé un petit trou à hauteur des yeux. Vu l'étroitesse de la "cabine", obligation de rester debout. Debout et silencieux. J'essaie. De là j'ai une vue parfaite sur cette partie de la salle de bain. Il ne reste plus qu'à bourrer le placard de mousse. Du tissus afin d'étouffer tous bruits éventuels lorsque j'y suis caché. En soirée, je téléphone à quelques artisans afin d'organiser un rendez-vous. Je choisis "Glando-Plomberie".

Une intervention est entendue avec monsieur Jacques, artisan plombier, vendredi après-midi, pour 17 heures. Christine, une fois encore, fait le choix judicieux de se vêtir de sa jupe écossaise rouge, de son pull fin mauve. De se chausser de ses souliers à talons hauts, noirs et fermés. Ses cheveux flottent librement sur ses épaules. Christine est délicieusement attractive. A dix sept heures dix un coup de sonnette. Je me cache dans le placard.

De ma cachette je vois arriver Christine. Elle précède monsieur Jacques. Monsieur Jacques est un petit bonhomme très maigre. Il est coiffé d'une casquette et vêtu d'un bleu de chauffe. Il se met immédiatement à ausculter le siphon malade. Il teste tous les robinets de la salle de bain. Heureusement que je ne suis pas caché dans la douche. Grossière erreur. Monsieur Jacques doit avoir trente cinq ans. Il ouvre sa boîte à outils. Le voilà à genoux sous le lavabo.

Christine, accroupie à ses côtés, commence son sublime numéro exhibitionniste. J'adore la voir "allumer" des quidams. Tout en bavardant, subrepticement, Christine prend la "pose". Adossée contre la baignoire, accroupie avec les mains posées sur ses genoux, elle bavarde avec le plombier. Celui-ci explique la nature de son intervention. Ce qu'il va faire. Il est question de changer le joint. Ma compagne, avec cette candeur toute feinte, commence à écarter très légèrement ses cuisses.

Durant la réparation, monsieur Jacques, ne manquant pas de concentration, de conscience professionnelle, reluque le "spectacle". Un peu confus, peut-être gêné par le "numéro" de la jeune fille. De ma cachette je le vois déglutir de plus en plus difficilement. Christine lance donc sa seconde offensive : << J'aime que certains robinets aient des fuites, mais pas ceux-là ! >>. Monsieur Jacques, sans doute plein d'humour, répond : << J'en ai un qui fuit souvent ! Parfois à grosses gouttes même ! >>.

Un moment de silence. Christine fait encore : << Ce robinet qui fuit à grosse gouttes, vous l'avez sur vous ? >>. Monsieur Jacques avec un esprit de répartie admirable répond : << Oui, si vous voulez le faire couler, aucun soucis ! >>. Christine est rodée aux coquins. Un peu étonnée tout de même, elle ponctue : << Mon mari rentre d'ici une petite demi-heure. Si vous pouviez me montrer ce robinet assez rapidement ! >>.

Monsieur Jacques, se couchant au sol, ouvre son pantalon. De sa braguette ouverte, il sort un sexe de bonne taille. Il fait : << Voilà le robinet. Faites attention aux fuites ! >>. Christine s'avance. Elle s'assoit aux côtés du plombier. Elle saisit la turgescence de l'artisan. Christine se met à la traire doucement. Elle lance : << Ces fuites-là, c'est moi qui m'en occupe ! >>. L'heureux homme se laisse tomber sur le dos en poussant un râle de plaisir. Immédiatement ma compagne se met à sucer.

De ma cachette je peux regarder cet étonnant spectacle. Ils sont tous deux sans bouger. Christine couchée sur le côté, en appui sur son coude, me lance des clins d'œil tout en pompant. Le plombier se laisse faire, les yeux fermés, les mains derrière sa nuque. Au bout de quelques minutes il se met à balancer du bassin d'un rythme régulier. J'observe en me masturbant doucement. En silence. Il me faut faire quelques efforts car ma situation commence à devenir inconfortable. Je suis le plus souvent en apnée. C'est dur de souffler en silence.

Tout cela dure depuis une quinzaine de minutes lorsque monsieur Jacques se cabre soudain. L'homme a un orgasme qui le secoue. Plusieurs saccades. Je regarde Christine déglutir avec concentration. Les yeux fermés. Elle savoure la fuite du "robinet". Ma compagne se régale. Lorsque sa dégustation est terminée elle se redresse pour se relever. Monsieur Jacques s'assoit sous le lavabo en soufflant. Il ahane : << Oula la, on commence à se faire vieux ! Je termine avec le siphon ! >>.

En parfait professionnel il se reboutonne. Il termine de visser le fond du siphon. Il fait encore : << N'hésitez pas ma p'tite dame, au moindre problème, vous téléphonez à monsieur Jacques ! >>. Christine, amusée, termine de s'essuyer le menton avec un mouchoir en papier. Elle répond : << N'ayez crainte, c'est à vous que je m'adresse en cas de nouveau problème ! >>. Ma compagne veut payer l'artisan. Elle le raccompagne jusqu'à la porte. Je peux enfin sortir de mon placard. Je peux enfin respirer profondément. Il fait chaud dans un vieux placard.

A son retour à la salle de bain, Christine, tout en étalant du dentifrice sur sa brosse à dents, me fait : << Voilà une affaire rondement menée. Monsieur Jacques n'a pas voulu être payé. C'est "cadeau". Je vais sucer le gérant du supermarché, nous aurons peut-être nos courses gratuites ! Le boulanger, le droguiste ! >>. Nous éclatons de rire. De quoi êtres contents de notre nouvelle farce. Prenant Christine par les hanches pendant qu'elle se brosse les dents, je lui murmure : << Et un livreur de pizzas ? >>...

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 30 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 29 -



L'inconnu des dunes

Quelques jours de congé. Le bord de l'océan. C'est au mois de juin. Il fait chaud. Ce matin-là nous visitons les dunes de Sainte-Anne-la-Palud. Il doit être neuf heures trente. Nous passons un peu de temps dans la magnifique église. Nous décidons de gravir la petite bute qui mène au-dessus des dunes. Là, le regard embrasse toute la baie. Jusqu'au Cap de la Chèvre à droite et Douarnenez à gauche.

Nous prenons le sentier qui descend vers les buissons secs. Ces buissons arides qui poussent dans le sable. Il n'y a pas le moindre souffle de vent. Sur la plage, en contre-bas, nous pouvons voir les premiers baigneurs. Des gens marchent dans l'eau. Le bruit du ressac se fait entendre jusqu'ici. Le ciel est d'un bleu lapis-lazulien. A peine quelques chemtrails qui marquent l'azur de leurs lignes croisées. Droites et nébuleuses.

Nous descendons dans le labyrinthe des dunes. Par jeu, nous nous perdons volontiers entre les petites collines de sable. Ma complice n'arrête pas de me toucher en riant. Je garde un souvenir merveilleux de toutes ces insouciances. Parfois Christine me bloque pour m'embrasser avec sa fougue coutumière. Me provoquant, aux passages de sa main, de nobles érections Bretonnes. Parfois elle s'enfuit devant moi en chantant des paroles coquines et improvisées.

Nous avançons ainsi en faisant les clowns lorsque soudain, au détour d'un bosquet de pins maritimes, ma complice s'arrête net. Restant dissimulée derrière un tronc elle me fait signe de ne plus bouger. Elle regarde quelque chose avec attention. Mettant son index devant la bouche, de son autre main elle me fait signe de m'approcher. Je viens la rejoindre.

A environ dix mètres, couché sur une serviette, un quadragénaire moustachu, un peu gras, se masturbe tranquillement en regardant un magazine. Nous restons silencieux à observer l'activité du monsieur. Il arrête régulièrement son mouvement de la main droite pour tourner une page du magazine qu'il feuillette. Nul doute. C'est un bouquin de cul. Son maillot de bain bleu tiré vers le bas pour laisser dépasser sa turgescence fièrement dressée vers les cieux.

Ma coquine me chuchote à l'oreille : << Tu veux qu'on joue ? Je lui fais un "plan" promeneuse ! >>. Elle me dépose une bise sur la joue pour rajouter : << Il y a peut-être même une pipe à l'horizon ! >>. Je reste silencieux. Je la regarde du coin de l'œil avec un sourire. Elle me fait un clin d'œil. Christine s'avance vers l'espace occupé par le moustachu. Je reste consterné par tant de culot. Elle m'étonne toujours autant. Je reste dissimulé. Il n'y a qu'une quinzaine de mètres. Je dois conserver le plus grand silence. La plus grande discrétion.

<< Bonjour >> fait elle en passant à proximité du branleur. Le quidam, surpris, lève les yeux. Il a le réflexe bien naturel de cacher son sexe. D'une main velue. L'homme répond : << Bonjour ! >>. Il paraît sincèrement confus. Un peu stupide. Ma complice s'arrête devant lui. Elle rajoute : << Vous auriez peut-être l'heure s'il vous plaît ? >>. L'inconnu attrape son pantalon. Il en sort une montre. << Il est dix heures ! >> fait il en retrouvant ses esprits. Il lance : << Si vous avez un peu de temps on peut bavarder ? >>. Christine, effrontée, avec un sourire délicieux, fixant le bonhomme, lui répond : << Oui, pourquoi pas ! Je peux m'asseoir ? >>.

Christine est assise à un petit mètre du monsieur qui se redresse pour s'asseoir également. Christine porte une robe d'été. Le type est donc aux anges. Il fait son numéro. Le parfait "joli-cœur". Ce qui le rend un peu plus ridicule encore. Ma coquine reste très lucide. Elle oriente la conversation. Le sexe. Inutile de laisser le gaillard perdre son temps avec des considérations autres que les siennes. Je suis admiratif. De là où je me trouve je peux presque tout entendre.

<< Qu'est-ce que vous faisiez quand je suis arrivée ? >> demande Christine. Espiègle et délicieusement salope. Le type un peu gêné lui montre le magazine. Christine feuillette un petit moment. Elle dit : << Ah oui je vois ! C'est écrit en Danois, non ? >>. Le branleur sort son sexe. Du côté gauche de son maillot. Le salopiot se tripote un peu. Christine observe en riant. Elle fait : << Eh bien ! Tenez, prenez votre magazine à la page où vous l'aviez laissé ! >>. De ma planque je peux voir la photographie qu'elle montre au monsieur. Fellation en gros plan...

<< Vous seriez tentée ? >> fait le bougre en montrant la photographie à Christine. << Oui ! Mais on ne me touche pas ! Sinon j'arrête et je m'en vais ! >> répond t-elle. Elle se rapproche. Le sexe en érection du moustachu ventru fièrement dressé. Le type se couche sur le dos, les mains derrière la tête. Ma coquine se met à sucer. Je la regarde. Elle est immobile et concentrée. C'est la friandise qu'elle apprécie le plus. Tout particulièrement dans ce genre d'opportunités. Elle me montre son entrejambes. Je suis le seul à voir depuis l'endroit où je me cache. Je me masturbe doucement.

Parfois l'inconnu a un spasme qui secoue tout son corps. Christine, appliquée et consciencieuse, pompe avec soin. Sans bouger. Doucement. Elle emmène notre onaniste vers l'orgasme. Celui-ci, assez rapidement, a une série de tremblements sans équivoques. Le bougre est entrain d'éjaculer. Christine, toujours immobile et soigneuse, déglutit et savoure le fruit de ses efforts.

Rapidement ma délicieuse complice se redresse. << Bonne journée et surtout reprenez vos activités culturelles ! >> fait elle avant de filer sans se retourner. Le type a juste le temps de comprendre ce qui vient de lui arriver. Il s'assoit en s'écriant : << Ne partez pas si vite, je vous invite à boire un café ! >>. Trop tard. Christine s'est évaporée. Elle vient me rejoindre. Elle me demande un chewing-gum. Je n'ai qu'une pomme et un brugnon dans le petit sac à dos. Les chewing-gum sont restés dans la voiture.

Christine m'entraîne par la main. Vite. Nous nous mettons à courir. Nous sommes sur une des dunes qui surplombe le lieu de la pipe. Le moustachu nous aperçoit. Il se met à beugler : << Espèces de salops ! Espèces de dégoutants ! >>. Nous sommes pliés de rire. Il tente de monter péniblement le long de la pente sableuse. Nous filons évidemment à toute vitesse. Tout en marchant sur la plage, Christine boit la presque totalité de la petite bouteille de Volvic. Elle dévore la pomme. De retour derrière l'église, par terre, à même le sol, nous faisons l'amour comme des "malades".

Que du bonheur...

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 31 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 30 -



Derrière la salle polyvalente

Quelques jours de congé. Nous sommes en Vendée. Début du mois de juin 1996. Une journée chaude et ensoleillée. Nous avons notre location dans une magnifique maison d'hôte. Cette formule propose des appartements plutôt luxueux dans des endroits charmants. Pour un coût attractif. Nous aimons, plusieurs fois par an, nous offrir le luxe de ne strictement rien faire. D'êtres servis comme des aristocrates.

C'est le second soir de notre arrivée. La propriétaire de la résidence nous apprend que ce soir samedi il y a un bal folklorique à la salle polyvalente du bourg. Qui connaît la merveilleuse Vendée et la délicatesse des vendéens, sait le plaisir qu'offrent ces petits bals folkloriques. Après une rapide concertation Christine et moi nous décidons de nous y rendre. Sans toutefois sacrifier à la rituelle promenade du soir sur l'immense plage.

Christine est vêtue d'une robe beige, légère, plutôt courte. Sur ses épaules elle porte un châle de soie claire. Chaussée de sandales à légers talons qui subliment le galbe de ses jambes. Sa silhouette attrayante. A voir les regards de certains promeneurs je ne suis pas seul à admirer sa plastique. Ses longs cheveux châtains flottent sur ses épaules en toute liberté. J'aime cette fille comme un dément. C'est réciproque...

Il est vingt deux heures. Il fait encore jour. Le soleil se couche sur l'horizon de l'océan en faisant rougeoyer le ciel. La douceur est une caresse de chaque instant. Je suis vêtu d'un pantalon de lin clair, large et flottant. Je porte une veste de coton blanc à même la peau. J'avance pieds nus sur le sable. Mes chaussures sont dans la voiture. Je les enfile tout à l'heure pour aller au bal.

De retour à la voiture, Christine m'embrasse longuement. Elle caresse mon sexe à travers le tissus de mon pantalon. Son baiser est fougueux, humide et terriblement excitant. Ce n'est sans doute que le dixième de la journée. Christine se sert de sa bouche lippue comme d'un sexe. Ses lèvres pulpeuses sont de véritables ventouses. J'en suis la victime privilégiée presque tous les jours.

Nous arrivons à la salle polyvalente pour vingt deux heures trente. Il y a du monde. Les festivités ont lieu à l'extérieur. Il y a quelques stands de glaces, de sandwichs et de gaufres plus appétissantes les unes que les autres. Si nous observons tous les deux une diététique sévère, nous sacrifions volontiers à de rares occasions une certaine gourmandise anarchique.

Nous entrons dans la salle. Il y a quantité de danseurs vêtus du costume folklorique vendéen. Sur la scène cinq musiciens. Ils jouent une musique rythmée. Des airs anciens qui ne sont pas sans évoquer quelques gavottes. A quelques gigues endiablées. Immédiatement nous sommes happés par l'excellente ambiance de la fête. Imperceptiblement, nous commençons même à bouger nos corps en rythme.

Le chanteur de l'orchestre joue également de l'accordéon diatonique. Il s'époumone dans le micro. Un quadragénaire dont l'énorme moustache en tablier de sapeur achève de lui donner un air rétro. Comme sortit d'un autre temps. Chaussé de sabots, le bougre s'approche du micro. Il informe l'aimable assemblée qu'il y a une pause de vingt minutes. Chacun est donc invité à boire et à manger avant le retour de l'orchestre.

Christine me propose de sortir afin de prendre l'air. En 1996 il est encore permis de fumer dans les lieux public. C'est épouvantable. Il faut subir cette pratique immonde. Une fois au grand air nous marchons un peu le long du parking. C'est là que Christine me pousse du coude. Elle me fait remarquer le chanteur qui passe entre les voitures. Il se faufile pour passer à l'arrière de la salle polyvalente. Sans doute un besoin naturel et pressant. Pourtant, il y a des toilettes à l'intérieur !

Christine m'entraîne par la main. Elle me demande de rester dissimulé entre deux camionnettes. Je reste là. Je la regarde se diriger vers le pisseur. J'entends Christine le féliciter pour ses talents d'animateur. Le type, tout en pissant, engage la conversation. Plutôt étonné qu'une belle jeune fille vienne lui adresser la parole en cet instant. Je l'entends même rire un peu gêné. Je peux très bien comprendre ce qu'il vit là.

Christine, toujours aussi étonnante, (et vicieuse), se place tout près du moustachu. En appuie sur le mur. Sans se gêner le moins du monde elle continue à converser. A tel point que le bonhomme, se tournant vers elle, lui fait : << Tu ne veux pas me la secouer aussi, pendant que tu y es ? >>. Christine sans se démonter a cette réponse pertinente : << Non ! Pas que la secouer ! >>

Il y a un silence. Le type fait signe de l'index à la jeune fille. Il l'invite à le suivre. Il se couche au sol sur le dos. Je contourne la camionnette derrière laquelle je suis caché. Le bougre propose à Christine de le rejoindre. Immédiatement elle s'assoit à ses côtés. Se penchant, elle se met à le sucer. Je sais que le "folkeux" n'a que très peu de temps. 20 minutes. Aussi, il se met à bouger du bassin de façon régulière et de plus en plus rapide. Je suis à une trentaine de mètres. Et toujours caché derrière les véhicules. Il y a des voix et des rires à proximité.

Un jeune couple arrive. Il découvre la scène. La fille se met à rire. Cela coupe probablement la chique à notre chanteur accordéoniste. Il cesse son mouvement de va et vient. Il repousse Christine qui se relève. Je l'entends dire : << Nous faisons une nouvelle pause dans une heure. Tu seras là ? >>. Christine secoue la tête de façon négative. Elle répond : << Je ne pense pas. Je vais aller rejoindre mon ami. Merci pour l'invitation ! Une prochaine fois ! >>. Le type remballe. Il dit encore : << Samedi prochain nous jouons à nouveau ici. Viens ! >>

Une fois de retour, Christine me demande un chewing-gum. Le chewing-gum reste son habituel "après-pipe". Rien de mieux pour faire passer le goût. Menthe ou réglisse. Parfois à l'anis. Nous rions de cette nouvelle facétie. Christine me fait encore : << Nous ne serons plus là samedi prochain. Dommage. C'était une petite bite bien juteuse ! >>. C'est donc moi qui lui offre, dans la voiture, son "dessert". Le reste de notre séjour est un enchantement de chaque jour. Le vendredi suivant il nous faut repartir...

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 32 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 31 -



Le menuisier - (Première partie)

En héritant de cette grande demeure, je sais les travaux à faire. Nous sommes au mois de mai 1997. Cette ancienne masure dont l'état nécessite quelques entretiens intérieurs et extérieurs, me force à contacter des artisans. Pour d'évidentes raisons de confort nous décidons de donner priorité aux rénovations intérieures. L'escalier circulaire qui monte aux étages. Je désire faire recouvrir la pierre de lames de bois de chêne.

Je prends donc contact avec quelques menuisiers de la région afin de faire établir des devis. C'est un appel d'offre qui suscite l'intérêt de cinq entrepreneurs différents. Tout naturellement, après renseignements et regardant les prestations proposées, pour le prix demandé, je vais au moins cher. Il s'agit d'habiller un ancien escalier centenaire. Le choix du bois se porte sur un beau chêne. Bois fiable, robuste et plutôt facile à travailler.

Monsieur Lucas arrive donc ce mercredi matin. L'artisan dépose tout le matériel nécessaire. Afin de pouvoir commencer les travaux d'installation dès le mercredi suivant. D'ici une semaine. L'escalier sera assemblé dans l'entreprise. Puis, une fois démonté, il serait ramené chez nous. Il sera ensuite remonté dans sa cage. Une journée de travail tout au plus.

Christine, professeur en première et en terminale, a son mercredi de libre. Beaucoup de gens s'imaginent que c'est un jour de congé. Mais les professeurs savent de quoi il en retourne. C'est souvent une journée aussi prenante que les autres. Sinon plus. Ma compagne est à mes côté pour recevoir l'artisan menuisier, monsieur Lucas. A la fois patron et unique ouvrier de sa petite entreprise.

Monsieur Lucas est un homme robuste. La quarantaine, débonnaire et plein d'esprit. Il arrive pour huit heures trente. Après avoir déposé le matériel à l'étage, il prend toutes les mesures. La plupart du temps avec un petit boîtier laser qui envoie un rayon fin et droit. Il prends des notes. N'hésitant pas à s'y reprendre à plusieurs fois. Un artisan consciencieux. Christine disparait un moment. Lorsqu'elle revient pour regarder ce qui se passe elle est vêtue de sa jupe-kilt, de son chemisier et de ses souliers noirs, fermés, à talons hauts.

Toujours prête à saisir une opportunité exhibitionniste ma compagne monte à l'étage. Monsieur Lucas, occupé à ses mesures ne fait pas immédiatement attention à Christine. Monsieur Lucas explique avec plaisir ce qu'il est entrain de faire. Soucieux de partager son savoir et de rassurer le client que je suis. La perfection de ce qu'il s'apprête à faire. Je regarde en haut de l'escalier. Je découvre Christine accroupie sur la dernière marche. Monsieur Lucas regarde ce spectacle avec une grande discrétion. Lui aussi peut voir sa culotte, la touffe abondante qui en dépasse de chaque côté...

