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Les aventures de Dédé-la-Lopette - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Les aventures de Dédé-la-lopette, à suivre, seront publiées à la suite de ce même post.
Ainsi, il n'y aura qu'une seule fenêtre d'accès. Cela rendra plus simple le suivi des épisodes, permettant d'aérer l'ensemble.
Voilà le lien pour retrouver les deux premier opus :
1 - "Le retour" : [www.bobvoyeur.com]--
2 - " Le parking" : [www.bobvoyeur.com]--
Rappellons qu'il existe déjà 30 épisodes, (saison 1), parus ici, sur ce superbe forum, dans la même rubrique "Exhib".
Bonnes découvertes...

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Saison 2

Les aventures de Dédé-la-Lopette (Episode 3)

Le chalet - (Partie 1)

Après avoir découvert, dans Maris-Patch une publicité vantant les mérites de séjours en montagnes, Dédé-la-Lopette organisa un week-end. Soucieux de sa santé, conscient de son embonpoint disgrâcieux, Dédé, prit ce jour-là, la décision de cesser de se laisser aller. Limiter les chips, limiter la bière, limiter la cigarette et faire un peu d'exercice quotidien.

Après avoir préparé son sac à dos, après l'avoir rempli de chips, de bière et de quelques paquets de clopes, Dédé-la-Lopette prit sa voiture pour se diriger vers les montagnes. La semaine précédente, notre héros avait réservé un lit dans un chalet situé à plus de mille mètres d'altitude. Il se rendait donc en ce lieu ce samedi matin de printemps. Prenant la petite route qui montait en serpentant vers le col Hagêne.

Il gara sa voiture sur le petit parking. Il restait environ vingt minutes de marche sur un sentier pierreux. Sac sur le dos, Dédé-la-Lopette se mit à marcher. Vingt minutes de marche pour un marcheur moyen. Notre ami mit une heure pour arriver au chalet "Les Ritournelles". Là, épuisé, haletant, Dédé poussa la porte d'entrée. Il était onze heure du matin.

Dédé-la-Lopette, après s'être débarrassé de son sac, qui semblait lui peser cent kilogrammes, salua le gardien du lieu. Il se vit proposer de suivre le responsable afin de découvrir les lieux. Découvrir le dortoir du premier étage où se trouvait le lit réservé. Le gardien, un grand moustachu musculeux, affable et gentil, fit visiter la maison à notre ami.

De retour dans la salle de séjour, au rez-de-chaussée, voilà que Dédé-la-Lopette, sort son paquet de cigarettes et son briquet Zippo "Collector" (Jonnhy Halliday). < Mais, il ne va pas fumer ici, le petit monsieur ! Il va sortir polluer à l'extérieur ! Ici, c'est No Smoking, mon p'tit pote ! > fit le gardien en montrant la porte à notre enfumeur ventru.

Lorsque Dédé-la-Lopette, après avoir bien gâché les bienfaits de son heure d'exercice, revint à l'intérieur, une certaine animation régnait là. De nouveaux arrivants s'affairaient en discutant et en riant aux fourneaux. Dédé-la-Lopette, l'appétit ouvert par le grand air de la montagne, sortit sa boîte de raviolis de son sac à dos. Il se dirigea vers le placard pour y prendre une casserole.

Dans la cuisine du chalet, une dizaine de personnes bavardaient. Certaines préparaient leur repas. Il y avait là quantité de légumes, de fruits posés sur le plan de travail. Aussi, lorsque Dédé ouvrit sa boîte de raviolis, tout le monde se mit à rire ! < Il bouffe "ça", le mec ? Sans rire ? > demanda une belle jeune femme. Dédé ne comprenait pas bien les boutades dont il faisait l'objet. < Ben wouai ! Pourquoi ? > fit notre héros.

Tout le monde s'installa à la grande table pour partager ce moment de repas. Dédé-la-Lopette, assis au bout de la table, sa casserole fumante, pleine de raviolis, bavardait avec le couple assis à ses côtés. Comme les plaisanteries fusaient de partout, Dédé lança, à haute voix : < Melon et Melesch jouent à la pétanque. Melon lance le cochonnet et Melesch les boules ! >.

Il y eut soudain un grand silence. Tout le monde regardait Dédé-la-Lopette avec curiosité. Au bout d'une dizaine de secondes les discussions reprirent, ponctuées de rires. A nouveau, à haute voix, Dédé lança : < Melon et Melesch vont à la pêche. Melon pêche la sardine et Melesch la raie ! >. Pour toute réponse il y eut un nouveau silence. Plus long encore que le précédent.

Le grand type moustachu se leva et fit à l'attention de notre Dédé : < Melon construit une maison et, quand c'est fini, Melesch l'habite ! >. tout le monde regardait Dédé-la-Lopette avec une sorte de compassion, voire de pitié. La belle jeune femme de tout à l'heure lança : < Elles sont vieilles comme le monde vos blagues "raviolis". Vous n'en avez pas des rigolottes des fois ? Disons, plus "diététiques" ? >.

Dédé-la-Lopette l'avait bien repéré cette belle jeune femme blonde. Et nous le connaissons bien notre Dédé. Dès qu'il y a une belle jeune femme quelque part, son sang ne fait qu'un tour. Mais quel tour ! Brouillant son esprit soudain moins bien irrigué. Aussi, dans son cerveau, rapidement, commença à germer un "plan". Sous la table, Dédé-la-Lopette se tripotait déjà au travers du tissus de son pantalon "jogging" bleu.

Ne manquez pas la partie 2 de cette histoire édifiante et passionnante.

A suivre...

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Pour le protéger du froid, en hiver, ou en montagne, la mamie à Dédé-la-Lopette lui a tricoté des "bonnets à bite".
Là sur la photographie, sur laquelle il suffit de cliquer pour l'agrandir, nous découvrons le petit bonnet bleu de Dédé.
Il en a aussi un rouge. Par contre, il a déjà perdu le jaune dans les fourrés d'un sous-bois.

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Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 2)

Les conversations, les bavardages et les plaisanteries animaient la salle de séjour du chalet. La voisine de Dédé-la-Lopete, soudain prise d'une sorte de compassion pour notre ami qui mangeait ses raviolis, lui proposa de la salade d'endive. Dédé accepta avant de se régaler. Puis on lui fit goûter un morceau d'une délicieuse tourte. Sans évoquer les haricots verts au beurre, absolument exquis.

Dédé-la-lopette se promit de changer son mode alimentaire dès lundi. Il fallait cesser les conserves, les surgelés et autres plats cuisinés. Pour s'en convaincre, il se massa le ventre qui pendait sur l'élastique de son pantalon de jogging bleu. Cela ne pouvait plus durer. Il fallait passer à une nourriture de qualité. Cesser de "bouffer" pour apprendre à se nourrir...

La jeune femme blonde alla chercher deux tartes fumantes qu'elle déposa sur la table. Dédé-la-Lopette pouvait apprécier ses formes délicates et sa démarche légère lorsque cette dernière marchait. Une érection déformait son slip. Discrètement, sous la table, notre montagnard se touchait tout en observant et en bavardant. Un virtuose.

La jeune femme blonde se leva une nouvelle fois pour se rendre aux toilettes. Trente seconde plus tard, Dédé se leva pour s'y rendre également. Là, dans l'espace réservé aux hommes, dont il avait laissé la porte ouverte, notre coquin, pantalon aux chevilles devant l'urinoir, se massait la turbe. La jeune femme, sortant de l'espace féminin, "tomba" sur la scène ! < Eh bien, ça vous met dans un drôle d'état, la montagne ! > fit-elle en sortant.

Lorsque Dédé revint s'asseoir, le grand moustachu, debout dans l'encadrement de la porte de la cuisine, lui lança : < Tout va bien le Dédé ? >. Notre exhibitionniste, souriant niaisement, mangea la tranche de tarte à la mirabelle que sa voisine avait déposé dans son assiette. La jeune femme blonde se leva pour aller à la cuisine. Dédé-la-Lopette, ne pouvant résister à sa pulsion débridée qui l'animait, alla la rejoindre. Là, faisant semblant de s'affairer à la vaisselle, il engagea la conversation. Essayant de la "brancher cul".

Le repas se termina et tout le monde vint rejoindre le couple discutant à la cuisine. La vaisselle pouvait commencer. La voisine de Dédé débarrassa la table. Une autre femme fit couler l'eau dans les éviers. Les hommes se saisirent de torchons. Tout ce beau monde entreprit de nettoyer et d'essuyer les ustensiles de cuisine que Dédé rangeait dans le buffet. Pour la première fois, depuis longtemps, Dédé se sentait merveilleusement bien en société.

Une promenade digestive fut proposée par le gardien du chalet, le grand moustachu musculeux. Direction le sommet de la montagne, environ trente minutes de marche. Une nouvelle épreuve pour notre Dédé qui cherchait un prétexte pour se défiler. Lui qui rêvait de s'allumer une cigarette et d'écluser quelques bières ! Bon gré, mal gré, notre héros participa à la promenade. C'est une fois arrivé au but qu'il se félicita d'avoir fait cet effort "surhumain". La vue était magnifique.

Le groupe resta au sommet de la montagne pour admirer le magnifique paysage. Deux paires de jumelles, à fort grossissement, circulaient parmis les randonneurs. Chacun y allait de ses explications en observant. Le temps était clair, il faisait plutôt agréable. Il était déjà seize heure trente. S'il fallait être de retour au chalet avant la nuit, il fallait songer à redescendre.

Le groupe fut de retour dans la grande maison de pierre pour dix sept heure trente. La nuit commençait à s'annoncer. Nous n'étions encore qu'au début du mois d'avril. Dédé, dévoré par une envie irrépressible de fumer, retourna sur le balcon pour se livrer à son addiction. Le grand moustachu vint le rejoindre pour lui dire : < Ici, mon p'tit gars, la seule fumée tolérée, c'est celle du poêle. Donc tu éteins ta clope et tu vas la fumer dehors, loin du chalet ! Capitche ? >...

Dans la nuit, à trente mètres de la grande maison, dans le silence de la nuit, sous un ciel étoilé, Dédé-la-Lopette appréciait le lieu. En tirant sur sa clope, il prenait conscience de l'inutilité stupide de cet acte. Aussi, comme pour le changement d'alimentation, notre héros se promit de mettre un terme à cette habitude. Lorsqu'il revint au chalet, une délicieuse odeur de fondue au fromage envahissait la salle du séjour. Dédé fut invité à rejoindre un groupe de cinq personnes qui jouaient au tarot.

Ne manquons pas la suite des aventures de Dédé-la-Lopette dans le prochain opus < Le chalet - Partie 3 >

A suivre...



Pour éviter qu'il n'attrappe froid, en hiver ou à la montage, la mamie à Dédé-la-Lopette lui a tricoté des "bonnets-à-bite". Comme il a le zob à l'air à chaque occasion de le faire, il lui arrive de s'enrhumer et d'avoir la goutte au nez.
Nous découvrons sur la photographie ci-dessus, le petit bonnet bleu. Dédé en possède aussi un rouge. Par contre, il a déjà perdu le jaune dans les fourrés d'un sous-bois...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie3)

Dédé-la-Lopette jouait au tarot depuis une dizaine de minutes lorsque la jeune femme blonde vint inviter tout le monde à passer à table. S'adressant à notre ami, elle lui demanda : < Il préfère manger ses raviolis où il mange avec nous le Dédé ? >. Pensant soudain à la triste boîte de cannelloni qui l'attendait, notre héros accepta l'invitation en précisant :
< Je n'ai pas de fromage mais j'ai du pain, pour participer ! >. < OK, ça baigne ! > fit la jeune femme.

Dédé-la-Lopette ne put s'empêcher d'admirer cette cambrure de reins. Ces formes qui se dessinaient sous le pull et le jean's de la jeune femme. Aussi, les yeux rivés sur ce spectacle, notre ami la regarda s'en retourner vers la cuisine. Délaissant ses cartes, se précipitant à la suite de la blonde, Dédé, pénétrant dans la cuisine se proposa de mettre la table. < Mais j'allais vous le demander, cher monsieur ! > fit la jeune femme accroupit devant le buffet ouvert.

Dédé-la-Lopette, pas très habile de ses mains, mit les couverts et les assiettes avec un soin particulier. Lorsqu'il eut terminé, levant les yeux, dans l'ambiance générale et plutôt festive, notre héros vit la jeune femme retourner aux toilettes. Nous le connaissons bien, notre salopiot. Rapidement il suivit la blonde pour entrer dans le cabinet "homme". Là, le pantalon aux chevilles, notre Dédé se massait la turbe en lorgnant sur la porte qu'il avait laissé ouverte.

Sa mise en scène ne manqua pas d'être remarquée par la jeune femme qui passa devant la porte ouverte. < C'est l'odeur de la fondue qui vous met dans cet état ? Il va falloir retourner aux raviolis si c'est le cas ! > fit la blonde avant de sortir des toilettes. Deux minutes plus tard, note exhibitionniste revint parmis les gens dans la salle de séjour. Le grand moustachu musculeux vint le trouver pour lui dire : < Il va bien le Dédé ? Pas de soucis ? La prostate va bien ? >...

Dédé-la-Lopette, ricannant bêtement retourna à la cuisine pour y couper les pains en petits morceaux. Pendant qu'il coupait des petits bouts avec trois autres personnes, la jeune femme revint derrière lui pour dire : < Il s'est lavé les mains le Dédé après s'être paluché ? Il ne va pas nous en mettre sur le pain au moins ? >. Les deux autres jeunes femmes et le vieux montagnard qui tranchaient également le pain, se mirent à rire. Dédé, le sourire niais, se contenta de répondre : < Oui ! >.

Le repas du soir fut convivial et heureux. La quinzaine de personnes qui fixaient leur bout de pain sur leur fourchette, plaisantaient, riaient. La bonne humeur faisait plaisir à voir. Tout le monde, le bras tendu au-dessus des caquelons, trempait son pain en bavardant. Le grand moustachu se leva et demanda le silence. Le visage grave, les mains croisées, il fit : < Melon et Melesch font un puit. Melon construit la margelle et Melesch le trou ! >...

Tout le monde éclata de rire. La jeune femme se levant à son tour, regardant Dédé dans les yeux, gardant avec peine son sérieux, fit : < Il n'a pas une blague sur les mecs qui se branlent aux chiottes, le Dédé ? >. Notre ami prit soudain conscience que tout le monde, dans le chalet, était au "parfum" de ses agissements masturbatoires. Cela gênait considérablement notre branleur.

Mais, dans le flot des plaisanteries qui fusaient de toute part, Dédé-la-Lopette fit sienne cette pensée de sa grand-mère. Cette gentille mamie qui lui tricote les bonnets-à-bite répète souvent : < Un moment de honte est si vite oublié ! >...

Ne manquons pas la suite des aventures de Dédé-la-Lopette dans le prochain opus < Le chalet - Partie 4 >

A suivre...

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Pour le protéger du froid, en hiver ou en montagne, la mamie de Dédé lui a tricoté de ravissants petit bonnets à bite.
Comme il a souvent la bite à l'air, Dédé risque la goutte au nez. Aussi, pour lui éviter d'être incommodé par un rhume ou une grippe, sa mamie lui conseille de les porter à chaque "sortie". Là, nous découvrons le petit bonnet bleu.

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 4)

Les plaisanteries fusaient de toutes parts. Tout en trempant leurs morceaux de pain dans les caquelons, les convives s'amusaient follement. Cette ambiance festive, si particulière aux chalets de montagne, trouvait là toute sa dimension. Dédé-la-Lopette trempait ses petits morceaux de pain en riant aux blagues des uns et des autres.

Le grand moustachu musculeux, responsable du chalet, se leva pour lancer à notre ami : < Hé ! Ravioli, tu bois un bon pinard avec nous ? >. Dédé-la-Lopette, jamais avare de bons mots, répondit : < Oui, bien sûr, mais je consomme avec modération ! >. Le balaise vint remplir le verre de notre héros en lui disant : < Goûte-moi ce nectar, Ravioli, tu m'en diras des nouvelles ! >.

Dédé-la-Lopette, buvant le verre que lui tendait le gardien du chalet, savoura le côté fruité du vin. < Alors ? Ravioli ? Kyste en panse ? >. Notre ami secoua la tête avec un air de contentement qui ravit l'assistance. < Un vrai délice ! > fit-il en terminant son verre, cul-sec. Le grand moustachu retourna s'asseoir content de l'attitude de notre héros.

Dans le flot incessant des blagues, des plaisanteries et des rires, Dédé-la-Lopette vit la jeune femme blonde se lever pour aller aux toilettes. Une fois encore, notre ami, les sens émoussés par sa légère alcoolisation, se leva pour suivre la personne. Là, une fois encore, laissant sciemment la porte ouverte, notre exhibitionniste baissa son pantalon pour se palucher au-dessus de la faïence de l'urinoir. Dans le poële on pouvait entendre crépiter le feu.

La jeune femme, sortant des toilettes, passa devant le cabinet. Là, une nouvelle fois, elle "tomba" sur notre drolâtre qui se masturbait avec son habituel sourire niais. < Eh bien ! Il a de curieuses manières notre ami Ravioli ! C'est le bon vin qui vous met dans cet état ? >. Laissant "Ravioli" à son activité, la blonde retourna dans la salle de séjour.

Dédé-la-Lopette revint à son tour reprendre sa place. En sortant des toilettes, le grand moustachu musculeux le saisit par le bras. Il l'entraîna dans la cuisine déserte. < Hé, ravioli, t'as un problème de biroute ? Déjà trois fois que tu la montres à Magalie ! Elle aime pas trop la saucisse tu sais ! La charcuterie c'est pas son truc ! >. Notre héros, honteux et confus resta silencieux. Le gardien le laissa seul à la cuisine.

