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Ma collection de vieux magazines "COLOR-CLIMAX" - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

J'avais commencé ma collection de magazines en 1984.

J'avais trouvé, chez un bouquiniste Belge, tout un carton plein de Color-Climax, ces magazines Danois absolument extraordinaires.
Il m'avait laissé ce carton contenant plus de deux cent magasines pour trois cent francs de l'époque ! Autant dire un cadeau !
Dans le carton, il y avait également des magasines "Privates" (mais les anciens , les excellents), des "Pirates" (extraordinaires) et d'autres trucs totalement inconnus dans la France coinçée et frileuse de l'époque. Des magazines vraiment hypra cochons...

Que du contenu hautement branlatoire !

De la vulgarité la plus exquise. De vraies friandises...

Il y avait quatre-vingt cinq Color-Climax. Des numéros mythiques comme le No 7 de 1969. Des numéros qui se suivaient du 18 au 31. Toutes les bonnes années et tous les bons numéros ! De 1972 à 1977...

J'en ai épanché des litres de sperme sur ces magasines ! Put-hein, mon poignet ne suivait même plus. Parfois j'en choisissais cinq ou six et je partais me planquer dans un cabanon de jardin, sur les flancs d'une colline peu fréquentée. Là, peinard, dans la tranquillité, je me livrais à mon sport favori.

Ce carton était comme un magasin de bonbons pour un gamin ! Une boîte de Pandore. La hotte du Père-Noël. La caverne d'Ali Voleur et des quarantes Babas...

Il y avait des magasines tellement salops, tellement bandants, que je reprenais plusieurs fois les mêmes. Pour les "étudier" , pour les "scruter", pour les "analyser". Je me souviens d'un magasine Allemand qui avait pour nom "Pfouïï".

Sur les photos de "Pfouïï", il y avait des filles assises en jupe sur des chaises. Mais assises à l'envers. Le dossier les obligeant à rester avec les jambes écartées, assises, dans le restaurant où se déroulait l'anecdote. Elles sucaient avec un bonheur que les photographies traduisaient le plus parfaitement possible ! Les Gloryholes du sous-sol du restaurant, ou les plus gourmandes allaient savourer d'autres bites de toutes les couleurs. Des pages de photos qui puaient le vice à l'état brut. Des mecs qui leur éjaculaient dans les assiettes. Lorsqu'ils ne leurs pissaient pas dans les verres.

Il y avait également d'autres magazines de la "Color-Climax-Corporation" de Copenhague. "New cunts" avec des moules bien rasées et bien fraîches. "Sex Bizzare" avec des scénarios bien dégueulasses et pisseux. "Teenage sex" avec des fausses adolescentes bien salopes et hypers vicelardes. "Rodox" avec des femmes invraisemblablement vicieuses, délurées et merveilleusement salopes.

Pour exploiter la totalité du carton il m'a fallu deux ans de branles acharnées. Branles régulières et hautement jouissives. Il y avait toujours un magazine dont je ne me souvenais plus du contenu. J'ai gardé ce carton une quinzaine d'années puis, par altruisme et bonté, je l'ai offert à un nécessiteux, je l'ai donné à un pauvre...

J'ai partagé mon "trésor" avec un démuni. J'ai fait un don aux 'Restaus du Cul"...

Mais aujourd'hui encore je me souviens de certains magazines du lot qui se sont imprimés dans mon esprit d'une façon inaltérable !
Il y avait quelques magazines Allemands de Thérésa Orlowsky. Les fameux "Madame X" ! Des femmes, toutes plus belles les unes que les autres qui se faisaient promener à la laisse dans des ruelles sombres pour aller pisser dans des canisettes ! SEX-traordinaire ! Des gros plans sur leurs yeux luisants de plaisirs et leurs peaux humide de désirs !

J'avais une amie, gérante d'un petit magasin de fringues. Je lui en prêtais parfois et elle réchignait à me les rendre. Prétextant qu'elle avait oublié de les ramener. Une belle bourgeoise avec qui il ne s'est jamais rien passer d'autre que des masturbations, l'un en face de l'autre. De grands souvenirs...

Il n'y a pas à dire mais ils savaient y faire, à l'époque, les bougres qui éditaient et produisaient ces saloperies ! Du grand Art !

Je me souviens d'un de ces magasines. "Madame X". Une jeune femme au corps d'athlète, brune, hyper belle, se faisait "dresser" et "éduquer" dans un manoir. Le "maître" lui pissait dans un verre. La maÎtresse lui lêchait le fion. Ils lui ont tout fait subir ! De la cage, dehors sous la pluie, à la mare pleine de boue ou elle devait se rouler vêtue en bourgeoise. Un "jardinier" qui venait se faire sucer dans le parc ou elle était ligotée. Un mec qui la niquait attachée dans une charette à foin. Du sperme jaunâtre et épais collé autour de la bouche pour marcher en ville. Elle était regardée par des passants consternés ! Du grand Art ! De la qualité "Made in Germany". Du style "Réality King" d'aujourd'hui. Bref, des trucs d'esthètes et de connaisseurs...

C'était délicieux de la retrouver dans un porno dégueu une dizaine d'années plus tard un peu vieillie. Un peu vieillie mais toujours hyper bandante et entrain de sucer des dizaines de bites dans un film (en DVD) "GGG" de John Thompson. Couverte de foutre et de pisse.

C'était le bon vieux temps ...

Mais je suis resté un inconditionnel et incorrigible branleur. J'aime tant les filles ....

Avec le temps , j'ai acquis une certitude . Dans le domaine du cul , il y a toujours autant de Faux-culs ...

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LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Cet après-midi de la fin juin, je m'apprêtais à partir à bicyclette pour une de mes "stations" de pose. J'enfilais mon petit sac à dos. Soudain, ma voisine Isabelle arriva. < Tu vas où ? On se fait une virée ? > me demanda t-elle. J'étais un peu ennuyé parce que je partais pour une de mes après-midi "Branle". Dans mon sac à dos j'avais quatre superbes bouquins pornos de ma collection. Je ne savais pas quoi inventer comme excuse.

Isabelle était une belle jeune fille de dix neuf ans. Très sportive, elle suivait des études de médecine avec le désir de devenir médecin du sport. Noble projet. Il n'était pas rare que nous partions faire de la bicyclette ensemble. Nous nous connaissions depuis toujours. Nous étions voisins. Elle habitait juste la maison d'à côté, dans notre lotissement "Le Jardin du Prince". Nous étions très amis et assez complices.

< Tu vas encore te branler tout seul dans un de tes coins ! > me fit-elle en me poussant de sa main avant d'éclater de rire. < Je peux venir avec s'il te plaît ? > me demanda t-elle encore. J'étais ennuyé. Même s'il ne s'était jamais rien passé entre nous, nous nous étions déjà révélé des "secrets". On s'était même déjà surpris dans nos jardins respectifs à faire des "trucs".

< Allez quoi ! > insista t-elle. J'acceptais en lui précisant que dans mon sac à dos j'avais du "sévère". < Super ! > me fit-elle en m'entraînant vers nos vélos.

Nous voilà en route. Une dizaine de kilomètres sur une agréable petite route de campagne. Le ciel est bleu. Il fait chaud juste comme il faut. J'arrive au calvaire d'où monte le sentier. Il faut pousser les bicyclettes sur cinq cent mètres. Nous arrivons à un petit cabanon. Il est privé et situé dans un jardin mal entretenu. Je sais où est cachée la clef. Nous entrons.

L'odeur évoque un peu le beurre rance. C'est l'odeur caractéristique des maisons en bois jamais ventilées et rarement ouvertes. Le cabanon sert de dépôt pour des outils. Il y a des pelles, des bêches, une échelle, une brouette des caisses en plastique. Un vrai fatras. Il y a un vieux canapé à bascule suspendu par quatre chaînes. Nous nous installons.

< Fais voir les saloperies que tu as encore emmené ! > me fait Isabelle en s'emparant de mon sac à dos. Elle sort la bouteille d'eau, les petits gâteaux et les quatre bouquins de cul. Deux Color-Climax et deux "Private". < Put-Hein, salop, tu allais te mâter ça en égoïste, tout seul ! > s'écrie Isabelle en feuilletant le Color-Climax NO 93.

J'avais choisi ce numéro parce que l'histoire se passait dans les toilettes d'un pensionnat de jeunes filles. Deux mecs, ouvriers d'une entreprise, étaient là pour procéder à quelques réparations. Quatre filles, style étudiantes anglaises avec uniforme, déboulaient pour faire leurs besoins. Les photographies étaient fabuleuses. On y appréciait la précision "scientifique" des clichés en haute définition.

Isabelle feuilletait et me montrait les trucs les plus explicites. De préférence les trucs les plus vicelards. < On se branle tous les deux ? > me demanda t-elle en mettant sa main dans son short. Je faisais pareil. < Si tu me la montre, je te montre aussi ! > me fit Isabelle, espiègle et mutine. Je sortais mon chibre turgescent dont le bout "transpirait" déjà. < Wouahhhh ! Super ! > fit Isabelle pour m'encourager. Je suis un peu timide...

C'est à partir de cet après-midi de la fin juin, mais du début des vacances, que nous avons commencé nos séances "Branles". Il ne s'est jamais rien passé entre nous. Nous nous limitions à nos masturbations. < Regarde le salop, la bite dégueu qu'il a, il a même des pustules au bout ! > fit Isabelle en me montrant les photos de la page 4. Les magazines Color-Climax, au charme fou, ne faisaient pas dans la dentelle ou dans l'esthétique inutile. C'était toujours bien crade. Hyper bandant. Le romantisme sexuel dans toute sa splendeur.

Isabelle, en sueur, me montrait à présent la jute qui coulait de la bouche d'une des étudiantes qui suçait tout en pissant, accroupie au-dessus du carrelage. C'était la page 8. Je m'asticotait le chibre comme un dément. Nous étions tous deux follement excités. Certainement autant par la situation que par les bouquins. Isabelle y allait de son petit mouvement pendulaire sur son clito.

Nous sommes revenus pour 18 h. Nous avions les yeux cernés et nous étions plutôt fatigués. < On refait demain ? > me demanda Isabelle avant de filer. Arrivée sur le pas de sa porte, elle me lança : < Tu peux ramener les mêmes, j'ai pas tout bien regardé ! >. Je rangeais mon vélo à la cave. Ma mère me demanda : < Vous étiez loin en balade ? >...

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Chères amies lectrices (et branleuses)
Chers amis lecteurs (et branleurs)

Merci à vous de vous plonger avec moi dans ces souvenirs d'un autre temps.
Une époque sans Internet où l'accès à la bonne pornographie était un luxe.
Rien n'était gratuit, et ce qu'il y avait de meilleur coûtait souvent très cher.
De plus, il fallait faire preuve de ruse et de pugnacité pour trouver du "bon".

Commander directement les magazines à la Color-Climax-Corporation, à Copenhague ?
Oui, mais les bouquins commandés et payés n'arrivaient pas toujours. 1 sur 4 environ.
Des petits malins se servaient au passage en reconnaissant les enveloppes. Sans risques.
Des voleurs qui se constituaient une collection à peu de frais. Des voyous. Des enflures !

Découvrons ce nouvel épisode afin de nous divertir avec une pratique qui ne rend pas sourd...

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LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

C'était un après-midi de début juillet, il faisait plutôt beau. Pas de grosses chaleurs étouffantes. Non, une agréable douceur. Le ciel était parfaitement bleu, limpide et clair. J'avais en projet de me rendre dans un de mes coins à branle. A bicyclette, il me faudrait tout au plus 30 minutes. Je portais mon choix sur un mirador dans le bois du Wood. C'était un de mes "repaires" secrets. Très peu fréquenté hors saison de la chasse.

Je préparais mon petit sac à dos. J'y disposais une bouteille d'eau, une pomme et quelques gâteaux secs. Soigneusement emballés dans une chemise en carton épais que j'avais confectionné à cet usage, je glissais quatre de mes magazines préférés. Deux COLOR-CLIMAX, No 66 et No 71. Un "Pfouï", No 11 et un "Private", No 13. J'étais donc prêt à aller faire quelques études en haut de mon mirador. Mes devoirs de vacances, en quelque sorte.

Je sortais mon vélo du garage lorsque soudain la voix de ma voisine résonna à mon oreille. < Je t'ai guetté depuis ma fenêtre. J'ai mon sac qui est prêt et mon vélo dehors ! Tu m'emmènes ? > Une fois encore, plutôt embarrassé, j'essayais d'inventer une fable. Mais, allez donc tenter de trouver une parade à une décision féminine. Que nenni, c'est tout simplement impossible. < Tu vas encore te branler, hein ? > me fit-elle avant de rajouter, coquine : < J'en suis ! Que ça te plaise ou non ! >

Nous voilà en route, pédalant de concert, sur cette petite route très peu fréquentée. Tout en roulant, Isabelle et moi, nous devisons de choses et d'autres. J'apprends que la jeune fille part en vacances trois semaines, avec ses parents, en août. Presque aux mêmes dates que moi. Mais moi, je pars seul et en voiture. Je raconte d'ailleurs ces merveilleuses vacances dans mon récit "L'auto-stoppeuse", ici même sur ce fabuleux forum, dans la rubrique "Témoignages".

Nous arrivons au bois de Wood. Il n'y a personne. Nous prenons le sentier à côté du calvaire. Il faut pousser les bicyclettes sur environ trois cent mètres. Là, à l'orée d'une magnifique clairière, il y a un gros dolmen. Juste à sa gauche il y a une échelle de bois. A une hauteur de 5 mètres, il y a un petit cabanon sur pilotis. Une fois en haut, il suffit de tirer l'échelle et nous voilà inaccessibles.

Isabelle est en jupette plissée, façon tennis. Elle refuse de monter la première. < Toi, mon salop, tu connais de ces coins ! > me fait-elle une fois que nous sommes installés dans l'étroit cabanon. La vue est splendide. On surveille les alentours à la perfection. J'ai même ma petite paire de jumelles. Isabelle ne s'embarrasse pas de préjugés idiots. Elle s'empare de mon sac à dos pour y chercher ce qui l'intéresse.