Monsieur Lucas termine la prise des mesures vers dix heures trente. Plusieurs fois je m'absente à l'étage. De là, par la porte de la chambre entrouverte, j'observe le manège de Christine. Elle me fait un clin d'œil. Pour le bon déroulement des travaux à venir, l'artisan prépare avec soin les outils qu'il laisse déjà sur place. Peu de choses en fait. Des tréteaux, un escabeau, une grosse caisse à outils, un sac de colle, un seau. Christine monte et descend. Elle attire ainsi l'attention. Souvent elle échange quelques mots avec monsieur Lucas.

Finalement, notre artisan prent congé pour onze heures du matin. Il revient mercredi prochain. Rendez-vous à huit heures du matin. Il nous prévient qu'il y aura des bruits de perceuse, des travaux de colle. Qu'il faudra procéder aux finitions. Il y en aura pour cinq ou six heures de travail. Après entente avec Christine, et pour pouvoir préparer notre scénario habituel, je préviens l'artisan que je ne rentrerais que pour midi.

Le menuisier - ( Partie 2) -

Monsieur Lucas arrive comme prévu pour huit heures. Il gare sa camionnette devant les escalier du perron d'entrée. Le menuisier commence par décharger son véhicule. Depuis la fenêtre, nous pouvons découvrir les parties détachées de notre escalier. Il fait beau. Le temps est sec. Aussi, monsieur Lucas dépose son matériel contre le muret. Il sort également quelques outils et boîtes qui viennent rejoindre le reste.

Avec Christine, désireuse de "goûter" du menuisier, nous avons mis au point la stratégie habituelle. Pendant la durée des travaux je reste dans le salon. La partie "bureau" est notre coin "administratif". Le salon est une grande pièce d'environ dix mètres sur douze. Un mobilier victorien en assure l'habillage. Une immense cheminée. C'est donc le lieu idéal pour y passer du bon temps. Il y a une étroite lucarne de 20 x 15 cm qui permet de voir dans le couloir.

Je vais accueillir monsieur Lucas. Je lui propose mon aide pour entrer le matériel. Je précise que je ne dispose que de très peu de temps car j'ai un rendez-vous pour dix heures. Que je ne suis de retour que pour midi. L'artisan décline mon offre. Christine, vêtue d'un pantalon noir moulant, d'un sweat-shirt noir très serré et chaussée de souliers à talons vient saluer notre artisan. Ce dernier se met à la tâche immédiatement.

Je prends congé. Je prétexte du travail. J'entre dans le salon. Christine s'affaire entre la buanderie, au sous-sol, et un peu de rangement. Autant de prétextes pour exhiber ses formes sculpturales aux regards de notre artisan. Ce dernier, tout en s'activant avec méthode et professionnalisme, regarde passer et repasser la jeune fille. Moi, depuis le salon, par l'étroite lucarne, je peux admirer les agissements de ma compagne.

Remontant de la buanderie, Christine, accroupie devant le panier à linge, s'affaire à trier. Le linge à suspendre dehors. Sur le séchoir déposé sur la terrasse extérieure. Son pantalon, aussi moulant qu'un leggings, laisse deviner toutes ses formes. Son sexe aux lèvres aussi charnues que celles de sa bouche. La bosse de son clitoris particulier. On devine tout cela sous le fin tissus noir. Monsieur Lucas l'a bien remarqué.

J'observe tout cela avec délectation. Christine, mon "actrice" préférée m'offre encore un superbe "film". Il est à présent l'heure de me rendre à mon soi-disant rendez-vous. Je sors du bureau. A haute voix, à l'attention de Christine, je dis : << Je serais de retour pour midi au grand maximum ! >>. Elle vient me faire la bise. Je sors de la maison pour partir. Discrètement, par une des deux portes fenêtres que j'ai laissé ouverte, je retourne dans le bureau.

Je constate que malgré l'avancée des travaux monsieur Lucas devient soudain beaucoup plus loquace. Plus "bavard". Tout en installant les lames sur les marches, il plaisante avec quelques "gauloiseries" biens senties. Bref, monsieur Lucas s'avère être un sacré "coco". Il faut dire que la jeune fille l'a bien émoustillé avec ses formes affolantes. De ma cachette, j'entends les plaisanteries grivoises de notre coquin.

Une fois encore, Christine a ces mots, sur le ton habituel de la plaisanterie, qui "crucifient" notre homme : << Même si je ne fume pas j'apprécie la pipe ! >>. Une fois encore ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un eunuque. Le bougre, sans perdre le nord magnétique, lance : << J'ai ce qu'il faut, la pipe et le tabac ! >>. Christine le rejoint au bas de l'escalier. De ma planque jadmire la suite de l'épisode.

Christine s'assoit sur une caisse en bois. Monsieur Lucas, sans se défaire de sa bonhommie, ouvre sa braguette. Il en extrait une chose aux dimensions impressionnantes. << Wouah ! >> fait ma compagne. Notre menuisier s'approche. Prenant le sexe de notre homme en main, Christine se met à le masturber doucement. Monsieur Lucas essaie de l'embrasser. Ce que Christine refuse toujours avec vigueur. << Tu veux pas baiser ? >> lui lance notre homme. << Non ! C'est la pipe, c'est tout ! >> répond la jeune fille.

Elle avance son visage pour prendre le sexe de notre drôle en bouche. Le type la saisit par les cheveux. Il lui enfonce son membre profondément. Christine manque de s'étouffer. Monsieur Lucas, en vrai salaud, lui maintient la tête. Elle cherche à se dégager. Rien à faire, il la tient fermement. << T'aimes ça, hein , je vais t'en donner ! >> dit il. Christine, dans un effort, se dégage enfin. Le type, sans lui lâcher les cheveux, se cambre sur ses genoux fléchis.

Cambré sur ses jambes, me tournant le dos, il maintient la tête de la jeune fille. Je la vois bouger des jambes en essayant de repousser le type. Rien à faire, il la serre fortement. Il bouge du bassin de manière régulière. La jeune fille gémit. Vu la taille du chibre, Christine ne gémit sans doute pas que de plaisir. Elle a la bouche pleine et ça se voit !

Enfin il la relâche. Dans un cri, Christine se dégage. Elle veut se lever. Le type l'en empêche. Il l'attrape à nouveau par les cheveux. Il se met à lui toucher les seins de façon vulgaire. Il lui place la main entre les cuisses. Christine, dans un effort, se redresse tout en se libérant de l'étreinte du type. Je suis prêt à intervenir. La jeune fille, toisant l'artisan lui fait : << Vous cessez où je le dis à mon mari ! >>. Le type, retournant à son travail lui dit : << Il le sait ton mari que tu es une petite sa-ope ? >>. << Oui ! >> lance Christine en venant me rejoindre au salon. Elle ferme la porte à clefs derrière elle.

Elle se met dans mes bras en tremblant. Presque en larmes elle confie : << Un vrai salaud ! >>. Il est onze heures trente. Je sors par la porte fenêtre. Je fais mine de rentrer. Une fois dans le couloir d'entrée, je regarde le travail effectué. C'est impressionnant. l'escalier est presque monté. Monsieur Lucas, comme si de rien n'était, me fait savoir qu'il aurait terminé pour quinze heures au maximum. Christine sort du bureau, jouant à la perfection l'épouse qui vient accueillir son mari.

Nous avons préparé à manger. Nous sommes à la cuisine. A mon regard, Monsieur Lucas a sans doute compris que Christine m'a tout raconté. Aussi, tout penaud, il termine son travail sans mot dire. Effectivement, il termine pour quinze heures et s'en va. Avant de partir, il me fait, sans oser me regarder dans les yeux : << Excusez-moi pour le désagrément ! >>. Je ne réponds que par : << Au revoir ! >>. Glacial.

C'est la seule et unique fois, en huit ans, où les choses auraient pu dégénérer. Mais bon, depuis le temps que ma compagne tente le diable en lui suçant la queue, c'est un peu dans la logique des choses. Par la suite, elle s'entoura de plus de précautions.

Lorsque j'ai la facture, il y a une minoration de 15 % pour une obscure raison de "promotion" ! C'est sympathique. De plus le travail est parfait. Nous n'avons plus jamais eu de nouvelles de monsieur Lucas, marié, deux gamins.

L'escalier est superbe. il ne nous reste plus qu'à le cirer...

Classe

NOTE
Mes récits ne demandent aucun commentaire.
Les commentaires imposent une rupture inutile dans la suite des textes.
C'est une grande preuve de tact et de courtoisie de ne pas en mettre.
Par contre les considérations en messages privés m'enchantent.
D'avance MERCI...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 33 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 32 -



Fellation au cinéma

Christine et moi nous ne sommes pas spécialement amateurs de séances de cinéma. C'est l'époque des bons vieux magnétoscopes et des cassettes vidéos. Aussi, lorsque nous avons envie de découvrir un film, nous donnons la préférence à une location dans notre vidéo-club. Outre la promiscuité pénible, le fait de devoir payer pour avoir à subir des publicités, de subir le bruit dans la salle, nous sont insupportables.

A cette époque il y a un de ces chef d'œuvres "obligatoires" que nous imposent tous les médias officiels. Encore une raison supplémentaire de fuir ces salles obscures qu'on voudrait nous imposer. Pourtant, une idée incongrue s'immisce peu à peu en nous. Et si nous profitions d'une de ces soirées cinéma pour nous livrer à un de nos passes temps préférés ?

Ce jeudi soir nous prenons nos billets dans un petit cinéma. Une salle qui propose quelques uns de ces films d'art et d'essai. Au moins nous n'aurons pas à subir une de ces grosses machines hollywoodiennes. Nous ne voulons pas non plus subir un de ces films lénifiants pour intellectuel branché. Nous portons notre choix sur la projection du film "Le Magnifique". Un divertissement. Avec Jean-Paul Belmondo c'est toujours la certitude d'un bon moment de cinéma.

Dans cette salle d'une centaine de places à peine une vingtaine de personnes. La plupart massées aux premiers rangs. Nous choisissons les fauteuils du haut. L'avant dernière rangée. Personne. Nous prenons place. Un court métrage en noir et blanc. Un documentaire consacré à un pianiste de Blues mort depuis longtemps. Cela nous permet de déguster un délicieux cône glacé. Dans les toutes meilleures conditions.

Après l'entracte les lumières s'éteignent. En 1996 il n'y a pas encore de caméras de surveillance pour épier l'attitude des spectateurs. Les salles obscures n'en sont pas équipées. Au bout de cinq minutes je me retrouve avec la braguette ouverte. Ma turgescence dans la main droite de Christine. A l'écran, Jean-Paul Belmondo est assis devant sa machine à écrire.

Au bout d'une dizaine de minutes, Christine se laisse glisser sur sa droite. Je peux ressentir sa respiration chaude sur l'extrémité humide de mon sexe. Nous avons déjà vu ce film deux fois. Même si Jean-Paul Belmondo reste toujours la certitude de passer un bon moment, nous allons en passer un bien meilleur encore. En sa compagnie...

Rapidement je me retrouve avec mon sexe dans la bouche de ma compagne. Je ressens une fois encore la douceur indicible de cette merveilleuse caresse. Je sais, aux sensations qu'elle me procure, le degré d'excitation de Christine. Là, je ressens les effets d'une excitation considérable. J'ai perdu tout intérêt pour le film. Même lorsque la belle voisine du "Magnifique" vient le perturber dans l'écriture de son roman.

Comme prévenu par un sixième sens je tourne ma tête sur ma gauche. Je n'ai pas vu la jeune femme seule, assise dans la dernière rangée au-dessus de nous. Je reste donc immobile. Je fais semblant de me concentrer sur le film. Je regarde le cadran de ma montre. Je m'en sers comme d'un rétroviseur. Je découvre étonné que cette jeune personne paraît beaucoup plus préoccupée par nos agissements que par ceux de Jean-Paul Belmondo. Elle se penche régulièrement en avant. Elle scrute même avec attention.

En chuchotant, à l'attention de Christine, je signale que nous sommes observés. Se relevant, elle me fait : << Je le sais ! Il n'y a que toi pour être si naïf ! >>. Puis elle reprend sa délicieuse fellation. Cette révélation, ajoutée à la situation, m'excite considérablement. La coquine. Aussi, m'installant plus confortablement encore, je tourne la tête dans la direction de la jeune femme. Je lui fais un sourire. Malgré l'obscurité à laquelle nous nous sommes habitués, je peux parfaitement découvrir le sourire suggestif qu'elle me rend.

Je reste ainsi. Je tiens Christine par ses cheveux. Je la force à se redresser. Je la "guide". Je tourne régulièrement la tête. Je regarde la voyeuse. Un vrai bonheur. La jeune femme a posé ses deux bras sur le dossier du fauteuil devant elle. Elle nous observe avec attention. Aucune équivoque. Nous échangeons quelques sourires. Au bout d'une vingtaine de minutes j'éjacule dans un plaisir indescriptible. Jean-Paul Belmondo saute dans une magnifique voiture de sport rouge...

Christine se redresse. Elle regarde la jeune femme pour lui faire un sourire. Christine lève le pouce de sa main gauche. La jeune femme fait le même signe. Tout cela signifie << Super ! >>. Nous regardons un peu du film. Christine me propose d'inviter la jeune femme afin qu'elle vienne nous rejoindre. Je lui chuchote à l'oreille : << Fais-lui signe ! Entre filles ça passe mieux ! >>.

La jeune personne vient s'asseoir à mes côtés. Nous nous mettons à bavarder en chuchotant. Je propose de mettre un terme à cette séance devenue inutile et sans intérêt. Jean-Paul, veux tu bien nous en excuser. Je suggère d'aller boire un verre dans un endroit sympathique. La proposition est accueillie avec enchantement. Nous quittons Jean-Paul Belmondo sous les palmiers de son paradis. Nous Sortons. Une centaine de mètres. Nous voilà dans un restaurant qui fait également glacier.

Une fois assis devant d'énormes coupes glacées, nous faisons connaissance. Laurence est déléguée médical. Fraîchement séparée, cette jeune femme de vingt huit ans suscite l'intérêt. Brune, mince, pleine d'enthousiasme, elle fait aussi preuve d'humour. Elle nous parle un peu de sa vie, de ses activités professionnelles. La soirée se déroule jusqu'à la fermeture. 23 h30. Là, devant nos voitures, garées l'une derrière l'autre, Christine propose à Laurence de venir manger à la maison samedi soir. Invitation retenue...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 34 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 33 -



Fellation au cinéma - (Episode 2) -

Il est vingt heures. Ce samedi soir j'ai préparé un délicieux repas. Nous attendons l'arrivée de Laurence. Christine et moi sommes entrain de nous embrasser longuement dans la cuisine. Trois coups de sonnette. Christine se précipite vers la porte d'entrée. Je termine de mettre les couverts sur la belle nappe ramenée d'Ecosse l'an passé. Ma compagne revient accompagnée de Laurence.

Laurence est une jeune femme plutôt belle au physique agréable. Je m'avance pour lui faire la bise. Elle est vêtue d'une jupe carmin, d'un blouson passé sur un pull brun. La jeune femme est chaussée de souliers à légers talons. Sa silhouette en est sublimée. Christine invite Laurence à se débarrasser de sa veste de cuir avant de passer à table.

La cuisine sent bon les effluves du gratin de courgettes et de tomates que j'ai concocté. Saupoudré de parmesan, le parfum du fromage se mêlent subtilement à celui des légumes. Accompagné d'une salade d'endives et de carottes, le repas s'annonce goûteux. Laurence prend place à ma droite. En face de Christine. Ma compagne nous sert le gratin fumant.

En mangeant nous devisons avec joie. Laurence évoque son "ex" avec beaucoup d'humour. Elle parle également de ses passions pour la randonnée, le trekking, la montagne en général. Ses voyages en Islande dont son ancien compagnon est originaire lui laissent de très agréables souvenirs. Elle nous montre quelques photographies qui ne quittent jamais son portefeuille.

Christine propose de prendre le dessert au salon. Elle me suggère d'aller prendre place avec Laurence pendant qu'elle prépare nos coupes glacées. Confortablement installés dans le canapé, je fais goûter quelques pralins à la jeune femme. Des pralins ramenés d'Ecosse. D'une étonnante délicatesse. Laurence apprécie avec quelques murmures de satisfaction.

Ma compagne ramène les coupes glacées. Les boules aux parfums vanille, pralin, pistache, sont savoureuses. Un délicieux jus de mangue arrose le tout. Christine, assise à ma droite, se penche en avant. Elle regarde Laurence assise à ma gauche. Elle lance : << Vous aimeriez revivre la situation du cinéma ? >>. Il y a un silence. Laurence répond : << Là ? Maintenant ? Comme ça ? Pourquoi pas ! >>.

Christine passe sa main sur ma braguette. Une grosse bosse en déforme rapidement le tissus. Après m'avoir déboutonné ma compagne sort mon sexe. Ce dernier, dur comme un bout de bois, est déjà coulant à son extrémité. Du liquide séminale causé par l'excitation mouille la peau fripée de mon prépuce. Je regarde Laurence. La jeune femme est penchée en avant. Elle observe avec attention les agissements de Christine.

C'est toujours un peu gênant de se retrouver le sexe à l'air devant une inconnue. Même si cette dernière est parfaitement complice de ce qui se passe. Cette gêne participe à l'excitation de la situation. Laurence me fixe dans les yeux longuement. Christine se penche sur le côté. Ma compagne se met à me sucer. Cette douceur incroyable à laquelle il m'est toujours impossible d'échapper. Tant mieux.

Laurence regarde la scène avec une grande attention. Je peux entendre sa respiration beaucoup plus marquée. Parfois, après une légère apnée due à la concentration, un long souffle sort de sa bouche. A aucun moment Laurence ne fait le moindre geste d'approche. Elle reste sagement assise à observer. Christine, au bout d'une dizaine de minutes se redresse. Agitant mon sexe dans la direction de la jeune femme, elle fait : << Tentée ? >>.

Laurence, d'un geste de la main, incline la tête dans un signe de négation. Elle répond : << Non merci ! Je me contente de regarder ! Mais la proposition est sympathique ! >>. Christine regarde longuement Laurence d'un étrange sourire coquin . Elle rajoute : << Vous n'aimez pas ? >>. La jeune femme éclate de rire. Elle s'exclame : << Si ! J'adore ! Mais pas à un homme que je ne connais que depuis quelques heures ! >>

Christine retourne à sa fellation. Je la tiens par la nuque. Ma compagne adore que je la tienne ainsi. Comme pour la "guider". Nous pouvons l'entendre gémir de plaisir. Les gargouillis caractéristiques donnent une idée très précise de ce qui se passe. Laurence me regarde en levant le pouce de sa main droite. Son sourire, délicieusement lubrique, son regard amusé, participent d'un instant totalement magique.

Je reste ainsi une bonne demi-heure. J'aime à faire durer notre plaisir. Et là à tous les trois. Tenant les cheveux de Christine en catogan j'éjacule. Un orgasme puissant qui se traduisit par trois saccades. De nombreux spasmes et le rire de Laurence. Christine déglutit en gloussant. Je me sens fondre dans sa bouche avec une indicible douceur. Laurence se penche devant moi pour dire à Christine : << Délicieux ? >>. Ses cheveux sous mon nez je peux sentir son agréable parfum. J'ai envie d'y passer mes doigts.

Ma compagne se redresse. Elle s'essuie la bouche. Elle répond : << Un vrai nectar ! >>. Nous éclatons tous les trois d'un rire sonore. Nous bavardons encore une petite demi heure avant que la jeune femme ne prenne congé. Il est vingt deux heures trente. Christine propose de nous revoir. Laurence nous invite à passer le prochain samedi soir chez elle. Elle nous parle d'une de ses spécialités culinaires.

Rendez-vous est pris pour le samedi suivant, vingt heures...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 35 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 34 -



Fellation au cinéma - (Episode 3) -

Comme convenu nous arrivons chez Laurence pour vingt heures. Le temps est à la pluie. C'est donc sous un grand parapluie que Christine et moi attendons devant la porte de l'immeuble. La voix lointaine de Laurence dans l'interphone se fait entendre. Nasillarde et déformée : << Je vous ouvre ! >>. J'appuie sur le battant dès le grésillement caractéristique. Dans l'ascenseur ma compagne m'embrasse avec fougue. Elle me tient fermement par la braguette.

Au quatrième étage, sur le palier, Laurence est debout à nous attendre. << Bonsoir. Venez, suivez-moi, c'est ici ! >> dit elle après nous avoir fait la bise. Nous pénétrons à sa suite dans un appartement lumineux et plutôt spacieux. Tout est meublé de manière très moderne. Tout ce qui est visible depuis l'entrée est de couleur blanche. Ce qui participe évidemment à éclaircir les lieux et à donner l'illusion d'un espace plus grand. De très bon goût. Même si ce n'est pas le nôtre.

Une odeur des plus agréables vient nous caresser les narines. Laurence, après nous avoir débarrassé de nos vestes et parapluie, nous invite à prendre place à la table ronde. S'accroupissant devant le four elle en ouvre la porte. Les mains gantées, la jeune femme en sort une tarte aux poireaux. Subitement, je suis mort de faim. Christine, les yeux grands ouverts, lance : << Wouah ! On adore ! C'est vraiment une superbe idée ! >>. Laurence pose le grand plat sur une planche de bois.

<< Julien, tu vas couper les parts avec ça ! >> me fait Laurence en me tendant un couteau à la large lame de bois. Je m'applique à couper en huit parts égales. Pendant ce temps, Christine est mise à contribution pour remuer la salade. Carottes, olives noires, œuf dur, persil, ciboulette, tomates et morceaux de fromage de chèvre. Rien ne manque. Ma compagne s'applique pendant que Laurence ouvre une bouteille de jus de mangue. Maniant le décapsuleur avec une certaine virtuosité.

Nous commençons à manger tout en bavardant. Les filles parlent de leurs activités professionnelles. Chacune ayant quantité d'anecdotes amusantes à échanger. Je parle un peu de mes activités, de mes projets d'expositions. Tout cela en dégustant une tarte aux poireaux absolument divine. Je prends un gros morceau de parmesan bien sec. Avec une tranche de pain complet et un verre de jus de mangue. C'est l'enchantement du palais.