Au bout de quelques minutes, un des convives vint à la cuisine : < Tu médites Piaf ? Hé, ravioli ? Tu ne viens plus déconner avec nous ? Allez viens, fais pas la gueule, tu la reverras ta mère ! Et nous, ta bite ! >. Saisissant notre masturbateur par le bras, il attira notre Dédé dans la salle de séjour. Là, tapant sur la table, le convive demanda un instant de silence.

< Mesdames et messieurs, et les autres s'il y en a, je vous demande d'applaudir le branleur fou ! >. Tout le monde se mit à taper dans les mains en chantant : < Pour notre ami ravioli, hip hip hip hourrah ! Hip hip hip hourrah ! Une p'tite pipe hourrah ! >. Dédé-la-lopette, rassuré par cet accueuil revint s'asseoir pour continuer à déguster la délicieuse fondue savoyarde. Guettant du coin de l'oeil, Magalie, la jeune femme blonde...

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Ne manquons pas les prochaines aventures de Dédé-la-Lopette dans la suite à venir < Le chalet - Partie 5 >

A suivre...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 5)

Après la fondue savoyarde, après la tarte aux pommes du dessert, tout le monde se rendit à la cuisine pour la vaisselle. Magalie, la jeune femme blonde, se mit à la plonge. Dédé-la-Lopette et Murielle débarrassaient la table. La plupart des autres convives, armés de torchons, se mirent à essuyer les assiettes, les couverts et les verres. Là encore, ce furent blagues, plaisanteries et mêmes chansons paillardes. Murielle fit la bise à Magalie avant de la rejoindre pour rincer les ustensiles.

Dédé-la-Lopette se promit de revenir. Cette ambiance particulière fut la grande découverte de ce week-end. Lorsque tout fut rangé, que la cuisine avait retrouvé sa propreté, tout le monde retourna dans la salle de séjour. Le feu crépitait dans la cheminée et dans le grand poële. Chacun trouvait l'activité qui lui convenait. Les joueurs de tarots se mirent à table. Les joueurs de scrabble se mirent à côté. Laurent avait tiré sa guitare de son étui. Dédé, ravi, feuilletait un vieux "Géo".

Magalie vint s'asseoir sur la banquette. S'adressant à Dédé, elle lui demanda : < Et toi, Ravioli, à part montrer ta bite aux filles, tu fais quoi dans la vie ? >. Notre ami se mit à disserter sur ses activités professionnelles, ses attirances et ses passions. Heureux d'être en si bonne compagnie, notre héros, se retrouva avec une grosse bosse qui déformait sa braguette. Il lui tait impossible de réfréner ses pulsions primaires. Néandertal revenait habiter ce corps...

Dédé-la-Lopette bavardant, faisait bouger son sexe dans son pantalon. Cette action n'échappait évidemment pas à la jeune femme. Parfois, pour marquer le coup, elle observait avec une certaine insistance. Sachant que cette attitude rajoutait encore à l'excitation de notre drolâtre. Ce qui ne manquait pas de faire bander notre homme aux limites des lois physiologiques. Son chibre bougeait en rythme sous le tissus de son pantalon de jogging bleu. Il était en sueur, le bougre...

Laurent, sur sa guitare, chantait "La maison bleue". Repris en coeur par bon nombre de joueurs de carte et de scrabble, ce refrain d'une autre époque faisait sourire Magalie qui fit : < Bon ! Il faut que j'aille au WC, tu m'excuses ravioli, amuses-toi bien ! >. La jeune femme se leva pour se diriger vers la porte des toilettes. Nous le connaissons bien notre Dédé. Prenant cette affirmation comme une invitation, notre héro suivit les pas de la blonde. Ayant, une fois encore, perdu tous sens de la mesure.

Là, dans les toilettes, la porte entrebaillée d'un des deux cabinets, pantalon aux chevilles, notre gaillard se livrait à son passe temps favori. Soudain, trois coups furent frappés contre la porte. Notre Dédé, convaincu que Magalie, derrière l'huis, toquait pour le rejoindre, notre héros ouvrit la porte avec son sourire niais habituel.

Là, debout dans l'encadrement de la porte, le grand moustachu musculeux, lui fit : < Alors, ravioli, on donne libre cours à ses penchants masturbatoires non gérables ? >. Dédé-la-Lopette, surpris, le pantalon aux chevilles, se sentant minable, se pencha pour remonter précipitamment son vêtement. Derrière le gardien du chalet, Magalie fit : < Je ne suis pas très "saucisse". Je préfère les fruits de mer. Les moules, surtout ! >. < Tu vois ce qu'elle sous-entend, ravioli ? >, rajouta le géant.

Dédé-la-Lopette venait de comprendre l'orientation sexuelle de Magalie. Aussi, s'excusant, passant sous le bras du grand moustachu musculeux, notre ami fila, lamentable, pour retourner dans la salle de séjour. Laurent, frappant les cordes de sa guitare, chantait < La mauvaise réputation > de Georges Brassens...

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Ne manquons pas la suite des aventures de Dédé-la-Lopette dans le prochain épisode < Le chalet - Partie 6 >

A suivre...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 07/08/15 09:31 par Oncle-Julien.
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 6)

La soirée se tirait et il était déjà vingt trois heure. Dédé-la-Lopette, pas du tout habitué à cette ambiance, prenait un grand plaisir à toutes ces découvertes. Chantal Mouyet, ravissante petite brune, venant s'asseoir à côté de notre ami, se mit à bavarder avec lui. Dans ces situations, la promiscuité est favorable aux rencontres et aux contacts. Un week-end dans un chalet apporte plus de satisfactions que tous les sites de rencontres réunis. Pour infiniment moins d'argent...

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une fille et le voilà avec une diminution notoire de l'afflux sanguin dans son cerveau. La plus grande partie de cet afflux participant à gonfler une érection qu'il ne maîtrise plus du tout. Ce qui pousse souvent notre héros à faire le con. A faire, hélas, l'étalage d'un comportement souvent rédhibitoire. Ce qui ne manqua pas d'arriver une fois encore.

Chantal Mouyet était montée avec son copain Laurent qui, à l'instant même, sur sa guitare, interprétait l'obligatoire "Jeux interdits". Elle était plutôt jolie. Chantal était pleine d'humour et de cette joie de vivre communicative. Toujours à impulser une initiative à l'ensemble d'un groupe. C'est elle, par exemple, qui proposa à l'assemblée des quinze personnes présentes, de la tarte aux pommes et du thé au jasmin avant d'aller dormir.

A minuit, tout le monde monta dans les dortoirs des étages. Le lendemain, tout ce beau monde avait prévu une randonnée de trois heures. Départ à neuf heure du matin et retour pour midi. Chantal Mouyet cherchait un volontaire pour rester au chalet afin de l'aider à préparer le repas de treize heure. Dédé-la-Lopette, pas très "rando", trouva là le prétexte idéal à sa paresse. Et à son comportement quelque peu "anarchique"...

Couché dans son lit, près de la fenêtre, Dédé-la-Lopette jouait avec son sexe en érection. Sous la couverture, cela n'était pas sans évoquer quelque piquet de tente. Notre ami remarqua que Chantal Mouyet, allongée aux côtés de Laurent qui dormait déjà, le regardait discrètement. Notre coquin redoubla donc d'activité. Se masturbant avec cette nonchalance toute "British" que nous lui connaissons bien. Dédé n'a pas d'heure, c'est un "brave" !

Chantal Mouyet se leva, chaussa ses savates et trottina vers la sortie du dortoir où tout le monde dormait. Certains ronflaient en émettant les bruits de glottes et de luettes les plus variés. Une sorte de concerto des amygdales. Dédé-la-Lopette, au bout de quelques minutes, s'apprêtait à se lever pour descendre aux toilettes. Notre salopiot en déduisant que Chantal s'était sans doute levée pour le dernier pipi d'avant le sommeil.

Une ombre gigantesque entra soudain dans le dortoir. C'était le grand moustachu musculeux qui vint s'asseoir sur le lit à Dédé-la-Lopette. < Alors ? Ravioli ? Tu as du mal à dormir ? Tu veux que je te raconte une histoire ? L'histoire d'un mec qui importune les filles, par exemple ? >. Le gardien du chalet se relevant se mit à border notre Dédé comme s'il était un @#$%&.

< Il va s'endormir gentiment, notre ravioli ! Il va dormir sagement en foutant la paix aux filles, n'est-ce pas ? Il ne voudrait pas aller dormir dans l'abri à bois le Dédé ? Hein ? > fit encore le responsable avant de tapoter sur la tête à Dédé qui répondit : < Non, c'est promis, monsieur, je vais bien dormir ! >. Le gardien s'en alla après avoir chuchoté à l'adresse de notre exhibitionniste : < Bonne nuit ravioli, et fais de beaux rêves ! A demain ! Et n'oublie pas, c'est dodo et pas branlette ! >.

Chantal Mouyet revint se coucher auprès de son compagnon en tournant le dos à Dédé-la-Lopette qui s'endormit rapidement.

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Ne manquons pas les prochaines aventures de Dédé-la-Lopette dans le prochain opus < Le chalet - Partie 7 >.

A suivre...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 7)

Dédé-la-lopette fut tiré de son sommeil par des rires. Des rires qui provenaient du rez-de-chaussée du chalet. Consultant son énorme montre de plongée, lui qui ne prend que des douches, notre ami constata qu'il était dejà huit heure. Regardant autour de lui, Dédé vit que plusieurs personnes se réveillaient en même temps que lui. < Bonjour ravioli > fit Delphine, couchée dans le lit face au sien. < Bonjour ! > répondit Dédé.

Dédé-la-lopette, avec cette terrible érection du matin, avait une forte envie de se rendre aux toilettes. Lui, qui d'habitude, cherche tous les prétextes pour être "vu" se retrouva soudain très gêné. S'asseyant sur le bord de son lit, lissant son pyjama, chaussant ses savates, notre héros se leva pour filer vers la porte. Juste devant lui, Laurent se précipita en disant : < Prem's ! C'est moi le prem's ! >.

Une fois sorti des toilettes, Dédé-la-Lopette alla fouiller son sac à dos pour en tirer une brioche ronde. Ces brioches appelées "Chinois". Le grand moustachu musculeux vint le trouver :< Tu prends le petit déjeuner avec nous, ravioli ? On a déjà du café, du pain et des confitures ! Viens ! >. Dédé, ravi de l'invitation, l'accepta. Notre ami se retrouva attablé avec Laurent Gina, Chantal Mouyet, Natacha Passéski, "Hulk", le grand moustachu, Muriel sa compagne, Benoît Chauzemol et Delphine, sa compagne.

Dédé-la-Lopette s'apprêta à couper son "Chinois", lorsque Chantal Mouyet, arrêtant son bras, lui fit : < Tu vas pas bouffer ça, ravioli, c'est de la bouffe industrielle ! >. Dédé répondit : < Mais je bouffe ce que je veux, merde alors ! >. < Mais oui, laisse-le bouffer sa brioche ! > s'écria Delphine. < Et, à midi, tu bouffes quoi, ravioli, tu bouffes avec nous ? >. Dédé, souriant d'aise en dégustant son "Chinois" répondit : < A midi, j'avais prévu de réchauffer une boîte de tortellini. Je vais être obligé de redescendre mes boîtes ! >.

Chantal Mouyet rappella à notre héros qu'elle comptait sur lui pour l'aider à préparer les tourtes de midi. Après le petit-déjeuner, les partants pour la randonnée du matin étaient tous au bas de l'escalier. Il était neuf heure. Tout ce beau monde reviendrait au plus tard pour midi trente. Dédé-la-Lopette, ayant revêtu un tablier se retrouva à éplucher les légumes à la cuisine. En excellente compagnie...

Chantal Mouyet, en jupette, tortillait du croupion autour de lui, évoluant dans la cuisine en préparant la pâte à tourte. Catherine, qui avait décidé de rester pour réviser son "Master", vint papoter un peu avec nos cuisiniers. Dédé-la-Lopette découvrit la beauté discrète de l'étudiante. Notre ami louchait sur la jeune fille au risque de provoquer un strabisme divergent. Lorsqu'elle sortit de la cuisine pour se rendre aux toilettes, notre Dédé, animé de sa pulsion récurrente la rejoignit.

Là, debout devant l'urinoir, son pantalon de jogging aux chevilles, notre salopiot se massait la turbe. Catherine, sortant de sa cabine, "tomba" sur notre coquin. S'arrêtant pour mâter notre drôle, elle lui fit : < Mais, t'arrêtes jamais, ravioli ! Elle va finir par se décrocher tu vas voir ! Tu seras bien emmerdé après ! >. Riant bêtement, se sentant quand même un peu ridicule, dans un élan de lucidité, notre exhibitionniste de réajusta rapidement.

De retour à la cuisine, Catherine, riant avec Chantal Mouyet, fit encore : < Alors, ravioli ? Elle est tombée au fond du trou ou au fond du slip ? >. Dédé-la-Lopette, un peu emmerdé quand même, ne répondit rien et continua à couper les oignons. < Il s'est lavé les mains, au moins, le Dédé ? Parce qu'il va pas nous en mette partout ! > fit encore Catherine. Le repas fut terminé pour midi trente. Les randonneurs revinrent cinq minutes plus tard.

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Ne manquons pas la suite des aventures de Dédé-la-Lopette dans le prochain épisode < Le chalet - Partie 8 >

A suivre...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 8)

Dédé-la-Lopette avait été chargé de dresser la table. C'est donc avec soin que ce dernier avait placé les fourchettes à droite, les couteaux à gauche des assiettes. Les petites cuillères placées entre le verre et le dessous de l'assiette. Une feuille de papier sopalin soigneusement roulée dans chaque verre en guise de serviette. Notre ami savait se donner de la peine. Il avait disposé les dessous de plats et les couverts à servir au milieu de la table.

L'odeur des tourtes avait envahi toute la salle de séjour. Aussi, lorsque les randonneurs pénétrèrent les lieux, l'appétit ouvert par leurs trois heures et demi de marche, l'ambiance de bonne humeur était à son comble. Après s'être lavé les mains, chacun prit place autour de la grande table longue. Chantal Mouyet et Dédé-la-Lopette, aux cuisines, sortaient les quatre tourtes du four de la cuisinière à bois.

Dédé-la-Lopette, remuait la salade. Dans la salle de séjour, les discussions, les rires et les plaisanteries fusaient de toute part. Chantal Mouyet et notre ami ramenèrent les tourtes et les saladiers. Sous les < Ohhhhh ! > et les < Wouahhhhh ! > des convives, nos cuisiniers furent applaudis et félicités. Le grand moustachu musculeux, vint trouver Dédé à la cuisine : < Bravo, ravioli ! Il paraît que tu as encore montré ta bite à Catherine, ce matin ! Tu es notre masturbateur-cuisinier préféré ! Tu nous n'en a pas mis partout, j'espère ! >. Notre ami se mit à rire bêtement...

Le repas fut apprécié à sa juste valeur. Tout le monde se régalait en ne tarissant pas d'éloges pour nos cuisiniers. Delphine se leva pour se rendre aux toilettes. Notre Dédé, toujours prompt à saisir la première opportunité venue, se leva pour la suivre. Une fois encore, le pantalon de jogging aux chevilles, la porte entrebaillée, notre salopiot se massait la turbe. Delphine, sortant de sa cabine, tomba à son tour sur la scène. < Ah non ! Pas moi ! > fit -elle avant de sortir précipitamment.

Lorsque Dédé-la-Lopette revint s'asseoir à sa place, sur le bout du banc, à côté de Laurent Gina, le grand moustachu musculeux se leva et demanda le silence. Solennel, il se tourna vers notre héros pour dire : < Chers amis, chers montagnards, nous avons parmis nous un cuisinier de grand talent doublé d'un exhibitionniste incorrigible ! L'invitons-nous à revenir en ce lieu ou lui demandons-nous de ne jamais revenir y mettre les pieds ? >.

Tout le monde se leva pour chanter : < Ravioli, c'est notre ami ! Ravioli, c'est notre ami ! Lui, ses manières et son zizi ! >, en tapant des mains.Se tournant vers notre Dédé, le gardien fit encore : < Voilà, ravioli, tu fais partie de la maison, tu reviens quand tu veux ! >. Dédé-la-lopette, quand même un peu gêné, se leva pour dire à la cantonade : < Merci mes nouveaux amis. Je ferais de mon mieux la prochaine fois ! >. Tout le monde se mit à applaudir notre ami.

< Mais plus Delphine ! D'accord ravioli ?> fit le grand moustachu musculeux en rajoutant encore : < Ni chantal Mouyet, ni Catherine. Par contre, Natacha Passéski, pas de souci, elle adore ça ! >. Natacha se leva pour dire : < Eh ben merde, les vicelards c'est toujours pour ma gueule ! Y en a marre ! >. Dédé-la-Lopette conclu en faisant rire tout le monde : < Tu vas jamais aux toilettes, Natacha, tu fais pipi dehors ? >. Comme nous pouvons le constater, l'ambiance battait son plein...

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Ne manquons pas le dernier opus de cette aventure dans le prochain épisode < Le chalet - Partie 9 >.

A suivre...



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Modifié 2 fois. Dernière modification le 16/08/15 18:11 par Oncle-Julien.
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 9)

Durant tout le repas, les convives plaisantèrent. Les bons mots fusaient de toutes parts. Cette ambiance plaisait tant à Dédé-la-Lopette qu'il se promit de revenir passer un week-end le plus tôt possible. Aussi, lorsque le gardien, "Hulk", le grand moustachu musculeux, demanda à notre ami son sentiment quand à son séjour, ce dernier répondit : < C'est vraiment superbe ! Je reviendrais ! >.