< Ben mon salop ! Tu as encore emmené de ces saloperies dont tu as le secret ! > me fait-elle en feuilletant le COLOR-CLIMAX No 66. C'est un véritable conglomérat photographique de cochonneries. Isabelle me raconte l'histoire en tournant les pages. Je bande déjà comme un véritable priapique sous amphétamines. < C'est une jeune fille, habillée style "scout", qui fait du porte à porte. Il y a un pervers barbu qui lui ouvre en robe de chambre ! > me raconte t-elle.

< Tu peux commencer à te branler ! > me fait encore Isabelle en passant sa main sous sa jupette. Elle continue l'histoire. < Le pervers en robe de chambre à fleurs, la fait entrer au salon. Il est assit et il écoute ce que lui raconte la jeune fille. Elle note les réponses sur une grande feuille. La "scout" se rend compte que le pervers n'a pas de slip et laisse pendre sa bite entre ses jambes ! > J'écoute en me branlant lentement.

Isabelle pose le magazine sur le plancher vermoulu et se doigte longuement en regardant les images. < Regarde ! C'est hyper salop ! > me fait-elle en chuchotant. Isabelle continue avec la seconde histoire. < C'est une fille qui fait de la bicyclette ! Tiens donc, ça me rappelle quelqu'un ! > commence t-elle. Après un rapide clin d'œil à mon encontre, elle lit la suite. < La fille entre dans des chiottes publiques. Il y a un mec entrain de pisser au-dessus d'un urinoir. Elle s'avance, se penche et regarde ! > Je me branle un peu plus vite...

Isabelle, qui se touche doucement, marque quelques poses pour se ressaisir. Je lui propose de prendre la lecture à mon tour. < Non, non, je préfère lire, c'est tellement dégueu ! > me fait-elle avant de lire la suite. < La fille s'est emparée de la bite du pisseur. Elle s'accroupit. Elle scrute. Elle lèche. Elle suce ! > J'accélère encore un peu le mouvement. Isabelle aussi. Elle pose le bouquin. Nous mâtons les photos explicites.

Il nous faut cesser. Ce serait dommage d'avoir un orgasme aussi vite. Je propose de grignoter des petits gâteaux. Isabelle a ramené des barres de céréales aux pétites de pralin. C'est un délice. Nous retrouvons notre calme. < Tu crois que ça existe vraiment de telles saloperies ? > me demande Isabelle en savourant un gâteau sec. Je réponds que oui et que nous sommes bien entrain d'en vivre une ! La jeune fille éclate de rire et conclue : < C'est vrai ! Je viens d'en prendre conscience et, tu sais quoi ? C'est génial ! > me fait-elle avant d'ouvrir l'emballage d'une barre de céréales.

Nous sommes restés ainsi plus de trois heures dans ma cachette à mâter des bouquins hypers salops, à déguster des gâteaux, à nous branler et à rigoler comme des bossus. Nous sommes revenus à la maison pour 19 h. < Tu fais quoi, ce soir ? > me demande Isabelle dans le jardin. Je réponds que je n'ai rien au programme. < On va sur la plage, tu veux, après la bouffe ! > me dit-elle, les yeux un peu cernés par les plaisirs de l'après-midi...

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Chères amies lectrices, (et masturbatrices)
Chers amis lecteurs, (et masturbateurs)

Je continue à partager avec vous mes petites anecdotes parfaitement vraies, authentiques et vécues.
Bien évidemment, pour rendre leurs lectures attractives, j'utilise l'articulation narrative du roman.
"Isabelle" n'est qu'un pseudonyme qui permet de protéger l'anonymat d'une jeune fille devenue femme.
Nous étions voisins depuis la petite école jusqu'à la faculté. Nous avons passé tout ce temps en "potes".

Avoir sa belle et jeune voisine comme "Pote de Branle" est tout simplement extraordinaire. Fabuleux.
Je ne m'en suis rendu compte que quelques années plus tard. Mais le passé arrive toujours trop tard !
Vingt quatre années de vie, côte à côte, en voisins, sans n'avoir jamais "consommé" ! Sublime, non ?
Raconter ces histoires permet un plongeon pas du tout nostalgique dans le passé. C'est bandant...

Bonne découverte

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LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il faisait beau et chaud ce jeudi après-midi de juillet. Les parents de ma voisine Isabelle et les miens avaient organisé un barbecue. Nous étions voisins et les jardins étaient mitoyens. Il restait trois semaines avant nos départs respectifs pour les vacances. Tous les deux, fille et fils uniques, aimés de nos parents, Isabelle et moi nous savourions nos conditions de "Rois". Tout, ou presque nous était permis. Même si nous étions déjà majeures. Privilèges...

< Tu me prêteras des bouquins pour mes vacances ? > me demanda Isabelle lorsque nous étions à faire la vaisselle. C'était le prétexte idéal pour pouvoir discuter. < Ouais, mais tu me les ramène en bon état. Pas de pages qui collent, pas de tâches ! > lui fis-je. < Je te promets. Je ferais attention ! > me répondit-elle. Nous éclations tous les deux d'un rire qui se partageait à nos parents. Le fou rire est communicatif.

< Tu vas te branler cet après-midi ? > me demande encore la jeune fille en mimant une branlette masculine de sa main libre. < Ouais, je pense aller au cabanon de l'étang Sondur ! > que je lui réponds. < Je viens avec ! > me lance Isabelle d'un ton péremptoire. < Je peux choisir dans ta collection ? > me fait-elle encore en déposant son torchon de vaisselle sur l'étendoir de la cuisine.

Discrètement, nous sommes descendu à la cave où j'avais ma cachette. Là, sous une petite dalle en béton, sertie d'un anneau, derrière la chaudière, je planquais mes saloperies. Personne n'allait jamais là. De plus, je mettais quelques bûches de bois sur le couvercle. La planque idéale. Même si quelqu'un ouvrait, il n'y verrait que des chiffons dégoûtants, pêle-mêle.

Je soulève la dalle avec peine. Isabelle s'accroupit au bord de la fosse. Avec deux cordelettes je remonte le carton contenant tous mes "trésors". < Put-Hein, c'est malin ta planque ! Génial ! > fait encore Isabelle en enlevant les vieux chiffons. Presque fébrile, elle ouvre les battants du carton. Les bouquins salaces sont là. La jeune fille prend deux Color-Climax et deux "Pirates". "Pirates" c'est vraiment vicieux !

Isabelle feuillette rapidement les magazines qu'elle vient d'extraire du caron. Moi, je remets tout en place. < Génial ! > me fait-elle en cachant les bouquins sous son T-shirt. Nous traversons les jardins à toute vitesse. Isabelle met les quatre magazines dans son sac à dos. Nous nous apprêtons à partir en vélo. < Vous ne revenez pas trop tard ! > fait la maman d'Isabelle. < A 19 h on mange ! > rajoute la mienne...

Nous pédalons sur le petit chemin du moulin. Cinq petits kilomètres et nous voilà à l'étang Sondur. Il n'y a personne. Nous nous précipitons à l'ombre des arbres pour nous installer dans le cabanon. Il y a une table et deux bancs. Nous nous asseyons. Isabelle jette son petit sac à dos sur la table pressée d'en sortir les bouquins. Moi, je sors la flotte et les gâteaux du mien.

Assis l'un en face de l'autre, nous feuilletons chacun notre bouquin. Isabelle scrute le "Pirate" NO 18. Elle me raconte puisque moi je vois les images à l'envers. < C'est une fille qui mâte un couple qui baise. Elle se fait repérer. La jeune femme lui fait signe de les rejoindre. Ce qu'elle fait pour se faire choper par les cheveux. Le mec lui pisse au visage ! > J'écoute en sortant ma bite. < Tu te branles ? > me demande Isabelle, cessant sa lecture. < Ouais, c'est trop bandant ! > que je lui fais en commençant ma branlette.

Je vois Isabelle mettre sa main droite sous la table. < Et toi ? Tu te doigte aussi déjà ? > que je lui demande pendant qu'elle démarre la narration de la seconde histoire. < Oui, bien sûr ! Qu'est-ce que tu crois ! > me fait-elle en me racontant la suite : < C'est un plombier qui vient faire une réparation chez une dame. Il y a une fuite d'eau aux chiottes. Le mec pisse pour voir s'il a bien colmaté la fuite. La dame lui tient la queue avant de goûter la pisse du plombier ! > J'accélère mon mouvement. Isabelle ferme les yeux et se mordille la lèvre inférieure.

Il faut dire que les magazines "Pirates" de l'époque ne faisaient pas dans la dentelle. Que des histoires hypers vicelardes et pisseuses. Il fallait nous calmer et reprendre nos esprits. Je proposais une pose petits gâteaux. Après un quart d'heure de "repos", Isabelle ouvrait "Pirates" No 16. Un vrai conglomérat d'invraisemblables saloperies. Isabelle commença la narration : < C'est une salle de classe. Il n'y a que des filles. Le prof est assis derrière son bureau. Il se branle en cachette. Une des filles le remarque ! >

Je me masturbe comme un dément en écoutant celle nouvelle histoire. Isabelle, parfois, cesse subitement de parler. Occupée par sa masturbation, elle savoure, tout comme moi, les délices de l'instant. Il est à nouveau grand temps de s'octroyer une nouvelle pose. Il serait dommage d'avoir un orgasme en plein après-midi alors qu'il nous reste encore au moins deux heures de branle effrénée...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 16/10/16 11:55 par Oncle-Julien.
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Isabelle est ma voisine depuis toujours. Nous avons presque toujours été fourrés ensemble. Depuis petits.
Nos premières "cabanes" en forêt. Nos premières baignades à l'étang. Nos "Quatre heures" à la confiture.
Bref, comme nous étions voisins, nous n'avions qu'à traverser nos jardins. Nos parents étaient très amis.
Aussi, nos éveils, dans beaucoup de domaines, se sont développés un peu avec le même élan. Harmonie.

Isabelle était ma voisine. Certes. Mais Isabelle est aussi devenue ma "Pote de branle". Et c'était sublime.
Que peut-on souhaiter, dans l'adolescence, à l'éveil de la sexualité, que de pouvoir découvrir et partager ?
En véritables petits privilégiés, Isabelle et moi, nous avons donc découvert les joies de la masturbation.
Nous étions rapidement devenus les meilleurs "Amis-Branleurs" du monde. Les joies partagées de la branle.

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il ne faisait pas très beau en ce début d'après-midi. Le ciel était gris, lourd. Pourtant cette journée de juillet était des plus agréables. Une menace d'orage sans doute. La météo n'avait rien annoncé de tel. C'est donc avec prudence que je préférais rester à la maison. J'étais entrain de nettoyer ma bicyclette au garage lorsque la voix de maman me fit : < C'est Isabelle ! >.

Je me redressais des chiffons plein les mains. En effet ma voisine entrait dans le garage. Passant entre l'établi et la voiture, elle vint me rejoindre. < Tu fais quoi cet après-midi ? > me demanda t-elle. Je lui montrais mon vélo qui devenait rutilant. < Ah ouais, je vais chercher le mien, on fait ensemble ! > me fit Isabelle en partant précipitamment. Elle revint, poussant sa bicyclette.

Nous nettoyons. Nous frottons. Isabelle bavarde un peu et me raconte des anecdotes concernant sa première année à l'université. J'écoute. Parfois une similitude de situations me fait raconter mes petites histoires. Nous devisons ainsi. Le temps passe. Dehors, le ciel semble s'éclaircir. La lumière diaphane du soleil transparaît à travers le voile de plus en plus léger des nuages.

< Je peux choisir quelques magazines à emporter en vacances, après ? > me demande Isabelle avant de rajouter : < Je te promets, je ferais très attention ! >. Nous terminons le nettoyage de nos bicyclettes. C'est propre, comme neuf et ça brille. < Tu fais gaffe, hein, tu ne les montre à personne et, surtout, tu ne te fais pas choper avec ! > que je lui précise en l'emmenant à la cachette.

Je prête l'oreille. Il n'y a aucun bruit dans la maison. Je soulève la dalle de béton en tirant sur l'anneau. Je retire les vieux chiffons. Je tire sur les deux cordelettes. Je monte mon carton à "trésors". Isabelle, fébrile, impatiente, replie les battants du couvercle. < Wouah, mais tu en as des tonnes ! > me fait-elle en prenant toute une pile. Je les ai plus ou moins trié par genres et par titres.

Isabelle a sorti une des deux piles de Color-Climax. Elle feuillette très rapidement. Elle choisit deux Sex-Bizarre, le No 17 et le No 23. Deux magazines absolument juteux et pisseux. La jeune fille les met à côté d'elle. Elle continue avec deux Rodox, le No 28 et le No 31. Des magazines salaces et bien vicelards. Elle prend encore un New-Cunt, No 16 et un Teenage-Sex No 26. Que du très bon.

< Je crois que ça ira. J'ai de quoi m'occuper ! Tu as un petit sachet en plastique ou bien un cornet en papier ? > me demande la jeune fille. Je vais à l'armoire. Je reviens avec un petit sachet Leclerc. Isabell, une main dans son short, est entrain de regarder le No 19 de Sex-Bizarre. Celui avec la fille qui se fait pisser dans son verre de Champagne par un moustachu ventru et très moche.

Je remets tout en place. Nous remontons au garage. Le soleil est revenu. Isabelle me propose d'étrenner nos vélos tous propres. On se prend les bouquins et tu m'emmènes dans un de tes coins à branle ! > me fait Isabelle en mettant le sachet dans son petit sac à dos. Je prépare une bouteille d'eau, deux pommes et des barres de céréales au chocolat dans mon petit sac à dos.. Nous voilà en route pour le mirador. C'est le lieu idéal.