A la fin du repas Laurence fait une allusion très directe. Elle demande : << Cela vous ennui de m'offrir le même "show" que la dernière fois ? Comme au cinéma ! >>. Nous restons un moment silencieux à nous regarder. Christine éclate soudain de rire. Elle répond : << Là, maintenant, avec la bouche pleine ? >>. Ce bon mot nous amuse tous les trois. Nous savourons les pâtisseries que nous avons ramené. Tout en relatant des fellations passées. Laurence semble prendre un plaisir vicieux à nous raconter des aventures assez "glauques". Une étonnante jeune femme.

Après le dessert Laurence nous invite à prendre le café dans son petit salon. Meublé très simplement d'un canapé blanc, d'un fauteuil blanc, d'un petit bureau blanc devant lequel il y a un tabouret blanc. Seule la télévision est noire. Le revêtement de sol crème est en grande partie recouvert d'un épais tapis de poils de laine écrue. Un grand pot de fleurs dans le coin. Entre une bibliothèque et la porte fenêtre du balcon. Une plante à hautes tiges de fleurs séchées. Une énorme bonbonne de verre fumé en est l'exacte pendant sur le mur d'en face.

Christine et moi prenons place dans le canapé. Sur la petite table Laurence dépose les tasses, les petites cuillères et le sucre. Elle retourne à la cuisine afin d'y préparer le café. Je regarde Christine avec un air dubitatif. << Ouvre ta braguette, on lui fait un "plan" ! >> murmure t-elle avec un clin d'œil appuyé. Je sors mon sexe. Ma compagne l'empoigne. Rapidement je suis en érection. Je suis littéralement vautré dans le canapé. Les jambes écartées, mon sexe dans la main de Christine. Laurence revient avec la cafetière italienne fumante à la main.

<< Wouah ! Excellente initiative ! >> lance t-elle en s'asseyant dans le fauteuil face à nous. << Tu as un superbe "machin", Julien ! >> fait la jeune femme en me souriant. Elle rajoute : << Je m'en suis déjà rendue compte samedi dernier ! Juste bien ! Le calibre idéal et "passe-partout" ! >>. Christine éclate de rire en disant : << Mais tu es incroyable, toi ! Tu vois tout ! Tu regardes tout ! >>. Laurence rétorque : << Oui, je suis très voyeuse ! J'adore ça ! >>.

Je tiens à préciser que dans ces situations on a beau faire le fier. En tant qu'homme, on en mène pas large ! On est même très ennuyé. Un peu gêné et en manque d'initiative ! Heureusement, Christine, toujours pleine d'inspiration, ne prend pas seulement la "chose" en main mais rapidement en bouche. Sous la délicieuse succion de ma compagne, doucement, je suis envahi de cette indicible sensation de plaisir. A nouveau cette impression d'avoir trempé mon sexe dans de la purée tiède. Je sais, cette comparaison paraît stupide, mais je n'en ai pas d'autre.

Laurence me fixe dans les yeux avec un aplomb insistant. C'est un peu comme de me trouver sous le regard d'une scientifique. Elle paraît étudier et analyser avec attention. Cela rajoute encore à mon excitation. Christine peut en savourer les conséquences avec l'appétit que je lui connais. Les bruits de succions si caractéristiques de la pipe, rajoutés aux gémissements de plaisir de ma compagne, résonnent étrangement dans le silence du salon.

Laurence respire parfois de façon plus forte. Alternant son souffle avec des apnées. Ce qui correspond à ses moments de concentrations. A ses "analyses". A ses "études". Soulevant la tête de Christine en la tirant délicatement par les cheveux, je me saisis de mon sexe. Je l'agite en direction de Laurence. Comme pour une invitation. De son index levé elle imprime un signe de négation. La jeune femme rajoute, d'un air espiègle : << Je regarde, je ne touche pas ! Pas de "ça" entre nous, voyons ! >>. Nous éclatons tous les trois d'un rire franc et sonore.

Christine me taille une longue pipe. Il lui importe à présent très peu d'être observée. Elle pompe pour son seul plaisir. Laurence, la tête posée sur ses mains croisées, les coudes en appuis sur les accoudoirs du fauteuil, observe toujours avec cette curieuse intensité. Ce n'est qu'au bout d'un long moment qu'elle glisse sa main droite entre ses cuisses. Sa main imprime alors un discret et lent mouvement régulier. J'éjacule une première fois en plusieurs saccades intenses. De longs spasmes parcourent mon corps. Je suis couvert de délicieux frissons.

Laurence comprend ce qui se passe. Il lui suffit d'observer Christine qui déglutit avec peine. Laurence accélère son mouvement. C'est lorsqu'elle se rend compte que nous repartons pour un second tour, sans marquer la moindre pause, que la jeune femme connaît un orgasme étonnant. L'excitation étant arrivée à son comble elle est secouée par plusieurs spasmes. Tout en gémissant. << C'est trop génial ! >> fait elle, prostrée en avant comme pour se reprendre d'une situation éprouvante.

Ayant repris ses esprits Laurence m'observe à nouveau avec cette acuité aiguisée. Je me fais pomper à la limite du vertige. Même si avec Christine nous avons déjà vécu ces situations à quelques reprises, cela m'excite toujours considérablement. Ces jeunes filles qui regardent, qui observent, qui me sourient, qui me font des clins d'œil parfois. Tout cela me procure de divins orgasmes. C'est inexprimables. Aussi, j'éjacule une seconde fois avec la même abondance que la fois précédente.

Laurence, se lève. Elle vient toucher la cafetière. << Tout est froid ! Je vais refaire du café ! >> dit elle. Nous terminons la soirée en dégustant des petits gâteaux. Nous quittons notre hôte vers minuit. Rendez-vous est pris pour samedi prochain. Chez nous, pour vingt heures.

Curieusement, sans même s'en excuser ou nous en donner une raison, Laurence ne se manifeste plus jamais. Christine lui téléphone à trois reprises. A chaque fois, elle entend un répondeur. Nous n'avons jamais eu d'explication. Il nous reste quelques supputations inutiles. Une interrogation supplémentaire. Selon Christine, entre temps, Laurence aurait fait une rencontre...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 36 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 35 -



La fellation en cabine d'essayage

En ce mois de septembre 1996 nous venons de rentrer de vacances. Un an avant la naissance de Clémentine, ma compagne actuelle. J'y pense en écrivant ces lignes. Afin de rester dans un état d'esprit ludique, plein d'insouciance, nous décidons d'aller nous acheter de nouveaux vêtements. Nous n'en n'avons nul réel besoin. C'est juste pour rester dans le dilettantisme. Un état d'esprit que nous apprécions tout particulièrement. A cette fin nous nous rendons dans un hypermarché de la région.

En règle générale j'ai une préférence pour les vêtements que je trouve en boutique. Christine n'a pas de goûts particuliers. Elle fonctionne aux "coups de cœur". Un vêtement lui plait, elle se l'offre. Très féminine, elle porte le plus souvent son choix sur des jupes, des chemisiers et des pulls. Nous avons deux armoires. Une toute petite moitié de l'une d'entre elle m'est consacrée. L'autre armoire et la moitié de la mienne sont consacrées aux affaires de ma compagne. Les couples comprennent ce que je sous-entends. Pareil pour les chaussures.

Là, au rayon des pantalons, j'en trouve deux qui attirent mon attention. Deux pantalons à pinces. En toile de lin beige. J'ai de la chance, c'est ma taille. Deux "38" qui sont là à m'attendre. Christine me propose d'aller en cabine afin de les essayer. Nous les hommes, sans faire de généralité, nous rechignons souvent à passer par la cabine d'essayage. Ce sont nos compagnes qui insistent le plus souvent. Et elles ont bien raison...

Nous voilà donc dans une des six cabines. Notre choix s'est porté sur celle du fond à droite. La jeune fille responsable du rayon nous offre deux petits badges en plastique jaune. Un pour chaque vêtement. J'enlève mon bermuda hawaïen pour essayer le premier pantalon. Il fait encore chaud. Christine profite de l'aubaine. Elle met sa main dans mon slip. Il me faut faire le contorsionniste pour enfiler le vêtement. La main de Christine dans ma braguette, je m'observe dans le miroir. L'habit semble taillé pour moi.

Christine me fait remarquer que le pantalon me va très bien. Que pour 260 francs, (environ 38 euros d'aujourd'hui), j'aurais bien tort de ne pas l'acheter. Tout en ayant sa main dans mon slip, j'essaie le second pantalon. D'une coupe légèrement plus étroite, il me va comme un gant. Certes, il eut été préférable qu'il m'aille comme un pantalon ! Mais je m'en contente sur les conseils avisés de Christine. Il faut toujours écouter les conseils de la fille qu'on aime. Toujours...

C'est là que Christine, s'accroupissant devant moi, me sort le sexe du pantalon. Entre le bas de la porte et le sol il doit y avoir environ vingt centimètres de vide. Je m'assois sur la petite banquette pour me laisser sucer. Là, confortablement installé, j'éprouve soudain un curieux sentiment. La jeune fille du rayon vêtement va et vient dans le petit couloir. Christine commence sa sublime fellation habituelle. Refermant la ventouse de ses lèvres sur mon prépuce. J'en frissonne de plaisir.

Les choses perdurent ainsi depuis cinq bonnes minutes. Christine est à genoux sur mon bermuda. Je la regarde pomper et déglutir. Soudain, contre la porte, deux petits coups frappés. La voix de la jeune fille. Elle demande : << Ils vous vont ? La taille, ça va ? >>. Je lève la tête pour répondre : << Oui, oui, c'est parfait ! >>. Christine me fait remarquer que la coquine doit avoir compris ce qui se passe dans notre cabine.

Nous décidons d'en rester là. Christine propose de donner suite à cette pipe dans un autre endroit. Nous sortons de la cabine. Le regard malicieux de la jeune fille donne sans doute raison aux supputations de Christine. J'ai toujours quelques soucis avec les pantalons des grandes surfaces. Je taille du "38" mais ils sont souvent très limite au niveau longueur. Mon mètre quatre vingt huit est un handicap pour les coupes "standards". D'où ma préférence pour les choix offerts en boutiques.

Une fois dehors, Christine me fait remarquer qu'elle est certaine que la jeune fille des vêtements nous a mâté un moment. Elle a vu ses pieds dans le miroir de la cabine d'en face. Par le jeu des miroirs il est fort possible de voir ce qui se passe dans l'autre cabine. Je fais confiance aux déductions de Christine. Grande vicelarde elle s'y connait plutôt bien en configurations équivoques.

Une fois dans la voiture, sur le parking même du supermarché, Christine reprend les "choses" là ou elle les a laissé. Tout en roulant à quelques kilomètres heure, j'apprécie l'indicible caresse...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 37 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 36 -



Les toilettes du bâtiment abandonné - (Partie 1) -

Ce jour de mars 1997 nous sommes en Haute-Savoie. Ce sont les derniers jours des vacances scolaires. Nous voulons absolument mettre à profit les quatre jours qui nous restent avant de prendre la route du retour. Nous avons visité ces magnifiques petites villes, Thonon-les-Bains, Annecy, Chamonix. Nous avons pris le "monte-en-vers", ce fameux train à crémaillères qui monte à plus de mille neuf cent mètres d'altitude. Nous avons visité la fameuse "mer de glace".

Nous avons la chance d'avoir un climat frais mais sans pluie et sans neige. Le soleil est souvent présent dans un ciel d'un bleu d'azur. Nous avons loué une appartement chez un particulier. Cette formule a notre préférence. Cette fois-ci nous avons passé la semaine dans un petit hameau au charme désuet. Huit maisons regroupées à l'entrée d'un val. Une petite route sinueuse qui mène au bourg à deux kilomètres. Un petit lac enchanteur aux eaux encore en partie gelées.

Au fond du val il y a un bâtiment de briques. C'est une ancienne tannerie qui a cessé toute activité à la fin des années soixante. La bâtisse n'est pas vraiment en ruine car elle sert de dépôt à quelques exploitants de la région. Elle offre tout de même une apparence d'abandon. Image caractéristique de ces grands bâtiment d'un autre temps. Quelques vitres sont brisées. Quelques fenêtres sont occultées de planches. Des épaves de vieilles voitures terminent de rouiller près de l'entrée principale.

Ce mardi après-midi nous partons du hameau pour prendre le sentier qui tourne sur les flancs du val. Environ deux heures d'une marche agréable que nous avons déjà fait dimanche. Ce sentier passe au-dessus de la vieille bâtisse. La vue est imprenable jusqu'aux Alpes proches. Le ciel est lumineux. L'air est limpide. Il fait beau et presque doux. Aussi, c'est d'un pas alerte que nous arrivons au-dessus de l'ancienne tannerie.

Un sentier descend vers le vieux bâtiment. Christine me propose de tenter la visite. Nous descendons rapidement. Une dizaine de minutes et nous voilà derrière la bâtisse. Nous en faisons le tour. D'une hauteur d'une dizaine de mètres, d'une longueur d'une trentaine de mètres et d'une largeur d'environ dix mètres, la vieille tannerie parait à l'abandon. Plusieurs amas de vieilles planches de bois pourrissent contre les murs. Nous pénétrons dans la place par la porte ouverte.

Sur la droite trois pièces vitrées. Sur une des portes est écrit "Bureau". Sur la gauche, un amoncellement de grosses bottes de paille qui atteignent le plafond. Au fond, un vieux tracteur en partie démonté. Des pelles, des pioches, des balais, une brouette, des échelles et autres outils sont entreposés pêle-mêle. Sur la gauche, au fond, une pièce dont la porte affiche la mention "Toilettes". Christine me propose d'y aller voir. Elle a un besoin naturel. Une échelle mène au-dessus de ce cube. Il y a des caisses posées dessus.

Nous entrons dans le petit espace. Deux cabinets de toilettes sur la droite et un vieux lavabo de faïence jaunie sur la gauche. Tout est affreusement sale. Il y a un vieux calendrier accroché au mur. Un calendrier de 1958. C'est émouvant de voir cette photographie sépia d'un monument parisien entourée des colonnes des mois de juillet et d'août. Une époque révolue. << C'est tellement dégueulasse que j'irais pisser dehors ! >> fait Christine. Je lui montre le trou parfaitement rond dans le mur qui sépare les deux cabinets. Environ six centimètres de diamètre. Je dis : << Un "gloryhole" ! >> << Un quoi ? Tu crois ? >> me demande t-elle en riant.

Soudain, dehors, nous entendons une voiture arriver. Nous restons silencieux. Nous regardons par la petite fenêtre qui sépare les toilettes du hangar. Le moteur s'arrête. Il y eut un claquement de portière. Un homme entre. Il porte une grosse boîte en carton. Sans doute un des utilisateurs du dépôt. Il pose ce carton sur un établi à côté de l'entrée. Il ressort à nouveau. Je propose à Christine de rester là. Moi, je monte au-dessus des toilettes par l'échelle. << Le "gloryhole" ? >> me demande Christine, espiègle. Je murmure : << Bien sûr ! >>.

Arrivé au-dessus du cube des toilettes, je peux voir par plusieurs trous dans le plafond. Je distingue bien l'intérieur des deux cabinets. Christine, prenant une initiative que je n'ai pas envisagé, sort du bâtiment par derrière. Le type revient avec un nouveau carton. Il ouvre celui-ci pour en sortir des rouleaux de feuilles plastifiées. Il s'affaire ainsi lorsque soudain, derrière lui, arrive Christine. << Bonjour. Je peux utiliser vos toilettes s'il vous plaît ? Mon mari est dehors. >> lance Christine. Le type se retourne : << Bonjour. Oui, bien sûr, mais ce n'est plus utilisé depuis des lustres ! >>.

L'homme, la quarantaine, de taille moyenne, un peu enrobé, a l'air plutôt débonnaire. Le ton de sa voix est sympathique. Jovial. De l'index, il montre le cube du fond en disant : << C'est là, au fond, les chasses d'eau ne fonctionnent plus mais il y a des seaux et l'eau coule au robinet ! >>. Christine s'engage franchement vers l'endroit désigné. Elle fait encore : << Merci, ça ira, c'est gentil ! >>. Depuis ma cachette je la vois entrer dans le cabinet du fond. Elle ferme la porte derrière elle à l'aide du loquet.

Je me réjouis pour la suite...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 38 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 37 -



Les toilettes du bâtiment abandonné - (Partie 2) -

Avec de multiples précautions je reste dissimulé derrière le gros conduit de cheminée. Je suis assis sur une planche au-dessus du cube des toilettes. De ma cachette je peux regarder par trois trous de différents diamètres. Je vois en bas, dans les deux cabines WC. Christine entre dans le cabinet du fond. Elle descend son pantalon. Debout au-dessus de la cuvette elle lâche un premier jet. Un jet bref et sonore qui résonne dans tout le hangar.

Ma compagne en lâche plusieurs. Brefs et intenses. Je regarde le type près de la porte d'entrée. Il relève la tête. Il cesse toute activité. Il écoute avec attention. J'observe par un des trous. Christine, tous les sens aux aguets, écoute également entre deux jets. L'inconnu s'approche. Il tend l'oreille. Ces bruits suscitent son plus vif intérêt car il entre dans les toilettes. Je retiens ma respiration. Christine a entendu l'homme entrer. Elle lâche ses quelques dernières réserves. Ces giclées qui se brisent dans l'eau stagnante du fond de la cuvette.

Le type avise la porte du fond. Il essaie d'ouvrir. Elle est fermée de l'intérieur puisque Christine s'y trouve. L'homme entre dans le second cabinet. Se penchant en avant, il regarde par le trou. Comme moi, il peut voir Christine cambrée au-dessus de la cuvette. Prenant tout son temps, elle déplie un mouchoir en papier pour s'essuyer. L'inconnu se redresse. Ouvrant sa braguette, il passe son sexe par le trou.

Christine, toujours si attractive dans ces moments vicelards, regarde avec curiosité ce qui vient de passer par le trou. Ce sexe qui pend dans son espace. Un sexe de petite taille et tout fripé. Je vois le type qui se tient à la paroi de droite. De son autre main il maintient son équilibre contre le mur où il s'appuie. Christine se penche en avant tout en relevant son pantalon. Elle scrute la "chose" avec cette attention que je lui connais bien.

S'accroupissant devant le mur Christine se met à renifler ce tuyau de chair. Parfois elle regarde le plafond pour tenter de voir par quel orifice je l'observe. Elle reste ainsi un moment. Puis elle se met à lécher le sexe de l'inconnu. Avec les doigts elle décalotte le gland. Elle a un mouvement de recul. L'odeur doit être forte. Fermant les yeux, fronçant les sourcils, ma compagne gobe ce sexe toujours mou.

De ma cachette, une fois encore, je peux la regarder. Elle se livre à son goût pour les situations dépravées. Elle savoure. Les yeux fermés. Restant parfaitement immobile Christine est concentrée sur sa fellation étonnante. Comme elle est belle. Cette fois encore, là, se livrant au vice. Pour moi ce spectacle, terriblement excitant est toujours un "cadeau". Christine aime me l'offrir. Elle aime tant être vue...

Je regarde le type. Il se mordille les lèvres. Ses mains sont crispées contre les deux murs. Une position cambrée. Le ventre contre le mur. La posture empêche tous mouvements amples. Il lui faut bouger du bassin avec d'infinies précautions pour ne pas se dégager. Je regarde Christine. Les joues creusées par l'effort, elle suce. Soudain elle pousse un long râle. Le type éjacule probablement. Ma compagne, les mains posées contre le mur à la hauteur de sa tête, déglutit en gémissant. Une fois encore...

Rapidement, se retirant du trou, l'inconnu se précipite pour ouvrir sa porte. Au même moment Christine sort de sa cabine. Elle fait un sourire à l'inconnu. Ce dernier, d'une extrême politesse, lui lance : << Je reviens demain après-midi. Si vous êtes dans les parages, nous pourrions nous revoir avec plus de civilités ! >>. Christine, toujours très pressée de quitter les lieux après ses pipes "sauvages" répond : << Mon mari m'attend. Il faut vraiment que j'y aille. Au revoir monsieur ! >>.

Je descends par l'échelle. Rapidement, je sors par la porte arrière. Je reviens par la porte principale. Christine arrive vers moi suivie du type. Ce dernier me salue. Il paraît soudain terriblement gêné. Ma compagne et moi repartons. Nous laissons l'inconnu à son labeur. Un peu plus haut, sur le sentier du retour, Christine me témoigne de son excitation. Cette situation inédite. Ce trou dans le mur. Le summum de la situation vicelarde. << Je veux refaire ! >> me fait elle...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 39 - Tous droits réservés - © - Episode 38 -



Découverte d'un Glory Hole- (Partie 1)

Nous sommes en 1997. Christine et moi, comme nous aimons à le faire le plus souvent possible, nous partons pour un de nos week-end prolongés. Nous avons jeté notre dévolu sur une région voisine que nous ne connaissons que peu. A environ quatre heures de voiture. Nous avons réservés une chambre d'hôte dans un magnifique gîte de France. Christine l'a découvert dans un catalogue touristique.

Nous arrivons ce jeudi soir vers vingt et une heure. Nous prenons possession d'une chambre spacieuse et lumineuse. Meublée de style rural mais avec un goût certain. Nous rangeons nos affaires et préparons notre lit. Morts de faim, nous partons rapidement à la recherche d'un restaurant des environs. A quelques kilomètres nous trouvons un établissement charmant. Au bord d'un étang.

Le repas est délicieux. Désireux de prendre l'air, nous décidons de faire quelques pas au bord de l'eau. Il fait nuit. La lune éclaire le paysage d'une lumière argentée. Une lueur diffuse donne une apparence irréelle à toute chose. A l'autre bout de l'étang, il y a des cabanons de jardins. Une dizaine de petites constructions anciennes et en bois. Certaines sur pilotis, les pieds dans l'eau.