< I'll be back ! > fit l'assemblée en cœur. Cette célèbre réplique de Terminator trouvait là tout son sens burlesque. Chantal Mouyet, lui donnant un coup de coude, appuyé d'un clin d'œil, lui fit : < Mais tu reviens sans boîtes de conserves et sans bouffe industrielle. Ramène de la nourriture plutôt que de la bouffe ! >. Laurent Gina, répondit : < Mais merde, il ramène ce qu'il veut notre ami ravioli ! >. < Exactement ! > fit "Hulk".

Le repas se déroula ainsi, dans la joie et la bonne humeur. Durant la vaisselle, les participants chantaient les grands traditionnels des chansons paillardes. C'est durant "La Digue du Cul" que Dédé-la-Lopette vit Delphine se rendre aux toilettes. Nous le connaissons bien notre héros. Immédiatement le sexe qu'il avait à la place du cerveau se mit à le chatouiller.

Posant son torchon, Dédé rejoignit Delphine aux toilettes. Une fois encore, son pantalon de jogging bleu aux chevilles, notre salopiot se massait la turbe. Lorsque Delphine passa devant la porte entrebaillée, elle lança, à l'attention de notre exhibitionniste : < Attends deux minutes, je reviens, d'accord ? >. Dédé-la-Lopette, son sourire niais éclairant tout son visage, en se paluchant, s'écria : < Oh oui ! >.

Delphine, à la cuisine, raconta à la cantonade ce à quoi elle venait encore d'assister dans les toilettes. Comme le dit si bien bien Sénèque, le philosophe Grec : < Le seul secret que garde une femme est celui qu'elle ignore ! >. Force était de constater que cette citation, une fois encore, prenait tout son sens. "Hulk" proposa à toute la bande d'aller surprendre notre Dédé aux toilettes. En silence et sur la pointe des pieds.

Toute la bande entra en silence dans les toilettes. Doucement, sans faire de bruit, tout le monde vint aux abords de la cabine où se trouvait notre ami. Là, en applaudissant, tout le monde surprit Dédé-la-Lopette en riant. Ce dernier, se masturbant frénétiquement, ne s'attendait pas à une telle surprise ! Soudain couvert de sueur, tout rouge, notre exhibitionniste n'en menait pas large. Il aurait pu en pleurer, le pauvre ! ! !

< Alors, ravioli, on pratique son sport préféré ? > lança "Hulk". Dédé-la-Lopette se réajustant rapidement, remontant son pantalon, essaya de se frayer un passage dans la cohue soudaine. Tout le monde riait. A la cuisine, Delphine demanda à notre masturbateur fou : < Alors, ravioli, tu ne m'attends pas ? >. < Salope ! > lui fit Dédé pour toute réponse. < Mais ne le prends pas mal, ravioli, on est là pour rigoler ! > répondit Delphine en lui déposant une bise sur la joue.

Tout le monde passa à table pour le dessert. Tarte aux pommes "maison" réalisées le matin avec les tourtes. Dédé-la-Lopette, héros du jour, un peu malgré lui, restait silencieux et gêné. < Ben, fais pas la gueule, ravioli ! On s'est bien marré ! Et puis maintenant tout le monde sait que tu es un exhibo de première, mon salop ! > fit le grand moustachu musculeux...

Ne manquons pas le prochain opus des aventures de Dédé-la-Lopette, ici, sur ce superbe forum < Le chalet - Parte 10 >

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Dédé-la-Lopette, alias "ravioli"

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le chalet (Partie 10)

Toutes les bonnes choses ont une "faim". C'est ainsi qu'il faudrait conclure ce dernier opus de la série des "chalets". Après la tarte aux pommes et les tisanes, la vieille horloge à coucou indiquait seize heure. < Je ferme pour dix sept heure ! > fit "Hulk", le grand moustachu musculeux. Tout le monde se leva pour aller préparer ses affaires. < Il faudrait des volontaires pour nettoyer ! > fit encore le gardien.

Dédé-la-Lopette monta à l'étage avec un balai, une petite pelle et une balayette. Le tout lui étant offert par Chantal Mouyet qui lui fit : < Tiens ravioli, toi tu es bénévole pour les dortoirs ! >. Réunissant ses affaires, roulant son sac de couchage, notre ami fit son sac. Puis, s'apprêtant à balayer le dortoir, il vit arriver Catherine qui venait réunir ses affaires. < Tu me montres ta bite, ravioli, avant de descendre ? > fit la coquine avec un clin d'œil.

Dédé-la-Lopette ne savait plus si toutes ces plaisanteries étaient du lard ou du cochon. Aussi, dans l'incertitude, notre ami se contenta de passer son balai. Pourtant, en louchant sur le super cul de Catherine, penchée au-dessus de son sac à dos, le sang de notre héros ne fit qu'un tour ! Et quel tour ! Nous imaginons facilement se qui pouvait encore se passer dans sa psyché soudain perturbée.

Ouvrant la tirette de son pantalon, notre salopiot, tout en continuant à balayer, laissait pendre son sexe. Catherine, surveillant Dédé, découvrit le "numéro" de notre ami. < Tiens bien le manche, ravioli, il faut que tout soit propre ! > lança t-elle en riant. Dédé-la-Lopette, tenant le balai de la main gauche, se massait la turbe de la main droite. < Tu es incorrigible, ravioli ! > fit encore la coquine avant de s'asseoir sur le lit pour enfiler ses chaussures de marche.

Le grand moustachu musculeux fit irruption dans le dortoir. Surprenant Dédé-la-Lopette dans son "show". < Ben mon salop, t'es barré cul tout le temps, ma parole ! >. Notre exhibitionniste se retourna rapidement contre le mur pour dissimuler et remballer son sexe. < Tu nous fais un ménage impeccable, hein, ravioli, avant de partir ! >. Catherine, avec un nouveau clin d'œil, lança en riant : < Ne t'inquiètes pas "Hulk", je surveille notre petit "besogneux" ! >.

Catherine quitta le dortoir laissant Dédé terminer de passer le balai. A son tour, notre héros descendit en prenant son sac sur le dos. Il était dix sept heure. Le carrelage du sol, constitué de tomettes, était encore mouillé. Tout sentait le propre. < Ravioli, tu nous mets un petit mot dans le Livre d'Or, s'il te plaît ? On voudrait garder un souvenir de notre masturbateur fou ! > lança "Hulk" en mettant un marqueur dans la main à Dédé. Notre ami s'exécuta avec plaisir.

Dédé-la-Lopette partit le premier. Le long du sentier qui descendait, il se retourna une dernière fois. Notre ami avait passé là un très agréable week-end. Il continua son chemin en se promettant de revenir samedi prochain. Soudain, derrière lui, il entendit : < Hé, mon salop, tu as oublié ta boîte de ravioli vide ! >. C'était Chantal Mouyet qui, de la fenêtre ouverte, lui lança la boîte de conserve vide. < Ici, on redescend sa merde ! > fit encore la jeune femme.

Le grand moustachu musculeux vint sur le pas de la porte, tenant une casserole à la main : < Et avant de partir tu laves ta casserole ! Put-Hein, il reste des raviolis à moitié crâmés collés au fond ! >. Dédé-la-Lopette, retirant son sac à dos, retourna à la cuisine. < Et ne fous pas ta merde, on a tout nettoyé ! > fit encore "Hulk". Notre héros lava sa casserole avant de partir. Cette fois, définitivement, sous les < Hourrah > des "montagnards", il franchit la porte.

Dédé-la-Lopette, serra les mains de tout le monde. Les filles lui firent même la bise. < On t'aime bien, ravioli. Tu reviens quand tu veux ! > fit Delphine. Le grand moustachu musculeux rajouta encore : < Mais, sois gentil, préviens avant quand même ! >. Laurent Gina et Chantal Mouyet firent le trajet de la descente en compagnie de notre ami.

Arrivé chez lui, Dédé-la-Lopette avait presque le cœur gros. Enfin, il se sentait, sinon compris, au moins toléré. Il garderait cette impression d'avoir de nouveaux amis toute la semaine...

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En cliquant sur l'image, si on veut, nous pouvons découvrir le petit mot que notre Dédé a laissé dans le Livre d'Or.

NOTE :
Dédé-la-Lopette a fait SMS en première langue. Juste avant d'arrêter sa scolarité en gardiennage deuxième année. Dédé a préféré se lancer dans la vie active plutôt que d'entreprendre des études en maternelle première année.
Il faut préciser cela à la découverte de son expression écrite. Afin que personne ne pense du mal de notre héros préféré.

Ne manquons pas la suite des aventures de Dédé-la-Lopette, ici-même, sur ce superbe forum, à la suite de celles-ci.

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Dédé-la-Lopette - Le bateau - Danser
Tuesday 25 August 2015 10:25

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le bateau

Avec cette magnifique journée qui s'annonçait, Dédé-la-Lopette avait l'irrépressible envie d'aller faire du bateau sur la Seine. Depuis plusieurs jours, en passant devant l'entrée du canal Saint Martin, ce désir devenait impératif. Aussi, en ce beau lundi après-midi, pour quatorze heure, Dédé acheta son billet pour un de ces superbes périples en bateau-mouche sur le fleuve parisien.

Il y avait une file de touristes assez conséquente. Notre ami s'y faufila. Entre des estivants chinois, japonais et sans doute tamouls, Dédé-la-lopette regardait cette belle asiatique, visiblement seule, qui attendait, là, à quelques mètres, sur sa droite. Il en louchait à s'en déboîter les globes occulaires. Elle était grande, filiforme, vêtue d'une robe légère, rouge à fleurs blanche. Magnifique.

Enfin son tour arriva. Dédé s'acquitta des dix euros du prix du billet. Une ravissante dame l'invita à le suivre pour lui montrer sa place, à l'arrière, au dernier rang. De son siège, notre héros pu découvrir une vue parfaite. Il occupait la dernière place à droite. Entre le siège voisin, occupé par la belle asiatique, il y avait l'allée centrale. Une situation "miraculeuse" pour notre ami. Autour, des petits vieux, des retraités et ce groupe de jeunes allemands joyeux qui beuglaient en Tyrolien ou en Bavarois. Tyrolien ou Bavarois anciens datant sans doute de la fin du XIX ème.

Le bateau, dans un frémissement de ses moteurs, s'écarta du quai. La promenade commençait enfin. Tenant un micro à la main, une hotesse, se promenait dans l'allée centrale. En allemands, en anglais et en français, la jeune femme informait les plaisanciers sur l'historique des monuments qu'ils pouvaient admirer. Dédé-la-Lopette, lui, continuait à mâter la belle asiatique.

La robe de la belle jeune femme lui arrivait à mi-cuisses. Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une fille et le voilà qui devient fébrile, qu'il ne se contrôle plus et qu'il a tendance à se comporter en primate. Son érection su-BITE l'incommodant quelque peu, notre coquin regardait avec attention autour de lui. Etudiant la stratégie à adopter. Posant son dépliant touristique sur ses cuisses, discrètement, il ouvrit sa braguette.

De sa main droite, animé de vertiges débridés, notre salopiot se paluchait doucement. L'excitation lui faisait, une fois encore, perdre le sens de la mesure et, surtout, des réalités. Le bougre, en sueur, mâtait la belle asiatique. Dans son égarement le drôle avait tendance à oublier les deux cent personnes qui l'entouraient. Discrètement, lorsque la jeune femme regardait sur sa gauche, Dédé-la-Lopette levait un coin du dépliant.

Ce qui devait arriver, arriva. La belle asiatique finit par se rendre compte des agissements de l'exhibitionniste. Elle pouvait voir, sur le visage tout rouge de Dédé, son sourire niais. Ce sourire de crétin qu'affichent souvent ce genre d'importuns. Tout particulièrement en se livrant à de telles pratiques, et en public. La jeune femme dévisageait, dubitative, notre vicelard avec une certaine gravité.

Dédé-la-Lopette sentait-il arriver les ennuis ? Toujours est-il qu'excité comme une puce, il arriva, dans un effort désespéré à refréner ses agissements à l'arrivée de l'hotesse. < Sur la gauche, nous pouvons admirer Notre-Dame de Paris ! > fit la dame juste au moment où la belle asiatique se leva. Cette dernière, se penchant vers son oreille, lui murmura quelques mots. En pointant son doigt en direction de notre héros.

C'est en continuant son argumentaire touristique que l'hotesse disparu en descendant les marches d'un escalier. Dédé-la-Lopette, ne pouvant s'empêcher de faire le con, recommença son activité sous son dépliant. Affichant toujours ce sourire lubrique à chaque fois que la belle asiatique tournait sa tête dans sa direction. Deux minutes passèrent encore avant que deux hommes en uniformes vinrent trouver notre Dédé. < Vous pouvez nous suivre, s'il vous plaît ? > fit l'un d'entre eux.

Dédé-la-Lopette, la braguette encore ouverte, le sexe maladroitement rentré, tenant le dépliant devant lui, suivit les deux hommes. Ces derniers l'invitèrent à descendre l'escalier qui menait à une cabine. Là, on lui demanda de s'asseoir. Un des deux matelots, prenant son téléphone, appela la police. Une fois encore, Dédé-la-Lopette, le cœur battant, savait ce qui l'attendait. Une nouvelle récidive ne serait sans doute pas bien "vue" en haut lieu.

Une demi-heure plus tard, un petit croiseur de la police fluviale vint se ranger le long du bateau-mouche. Dédé-la-Lopette fut invité à monter à bord. Les policiers emmenaient notre coquin au commissariat ou il passerait sans doute le restant de cette magnifique journée. En regardant par le hublot, Dédé vit la belle asiatique qui observait l'éloignement du croiseur des policiers. Accoudée au bastingage, rêveuse...

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Dédé-la-Lopette - Le balcon - Danser
Thursday 27 August 2015 09:16

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le balcon

Dédé-la-lopette est venu rendre visite à son vieux copain Benoît Chauzemol. Benoît Chauzemol habite un appartement au quatrième étage de cet immeuble parisien. Profitant de son séjour dans la capitale, Dédé-la-Lopette fait le tour de ses amis et visite quelques hauts lieux touristiques. Notre ami est descendu dans un petit hotel près de la place de Clichy. Il avait un peu plus d'une heure à consacrer à cette visite avant d'aller voir Josiane Frouchiez sa vieille copine.

Par cet après-midi de juin, plutôt maussade, il y avait donc un prétexte idéal pour s'adonner à cette activité. Benoît Chauzemol, ravi d'accueillir son vieil ami l'invita à le suivre au salon. Benoît fit visiter son appartement à Dédé. < Il faudra que je m'absente une petite demi-heure. Tu veux bien m'attendre, je reviens pour seize heure ! > fit Benoît. < Mais pas de souci ! > répondit notre héros.

Une fois seul, Dédé-la-Lopette,sirotant sa bière bien fraîche, vint s'appuyer à la rembarde du balcon du salon. Depuis cet endroit, la vue sur cette partie de Paris était superbe. On pouvait apercevoir Montmartre et son célèbre Sacré-Cœur. Dédé savourait cet instant avec délice. C'est en regardant sur sa droite qu'il aperçu la jeune femme entrain d'étendre du linge sur son balcon.

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une jeune femme et voilà son fonctionnement métabolique qui connaît quelques transformations. La jeune femme, vêtue d'une robe rouge, légère, déboutonnée jusqu'à mi-cuisses, était ravissante. A son tour elle remarqua Dédé-la-Lopette. Elle lui adressa un sourire rapide avant de continuer sa tâche.

Discrètement, notre héros déboutonna sa braguette pour en extraire un sexe déjà bien raide, (le fameux métabolisme). Se tournant ostensiblement vers la jeune femme, tout en tirant sur sa cigarette, il fit bouger son membre turgescent. La jeune femme, distante d'une vingtaine de mètres, crut halluciner lorsqu'elle découvrit le "spectacle". Notre Dédé, tout fier, lui fit ce sourire niais si caractéristique. Ce sourire d'ahuri que nous lui connaissons bien.

La jeune femme détourna la tête avec une grimace. Elle rentra dans ses appartements pour en ressortir avec un grand panier. Elle continua de suspendre son linge. C'est à la vue des petites culottes et des soutifs que notre drôle se mit à se masser la turbe. S'en était trop pour la jeune femme qui tourna le dos à notre exhibitionniste. Ce dernier redoublait d'activité.

Benoît Chauzemol entra dans l'appartement en appelant : < Dédé ? Dédé, tu es là ? >. Dédé-la-Lopette se reboutonna prestement. Il revint au salon. < Oui, oui, je suis là ! Dis donc, il est super ton appartement. Tu as de superbes voisines en plus ! >. Il était déjà dix sept heure et Dédé avait un autre rendez-vous à honorer. Il devait encore visiter Josiane Frouchiez. Aussi, il prit congé de Benoît en lui promettant de le revoir dès que possible.

A peine Dédé-la-Lopette était-il partit depuis dix minutes que des coups violents furent frappés contre la porte. En ouvrant, Benoît Chauzemol se retrouva devant deux policiers à l'air patibulaire. < Alors ? On fait de l'exhibitionnisme sur son balcon ? Vous allez nous suivre au poste mon petit monsieur ! Allez, venez et ne faites pas d'histoires ! >. Benoît Chauzemol, ne comprennant pas ce qui lui arrivait, suivit les deux agents de la force public.

Au poste, un gradé vint lui faire des excuses. Il y avait erreur sur la personne. Le policier fit : < La plaignante à formellement reconnu que ce n'était pas vous qu'elle avait vu sur votre balcon. Vous avez une idée ? Vous aviez un visiteur ? >. Il fallait donc "balancer" sur Dédé !