En route, Isabelle me fait une confidence. < Tu sais, je crois que je deviens autant voyeuse qu'exhibitionniste ! >. J'écoute en gardant le silence et en maintenant mon coup de pédale ferme et régulier...

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Je clique avec passion, (et impatience), pour découvrir , scruter et admirer. J'aime tellement cliquer sur des cochonneries...
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Chères amies lectrices - (Qui se masturbent) -
Chers amis lecteurs - (Qui se masturbent) -

Je remercie infiniment celles et ceux qui suivent avec passion mes petites histoires absolument vraies et authentiques.
Je remercie les quelques retours sous forme de commentaires qui relatent les témoignages des uns et des autres.
Certaines et certains d'entre nous gardons de délicieux souvenirs de ces magazines à nul autre pareil. A cette époque.
Une époque vraiment plus "frileuse" en matière de sexualité qu'aujourd'hui ? Pas si sûr. C'est toujours "Coincé et Cie".

Pour ne pas surcharger inutilement ce post et aller à l'essentiel sans faire de flood, je réponds en messagerie privée.
L'époque où se situe ces aventures se décline sur quatre ans. Une époque bénie des dieux du sexe. Remarquable.
J'ai donc vraiment de quoi alimenter la lectrice passionnée et le lecteur intéressé, par de très nombreuses anecdotes.
Découvrons ensemble ce nouvel opus qui saura nous enchanter par la description sans nostalgie d'une période révolue.

Bonne découverte



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LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il faisait déjà chaud en ce matin de juillet. Le ciel était d'un bleu d'azur, sans nuages. La journée s'annonçait magnifique. Je venais de terminer quelques rangements. Nous allions bientôt partir en vacances. Plus qu'une dizaine de jours. Maman exigeait qu'avant notre départ, ma chambre soit nette, propre et rangée. Je secouait un peu de poussière sur mes albums de bandes dessinées à la fenêtre.

De l'autre côté du jardin, à environ trente mètres, je vois Isabelle à sa fenêtre. Elle doit faire pareil. Elle me fait un petit signe de la main. Je réponds. Je continue mon rangement. Je reviens à la fenêtre. Isabelle semble m'attendre à la sienne. Elle me montre une grande feuille de papier sur laquelle la jeune fille a écrit au gros marqueur noir : TU FAIS QUOI CET APRÊME ?

Je lis le mot amusé et je hausse les épaules en écartant les mains. Pour lui faire comprendre que je ne sais pas encore. Isabelle, de sa main droite, mime une masturbation masculine. Je ris bêtement. J'ouvre un album de bandes dessinées, "La Marque Jaune", Black & Mortimer. Sur la dernière page blanche, avec un gros marqueur, j'écris OUI. Isabelle lève le pouce de sa main droite et me fais signe qu'elle vient avec moi.

Après le repas de midi, je descends à la cave. De ma cachette je récupère un Color-Climax, le mythique No 1, un "Pfouï" No 27 et un "Sex-Bizare" No 28. Je mets le tout dans mon petits sac à dos avec une bouteille d'eau, une pomme et des barres de céréales. Je sors mon vélo du garage. Voilà Isabelle qui arrive en poussant le sien. On se fait la bise.

Nous voilà à pédaler sur la petite route. J'emmène Isabelle vers un de mes coins à branle. Elle les connaît presque tous. Le cabanon de jardin, le cabanon de l'étang et le mirador. Mais elle ne connaît pas encore l'îlot. Là, au milieu de la rivière, il y a une petite île. Pour l'atteindre il faut marcher dans l'eau jusqu'aux mollets. Nous portons nos bicyclettes et nous traversons.

Nous sommes assis sur des gros cailloux. Autour de nous des bosquets et des fourrés nous masquent des rives. Isabelle s'empare de mon sac à dos. < Put-Hein, super ! > fait-elle en feuilletant le "Pfouï". Elle commente à haute voix les photographies. Comme elle le fait à chaque fois. Je bande comme un vrai salop. Je suis d'ailleurs un vrai salop. J'adore la compagnie des salopes. Je m'ennuie tant avec celles qui ne le sont pas...

< Il y a deux filles assises sur des chaises dans un bar. Elles sont assises avec le dossier entre les jambes. Ce qui les obligent à garder les cuisses écartées ! > dit Isabelle en me montrant les photographies. En même temps elle met sa main sous sa jupette dans sa culotte. Je sors mon zob. Isabelle regarde ma queue. Elle me fait un clin d'œil avant de continuer sa lecture. Je vois bouger doucement sa main.

< Le barman et un client viennent se mettre debout devant les filles qui leur ouvrent les braguettes ! > Isabelle me montre en disant : < Regarde la bite du barman, il y a plein de pustules ! C'est dégueulasse ! > Je regarde. En effet le gros plan montre des boutons purulents et suintants. < Les deux filles scrutent cette bite dégoûtante ! L'une y touche et l'autre s'empare des couilles du mec ! > me raconte Isabelle en se touchant.

Je me branle doucement. J'écoute en observant la main de la jeune fille qui s'agite dans sa culotte. Isabelle continue sa lecture envoûtante. < La blonde lèche la queue du type. L'autre regarde avec un air écœuré ! > Isabelle me montre à nouveau les magnifiques photographies en couleurs. La blonde taille une pipe invraisemblable. Isabelle tourne la page en retenant sa respiration.

< Regarde, c'est ignoble ! > me fait-elle en me montrant le cliché de toute une page ou du jus indéfinissable dégouline de la bouche de la suceuse. Isabelle pose le livre au sol. S'en est trop. Tous les deux, en nous fixant, nous nous branlons en gémissant. Comme par télépathie, nous cessons tous les deux. Il serait vraiment dommage de nous payer un orgasme alors qu'il y a encore tant de choses à voir.

On prend nos barres de céréales...

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Tout en me touchant le sexe humide, je clique sur les images pour mieux lire ce qui est écrit dessus.
En plus, je découvre la couverture originale du tout premier Color-Climax. Un "Collector", Vintage.

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Je continue la narration de ces merveilleux souvenirs que j'aime à partager ici, sur ce forum. Ils restent au fond de moi.
Ils le resteront toujours pour des raisons que je dévoilerais plus tard. Ses souvenirs sont liés à tant d'enchantements.
Que peut-il y avoir de plus sublime qu'une telle complicité. Avoir sa voisine comme "pote de branle", c'est le vrai "Top".
Et pour une fille, d'avoir son voisin comme "pote de branle" c'est le "Top". Tout particulièrement lorsqu'on est jeune.

Bonnes découvertes



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il fait très beau ce matin. Je suis dans ma chambre à préparer mes affaires. Nous partons en vacances dans trois jours. J'entends frapper à la porte. J'ouvre. C'est Isabelle. < Je pars dans deux jours ! > me fait-elle un peu tristounette en s'asseyant sur mon lit. Je lui fais part du même sentiment. Je précise tout de même qu'une fois sur les lieux de nos vacances respectives, nous serons bien contents d'y êtres.

Nous partons tous deux. Isabelle avec ses parents dans le Var. Moi avec mes parents en Ecosse. Nous revenons le même jour, dans trois semaines. < Ce n'est pas la mer à boire et une fois sur place nous nous amuserons bien ! > finie par conclure Isabelle en soupirant fortement. J'abonde dans son sens en pliant mes paires de chaussettes et mes slips.

< Cet après-midi, tu fais quoi ? > me demande Isabelle en appuyant sur le couvercle de ma valise. Je lui réponds que je n'ai rien de précis au programme. < On se fait un plan branle ? > me fait-elle en mimant une masturbation masculine. < Demain, je peux venir choisir quelques bouquins pour emmener en vacances ? > me demande Isabelle d'un ton implorant. Elle sait bien que je lui en prêterais.

Isabelle est repartie chez elle. Depuis sa fenêtre, elle me fait des signes et des "coucous". L'après-midi arrive rapidement. Il est 13 h30. Isabelle arrive en poussant sa bicyclette. Je l'emmène à la cave. De ma cachette, elle sort trois magazines. Un Sex-Bizzare No 17, un New-Cunt No 27 et un Color-Climax No 65. Que du bon. De l'excellent.

Isabelle, pressée, met les bouquins dans son petit sac à dos. < J'arrête pas de me toucher en ce moment ! > me dit-elle en passant sa main sous sa jupe. Je lui propose de nous dépêcher de filer. Nous voilà entrain de pédaler sur la petite route. < Même la selle m'excite ! > me dit-elle en se frottant sur la selle de son vélo. En cessant de pédaler. Nous rions de bon cœur. Nous arrivons enfin au mirador. Un de mes coins à branle.

Nous cachons nos bicyclettes dans les fourrés. Depuis le haut du mirador, nous pouvons les surveiller facilement. Nous avons remonté l'échelle en la tirant. Nous voilà inaccessibles à cinq mètres du sol. Il fait chaud. L'ombre des arbres nous abrite du soleil. Isabelle sort les magazines pour se mettre à les feuilleter presque immédiatement. Nous sommes assis en tailleur sur les planches. Elle a déjà une main dans sa culotte.

Isabelle, comme elle aime à le faire, me raconte avec détails, les photographies. Pour ponctuer sa narration, souvent elle tourne le bouquin pour me montrer les clichés. Elle feuillette le Sex-Bizzare. Elle me raconte : < Il y a une fille entrain de se balader sur un chemin. Elle tombe sur un mec qui pisse. Le mec lui sourit en pissant dans sa direction ! > je sors ma bite et je commence à me branler en écoutant.

Isabelle continue. < La fille est à genoux dans l'herbe et regarde le mec pisser. Son visage est tout près de la queue du type. Regarde ! > Je regarde. Isabelle tourne le bouquin pour me montrer les photos. Elle tourne la page et continue : < La fille goûte à la pisse et se met à sucer le mec ! > Je me branle doucement. Je suis autant bercé par la douce voix de ma conteuse que par les cochonneries qu'elle me raconte.

Isabelle pose le magazine au sol. Nous nous masturbons doucement. Chacun avec le même rythme. On se fixe. Nous sommes tous rouges. De la sueur nous coule sur le visage, sous les bras. < Viens, on arrête ! Sinon je m'emmène au bout ! > me fait la jeune fille en se saisissant du bouquin pour découvrir la seconde histoire. Les magazines Sex-Bizzare en proposent le plus souvent trois.

Isabelle continue sa narration avec une histoire de WC ou une fille pisse en se branlant. < J'y arrive pas, moi ! > me fait Isabelle en me montrant les photographies. < Il y a un mec qui arrive et qui la surprend. Il lui lèche la chatte trempée. Il y a de la pisse de la fille qui lui coule sur la gueule. Regarde ! > me fait Isabelle en me montrant la page. J'accélère ma branlette en retenant mon souffle.

A nouveau Isabelle pose le magazine et nous repartons pour une masturbation synchronisée. Cela dure dix bonnes minutes. J'ai de la jute qui me coule sur les doigts. Il en dégouline parterre. Isabelle me montre ses doigts trempés de mouille. < Il faut qu'on arrête ! Sinon on se prive de la suite ! > me fait-elle en s'emparant de deux barres de céréales aux pépites de chocolat. Elle m'en tend une. Comme c'est bon !

Nous passons à nouveau l'après-midi à nous branler pas séquences en mâtant nos saloperies. Il y a des gouttes sur le plancher. Isabelle me montre les siennes. Accroupie au-dessus d'un trou entre les planches, la jeune fille se lâche. Elle pousse plusieurs gémissements en pissant. < Put-Hein c'est bon ! > s'écrie t-elle avant une série d'orgasmes. Il y a de la mouille qui lui dégouline partout. J'éjacule comme un salop et sans faire gaffe. Je m'en mets partout. < Put-Hein, fais gaffe aux bouquins ! Après tu diras que c'était moi ! > s'écrie Isabelle.

Nous prenons le chemin du retour. Nous sommes hyper crevés. Les 5 kilomètres nous en paraissent 50...

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Chères amies lectrices, (et masturbatrices)
Chers amis lecteurs, (et masturbateurs)

Je continue à partager avec vous mes petites anecdotes parfaitement vraies, authentiques et vécues.
Bien évidemment, pour rendre leurs lectures attractives, j'utilise l'articulation narrative du roman.
"Isabelle" n'est qu'un pseudonyme qui permet de protéger l'anonymat d'une jeune fille devenue femme.
Nous étions voisins depuis la petite école jusqu'à la faculté. Nous avons passé tout ce temps en "potes".

Avoir sa belle et jeune voisine comme "Pote de Branle" est tout simplement extraordinaire. Fabuleux.
Je ne m'en suis rendu compte que quelques années plus tard. Mais le passé arrive toujours trop tard !
Vingt quatre années de vie, côte à côte, en voisins, sans n'avoir jamais "consommé" ! Sublime, non ?
Raconter ces histoires permet un plongeon pas du tout nostalgique dans le passé. C'est bandant...

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Nous sommes à la veille de partir en vacances. Demain matin Isabelle s'en ira pour le Var avec ses parents. Moi, demain soir, je partirais pour l'Ecosse avec les miens. Trois semaines. Isabelle et moi nous n'avons ni frère ni sœur. Depuis tous petits nous avons toujours tout partagé. Joies, peines, émotions et depuis quelques années, nos masturbations communes. Ces trois semaines seront longues.

Comme promis, j'emmène Isabelle à la cave. Je sors le carton à trésors de sa cachette. Nous sommes très loin d'avoir fait le tour de tout ce qu'il contient. Il y a là quelques 120 bouquins de cul. Des vrais. Des trucs Danois et Allemands de la grande époque, entre 1972 et 1978. Que du vicelard, du bon, du branlatoire et du "mouilleux". De la très haute qualité.

Isabelle, fébrile comme à son habitude devant le carton à trésor, ouvre les battants. Elle passe ses mains dans les profondeurs des quatre piles pour en extraire ceux du fond. Il serait vain de vouloir faire un choix détaillé. Je le lui fais remarquer. La jeune fille porte son choix sur deux magazines hypers pisseux "Sex-Bizzare" No 37 et No 60, deux magazines "Rodox" No 27 et No 43 puis deux "Pfouï" No 16 et No 24. Que de l'excellent de toutes façons.