Christine me prend la main pour m'entraîner sur le ponton. L'eau noire reflète la lune. Quelques animaux nocturnes brisent de temps à autre le silence d'un cri strident. Grenouilles, canards et autres poules d'eau doivent foisonner dans les parages. Sur notre gauche, il y a l'étang, sur notre droite une rangée de cabanons. Plusieurs d'entre eux sont ouverts.

Christine, m'entraînant dans l'une des cabanes ouvertes, m'embrasse longuement. Je caresse ses cheveux. J'aime cette fille comme un fou. Aussi, chacune de ses manifestations de tendresse a le pouvoir de m'émouvoir jusqu'au plus profond de moi-même. Nous sommes dans cet espace à l'odeur forte depuis quelques minutes. Nos yeux s'habituent à l'obscurité. Nous découvrons l'endroit. Ne serait-ce pas une sorte de toilette publique ?

Christine, toujours curieuse de tout, fait rapidement le tour du lieu. Là, dans la cloison qui sépare les deux cabinets de toilettes à "la turque", il y a un trou parfaitement rond. Un orifice d'environ six centimètres de diamètre situé à un mètre du sol. << Regarde, c'est un Glory Hole ! >> me fait Christine. Je ne sais pas encore ce que c'est réellement. Je n'y aurais peut-être même pas prêté attention. Elle me fait mon "éducation". Ma compagne m'expliquant dans le détail ce qui peut se pratiquer là !

Nous nous promettons de venir y faire un tour demain. C'est un vendredi férié. Nous verrons "ça" en plein jour. De préférence en matinée. Après le petit déjeuner. Une fois encore je suis loin de m'attendre à ce que me réserve la fille que j'aime...

Classe

Christine découvre un Gloryhole - (Episode 2)

Nous revenons sur le ponton dès le matin. Il doit être neuf heures. En plein jour les lieux semblent moins sinistres qu'à la nuit. Une dizaine de cabanons sont construits là. Ils doivent servir à des pêcheurs, à des canoteurs ou encore à entreposer du matériel divers. En cette période de l'année l'endroit est désert. Le ciel est gris et couvert. Pas un souffle de vent.

Nous entrons dans le cabanon des toilettes. La propreté des lieux est fort douteuse. Des coulures dégoûtantes le long des murs indiquent un état d'abandon évident. Il y a un lavabo et deux urinoirs à la faïence jaunie. Les deux portes donnant sur les cabinets sont sales. Leur peinture bleue est écaillée de partout. Chacune de ces cabines a une fenêtre donnant sur l'arrière.

Christine a une attirance particulière pour les endroits glauques. Depuis ces quatre ans de vie commune, je sais ses goûts et ses penchants. Elle prend même quelques photographies. Je sais son grand talent dans ce domaine. Au bout d'un petit moment nous ressortons au grand air. << Je connais un autre endroit où il y a un Gloryhole, je t'y emmène un de ces jours ! >> me fait elle en riant.

Nous marchons le long de l'étang. Une voiture vient se garer sur l'autre rive. Christine, me prenant par le bras, m'attire derrière une palissade. Nous observons. Au bout de quelques minutes un homme sort du véhicule. La quarantaine, plutôt mince, il se met à marcher sur la rive. Ma compagne me fait : << Attends, je vais me montrer et l'attirer vers les cabanons ! Vas-y déjà ! >>.

Christine sortant de notre cachette, se met à marcher lentement vers le ponton. Moi, prenant le chemin derrière les bosquets, je me dépêche de me rendre aux cabanons. Là, dissimulé derrière l'un d'entre eux, j'observe ce qui se passe. Ma compagne arrive aux pieds du vieil escalier. Elle en gravit les marches. L'inconnu arrive. Il fait le tour depuis l'autre rive. Il a repéré la jeune fille.

Christine, vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt et chaussée de baskets, présente sa silhouette filiforme habituelle. Ses longs cheveux flottant jusqu'au milieu de son dos achèvent de la rendre attractive. Elle entre dans le cabanon des toilettes. Je passe derrière. Je monte sur une caisse en plastique. Ma compagne me voit. Elle m'ouvre pour me permettre de la rejoindre dans le cabinet du fond.

Nous restons silencieux. Plusieurs minutes se passent. Enfin, nous entendons quelqu'un entrer dans le cabanon. Nul doute que c'est notre inconnu. Je suis certain, en ayant bien scruté les environs, qu'il ne peut y avoir personne d'autre. Christine, descendant son jean, s'accroupit au-dessus du trou. Doucement, pour attirer l'attention du quidam, elle lâche plusieurs petits jets sonores.

Je suis derrière ma compagne. Depuis l'autre cabine, même en collant son œil au trou, il est impossible de me voir. L'inconnu y est certainement entré car nous entendons des bruits. Christine pisse par petits jets entrecoupés de longs instants de silence. Le quidam doit regarder par l'orifice car je voir ma compagne sourire en regardant le trou. Au bout d'un court moment, par ce trou, surgit un sexe masculin.

Classe

Christine découvre un Glory Hole - (Episode 3)

Je retiens mon souffle. Là, en apnée, j'observe tout ce qui se passe. Christine se relève. Elle remonte son pantalon après s'être essuyée. Elle s'accroupit devant la cloison. Son visage à une trentaine de centimètres du sexe qui pend par le trou. Longuement elle scrute la chose. Elle me sourit en mettant sa main sur sa bouche comme pour rire d'une blague.

A plusieurs reprises elle rapproche sa tête pour renifler le truc. Je suis étonné par la longueur de la peau fripée du prépuce. Ce sexe est plutôt fin, au teint mat, d'approximativement dix centimètres. Depuis le coin où je suis je peux sentir l'odeur assez forte. Une fois encore un manque d'hygiène élémentaire se caractérise par une odeur assez répugnante. Une puanteur rappelant un mélange de poisson et de fromage.

Christine me regarde en faisant la grimace. Elle lutte pour ne pas éclater de rire. Elle s'attache les cheveux en catogan. J'admire son courage. Je sais que la situation l'excite considérablement. Son attirance pour les "trucs" glauques s'illustre une fois encore. Pour notre plus grand plaisir. Et surtout le sien. Christine, penchant sa tête sur le côté, prenant appui de ses mains contre le mur, happe le sexe du bout de ses lèvres.

Je me penche pour rapprocher ma tête. Je regarde Christine téter. Alternant les léchages et les sucions. L'extrémité de la peau fripée du prépuce est mouillée. Je ne sais pas si ce sont les prémices du liquide séminal ou la salive de ma compagne. J'observe, halluciné, cette scène surréaliste. Un mélange d'excitation et de dégoût m'habite tout comme ma compagne.

Depuis cinq minutes Christine se livre ainsi à ce prélude. Je sais maintenant la nature du liquide qui dégouline. Une légère coulure s'écoule même déjà sur le mur. Un long filament gluant reste accroché à l'extrémité du prépuce. Christine, la nuque cambrée, par en-dessous, avec sa bouche ouverte, attrape à la fois le liquide visqueux et le sexe. Cette fois elle se met à sucer vraiment.

L'inconnu a enfin un début d'érection. Christine a la moitié de la longueur du sexe dans sa bouche. Ses lèvres l'entourent comme une ventouse. Elle reste ainsi longuement. Immobile. Je peux entendre les gargouillis à l'intérieur de sa bouche. Pour déglutir, elle se retire légèrement, tirant sa tête en arrière. Je distingue des bulles se former aux coins de ses lèvres. Elle en gémit de plaisir. Poussant des << Mmmmmh >> et des << Waaaaaaa >>...

Pour avaler, parfois, il lui faut retirer sa bouche. Je peux voir le "trop-plein" s'écouler. Des épanchements coulent alors au sol dans de longs filaments épais et visqueux. Avant d'y retourner, en gémissant de bonheur, elle me lance un regard follement amoureux. Quelques fois, lorsque je la regarde fournir quelques efforts pour déglutir, elle ouvre ses yeux pour me faire un clin d'œil.

A genoux sur un sachet en plastique tiré de notre petit sac à dos, Christine suce avec un plaisir évident. Parfois, comme pour une plaisanterie, lorsqu'elle se retire quelques instants afin de déglutir, elle me fait des grimaces de dégoût. La situation dure ainsi une bonne vingtaine de minutes. L'inconnu a perdu son érection. Christine pompe avec délice un sexe parfaitement mou et visqueux.

Retirant sa bouche afin de déglutir une nouvelle fois, Christine se saisit du sexe entre son pouce et l'index. Elle le décalotte. Ce qu'il y a là, entre la peau et le gland, est dégueulasse. Un véritable fromage, jaune, gluant, s'étirant en filaments visqueux qui me procure un haut le cœur. J'ai subitement envie de vomir. Sans même évoquer l'odeur immonde.

C'est à ce moment précis que l'inconnu lâche une giclée de pisse jaunâtre qui vient éclabousser le visage de Christine. Cette dernière, après un mouvement réflexe, se rapproche pour lécher l'ignoble purée. Elle en a qui colle autour de sa bouche, aux coins de ses lèvres et sur son menton. Je sais que ma compagne ne recule pas devant les trucs les plus crades, mais là...

Elle a du fromage jusque sur le bout de son nez puisqu'elle renifle entre deux léchages. Lorsqu'elle a parfaitement nettoyé le gland elle s'engouffre le sexe dans la bouche. Elle enfonce le membre dans sa bouche, pompant en gloussant, collant ses lèvres contre les poils abondants du pubis de l'inconnu. Ce dernier a un réflexe. Soudain, Christine se retire prestement. En même temps qu'un jet se brise dans sa bouche encore ouverte.

Je regarde comme hypnotisé par ce spectacle étonnant. Je suis à présent terriblement excité. J'ouvre ma braguette afin d'en sortir ma turgescence. Je me masturbe doucement en contemplant cet invraisemblable fellation. La pipe que fait ma compagne à ce type. C'est comme un film. Un film dont l'actrice est ma merveilleuse compagne. Elle gémit. Parfois, elle pousse des petits cris de ravissements. Les yeux fermés avec une expression de sublime bonheur. Radieuse.

La suite allait me réserver bien d'autres surprises...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 40 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 39 -



Christine découvre un Glory Hole - (Episode 4)

Mon visage à environ trente centimètres de celui de Christine, je la regarde. Je scrute chacune de ses expressions. La peau du visage trempée, les lèvres gluantes, des coulures sur le haut de son pull, tout cela m'impressionne. M'enivre. Je suis terriblement excité par ce spectacle. Je suis aux premières loges et le "film" est fabuleux. Mon "actrice" favorite m'offe un de ses plus beaux "rôles".

Aujourd'hui encore, plus de vingt ans plus tard, ce moment reste tatoué dans chaque neurone de mon cerveau. Là ou est Christine aujourd'hui elle sait que je l'aime encore. Comme un dément. Comme un fou. Elle m'a offert les moments les plus intenses, les plus "glorieux" et les plus inimaginables. Je lui en serais d'une éternelle reconnaissance. Je t'aime...

Je sais que tu es là, que tu me lis, à mes côtés, amusée à la lecture de mes écrits...

Christine, tout en gémissant, suce avec une passion invraisemblable. Les yeux fermés, une expression d'extase sur les traits de son visage, elle pompe comme si sa vie en dépendait. Des bulles apparaissent régulièrement aux commissures de ses lèvres. Des gargouillis résonnent dans l'espace étroit du cabinet. J'entends gémir le type derrière la cloison. C'est fou !

J'ai posé ma main sur la nuque de Christine. Parfois, tout en suçant, elle ouvre les yeux pour me regarder avec amour. De plus en plus souvent elle se retire en toussant. De la morve coule de ses narines. Des larmes coulent de ses yeux. Elle en pleure de plaisir. Partager ce moment, dans une telle intimité, ne peut pas la laisser indifférente. Moi non plus.

Si je n'étais pas dégoûté par toutes les substances de l'inconnu, qui laisse ses épanchements dégouliner de partout, je lécherais toutes les muqueuses de ma compagne. Comme j'aime à le faire dans le débordement des élans inconsidérés de mon amour pour elle. Le type doit sans doute éjaculer. Christine, soudain concentrée, est agitée de légers spasmes.

Je la vois avaler avec peine. Elle tousse, rougie par l'effort. Surmontant son dégoût, se laissant aller à savourer cet instant à chaque fois unique. Christine m'explique souvent les émotions, les sensations et les impressions que lui procurent les pompages d'inconnus. C'est bien plus qu'un fantasme. C'est devenu une nécessité pour nourrir cette facette de sa libido étonnante.

Ma compagne lâche d'invraisemblables râles sonores en déglutissant. Je me redresse. Je n'en peux plus. J'éjacule à mon tour sur son visage. En lâchant un cri, elle s'empare de mon sexe pour le sucer, pour le vider de sa substance. Mon dégoût se mêle à un plaisir inconnu et indicible. Elle retourne vider le sexe de l'inconnu. Elle reste ainsi, allant de l'un à l'autre en gloussant de joie.

Le quidam retire son sexe du trou. Christine, la bouche collée à l'orifice en veut sans doute encore. J'entends la voix du type demander : << Je peux venir ? >>. Ma compagne, me fait signe de filer par la fenêtre. Je suis épuisé. Aussi, c'est avec peine que j'enjambe le rebord pour me retrouver dehors. Je regarde avec une avidité curieuse par l'autre fenêtre.

Christine sort de sa cabine pour se retrouver devant les urinoirs. Le type ferme sa braguette en la remerciant. << Il faut que je file, mon mari attend près de la voiture. Il doit se demander ce que je fais ! >> fait Christine. Je sais qu'elle déteste "l'après". Christine n'a qu'une envie, s'enfuir ! Aussi, en se précipitant au dehors, elle lance encore : << Au revoir et merci ! >>. Elle détale à toute vitesse.

Le type, se précipitant à sa suite, s'écrie : << Reviens demain, s'il te plaît, je serais là, à la même heure, je t'en prie ! >>. Christine, presque en courant, s'éloigne. Je la rejoins près de la voiture. Là, enfin, elle peut se changer, manger un fruit et boire du jus de fruit. Elle porte l'odeur fétide sur elle, jusqu'au retour, jusqu'à la douche.

Pour midi, nous allons manger dans un petit restaurant. Je lui demande, curieux et amusé : << Tu veux y retourner demain matin ? >>. Elle saisit mes deux mains pour les serrer. << Je ne sais pas encore. Mais si tu viens, j'y retourne sûrement ! >>. L'après-midi est consacré à la visite d'un musée. Nous sommes sous le coup d'une fatigue, d'une certaine torpeur jusqu'au couché.

Dans le lit, nous faisons l'amour comme des fous avant de nous endormir d'un profond sommeil. Christine, me fait encore, dans un dernier souffle : << Bonne nuit mon amour. Tu viens avec moi demain matin ? >>

Classe

Christine découvre un Glory Hole - (Episode 5)

Je suis réveillé de la plus agréable des façons. Christine couvre mon visage de bises. Je la serre dans mes bras. Durant le petit déjeuner, ma délicieuse compagne fait preuve de dérision et d'humour. Choses dont elle est coutumière. Nous quittons notre gîte pour huit heures trente. Nous arrivons aux alentours de l'étang pour huit heures quarante cinq. Le ciel, couvert et gris reste bas.

Christine vêtue d'un jean, d'un sweat-shirt, chaussée de ses baskets, marche doucement sur le bord de l'étang. Ses longs cheveux sont attachés en une natte qui pend jusqu'au milieu de son dos. Sa silhouette filiforme, féline, sa haute taille, tout cela participe d'une situation attractive. Ma compagne se dirige doucement vers le ponton. Les bras croisés, regardant autour d'elle.

Je reste discrètement sur le chemin parallèle, derrière les bosquets. J'arrive le premier aux cabanons. Je reste à l'arrière, près de la fenêtre fermée. Depuis ma cachette, je peux voir arriver Christine. Cette dernière, accoudée à la rambarde de l'escalier, regarde venir la voiture qui se gare de l'autre côté de l'étang. L'inconnu est de retour, ponctuel. Il voit la jeune fille.

Christine, certaine d'être vue, entre dans le cabanon des toilettes. Pénétrant dans le cabinet, elle me voit derrière la fenêtre. Elle l'ouvre afin que je puisse entrer. Du petit sac à dos que je porte, je sors un des deux vieux coussins de la voiture. Les genoux de ma compagne sont encore douloureux de la veille. Aussi, nous avons tout prévu. Je le pose au sol, devant le mur, sous le trou. Nous pourrons l'abandonner là.

Je me mets à l'écart, dans le coin. Nous entendons arriver le quidam. Il entre dans son cabinet. Il regarde sans doute par le trou car Christine, accroupie au dessus de la cuvette du sol, sourit en regardant l'orifice. Il ne prononce pas le moindre mot. Presque immédiatement, le sexe de l'inconnu jaillit du trou. Comme hier, il est plutôt mou et pend sur le mur. Par contre, cette fois, aucune odeur épouvantable.

Christine s'approche pour se mettre à genoux sur le coussin, son pantalon descendu. Je m'approche pour ne rien perdre du spectacle qui va suivre. Ma compagne m'embrasse doucement. Puis, comme hier, longuement, elle renifle le sexe de l'inconnu. Enfin, du bout de sa langue, elle se met à lécher la peau du prépuce. Le membre bouge doucement, comme animé de sa vie propre. Une goutte perle pour s'étendre en filament avant de se détacher pour tomber au sol.

Une fois encore, par un mouvement de tête, Christine s'empare de ce sexe avec sa bouche. Se redressant légèrement, elle suce doucement en fixant le pubis poilu de l'inconnu. Cela dure quelques instants, peut-être deux minutes. Ma compagne reste les joues légèrement creusées, parfaitement immobile. Soudain, elle a un mouvement de surprise. Le quidam éjacule...

Surprise, les yeux ouverts, Christine avale cette substance avec étonnement. Cette éjaculation, aussi soudaine qu'inattendue, la surprend autant que moi. Elle me fixe avec un air interrogateur. Je hausse les épaules, aussi étonné qu'elle. C'est là que l'inconnu se met à bouger doucement. Avec un mouvement masturbatoire, dans la bouche de la jeune fille, il avance et recule doucement.

Christine, engouffrant le maximum, colle ses lèvres sur les poils pubiens du quidam. La totalité du sexe dans la bouche. Les yeux fermés, concentrée sur sa succion, elle bouge ses lèvres en rythme. Tentant sans doute d'épouser celui qu'imprime l'inconnu. Christine se retire. Elle me montre l'intérieur de sa bouche. Je découvre le sperme épais, visqueux et gluant qui emplit toute sa bouche.

A plusieurs reprises, Christine tente, avec des mouvements de tête, d'avaler cette substance. Au bout de trois tentatives, elle y parvient enfin. Christine scrute avec attention l'extrémité gluante et dégoulinante du sexe qui pend toujours là, depuis son trou. Le saisissant entre le pouce et l'index de sa main droite, elle le redresse pour se le reprendre en bouche.

Christine se met à sucer fortement, les joues creusées par l'effort. Elle émet ses premiers gémissements. Un air extatique se lit sur les traits de son visage. Je regarde avec ravissement ma compagne entrain de savourer le sexe d'un inconnu. Une fois de plus ! Je passe ma main entre ses cuisses pour toucher son sexe. Christine a un mouvement du bassin en poussant un petit cri.

Son sexe est humide. J'ai l'envie folle d'aller la lécher, ma tête entre ses cuisses. C'est impossible. L'espace confiné ne le permet pas et l'hygiène des lieux ne m'y invite pas vraiment. Je n'ai encore jamais goûté sa cyprine pendant qu'elle pratique une fellation à un autre. Un nouveau fantasme m'envahit à l'instant. Une certaine frustration aussi...

Le visage de Christine, à une vingtaine de centimètres du mien, me permet d'observer toutes ses expressions. C'est absolument divin. Phénoménale. Elle m'avoua par la suite que ce fut son expérience préférée. De me savoir si près, à la scruter, participe de son excitation. Ma compagne a un nouveau mouvement de recul. Elle reste d'une immobilité totale en gloussant de plaisir.

La suite fut toute aussi surprenante...

Classe

Christine découvre un Glory Hole - (Episode 6)

Christine, visiblement sous le coup d'une nouvelle surprise, semble faire face à quelques difficultés. Je la vois tenter de déglutir. Je comprends ce qui se passe. Le jet a cessé. Aussi bref, fulgurant, qu'il a jailli. A présent ma compagne avale de façon plus sereine. Ouvrant les yeux pour me regarder, elle secoue sa main droite comme pour témoigner de ce qui vient d'arriver.

Les doigts de ma main gauche caressent le sexe trempé de ma compagne. Concentrée sur son pompage, Christine gémit longuement. Une fois encore, elle se retire. Tournant la tête dans ma direction, elle me montre l'intérieur de sa bouche. De la substance visqueuse s'étire entre ses dents, son palais et sa langue. Le pouce gauche de sa main levée, comme pour me faire comprendre : << C'est super ! >>.

Christine retourne à son affaire en gloussant de plaisir. Cela fait bien vingt minutes que cette situation perdure. Quelquefois, tout en suçant, elle me regarde, l'air émerveillée, pour me faire un clin d'œil. Des bulles se forment régulièrement aux commissures de ses lèvres. Des coulures s'étalent sur son menton. Il en coule des gouttes qui s'étirent avant de tomber au sol. Gouttes qui coulent parfois dans son cou, absorbées par son sweat-shirt.

Je masturbe ma délicieuse compagne. Doucement. Mon index et mon majeur enfoncés dans sa petite grotte de plaisir. Christine, une nouvelle fois surprise par quelques jets, se tenant au mur, absorbe en tentant de ne pas lâcher le "morceau". Une fois encore je la vois déglutir à toute vitesse, essayant d'avaler chaque lampée sans en perdre la moindre goutte. Au rythme où elles arrivent.