Dédé-la-Lopette revit Benoît Chauzemol, conformément à sa promesse, mais beaucoup plutôt que prévu..

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Dédé-la-Lopette - L'autobus - Danser
Tuesday 1 September 2015 14:29

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

L'autobus

Dédé-la-Lopette avait emmené sa voiture au garage. Sa vieille Clio rouge demandait quelques entretiens et quelques réparations. Et après seize ans de bons et loyaux services, il était nécessaire de procéder à des contrôles drastiques. C'est donc avec l'autobus de dix heure que, ce matin de lundi, par un temps maussade, notre ami avait décidé de se rendre dans la ville voisine. Avec une distance de dix huit kilomètres avec dix arrêts, Dédé serait arrivé pour onze heure.

Dédé-la-Lopette s'installa au fond du bus. Là, dépliant son journal, notre héros se mit à lire. Il y avait déjà quelques personnes dans l'autobus. Au premier arrêt, à Fontaine-le-Sec, notre ami vit monter une ravissante jeune femme. Miracle des miracles, elle vint s'asseoir sur le siège voisin de celui de Dédé. A sa gauche. Le véhicule reprit sa route dans le ronronnement de son moteur Diesel.

La jeune femme, vêtue d'une façon élégante, se rendait sans doute à la ville. Habillée d'une jupe très classique, d'un imperméable et chaussée de souliers à légers talons, l'inconnue était plutôt attractive et séduisante. Dédé-la-Lopette, au risque de se déboîter les globes oculaires, louchait effrontément sur les jambes de sa voisine de gauche.

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une fille et le voilà dans tous ses états. Son sang, cessant brusquement d'irriguer convenablement son cerveau, vient gonfler sa turgescence. Au risque de lui faire commettre les inepties dont nous le savons capable. Une fois encore, l'occasion de faire le con était trop belle. Son érection, contrariée par les tissus de son slip et de son pantalon, était presque douloureuse. Pénible...

Sous le journal, discrètement, notre salopiot glissa sa main droite. Il ouvrit sa braguette afin d'en extraire, non sans peine, mais avec une certaine vélocité, son sexe dur comme le bois. Dédé-la-Lopette commençait à se masser la turbe. A plusieurs reprises, pour nourrir son excitation débridée, notre drôle tournait la tête en direction de la jeune femme. Celle-ci, son attention attirée par ce comportement insistant, tourna la tête sur sa droite. Elle découvrit ce sourire stupide. Sourire niais dont sont souvent coutumiers ces individus, dans leurs "activités" lubriques.

L'inconnue regardait le mouvement mécanique du bras de Dédé-la-Lopette. Mouvement qui agitait le journal posé sur les cuisses du salopiot. La jeune femme pouvait constater que le coquin était tout rouge et en sueur. Elle comprit rapidement ce qu'était entrain de faire son étrange voisin. En toussant, elle détourna la tête pour regarder, par la fenêtre, défiler cette magnifique campagne.

Dédé-la-Lopette, excité comme une puce, perdait à présent tout sens des convenances et, hélas, des réalités. Relevant un coin du journal, notre exhibitionniste tentait de montrer son sexe à l'inconnue. Celle-ci, excédée par cette situation non désirée, se leva pour aller s'asseoir à l'avant de l'autobus, derrière le chauffeur. Là, se penchant en avant, elle se mit à parler à ce dernier qui, sans répondre, écoutait avec attention.

Arrivé à Ridelles-Les-Essieux, le conducteur arrêta son véhicule. Nous étions à cinq kilomètres de Barge-Les-Ecluses, ville de destination. Se levant de son siège, le chauffeur vint trouver Dédé-la-Lopette pour lui signifier : < Il va descendre là, le petit monsieur qui importune les femmes. Si ! Il va se casser vite fait. Il a le choix le petit monsieur. Où je le dépose au commissariat de police ou il s'en va tout de suite, immédiatement, à l'instant ! >. Le chauffeur agitait deux grosses mains devant le visage de notre salopiot qui se réajustait sous son journal.

Dédé-la-Lopette, debout au bord de la petite départementale, sous une bruine insistante, regardait partir l'autobus. Il lui restait cinq kilomètres à faire à pieds avant d'arriver en ville. Sans parapluie. Juste avant que l'autobus ne disparaisse derrière un bosquet, notre ami vit le buste de la jeune femme se pencher à une fenêtre ouverte. Cette dernière lança le journal qui vint se coller contre l'enrobé de la route mouillée.

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Dédé-la-Lopette - Le jardin - Classe
Friday 4 September 2015 09:35

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le jardin

Cela faisait quelques temps que Dédé-la-Lopette avait repéré cette jeune femme qui jardinait dans sa propriété. En effet, Dédé qui aime à se promener en soirée, passe régulièrement dans ce lotissement de la sortie du bourg. Le Docteur Foutrar a conseillé à notre ami de cesser de fumer. Au moins, dans la mesure du possible, de limiter ce vice aux promenades, en soirée, par exemple.

Dédé-la-Lopette, pour suivre les conseils avisés du Docteur Foutrar, se promène donc plusieurs fois, en soirée, entre dix huit heure et vingt deux heure. Jusqu'à dix fois en quatre heure ! Parfois même jusqu'à cinq fois entre midi et quatorze heure. Depuis ces mesures drastiques, Dédé a l'impression d'aller mieux, d'avoir retrouvé l'appétit et d'avoir retrouvé plus de souffle.

Ce soir-là, passant derrière la cloture du jardin, Dédé-la-Lopette vit cette ravissante jeune femme accroupie entre ses rangs de tomates. Cette dernière soigne son potager avec une attention qui suscite l'admiration. Tout est soigneusement entretenu. Il y a les poireaux, les radis, les choux, les tomates et, tout au fond de magnifiques cucurbitacés. Rangés comme des petits soldats.

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une jeune femme, belle de surcroît, et le voilà dans tous ses états. Son sang, cessant subitement d'irriguer son cerveau, vient irriguer son éréction, le privant ainsi d'un peu de sa reflexion. Aussi, très rapidement, Dédé-la-Lopette se met à faire le con. Là encore, l'occasion rêvée se présentait.

Dans la cloture, faite de languettes de bois, il manquait, par endroit, quelques unes des planchettes. Dédé-la-Lopette, en proie à une de ses érections spontanées, se mit en position stratégique. Se débraguettant, il sortit sa turgescence. Là, guettant l'instant où la jeune femme regarderait dans sa direction, notre exhibitionniste se mit à se masser la turbe. Entre deux planchettes verticales de la cloture. Regardant à gauche et à droite du petit chemin où il agissait.

Dans un moment de relâche, la jeune femme se redressa pour enlever ses gants de jardinage. Contemplant avec satisfaction son travail, elle releva les yeux. Sans doute avec ce sixième sens qui alerte nos sens dans ces situations, elle se sentit observée. Elle regarda en direction de ce trou dans la cloture pour apercevoir notre salopiot. Ce dernier, son sourire niais éclairant son visage, accéléra son mouvement. Tout content...

La jeune femme, consternée, regardait notre drôle un long moment. Les mains sur les hanches, elle contemplait ce spectacle insolite. Elle se remit à ses activités de jardinage. Dédé-la-Lopette, avisant un autre vide dans la cloture, bien en face de l'inconnue, se remit en position. Une fois encore, en relevant les yeux, elle put voir l'exhibitionniste.

Dédé-la-Lopette, dans son élément, donnant libre cours à sa déviance, affichait ce sourire de crétin si caractéristique de ce genre d'individu. Surtout, sachant être vu. Notre salopiot se massait la turbe depuis quelques minutes devant le regard de la jeune femme. Celle-ci, les mains sur les hanches, regardait maintenant avec un curieux air amusé.

Soudain, devant Dédé-la-Lopette apparu un homme tenant un tuyau d'arrosage. Dans un jet soudain et puissant, qui le mouilla complètement en quelques instants, notre drôle entendit : < Tiens mon gars, prends ça, ça va te rafraîchir les idées ! >. Se retirant, trempé, se réajustant, Dédé, partit rapidement sans demander son reste. < Hé, ducon, si je te revois, c'est du gros sel que je te tire dans le cul ! > fit encore l'homme, agitant le tuyau d'un air menaçant.

Dédé-la-Lopette, ses vêtements complètement mouillés, traversa le bourg sous les regards amusés des badauds et des passants...


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Pour voir en grand la cloture où Dédé s'est fait mouiller, il suffit de cliquer sur l'image. Si on veut...

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Re: Dédé-la-Lopette - Le jardin - Classe
Friday 4 September 2015 11:51

Djeje95
Homme, 42 ans, France, Île-de-France
c'est clair lol
Dédé-la-Lopette - Au Fast Food - Danser
Sunday 6 September 2015 15:07

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Au Fast Food

Dédé-la-Lopette, toujours soucieux de soigner sa diététique, poussé par une faim dévorante, entra dans le Fast-Food du centre ville. Là, sous l'œil du clown ridicule, en plastique, de la célèbre enseigne américaine, notre ami fit la queue. Pour commander son plateau, il fallait suivre la file. Même à seize heure, en ce mardi après-midi d'automne la fréquentation était dense.

Dédé-la-Lopette, désireux de contrôler son apport calorique, au lieu de prendre deux grandes portions de frites, n'en prit qu'une seule. Pour accompagner son hamburger, il n'avait pris qu'un seul soda "light". Même dans un Mac-Gerbald, il est toujours possible d'être attentif à ce qu'on ingère. Dans ces lieux, il n'est pas question de se nourrir mais de se "remplir". Dédé en était parfaitement conscient.

Portant son plateau, Dédé-la-Lopette monta les escaliers en colimaçon pour se rendre à l'étage. Notre héros choisit une petite table du fond. De là, il pouvait regarder la rue. Dédé, en mangeant, aimait bien faire des petits dessins sur le papier du plateau. Avant que celui-ci ne s'imprègne du trop plein de gras du hamburger et des frites. Il déchira son petit sachet de moutarde pour en étaler le contenu sur le pain.

Dédé-la-Lopette mâchait depuis une dizaine de minutes quand une jeune fille vint s'installer en face lui. Déposant son plateau sur la table, elle retira son blouson. Notre ami pouvait apprécier la délicate silhouette de l'inconnue. Des écouteurs Mp3 sur les oreilles, cette dernière était dans son univers. Ignorant tout à fait notre Dédé.

Nous le connaissons bien notre Dédé. Une fille qui arrive, qui évolue dans un rayon de quelques mètres et voilà notre ami privé d'une partie de ses possibilités mentales. Une fois encore l'opportunité de faire le con se présentait. Dédé, en parfait virtuose, allait la saisir. Son érection contrariée par le tissus de son pantalon, ce dernier se débraguetta sous la table.

Sa main droite, animée de ce mouvement métronomique que nous savons bien, s'agitait sous la table. Sa main guache attrapait les frites, une à une. Dédé-la-Lopette louchant sur la jeune fille jusqu'à attirer son attention. Cette dernière ne tarda pas à remarquer l'activité de notre salopiot. Notre exhibitionniste affichait déjà ce sourire niais, si caractéristique. Il était rouge et en sueur, auto-excité pas sa masturbation frénétique. L'érotomane était dans son élément...

La jeune fille, tout en regardant, se mit à parler toute seule. Elle fixait Dédé dans les yeux, sans faillir, d'un regard vide. Ce regard qu'on retrouve assez souvent chez les jeunes clients des Mac-Gerbald, d'ailleurs. Dédé-la-Lopette, son cerveau moins bien irrigué, prenait ce regard pour une invitation à continuer. Aussi, il redoubla d'activité. Renversant au passage son gobelet sur son plateau. Frites au soda...

Un grand garçon, assez balaise, portant un plateau, vint s'asseoir à côté de la jeune fille. Cette dernière, pointant son doigt vers notre coquin, fit, à très haute voix : < C'est lui ! >. Le jeune homme vint s'asseoir à côté de Dédé-la-Lopette. Lui passant le bras autour du cou pour poser sa main sur son épaule, il lui dit : < T'es un sacré salopard mon vieux ! Tu te paluches devant les jeunes filles ! Tu leurs demandes même pas leurs avis ! T'es un peu "pourrave" comme mec ! >.

Dédé-la-Lopette, évaluant la situation, se leva brsquement en faisant : < Je m'excuse, je croyais que c'était une copine ! Elle lui ressemble ! >. Le jeune homme se levant à son tour, une tête de plus que celle de notre ami, le prit par le bras pour le raccompagner jusqu'à l'escalier : < Tu vas te casser, vite fait, d'accord ? Tu vas battre tous les records de vitesse dans l'escalier ! Allez, files, pauvre type ! >. Dédé dévala les escaliers.

Pendant ce temps, la jeune fille, s'étant levée, se saisit du dessin qu'avait réalisé et laissé Dédé-la-Lopette sur la table. < Regarde Kevin, notre vicelard est un artiste ! > fit-elle en montrant la feuille de papier. < Kevin regarda puis répondit : < Ce serait pas plutôt un "art-triste" ? >. Tous les deux éclatèrent de rire en regardant, par la vitre, notre héros s'en aller à grands pas...


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Ne manquons pas le prochain épisode des aventures de Dédé-la-Lopette, ici-même sur ce fantastique forum.

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En cliquant sur l'image, pour l'agrandir, si on veut, nous pouvons découvrir le dessin réalisé par Dédé au Mac-Gerbald...

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Dédé-la-Lopette - La coiffeuse - Danser
Tuesday 15 September 2015 09:27

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

La coiffeuse

Dédé-la-Lopette est entré dans ce salon de coiffure de la rue Matisme par cet après-midi pluvieux de septembre. Il y avait nécessité de donner un peu de fraîcheur à sa tignasse. En effet, notre ami avait un peu négligé sa coupe de cheveux durant tout l'été. Sa dernière visite au salon "Rase-Tiff" remontait à la fin mai.

La jeune femme qui vint accueillir Dédé lui proposa de prendre place dans un des fauteuils afin d'attendre son tour. Tout en feuilletant un vieux numéro de Marie-Patch, relatant la mort de Georges Pompidou, notre ami relevait souvent les yeux. Il pouvait guetter la prochaine place qui se libérerait. Trois messieurs d'un certain âge, sans doute retraités, se faisait coiffer par trois ravissantes jeunes filles.

Au bout d'un quart d'heure, l'une des trois jeunes filles se rapprocha de Dédé-la-Lopette. Elle l'invita à prendre place dans un des fauteuils de coupe. La coiffeuse enfila une blouse d'un bleu d'azur sur le buste de notre héros. < Je vous les coupe comment ? > demanda la jeune employée. < Courts ! > répondit notre ami en admirant la plastique avenante de la coiffeuse.

Dédé-la-Lopette, toujours soucieux d'avoir un bon mot. Ce, afin de tenter quelques manœuvres de séductions, fit : < Le shampoing ? vous le faites aux œufs ? >. La jeune fille répondit : < Oui, nous avons les meilleurs produits ! >. Dédé, bien lourd, comme à son habitude, insista : < Un shampoing aux œufs mais sur la tête ? >. La jeune coiffeuse, ignorant la plaisanterie, tournant le fauteuil, le fit basculer. Ce, afin de présenter la tête de notre héros au-dessus du lavabo.

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une ravissante jeune personne et le voilà dans tous ses états. L'afflux sanguin, soudain limité dans son cerveau, à cause de son érection, notre coquin se met à faire le con. Là, Dédé ne trouva rien de mieux à faire qu'à se toucher sous sa blouse. Le mouvement de son bras ne passait évidemment pas inaperçu.

Une fois le shampoing terminé, la coiffeuse redressa le fauteuil pour le tourner. Dédé-la-Lopette se retrouva face au miroir. Il pouvait donc admirer la silhouette et le visage fin de la jeune fille. Discrètement, notre salopiot ouvrit sa braguette pour en extraire un sexe turgescent. Cette situation l'excitait au-delà du raisonnable. Aussi, notre voyou se mit à se masser la turbe. Se regardant, tout fier, dans la glace...

Au fur et à mesure de l'avancée de ses travaux de coupe, la jeune fille manifestait une certaine gêne. Rapidement cette dernière manifestait même quelques expressions de contrariétés. Le bras mécanique de Dédé-la-Lopette ne laissait subsister aucun doute quand à son activité. S'en était trop pour l'employée qui s'en alla quelques minutes. Dans le miroir, Dédé, convaincu de partager son excitation avec la jeune employée, affichait son sourine niais.

Au bout de quelques minutes la jeune femme qui avait accueilli notre coquin à son entrée dans le salon, se rapprocha. Sans doute la patronne du salon. L'air renfrogné, plus du tout avenante, cette dernière fit : < Vous devriez avoir honte, monsieur, de vous livrer à de telles activités sous les yeux d'une jeune fille ! Aussi, je vous demanderais de cesser et de vous en aller ! >. Elle tourna le fauteuil en montrant la porte de son doigt pointé tout en précisant : < Immédiatement ! >.

Dédé-la-Lopette, la moitié du crâne aux cheveux courts, l'autre moitié aux cheveux long, trempés et ebouriffés, se retrouva dans la rue. En voyant sa bobine dans les vitrines qui reflétaient son image, il prit conscience du ridicule de son apparence. Certains passants, en croisant notre héros, pouffaient de rire. Des filles se moquaient.

Dédé entra dans le premier salon de coiffure...


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Ne manquons pas le prochain épisode des aventures de Dédé-la-Lopette. Ici, sur ce fableux espace de liberté. Merci Bob.



Nous découvrons, ci-dessus, le théatre des dernières activités de Dédé-la-Lopette.