Elle les feuillete rapidement. En passant une main sous sa jupette, elle me fait : < Put-Hein, je vais m'éclater ! Tu as un emballage, quelque chose ? >. Je lui passe un épais cornet de papier kraft et un sachet en plastique. < Tiens, à chaque fois tu les ranges la-dedans ! Et surtout, tu les planques ! Ne te fais pas gauler avec ! Tu es prudente ! > que je lui fais remarquer.

< Ne t'inquiète pas ! Je ferais hyper gaffe ! > me fait-elle en emballant soigneusement les saloperies. < Tu vois, c'est correctement rangé. J'aurais tout le temps ce paquet à portée de main et je saurais toujours où il est ! On va chez ma mamie, à la campagne. Ce ne sont pas les cachettes qui vont me manquer ! > rajoute t-elle encore d'un ton rassurant.

Je range mon carton à trésors dans sa cachette et je replaçe la dalle de béton. < On se branle un peu cet après-midi ? > me demande encore Isabelle en mimant une masturbation masculine. < Si tu veux ! On va à l'étang Sondur, dans le cabanon, ça te branche ? > que je lui réponds. Elle me fait un clin d'œil une bise et file chez elle pour achever les préparatifs. Il est 11 h du matin.

L'après-midi, vers 13 h30, Isabelle arrive en poussant sa bicyclette. < Tu as des bouquins ? > me demande t-elle. Je la rassure. Dans mon petit sac à dos j'ai trois magazines bien salaces. Nous nous mettons en route. Tout en pédalant sur le chemin qui nous mène à un de nos coins à branle, Isabelle se touche sous sa jupette. < Comme ça m'ennuie de partir demain ! > me dit-elle en soupirant.

Nous arrivons à l'étang. C'est un petit plan d'eau le plus souvent désert par les grosses chaleurs de l'été. Nous prenons possession du cabanon. Il y a du y avoir des fêtards car quelques ordures ont été abandonnées là. Nous nous asseyons sur les bancs. Isabelle s'empare de mon sac à dos pour sortir les bouquins. Le premier est le "Rodox" No 54 avec la partouze étudiante. Une jeune fille qui suce son prof barbu. Du très bon...

Isabelle, comme à son habitude, se met à raconter et à commenter les photographies qu'elle me montre. Nous voulons vraiment profiter de ce dernier après-midi. Aussi, chacun a déjà passé sa main dans sa culotte. Juste avant de repartir, Isabelle monte sur la table. Elle a sa culotte à mi-cuisses. Elle se concentre un peu, vise et pisse abondamment. C'est génial parce qu'en même temps qu'il y a le jet de pisse, il y a de la cyprine laiteuse qui lui coule de la vulve. Je me branle comme un vrai salop. Je suis un vrai salop.

Il est temps de rentrer...

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Je clique sur les images pour mieux lire ce qui est écrit dessus. C'est ma passion du clic mais aussi mon désir de connaissances...

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Chères amies lectrices - (Qui aimez tant vous masturber) -
Chers amis lecteurs - (Qui aimez tant vous masturber) -

Je remercie infiniment celles et ceux qui suivent avec passion mes petites histoires absolument vraies et authentiques.
Je remercie les quelques retours en messagerie privée qui relatent les témoignages des uns et des autres. Sympa...
Certaines et certains d'entre nous gardons de délicieux souvenirs de ces magazines à nul autre pareil. A cette époque.
Une époque vraiment plus "frileuse" en matière de sexualité qu'aujourd'hui ? Pas si sûr. C'est toujours "Coincé et Cie".

Pour ne pas surcharger inutilement ce post et aller à l'essentiel sans faire de flood, je réponds en messagerie privée.
L'époque où se situe ces aventures se décline sur quatre ans. Une époque bénie des dieux du sexe. Remarquable.
J'ai donc vraiment de quoi alimenter la lectrice passionnée et le lecteur intéressé, par de très nombreuses anecdotes.
Découvrons ensemble ce nouvel opus qui saura nous enchanter par la description sans nostalgie d'une période révolue.

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Ces vacances resteront comme toutes celles que j'ai passé avec mes parents, de grands souvenirs. Une fois encore nous étions dans la famille, là-bas, dans la belle Ecosse. La côté Est, en montant depuis Edimbourg, vers Aberdeen, en passant par St Andrews, reste pour moi, le rituel au quel je sacrifie chaque été. Je revenais donc avec de merveilleuses images plein la tête.

Isabelle était revenue le jour d'avant. Dès qu'elle m'aperçut depuis sa fenêtre, elle se précipita pour me voir. Elle me raconta ses vacances dans le Var, chez sa mamy et chez son papy. Une maison isolée dans la campagne varoise et écrasée de soleil. Par contre, ce séjour semblait avoir éprouvé la jeune fille qui n'en garderait sans doute pas des souvenirs idylliques.

< Je te ramène tes bouquins ! Heureusement que je les avais. C'était d'un ennui, si tu savais ! > me confia Isabelle en me tendant le sachet contenant les magazines. Je les inspectais. Ils étaient nickels. Pas de coins écornés, pas de tâches, parfaits. La jeune fille me confia juste l'anecdote d'un vieil exhibitionniste qui lui montrait sa queue depuis un jardin. < Ma seule "drôlerie" ! > me confia t-elle.

< Cet après-midi, on se fait un "plan" ? Dans trois semaines c'est la rentrée. Je veux en profiter ! > me fait Isabelle en m'entraînant dans le jardin. Je salue sa maman qui est entrain de suspendre du linge. La mienne bavarde avec elle. Nous gonflons les pneus de nos bicyclettes avec soin et en prévision de notre virée de l'après-midi.

Nous mangeons tous les six ensemble, dehors dans le jardin. Nos parents se montrent des photographies et échanges quelques anecdotes de leurs vacances. Isabelle et moi nous évoquons nos rentrées respectives à la faculté. Nos secondes années d'études qui allaient nous entraîner dans un cursus universitaire de six années. Que de merveilleux souvenirs de cette époque étudiante.

Il est 14 h. Nous nous levons. Nous laissons nos parents à leurs conversations. Nous descendons dans ma cachette. Je sors le carton contenant les merveilles. Isabelle, fébrile, s'empare d'une pile. < Enfin ! > s'écrie t-elle en me faisant une bise. La jeune fille choisit le mythique Color-Climax No 67. Il n'est pas très bon mais reste, au titre anecdotique, un "Collector Vintage" très recherché.

Isabelle prend un "Pirate", le No 8. Celui avec la fille qui déguste un mélange de foutre et de pisse dans une flûte à Champagne. Elle s'empare d'un Pfouï" No 17 avec les deux filles qui sucent deux vieux pensionnaires d'une maison de retraite fantasmatique. La jeune fille met ça dans son petit sac à dos. Je referme le carton et je le descends au fond de la fosse. Je mets le couvercle en béton dessus.

< Vous ne revenez pas trop tard, on mange à 19 h ! > nous fait maman en nous voyant partir sur nos bicyclettes. Nous pédalons avec énergie, pressés de nous retrouver dans la situation tant attendue et dans nos activités préférées. Isabelle me propose le mirador. Elle trouve que c'est la toute meilleure planque et qu'on y est si bien. Vingt minutes de vélos et nous y sommes enfin. Il fait chaud.

Nous montons dans le petit espace à six mètres d'altitude. C'est à l'ombre des branchage du grand arbre contre lequel il est dressé. Nous retirons l'échelle afin de nous isoler complètement. De mon sac je tire une grande bouteille de jus de fruits, des céréales et des petits gâteaux. Isabelle tire du sien les magazines pornographiques choisis à la cave. Elle est pressée comme rarement. J'aime la voir ainsi...

Isabelle feuillette le "Pirate" No 16. Comme toujours, tout en feuilletant, Isabelle commente les images qu'elle scrute avec l'attention d'une entomologiste. < C'est une jeune fille qui fait du porte à porte. Elle arrive chez un mec qui lui ouvre en peignoir. Il est moche, barbu et semble incroyablement vicieux ! > J'écoute. Je bande déjà comme un pendu à son gibet. Je me mets la main dans le slip.

Tout en commentant les photos, Isabelle a passé sa main sous sa jupette, dans sa culotte. Parfois, après avoir poussé un gémissement, en apnée, elle tourne le bouquin pour me montrer ce qu'elle regarde. Les clichés sont d'une perfection "scientifique". Isabelle continue sa narration. < Le barbu lui offre une coupe de champagne. La fille est ravie. Ils trinquent ! On voit la bite du mec sous son peignoir ! >.

J'écoute en me branlant doucement. Isabelle poursuit : < Quand le verre est vide, le mec s'en saisi et, debout devant la jeune fille, pisse dedans. La fille semble ravie. Le type se branle et éjacule dans le verre et le tend à la fille ! >. J'écoute en accélérant mon mouvement. Isabelle accélère également. Elle pose le bouquin. Nous nous fixons, remplis d'un bonheur et d'un plaisir infinis. Enfin de retour !

Isabelle me fait : < Viens, on arrête ! Il y a encore tant de choses à voir. Ce serait dommage de s'emmener au bout maintenant ! >. Nous sommes en sueur. C'est vrai qu'il est temps de retrouver nos esprits. Nous dégustons un peu de jus de fruits et nous passons aux barres de céréales. En bas, au loin, on entend des voix. On regarde en cachette. C'est un couple qui promène deux grands chiens. Ils observent nos bicyclettes cachées dans les fourrés et fermées à cadenas. Ils s'éloignent et disparaissent dans la forêt...

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Je clique sur les belles images. Je découvre ce qui est écrit dessus et j'admire les photos du COLOR-CLIMAX No 76.
Je suis émerveillé par ce que je découvre et je mets ma main dans ma culotte...

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Chères amies lectrices - (Qui aimez tant vous branler) -
Chers amis lecteurs - (Qui aimez tant vous branler) -

Nous partons ensemble à la découverte d'une de mes nombreuses et passionnantes aventures avec Isabelle, ma voisine.
Nous sommes toujours encore en été, au mois d'août et nous sommes revenus de vacances il y a à peine quelques jours.
Aussi, la jeune fille et moi nous sommes très heureux de nous retrouver enfin. Il nous reste trois semaines de vacances.
Nous avons donc le profond désir de mettre à profit les jours qui nous séparent de la rentrée universitaire prochaine.

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Nous sommes attablés dans le jardin, nos parents et nous. Avec cette agréable fin de mois d'août, il faut absolument en profiter. Toutes ces opportunités de vivre à l'extérieur sont mises en pratique. Nos parents bavardent. Vacances, travail, projets, toutes ces choses qui font le quotidien. Isabelle me fait des grimaces et du pied sous la table. Elle a laissé ses cheveux en liberté. Comme elle est belle, Isa.

Discrètement, de son index, Isabelle me montre la porte du garage. J'ai compris. Je me lève. Je reviens avec ma bicyclette. Isabelle file à toute vitesse chercher la sienne. Il est 13 h45. < Vous ne revenez pas trop tard, ce soir on fait un barbecue ! > fait la maman de la jeune fille. La mienne rajoute : < On mange vers 19 h30 ! >. Nous avons saisi le message. Isabelle et moi allons au garage.

En fait, le garage de la maison communique avec la cave. Nous nous dépêchons d'aller à ma cachette. Je soulève le couvercle de béton. Je remonte mon carton à trésors. J'ouvre. Isabelle, toujours aussi fébrile, s'empare d'une pile. Les bouquins que nous avons déjà "étudié" sont rangés dans un sachet à part. C'est toujours la jeune fille qui fait le choix des magazines que nous emportons en virée.

Nous entendons les voix de nos pères. Il faut faire vite. Je referme précipitamment la cache au trésor. Isabelle a eu la présence d'esprit de s'emparer de la grosse pompe à vélo. Nous remontons comme si de rien n'était. Nous gonflons les pneus de nos bicyclettes. Nous voilà en chemin sur la petite route déserte et écrasée de chaleur. Direction le petit îlot au milieu de la rivière. Un de nos coins à branle.

Nous enlevons nos baskets, nous soulevons nos vélos et nous traversons le cours d'eau. De l'eau jusqu'aux mollets nous marchons péniblement sur les galets. Nous voilà dissimulés derrière d'épais fourrés. De son sac à dos, Isabelle sort les trois magazines qu'elle a eu le temps de prendre. Moi, du miens, je sors la bouteille de jus de fruits, les pommes et les barres de céréales.

Nous sommes assis sur nos petites serviettes. Isabelle me montre la couverture du Color-Climax No 83, celui avec la fille qui se fait monter par deux black. Elle continue avec le Sex-Bizare No 73, celui avec la domestique qui vient se joindre à la partouze pisseuse des châtelains. La jeune fille termine en me montrant la couverture du "Pfouï" No 23, celui avec la fille godée de partout. Un truc dans le cul !

Rien que les photos nous mettent déjà dans un drôle d'état. < Tu crois qu'il y a réellement des gens qui se baladent avec des trucs enfoncés dans le cul ? > me demande Isabelle en me montrant la photo de la fille avec le plug anal en verre bien enfoncé. < Je crois que c'est surtout pour exciter les nais et pour vendre de la pornographie ! > que je lui réponds en sortant mon sexe turgescent.

Comme toujours, Isabelle me fait la narration descriptive de ce qu'elle feuillette. < La fille est dans la rue, penchée en avant et on voit le plug dans son cul ! Il y a un vieux assis sur un banc qui mâte ! > me raconte la jeune fille. Je me branle doucement, bercé par la voix suave de ma voisine. Elle a d'ailleurs passé sa main sous sa jupette et se branle doucement. < J'aimerais pas ça dans le cul ! > me fait-elle. Nous rions de bon cœur.