Du liquide s'écoule malgré tout, suintant en gouttes laiteuses et jaunâtres, entre les lèvres de Christine et le sexe de l'inconnu. Depuis quelques minutes ce membre présente une érection. La peau mate, tendue, est luisante de liquide. Les bords du trou sont trempés. Christine est redressée, droite sur ses genoux. Elle pompe comme une folle en émettant des petits cris d'enchantements. Les épanchements les plus divers lui procurent les plus douces émotions.

Mon cœur bat la chamade. Je suis excité comme un fou. Christine se saisit de ma main pour la guider sur son sexe. Elle est cambrée contre le mur, gloussant de plaisir. Une flaque, au sol, commence à être absorbée par le tissus du coussin. Soudain, sans doute sous l'effet d'un nouveau jet, plus long que les précédents, ma compagne se retire pour reprendre son souffle.

Ma compagne se retrouve douchée d'un jet doré qui lui mouille les cheveux et le visage. Elle a un orgasme. Je peux le sentir sur ma main. Ma dextre entre ses cuisses et les spasmes de son bassin ne laissent aucun doute. Poussant comme un cri d'écœurement elle se précipite sur le sexe pour le sucer avec une puissance décuplée. Son visage trempé est déformé par l'effort. Elle pousse des petits cris. Le type éjacule sans doute une nouvelle fois. Je regarde les joues creusées de ma compagne. C'est extraordinaire.

Christine, immobile de longues minutes, déglutit ce qui semble ne jamais tarir. Enfin le type, son sexe sans doute congestionné par tant de jouissance, le retire. Elle tente de le rattraper en collant son visage contre le trou. Le type lui lâche un dernier jet car Christine a un nouveau mouvement de recul. Tournant la tête vers moi, elle me regarde comme une bienheureuse. De la pisse coulant de sa bouche.

Lorsqu'elle ouvre sa bouche, une fois encore j'y vois du sperme baignant dans un liquide bulleux et jaunâtre. Cette vision n'est pas sans évoquer un urinoir dans lequel un homme se serait masturbé. Fermant la bouche, remuant longuement la substance dans sa bouche, elle avale enfin dans un râle de plaisir. Elle secoue plusieurs fois la tête en me souriant. Je reste silencieux. Admiratif...

Christine se lève. Elle relève son pantalon sur lequel il y a nombre de taches. Le haut de son sweat-shirt est trempé d'une auréole jusque sur ses petits seins. Son visage et ses cheveux, jusqu'aux oreilles, dégoulinent. La voix du type résonne soudain : << On fait connaissance ? Tu viens prendre un café ? >>. Je sais qu'après une pipe avec un inconnu Christine n'a qu'une seule envie, se sauver en courant.

Le type l'attend à la sortie du cabinet, devant le lavabo. Je sors. Je me tiens derrière la fenêtre prêt à intervenir au besoin. Christine décline l'offre. L'inconnu insiste encore pour se voir opposer un nouveau refus. Christine, à toute vitesse, sortant du cabanon, dévale les escaliers. Le type lui fait encore : << Tu reviens demain matin ? >>. La jeune fille, marchant vite, sans même se retourner, répond : << Non ! >>.

Je file en courant derrière les bosquets pour être à la voiture avant Christine. Là, ma compagne se change. Avec des mouchoirs en papier elle sèche tant bien que mal ses cheveux. Elle n'a plus qu'une envie, prendre une douche. Nous démarrons précipitamment car dans le rétroviseur, je vois arriver l'individu. Le quidam, étonné de me voir, reste les mains sur les hanches à regarder partir la voiture...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 41 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 40 -



Christine découvre un Glory Hole - (Episode 7)

C'est notre dernier jour de ce week-end prolongé. Ce dimanche est plutôt gris et sous un climat morose. Nous avons mis à profit ces trois jours pour visiter des musées et quelques hauts lieux. Nous avons décidé de prendre la route du retour en début de soirée. Il nous reste encore toute cette journée pour nous offrir du bon temps. A midi, nous allons manger dans un petit restaurant typique.

Tout en mangeant, nous évoquons ce court séjour en nous promettant d'y revenir pour un séjour plus long. Christine évoque sa découverte en riant. Ce Gloryhole lui laisse un souvenir particulier. Ma compagne me parle d'un endroit similaire, à une dizaine de kilomètres de chez nous. Dans les toilettes désaffectées d'une usine abandonnée dont certains locaux servent encore de dépôts.

Je lui demande de me raconter dans le détail comment elle a découvert ce lieu. Si elle y a déjà connu quelques émotions. Christine me répond par la négative mais m'avoue que plus jeune, elle adorait aller "explorer" et découvrir. De préférence dans des lieux peu fréquentés. Ma compagne m'avoue s'y arrêter quelques rares fois en revenant de cours. Elle me propose de me le faire découvrir. Elle y a souvent traîné durant son adolescence.

Cette conversation aiguise nos curiosités et réveille une certaine excitation. Christine me raconte les émotions vécues ces deux derniers jours. Pratiquer des fellations sur des inconnus est devenu une sorte d'addiction. C'est pour elle à la fois terriblement excitant et terriblement dégoûtant. Ce sont ces deux sentiments, intimement liés, qui provoquent cet irrépressible désir de le faire. De plus, ma complicité et ma proximité, permettent les plus audacieuses aventures. Elle m'en remercie une fois encore.

Nous en arrivons tout naturellement à évoquer le Gloryhole de l'étang. << Et si nous allions y faire un tour cet après-midi ? >> me fait elle en riant. Je la regarde. Ses yeux pétillants de malice, espiègle, elle rajoute encore : << On prend le second vieux coussin de la voiture ! >>. Je la regarde longuement. Elle me fait remarquer les deux boutons autour de sa bouche et rajoute : << Jamais deux sans trois et jamais sans toi ! >>.

Après le repas, nous nous promenons dans le bourg. Vers quinze heures, Christine soudain impatiente, me propose de prendre la voiture pour nous rendre à l'étang. Nous y sommes pour seize heures. Je gare la voiture au même endroit. Le lieu est moins désert que les deux jours précédents. Il y a une famille qui se promène. Deux pêcheurs assis au bord de l'eau. Un gros type range du bois en stères près du ponton.

Christine, vêtue d'une jupe, d'un pull, chaussée de bottes, ses cheveux en libertés, me propose de me dissimuler. Au cas où... Je passe donc derrière les bosquets pour venir à l'arrière du cabanon. De ma cachette, je peux observer les alentours. Ma compagne, marchant lentement sur le sentier, les bras croisés, s'avance vers le ponton. Le gros type la salue. Il engage la conversation avec elle. Christine et lui bavardent une bonne dizaine de minutes. De l'endroit où je me trouve je ne peux rien entendre.

Je vois le gros type montrer le cabanon des toilettes de son doigt. Christine montre elle aussi la même direction. Secouant la tête, sans doute pour remercier l'homme, ma compagne arrive au bas de l'escalier. La main droite entre ses cuisses, se touchant au travers du tissus de sa jupe, elle lance encore quelques mots à l'inconnu. Celui-ci, comme consterné, regarde la jeune fille monter les marches et entrer dans les toilettes.

Christine m'ouvre la fenêtre. J'entre dans l'étroit cabinet. Du sac à dos, je tire le vieux coussin. L'autre, encore trempé, abandonné là, est dans un coin. Je pose le neuf au sol. Christine me fait : << Attends-moi, je vais voir, je reviens de suite ! >>. Par la porte entre baillée, je vois Christine guetter à la porte du cabanon. Elle reste ainsi quelques minutes. Soudain, rapidement, elle vient me rejoindre en disant : << Il vient ! >>.

S'accroupissant au-dessus de la fosse des toilettes, les cuisses écartées dans la direction du trou dans le mur, elle se met à lâcher des petits jets brefs et puissants. C'est une façon imparable que ma compagne utilise souvent pour attirer l'attention. Elle a acquis une certaine maîtrise dans cet "art". Nous entendons le type essayer d'ouvrir la porte.

Il entre dans le cabinet voisin. L'inconnu doit parfaitement connaître l'existence du trou dans le mur. << Alors, ça se passe bien ? >> demande t-il d'un ton moqueur. Sa voix provient de l'orifice. Christine, fixant le mur, souriante, répond : << C'est parfait, merci ! >>. Devant tant d'aplomb le type reste silencieux. Une minute peut-être. Soudain son sexe apparaît par le trou...

Classe

Christine découvre un Glory Hole - (Suite et faim)

J'observe la réaction de Christine à l'apparition de cette nouvelle "surprise". Elle me sourit. Elle me fait un clin d'œil avant de se mettre à genoux sur le coussin. Ma compagne renifle en faisant la grimace. Elle me montre les coulures le long du mur. L'odeur forte rajoute encore à ce côté glauque qui l'attire tant. Surtout dans ce genre de situation. Au point qu'elle aime fréquenter ces lieux avec une excitation rare depuis l'adolescence.

Je suis accroupi dans le coin. Christine, avant de se lancer dans sa nouvelle "expérience", m'embrasse rapidement. Puis, rapprochant son visage, me regardant avec malice, elle se pince le nez entre le pouce et l'index de sa main droite. De sa main gauche, qu'elle secoue quelques instants, elle s'appuie contre le mur. Elle observe avec attention cette "chose".

Le sexe de l'inconnu présente une érection qui le dresse vers le haut. Veineuse, la turgescence est tendue et violacée. Le prépuce, légèrement tiré, laisse entrevoir le méat. Le bout du gland. Il doit mesurer une douzaine de centimètres et doit être épais de trois. D'une laideur affligeante, pâle et sans attrait, moche, cette virilité bouge au rythme que lui imprime son propriétaire.

Christine, saisissant le sexe entre le pouce et l'index, le dirige vers le bas. Elle se met à le lécher longuement. A ce moment la voix du type résonne derrière la cloison. << Alors, c'est bon ? >> demande l'inconnu. Vulgaire. Christine se garde de répondre et engouffre le membre dans sa bouche. Je l'observe attentivement. Elle savoure la chose avec bonheur. Je peux voir sa langue tourner autour de l'extrémité.

Au bout d'un petit moment, je vois que les joues de ma compagne commencent à se creuser. Le pompage s'amorce. Christine, la tête parfaitement immobile, concentrée, les yeux fermés, suce consciencieusement. Je n'entends rien. Ce n'est qu'après une dizaine de minutes que les premiers gargouillis se font entendre. Christine se retire brusquement en toussant. Un filament visqueux et épais lui pend de la bouche. Il vient se coller pâteusement sur son menton.

Christine après quelques hésitations, déglutissant avec peine, retourne à son pompage. Je peux alors percevoir les premiers gargouillis. En même temps que les premiers gémissements. Encore une fois Christine se retire en toussotant. Après avoir avalé à plusieurs reprises, en me faisant d'horribles grimaces, elle retourne sucer en poussant des petits gémissements de dégoût.

Je peux voir les hauts le cœur qui agitent Christine. Plusieurs spasmes. Je peux lire sur ses traits une intense sensation de dégoût. Elle se retire une nouvelle fois en toussant. Je vois s'écouler de l'extrémité du sexe un liquide séminal laiteux. Il semble très épais et gluant. Curieusement, cela ne semble pas cesser. Ma compagne y retourne pour ne pas en perdre la moindre goutte. Dégoûtée sans doute mais excitée sûrement...

Christine a plusieurs râles de dégoût. Le type doit éjaculer car je la regarde déglutir avec des efforts considérables. Des hauts le cœur la secouent de spasmes. Elle pousse de nombreux gémissements ponctués de petits miaulements. Elle se retire, l'air révulsé. C'est la première fois que je peux découvrir tant d'écœurement sur son visage. Le sexe de l'inconnu pend sur la cloison. Sec.

Christine, s'essuyant les lèvres, me montre l'intérieur de sa bouche. Le sperme est si visqueux qu'elle n'a pu tout avaler. C'est en se levant que ma compagne tente de terminer de déglutir. Elle me fait plusieurs grimaces d'écœurement. Le sexe du type a disparu. La poignée de la porte s'agite fortement : << Ouvre, je veux te voir ! Tu veux baiser ? >> fait la voix puissante de l'inconnu.

Sans demander notre reste, enjambant le montant de la fenêtre, nous nous sauvons. De retour à la voiture, Christine me raconte son "aventure". Jamais elle n'a eut affaire à un sperme aussi épais, au goût aussi amer. Même le liquide séminal, d'habitude plutôt salé, dont elle aime à se régaler, lui paraissait fade. Le goût d'une amande amer prétend t-elle avec une moue de dégoût.

<< Je ne veux plus faire ça à un inconnu avant les vacances ! Quelle horreur ce coup-ci ! Ahhhhh c'était dégueulasse ! >> s'écrie t-elle pendant que nous arrivons sur la petite route. Je roule doucement. << Vraiment épouvantable ! A gerber ! >> rajoute Christine en tirant une barre chocolatée du vide-poche. Elle me montre l'intérieur de sa bouche encore gluante. C'est vrai que ça doit être assez particulier.

Nous arrivons à la maison pour vingt trois heures. Quelques jours plus tard Christine évoque cette expérience spéciale comme étant, malgré tout, un souvenir épique. << A refaire ! >> me fait elle quatre jours plus tard. En éclatant de rire. Les prochaines vacances arrivent dans un mois et demi...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 42 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 41 -



Christine me suce devant sa collègue - (Partie 1) -

Christine a une collègue qui vient quelques fois manger à la maison. Clarisse est une jeune fille très sympathique. Cela fait deux ans que Christine vante ses mérites en tant que professeur. Toujours disponible. Toujours pleine d'initiative. Avec de sérieux talents de pédagogue. Lorsqu'elle vient à la maison c'est la plupart du temps pour travailler avec ma compagne. Souvent, pendant ce temps, je prépare un délicieux repas.

Ce vendredi soir de mai 1997, Clarisse est venue à la maison vers dix sept heures trente. Christine et elle sont arrivées ensembles. Pour la fête de fin d'année scolaire les deux filles réalisent un projet commun. Nous sommes donc tous les trois à travailler dans l'atelier. Clarisse est une jeune fille plutôt simple. Du même âge que ma compagne. Elle porte ses vingt sept ans avec un certain bonheur. Filiforme, le plus souvent vêtue d'un jeans, d'un sweat-shirt, Clarisse a presque toujours ses longs cheveux châtains attachés en catogan. Dune beauté discrète et réservée.

Sur la table de l'atelier les filles ont déroulé de grandes feuilles de papier coloré. Elles découpent tout en parlant de leur projet. Moi, concentré sur ma toile, je peins sans trop faire attention aux chuchotements derrière moi. De temps en temps, Christine vient me déposer une bise ou me glisser un mot à l'oreille. Comme souvent elle me touche le sexe au travers le tissus de ma blouse, de mon pantalon. Puis elle retourne à son occupation.

Tout en peignant je propose à Clarisse de partager notre repas du soir. Elle accepte avec ravissement. Elle connait mes talents de cuisinier. C'est nous qui lui avons fait découvrir les recettes à tendances végétariennes et les aliments biologiques. Il est dix neuf heures quinze. Je cesse mon travail. Je file à la cuisine en proposant de prendre le repas pour vingt heures. Je me réjouis toujours avant de m'atteler à cette activité culinaire. C'est un tel plaisir.

Ce soir je prépare des pommes de terre farcies au millet. Je prends donc trois grosses pommes de terre que j'évide avec soin. Je fais bouillir quatre volumes d'eau pour y rajouter un volume de millet, un oignon et de l'ail finement émincés. Du basilic, du persil et de la ciboulette finement hachés. Le millet gonfle rapidement. Une fois cuit, je le verse dans un saladier afin d'y mélanger un œuf, un demi verre de lait de soja et du parmesan râpé. Je rajoute du poivre noir et du sel de Guérande gris.

Christine arrive sur la pointe des pieds sans que je l'entende. Derrière moi, pendant que je remplis les patates, elle m'attrape par le sexe. Elle m'ouvre le pantalon afin d'en extraire notre "jouet". Elle se met à me masturber doucement en regardant ce que je suis entrain de préparer. Elle connait bien ma recette. Plutôt pressée de passer à table. Je place le "couvercle" sur les pommes de terre et je les dispose dans un plat en terre cuite. Soudain, dans l'encadrement de la porte de la cuisine, Clarisse. En nous voyant elle devient toute rouge et s'en trouve considérablement gênée. Je range mon sexe en toussotant. Christine entraîne Clarisse vers l'atelier.

Autour des pommes de terre, je dispose de fines rondelles de tomates, de la ciboulette, du persil, une échalote et une gousse d'ail finement hachés. Je saupoudre de gruyère râpé. Je mets le tout au four pour une cuisson de vingt cinq minutes. A 250°. Pendant ce temps, je prépare la salade d'endives. Christine revient me voir. Seule. Elle me fait un clin d'œil en me précisant que ce qu'a vu Clarisse l'a beaucoup amusé. Curieusement, dans l'instant, une grande feuille et des ciseaux dans les mains, Clarisse vient nous rejoindre à la cuisine. Elle me regarde avec un curieux regard par en-dessous. Elle affiche un sourire évocateur.

Les deux filles s'en retournent terminer leur ouvrage. Dans l'assaisonnement, huile d'olive et moutarde à l'ancienne, je dispose une fine gousse d'ail, un tout petit oignon saucier finement coupés. Quelques olives noires à "la grecque" que je dénoyaute. J'y rajoute les endives tranchées. Je remue et je saupoudre de levure diététique en paillettes. Une pincée de sel. Je prépare la table. Je débouche une de ces bouteilles d'un délicieux jus de mangue de la Biocoop. Je vais chercher les filles...

Le repas est apprécié à sa juste valeur. Clarisse, avec cette curieuse attitude qu'elle garde durant tout le repas, me félicite chaleureusement. Christine, espiègle et facétieuse, précise que son dessert préféré sera pris au salon. Que dans cette attente elle se contente d'une coupe glacée. Je ne capte pas immédiatement le sous-entendu. Elle aime préparer les desserts. Ma compagne prépare trois coupes emplies de grosses boules de glace. Vanille, pistache et pralin. Tout le temps que nous restons encore à table, fusent des plaisanteries sur la glace à "deux boules". Plaisanteries fines mais jamais lourdes.

Après le repas nous nous installons au salon afin d'y prendre un bon café. Là, sur le canapé, effrontément, Christine me met la main au "paquet". Clarisse m'observe en riant. Ma compagne m'ouvre la braguette. Je suis assez mal à l'aise. D'être assis là, le sexe dressé, devant une autre personne que je ne connais que très peu. Je sais que Christine raconte certaines de nos "aventures" à Clarisse. Elle me l'a déjà dit mais je n'y ai jamais vraiment prêté attention. Là, j'en prends toute la mesure. Les deux filles ont fait leurs études ensemble. A présent dans le même lycée, elles sont restées complices.

Christine agite mon sexe en le tenant par la base. Clarisse sourit en observant la scène avec une attention étonnante. Christine, s'allongeant sur le côté, pose sa tête sur ma cuisse. << La glace à "deux boules" ? >> fait Clarisse avec une espièglerie que je ne lui connais pas. Christine fouille dans mon pantalon pour en sortir "les boules". Tout cela me procure un mélange de gêne et d'excitation. Je n'en mène pas large. Malgré la douceur de ce mois de mai je suis agité de frissons.

Christine se met à me sucer. Clarisse s'installe confortablement dans son fauteuil. Le bras relevé et le menton posé sur sa main fermée elle me fixe comme elle ne l'a jamais fait. Je soutiens son regard. C'est à la limite du supportable car terriblement excitant. Christine, se relevant régulièrement, commente ce qui se passe. Clarisse éclate de rire. Dès que ma compagne reprend sa fellation, Clarisse et moi nous recommençons à nous fixer. C'est divin...

Les choses perdurent ainsi depuis un bon moment. Clarisse a passé sa main gauche entre ses cuisses croisées. Elle reste toutefois sans bouger. Je lui fais un clin d'œil. Elle me fait un sourire terriblement évocateur. Je prends les cheveux de Christine. J'imprime à sa tête un mouvement de va et vient. Je fixe Clarisse qui baisse souvent les yeux, comme gênée. Christine adore être "guidée". Elle se met à gémir. Je suis très excité. Ma production de liquide séminal oblige ma compagne à de fréquentes déglutitions. Clarisse observe comme hallucinée.

Au bout d'une bonne demi heure j'éjacule comme un bienheureux. Clarisse, à ce moment précis, en observant les très discrètes secousses de mon bassin, comprend ce qui se passe. Deux spasmes qui agitent son corps. Elle a beau essayer de le dissimuler, j'ai vu. Elle ouvre la bouche comme pour reprendre sa respiration. Je lui fais un nouveau clin d'œil. Surprise. Elle fait pareil. Christine repart pour le second tour. Je la prends par les cheveux pour la redresser. Je précise que nous avons une invitée. Qu'il faudrait peut-être s'en occuper...

Il est vingt deux heures. Clarisse propose de nous laisser. Elle se lève pour se saisir de son sac à main. Christine se redresse complètement. Nous raccompagnons Clarisse jusqu'à sa voiture. Elle revient demain après-midi, samedi, pour terminer les travaux de préparation. La fête du lycée. Je propose le repas du soir en commun. Ce qui est accepté avec un apparent plaisir prometteur. Nous regardons la voiture disparaître dans la nuit. Christine se met contre moi pour me dire : << Comme c'était bon, mhhhh ! >>.

Une fois dans la salle de bain, Christine et moi, nous procédons à nos toilettes du soir. Elle me fait : << Demain je te suce devant Clarisse une nouvelle fois ! Elle n'a jamais fait "ça". Je sais que cela la trouble agréablement. Tu veux ? >>. Je regarde ma coquine avec amour en lui disant : << Ce que femme veut, Dieu le veut ! >>. Christine éclate de rire avant de répondre : << Laissons cet individu en dehors de nos belles histoires ! >>...