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/09/15 09:30 par Oncle-Julien.
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Les sports d'hiver

Dédé-la-Lopette avait réservé une chambre dans une agence de location. Depuis le temps que notre ami voulait passer une semaine aux pieds des pistes, près des remontes pentes et des cabines de téléphérique. Pour ce mois de janvier, Dédé avait franchi le pas. Il avait choisi une réservation dans un endroit de rêve. A plus de 1 200 mètres d'altitude.

Dédé-la-Lopette arriva avec l'autocar dans la charmante petite bourgade de Frougne-les-Poils. Nous étions dimanche soir. La location de la chambre courait de dimanche à dimanche. Une semaine à vivre dans l'air vivifiant de la montagne enneigée. Notre héros se réjouissait dejà tout en se félicitant de son initiative.

La dame de l'accueil, à l'office de tourisme, tendant les clefs à Dédé, fit : < Vous avez la chambre 11, au second étage. Nous restons à votre disposition durant toute la durée de votre séjour. Je vous souhaite une très agréable semaine, monsieur Dédé. >. Notre ami, ravi de ce premier contact, regardait la belle jeune femme qui agitait le trousseau sous son nez.

Dédé-la-Lopette entra dans le grand chalet. Vingt pièces permettaient à des vacanciers de trouver tout le confort nécessaire. Le séjour s'annonçait paradisiaque. Notre héros, tenant sa grosse valise à la main, gravit les escaliers. Au premier étage, il croisa un couple qui le salua. Arrivé au second étage, notre ami entra dans sa chambre. Le numéro 11.

Une pièce sobre. un lit, une table, une chaise, une armoire, un coin cuisine, un lavabo. Un minuscule cabinet de toilette. Comme c'était précisé, les douches étaient communes aux pensionnaires de l'étage. Dédé-la-Lopette se jeta sur le lit, aux côtés de sa valise qu'il ouvrit en chantant "National 7" de Charles Trenet, un de ces artistes préférés.

Les murs, recouverts de lambris ne devaient pas êtres épais car, presque aussitôt, des coups furent frappés contre la cloison de droite : < Oh ! Tu vas la fermer ta gueule ! > fit une voix bourrue, grave et masculine. Force était de constater que l'isolation sonore n'était pas au 'Top". Dédé s'en moquait un peu car il avait toujours ses boules Quiès dans ses bagages.

Il était vingt heure trente. Dédé-la-Lopette ressentit le besoin impérieux d'une bonne douche. Prenant sa serviette, son gant de toilette et sa savonnette, notre ami sortit de la pièce pour se rendre au fond du couloir. Là, ouvrant la porte, notre baigneur découvrit une grande pièce carrelée. Propre. Claire. Quatre cabines de douche sur la droite, quatre lavabos sur la gauche.

Dédé-la-Lopette choisit la première cabine. Tout était très clean. Il se déshabilla et laissa ses vêtements sur un des tabourets devant les lavabos. Sifflotant "Yellow Submarine" des Beatles, notre ami savourait l'instant avec bonheur. Lorsqu'il eut terminé, après s'être essuyé, il sortit de sa cabine douche. A cet instant entrait une jeune femme en peignoir de bain. Situation cocasse à la manière d'un Mister Bean !

A la vue de notre vacancier, la jeune femme eut un mouvement de recul avant de pousser un < Oh ! >. Dédé-la-Lopette, pour une fois qu'il ne tentait aucune "approche", se retrouva là, tout nu, devant une belle inconnue. < Excusez-moi, je croyais être seul ! > fit notre nudiste. < Et bien, vous ne l'êtes pas ! > répondit assez sêchement la jeune personne.

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une jeune femme et le voilà partit dans ses délires exhibitionnistes. Une fois encore, dans une telle situation, son sang ne fit qu'un tour. Le tour nécessaire pour lui procurer une spendide érection. La jeune femme, haussant les épaules, entra dans la seconde cabine.

Dédé-la-Lopette, devant cette nouvelle opportunité de faire le con, restant tout nu, se mit à se raser devant le premier lavabo. Cinq minutes plus tard, la jeune femme sortit de sa cabine. Notre exhibitionniste, faisant bouger son sexe, en le tapotant sur la faïence du lavabo, continuait son rasage comme si tout cela était naturel. < Vous ne manquez pas d'air ! > lança l'inconnue.

< Il va durer longtemps votre "numéro" ? > demanda encore la jeune femme gênée. Dédé-la-Lopette, affichant son sourire niais, se tourna franchement vers l'inconnue qui fit encore : < Je vous demande de cesser ou je préviens la direction ! >. Retrouvant soudain ses esprits, notre héros se dépêcha de se rhabiller pour quitter la salle des douches sur la pointe des pieds.

< Nous ne sommes que le premier soir des vacances et ça commençe "fort" ! >, se dit notre salopiot dans le couloir qui menait à sa chambre. Trois coups furent frappés contre la porte. Dédé-la-Lopette alla ouvrir. Un grand type, tenant une chaussette entre le pouce et l'index, fit : < Tiens. Tu as oublié ta chaussette aux douches. C'est ma femme qui me demande de te la ramener ! >...


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Ne manquons pas la suite des stupéfiantes aventures à venir. Les aventures de Dédé-la-Lopette qui paraîtront ici, à la suite de ce premier opus, "Les Sports d'hiver". Sept jours, sept aventures épiques.



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Aux pieds des pistes...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette - (Partie 2)

Les sports divers - (Partie 2)

Dédé-la-Lopette se réveilla pour huit heure. Par la fenêtre, dont il avait laissé le volet ouvert, notre vacancier pouvait découvrir le levé du soleil. Un soleil se reflétant sur le blanc immaculé de la neige. Un spectacle de toute beauté. Dédé, s'asseyant sur le bord de son lit, se chaussa de ses savates. Traînant des pieds jusqu'au lavabo, notre ami, le sexe posé sur la faïence, pissa longuenent en s'observant dans le miroir. Lâchant un chapelet de pêts sonores après avoir roté...

Dédé-la-Lopette se prépara un bon café. Il se tartina quelques tranches de pain avec de la confiture. Pressant deux oranges, notre héros regarda par la fenêtre. Ce premier matin, la logistique imposait des courses à la supérette du bourg voisin. Cette perspective réjouissait notre Dédé qui, après son petit déjeuner, fila prendre sa douche.

Vêtu chaudement, chaussé de ses grosses chaussures de marche, Dédé-la-Lopette, équipé de son sac à dos, marchait en sifflotant. Le chemin déneigé, à côté de la route, permettait d'avancer en toute sécurité. Au bout de dix minutes, notre héros arriva au bourg. Une animation y régnait car c'était jour de marché. Aussi, Dédé fit le plein de fruits et de légumes.

Dans la boulangerie, Dédé-la-Lopette croisa la jeune fille de l'accueil. < Bonjour monsieur Dédé. Bien dormi pour cette première nuit ? > demanda t-elle. < Oh oui, comme une souche ! C'est formidable ! > répondit note héros. La jeune fille se dépêcha de s'en aller pour aller ouvrir le bureau d'acceuil pour dix heure. Dédé la regarda partir. Il la trouvait très sexy dans son fuseau moulant noir et dans son anorack rouge.

Dédé-la-Lopette après avoir acheter des pâtes, du riz et autres victuailles, reprit le chemin du retour. Son sac à dos bien lourd et les sachets qu'il portait dans chaque main ne gâchaient pas le plaisir de la promenade. Une fois dans sa chambre, Dédé rangea ses achats. Pensant à la jeune fille de l'accueil, il en oublia de refermer correctement la porte du petit réfrigérateur.

Notre vacancier descendit les escaliers. Quelle ne fut pas sa surprise de croiser la jeune fille une nouvelle fois. Celle-ci tenait à la main une liasse de feuilles de papier. < Si vous allez au bureau, attendez-moi cinq minutes, je vais juste apporter des formulaires à un pensionnaire ! > fit-elle. Dans la tête à Dédé, il y eut comme un déclic. La jeune fille allait forcément redescendre par l'escalier.

Se plaçant dans l'encadrement d'une porte, sur le palier du premier étage, Dédé-la-Lopette, débraguetté, se massait discrétement la turbe. Guettant le passage de la belle jeune fille. Au bout d'une dizaine de minutes, un bruit de pas se fit entendre. Dans l'esprit embrumé de notre salopiot, ce ne pouvait être que l'employée de l'accueil. Aussi, dès que le bruit arriva à sa hauteur, Dédé, jaillissant de sa cachette se retrouva nez à nez avec le type de hier soir !

< Alors mon gars ? Tu as encore perdu une chaussette ? > fit le quidam, suivit de sa compagne. Sans se rendre compte immédiatement de ce qu'était entrain de faire notre drôle, il rajouta : < Tu as le bonjour de ma femme ! >. Dédé-la-Lopette, gêné, se boutonna rapidement. Trop tard, la compagne, debout derrière son mari, avait tout vu ! Notre ami fila à toute vitesse pour remonter dans sa chambre. < C'est un vrai vicelard, ce type ! > fit-elle.

En ouvrant, notre héros eut une nouvelle surprise. La porte du réfrigérateur, restée ouverte, laissait s'écouler de l'eau partout dans la chambre...


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La porte du frigo restée ouverte...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Les sports d'hiver - (Partie 3)

Dédé-la-Lopette, toujours désireux de découvrir l'environnement immédiat des endroits où il se trouve, a commencé, ce mardi, à explorer la maison. En suivant l'escalier qui descend au sous-sol, notre ami a découvert la buanderie. Là, dans des box, étaient disposées quatre grandes machines à laver. Il y avait des paniers et les produits disposés sur des étagères. Poudres à laver, éponges et adoucisseurs.

En continuant son exploration, notre Indiana Jones, découvrit la salle de jeux. Deux tables de ping-pong, quelques machines de musculation, un tapis de course électrique, un panier de basket-ball, des haltères et divers agrès de gymnastique. Il y avait de quoi maintenir sa tonicité et sa forme physique avant d'affronter les pistes de ski voisines.

Dans un petit local, il y avait des produits d'entretien. Serpillères, seaux en plastique, balais, essoreuses et autres articles de nettoyage. C'est en observant ce matériel que l'attention de Dédé-la-Lopette fut attirée par un bruit dans le couloir. Quelqu'un venait d'entrer dans la buanderie. Notre héros, sur la pointe des pieds, vint regarder par le hublot de la porte.

Là, penchée au-dessus d'un grand sac, posé sur la table, une jeune femme triait du linge de corps. Elle déposait dans un des paniers, des chaussettes, des slips, des T-shirt, des petites culottes et même un string. Dédé-la-Lopette remarqua ce détail avec sa perspicacité habituelle. L'inconnue s'apprêtait à sortir. Notre ami, se dissimula dans le local des produits de nettoyage.

Lorsque lle bruit des pas de la jeune femme avaient cessé de résonner, Dédé-la-Lopette entra dans la buanderie. Regardant aurour de lui, certain d'être seul, notre lascar sortit les culottes et le string du panier pour les disposer sur la table. Comme un animal, voilà notre Dédé qui renifle les sous-vêtements. C'est le string qui intéressait tout particulièrement notre ami.

Soudain, dans le couloir, des bruits de pas. Dédé-la-Lopette a juste le temps de se cacher derrière une des grosses armoires du fond. La porte s'ouvre. Une autre jeune femme entre dans le local avec un sac. Elle en sort des draps et des taies d'oreillers. Etonnée, l'inconnue découvre des culottes déposées sur la table. Elle regarde autour d'elle. Interloquée...

Dédé-la-Lopette, enivré par l'odeur du string qu'il continuait de renifler, excité par la proximité d'une belle jeune femme, se retrouva avec quelques vertiges. Nous le connaissons bien notre Dédé. Dans ces situations, son sang ne fait qu'un tour. Bref, une nouvelle occasion de faire le con se présentait là, tout spécialement pour notre ami.

En érection, dans sa cachette, il sorti son sexe pour se masser la turbe. La jeune femme déposa son linge de maison dans une des machines. Disposant la poudre à laver et l'adoucissant dans les petits tiroirs appropriés, l'inconnue programma la machine qui se mit en route. Dédé-la-Lopette, dans tous ses états, s'apprêtait à sortir de sa cachette.

Dédé-la-Lopette ne se doutait pas que derrière le hublot de la porte, l'autre jeune femme l'observait depuis quelques minutes. Cette dernière, entra soudain dans la buanderie. < Dites-donc, le pervers, c'est mon string avec lequel vous vous essuyez le gland ! Je vais prévenir la direction ! > fit l'inconnue. L'autre jeune femme, se rendant compte de la présence de notre salopiot, rajouta : < Putain, mais même ici, en montagne, il y a des malades ! Je viens avec vous attendez-moi ! >. Elle rejoignit l'autre femme dans l'escalier.

Dédé-la-Loptte, retrouvant ses esprits, se dépêcha de filer. Dans sa précipitation, il mit le string machinalement dans sa poche, comme un mouchoir. Arrivé dans sa chambre, le cœur battant, il s'enferma. Au bout de quelques minutes des coups furent frappés à sa porte. En ouvrant, notre ami se retrouva devant la propriétaire du string. Celle-ci accompagnée d'un homme. Plutôt balaise, l'homme !

< On ne fera pas de scandale. Nous ne diront rien à personne. Mais tu rends son string à ma femme où tu passes par la fenêtre ! > fit l'inconnu au physique de catcheur ukrainien...


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Nous découvrons, ci-dessous, une des machines à laver...



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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Les sports "divers" - (partie 4)

Ce mercredi après-midi, Dédé-la-Lopette avait en projet d'aller skier un peu sur la piste verte, la piste la plus facile. Notre ami n'avait plus pratiqué depuis quelques années. Aussi, guidé par sa prudence naturelle, Dédé porta son choix sur la piste la plus accessible aux débutants. La pente, à peine marquée, était assurée de chaque côté, et sur toute sa longueur, de barrières protectrices.

Vêtu de sa combinaison bleue, de son anorak jaune fluo et chaussé de ses grosses chaussures à "l'ancienne", notre héro se dirigea vers l'entrée de la piste. Portant ses skis et ses bâtons sur les épaules, Dédé-la-Lopette ajusta son bonnet de laine verte. Protégeant ainsi ses oreilles du froid vif. Le ciel était bleu et limpide. Le soleil régnait en maître dans l'azur.

Après avoir acquis un carnet de dix tickets, notre ami, assis dans la cabine du remonte-pente, profitait d'une vue splendide. En face de lui, sur le siège, il y avait deux jeunes femmes. A ses côtés, il y avait un homme accompagné d'un @#$%& rieur. Le papa qui emmenait sans doute son fils pour ses premières descentes. L'ambiance était comme la météo, au beau fixe.

Arrivé au départ, Dédé-la-Lopette, chaussa ses skis. Maladroit et gauche, notre ami s'avança pour sa première descente. Il y avait du monde. Dédé, faisant semblant d'être à l'aise, s'élança pour sa première épreuve. Tout se passa très bien. Deux chutes plus loin, notre héros arriva au point de départ. Au bas de la pente. Se prenant au jeu, Dédé savourait l'instant.

A nouveau assis dans la cabine du remonte-pente, en face de lui, sur la banquette, une unique passagère. C'était partit pour sept minutes de remontée lente et régulière. Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une belle jeune femme et voilà que le trouble l'envahit. Son sang bouillonnant, cessant d'iriguer convenablement son cerveau, est souvent la cause d'un comportement étrange et rédhibitoire.

Discrètement, glissant la main sous son anorak, Dédé-la-Lopette ouvrit la braguette de son pantalon. En érection, le sourire niais que nous lui connaissons bien, notre salopiot se mit à se masser la turbe. La jeune femme ne tarda pas à remarquer l'activité déplacée de l'exhibitionniste. L'air soudain grave, cette dernière dévisagea longuement notre voyou. Avant de détourner la tête pour fixer un point extérieur. Définitivement. Jusqu'à l'arrivée.

Dédé-la-Lopette, ayant décidé de garder sa braguette ouverte, dissimulée sous son anorak, attaqua sa seconde descente. L'air vif et froid, encore accentué par la vitesse, rafraîchit quelque peu les idées de notre ami. Trois chutes plus tard, ce dernier arriva une nouvelle fois au bas de la pente. Enlevant ses skis, notre héros s'apprêtait à entrer dans la cabine pour une troisième remontée.

Deux hommes, portant chacun le même anorak noir, accostèrent notre drôle. < Bonjour monsieur. Une jeune femme nous a signalé vos curieux agissements dans le remonte-pente. Nous vous sommons de cesser d'importuner les skieuses. Dans le cas contraire nous nous verrions dans l'obligation de vous signaler à la gendarmerie de montagne ! C'est clair ? >. Les deux hommes, s'éloignant, laissèrent Dédé-la-Lopette remonter dans la cabine.

Sur l'anorak des deux hommes dans leurs dos, était écrit < Sécurité >. Dédé-la-Lopette, dans la cabine, discrètement, tout en les regardant s'éloigner, referma sa braguette. Remarquant soudain le regard insistant d'un grand moustachu qui lui fit un clin d'œil...


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La cabine du remonte-pente...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Les sports d'hiver - (Partie5)

Ce mercredi matin, Dédé-la-Lopette était descendu au sous-sol de la résidence où il passait sa semaine de vacances. L'odeur épouvantable qui remontait depuis le dessous de l'évier de son petit studio, ne lui laissant plus de choix. Il fallait descendre la poubelle. Le tri sélectif, pour notre vacancier, restaient un concept abstrait. Aussi, dans le grand sac qu'il trimballait, il y avait un véritable merdier.