< Les trucs dans le cul, c'est pas trop mon truc ! > me fait Isabelle en s'emparant du magazine "Sex-Bizare". < Là, c'est du sévère ! > me fait-elle en tournant le bouquin dans ma direction. Sur les photographies de la première page, il y a une jeune femme, blonde, angélique, vêtue en soubrette. Elle passe l'aspirateur. < Putain, comme elle est belle ! > me fait Isabelle en tournant la page.

Isabelle continue ses commentaires. Je continue ma branlette. < La soubrette fait son ménage et ouvre une porte. Là, elle voit un vieux mec entrain de se faire sucer par la fille des châtelains ! >. Isabelle me montre les photos. La suceuse est une belle brune qui doit avoir 20 ans tout au plus. Elle pompe la bite d'un vieux salace en costard cravate. A côté, une femme, la quarantaine est entrain de se faire lécher par un jeune gars. Sans doute la "mère".

Isabelle continue : < Le vieux a une bite toute molle et pisse dans le visage de la fille ! Alors que la bonne femme pisse dans la tronche du jeune type ! Regarde ! >. Isabelle me montre les trois photos. J'accélère mon mouvement. Isabelle également car elle pose le bouquin parterre. Nous nous branlons comme des bienheureux au paradis des branleurs. Nos masturbations deviennent frénétiques.

< Stop ! Viens, on arrête ! C'est trop con. Il y a encore le Color-Climax à découvrir ! > me fait isabelle en saisissant mon bras pour que je cesse. Je prends la bouteille de jus de fruits. Isabelle me tend une pomme. Nous sommes en sueur. Isabelle me montre sa chatte toute mouillée comme ses doigts luisants de cyprine. Je lui montre la jute qui dégouline de ma queue. C'est vrai qu'il faut se garder pour la suite...

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Fou de joie, à l'idée de mieux lire ce qui est écrit sur ces deux merveilleuses images, je clique dessus. J'en suis étourdi.

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Quel plaisir de partager ces merveilleux souvenirs avec vous. C'est émouvant. J'en serais presque nostalgique.
Mais je suis un homme tourné vers l'avenir. Le passé ne m'intéresse pas vraiment. Si ne n'est pour l'anecdote.
Et cette anecdote, que je partage dans ce nouveau récit, fait remonter quantité de détails dans mon souvenir.
Lorsque nous évoquions cette période, bien des années plus tard, Isabelle avait toujours un sourire énigmatique.

Bonne découverte





Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/12/16 13:34 par Oncle-Julien.
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Suite à un petit souci technique, la suite est disponibleici. Mille excuses...



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGASINES COLOR-CLIMAX

Il ne faisait pas très beau pour ce premier jour de septembre. Il restait deux semaines de vacances avant la rentrée universitaire. J'évoquais cette rentrée avec mes parents. Le plus souvent durant les repas. Mon père, toujours très préoccupé par mon avenir dans ce monde incertain, m'entretenait souvent de ses propres expériences durant ses études. Pour lui, ce n'était pas mieux "avant". Un homme lucide et loin de tous clichés de la pensée bien établie.

Lorsque nous en parlions avec ma voisine, Isabelle, elle me disait être l'objet des mêmes préoccupations de la part de ses parents. Comme nous étions fille et fils uniques, c'est un peu comme si nos parents partaient du principe : < Il n'y aura pas de seconde chance ! Il doit "réussir" ! >. Nous avions beau les rassurer par nos résultats plutôt brillants, cette inquiétude faisait partie de leurs existences. Des parents "normaux", quoi !

Nous étions entrain de deviser de tout cela, tous les six, confortablement installés dans la véranda. Comme souvent Isabelle me faisait des grimaces comiques et du pied sous la table. Nous étions espiègles et nous avions une certaine propension à la farce. Cela finissait toujours par amuser nos parents. Même après une légitime phase de sérieux tout à fait de circonstance. Une phase d'agacement parfois aussi.

Isabelle me faisait des signes discrets. Après toutes ces années d'amitiés, nous étions devenus un peu télépathes. Nous nous comprenions souvent d'un simple regard. Et là, une fois encore, je comprenais parfaitement. Le ciel était couvert, lourd, mais ne présentait pas de réelle menace. Il faisait doux. Un climat très agréable. < Vélo ? > me fait Isabelle. < Je réponds : < Vélo ! >.

Nous nous levons d'un élan commun. < Vous ne rentrez pas trop tard ! > font les mamans presque de concert. < 19 h ! > lance Isabelle en mettant sa main au front et claquant des talons comme le ferait un soldat. Isabelle me faisait souvent rire par ses attitudes, ses bons mots et son caractère mutin. Une jeune fille de 19 ans, belle et avec de l'humour, je n'avais pas vraiment conscience du privilège ! Nous avons rattrapés cette inconscience par la suite. Longtemps après. Ce sera le sujet des histoires à venir.

Nous descendons à la cave. Agenouillés tous les deux au bord de ma cachette, Isabelle me fait : < Cet après-midi je veux ce qu'il y a de mieux ! >. Nous éclatons de rire. Comment pourrions-nous le savoir puisque nous n'avons encore découvert qu'une infime partie de la "collection". J'en fis part à la jeune fille qui me répond : < C'est vrai ! Nous en avons sans doute pour tout l'hiver ! >. Nous rions de bon cœur.

Comme à chaque fois, C'est Isabelle qui fait le choix. Le tout premier numéro de "Sex-Bizare", magazine hyper vicelard et éminemment pisseux. Le No 16 de New Cunt et le No 58 de Color-Climax. Encore une fois que de l'excellente pornographie. Isabelle dispose les trois bouquins dans son petit sac à dos. Moi, dans le mien comme d'habitude, deux pommes, une bouteille de jus de fruits et des petits gâteaux.

Nous remontons, fébriles et impatients. Pourtant nous dissimulons nos émotions pour donner le change. Nous gonflons les roues de nos bicyclettes tout en bavardant avec nos parents. Nous voilà enfin en route. Direction le mirador. C'est l'endroit préféré de ma voisine. Nous pédalons assez rapidement, pressés de nous retrouver dans notre cachette. Un peu comme lorsque nous avions dix ans de moins et que nous faisions des "cabanes". Isabelle aimait déjà que je la regarde faire pipi et aimait également beaucoup m'observer faire pareil.

Nous cachons nos vélos. Nous montons dans l'étroite nacelle. Nous tirons l'échelle à nous. Nous voilà à l'abri de tout. Isabelle sort les trois magazines. Elle feuillette le "Sex-Bizare" No 1. Pas encore du niveau de ses successeurs mais déjà hautement jubilatoire pour tout amateur de branle. < Wouah ! Regarde ! > me fait Isabelle, sans voix devant les photos de la première page.

Comme toujours, c'est elle qui narre. < Une jeune fille se balade sur un sentier. Elle tombe sur un type qui est entrain de pisser. Elle est planquée derrière le tronc d'un gros arbre. Elle mâte ! >. Isabelle tourne le bouquin pour me montrer les images. Je sors mon sexe. Il est en érection. < Déjà ! > me fait Isabelle en continuant sa lecture. < La fille sort de sa cachette et va vers le mec ! >.

Isabelle a également une main sous sa jupette, bougeant doucement dans sa culotte. < La fille prend la bite du type pour en diriger le jet ! >. Je me masturbe doucement, bercé par la voix de la jeune fille. Elle me tend le bouquin en me disant : < Regarde ! C'est dégueu, elle suce la pisse qui dégouline du rocher ! >. J'observe. Nous nous masturbons en nous fixant. Nous sommes au paradis.

Cela dure quelques longues minutes. Isabelle me prend le bras pour que je cesse et ramasse le bouquin. Nous passons à la seconde histoire. Il y en a toujours trois. La jeune fille fait un effort pour retrouver ses esprits. Isabelle me paraît beaucoup plus perturbée que les autres fois. La rentrée prochaine m'avoue t-elle en soirée sur le chemin du retour. Elle reprend sa narration. < C'est deux meufs attablées dans un salon. Il y a un domestique qui vient leur apporter le thé et des pâtisseries ! >. Isabelle me montre les photos.

< Une des deux femmes pisse car il y a une large flaque sur le plancher. Le valet se rend compte et se met à genoux pour aller lécher le sol. L'autre femme lui met une jambe sur la nuque ! > Isabelle pose le bouquin en me faisant : < Regarde ! Oh putain, c'est génial ! > fait-elle en accélérant son petit mouvement. J'accélère également. Mais cette fois-ci, c'est moi qui me saisit du bras de la jeune fille.

< Stop ! Il faut qu'on se calme ! Il y a encore une histoire et deux autres bouquins ! > que je lui signifie en lui tendant le paquet de petits gâteaux. Isabelle, en sueur, comme moi, respire plusieurs fois profondément. Elle ouvre le paquet de gâteaux et s'empare de la bouteille de jus de fruits. < Putain ! Comme c'est génial ! Tu as vu ces saloperies ! C'est incroyable ! > me fait-elle avant de boire...

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Je continue le plaisir partagé de la narration de ces merveilleux souvenirs. C'est un bonheur.
Quelques uns d'entre nous ont eu le même privilège. Avoir une "Pote de branle". Une complice.
Nous savons les délicieux frissons qui nous parcourent l'échine lorsqu'il nous arrive d'y penser.
Avec cette nouvelle aventure, je vous invite à partager les miens. Attention, c'est branlatoire.

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il fait chaud. Nous sommes au début du mois de septembre. Dans dix jours, c'est la rentrée. Isabelle et moi en parlons de plus en plus fréquemment. Ce sera, pour tous les deux, notre seconde année de faculté. Nous aimons nos études. Aussi, c'est avec une certaine impatience que nous attendons cette échéance. Pour l'heure toutefois, nous projetons une virée à bicyclette dans l'après-midi.

Nous préparons la table. Une fois encore, avec nos parents, nous allons manger dans le jardin. C'est depuis tant d'années que cela en est devenu un rituel. Nos parents sont les meilleurs amis du monde. Lorsque ma chère voisine, Isabelle, est venue habiter la maison d'à côté, nous avions à peine 5 ans. Nous avons aujourd'hui quelques années de plus. Des années de complicité et d'amitié. C'est dire si les habitudes et leurs fonctionnement se sont insidieusement installés.

Comme toujours, nos parents parlaient de leurs professions, de leurs projets ou encore de leurs passions. Isabelle et moi, nous nous faisions des signes convenus et nous évoquions nos petites histoires à nous. Isabelle adorait me faire du pied sous la table. Un peu comme un langage codé. Avec un clin d'œil, montrant discrètement la porte du garage, ma voisine me fit comprendre qu'il était l'heure de filer. Isabelle se leva pour aller chercher sa bicyclette. Elle revint rapidement.

Je me levais pour aller au garage chercher la mienne. < Attends, je viens avec, je prends la pompe ! > me fait Isabelle en me suivant. Nous descendons rapidement à la cave. Là, je soulève le couvercle de ma cachette. Je remonte le carton. Isabelle y plonge ses mains pour se saisir de trois bouquins. Color-Climax No 94, "Rodox" No 53 et "Teenage Sex" No 31. Que du très bon. De l'excellent.

La jeune fille met les magazines dans son sac à dos. Je remets tout en place. Tout n'a duré que quelques minutes. Nous remontons. Nous faisons semblant de gonfler nos vélos. Nos parents rient et bavardent sans faire attention à nous. Nous allons à la cuisine. Je prends une bouteille de jus de fruit et des barres de céréales. Nous allons chez Isabelle qui prend des gâteaux et deux pommes.

< Vous ne rentrez pas trop tard ! > nous lance la mère à Isabelle. Nous la rassurons. Nous voilà en route pour un de nos coins à branle. Nous jetons notre dévolu sur le cabanon au bord de l'étang. Isabelle, tout en pédalant vite, imprimant ainsi un rythme rapide, me fait : < J'ai hyper envie cet après-midi. Je suis excitée depuis ce matin ! >. Je garde le silence de peur qu'il ne s'échappe.

Cinq kilomètres sur la petite route et nous voilà à l'étang. Il y a un vieux pêcheur, là-bas, sur l'autre rive. Nous mettons les vélos dans le cabanon. Il y règne un peu d'une agréable fraîcheur. Isabelle, impatiente et fébrile, jette son sac à dos sur la table et en sort les bouquins. Elle n'a pas commencé à feuilleter le premier magazine qu'elle a déjà une main sous sa jupette, dans sa culotte.

< Viens, assis-toi, je te commente les photos ! > me fait la jeune fille. Comme toujours, elle adore conter à haute voix ce qu'elle découvre. Elle feuillette le magazine "Teenage Sex". Elle commente : < C'est une salle de classe. Il y a une dizaine de filles. Le prof est un barbu très moche, regarde ! >. Isabelle tourne le bouquin pour me montrer. Je regarde. Le type est derrière son bureau. Barbu. Style années 70. Petite lunettes façon John Lennon.

< Le prof a la bite à l'air, il se branle. Il y a une des filles qui a repéré le manège. Elle lève son doigt. Elle se lève pour venir se mettre debout à côté du bureau. Elle a une main entre ses cuisses et montre la porte ! >. J'écoute la voix de Isabelle qui me raconte toutes ces saloperies comme si elle me lisait un livre de cuisine. Je sors ma bite pour me la caresser doucement. Je bande comme un salop. Je suis un salop !

Isabelle continue sa narration : < La fille a demandé d'aller aux toilettes. Une autre a les jambes largement écartées et montre sa culotte au prof ! Regarde cette salope ! >. Une fois encore Isabelle tourne le bouquin pour me montrer les photos. Je me branle doucement. Isabelle a quelques soubresauts sur le banc. Elle se fait tellement de bien. C'est moi qui lui dit < Stop" ! On se fait une pause ! >.

< Tu as raison ! Mais c'est tellement bon. Regarde ! >. Isabelle me montre ses doigts mouillées de foutrine. Je lui montre les miens gluants de liquide séminal. Nous rions de bon cœur. Je me saisi de mon sac pour en sortir la bouteille et les barres de céréales. Cette petite pause nous remet les idées en place. Isabelle se lève et va s'accroupir dans le coin. Tout en pissant, elle me regarde fixement.