Classe

Christine me suce devant sa collègue - (Partie 2) -

Il est quatorze heures. Deux coups de sonnette. Je suis assis au bureau entrain de faire un peu d'administratif. J'entends Christine dévaler l'escalier. Elle est à l'étage. Je reconnais la voix de Clarisse. Christine la fait entrer. Les deux filles viennent me rejoindre. Désireux de fermer la dernière enveloppe de mes courriers prêts à l'expédition, je néglige quelque peu les civilités d'usages.

Je me lève pour saluer Clarisse. Elle a un sourire radieux. Je me propose de préparer le thé, les petits gâteaux. Qu'elles prennent place au salon. Avant d'aller tous les trois dans l'atelier. Les filles s'assoient sur le canapé. Je vais à la cuisine. Tout en préparant les ustensiles, je peux les entendre évoquer leurs découpages et leurs collages. La fête de fin d'année scolaire aura lieu d'ici trois semaines.

Je reviens au salon en portant un large plateau. Je le dépose sur la petite table basse. Les tasses, les cuillères, le sucre, la théière fumante, les petits gâteaux. De délicieuses petites crêpes sèches roulées en "cigare". Un pot de miel crémeux. Je prends place dans le fauteuil en feuilletant le dernier "Géo". Les filles, tout en se servant, bavardent à propos de la fête du lycée.

Il est entendu que Clarisse reste avec nous pour la soirée. Je me réjouis donc déjà à l'idée de préparer un bon repas. Il est quinze heures. Nous quittons le salon pour l'atelier. Je m'assois devant mon chevalet. Je prépare ma palette. Christine et Clarisse reprennent leurs activités de découpages et de collages. L'ambiance de l'atelier est caractéristique de ces endroits particuliers. Lieux propices à la méditation, aux bruits feutrés, aux voix basses et à la création.

Nous travaillons ainsi jusqu'à dix neuf heures. Je laisse les filles. Je vais à la cuisine. Une nouvelle création m'attend là. Pour le repas de vingt heures je prépare un gratin de courgettes farcies. Du millet doré. Avec pulpe de tomates, poivron rouge. Une salade "frisée". Les abstractions que procurent les préparations culinaires me ravissent toujours au plus haut point. Presque autant que la peinture.

Je mets la table pour vingt heures. Les délicieuses effluves du gratin flottent dans la cuisine. Je vais chercher les filles dans l'atelier. Christine est à genoux, des ciseaux à la main. Clarisse tend une grande feuille maintenue sur l'un de ses bords par du papier adhésif. Ça bosse. J'apporte dans l'atelier un peu des odeurs de cuisine. Elles se redressent ensemble pour se précipiter à ma suite. Elles ont faim les bougresses !

Nous nous régalons. Je suis un "Cordon Bleu". Les convives ne sont donc jamais déçus. De plus, nos invités découvrent toujours les saveurs variées de la cuisine macrobiotique. En dessert, les coupes glacées habituelles. Pralin, pistache et vanille restent nos parfums de prédilection. Nullement biologiques mais délicieuses quand même. Ces glaces d'une marque Hollandaise ravissent le palais et fondent dans la bouche d'une façon unique...

Les filles ont prévu de ranger leurs affaires afin de passer une soirée tranquille. Elles filent donc à l'atelier pendant que je fais la vaisselle. Je viens les rejoindre au salon avec le café. Une fois encore, vautrés dans les profondeurs du canapé et du fauteuil, nous devisons de tout et de rien. Christine, assise à mes côtés, commence à me toucher la braguette. Clarisse me fait un de ses sourires évocateurs. Elle recommence à me fixer avec insistance.

Me voilà avec la braguette ouverte et ma turgescence fièrement dressée vers le plafond. Christine me masse la turbe doucement tout en bavardant. Clarisse évoque les vacances dans sa famille à Sarlat. Le Périgord noir. Tout cela comme si rien de "troublant" ne se passait réellement. J'ai une érection démentielle. Je me mêle à la conversation. Je connais très bien cette région magnifique. Clarisse, tout en dégustant son café, me regarde par "en-dessous". Avec cette insistance qui achève de me troubler.

A présent Christine est penchée sur le côté. Tenant mon sexe à sa base, elle l'agite dans la direction de Clarisse. Cette dernière observe avec attention. Elle éclate de rire plusieurs fois. Au bout de quelques minutes de ce jeu sex-traordinaire, ma compagne se met à me sucer. Clarisse recommence à me fixer. De "torride" l'ambiance devient vicieuse. J'apprécie l'indicible caresse. Encore davantage sous le regard de la voyeuse. Je lui fais un clin d'œil. Cela la trouble sans doute car Clarisse baisse subitement les yeux.

Plusieurs fois, pour s'accorder des pauses, Christine se redresse. Elle commente alors ce qui se passe. Clarisse, une mèche de ses cheveux dans les mains, écoute en riant. Elle pose même quelques questions précises. Lorsque ma compagne reprend son occupation, je demande à Clarisse : << Tu as déjà fait "ça" ? >>. Elle secoue la tête par la négative. Elle me rappelle que cela fait presque trois ans qu'elle est seule. Depuis ses vingt quatre ans...

Les longs moments de silence sont emplis de gémissements, de gargouillis, de chuintements, de bruits de succions. Clarisse a parfois un frisson délicat. Ses jambes croisées, une de ses mains entre les cuisses, elle observe. Nous nous fixons. A présent, à chacun de mes clins d'œil, elle répond par un des siens. Au bout d'une heure de cette activité, j'ai ma première éjaculation. Mes trois saccades habituelles suivies de la "coulée" que déglutit Christine avec avidité.

Je devine deux légers mouvements du bassin de Clarisse. Je peux me faire une idée très exacte de ce qu'elle est entrain de vivre. De ce qui est entrain de se passer. Par moment je la vois reprendre sa respiration après des apnées régulières et fréquentes. Tout ce qui se passe là, sous ses yeux, ne la laisse pas indifférente. Christine revient poser sa tête sur ma cuisse. Comme elle adore le faire, elle s'apprête à partir pour son "second tour".

Ma compagne recommence à me sucer. Je recommence à scruter le regard de Clarisse. Les échanges de clins d'œil sont fréquents. Avec ma langue je fais de rapides bosses à l'intérieur de mes joues. Elle comprend parfaitement ce que cela sous-entend. Au bout d'un moment, elle fait de même avec la sienne. Clarisse me fait des sourires extraordinairement évocateurs. Pas de doute possible. Elle ne rechignerait pas à prendre la place de Christine.

Cette situation me fait exploser de plaisir une seconde fois. Christine me vide complètement. Avec insistance et gourmandise. Ma compagne aime être "vue". Et la fellation, sous les yeux d'un tiers, femme ou homme, lui procure toujours des sensations qu'elle m'avoue "paradisiaques". Lorsqu'elle se redresse enfin pour de bon, je reste volontairement avec le sexe à l'air. Je le laisse pendre ainsi pour le restant de la soirée. Clarisse en semble ravie. Christine me regarde parfois avec un curieux regard.

Vers vingt trois heures, Clarisse prend congé. Il lui faut se lever de bonne heure demain matin. Ce dimanche elle participe au concours hippique du Bourg voisin. Rendez-vous est pris pour nous retrouver mercredi après-midi. Christine, Clarisse et moi dans l'atelier. Après le départ de Clarisse, Christine me demande : << Tu es partant pour entraîner Clarisse à la découverte de la pipe ? >>. Je m'empresse de répondre : << Avec plaisir, tu penses bien ! Un dépucelage de bouche ! Un vrai bonheur ! >>.

Christine se propose de "préparer" le terrain. Je lui fais part de ma certitude. Il n'y aura probablement pas de "préparation" à faire...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 43 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 42 -



La fellation de la "collègue" - (Partie 1) -

Il est treize heures. Christine et moi, nous sommes entrain de terminer la vaisselle. Ce mercredi, à quatorze heures, Clarisse, la collègue de ma compagne doit venir à la maison. Le mercredi après-midi, les professeurs de première et de terminale peuvent s'adonner à la préparation de leurs cours. Aux corrections et autres activités inhérentes à leur travail d'enseignants.

Christine enseigne dans le même lycée que Clarisse. Elles se sont connues en faculté et se connaissent depuis trois ans. Assez proches, sans êtres de véritables amies, les deux filles s'entendent plutôt bien. Elles partagent quelques goûts communs pour un travail de qualité et bien fait. Clarisse vient cet après-midi afin de terminer les préparations en vue de la fête de fin d'année scolaire du lycée.

Quatorze heures. Trois coups de sonnette. Christine va ouvrir. Je suis entrain de travailler à la peinture d'une nouvelle toile. Je suis assis devant mon chevalet. Christine et Clarisse entrent dans l'atelier. Je me lève pour faire la bise à la jeune fille. Je me lève surtout pour éviter que Clarisse ne puisse regarder mon travail. A part ma compagne, personne n'est autorisé à regarder une de mes toiles durant son élaboration.

Les deux filles se mettent à la table de travail pour reprendre leurs découpages, leurs collages et leurs préparations. Lorsque je peins, je pense à toutes sortes de choses mais jamais à ce que je suis entrain de faire. Ma main est "guidée" et les choses se font toutes seules. Aussi, d'une oreille distraite, j'entends les échanges des deux enseignantes. Elles semblent très satisfaites de l'avancement de leurs travaux.

L'après-midi passe ainsi, dans le labeur. Chacun occupé à son ouvrage. Pour dix sept heures, c'est le rituel du thé. Et, de par mes atavismes écossais, lorsque je suis à la maison, dix sept heures c'est l'heure du thé. J'invite donc Clarisse à participer à notre rituel. Cela dure en général une dizaine de minutes. Une légère collation qui dure cette fois-ci un peu plus longtemps à cause de nos bavardages.

Nous reprenons nos travaux jusqu'aux environs de dix neuf heures. Je nettoie ma palette. Je recouvre ma toile d'un draps. Je propose aux filles d'aller préparer le repas du soir. Clarisse reste pour la soirée que nous passerons tous les trois ensembles. Je prépare un délicieux gratin de courgettes farcies au pâté de lentilles. Accompagné de coquillettes complètes saupoudrées de parmesan. La salade. Une délicieuse laitue du jardin.

Pour vingt heures je vais chercher les filles dans l'atelier. Elles ont quasiment terminé le petit village en carton. Des petites maisons disposées autour de la mairie, de l'école et de la chapelle. Du bel ouvrage. Il reste à peindre l'ensemble. Ce qui sera réalisé samedi après-midi. Les élèves apportent les personnages de leur choix lors de la fête d'ici quinze jours. C'est une fête à thèmes.

Nous passons à table. Durant tout le repas Clarisse m'observe par en dessous avec un regard insistant. Elle doit penser à ce qu'elle nous a vu faire. En effet, la jeune fille a les mêmes regards lourds de sens. Christine observe discrètement ce manège. Parfois elle me fait un clin d'œil complice. Des sourires entendus. C'est un peu comme si étions déjà tous les trois dans une complicité évidente.

Après le repas nous passons au salon. Clarisse s'installe dans le profond fauteuil. Christine et moi nous nous installons dans le canapé. Sur la petite table basse fument nos cafés dans les petites tasses de grès. Ma compagne pose sa main sur le haut de ma cuisse, tout près de la braguette. Clarisse, comme les autres fois, observe avec insistance. Christine ouvre ma braguette. Elle a ce bon mot qui détend l'atmosphère : << Il est temps de faire prendre l'air à notre animal de compagnie ! >>.

Je me retrouve avec le sexe à l'air. Nous sommes entrain de rire du cabotinage de Christine. Ma compagne, se mettant à genoux sur le canapé, se glisse derrière moi. Elle se met à me masturber. Avec une certaine énergie. Chose qui ne lui est pas du tout coutumière. Clarisse observe avec une attention silencieuse. Je suis à la fois très gêné, très excité. Christine, cessant son mouvement, saisissant mon sexe à sa base, le secoue en direction de notre invitée. << Une première tentative ? >> fait elle à l'attention de Clarisse.

Clarisse, dans le fond de son fauteuil, nous regarde alternativement. Concentrée et attentive. Il y un long silence. Christine s'installe à mes côtés. Elle se met à me sucer. Clarisse me fixe avec cette insistance excitante. Christine, se redressant, de son index, fait signe à Clarisse de nous rejoindre. Cette dernière se lève pour venir s'asseoir aux côtés de ma compagne.

Christine se lève et invite Clarisse à prendre sa place. Cette dernière, après une légère hésitation, vient s'asseoir près de moi. Christine se met à genoux entre mes jambes sur l'épais tapis. Elle reprend sa fellation. A présent, Clarisse tout près de moi, me fixe par en dessous d'une façon terriblement vicieuse. Je peux l'entendre respirer fortement entre plusieurs apnées. La jeune fille est excitée. Rapidement, dans cette situation, les cous font mal et les nuques deviennent douloureuses.

Christine se redresse. Elle secoue une fois encore mon sexe sous les yeux de Clarisse. << Viens, elle est prête ! >> fait elle. Clarisse se penche. Elle prend appui sur son coude. Elle reste ainsi. Son visage à une dizaine de centimètres de ma turgescence humide. Christine, posant sa main sur sa tête, d'une légère pression, enfonce la bouche de Clarisse sur mon membre. Elle reste ainsi sans bouger. Je perçois ses frissons.

Un grand moment nous attend là...

Classe

La fellation de la "collègue" - (Partie 2) -

Clarisse reste sans bouger. Elle reste ainsi avec mon sexe dans la bouche. Sans pomper, sans sucer, sans même bouger sa langue. Même si je sens l'agréable chaleur, l'impression d'inconfort est quand même la plus forte. Christine observe mes réactions en me souriant. Je fais part de mon désir d'arrêter. Clarisse n'a peut-être pas envie d'aller au-delà de cette toute première expérience.

Pour seule réponse il y a l'immobilité persistante et le silence. Tout cela ne favorise pas vraiment le plaisir d'un instant que j'apprécie tout particulièrement. Je suis de plus en plus gêné. Christine reste elle aussi sans bouger. Comme Clarisse. Je reste moi aussi sans le moindre mouvement. La situation perdure plusieurs longues minutes.

Clarisse, se redressant, lance : << Je ne peux pas. Je n'arrive pas à surmonter l'idée. Pourtant j'aimerais bien ! >>. La collègue reste assise à côté de moi. Mutique en observant mon sexe. Christine se saisit de mon membre pour l'agiter. Les deux filles se mettent à rire. Je fais de même. Dans les situations les plus cocasses le rire est communicatif. Christine se remet à me sucer, trop heureuse de l'opportunité.

Clarisse se remet à me fixer. Toujours avec ce regard par en dessous. Je lui fais un premier clin d'œil. Elle m'offre le sien. Je réunis tout mon courage. Je la saisis par la nuque. J'attire son visage contre le mien. Avec une docilité étonnante Clarisse se laisse faire. C'est même elle qui pose sa bouche sur la mienne. Délicate, pour y introduire sa langue. Cela m'excite considérablement.

Christine, profitant de mes secrétions abondantes, se régale en gémissant. Elle voit ce que sa collègue et moi nous sommes entrain de faire. J'embrasse la jeune fille avec un plaisir exquis. Clarisse fouille ma bouche avec avidité. Je pose ma main entre ses cuisses, sur le tissu de son pantalon. Avec les mouvements réguliers de mes doigts j'exerce des pressions rythmées sur sa vulve. Elle prend son aise en écartant ses cuisses. Sa langue explore ma bouche...

Au bout d'une dizaine de minutes Christine se redresse pour nous observer. Clarisse et moi nous avons les mentons trempés de salives. Sans prévenir, rapidement, je me lève. Je me place devant Clarisse. Entre ses jambes écartées. La saisissant par les oreilles, à son plus grand étonnement, je lui enfonce mon sexe dans la bouche. La jeune fille a un dernier réflexe. Je la tiens fermement.

A nouveau, après un dernier réflexe, Clarisse fait preuve d'une docilité étonnante. Enfin je peux la sentir sucer. Je regarde ses joues creusées par l'effort. Christine se lève pour se mettre à mes côtés. A son tour elle se met à m'embrasser avec son avidité habituelle. Pour solder cette première expérience je décide d'éjaculer dans la bouche de Clarisse sans attendre.

Je maintiens la jeune fille par la tête. Je l'empêche de se dégager de mon étreinte. J'ai un orgasme dans la bouche de Clarisse. Trois giclées abondantes. Les coulures du "fond de cuve". La jeune fille déglutit avec peine. Je me retire. En s'essuyant la bouche elle me regarde avec un air de reproche. Je me baisse pour lui déposer un baiser sur le front. << Alors ? >> demande Christine en s'asseyant aux côtés de sa collègue.

<< Je ne m'attendais pas à ce goût ! J'imaginais que ce serait meilleur ! >> répond Clarisse. Elle parle sans cesser de me fixer. Je dis : << Pourtant j'ai donné le meilleur ! >>. Je tente par ce trait d'humour de désamorcer une éventuelle tension. Clarisse éclate de rire. Christine, s'accroupissant, prend mon sexe en bouche. La pipe reprend. Mon sexe est mou. Je ne suis plus très excité. Clarisse se lève. Elle vient m'embrasser. Elle déverse quantité de salive dans ma bouche. J'avale avec peine. Tout en m'embrassant elle me crache dans la bouche.

Je me retrouve en érection. Sous l'indicible caresse de ma compagne je suis animé de sensations vertigineuses. Je ne comprends pas très bien l'attitude de Clarisse. Il m'apparait soudain clairement que c'est une vicieuse. Je recommence à la caresser. Ma main entre ses cuisses. Elle tortille des hanches en gémissant. Portant mes lèvres à son oreille, je murmure : << Toi, tu préfères la baise, hein ? >>. Juste avant de m'embrasser à nouveau, elle me fait : << Oui ! >>.

Saisissant Christine par les cheveux je la force à se redresser. Saisissant Clarisse par les épaules je la force à s'accroupir à son tour. Elle oppose une résistance. Rien à faire. La jeune fille s'y refuse. Christine me prend par la main. Elle m'emmène aux toilettes. << Viens ! >> lance t-elle à Clarisse. Je me retrouve devant la cuvette. Christine contraint mon érection vers le bas. C'est presque douloureux. Clarisse, en retrait, appuyée contre le mur, nous observe. Elle me fixe d'un regard pénétrant.

Je suis terriblement excité. Impossible de pisser dans de telles conditions. En érection. Pourtant je peux le faire. Je ne me prive pas de lâcher quelques brèves giclées durant une pipe. Ce qui surprend toujours ma partenaire. Christine le sait et apprécie beaucoup. Ma compagne, s'accroupissant à nouveau, se met à me sucer. Je me cambre en prenant appui des deux mains contre la porte derrière moi.

Clarisse me fixe. Cette fille me fait un étrange effet. Elle parait trouver son plaisir à ce voyeurisme particulier. De me fixer, de me faire des clins d'œil, semblent être sa seule façon de participer. Je mets à nouveau ma main entre ses cuisses. A chaque fois elle se laisse faire avec une surprenante docilité. Subitement, s'accroupissant à son tour, elle approche son visage de celui de Christine.

Christine retire mon sexe de sa bouche. Elle le tend à Clarisse. Il y un moment d'immobilité totale. J'entends les respirations des deux filles. Soudain Clarisse s'approche encore. Elle prend mon sexe en bouche. Une fille étonnante et imprévisible. Elle se met à me sucer. La même passion que pour m'embrasser. Christine a passé sa main entre les cuisses de sa collègue. Cette dernière tombe à genoux.

Enfin je retrouve le contrôle de mes émotions. Au bout de plusieurs minutes je lâche quelques giclées de pisse. Clarisse, totalement ignorante de cette pratique, déglutit s'en vraiment se rendre compte de ce qu'elle avale. Dans un soucis de transparence je retire promptement mon sexe de sa bouche. Je dirige le jet dans la cuvette. Un profond dégoût se lit soudain sur son visage. Elle a un mouvement de recul. Prend t-elle conscience de ce qu'elle tétait avec tant de gloutonnerie ? Christine me fait un clin d'œil. Elle se rapproche pour me sucer avec appétit.

Clarisse reste dans sa position. Curieusement, une fois encore, elle rapproche son visage. Je retire mon sexe de la bouche à Christine. Je l'introduis dans celle de sa collègue. Toujours aussi imprévisible Clarisse se met à pomper avec une avidité étonnante. Elle gémit tout comme ma compagne. Une fois encore je lâche quelques sournoises giclées. A présent elle sait ce qui se passe. Elle semble beaucoup apprécier.

Christine tient mes testicules et lèche la bouche de Clarisse. La situation perdure ainsi depuis une bonne vingtaine de minutes. Je me retire. Je me couche au sol entre le mur et la cuvette. Là, sur le côté, tenant Clarisse par les oreilles, j'imprime à mon bassin un rythme régulier. Couchée sur le côté la jeune fille me suce. Elle me tient par les hanches. Christine, une main entre les cuisses de sa collègue, l'autre entre les siennes, arrive à l'orgasme avec sa rapidité coutumière.

Je cesse de bouger. J'éjacule dans la bouche de Clarisse. Toujours aussi étonnante elle reste à déglutir longuement. Pas de doute, Clarisse se régale. J'ai l'illusion qu'elle s'apprête à partir pour un second tour. Il n'en est rien. Elle se redresse. Son visage et ses cheveux trempés. Elle semble fatiguée. Moi je suis épuisé. Doucement, nous reprenons nos esprits. Nous retournons au salon. Christine propose à sa collègue de prendre une douche. Si elle le souhaite, Clarisse peut dormir chez nous.