Des boîtes de Cannellonis, des boîtes de raviolis, des boîtes de pizzas surgelées des emballages en plastique contenant encore des restes de pâté, de saucisson et de jambon. Il y avait même les tessons de la bouteille de bière qui s'était cassée en tombant de la table de nuit. Sans évoquer l'immonde odeur de tabac froid des mégots. Dédé-la-Lopette se retrouvait dans l'obligation de se débarrasser de tout cela.

En ouvrant la porte du local poubelle, au sous-sol, Dédé-la-Lopette pouvait voir, sur sa gauche, les poubelles à couvercles jaunes. Les poubelles destinées à recevoir les plastiques, le métal et le papier. Sur sa droite, il y avait les poubelles à couvercles verts. Les poubelles destinées aux déchets organiques. Dédé, en parfait égoïste, partant du principe : < Après moi le déluge !>, ouvrit le premier couvercle immédiatement accessible.

En tenant le couvercle de la main gauche, soulevant le grand sac de la main droite, Dédé-la-Lopette s'apprêtait à jeter sa merde. Soudain, sans doute à cause des tessons contondants et coupants, le fond du sac se déchira. Tout le contenu de la poubelle jonchait à présent sur le sol. Notre ami, en parfaite ordure, allait tout abandonner parterre pour filer en vitesse, lorsqu'une belle jeune femme entra dans le local.

< Bonjour monsieur > fit la jeune femme que Dédé avait déjà croisé à quelques reprises dans les escaliers. < Bonjour madame > lui répondit notre héros. L'inconnue portait dans chaque main un sac. Posant le tout au sol, elle entreprit de trier ses déchets. Dédé-la-Lopette se sentit donc obligé de ramasser ses ordures. Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une jeune femme et le voilà agité de troubles "détonants".

Accroupit, ramassant ses déchets, sans savoir où les mettre, il observait le cul magnifique de la ravissante jeune femme. Ses jambes galbées, moulées dans le leggings porté avec grâce, ne laissait pas notre salopiot indifférent. Aussi, discrètement, il ouvrit sa braguette pour en extraire sa turgescence qu'il massa presque de suite. L'inconnue, voyant que notre exhibitionniste jetait ses déchets n'importe où, lui fit : < Mais, cher monsieur, les bouteilles en verres se jettent à l'extérieur, dans la benne à verre, voyons ! >.

Dédé-la-Lopette, avec son sourire niais, tout en se massant la turbe, se releva pour sortir les bouteilles en verre de la poubelle à déchets organiques. C'est là que la jeune femme découvrit ce que faisait notre coquin de sa main gauche. < Mais, en plus, vous êtes un vicelard ! Un pervers ! Vous n'avez pas honte, gros dégueulasse ? >. Dédé-la-lopette, une fois encore, faisait le con ! Une spécialité. Avec ce sourire de crétin qui illuminait son visage d'une étrange lueur.

La jeune femme, toute affaires cessantes, quitta le local poubelle précipitamment. Dédé-la-Lopette, excité comme une puce sur le dos d'un chien, continua à se masser la turbe. La porte s'ouvrit brusquement. Un grand type entra dans le local : < Dis-donc, tu vas emmerder toutes les résidentes de l'immeuble, espèce de salopard ? >. L'individu avait un air menaçant. La jeune femme le retenait par le bras afin d'éviter le pire. < Tu vas te casser, vite fait, sinon je te balance dans une poubelle ! > fit encore le balaise.

Dédé-la-lopette, laissant là ses activités de masturbation et de ramassage, fila rapidement pour remonter dans sa chambre. Quelques minutes plus tard de grands coups frappés à la porte l'obligèrent à ouvrir. La jeune fille de l'accueil, accompagné d'un homme en cravate, lui fit : < Monsieur Dédé, si vous ne cessez pas d'importuner les femmes de la résidence, nous allons êtres obligé de porter plainte et de vous demander de quitter les lieux >. Elle était accompagné du Directeur de l'établissement qui rajouta : < Il faut cesser monsieur ! >.

Le couple repartit aussitôt. Dédé-la-Lopette allait refermer sa porte lorsque le type du local poubelle surgit soudain, accompagné de sa femme. Toujours menaçant, il signifia d'une grosse voix : < Et juste avant que tu t'en ailles, si tu récidives, je te casse la gueule, OK ? >...


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Ne manquons pas le prochain épisode des aventures de Dédé-la-Lopette. Ici-même, sur ce fabuleux forum.

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Ci-dessus, le local poubelle...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/10/15 10:45 par Oncle-Julien.
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Les sports d'hiver - (Partie 6)

Dédé-la-Lopette avait repéré, dès le premier jour, le local "sport" dans le sous-sol de la résidence. Aussi, ce jeudi matin, notre ami, vêtu de son jogging bleu à rayures jaunes, chaussé de ses baskets rouges, décida de faire un peu d'exercice. Il pénétra le lieu désert vers huit heure trente. Immédiatement, notre héros se mit sur le tapis de course.

A peine allumé, se mettant à trottiner devant l'écran ou défilait un sentier forestier, Dédé-la-Lopette se sentit en condition. De la position 1, rapidement, il passa à la position 2, accélérant ainsi la vitesse du tapis. Notre sportif était là depuis cinq minutes, commençant à s'essouffler, lorsque la porte s'ouvrit sur une ravissante jeune femme.

Cette dernière, vêtue d'un leggings noir et moulant, d'un T-shirt tout aussi moulant, salua notre joggeur. Elle s'assit sur le siège de la machine à dorsaux. Lentement, d'un mouvement régulier, la jeune femme, soufflant fort, commença son échauffement. Dédé, louchant sur l'inconnue, accéléra sa course et tenta de rentrer son ventre.

Nous le connaissons bien notre Dédé. La proximité d'une ravissante jeune femme et le voilà troublé dans son fonctionnement métabolique. En général, son rythme cardiaque s'accélère. L'irrigation de son cerveau ne se fait plus correctement. L'afflux sanguin, nécessaire à son erection, participe à un déséquilibre des fluides selon le principe des vases communicants. Moins de sang dans le cerveau. Bref, l'occasion pour notre ami, de faire le con...

Pour frimer, Dédé-la-Lopette mis le tapis de course à la vitesse 5, la plus élevée. Totalement surpris par l'accélération subite, notre coureur fut carrément éjecté de l'engin. Se retrouvant à terre, les quatre fers en l'air, notre ami n'en menait pas large. La jeune femme, se retournant, constatant la situation, pouffa de rire.

Dédé-la-Lopette, un peu vexé, s'installa sur le banc à pectoraux. Là, tentant de soulever la barre équipée de 50 kilos, il faillit se déboiter l'épaule. Se levant, il déchargea la barre de 40 kilos. Se recouchant, notre haltérophile, avec le bruit d'un soufflet de forge, se mit à faire de maladroits développé-couchés à 10 kilos. Son sexe en érection faisant "piquet-de-tente" dans son pantalon, le spectacle était épique.

Au bout de dix mouvements, totalement exténué, Dédé-la-Lopette posa la barre de travers. Cette dernière tomba au sol dans un bruit sourd. La jeune femme se retournant une nouvelle fois pour pouffer de rire, vit notre body-builder ramasser péniblement la barre. Notre ami, voulant absolument attirer l'attention de l'inconnue se livra finalement à la seule activité où il excellait.

Mettant sa main droite dans son slip, Dédé-la-Lopette, du bras gauche se mit à faire l'exercice à triceps. Tirant de toutes ses forces sur la poignée, afin de soulever les cinq kilos, notre athlète faillit se démettre le coude. Il fallait alléger à 2 kilos. Seulement voilà, cet exercice n'était plus que le prétexte pour avoir une main libre.

A présent, ostensiblement, Dédé-la-Lopette se massait la turbe, de la main droite, devant le miroir. Tout en tirant de la main gauche sur la poignée. La jeune femme, dans le miroir, s'était rapidement rendue compte des agissements de notre drôle. Aussi, se levant de sa machine à dorsaux, elle vint trouver notre exhibitionniste pour lui dire : < Je vous connais de réputation ! Les vacanciers vous connaissent bien aussi ! Vous commencer à sérieusement nous emmerder ! >

La jeune femme sortit rapidement du local, abandonnant sa serviette sur le siège de l'agrès. Dédé-la-Lopette, le sexe dans la main, sentant qu'une fois encore la situation lui échappait, se dépêcha de réunir ses affaires pour filer à l'anglaise. C'est dans le couloir que la jeune femme de l'accueil, le directeur de la résidence et sans doute le mari de la jeune femme bloquèrent notre salopiot.

< Vous préparez vos affaires, vous aurez quitté les lieux pour dix heure ce matin. Nous nous réservons la possibilité de déposer plainte ! > fit le directeur. Dédé-la-Lopette se dépêcha de remonter les escaliers. Le mari de la jeune femme lança : < Je peux t'aider à préparer ta valoche, si tu veux ! >.

Pour neuf heure quarante cinq, Dédé-la-Lopette était dans le hall de la résidence pour attendre le taxi qui venait le chercher. Le directeur de la résidence, les bras croisés, surveillait tout cela depuis la loge du concierge...


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Ci-dessous, le leggings responsable de l'expulsion de Dédé...



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Dédé-la-Lopette - Le taxi - Danser
Thursday 29 October 2015 11:26

Oncle-Julien
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le taxi

Le taxi arriva rapidement. La jeune femme, chauffeur du véhicule, vint ouvrir le coffre de la berline afin de permettre à Dédé-la-Lopette d'y ranger sa valise et son sac à dos. Le directeur de la résidence, soulagé, regarda disparaître la voiture en bas de la route enneigée. Dédé se retourna une derrière fois pour regarder le paysage hivernal.

C'est dans la voiture que Dédé-la-Lopette eut l'illumination. Pourquoi ne pas terminer cette semaine de vacances au chalet "Les Ritournelles" ? Revoir Chantal Mouyet, "Hulk" et Benoît Chauzemol serait une excellente idée. Aussi, notre ami, composant le numéro du chalet, téléphona pour y réserver une place.

La chance était avec notre bonhomme. Le gardien du chalet "Les Ritournelles" informa notre vacancier qu'il restait effectivement une place pour le week-end. Lorsque "Hulk", le gardien, reconnut notre Dédé, il fut tout content à l'idée de le revoir. < Alors Ravioli, on te manque ? Tu reviens montrer ton zob aux filles du chalet ? >.

Dédé-la-Lopette, tout heureux d'avoir établi son planing des trois jours à venir s'adressa à la jeune femme qui conduisait le Taxi :< Vous pourriez m'emmener sur la route de Barge-les-Ecluses, au Col Hagêne ? C'est à une quinzaine de kilomètres ! >. La jeune femme répondit : < Mais bien sûr, pas de soucis, c'est partit monsieur ! >.

Depuis sa place, sur le siège arrière, Dédé-la-Lopette, dans le rétroviseur, venait de prendre conscience que la jeune femme, chauffeur de son taxi, était ravissante. De beaux yeux bleux dans un agréable visage encadré de superbes longs cheveux noirs. Nous le connaissons bien notre Dédé. Nous venons, en même temps que lui, de comprendre ce qui vient de se passer dans sa tete.

Aussi, son cerveau, su-BITE-ment moins irrigué par l'afflux sanguin nécessaire à maintenir une érection débridée, commença à défaillir. Voilà notre Dédé qui ouvre la braguette de son pantalon pour en extraire sa turgescence. Bref, Dédé-la-Lopette commence à faire le con. Une vieille habitude que nous lui connaissons bien.

Dédé-la-Lopette, fixant le rétroviseur, subjugué par les traits ravissants de la jeune femme, se massait la turbe frénétiquement. C'est en regardant dans le miroir que l'inconnue, tout en roulant, prit conscience de ce qu'était entrain de faire son client ! Sa face rougie par l'effort, la sueur sur son front et le bout de son nez, ne laissaient aucun doute quand aux activités de notre exhibitionniste.

Nous avions déjà parcouru la moitié du chemin. Dédé-la-Lopette, s'étant redressé pour s'exposer, acheva d'accabler la jeune femme. < Vous avez fini ou je vous dépose là, au bord de la route, dans la neige ! > fit-elle d'une voix ferme et autoritaire. Notre ami se rassit sur son siège. Excité comme une puce, notre salopiot, ne pouvant se retenir, éjacula n'importe comment.

Il y en avait jusque sur le levier de vitesse ! La jeune femme, freinant, s'arrêta en plein milieu de la route déserte. Elle sortit de la voiture pour aller ouvrir le coffre. Là, sans le moindre égard pour les affaires à Dédé, elle posa la valise et jeta le sac à dos à côté. < Tu dégages, espèce de malade et tu vas te branler dans la forêt là-bas ! Et ça fait 30 euros ! Où j'appelle les flics ! > fit-elle à notre héros surpris par tant de caractère.

La voiture démarra en trombe. Dédé-la-Lopette, debout entre sa valise et son sac à dos, au milieu de la route, regardait partir le taxi. Soudain, un coup de klaxon sonore résonna derrière lui. Dédé eut juste le temps de se saisir ses affaires et de s'écarter. C'était un autobus plein de touristes. L'un d'entre eux, ouvrant une fenêtre, jetta une bouteille en plastique vide qui vint rouler aux pieds de notre ami...


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Ci-dessus, le cadre des dernières déconnades de Dédé...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Retour au chalet "Les Ritournelles"

Cela faisait une heure que Dédé-la-Lopette marchait sur cette petite route déserte. De chaque côté un muret de neige empêchait de la quitter. Notre ami avait un sac à dos et portait sa valise. Tout cela pesait évidemment un poids considérable. Dédé commençait à souffir de cette situation. Il restait encore un bon kilomètre avant l'embranchement de la petite route qui montait au col Hâgène. Une petite route de quatre nouveaux kilomètres.

Malgré l'effort, Dédé-la-Lopette pouvait sentir le froid commencer à l'envahir. Enfin, au prix d'un effort considérable, notre marcheur arriva à la bifurcation. Là, n'en pouvant plus, Dédé hésita longuement avant d'allumer cette stupide cigarette. Cigarette qui allait participer à rendre l'épreuve plus pénible encore. N'y tenant plus, le bougre se mit à fumer.

Dédé-la-Lopette s'apprêta à remettre son sac sur le dos, à soulever sa valise, pour reprendre sa marche. Soudain, une voiture s'arrêta à sa hauteur. < Salut Ravioli ! Tu montes aux "Ritournelles ? > fit une voix. Dédé se pencha pour regarder dans la voiture. C'était Benoît Chauzemol et Chantal Mouyet qui montaient au chalet pour le week-end ! Benoît invita Dédé à prendre place à l'arrière. Une aubaine...

Soulagé, heureux de cette opportunité, Dédé-la-Lopette se mit à bavarder. Lui, d'habitude si mutique, devenait soudain loquace. A ses côtés, il y avait son sac à dos. Notre ami en fit l'inventaire pour vérifier qu'il aurait tout ce qu'il faut jusqu'au dimanche soir. Il y avait deux boites de raviolis, deux boîtes de cannellonis, une boîte de Couscous, une boîte de paëlla, des biscuits, du pain et des boîtes de pâtés. Des boîtes de bière. Une cartouche de clopes.

< Alors, Ravioli, tu viens nous montrer ta bite ? < fit Chantal Mouyet, espiègle comme à son habitude. Dédé-la-Lopette, gêné, garda le silence. Benoît, en riant, fit : < Ravioli garde le silence de peur qu'il ne se sauve ! >. Tout le monde ria de bon cœur. Dédé avait sorti sa bite discrètement. Le week-end s'annonçait cocasse...


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Ci-dessus, un chalet identique à celui où monte Dédé, les "Ritournelles"

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 2)

Dédé-la-Lopette suivait péniblement la marche rapide de Benoît Chauzemol et de Chantal Mouyet. Notre ami ayant déjà quelques kilomètres dans les pattes. Aussi, c'est avec peine qu'il se traînait sur le sentier qui menait au chalet. La nuit était tombée. Benoît, malgré la pleine lune, avait allumé sa lampe torche.

Il était aux environs de vingt heure lorsque nos trois marcheurs arrivèrent enfin aux "Ritournelles". Le ciel noir était parsemé d'une multitude d'étoiles. Il faisait froid et sec. La lune illuminait toute chose de sa lumière argentée. L'altitude offrait, de par la pureté de son atmosphère, une limpidité parfaite. La vue sur les montagnes alentour était fabuleuse.

Dédé-la-Lopette franchit l'entrée du chalet. Immédiatement accueilli par "Hulk", le gardien. Tous les habitués étaient là. Natacha Passesky, Josiane Frouchiez, Denise Foutrar et même Didier Lamolle. < Bonjour Ravioli ! > firent tous les convives en applaudissant ! < Bienvenue parmis nous ! > fit le grand moustachu, gardien et responsable des lieux.

Dédé-la-Lopette, exténué, épuisé, se laissa tomber sur la banquette à côté de la porte d'entrée. < Tu manges avec nous, Ravioli, on a préparé de la tourte ! > fit Natacha Passesky. < Avec plaisir ! > répondit notre héros, fourbu et vautré sur le banc. A ses côtés, son sac à dos et sa valise.

Laurent Gina, s'approchant, fit : < Il reste un lit dans notre dortoir ! Tu l'investis ? >. Dédé-la-Lopette, se relevant péniblement, récupérant ses affaires, monta aux dortoirs. Le lit encore disponible était près de la fenêtre. Notre ami étala son sac de couchage lorsqu'une voix féminine lui fit < Hé, Raviolis, je veux être la première à qui tu montres ta bite, ce soir, ok ? >. Notre ami, un peu gêné, ria bêtement. C'était la belle jeune fille blonde de la dernière fois.