Je me lève pour aller scruter son entre jambes. Il y a des coulures de cyprine blanchâtre qui dégoulinent de son sexe vers l'anus tandis que les petits jets de pisse jaillissent drus vers l'avant. C'est un spectacle merveilleux que m'offre de plus en plus souvent la jeune fille. Elle me confirme que ses tendances exhibitionnistes s'affirment de plus en plus. Comme elle belle, ainsi accroupie, me fixant de ses yeux noisette. Notre amitié ne tarderait plus à se transcender vers de plus profonds sentiments encore. Je me souviens qu'à cet instant précis, nous en avons tous deux pris conscience.

Soudain, là, sur la droite, le vieux pêcheur qui devait mâter depuis un moment, nous fait : < Alors les jeunes, on s'amuse ? Je peux jouer avec vous ? >. Le vieux salopard se touche au travers de son short kaki. Isabelle se redresse rapidement. Je me lève. La jeune fille et moi sommes tous deux de haute taille. Le type nous arrive aux épaules. Je m'avance un peu. Il me toise et comprend vite. Il ne joue pas dans la même "catégorie".

Il tourne les talons et s'en va. < Put-Hein le con ! Nous faire chier comme ça ! > lance Isabelle en rangeant nos affaires. Nous prenons nos vélos et nous partons. Le vieux salace est dehors à nous observer avec des yeux en trous de pine, l'air niais. < Viens, il est sans doute crétinisé par ce qu'il a vu ! > me fait Isabelle en sautant sur sa bicyclette. Elle lui tire la langue. Le vieux se casse sans demander son reste, tête basse.

Nous partons pour notre "Plan B", le mirador. Là au-moins, pas de risque d'être emmerdé par qui que ce soit. Un quart d'heure de vélo et nous y sommes. Nous voilà confortablement installés dans notre petit nid inaccessible. Isabelle peut enfin reprendre le fil de sa lecture. Nous nous branlons dans la joie et le plaisir d'une sérénité retrouvée...

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Chères amies lectrices - (Qui vous masturbez avec bonheur)
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Avec tous le plaisir que la lectrice et le lecteur devinent, je continue à narrer nos belles aventures, à Isabelle et à moi.
Nous mettons à profit chaque jour qui nous sépare de la date fatidique de nos rentrées à la faculté. Plus que dix jours.
Isabelle, depuis tant d'années, sait m'enchanter par ses initiatives, ses improvisations, son intelligence et son humour.
C'est donc, depuis tout ce temps, un bonheur d'être en sa compagnie. Nous sommes inséparable depuis la maternelle.

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Nous venons de terminer notre dessert. Nos parents bavardent en riant à la table du jardin. Tous les six, nous avons encore pris notre repas dehors. Il fait si doux et si agréable en ce début de mois de septembre. Isabelle et moi, nous préparons nos bicyclettes. Il est prévu une virée cet après-midi. < On va choisir des bouquins ? > me fait la jeune fille en m'entraînant au garage.

Nous descendons à la cave. De ma cachette je tire le carton contenant nos trésors. Avec son impatience habituelle, fébrile, Isabelle sort trois bouquins des quatre piles. Comme les magazines que nous avons déjà "étudié" sont rangés à part, il n'y a pas de confusions possible. La jeune fille s'empare du Color-Climax No 67, mythique et "collector". Du "Pfouï" No 20 et du Sex-Bizarre No 78. Que de l'excellent.

Isabelle met les trois magazines dans son petit sac à dos. Nous rangeons le carton dans sa cachette et nous remontons. Comme toujours, rusée et stratège, Isabelle ramène la grande pompe à vélo. Nous donnons ainsi le change et nous gonflons nos pneus. < Vous êtes de retour pour 19 h, ce soir c'est barbecue ! > me lance maman tout en me tendant des barres de céréales et du jus de fruit.

Nous voilà entrain de pédaler sur cette petite route de campagne. Isabelle me propose le mirador. < Nous y serons tranquille ! Je n'ai pas envie d'être emmerdée cet après-midi ! > me fait-elle en accélérant. Nous pédalons, parcourant les cinq kilomètres qui nous séparent de notre coin à branle préféré. L'endroit est désert. Nous cachons nos bicyclettes. Nous montons dans l'étroite cabine. Nous tirons l'échelle.

Nous voilà cachés dans notre "nid d'aigle", parfaitement inaccessibles et tranquilles. Isabelle sort les bouquins de son sac. < J'arrête pas de me toucher en ce moment, et dès le matin ! > me fait la jeune fille en retirant sa culotte. Elle s'empare du Color-Climax pour se mettre à le feuilleter. < Regarde un peu ces saloperies ! > me dit-elle en mettant sa main sous sa jupette. < Comment je pourrais penser à autre chose, on fait "ça" presque tous les jours ! > rajoute t-elle encore dans un profond soupir.

Le magazine Color-Climax No 67 est un de ces fameux "hors-série" très recherchés. Plus épais et proposant une quatrième histoire. Isabelle, comme à son habitude, commente les images qu'elle scrute avec une attention d'entomologiste. < Ce sont deux étudiantes qui viennent prendre des cours du soir chez leur prof ! Une d'entre elles lui sort la bite. Regarde ! > fait Isabelle en me montrant les pages.

Je sors moi aussi ma bite. Isabelle continue : < L'autre se penche pour la renifler. Regarde, il y a des pustules sur le gland ! >. La jeune fille retourne le magazine afin que je puisse constater ce qu'elle me décrit. Elle continue : < La fille se penche encore et se met à sucer ! L'autre fille tient les couilles du mec. Regarde ! >. Isabelle tourne à nouveau le bouquin. Je me masturbe doucement d'un mouvement lent.

Les images, explicites et hautement masturbatoires, nous excitent tous deux considérablement. Isabelle me montre ses doigts luisant de cyprine assez épaisse. Je lui montre les miens plein de liquide séminal. Nous reniflons chacun les doigts de l'autre. < Un jour, il faut qu'on se "goûte" ! Tu veux ! >. Je reste silencieux. Nous nous observons longuement en nous masturbant doucement.

< Viens ! On arrête un peu ! Je vais arriver au bout trop vite. On fait durer. Tu veux ? > me fait Isabelle en prenant mon bras pour stopper mon mouvement. J'ai soudain envie de la couvrir de bise. Nous nous observons d'une étrange façon. Nous n'avions pas encore vraiment conscience que d'insidieux sentiments venaient se mêler de nos masturbations. Pas moi, en tous cas. Isabelle sans doute plus perspicace, savait certainement ce qui nous pendait au nez. Les filles savent toujours toutes ces choses bien avant les garçons.

Je sors des barres de céréales et la bouteille de jus de fruit de mon sac. Nous dégustons notre collation. Isabelle louche sur le bouquin posé à ses côtés. < Il ne faut pas que je regarde tout de suite ! > me fait-elle en écartant ses cuisses pour me montrer la cyprine qui s'écoule de sa vulve. En secret, j'ai subitement l'envie folle d'y goûter. C'est la première fois. Isabelle lit dans mes pensées. Depuis toutes ces années, nous avons développé une véritable télépathie.

Pour la première fois, une sorte de pudeur s'empare de nous. Ce phénomène participe d'une excitation bien supérieure encore. Isabelle pose sa barre de céréale et touche son petit bouton en s'écriant : < C'est trop bon ! >. La jeune fille est secouée de quelques spasmes. Je la regarde agitée par un orgasme irrépressible. Elle me fixe, les yeux humides. Je peux voir gicler un jet de foutrine de sa vulve. C'est merveilleux. Il y à une coulure depuis son sexe qui achève de s'écouler au sol. Elle se redresse pour s'accroupir dans le coin.

Là, au-dessus le l'ouverture entre deux planches, Isabelle se lâche. Les doigts sur son clitoris, la tête rejetée en arrière, la jeune fille pisse de plusieurs petits jets. Je me masturbe doucement. Je tente de me maîtriser. Malgré moi mon mouvement s'accélère. Je ne peux pas le contrôler. C'est trop fort. J'éjacule dans la flaque de cyprine déposée par Isabelle. Isabelle se touche à nouveau en gémissant.

Nous tombons l'un contre l'autre. Pour la toute première fois de notre vie, nous découvrons une nouvelle dimension. Nous tombons au sol et nous nous endormons ainsi, enlacés. Nul doute qu'une force qui nous dépasse vient de s'emparer de nos âmes, de nos cœurs et de nos êtres...

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Chères amies lectrices - (Qui aimez tant vous masturber)
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Quoi de mieux pour un homme, (un vrai), que d'avoir "UNE COPINE DE BRANLE" ?

Nous continuons nos périples masturbatoires, Isabelle et moi. Je relate ici un de ces nombreux après-midi.
Un de ces après-midi où nous partions à bicyclette, Isabelle et moi, pour aller mâter nos magazines pornos.
Que de souvenirs dans nos coins à branle. Nous nous en sommes offert du bon temps ! Ce n'était que le début.
Découvrons ensemble cette nouvelle escapade hautement branlatoire, émouvante et surtout inoubliable...

Bonne lecture



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il ne fait pas très beau cet après-midi de ce début du mois de septembre. Depuis deux jours le ciel est gris. Il fait pourtant doux.
Aucun risque de pluie toutefois. Et les grosses chaleurs ont fait place à une grande et agréable douceur. C'est vraiment superbe.
Une fois encore, nous prenons notre repas de midi dehors dans le jardin. Nos parents, Isabelle et moi. La conversation est sérieuse.
Nous parlons de nos études, de la rentrée prochaine pour notre deuxième année de faculté et surtout de nos projets professionnels.

Il est déjà treize heures trente. Isabelle me fait du pied sous la table. Avec nos facultés télépathiques, nous nous comprenons.
Je me lève le premier. Isabelle me rejoint au garage. Je sors mon vélo. Isabelle file chercher le sien. Elle revient en le poussant.
< On va chercher la pompe ? > me fait-elle avec un clin d'œil. Nous allons à la cave. Nous ouvrons notre cachette à trésor.
Du carton que j'en sors, Isabelle s'empare de deux bouquins. < Pourquoi seulement deux ? Pour mieux les étudier ! > me fait-elle.

Nous rions de bon cœur en mettant le Color-Climax No 87 et le "Madame X" No 33 dans le petit sac à dos de la jeune fille ravie.
Nous mettons tout en place. Nous remontons. Nos parents sont entrain de débarrasser la table. Je vais à la cuisine. Fruits.
Je prends quelques barres de céréales et une grande bouteille de jus de fruit. Isabelle a des petits gâteaux. Nous voilà prêts.
< Ne rentrez pas trop tard ! > nous lance la maman à Isabelle. Nous voilà à pédaler sur la petite route en direction du mirador.

Le mirador restera pour les huit jours à venir, notre seule et unique destination. C'est un lieu sûr, isolé et vraiment tranquille.
< J'ai une envie folle de me toucher ! > me fait Isabelle pendant que nous fermons le cadenas de nos bicyclettes cachées là.
Nous montons dans l'étroit cabanon du mirador. Nous remontons l'échelle. Nous voilà loin de tout, dans notre bulle préférée.
Isabelle, fébrile, impatiente, mais avec un geste sûr, sort les bouquins de son sac. Elle les étale devant nous, assis en tailleur.

Isabelle retire sa culotte dont elle me montre la protection déjà mouillée. < Tu vois comme je suis excitée ? > me demande t-elle.
Je lui fais un sourire en retirant mon short et mon slip. Je lui fais voir la mouille au fond du mien. Nous rigolons comme des bossus.
< Je vais te faire la lecture ! En fait, je lis surtout pour me donner de la contenance ! > lance Isabelle en feuilletant un bouquin.
Elle s'est saisie du Color-Climax. Le numéro quatre vingt sept est un véritable "must". Nous n'allons pas tarder à le découvrir.

< C'est un mec, très moche, barbu, style années soixante dix, qui est couché sur son lit et qui se branle ! > commence Isabelle.
< Il se masse la turbe en regardant un Color-Climax ! Ils se font leur propre pub là-bas ! > continue Isabelle en me montrant.
Je regarde les photos. Je lui dis : < Il me semble que nous l'avons ce No 96 ! >. < On verra ! > me répond Isabelle en lisant.
< Il y a une fille qui regarde par le trou de la serrure ! Regarde, elle se touche ! >. Isabelle me montre une fois encore les photos.

Je me branle doucement. Isabelle a passé sa main sous sa jupette. < Elle entre sans frapper ! Souriante ! > continue la jeune fille.
< Elle s'assoit sur le lit à côté du type pour feuilleter le magazine qu'il a maladroitement caché sous l'oreiller ! Regarde ! >. Je regarde.
< Elle regarde les saloperies et s'empare de la bite du barbu ! >. J'écoute la douce voix de ma chère voisine me raconter tout ça.
< Elle lui suce la queue ! Regarde ! Elle a les joues creusées par l'effort de succion ! > me fait Isabelle en me montrant les photos.

Isabelle et moi, soufflant quelque peu, nous avons accéléré nos mouvement masturbatoire. Comme toujours, il faut faire un effort.
Il n'est pas question d'avoir un orgasme au premier bouquin. Et à la première histoire en plus ! J'invite Isabelle à marquer une pause.
< C'est tellement bon ! J'ai du mal à m'arrêter en ce moment ! > me fait-elle en me montrant ses doigts mouillés de foutrine claire.
Je lui montre le jus qui dégouline du bout de ma queue jusque sur les couilles. < On se prend des gâteaux ? > me demande Isabelle.