Pendant que sa collègue prend sa douche, Christine, blottie contre moi sur le canapé, murmure : << Tu as été parfait. Je pense qu'elle va en vouloir encore. Je te dirais ses impressions demain soir en rentrant ! >>>. Je réponds : << Je crois qu'elle préfère baiser ! >>. Christine me dit encore : << Tu veux la baiser ? J'aimerais bien te voir ! Je prépare le "coup" pour samedi ! >>.

Après sa douche Clarisse préfère rentrer. Elle revient samedi après-midi pour terminer les préparations...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 44 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 43 -

.

La collègue à Christine vient se faire baiser - (Partie 1) -

Il est quatorze heures en ce samedi de début juin. Quelques coups de sonnettes brefs. C'est l'arrivée de l'arrivée de Clarisse. C'est l dernier après-midi de préparation pour la fête de la fin d'année scolaire. Il faut encore peindre les petites maisons de papier et de carton constituant le village créé par les deux enseignantes. Aussi, vont elles s'y atteler pour les heures à venir.

Christine fait entrer sa collègue. Je suis déjà assis devant mon chevalet. Il fait bon dans l'atelier. Clarisse, en pénétrant dans la pièce a un grand sourire. Je me lève pour la saluer et lui faire la bise. Les filles se mettent au travail sans attendre, pressées de terminer pour la soirée. C'est donc dans l'agréable ambiance feutrée de l'atelier que, tous les trois, nous nous mettons à l'ouvrage.

Pour dix sept heures, c'est la pause du thé. Je vais préparer tout cela. Nous prenons notre collation avec un certain plaisir. Christine, se levant de sa chaise vient regarder l'avancée de ma toile. Elle pose sa main sur ma braguette. Clarisse, depuis sa place, m'observe avec ce sourire évocateur que je lui connais maintenant bien. Il est temps de reprendre nos activités afin de terminer pour dix neuf heures.

A dix neuf heures, je cesse de peindre. Je nettoie ma palette. Je recouvre ma toile de son draps. Je propose aux filles d'aller préparer notre repas du soir. Christine me fait savoir qu'elles aussi ont quasiment terminé. Le temps de ranger les acryliques et de laver les pinceaux, elles viennent me rejoindre. Je me rends à la cuisine.

Ce soir je fais simple. Un gratin de coquillettes complètes accompagné d'un coulis de ma création. Tomates, oignons, ails, ciboulette, persil, brocolis et poivrons rouges. Une légère salade, avec un avocat en entrée. Avec l'avocat, je prépare une petite douceur de ma création. De la purée d'amande, (sans sucre), avec de la crême fraîche, le jus d'une gousse d'ail pressée, du sel de guérande, de la ciboulette et des grains de sésame grillés. Un vrai délice, une fois versé dans l'avocat, à la place du noyau.

Les filles viennent me rejoindre pendant que j'égoutte les coquillettes. Clarisse vient se pencher au-dessus du plat en terre cuite que je m'apprête à mettre au four. Son visage tout près du mien. J'ai l'intime conviction que c'est une attitude délibérée. Mon impression est confortée lorsque la jeune fille, accroupie devant la porte du four, se mit à scruter ma braguette avec insistance. Christine, coupant l'oignon me regarde avec son sourire complice.

Clarisse reste ainsi plusieurs minutes. Elle est accroupit entre le four et la table. Ses yeux vont des miens à ma braguette. Je comprends le "message". Après avoir posé le saladier sur la table, j'ouvre la tirette de mon pantalon. Je sors mon sexe et le laisse pendre. Clarisse, amusée, s'approche encore. Je me cale sur mes jambes et je me place devant la jeune fille. Mon sexe à la hauteur de son visage.

Christine, en riant, fait : << C'est l'heure de l'apéritif ! >>. Clarisse, regardant dans sa direction, répond : << Sans glaçon pour moi ! >>. Les deux filles éclatent de rire. Je prends mon sexe en main pour le passer sur le visage de Clarisse. Elle se laisse faire, appréciant avec les yeux fermés. Tournant son visage pour bien le présenter sous tous ses angles, elle sourit de plaisir en me fixant de son regard particulier.

Malgré mes tentatives, il m'est toutefois impossible d'introduire mon sexe dans sa bouche. Ses lèvres restent ostensiblement scellées. Par contre, je le frotte longuement sur ses joues, sa bouche, ses paupières ou encore son menton. Me concentrant, je lâche un bref jet de pisse qui vient éclabousser sa frimousse. Clarisse a un mouvement de recul en faisant : << Le salaud ! >>. Elle se redresse. Christine lui tend le rouleau de sopalin. Clarisse s'essuie le visage. Elle me regarde avec un air de reproche.

Christine, se levant, vient rapidement me sucer quelques instants. Toujours soucieuse de ne rien laisser se perdre. Nous passons à table pour vingt heures. Après le repas, nous nous rendons au salon afin d'y prendre le café. Une fois encore Clarisse a un comportement ambigu. Elle fixe ma braguette avec insistance puis me fixe avec son regard par "en-dessous". Christine a sorti mon sexe qui pend entre mes jambes.

Je me lève. M'approchant du fauteuil où est vautrée la jeune fille, j'agite mon sexe devant son visage. Clarisse observe avec attention. Christine vient s'accroupir derrière moi en me tenant par les cuisses. J'ouvre mon pantalon et le laisse tomber sur mes chevilles. Clarisse inspire longuement en ayant un mouvement du bassin qui trahis ce qui se passe au fond de sa psyché. Je me masturbe doucement en la fixant. Christine, à quatre pattes, passe devant moi pour me sucer.

Clarisse se lève pour ouvrir son pantalon et l'enlever. Elle fait de même avec sa culotte. Puis elle s'assoit à nouveau dans le fauteuil, relevant ses cuisses, largement écartées, sur les accoudoirs. De sa main droite, tout en me fixant, elle se met à se masturber doucement...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 45 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 44 -



La collègue à Christine vient se faire baiser - (Partie 2) -

Je suis debout. Christine accroupie entre le fauteuil et moi, est entrain de me sucer. Clarisse, vautrée au fond de ce même fauteuil, les jambes écartées, posées sur les accoudoirs, se masturbe doucement. Une fois encore la jeune fille et moi nous nous fixons du regard. Je sais à présent qu'elle apprécie les situations dans lesquelles elle vient se fourrer avec plaisir. La complicité de ma compagne y est pour beaucoup.

Je regarde les doigts de Clarisse imprimer un léger mouvement de balancier sur son clitoris. Sa toison pubienne est considérablement réduite par une épilation soignée. Aussi je peux admirer chaque détail de son anatomie intime. Je peux apprécier les petites contractions qui agitent la partie précise entre son anus et son vagin. Souvent, pour se livrer au plaisir, Clarisse ferme les yeux en gémissant tout doucement. La tête rejetée en arrière.

Je saisis Christine par ses cheveux pour la relever. Ma compagne adore mes initiatives et aime tout particulièrement être "guidée". Elle se redresse, interrogative. Je me mets à genoux devant le fauteuil entre les cuisses de Clarisse. J'ai vraiment envie de la "déguster". Christine vient se coucher à mes côtés, passant sa tête entre mes cuisses et le fauteuil. J'avance ma tête pour poser ma bouche sur les doigts de la masturbatrice.

Clarisse retire ses doigts me permettant ainsi d'embrasser son "bouton". Christine se met à me téter avec de petits gémissements qui en disent long sur mes épanchements. Je lèche et suce ce clitoris. Les replis de la peau m'offrent un peu de ce délicieux goût acidulé que j'apprécie tant. Clarisse gémit, elle est "aux anges". Elle me tient par les oreilles comme pour m'empêcher de fuir. Alors que je n'en ai nulle envie.

J'adore pratiquer le cunnilingus. Sur le moment, je savoure ma "gâterie" les yeux fermés, le menton trempé de jus et de salive. Avec ma langue, je fouille le replis des lèvres du sexe de la jeune fille. Elle se cambre autant qu'elle le peut pour m'offrir le maximum de possibilités. Sa mouille est réellement savoureuse et je m'en régale. La source semble intarissable. Tant mieux. C'est mon second dessert. Christine me tète toujours avec avidité. D'une main, je lui tiens la nuque pour lui secouer doucement la tête.

Une fois encore, je saisis les cheveux de Christine pour la relever. Sa bouche dégouline de filaments laiteux et gluants. Je me lève et me couche entre les jambes de Clarisse. Cette dernière, comme si elle n'attendait que ça, se cale contre mon corps. Je n'ai plus qu'à la pénétrer de mon sexe trempé. Il entre tout seul comme happé par la fille. Elle a des contractions qui me prodiguent de délicieuses sensations. Je reste sans bouger. Christine, à genoux derrière moi, m'écarte les fesses pour y fourrer son visage.

Clarisse referme ses jambes sur le haut de mes fesses. La jeune fille m'embrasse avec fougue. Elle donne plusieurs à coups avec son bassin. J'ai le sentiment que c'est une invitation à rythmer ma pénétration. Je me mets à l'ouvrage. Tout en m'embrassant Clarisse gémit de plaisir. Nous sommes entrain de baver et nos mentons sont trempés. La sueur fait glisser nos corps. Christine s'est relevée pour venir nous lécher les visages. Elle a son pantalon sur les genoux et se touche. Comme elle aime le faire, avec les jambes croisées l'une sur l'autre.

Je suis entrain de faire l'amour à Clarisse. Elle a des soubresauts. Des mouvements brusques secouent tout son corps. Approchant sa bouche de mon oreille, elle me fait : << Ça fait presque trois ans que je n'ai pas baisé ! >>. Christine pose sa bouche sur la sienne. Je lèche les visages des deux filles. Ma compagne a un premier orgasme. Elle ne peut jamais résister très longtemps. Je lui mets la main entre les cuisses pour constater que son sexe trempé est bouillant. Elle a un frisson...

Clarisse a une série de spasmes assez violents. J'ai toujours la crainte de faire mal, aussi je me retire. Elle s'enfonce deux doigts dans le sexe pour se mettre à trembler, la tête rejetée en arrière. La jeune fille a une série d'orgasmes délirants. Au bout de ces instants intenses, elle referme ses cuisses en s'écriant : << Wouah, comme c'était bon ! >>. Je me relève. Immédiatement Christine, soucieuse de ne pas "gâcher", se précipite. La voilà à genoux pour me sucer.

Je saisis Clarisse par ses cheveux. Je l'attire contre nous. Elle tente une vague résistance. Mais je la tiens fermement. Elle tombe à genoux. Je la maintiens fermement. Elle essaie vainement de se dégager. Je me retire de la bouche de Christine. J'enfonce mon sexe dans la bouche de Clarisse. Elle tente de se dégager. Je la tiens fortement. Elle pousse de toutes ses forces sur mes cuisses. J'éjacule en l'empêchant de se retirer. Elle n'a d'autres choix que d'avaler.

Je reste ainsi un moment. Je veux être certain qu'elle a tout avalé. Enfin je la relâche. En poussant un petit cri elle se retire. Se relevant, me toisant avec sévérité, Clarisse me fait : << Il faut que tu fasses "ça" ? Vraiment ? Je déteste "ça" tu le sais ! >>. Je lui passe la main entre les cuisses. Curieusement, malgré sa colère apparente, elle se cambre pour apprécier mon initiative. Christine s'est remise à me pomper pour en récupérer les derniers jus.

J'enfonce mon médius dans la fille. Cette dernière me saisit le poignet comme pour me guider. Clarisse se met à bouger régulièrement du bassin. Entre nous, à genoux, Christine a recommencé sa fellation. Au bout d'une dizaine de minutes, Clarisse a une nouvelle série de spasmes. Un nouvel orgasme. J'éjacule dans la bouche de Christine. Ma compagne, me tenant par les cuisses, me pompe avec cette avidité habituelle.

Je saisis Christine par ses cheveux. Une fois encore, pour la relever. Aussitôt, d'un élan incompréhensible, Clarisse prend la place de Christine. Ce comportement irrationnel m'étonne car la jeune fille se met à me sucer à son tour. C'est presque douloureux à présent. Mon sexe a perdu de sa rigidité. Je me mets à pisser dans la bouche de la suceuse. Curieusement, elle pompe avec avidité. Christine, cessant de m'embrasser, lance : << Tu vas finir par lui faire aimer "ça" ! >>.

Clarisse vient de déglutir un bon verre de pisse chaude. Je la saisis par les cheveux pour la forcer à se relever. Cette fois encore je ne comprends pas. Elle ne se laisse pas faire. Elle oppose une résistance farouche. Elle continue à pomper. Je lâche plusieurs jets puissants. Je me suis vidé complètement dans la bouche de la fille. Quand j'ai vraiment terminé, qu'elle se régale de la dernière goutte, Clarisse se redresse. Presque de suite elle se met à courir vers les toilettes en se tenant la bouche. Nous pouvons l'entendre vomir. Christine m'embrasse longuement.

Clarisse rentre chez elle pour vingt trois heures. Elle revient passer le samedi soir prochain avec nous...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 46 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 45 -



La collègue à Christine vient se faire baiser - (Partie 3) -

Durant la semaine, Christine m'entretient parfois de ses relations professionnelles avec Clarisse. Les deux enseignantes se voient à la récréation. Parfois après les cours pour quelques projets communs. Le dernier en date est cette fête de fin d'années scolaire, le 20 juin. Les deux filles ont travaillé dur pour préparer une décoration magnifique. Christine me parle également de leurs "confidences" suite à nos expériences à trois.

Clarisse a beaucoup apprécié de se faire baiser samedi dernier. Cela fait presque trois ans, depuis sa rupture, qu'elle n'a plus "pratiqué". En 1996, dans le milieu enseignant il existe ce fameux "mouvement". Possibilité offerte, en fonction des places disponibles, de demander sa mutation dans un autre département. Clarisse a fait une demande pour le Var. Demande qui vient d'être acceptée. C'est donc sa dernière saison ici.

Christine me parle également des penchants "masturbatoires" de Clarisse. Pratiques dont raffole sa collègue. Elle regagne parfois sa voiture, entre midi et deux, pour aller se masturber discrètement sur le parking désert dans cette tranche horaire. Aussi, samedi soir, pour l'invitation de Clarisse à venir passer la dernière soirée avec nous, Christine me suggère de lui faire un "cadeau".

Mercredi après-midi Christine et moi nous allons en ville. Nous allons parfois dans un sex-shop pour y découvrir les "nouveautés" proposées. Nous y faisons donc l'acquisition d'un magnifique "Sex-Toy". Un de ces fameux "œufs" vibrants à pile que la fille place dans son vagin. Un "œuf" que la fille peut actionner à partir d'un boîtier. Dans un très bel emballage.

Le samedi soir arrive rapidement. Je prépare des fougasses au Roquefort. Accompagnées d'une salade. Ce sera sans doute un repas apprécié. Clarisse est d'origine provençale. Il faut donc que ces fougasses soient réussies. Elles le sont. Clarisse arrive pour dix neuf heures. Elle me fait la bise en déposant ses lèvres sur les miennes. Je glisse rapidement une main entre ses cuisses pour la retirer immédiatement. La jeune fille a un mouvement du bassin et me fait un sourire.

Nous passons à table de suite. Durant le repas, la conversation est principalement axée sur le déménagement à venir. De la mutation dans le nouvel établissement. Un petit lycée de village. Clarisse semble se réjouir de retrouver son sud. Nous nous régalons de notre repas. Après la vaisselle, Christine propose de prendre le café au salon. Clarisse caresse longuement le cuir du fauteuil avant de s'y asseoir. Elle me fait : << Je vais en faire une photo pour le "souvenir" ! >>.

Je suis assis dans le canapé, Christine à mes côtés. Rapidement, ma compagne me sort le sexe. Il pend entre mes jambes. Clarisse, me fait son premier clin d'œil en mimant une masturbation masculine de sa main droite. Elle rajoute : << Tu es un "adepte" m'a dit Christine. Tu me fais une démonstration ? >>. Je me mets à me branler doucement. Comme j'aime à le faire. Christine se lève pour s'asseoir au sol, à côté du fauteuil. Les deux filles m'observent avec un sourire lourd de sous-entendus.

Je suis là depuis dix minutes, dans un silence de plomb, à me masturber en regardant les deux vicieuses. Soudain, se levant rapidement, Clarisse vient se mettre à genoux entre mes jambes. Je lui agite mon sexe sous le nez. Christine, se levant à son tour, vient s'asseoir à mes côtés pour observer ce qui se passe. Avec une de ses réactions imprévisibles, Clarisse se met à me sucer. En faisant, elle me fixe dans les yeux. Un nouveau clin d'œil.

Au bout de quelques minutes Clarisse cesse sa pipe pour se relever. Ouvrant son pantalon, elle le fait tomber sur ses chevilles. Elle fait tomber sa culotte et retire le tout. Elle se couche sur le dos. Là, sur l'épais tapis de laine devant le canapé. Clarisse écarte les jambes largement. De son index elle m'invite à la rejoindre. Je me lève et sans attendre, pantalon aux genoux, je la pénètre. Aussitôt, la jeune fille se met à gémir, à pousser de petits cris presque plaintifs. Je reste sans bouger.

Christine, accroupie derrière moi, me retire mon pantalon et mon slip. Je dis à Clarisse : << C'est dommage que tu partes, tu aurais pu venir te faire baiser toute l'année scolaire prochaine ! >>. Je donne une série d'à coups avec mon bassin. << Je sais, mais j'arrive toujours à la fin de quelque chose ! >> me répond t-elle en contractant les muscles intérieurs de son sexe. Sensation très agréable à laquelle je réponds par des contractions qui font bouger mon sexe dans le sien.

Christine est venue s'allonger à nos côtés. Elle joue avec les cheveux de Clarisse. << Tu vas encore te faire baiser comme une salope ! >> fait ma compagne en léchant la sueur qui perle sur le visage de la baiseuse. Je me suis redressé. Je suis en appui sur les mains. Je scrute les traits du visage de cette fille faussement réservée. Elle a si bien joué son "jeu". Clarisse passe ses jambes autour des miennes et se met à bouger de plus en plus rapidement. Je reste immobile. Trop bon.

Accrochée à moi, Clarisse se secoue en rythme. Tout en faisant elle me fixe dans les yeux. J'approche mon visage du sien. Elle me scrute. Je dois être le "personnage" idéal de son "film" de l'instant. Soudain, la jeune fille me crache au visage ! Je reste étonné par cette subite initiative. Elle me regarde avec un air de défi. Christine passe sa main dans son pantalon. Elle nous observe avec attention sinon passion. Elle vient lécher la salive de sa collègue. Christine aime le jus de toutes les muqueuses.

A mon tour, doucement, je me mets à bouger du bassin. Clarisse rejette sa tête en arrière avant de se laisser retomber au sol. J'accélère mon mouvement. Clarisse ralentis le sien. Par des mouvements précis du bassin, elle cherche les meilleures sensations. Collée à mon corps, elle se cambre avec des mouvements précis. Elle pousse de petits cris plaintifs. Christine s'offre un de ses orgasmes rapides qu'elle ne peut contrôler.

Clarisse relève la tête pour m'embrasser avec avidité. Nous sommes couverts de sueur. Nos corps glissent l'un contre l'autre. J'arrête à nouveau de bouger. C'est elle qui prend le relai. Elle agite son bassin en rythme. Elle me fixe à nouveau avec cet air de défi. Je lui crache au visage. Elle se détourne avec une moue de dégoût. Je la saisis par les cheveux pour l'obliger à me fixer. Je crache une nouvelle fois. Christine nous observe en respirant fortement.

Clarisse se met à bouger de plus en plus vite pour atteindre une série d'orgasmes. Elle pousse plusieurs râles sonores. Christine a remis sa main dans son pantalon. Elle me sourit tout en se touchant. Je reste sans bouger. Clarisse reprend sa respiration. Je sens battre son cœur à grande vitesse. Nous restons ainsi plusieurs minutes à récupérer. Puis, lentement, je recommence à bouger en rythme. Clarisse émet un soupir de plaisir.

Rapidement, la jeune fille se remet à bouger du bassin. Nous repartons pour un second tour. Christine connait son second orgasme. Et, comme souvent, je vois l'auréole de pisse grandir à travers le tissus de son pantalon bleu. Elle adore se lâcher. Ne pouvant pas faire autrement, cela participe de son plaisir. Ce qui nous interdit le plus souvent de baiser dans un lit. A moins d'y mettre une protection. Clarisse me fixe. Je lui crache une nouvelle fois au visage. Je peux sentir ses ongles contre ma peau. Comme si elle voulait me punir.

Christine se régale de ma salive en léchant le visage de Clarisse. J'arrête une nouvelle fois de bouger. A nouveau, Clarisse, par des mouvements de son bassin, cherche les meilleures sensations. Elle a plusieurs râles étranges. Puis, en rythme, elle m'oblige à l'accompagner. Au bout de quelques minutes Clarisse connait un nouvel orgasme. J'éjacule dans la fille avec un jet qui me procure une sensation vertigineuse. Clarisse se cambre pour ne rien perdre de ce qu'elle sent l'envahir. Elle crie de bonheur. Un cri sincère...

Nous restons un long moment à reprendre nos esprits. Christine se lève pour aller à la cuisine. Clarisse m'embrasse. Elle me murmure à l'oreille : << Putain, comme elle a de la chance d'avoir un mec comme toi ! >>. Je lui réponds : << Des "mecs comme moi", ça ne se révèle qu'en compagnie de salopes dans votre genre à toutes les deux ! >>. Christine revient avec le "cadeau". Je me retire de la fille pour m'asseoir sur le tapis. En tailleur. Clarisse fait de même. Christine lui offre le beau paquet mauve.

Clarisse, ouvrant le paquet, découvrant l'objet et son usage, s'exclame : << Wouah ! Super ! Je vais le porter tout le temps et tous les jours ! >>. Nous éclatons de rire en nous faisant plein de bisous. C'est émouvant. Christine, du doigt, montre mon sperme qui s'écoule du sexe de Clarisse. Aussitôt elle se couche sur le côté pour venir le récupérer avec sa bouche. Ce qui procure de nouveaux spasmes à Clarisse. Elle reste bouche ouverte. Elle me fixe en respirant fortement.