De retour dans le séjour, les narines flattées par l'odeur délicieuse de la tourte, Dédé-la-Lopette prit place à côté de Denise Foutrar. Benoît Chauzemol apporta les deux premières tourtes. Notre ami fut invité à déboucher les deux premières bouteilles de Côte-du-Rhône, 12,5°, millésimées, 1989. Un bon cru. La blonde se leva pour se rendre aux toilettes.

Nous le connaissons bien notre Dédé. Aussi, dès qu'il vit la jeune fille entrer dans les toilettes, le bougre se leva pour s'y rendre à son tour ! Là, devant l'urinoir, son pantalon aux chevilles, notre exhibitionniste attendait le passage de la blonde. Celle-ci ne tarda pas à passer pour lui lancer : < Merci Ravioli ! Toujours aussi charmant ! > puis elle fila pour retourner à table.

Lorsque Dédé-la-Lopette sortit à son tour des toilettes se fut sous un tonnerre d'applaudissement. < Pour le retour de notre branleur préféré, hip hip hourrah ! Une p'tite pipe, hourrah ! > hurlait l'assemblée en tapant dans les mains. Notre ami vint s'asseoir à table. Natacha Passesky se leva pour venir lui faire la bise en lui faisant : < Bon appétit Ravioli ! >...


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Dédé-la-Lopette, appelé affectueusement "Ravioli" par ses amis du chalet "Les Ritournelles"...
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 3)

Le repas se déroula dans cette ambiance si particulière aux chalets de montagne.
L'altitude et l'isolement favorisent non seulement le contact mais encouragent à la joie et la rigolade.
Aussi, durant toute la soirée, ce ne furent que plaisanteries, bons mots et farces.
Dédé-la-Lopette était si content de se retrouver là, qu'il se mit même à chanter des paillardes.
Tout le répertoire du bréviaire du carabin y passa. "La digue du Cul", "En revenant de Nantes", etc...

< Alors, Ravioli, on t'a manqué ? Tu es revenu parmi nous ? > demanda Chantal Mouyet.
Cette dernière, s'enhardissant soudain, déposa même une bise sur la joue à notre ami.
Benoît Chauzemol, un peu jaloux, lui fit remarquer : < Tu ne veux pas lui tailler une pipe, aussi ? >
< Pourquoi pas ! > répondit Chantal Mouyet, un peu bourrée et chantant "Le curé de Camaret" !
Dédé-la-Lopette, fit encore, en se levant : < Je ne voudrais pas déranger ! >. < Reste ! > cria Chantal...

L'ambiance était à son comble. "Hulk" , le géant moustachu et gardien du chalet, avait sorti sa guitare.
Josiane Frouchiez avait sorti sa flûte traversière. Maurice Lamolle avait sorti son harmonica.
Natacha Passesky, un peu ivre, était debout sur la table entrain de faire une danse lascive.
Laurent Gina, tenant une boîte de Ricoré, en guise de micro, mimait un improbable Johnny Hallyday.
Il était vingt trois heure. La belle blonde se leva pour se rendre aux toilettes. Un clin d'œil à Dédé-la-Lopette.

Notre héros, bien "allumé", légèrement bourré, se leva à son tour pour se diriger vers les toilettes.
Chantal Mouyet lui glissa à l'oreille : < La pipe, c'est moi qui te la fais aux chiottes tout à l'heure ! >
Dédé-la-Lopette, n'en revenant pas, se rassit. Tant pis pour la belle blonde qui ne verrait pas sa bite cette fois !
Au bout de cinq minutes, la fille revint des toilettes. Passant derrière Dédé-la-Lopette, elle lui fit :
< Et alors ? Tu n'es pas venu me montrer ta queue ? Tu es malade ? Tu es trop bourré ? >.

Décidément, ce soir, notre exhibitionniste ne savait plus où donner de la queue !
Chantal Mouyet se leva pour se rendre à son tour aux toilettes. D'un clin d'œil appuyé elle regarda Dédé.
Notre petit salopiot se leva pour suivre la belle brune aux toilettes. Là, elle l'attendait près du poële.
< Sors ta bite Ravioli, viens on va dans le cabinet du fond ! >. Dédé-la-Lopette, entra le premier.
Soudain, la porte se ferma derrière lui. Une clameur résonna quelques instants plus tard.

Toute la bande était là, dans les toilettes, à beugler : < Il est des nôtres, il a bu son verre comme les autres ! >
C'était encore une des blagues dont étaient coutumière toute la bande de joyeux lurons.
Notre ami, un peu frustré, mais commençant à connaître ses nouveaux amis, sortit pour chanter avec eux.
< Sans rancune, Ravioli ? > lui demanda "Hulk" en le prenant par les épaules avant de lui tendre une bière.

Dédé-la-Lopette, fatigué par toutes ces émotions, par ses efforts, décida, à minuit, d'aller se coucher.
Notre héros, péniblement, monta les escaliers pour se rendre au dortoir. Sans même allumer la lumière.
Il s'assit sur son lit pour enlever ses pantoufles, ses chaussettes lorsqu'une voix, à ses côtés, fit :
< Moi, la pipe, je t'en fais une vraie, là, maintenant, et tout de suite ! >. Une voix que notre ami reconnu bien.
On entendait toute la bande chanter, gueuler et beugler, en bas, au rez-de-chaussée.

Là, assise sur le lit, c'était la belle blonde...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 4)

La belle blonde, assise aux côtés de Dédé-la-Lopette, posa sa main sur la braguette de notre héros. Presque de suite, une érection vint déformer le tissus de son pantalon. Soudain en sueur, des picotements dans le dos, notre ami n'en menait pas large. < C'est comment, mon coquin ? > demanda la coquine. L'obscurité du dortoir ne laissait pas voir grand chose.

Dédé-la-Lopette ne savait que répondre. Il resta ainsi, le dos parcouru de frissons, à regarder la main de la jeune fille. Cette dernière, actionnant la tirette, ouvrit la braguette de notre ami. Elle alla fouiller dans le slip de Dédé afin d'en extraire une turgescence odorante. En effet, nous savons que l'hygiène de notre salopiot est souvent fort douteuse.

< Eh ben dis-donc, elle pue ta bite ! > lui fit la belle blonde en décalottant le sexe de notre héros. < Pouahhh ! Vraiment, ça fouette ! > fit-elle encore en se pinçant le nez de son autre main. Et c'est vrai que l'odeur épouvantable, rappelant celle d'un mélange de sandwich au thon-fromage, emplissait tout le dortoir.

Dédé-la-Lopette, très gêné, ne savait plus où se mettre. En appui sur ses bras posés derrière lui, sur le lit, notre ami se mit à débander. La puanteur pestilentielle devenait insupportable. < Viens, tu vas descendre aux sanitaires pour aller te laver la bite, parce que là, comme ça, j'peux pas ! > fit la jeune femme en se levant pour entraîner Dédé.

< Et profites-en pour changer de slip ! > fit encore la belle blonde en descendant l'escalier. Dédé-la-Lopette se rendit aux sanitaires pour procéder à sa toilette. Dix minutes plus tard, la bite parfumée à l'after shave, notre héros remonta dans l'obscurité du dortoir. Un étrange silence régnait dans le chalet.

La belle blonde, assise sur le lit vint renifler la braguette de notre ami. < Descends ton pantalon que je puisse voir le résultat de ton récurage ! > fit la jeune femme en tirant sur le pantalon de notre héros. Le pantalon sur les chevilles, Dédé-la-Lopette, tout fier, lança : < Elle sent bon, hein ? Tu es contente ? >.

Soudain, tout le le dortoir s'illumina. Quantité de flash répandirent une clarté presque insoutenable. Un tonnerre d'applaudissements et de < Hourrah ! > résonnèrent. < Bravo Ravioli, tu es le meilleur ! Regardez-moi cette bite propre et qui sent si bon l'après rasage ! > lança Denise Foutrar en prenant des photos en rafales.

Toute la bande était là. "Hulk", le gardien du chalet, un verre de cognac à la main, s'approcha de Dédé-la-Lopette en faisant : < Sans rancune, vieux, tu nous connais bien maintenant, on est de sacrés déconneurs ! >. Notre ami, honteux et confus, jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. Il remonta vivement son pantalon.

Tout ce beau monde redescendit au rez-de-chaussée pour continuer la fête. Discrètement, la belle blonde entraîna Dédé-la-Lopette aux toilettes. Enfermés tous deux dans un des deux cabinets, elle lui fit : < Tu l'as bien mérité mon pauvre ravioli, je vais te la faire, ta pipe ! >. Notre ami, s'attendant encore à une sale blague, resta sur ses gardes.

Une superbe fellation s'en suivit...


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La bite à Dédé ?

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Les aventures de Ravioli et Cassoulet

Au chalet "Les Ritournelles"

Ce samedi matin, Gégé-la-Branlette était venu rejoindre Dédé-la-Lopette au chalet "Les Ritournelles". On peut découvrir cette merveilleuse anecdote en allant dans la rubrique "être voyeur", en ouvrant le sujet < Les aventures de Gégé-la-Branlette >. Mais on peut aussi en découvrir une version ici.

Dédé-la-Lopette qui s'était fait tailler une superbe pipe, la veille au soir, dans le dortoir, (voir l'épisode précédent), avait tendance à se comporter en "boulet". En effet, la belle blonde qui l'avait sucé, devait se coltiner notre ami. Ce dernier, avec un grand manque de tact, la suivait partout comme un petit chien. Notre Dédé était sans doute tombé amoureux. Il l'a regardait avec les yeux de Sylvestone Staller dans Rambo VII.

C'est aux chiottes, pendant qu'elle pissait, Dédé l'attendant devant la porte, qu'elle lui lança : < Il va me lâcher le soutif, le mec où il faut que je me fâche ? Tu n'en as pas marre de me faire chier en me suivant partout ? Putain t'es casse-couilles mec ! >. Notre ami, un peu triste de se faire traiter de la sorte, ne savait pas quoi dire.

De retour dans la salle de séjour, la belle blonde alla s'asseoir entre Laurent Gina et Denise Foutrar. Notre "boulet" s'installa en face. La tête en appui sur les mains, avec des yeux de chien battu, il fixait la jeune femme avec insistance ! Cela durait depuis une bonne dizaine de minutes lorsque Chantal Mouyet, depuis la fenêtre, fit : < Il y a un mec dehors, avec un sac à dos ! >.

Dédé-la-Lopette savait que son vieux pote Gégé-la-Branlette venait d'arriver. Il se leva pour aller l'accueillir. < Putain, le con, il me lâche enfin ! > fit la belle blonde en poussant un long soupir. Cinq minutes après, les deux amis revinrent dans le chalet. Gégé déposa son sac en se massant les épaules. < Viens, je vais te présenter ! > fit Dédé en entraînant Gégé.

Une fois les présentations faites, Dédé-la-Lopette emmena Gégé-la-Branlette devant la belle blonde et lui fit : < Gégé, mon veil ami, je te présente ma fiancée ! >. Là, s'en était trop. La jeune femme explosa : < Putain, @#$%&, tu vas me lâcher où il faut que je t'en allonge une ! >. Enfin, comprenant l'embarras qu'il suscitait, notre héros laissa la belle blonde pour entraîner Gégé vers les cuisines.

Là, sortant une boîte de cassoulet de son sac à dos, Gégé s'apprêtait à l'ouvrir pour en verser le contenu dans une casserole. < Déconnes pas Gégé, ici ce sont des "écolos", ils bouffent "Bio" ! Caches ta boîte, putain ! >. Trop tard, Josiane Frouchier arrivant à la cuisine lui fit : < Toi aussi tu bouffes des merdes en boîtes ? Tu vas bouffer avec nous ! Et discutes pas ! >.

Bien sûr, après ce coup-là, le nouveau sobriquet de Gégé-la-Branlette, devint, ici, au chalet "Les Ritournelles", < Cassoulet > ! Ce serait son nouveau pseudonyme !

Ne manquons donc pas les prochaines aventures de Ravioli et Cassoulet, ici, sur ce même fabuleux forum...


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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 6)

Dédé-la-Lopette, assis à côté de son vieux pote Gégé-la-Branlette, était entrain de déguster sa tranche de tarte aux pommes. Chantal Mouyet, excellente pâtissière, aimait à régaler ses amis du chalet. Et c'est vrai que c'était de délicieuses réussites. Tout le monde bavardait et s'amusait. Une superbe ambiance de chalet de montagne.

Magalie, assise devant "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet, admirait des photographies devant elle. Le gardien, passionné de grosses bécanes était possesseur d'une superbe Harley-Davidson, du modèle "Road King". Aussi, il aimait à en montrer les lichés et à en vanter les mérites. < C'est pas une bécane de "tapette" ! > fit Chantal Mouyet avant de se lever pour se rendre aux toilettes.

Cela n'avait pas échappé à Dédé-la-Lopette. Discrètement, notre héros se leva pour se rendre lui aussi aux toilettes. Chantal Mouyet était entrain de se laver les mains, penchée en avant, devant le lavabo et à se contempler dans le miroir. < Alors Ravioli, elle est bonne ma tarte aux pommes ? > fit la jeune femme en s'essuyant les mains. < Absolument délicieuse ! > fit notre homme avant de se rendre dans l'espace "Homme".

De là, il pouvait entendre pisser Chantal Mouyet. Celle-ci, se faisant plaisir, faisait son besoin par petits jets réguliers, nets et précis. Elle savait que notre ami n'était pas insensible aux situations cocasses. Aussi, elle lui offrit un bruit de jet d'eau, un peu comme en cadeau. Une sorte de "témoignage" de cette plaisante promiscuité montagnarde...

Cela eut pour effet d'exciter notre salopiot qui, le pantalon sur les chevilles, debout devant l'urinoir, de massait la turbe avec frénésie. C'est lorsqu'elle sortit de son cabinet, en se lavant à nouveau les mains, que Chantal, dans le miroir, pouvait découvrir les agissements de notre Dédé. < Alors Ravioli, ça te démange ? Eh oui, ça fait bien une demi-heure que tu ne l'as plus montré ! > fit la jeune femme avant de sortir des toilettes en riant.

C'est à ce moment-là qu'arrivait Gégé-la-Branlette. Entrant à son tour dans les WC. Lui qui voulait jouer de son I-phone, immortaliser une nouvelle scène, arrivait hélas trop tard...


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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 7)

Cela faisait déjà une bonne heure que Dédé-la-Lopette n'avait plus fumé une clope. Aussi, se levant, il alla chercher une cigarette dans son sac à dos. Son briquet Zippo "Vintage", modèle Johnny Halliday dans la poche, notre ami sortit au grand air. Arrivé au bas de l'escalier, Dédé alluma sa clope.

Il faisait froid. Il fallait être victime d'une addiction sévère à la nicotine pour affronter ainsi la fraîcheur de la nuit. Pour rester sans bouger, à aspirer la fumée inutile de cette chose toute aussi inutile, il fallait être salement "accro". Notre fumeur fit quelques pas pour ne pas greloter. Il avait une vue fabuleuse sur les lumières lointaines de la vallée.

Dédé-la-Lopette pouvait entendre les rires et les éclats de voix qui provenaient du chalet. Cette ambiance de montagne avait un effet régénérateur et sécurisant. C'était un peu comme un retour aux sources. Mais quelles sources ? Cette symbiose presque parfaite avec les éléments permettait une profonde introspection.

En regardant le ciel étoilé, Dédé-la-Lopette pouvait admirer les milliers d'étoiles qui scintillaient dans un noir d'encre. Une limpidité sans pareille permettait d'en apprécier les détails. Notre ami se laissait aller à une sérénité qui ne lui était pas coutumière. Il se promit de revenir aussi souvent que possible.

C'est là que, abimé dans ses pensées, la tête levé vers les étoiles, Dédé-la-Lopette distingua Natacha Passesky sur le balcon. La jeune femme aussi admirait l'impressionnant silence et le sublime spectacle. Elle était accoudée à la balustrade, la tête relevée. Immédiatement les bas instincts de notre salopiot revinrent à la surface.

Finie la poésie. Terminée l'introspection. Voilà notre Dédé qui ouvre sa braguette et qui se positionne sous le balcon. Ses préoccupations habituelles prenaient le pas sur tout le reste. Il commença à se masser la turbe doucement. Depuis le balcon, Natacha avait découvert les agissements de notre vicelard.

Sans faire le moindre bruit, Natacha entra dans le chalet. Prévenant "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet, tous les deux allèrent s'emparer d'une grande bassine emplie d'eau, à la cuisine. Les deux farceurs revinrent sur le balcon. Notre Dédé, toujours à se masser la turbe, était juste sous la balustrade.

Natacha et "Hulk", hissant la bassine sur la rambarde, visèrent notre lascar avec soin. Dédé-la-Lopette, regardant parfois en l'air, pouvait voir Natacha s'agiter. L'obscurité du balcon l'empêchait toutefois d'anticiper ce qui allait lui arriver. Notre héros, envahit des sensations jouissives de sa masturbation, était "positionné" juste sous le balcon.

Soudain, comme si le ciel lui tombait sur la tête, le contenu de la grande bassine mouilla complètement notre zèbre. Trempé jusqu'aux os, frissonnant de froid, Dédé-la-Lopette monta les escaliers à toutes vitesse. Dans le chalet, tout le monde était stupéfait de voir entrer notre ami exhibitionniste complètement, totalement mouillé. < Alors, Ravioli, tu prends ta douche dehors ? > demanda Josiane Frouchiez.

Dédé-la-Lopette après s'être essuyé à la salle de bain, avait passé des vêtements secs. Notre ami venait d'être la victime d'une nouvelle farce de ces nouveaux amis. C'est devant un bon chocolat chaud que notre héros trouva le réconfort qui lui fit oublier cette mauvaise blague.