Nous dégustons nos petits gâteaux en retrouvant nos esprits. Nos respirations sont revenues à la normale. Une gorgée de jus de fruit.
< A la rentrée, je viens chez toi un soir sur deux et toi tu viens chez moi un soir sur deux ! > fait la jeune fille d'un ton péremptoire.
Je n'ai pas d'autres alternatives que d'être d'accord. Isabelle sait se montrer autoritaire. Mais je n'ai jamais à m'en plaindre. Elle sait.
< De toute façon on prend le même bus le matin et le même bus le soir, tous les deux ! > me fait-elle encore en prenant le bouquin.

Isabelle recommence sa lecture. < La fille s'est assise sur la queue du mec qui lui tripote les seins ! Ils baisent à la hussarde ! >.
< Ils multiplient les positions les plus ridicules ! Rassure-moi, dans la vraie vie, personne ne baise comme ça ? > me fait Isabelle.
< Je n'en sais fichtrement rien ! Mais c'est vrai que ça évoque plutôt un numéro de contorsionnistes, au cirque ! > que je réponds.
Nous rions tous deux de bon cœur tout en reprenant nos masturbations réciproques. C'est un nouveau moment absolument divin.

Nous passons au deuxième magazine après avoir dégusté des barres de céréales et des pommes. Nous sommes couverts de sueur.
< Demain, on emmène des bouquins mais on essaie de ne pas les ouvrir. On se branle sur ce qu'on se raconte ! > me fait Isabelle.
Je suis enchanté par la nouvelle proposition de la jeune fille. Depuis toutes ces années chacune de ses initiatives est heureuse.
Même lorsque nous construisions encore nos cabanes au fond du jardin. Ou que je montais mon train électrique dans son salon.

Nous terminons la découverte du "Madame X". C'est "Bondage" made in Germany. Donc du salace, du juteux et très vicelard.
Nous n'en pouvons plus. Nous nous emmenons au bout. Isabelle, comme cela lui arrive de plus en plus souvent se met à pisser.
Cela semble d'ailleurs lui offrir une série d'orgasmes prodigieux. Ses petits cris se transforment également en petits hurlements.
Je lui fais remarquer qu'il faudrait jouir moins fort. Cela pourrait attirer l'attention de quelques promeneurs. Elle s'essuie en riant...

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Notre périples et nos aventures continuent pour notre plus grand plaisir. Isabelle et moi passons du bon temps.
Je me souviens avec une précision inouïe de chacun de nos moments passionnés. Même lorsque nous étions petits.
Ce n'est qu'à l'adolescence que notre notre amitié s'est prolongée dans une complicité totale et merveilleuse.
Nous découvrons ici un nouvel épisode passionnant. Un épisode qui saura nous émouvoir autant que nous exciter.

A l'époque de ces récits, nous sommes bien évidemment majeurs et nous avons fêté nos 19 ans, il y a quelques mois.

Bonne découverte.




LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Nous sommes à quatre jours de la rentrée. Cet après-midi est un des tous derniers de ce merveilleux été qui se prolonge jusqu'en cette mi-septembre. Il fait beau. Il fait encore chaud. Ce matin, avec nos parents, Isabelle et moi nous sommes allées à la faculté afin d'y procéder aux dernières formalités. Nous allons entrer en seconde année lundi. Nous sommes jeudi. Nous sommes impatients.

Rien ne nous passionne autant que nos études. Rien si ce n'est tous ces bons moments que nous passons ensemble. A midi, c'est le repas. Nous nous promettons de nous voir dès treize heures trente pour une nouvelle escapade à bicyclette. Depuis la fenêtre de sa chambre, Isabelle me fait quantité de signes. Depuis la fenêtre de ma chambre je fais de même. Nous échangeons grimaces et rires.

A l'heure prévue, Isabelle traverse nos jardins en poussant son vélo. Je l'attends devant la porte du garage. Nous descendons à la cave. J'ouvre ma cachette aux trésors. Comme toujours, Isabelle, impatiente, extrait deux magazines du carton. Le Color-Climax No 87 et le "Teenage Sex" No 43. Que du très bon. De l'excellent. < On n'en prend que deux pour les étudier à fond ! > me fait la jeune fille.

Elle met rapidement les deux bouquins dans son petit sac à dos. Dans le mien, il y a du jus de fruit, des barres de céréales. Dans celui de la jeune fille il y a aussi deux pommes et des petits gâteaux. Nous remettons tout en place. Nous remontons. Nous voilà en route pour notre coin à branle préféré, le mirador. C'est devenu notre "planque". Nous y laissons même du chocolat et autres victuailles.

Nous pédalons à toute vitesse sur les cinq kilomètres qui nous séparent de notre destination. Nous sommes dans un état de bonheur indescriptible. Bientôt la rentrée. Bientôt nos masturbations. Nous arrivons. Nous dissimulons nos bicyclettes dans les fourrés. Nous montons dans le miradors. Nous tirons l'échelle vers nous. Nous voilà à l'abri. L'après-midi est à nous. Nous ne savons pas encore...

Fébrile comme à son habitude, Isabelle sort les deux magazines de son sac. Isabelle retire sa culotte. Moi je retire mon short et mon slip. Nous sommes assis sur nos deux petites serviettes. Isabelle commence à feuilleter les bouquins. Comme à chacune de nos séances de branles, la jeune fille fait la lecture, à haute voix, de ce qu'elle découvre. Moi, aux anges, j'écoute avec ravissement.

< Regarde ! C'est une jeune fille avec un vieux ! > me fait Isabelle en me montrant les deux premières pages du magazine "Teenage-Sex". Je découvre une ravissante jeune fille qui est assise en face d'un vieux monsieur qui semble la gronder. < Il a ouvert sa braguette ! Quelle vilaine bite qu'il a, mâte ça ! Immonde ! > me fait Isabelle en me montrant la page suivante. Je me touche doucement. J'ai une érection presque douloureuse.

Isabelle a passé une main sous sa jupette. < La fille est à genoux devant le vieux monsieur qui lui montre sa queue. Et à quelques centimètres du visage ! > continue ma voisine dont le mouvement du poignet ne laisse plus aucun doute quand à son activité. < Il y a du jus qui coule, c'est quoi ? Regarde ! > me fait encore Isabelle. Je regarde. Nous nous masturbons en retenant notre souffle.

< La fille suce le vieux type. Beurk ! Regarde, c'est un gras du bide ! Quelle horreur ! >. Isabelle me montre la suite des photographies en tournant les pages. La fille a plein de sperme épais et visqueux sur le bas du visage. Il y a un autre vieux qui arrive. < Mais comme c'est vicelard ! C'est un autre gros lard ! > me fait Isabelle en posant le livre afin de se caresser avec les deux mains. Nous sommes en apnée et en sueur.

Isabelle me fixe dans les yeux. Nous nous scrutons. Nous nous analysons. Nous essayons d'aller au plus profond de l'autre. La messe est dite. L'amour fait son apparition insidieusement mais sûrement. < Viens on s'arrête. On n'a pas tout vu et il reste l'autre bouquin ! > me lance la jeune fille en me tenant le bras. Son autre main glisse dans la mienne pour la serrer. Nous nous fixons en silence.

Même si j'en ai envie depuis très longtemps, quatre années au moins, je n'ai jamais rien tenté dans ce sens. C'est Isabelle qui en prend l'initiative. Elle s'approche et se blottie contre moi avant de poser sa bouche sur la mienne. Je garde mes lèvres serrées. Je n'ai encore jamais embrassé de ma vie. Isabelle enfonce sa langue dans ma bouche. Je ne sais même pas que cela se fait avec la langue !

Je bande de façon invraisemblable. Nous nous embrassons ainsi presque tout le reste de l'après-midi. Fini les bouquins pornos. Nous découvrons tous les deux une nouvelle dimension. Je sens mon cœur battre dans ma poitrine. Je sens celui de la jeune fille. Nous vivons là nos premières véritables émotions amoureuses. Nous ne nous parlons plus. Nous sommes haletants et presque anxieux.

Nous sommes presque inquiets de ce que nous faisons, de ce que nous découvrons. Je prends tout mon courage pour dire les mots. Je suis terriblement gêné, comme bloqué par une pudeur ridicule et j'ose enfin, en murmurant à l'oreille de la jeune fille : < Je t'aime ! >. C'est comme si j'avais déclenché un séisme. Le corps d'Isabelle est comme envahit d'une force impressionnante. Elle me serre si fort !

< Moi aussi ! > me fait-elle dans un souffle. Nous ne savons que faire. Soudain, tout ce que nous avons vécu jusqu'à présent semble appartenir à un passé lointain. Nous prenons tous deux consciences qu'à présent, rien ne sera plus jamais comme avant. Comme Adam et Eve, chassés du Paradis, nous prenons soudain conscience d'êtres nus. Il ne nous reste plus qu'à nous serrer l'un contre l'autre.

Nous venons de tomber dans l'âge adulte...

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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous continuons la découverte de nos aventures avec ce charmant nouvel épisode qui nous met en scène, Isabelle et moi.
Cela fait trois ans que nous nous offrons ces merveilleux moments. Nous nous connaissons depuis si longtemps et si bien.
Nous avons dix neuf ans. Nous sommes voisins et amis depuis quatorze ans. Nous avons tout appris ensemble. Superbe.
Ma "pote de branle" s'avère la plus merveilleuse amie et complice qu'un garçon puisse avoir. La réciproque "fille" est identique.

Nous découvrons ici ce nouvel opus. Bonne lecture...



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

La rentrée universitaire, c'est après-demain. Il nous reste deux jours de vacances avant cette échéance. Il fait toujours aussi beau en cette mi-septembre. Le ciel est bleu. Le soleil y est radieux. Il fait doux et très agréable. Avec nos parents, Isabelle et moi, une fois encore, nous mangeons dehors, dans le jardin. Nos parents parlent avec passion de leurs professions.

Isabelle, tout en me faisant du pied sous la table me fait des grimages et des clins d'œil. Après le dessert, vers une heure trente, la jeune fille me montre le garage en pointant son doigt. Avec toutes ces années, nous sommes devenus télépathes. Nous nous comprenons le plus souvent d'un simple regard. Je me lève le premier. Isabelle fait de même pour chercher sa bicyclette.

Nous allons dans mon garage avec toujours ce prétexte d'y chercher la pompe à vélo. Isabelle me prend la main et m'entraîne à toute vitesse à la cave. Je soulève le couvercle en béton de la cachette. C'est Isabelle, pressée et fébrile qui tire sur les ficelles pour remonter le carton. Elle ouvre les deux battants du couvercle pour se saisir de deux magazines. Color-Climax No 91, et "Pfouï" No 39.

Elle met rapidement les deux bouquins dans son sac à dos. Je referme la cachette. Nous remontons pour faire semblant de gonfler les pneus de nos vélos. < Vous ne rentrez pas trop tard, on mange à dix neuf heures ! > nous fait la maman d'Isabelle. Je récupère une bouteille de jus de fruit, des barres de céréales. Isabelle a des pommes et des petits gâteaux. Nous voilà en chemin.

Nous pédalons à toute vitesse sur la petite route déserte qui nous mène au mirador. Nous savons que c'est notre dernière "branle-partie" de l'été. Même si nous savons qu'il y en aura d'autres, les "branle-parties" de l'automne. Nous voilà arrivés. Nous cachons nos bicyclettes dans les fourrés. Nous montons dans le mirador. Nous tirons l'échelle et nous voilà isolés dans notre univers à nous.

Isabelle sort les deux magazines de son sac. Elle enlève sa culotte avant de s'asseoir en tailleur. J'enlève mon short et mon slip. Isabelle commence à feuilleter le Color-Climax. Comme d'habitude, c'est elle qui nous raconte en tournant les pages. J'aime entendre le son de sa voix qui décrit les invraisemblables saloperies que sont les photographies de ces bouquins pornographiques de très haute qualité.

< C'est une jeune fille qui attend le bus dans un cabanon au bord de la route. Elle se touche. elle porte un petit sac ! > commence Isabelle de sa voix douce. < Le bus arrive, elle y monte. Elle s'installe au fond sur la banquette de gauche. Sur la banquette de droite, il y a un mec ! > continue Isabelle en tournant le bouquin afin que je puisse regarder. Très belles photographies en couleurs.

< Le type est entrain de se branler. La fille vient de le remarquer. Elle a une main sous sa jupe. Regarde ! > me fait Isabelle en me montrant les photos. Elle continue : < Le type lui fait signe de l'index. La fille vient s'asseoir à côté du pervers ! Regarde la bite qu'il a ! Toute fripée ! > me fait Isabelle en tournant le magazine pour que je puisse voir. Isabelle commence à se toucher. Moi aussi.

La narration continue. De sa voix claire, Isabelle continue : < La fille tient la bite du type. Il tente de lui rouler une pelle. Visiblement elle refuse ! Regarde ! > me fait la jeune fille en me montrant les photos. < Par contre elle se laisse doigter par le mec ! Elle se laisse glisser sur le côté pour lécher la queue du bonhomme ! Regarde ! >. Je regarde le bouquin que me tend Isabelle. Isabelle se masturbe doucement.

Isabelle pose le livre au sol, à ses côtés. Elle se fait du bien du bout de ses doigts. Je me masturbe doucement également. Nous sommes en apnée. Nous poussons de profonds soupirs. Le moment est bien évidemment divin. Nous restons ainsi à nous fixer durant de longues minutes. Nous sommes enivrés de plaisir. La sueur nous coule sur les joues, chatouillant le bout de nos nez. C'est prodigieux.

< Arrête ! Stop ! > me fait Isabelle en me bloquant le poignet avant de rajouter : < Nous n'avons pas tout vu. On se garde jusqu'à ce soir. Je veux m'offrir un dernier après-midi de folie ! >. nous arrêtons nos masturbation pour déguster deux belles et grosses pommes. Nous soufflons et nous sommes comme soulagés. Même si nous restons terriblement excités, nous avons tellement l'habitude de ces séances.