Nous pouvons entendre les gargouillis créés par la succion de Christine. Elle pompe mon sperme directement du vagin de Clarisse. Tout comme la jeune fille cela m'excite également à nouveau. Je me lève. Je saisis clarisse par les cheveux. Sans ménagement. Je sais à présent la salope qu'elle est. Je lui fourre mon sexe dans la bouche. Elle a un mouvement de recul. Elle sait que c'est peine perdue.

Christine, se redressant, la bouche crémeuse, le menton trempé, m'embrasse avec avidité. Elle approche sa bouche près de mon oreille pour me murmurer : << Pisse-lui dans la bouche, ça l'excite ! >>. Il m'est impossible de me concentrer sur l'instant. Au bout d'une dizaine de minutes j'éjacule dans la bouche de Clarisse. Curieusement, je n'ai plus nul besoin de la maintenir. Elle déglutit en gémissant. Christine me fait à l'oreille : << Dressée ! >>...

Je la laisse savourer longuement tout ce qui arrive sous sa succion continue. Puis je lâche un bref jet de pisse. Clarisse me saisis par les hanches. Elle est à genoux. Elle suce comme si elle se livrait à un acte de dévotion. Je lâche plusieurs petits jets brefs. La jeune fille savoure. Décidément, son comportement aura toujours été des plus étranges. Une fois encore, je me vide jusqu'à la dernière goutte.

Nous reprenons une collation. Il est vingt trois heures. Tout cela nous a donné faim. Avant de déguster les petits gâteaux de sa maman, Clarisse, en toussant, se lève pour se précipiter aux toilettes. Elle se met à vomir avant de les atteindre. Je nettoie pendant qu'elle se vide dans la cuvette. Autant dire que les petits gâteaux sont les bienvenus. Clarisse nous quitte vers minuit. Je ne l'ai revu qu'une seule fois, rapidement, le mercredi suivant.

Quelques mois plus tard, dans le Var, elle rencontra l'enseignant qui devint son mari...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe - 47 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 46 -



La collègue à Christine vient se faire baiser - (partie 4) -

Comme prévu, Clarisse arrive à la maison mercredi après-midi pour dix huit heures. Elle a récupéré un véhicule utilitaire appartenant au mari d'une amie. Ainsi, Christine et elle peuvent charger la maquette du village sans risquer de l'endommager. Comme tous les jours, je suis entrain de travailler, assis devant mon chevalet lorsque Clarisse pénètre dans l'atelier. Je me lève pour lui faire la bise.

Les deux filles, avec d'infinies précautions, chargent le plateau de contre-plaqué dans la camionnette. C'est un plateau d'un mètre sur un mètre. Plateau sur lequel sont collées une vingtaine de petites maisons en carton. Chacune de ces maisons hautes d'environ dix centimètres est disposée autour de la Mairie, de l'église et de l'école. Un travail remarquable et soigné.

Lorsqu'elles ont terminé, elles viennent me rejoindre dans l'atelier. Je propose à Clarisse de manger avec nous et de passer la soirée ici. << Il faut que je ramène le véhicule ce soir, mais je peux rester jusqu'à vingt et une heures. Il faut simplement que je téléphone pour prévenir ! >> me fait elle, ravie de la proposition. Les filles me confirment que la maquette reste chez ses amis, bien à l'abri, jusqu'au jour de la fête du lycée.

Je nettoie ma palette et recouvre ma toile de son draps. Nous nous rendons au salon. J'ai anticipé le repas du soir en préparant, à midi, trois grosses pommes de terre farcies au pâté de lentilles. Gratinées au four, accompagnées d'un coulis de courgettes, tomates et aubergines, ces pommes de terre seront un régal supplémentaire.

Au salon, Christine assise à mes côtés, Clarisse dans ce fauteuil qu'elle connait bien, nous devisons. Clarisse a été nommée dans le Var pour la rentrée prochaine. Elle évoque son déménagement prochain. Pressée de retrouver le sud qui lui manque tant, la jeune fille est à se réjouir de cette opportunité. Elle en parle avec animation et enthousiasme.

Christine, posant sa main sur mon sexe, fait : << C'est dommage que tu partes, nous aurions pris quelques "habitudes" ! >>. Clarisse, agitant les mains des deux côtés de ses hanches, répond : << Oui ! Cela aurait été appréciable. Mais vous viendrez me voir aux prochaines vacances, tous les deux ! >>. Ma compagne, ouvrant ma braguette, dit encore : << Si tu veux te servir une dernière fois ! >>.

Clarisse, se lève pour venir nous rejoindre sur le canapé. << Tu veux me baiser encore une fois ? Moi, je suis chaude pour un "coup" ce soir ! >> me fait elle en glissant sa main dans mon pantalon. Christine éclate de rire en disant : << Eh bien, voilà que tu te révèles enfin après ces trois ans ! Si j'avais su, tu serais venue à la maison bien avant ! >>. Clarisse répond : << Il fallait m'inviter ! >>.

Je mets ma main entre les cuisses de la jeune fille pour lui dire : << Veux-tu manger avant ou après ? >>. Clarisse me répond : << D'abord il faut que je téléphone pour la camionnette ! >>. Je l'invite à le faire maintenant. La jeune fille se lève et, debout devant le petit guéridon, elle compose le numéro. Je me redresse pour aller la toucher. Je lui caresse les seins. Je touche son sexe à travers le tissus de ses vêtements. Christine me rejoint pour me masturber doucement.

<< Super, je peux ramener la camionnette quand je veux ce soir. La porte de leur propriété reste ouverte. Ma voiture est garée dans leur jardin ! >> fait Clarisse toute joyeuse. Il est dix neuf heures trente. Je propose de passer à table le plus vite possible. << Baise-moi d'abord un peu, là, sur le tapis ! >> fait elle encore en tombant à genoux devant moi. Christine lui met mon sexe dans la bouche. Aucune résistance, la jeune fille suce avec délice.

Clarisse, tout en me pompant avec avidité, retire son pantalon et sa culotte. Elle se laisse tomber sur le dos, jambes écartées et relevées. Christine me descend le pantalon et le slip sur les chevilles. Je me couche sur la fille. Je passe mon sexe sur l'entrée du sien sans chercher à la pénétrer. Cela l'excite considérablement. Christine me tient par les hanches. Au bout de quelques minutes, je m'introduis dans la fille qui se cambre de plaisir.

Je reste sans bouger. Je trouve cela tellement agréable d'attendre que ma partenaire donne "le signal". J'ai le buste relevé en appui sur les mains. Clarisse reste ainsi à m'observer longuement. Elle me fait plusieurs clins d'œil. Puis, doucement, elle bouge du bassin dans un rythme régulier. Je la laisse faire. Je reste sans le moindre mouvement. Elle est belle et attractive. Même si son corps maigre est à la limite de l'anorexie. J'ai toujours peur de faire mal, mais là, cela prend une dimension supplémentaire.

Christine a passé la main dans son pantalon. Elle nous observe, allongée à nos côtés. Parfois, lorsque ma bouche est "libre", elle m'embrasse avec fougue. Je me mets à bouger en rythme et à mon tour. Clarisse a un mouvement de plaisir. A présent, c'est elle qui cesse toute activité. Par des mouvements très contrôlés, elle cherche les meilleures sensations.

Christine se lève pour disparaître à la cuisine. Je baise Clarisse selon son désir. << Il vaut mieux que je parte car je pourrais rapidement tomber amoureuse de toi. Et je ne veux pas m'immiscer dans votre couple ! >> me fait la jeune fille en cessant de bouger. Doucement, je me retire. Christine revient pour nous informer que le repas est prêt dans dix minutes. Je me redresse. Je remonte mon pantalon. Clarisse enfile ses vêtements. Nous nous rendons à la cuisine.

Prenant pleinement conscience de ce que vient de me révéler Clarisse, je prends Christine dans mes bras. Je lui murmure : << Je t'aime ! Je t'aime comme un fou tu sais ! >>. Comme pour me rassurer elle répond : << Mais je sais ! Je ne suis pas du tout inquiète et j'ai tout entendu. Pas d'inquiétudes inutiles, moi aussi je t'aime ! >>. Je l'embrasse longuement. Clarisse, pendant ce temps, prépare la table. Elle nous fait encore : << Je file immédiatement après le repas, je préfère, ne m'en voulez pas ! >>.

Nous partageons ce dernier repas. Comme elle l'a souhaité, Clarisse nous quitte après le dessert. Sans passer au salon pour autre chose que pour photographier le fauteuil. Plusieurs clichés avec son petit appareil. << A demain matin ! >> fait elle à Christine. Clarisse, sur le pas de la porte me tend la main pour me dire : << Au revoir. Vous étiez "parfait" et très attentionné. J'ai apprécié ! >>. Je lui serre la main en répondant : < Vous serez toujours la bienvenue ! >.

Nous la regardons partir. Une fois seuls, au salon, longuement, Christine et moi nous faisons l'amour dans un déluge d'infinie tendresse...

Classe



Classe
Homme, 53 ans, France
Classe 48 - Tous droits réservés - © - 2020 - Episode 47 -



L'inconnu de Montségur - (Partie 1) -

En cette mi-avril 1996, début des vacances scolaires de Pâques, Christine et moi avons loué une chambre chez l'habitant près du village de Montségur. L'Ariège est un pays magnifique et, en cette période de l'année, dans cette région du sud, la nature est effervescente, tout est déjà vert et en fleurs. C'est notre second séjour dans ce département enchanteur.

Nous avons en projet de randonner tous les jours dans le massif montagneux. Aux pieds de ces Pyrénées monumentales dont on peut apercevoir les pics blancs et enneigés. Montségur est un charmant petit village limitrophe du département de l'Aude. C'est aussi ce village aux pieds du "Pog" sur lequel se trouvent les ruines du fameux château de Montségur. Appelé à tort "Château Cathare". Les Cathares n'ont jamais construit le moindre château. Pourchassés, ils ont trouvé refuge dans les châteaux des seigneurs acquis à leur cause.

Nous sommes arrivés dimanche soir dans cette petite ferme de la région où nous avons pris une location d'une semaine. Il y a un autre couple qui occupe une chambre voisine. Des enseignants, des gens absolument charmants. Les propriétaires ont cette gentillesse habituelle des habitants de la région. A la fois réservés, presque mystérieux mais chaleureux et hospitaliers.

Ce lundi matin, notre première expédition prévue est le château de Montségur. Nous prenons donc le sentier, abrupte, et parfois dangereux, qui monte au sommet du "Pog". Une demi-heure de marche qui représente un solide "entraînement" physique. Le ciel est gris et bas. Il fait doux et il n'y a pas le moindre souffle de vent. Nous arrivons vers dix heures trente.

Le château de Montségur n'est en fait qu'une enceinte de pierre grise qui n'est pas sans évoquer l'intérieur d'un vaisseau. Par sa forme en bateau, avec sa proue et sa poupe, ce château offre la particularité d'être une des citadelles du vertige propre au pays Cathare. Nous pénétrons dans le château par la poterne. Une porte d'entrée, dont les linteaux sont de pierres grises et qui est située sur le côté. Chaque mur semble un défi à l'équilibre et est construit en prolongement des falaises verticales du "Pog".

Ce château était déjà une ruine en 1204. Les sinistres évènements de 1244 semblent encore planer sur le lieu. Le silence est impressionnant. La grande douceur, sous ce ciel gris et bas, est, ce jour-là, d'une étrangeté supplémentaire. L'endroit est désert. Au fond de cet espace, qui doit mesurer cent mètres sur trente, il y a une sorte de cabanon de bois. De nombreuses planches et des outils témoignent de travaux en cours.

Pour satisfaire un besoin naturel, je vais entre le cabanon et le mur de pierres. Christine qui adore me la tenir pour en diriger le jet, vient me rejoindre. C'est à ce moment qu'un petit chien vient courir autour de nous. La voix d'un homme résonne dans l'enceinte. Christine me lâche pour aller regarder, penchant la tête à l'angle du cabanon. Je termine tranquillement mon "affaire". Je tourne la tête pour regarder derrière moi. Ma compagne a disparu.

Je viens me mettre dans la même situation en me penchant derrière l'angle du cabanon. Je peux découvrir un homme d'environ cinquante ou cinquante cinq ans, assis sur un amas de pierres. Christine longe le mur pour aller regarder le vide dans l'ouverture opposée. L'inconnu caresse son chien. L'amour et la complicité nous ont rendu télépathes. Je sais que ma compagne va se livrer à son jeu préféré. "Allumer" par sa simple présence...

Au bout de cinq minutes, l'homme se lève assez péniblement. Il se dirige vers Christine. Cette dernière, vêtue d'un jean bleu moulant, d'un léger pull bleu et chaussée de solides chaussures de marche, peut se mouvoir gracieusement, toute à son aise dans la caillasse. Sa silhouette, élancée, son mètre soixante dix huit, lui confèrent toujours un physique avantageux. Ce jour-là, ses longs cheveux châtains et raides, en libertés, flottant librement jusque sur le haut de son dos, achèvent de la rendre attractive.

L'inconnu, arrivé à la hauteur de la jeune fille, engage la conversation. Depuis ma cachette, je ne peux pas comprendre la nature de ces échanges. Par contre, je peux la deviner. La présence de cette magnifique jeune fille ici, en ces lieux, ne peut pas être sans titiller la libido de tout mâle normalement constitué. Le quidam est plus petit de dix bons centimètres. Rapidement, je peux voir Christine se mettre à rire. Le bougre doit avoir quelques bons mots, quelques bonnes "formules" dans son répertoire.

Au bout de quelques minutes, durant la conversation amusée, et plutôt animée, je vois Christine pointer son index vers la braguette du type. Je tire les petites jumelles du sac à dos. Je scrute. Le drôle a sa braguette ouverte. C'est donc "ça" !

Classe

L'inconnu de Montségur - (Partie 2) -

De ma cachette, je peux voir que Christine s'est assise sur une des grosses pierres jonchant le sol. L'homme s'est assis également. A environ deux mètres, bien en face de la jeune fille. Son petit chien vient me renifler. Fort heureusement sans aboyer. Je le caresse longuement. Je lui offre quelques biscuits secs tirés de mon petit sac à dos. Rien de tel pour faire "ami" avec un toutou.

Après son repas et après m'avoir remercié d'un coup de langue sur la main, le chiot s'en va fouiner dans les ruines. Avec les jumelles j'observe Christine et l'inconnu. Je vois rire ma compagne. Sans doute que le quidam a les bonnes formules. La conversation plutôt animée dure ainsi un bon quart d'heure. Je vois Christine porter sa main droite devant sa bouche. Plusieurs fois, mimant avec vulgarité une pipe, la joue déformée de l'intérieur par la bosse qu'y fait sa langue, elle parle en riant.

Je vois l'inconnu rire aux éclats à l'écoute de ce que lui raconte la jeune fille. Celle-ci, à quelques reprises, portant la main devant son sexe, mime une masturbation masculine. Tout cela dans le flot d'une conversation dont je ne perçois rien. Elle me racontera. Le quidam se tord de rire. Décidément c'est la première fois que j'assiste à une telle dérision. Etonnante Christine. Comme tu me manques !

Christine, pointant une nouvelle fois son index vers la braguette de l'homme, avec insistance et plusieurs fois, semble exiger quelque chose. L'homme, toujours assis, regardant partout autour de lui, se raidit. Portant la main à sa braguette, il en extirpe son sexe. Long, fin et mou. Un sexe qui pend dans sa main droite. Christine, portant la main à sa bouche, excellente comédienne, tout en riant, feint la surprise. Alors qu'elle n'attend que "ça" !

Le type agite son membre long et mou. Un peu comme un serpent. Je regarde ce "truc" avec mes jumelles. Son prépuce fripé semble anormalement "long". Je regarde Christine qui continue à bavarder tout en appuyant ses propos de gestes obscènes. L'inconnu montre le cabanon de son doigt. Je comprends qu'il invite Christine à se rendre derrière cet abri. Je commence à paniquer un petit peu.

Dans le mur, derrière eux, il y a une sorte de renflement qui évoque une porte murée. Même si cela ne protège pas vraiment du regard au moins cela laisse le temps de donner le change et de se réajuster. Christine, en vraie vicelarde, l'a repéré bien avant moi. Elle se lève. D'un geste de l'index elle invite le type à la suivre. Quelques mètres. Elle propose certainement à l'inconnu de s'assoir sur la grosse pierre.

Une fois le type installé, le dos appuyé contre le mur, Christine s'assoit au sol entre les jambes du mec. Ce dernier écarte les pans de son manteau. Je peux donc parfaitement observer tout ce qui se passe. L'inconnu agite son sexe sous le nez de la jeune fille. Elle scrute avec attention. Puis, rapprochant son visage, elle se laisse saisir par les cheveux. Christine renifle ce sexe avec une concentration curieuse.

Au bout d'un petit moment Christine lèche la peau du prépuce. Avec la langue elle essaie d'entrer dans l'orifice fripé. Le type doit lui raconter de curieuses choses car elle se redresse pour sourire. L'inconnu lâche ses cheveux. Elle est donc libre de ses mouvements. Inclinant la tête afin de pouvoir se saisir du sexe mou qui pend vers le bas, elle le prend en bouche.

Elle reste ainsi sans bouger, fixant le type dans les yeux, avec son regard de vicelarde. Puis je vois ses joues se creuser. Elle commence sa pipe avec le plaisir que je devine. Le quidam doit continuer à lui raconter des "trucs" car je vois l'expression amusée dans les yeux de Christine. Avec les jumelles, c'est comme si j'étais à trois mètres. Ma compagne m'offre encore un de ses superbes shows.

Les yeux à présent fermés, suçant avec gourmandise, Christine est concentrée sur sa fellation. Régulièrement, je la vois déglutir en ne gardant que l'extrémité du prépuce en bouche. Ce prépuce qui n'est pas sans évoquer une sorte de chewing-gum s'étirant sur une incroyable longueur. Christine le maintient d'ailleurs serré entre ses lèvres. Elle s'avance à nouveau pour en mettre une plus grande partie en bouche. Le type ne semble pas bander vraiment. Il ne semble pas jouir particulièrement. Etrange.

Quand elle retire sa bouche pour déglutir, je discerne la blancheur filamenteuse qui lie les lèvres de Christine au sexe de l'inconnu. Il en "bave" comme j'ai rarement vu ! Christine happe cette substance crémeuse et épaisse avec des mouvements de tête. Le type, invariablement, lui raconte des "choses" qui doivent beaucoup l'amuser. J'apprenais par la suite les cochonneries qu'il lui racontait là.

Je vois l'expression de ravissement extrême sur le visage de Christine. Je l'ai rarement vu pomper avec tant d'enthousiasme. Elle déguste en riant. Alternant pompage et léchage. Déglutissant de façon presque régulière. Lorsqu'elle reste immobile, le sexe bien enfoncé dans la bouche, je devine les montées de jus. Elle me fait la même chose et j'imagine très bien le plaisir que doit éprouver le quidam.

Je scrute les alentours. Il n'y a personne. Même le petit chien a disparu. Cela fait bien une demi heure que le type se fait pomper. Curieusement, soudain, il prend Christine délicatement par la tête. Il retire son sexe de sa bouche. Il se lève. Parlant avec une certaine nervosité, il montre à plusieurs reprises la montre à son poignet. Christine s'est relevée à son tour. Elle écoute avec attention. Ils se remettent à discuter avec une certaine animation. De sa poche, il sort une carte qu'il remet à la jeune fille.

Doucement, Christine et l'inconnu se dirigent vers la poterne d'entrée. J'entends le type appeler son chien. << César ! >>. C'est le nom du clébard. Christine, jamais à court d'arguments pour se tirer d'une situation "spéciale", laisse partir le quidam. Elle reste un moment à l'entrée du château. Une fois rassurée, ayant vu descendre l'inconnu, elle vient vers moi pour me raconter. Elle a du sperme sur le menton, dans les cheveux et sur le haut de son pull.

Christine me fait un topo détaillé. Le type est veuf. Il vit avec sa fille de dix huit ans dans une ferme distante de quelques kilomètres. Il vient régulièrement promener son chien ici. Il faut absolument qu'il parte. Il est déjà en retard. Il invite Christine à passer dans l'après-midi. Elle peut venir avec son mari ! Il est désireux de recommencer et même de la baiser. Il a cinquante six ans et n'a plus eu de relations sexuelles depuis treize ans !

Christine me demande ce que j'en pense. Je lui conseille de suivre ses désirs. Toujours désireuses de profiter des situations "glauques", Christine me fait savoir qu'elle a vraiment envie de baiser avec ce type. Elle n'a jamais sucé autant de jute sans éjaculation. Ce mec qui la faisait rire avec des histoires vicelardes n'a même pas éjaculé.

<< De plus, le goût de ses sécrétions est tellement dégueulasse que j'en suis folle d'excitation ! >> me fait elle. Je lui conseille de téléphoner. Dès la fin du repas de midi pour nous rendre à la ferme le plus tôt possible. Après confirmation bien sûre. Durant la descente et tout le repas Christine me fait part de toutes les saloperies que lui a raconté l'inconnu de Montségur.

Nous passons à la chambre afin que Christine mette sa tenue "de combat". Jupe, bas, chemisier, pull, escarpins noirs et fermés, talons hauts. Ses escarpins dotés d'une fine sangle qui entoure délicatement les chevilles. Souliers qu'elle peut garder en toutes situations sans les perdre. Ma compagne a une telle envie de baiser qu'elle n'arrête pas de se toucher dans la voiture. Me suçant pendant que je conduis...

Classe



Classe
Seuls les utilisateurs enregistrés peuvent poster des messages dans ce forum.

Cliquez ici pour vous connecter