Nous passons ainsi l'après-midi à entrecouper nos masturbations par les dégustations de gâteaux, de jus de fruit et de barres de céréales. Ce n'est qu'avant de redescendre du mirador pour prendre le chemin du retour, que nous nous emmenons au bout. Isabelle connaît des orgasmes fabuleux. La tête rejetée en arrière, la bave aux lèvres, la chatte ruisselante de mouille, elle pousse quantité de petits râles. Des gémissements qui accompagnent les spasmes de son corps. J'éjacule à en perdre la raison. Je tombe en arrière.

Nous restons plusieurs minutes ainsi, couchés au sol, à reprendre nos esprits et à tenter de retrouver une respiration normale. Isabelle vient se blottir dans mes bras en me chuchotant : < Comme c'est bon, ça me rend folle. Je vais perdre la raison ! >. Elle me montre ses doigts trempés de foutrine. Je lui montre ma main trempée de foutre. Nous rions de bon cœur.

Nous rangeons toutes nos affaires. Nous nous habillons et nous nous réajustons. < J'ai de nouveau visage humain ? > me demande Isabelle en riant. Je réponds par une question : < Et moi ? >. Nous rigolons comme des bossus. Isabelle, comme elle le fait à chaque fois, s'accroupit au-dessus de la fente du plancher et se lâche en un long jet puissant et continu. Nous entendons la pisse tomber sur les feuilles en bas. Cela nous fait rire. Quand elle a fini, je fais pareil.

Nous rentrons. Nous nous promettons de passer la dernière journée de vacances ensemble, demain. Nous restons cachés dans son jardin, à nous serrer très fort. A la nuit, chacun chez nous, depuis nos fenêtres, nous nous faisons des signaux avec nos lampes de poche. Nous faisons cela depuis tant d'années...

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Homme, 53 ans, France
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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Nous continuons la découverte de nos aventures avec ce charmant nouvel épisode qui nous met en scène, Isabelle et moi.
Cela fait trois ans que nous nous offrons ces merveilleux moments. Nous nous connaissons depuis si longtemps et si bien.
Nous avons dix neuf ans. Nous sommes voisins et amis depuis quatorze ans. Nous avons tout appris ensemble. Superbe.
Ma "pote de branle" s'avère la plus merveilleuse amie et complice qu'un garçon puisse avoir. La réciproque "fille" est identique.

Nous découvrons ici ce nouvel opus. Bonne lecture...

- ( M.C.S. Tu me demandes ce qu'il y a dans le verre. Sperme ma chère. Bisous )

LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

C'est notre tout dernier jour de vacances. Le matin, Isabelle et moi, nous avons préparé nos affaires. Demain, ce sera la première journée de notre seconde année en faculté. Nous sommes fous de joie. Nous avons commencé par les affaires de la jeune fille, dans sa chambre. Puis nous sommes allés chez moi, dans la maison d'à côté, afin de préparer les miennes. Rassurés, certains de n'avoir rien oublié, nous nous apprêtons à passer à table. Avec nos parents, nous mangeons dans la véranda, chez moi.

Les conversations tournent évidemment autour de la rentrée. Nos parents sont très heureux de constater à quel point nous sommes réjouis par cette perspective. Nous savourons ce repas avec plaisir. C'est peut-être le dernier de la saison. Nous sommes déjà le 14 septembre. Même si les journées sont encore bien agréables, les premiers signes automnaux sont déjà perceptibles. Isabelle me fait du pied sous la table. Quantité de grimaces aussi. Nous sommes si heureux.

Comme chaque après-midi, nous trouvons le prétexte idéal pour nous livrer à une de nos passions. La masturbation. En effet, nous préparons nos bicyclettes. Nous descendons chercher la grosse pompe à vélo dans ma cave. Ma cave où se trouve la cachette de mes magazines pornographiques. Isabelle, fébrile et impatiente, s'empare de deux d'entre eux pour les glisser dans son petit sac à dos. Nous remontons. Nous passons à la cuisine pour récupérer des pommes, des barres de céréales, des petits gâteaux et du jus de fruits.

Nous voilà en route. Direction notre "camps" préféré. Notre "cabane" où nous nous livrons à nos masturbations, l'un assis en face de l'autre, en feuilletant nos bouquins de cul. Nous arrivons. Nous dissimulons nos bicyclettes dans les fourrés. Nous montons dans le mirador. Nous remontons l'échelle et nous voilà dans notre tout petit monde. Nous avons chaque fois le cœur battant et l'impatience folle de nous livrer à cette passion commune. Cela fait quelques années que ça dure. Nous sommes de fidèles "potes de branles".

Isabelle sort le Color-Climax No 95. Celui avec la jeune fille qui suce un clochard dans les toilettes publiques d'une vieille gare. Comme toujours, tout en feuilletant le magazine, Isabelle me fait la narration détaillée des photographies. Nous avons pris conscience depuis tout cet été que c'est cette description verbale qui rajoute encore à nos excitations. Je regarde la main de la jeune fille passer sous sa jupe. Je mets la mienne dans mon short. Nos masturbations commencent pour notre plus grand plaisir.

Isabelle me raconte les invraisemblables cochonneries du bouquin. La bite dégueulasse du clodo. L'air ingénue de la jeune fille qui la découvre alors qu'elle est entrain de mâter le mec qui pisse. Comme à chaque fois, Isabelle tourne le livre pour me montrer les images évoquées. C'est jubilatoire autant que masturbatoire. Qui n'a jamais eu l'immense bonheur de feuilleter un Color-Climax des années soixante dix doit impérativement le faire pour bien saisir toute l'ampleur phénoménale que nous vivons, Isabelle et moi.

< Viens on arrête un peu ! Je vais m'emmener au bout, sinon ! > me fait Isabelle en se saisissant de mon poignet pour arrêter mon mouvement lent et régulier. Nous nous montrons nos doigts gluants. < Fais-moi goûter ! > fait Isabelle, s'emparant de ma main, en me tendant la sienne. Je suis étonné du goût de sa cyprine. C'est à la fois sans réelle saveur et sans réelle consistance. La jeune fille me fait la même remarque. Ce n'est qu'un petit moment plus tard, que sur nos langues, nous en percevons les saveurs délicates.

Je sors deux pommes. Isabelle sort les barres de céréales. Nous éclatons de rire tous les deux. C'est la toute première fois qu'on "se goûte". Nous dégustons notre petite collation. Nous retournons à nos activités. Isabelle reprend sa lecture. L'histoire No 2. C'est un jeune type qui se fait fouiller à la douane par deux femmes "matures" et en uniforme. Le jeune gars a une superbe bite, longue, droite et fine. Il la met dans tous les trous et à tour de rôle. Une des deux douanières n'arrête pas de lui enfoncer un doigt dans le cul.

Isabelle et moi, nous sommes à nouveau obligés de cesser sous peine d'orgasme imminent. Une nouvelle fois la jeune fille se saisie de mes doigts en me tendant les siens. Cette fois, le goût semble plus prononcé. Je trouve même la cyprine plus épaisse. Nous nous fixons en léchant nos doigts. Nous sommes terriblement gênés. Nous faisons tous les efforts possibles pour défier nos regards, ne pas baisser les yeux. Cela nous excite considérablement. < On prend des petits gâteaux ? > me demande Isabelle trouvant cette feinte pour nous tirer d'embarras.

La fin de l'après-midi nous surprend en pleine masturbation. Nous regardons l'heure sur la montre de la jeune fille. Nous décidons de rester ainsi, très excités, et de rentrer sans nous emmener au bout. Nous l'avons déjà fait à plusieurs reprises et cela nous procure d'indicibles sensations. Surtout assis sur les selles de nos bicyclettes sur cinq kilomètres. Nous roulons. Nous pédalons assez vite. Une certaine fraîcheur nous impose un rythme soutenu. Je bande et c'est presque douloureux dans cette situation.

Là, avant d'arriver sur la route qui mène au lotissement où nous vivons, Isabelle s'arrête. Juste à côté de la borne kilométrique, la jeune fille s'accroupit. Sans avoir besoin de se concentrer ou de faire le moindre effort, elle se lâche dans un long jet de pisse. Je peux voir s'écouler de la cyprine crémeuse de sa vulve en même temps que le filet de pisse qui jaillit de son urètre. C'est un merveilleux spectacle. < Si tu savais ! > me fait Isabelle en se touchant le clitoris. < Je sais ! > fut ma seule réponse. Nous éclations de rire.

Nous avons passé la soirée ensemble, dans la chambre de la jeune fille à regarder d'autres livres. Des bouquins ayant trait à nos chères études...

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Classe


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Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Avoir sa voisine comme "Pote de Branle" est SEX-traordinaire. Cela devrait être obligatoire. Sinon remboursé par la sécu.
Mais lorsqu'en plus de ce privilège, viennent à la conscience des sentiments qui vont bien au-delà de l'amitié, c'est fabuleux.
Et c'est ce qui arrive. Une sorte de "révélation" de choses qui sont en latence depuis quelques années. C'est merveilleux.
Nous continuons à découvrir ici cette histoire où tout est si vrai, si authentique. L'écriture de ces récits est une émotion.
Même si tout cela remonte déjà à fort longtemps...

Bonne découverte



LE BON VIEUX TEMPS DES MAGAZINES COLOR-CLIMAX

Il est sept heures quarante ce matin du 16 septembre. Isabelle et moi nous nous retrouvons à l'arrêt de bus avec nos sacs. Deux autres personnes sont là à attendre. C'est notre jour de rentrée. Ce jour tant attendu. Nous prenons le bus qui va nous emmener jusqu'à l'université. Il y a tout au plus cinq kilomètres de notre bourg jusqu'à la ville. Il fait un peu frais. Le ciel est pourtant clair et lumineux. Nous sommes si content de nous revoir et de vivre ces émotions ensembles. Même si nous ne suivons pas les mêmes cours, nous partageons notre repas au restaurant universitaire.

Le bus arrive. Nous y grimpons. Nous nous installons derrière le chauffeur. Il y a déjà d'autres étudiants et lycéens dans la partie arrière du véhicule. Nous n'aimons ni la promiscuité ni le bruit. Et nous sommes si bien ensemble. Nous arrivons à la faculté. Nous nous disons au revoir. Rendez-vous à midi au "restau U". Au repas, Isabelle et moi, nous échangeons nos premières impressions. En deuxième année, il y a moins d'étudiants donc plus de places disponibles dans les salles. Cela rend les cours beaucoup plus agréables. Nous savourons le gratin de pommes de terre.

Nous nous revoyons à dix sept heures. Nous nous attendons dans le couloir car une fine pluie s'est mise à tomber depuis l'après-midi. Nous sommes tous contents de nous revoir. Nous filons à l'arrêt de bus. Le car arrive pour dix sept heures quinze. Il y a quantité de jeunes qui montent dans le véhicule. Bien évidemment tout le monde tente de se précipiter au fond du bus. Isabelle et moi gardons notre préférence pour les places avants. Nous sommes certains de trouver une banquette de libre et nous pouvons bavarder tranquillement. Cela fait quelques années que nous observons le même rituel. Depuis la classe de troisième, au lycée.

< Tu viens ce soir. On aura fini de manger pour dix neuf heures quarante cinq ! > me fait Isabelle. Je lui promets d'être là pour vingt heures. < Tu ramènes un bouquin ? > me fait-elle encore en me serrant le bras. Nous rions de bon cœur. Nous sommes tellement heureux de savoir que pour cette nouvelle année en faculté, nous allons garder toutes nos mêmes habitudes. C'est à la fois rassurant, sécurisant et permet une saine émulation. Le bus nous dépose au bourg. Nous marchons les trois cent mètres jusqu'au lotissement. Nos maisons sont voisines. < A tout à l'heure ! > me fait la jeune fille.

Après le repas, je descends à la cave. De ma cachette, je tire deux magazines. Deux Color-Climax. Les numéros 83 et 95. Je les mets dans le petit cartable qui me sert de prétexte aux yeux de mes parents qui me regardent partir pour aller "travailler" chez Isabelle. C'est la maman de la jeune fille, toute contente de me voir, qui me fait entrer. J'enlève les chaussures et je monte à l'étage en chaussettes. Comme depuis tant d'années. Isabelle est en haut de l'escalier. Elle me prend par le bras pour m'entraîner dans sa chambre. Nous allons "bosser" un peu et pour de vrai.

Nous restons ainsi une demi-heure à nous montrer nos cours. Puis Isabelle s'empresse d'ouvrir mon cartable pour en sortir les deux bouquins. < Super ! Tu en as emmené deux ! > fait-elle en me faisant une bise sur la joue. Nous nous asseyons sur le lit. Isabelle met son index sur la bouche avant de faire : < Chut ! > comme elle le fait depuis toutes ces années. Nous rions de bon cœur. Elle feuillette le premier magazine. < Ouah ! C'est vicelard ! >. La jeune fille me montre les deux premières pages. Une jeune femme, à la fenêtre de sa voiture, suce un black dans la forêt.

Le sexe du black semble encore plus luisant parce qu'il est sombre et mat. < Regarde ! Comme elle se régale ! > me fait Isabelle en commençant sa lecture. Nous chuchotons. Ainsi nous pouvons entendre quelqu'un venir et personne ne peut nous entendre. C'est comme ça depuis près de quatre ans. Isabelle a la main dans son jean ouvert. Je fais de même. Je sais que demain soir, ce sera chez moi, dans ma chambre. Nous restons au moins une nouvelle heure à nous masturber en regardant les bouquins. Nous évitons soigneusement de nous emmener au bout. C'est la règle.

Je propose à Isabelle de lui apporter toute une pile de magazines qu'il y a dans mon carton "secret". Cela fait plus de trente bouquins. < T'es fou ! Où veux tu que je les planque ! Si ma mère tombe dessus, j'te dis pas ! >. Par contre, deux ou trois pour les moments de solitude, pas de soucis. < Je préfère faire "ça" avec toi. Toute seule c'est pas drôle ! > me fait encore la jeune fille en me raccompagnant jusqu'à la porte d'entrée. Nous nous séparons. Rendez-vous demain matin à l'arrêt du bus...

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