Sous la table, Gégé-la-Branlette mâtait discrètement l'écran de son I-phone...


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Le retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 8)

Les filles se rendaient aux toilettes. Il était minuit. Dédé-la-Lopette, discrètement, se rendit lui aussi aux sanitaires. "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet, surveillait les agissements des uns et des autres. Et tout particulièrement les agissements de Gégé, le copain de Dédé-la-Lopette, qui venait de monter aux dortoirs.

Dédé-la-Lopette, debout devant l'urinoir, le pantalon aux genoux, ayant laissé la porte ouverte, guettait le passage des unes et des autres. Dans la salle de séjour nous pouvions encore entendre la dernière chanson paillarde. Dédé-la-Lopette se massait la turbe tous les sens aux aguets. C'est Chantal Mouyet qui tomba la première sur la scène.

< Bonne nuit Ravioli, fais de beaux rêves ! Au fait, à quoi ça rêve un exhibitionniste ? > demanda la jeune femme en faisant un clin d'œil à notre héros. < Aux filles voyeuses ! > fit Dédé-la-Lopette avec cet esprit de répartie que nous ne lui connaissions pas. Se tournant bien en direction de Chantal Mouyet, il se secouait le poireau...

Quelques minutes plus tard, ce fut au tour de Josiane Frouchiez de passer devant la porte ouverte. < Alors Ravioli, c'est la dernière vidange avant le dodo ? > demanda la jeune femme en observant avec attention le bras mécanique de notre exhibitionniste. < Oui, je me les vide toujours avant de dormir ! > répondit notre drôle, toujours avec cette suite de traits d'esprit qui nous laisse étonnés. Bien tourné vers Josiane, il se secouait le chibre...

Enfin, Denise Foutrar, en baillant, tomba sur la scène. < Mais put-hein, t'arrêtes jamais Ravioli ? Tu vas voir, elle va finir par se décrocher ! > fit la jeune femme en regardant avec insistance le mouvement métronomique du bras de notre salopiot. < Non, non, pas de soucis, elle est bien attachée ! > répondit Dédé-la-Lopette avec une tentative d'humour qui nous rassurait quand à ces capacités à la dérision. Bien orienté vers Denise, il s'agitait la banane...

Puis, à sa plus grande surprise, apparut Laurent Gina qui fit : < Il faut que tu me donne le "trucs" pour faire rire ainsi les filles ! Elles n'arrêtent pas de se marrer, dans la salle de séjour ! >. Dédé-la-Branlette, pas du tout orienté "garçon" se reboutonna rapidement en précisant : < Put-hein, je ne peux même pas pisser tranquillement ! >. Laurent Gina, juste avant de quitter les toilettes lui lança : < T'as qu'à faire "Créateur Mural" ! >.

Lorsque Dédé-la-Lopette se retrouva dans la salle de séjour, il n'y avait plus que "Hulk", le géant moustachu qui fermait la porte du chalet à clef. En haut, soudain, on entendit des cris, des insultes et des bruits de toute nature.


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Ne manquons surtout pas le prochain épisode absolument détonnant qui va suivre. Ici, sur ce fabuleux forum...

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Le retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 9)

Il y eut soudain un invraisemblable vacarme à l'étage. Une fille arriva en courant depuis l'escalier, suivie par deux autres.
La première brandissait le smartphone trouvé dans le placard à couvertures. (Voir l'épisode concerné en cliquant sur ce lien : [www.bobvoyeur.com]). Tout en montrant l'appareil à "Hulk", le géant moustachu, elle s'écria : < Ce salop de Gégé-la-Branlette a filmé en cachette toutes les filles du chalet en train de pisser ! >.

"Hulk", le gardien du chalet, regardait, vraiment consterné, les images qui défilaient sur l'écran. < Ce salopard ! Je me doutait bien qu'il magouillait des trucs aux chiottes ! J'en étais certain, c'était pas clair ! >. Notre ami, Dédé-la-Lopette assistait à cette scène proprement surréaliste. Son pote avait été chopé à faire des conneries. Ce qui n'empêchait pas notre drôle de surveiller la porte des toilettes. Toujours vaillant, même dans la tourmente.

La belle blonde y entra en pyjama. Dédé-la-Lopette, profitant que tout ce beau monde était occupé à mâter les films de Gégé, alla rejoindre Magalie. Là, une fois de plus, laissant la porte des urinoirs ouverte, notre exhibitionniste, le pantalon aux genoux, se massait la turbe. Il louchait vers le couloir, attendant le passage de la jeune femme. Dehors, les choses semblaient se calmer quelque peu.

Dédé-la-Lopette découvrit le petit trou dans le mur. Ce petit trou creusé avec soin par son vieux pote Gégé. Il en profita pour y coller l'œil. Là, émerveillé, il pouvait regarder Magalie en train de se torcher. Notre héro, trouvant le spectacle à son goût, se palucha de plus belle. < Sacré Gégé ! Il ne manque pas de talent, le bougre. Partout où il va, il transforme les murs en gruyère ! Une véritable termite ! > se dit-il encore, rigolant, mais à la limite de l'éjaculation.

Dédé-la-Lopette entendit la porte des toilettes femmes s'ouvrir puis se refermer. Magalie se lavait les mains. En se regardant dans le miroir, elle vit notre salopiot en train de se masser la turbe. Elle resta à mâter en souriant. < Décidément ! Les week-end aux "Ritournelles", sont épiques ! > fit la jeune femme en se retournant. Elle rajouta encore : < Parfois, il t'arrive de faire autre chose ? >. Elle fixait Dédé avec une compassion manifeste, peut-être même avec une lueur de pitié.

Notre ami, appuyant encore son mouvement, excité comme une puce, éjacula. Magalie évita de justesse les giclées de foutre de notre salopiot. < Tu vises juste, en plus, mon salop ! > fit la jeune femme avant de rajouter : < Te voilà "vidé" ! Tu vas pas pouvoir assurer pour les prochaines utilisatrices des chiottes ! >. Dédé-la-Lopette, son excitation retombé, se sentait soudain minable. < Allez, reprends-toi mon vieux, demain tu auras retrouver la "gniack" ! > fit encore Magalie avant de quitter les WC.

C'est vrai, dans sa masturbation fébrile, Dédé-la-Lopette avait tiré sa dernière cartouche. Il était évident que notre héros allait rater quantité d'autres opportunités. Il monta donc se coucher. Tête basse en souhaitant la bonne nuit à l'assemblée. Dans la grande salle, tout s'était calmé. Son pote Gégé avait effacé les films de sont smartphone. Il était temps d'aller dormir...


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Le retour au chalet "Les Ritournelles" - (Partie 10) - Suite et faim -

Il faisait déjà clair dans le dortoir où le soleil envoyait ses rayons. Dédé-la-Lopette ouvrit les yeux. Les grains de poussières luisaient comme autant de particules d'or en suspend dans l'espace. < Bonjour Ravioli ! > lui chuchota la voix de Chantal Mouyet depuis son lit. Elle aussi était déjà réveillée. Il était huit heure du matin en ce dimanche radieux.

Dédé-la-Lopette, comme chaque matin, se réveillait avec une terrible érection. Une érection qui n'était pas sans rappeler quelque démonte-pneu de camion. Aussi, exhibitionniste comme nous le connaissons, doucement Dédé fit descendre la couverture. A la vue de ce splendide engin, Chantal Mouyet poussa un sifflement qui réveilla la moitié du dortoir.

< Salut Ravioli, tu commences déjà ton show ? > lança Magalie, la belle blonde. notre ami, se couvrit pour ne pas être la risée de l'assemblée. < Put-hein, wouah, la "bête" ! > fit Natacha Passesky, admirative et espiègle. Tout ce beau monde s'empressait de se lever. Le pissou du matin poussait à descendre aux toilettes. Surtout dans la fraîcheur matinale.

C'est à qui arriverait le premier aux toilettes. Ce fut donc la course habituelle. Dédé-la-Lopette resta volontairement seul dans le dortoir. Debout sur un des lits, sous une des deux fenêtres, notre salopiot pissa dehors ! En sifflotant notre héros savourait ces instants d'un intense soulagement. Soudain, une grosse voix résonna à l'extérieur.

C'était "Hulk", le géant moustachu, gardien du chalet. Ce dernier était en train de chercher du bois. < Alors, mon salop ? Tu n'as rien trouvé de plus original ce matin, encore ? >. Dédé-la-Lopette remballa vite fait. Se mouillant le slip et le pantalon de son pyjama. Il y en avait même sur la taie d'oreiller du lit de Laurent Gina. < Merde alors ! > fit Dédé.

C'est donc en prenant son petit-déjeuner avec les autres habitués du chalet que notre ami prit sa première engueulade. "Hulk" lui précisa : < Put-hein, ravioli, c'est connerie après connerie avec toi ! >. Tout le monde riait de bon cœur. Josiane Frouchiez proposa une balade pour ouvrir les appétits du midi. L'idée fut accueillie avec des applaudissements.

Il était dix heure du matin lorsque tout le groupe se mit en route pour une randonnée de deux heures. < Retour pour midi et demi, hein, les gens ! > fit "Hulk" depuis le balcon avant de rajouter : < Je ferme la baraque pour 17 h et nous avons le grand nettoyage à faire ! >. Tout le monde fut de retour pour midi trente.

Natacha Passesky et Denise Foutrard avaient préparé un délicieux repas. Trois magnifiques tourtes qui régalèrent tout le monde. Dédé-la-Lopette fut chargé de la vaisselle puis du nettoyage des toilettes. Comme le précisait "Hulk" : < Les chiottes, tu sembles t'y complaire ! Tu pourras y montrer ta bite ! >. Tout le monde éclata de rire.

L'après-midi se passa donc sous les chants, la bonne humeur et les rangements. Chantal Mouyet passait la serpillère dans la grande salle. Dédé-la-Lopette brossait la faïence des cuvettes des WC, briquait les miroirs et lavait les lavabos. Bien sûr, à chaque fois qu'une fille venait faire son pissou, elle avait droit à une exhibition de notre salopiot.

< Alors, Ravioli, combien de spectatrices, aux toilettes, cet après-midi ? > demanda Benoît Chauzemol en se lavant les mains après sa chiure. Toutes les filles du chalet avaient déjà vu la bite de notre ami au moins dix fois ! L'effet de surprise avait donc disparu au profit d'une certaine lassitude.

Il était dix sept heure. "Hulk" s'apprêtait à fermer le chalet jusqu'au week-end prochain. < Tu remontes, Ravioli, le week-end prochain ? Tu nous mets un mot dans le "Livre d'Or" ? >. Bien sûr, Dédé-la-Lopette n'avait encore rien prévu pour le week-end à venir. Il se contenta d'écrire un petit mot dans ce fameux "Livre d'Or". Mot que nous découvrons ci-dessous.

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NOTE
Je vais regrouper toutes les précédentes aventures de Dédé-la-Lopette, parues il y a trois ans, à la suite de celles-ci.
Ainsi, le lecteur trouvera avec facilité toutes ces histoires amusantes, sans conséquences et qui ne sont qu'écume...
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Dédé-la-Lopette à l'hypermarché

Ce mardi après-midi de mars, notre ami Dédé-la-Lopette s'était rendu à l'hypermarché de la zone d'activité économique de sa ville. Il y avait là, le long de la route, des halls aux chaussures, des Babous, des Brico-Dépôts et autres Leroy-Merlin. Dédé appréciait beaucoup, lors de ces après-midi pluvieux, de venir découvrir les rayons des magasins. La grande enseigne où se rendait Dédé proposait des promotions sur l'informatique.

Dédé-la-Lopette gara sa voiture sur le parking. Un peu faignasse, notre Dédé, avait pour habitude de chercher une place immédiatement à côté de l'auvent où se trouvaient les caddies. Ainsi, il n'avait qu'à sortir de sa Clio rouge pour se saisir d'un des charriots. Dédé était tellement fainéant que, s'il avait pû, il aurait fait ses courses en bagnole. Circulant en klaxonnant, dans les rayons de l'hypermarché. Si on l'avait laissé faire...

Il n'y avait pas grand monde dans la galerie commerciale. Se livrant à une longue errance, poussant son caddie, Dédé regardait les vitrines des boutiques. Il s'arrêta devant les vitres en croisillons du salon de thé. Devant la vitrine du salon de thé pour voir s'il n'y avait pas quelques jeunes femmes esseulées qu'il aurait pû draguouiller un peu. Question de < tâquiner la gueuse > comme il aimait à le préciser. Le bougre...

Quelques belles bourgeoises poussaient leur caddie. Lorsque notre héros les croisait, il les regardait, bave aux lèvres, en se faisant déjà des "films". Dédé-la-Lopette finit par entrer dans l'hypermarché. En passant devant l'accueil, il ne pû s'empêcher de faire un clin d'oeil à la jeune fille qui lui fit un sourire. Le grand vigile noire, l'observant avec sa sévérité de cisrconstance, lui lança un < Bonjour > poli. Civilité à laquelle répondit gentiment notre "client".

Dédé-la-Lopette entama sa visite par le rayon des bières. Eh oui ! Puis, après avoir déposé deux packs de sa bière Belge préférée au fond du charriot, il passa par le rayon des petits salés. Là, s'emparant de quatre packs doubles de Chips en promotions, (goût bâcon), notre Dédé les déposa précieusement au fond du caddie. Puis, ce fut le rayon des conserves. Deux boîtes de raviolis, deux boîtes de cannellonis, deux boîtes de saucisses aux lentilles, deux boîtes de cassoulet, deux boîtes de paëlla et deux boîtes de couscous vinrent garnir le fond de son charriot.

Comme on peut le constater, Dédé-la-Lopette a un penchant pour une alimentation de qualité ou la diététique a une place prépondérante.

Puis, ce fut la visite au rayon des sucreries. Un pack de huit tablettes de son chocolat préféré, (celui au riz soufflé). Quatre paquets de Pépito au chocolat. Deux paquets de nougat, (de Montélimar). Deux paquets de bonbons assortis, (aux vertues des plantes suisses). Deux paquets de chewing-gum au goût menthe-forte. C'est là, devant les paquets de BN au chocolat, (deux pour le prix d'un), que Dédé croisa une superbe jeune femme. Cette dernière lui adressa un sourire.

Nous le connaissons bien notre Dédé. Il n'en faut pas plus pour provoquer chez lui ces montées de tensions sanguines. Ces pressions artérielles qui lui font faire tant de bêtises inconsidérées. Et voilà notre homme entrain de coller aux basques de la bourgeoise. Oh, bien sûr, Dédé restait à distance raisonnable, s'arrangeant pour échafauder quelques stratégies. Une fois il contournait la gondole pour venir par devant. Une autre fois il s'arrêtait près de la jeune femme pour regarder le prix des rouges à lèvres. Oui ! Parce ce que ce con la suivait jusque dans le rayon des culottes et des soutifs !

La jeune femme, ayant remarqué le manège pitoyable de notre nigaud, ne lui souriait plus. Elle détournait même son regard. Ce con de Dédé ne se rendait même pas compte qu'avec son attitude de "boulet", il avait excédé la jeune femme. Cette dernière commençait à presser le pas pour s'écarter du gêneur. Nous connaissons bien les pulsions incontrôlables de notre Dédé. Une fois encore, pour son plus grand malheur de la semaine, notre ami se mit à faire le con.

Là, dans le rayon des cabines d'essayage, où il avait suivi de loin la jeune femme, Dédé-la-Lopette s'engouffra dans une des cabines avec un pantalon à la main. Comme il avait pris le premier froque venu, lui qui taillait du 44 pour son 1,70m, se retrouva à tenter d'entrer dans un 38 ! Le con ! Son ventre gras, pendant lamentablement sur sa braguette ouverte, par la porte entrebaillée, il attendait le moment de faire son "numéro".

La jeune femme, ayant revêtu un bel ensemble crême, sortit de sa cabine pour se regarder à distance dans le miroir du fond. C'est là que notre Dédé surgit de sa cabine, le sexe à l'air. Tentant de rentrer son ventre, dans un effort impossible, tout rouge en retenant sa respiration, notre exhibitioniste montra sa turgescence à la dame. Celle-ci lui fit : < Non mais ça vas non ? Faut vous faire soigner ! >. Dédé, affichant son sourire niais, ce sourire de crétin que nous lui connaissons bien, se mit à se masturber frénétiquement. En plus ..!

La jeune femme, d'un pas rapide et décidé, alla trouver la dame des retouches. Celle-ci, se levant pour la suivre, n'eut que le temps de voir disparaître notre drôle dans sa cabine. Dédé-la-Lopette se dépêcha de remettre son pantalon et de sortir. Passant devant la dame des retouches qui le regardait d'un oeil sévère, notre salopiot récupéra son caddie avant de filer, à toute allure, par le rayon des chaussettes et des slips.

Dédé-la-Lopette se rendit au rayon "informatique". Là, sur leurs présentoirs, de nombreux ordinateurs de toutes marques semblaient aguicher le client. Notre drôle se fit expliquer quelques fonctionnalités par un vendeur. C'était le choix d'un disque dur externe en promotion qui motivait Dédé. Notre ami, en relevant la tête, pû surprendre le grand vigile noir qui l'observait avec attention depuis le rayon d'en face. Notre ami retournant à ses préoccupations, se rendit au rayon des écrans. Là encore, le vendeur lui donna quelques informations.

Une fois encore, en relevant les yeux, Dédé pû voir le grand vigile noir qui l'observait depuis le rayon des lecteurs DVD. Cela finit par intriguer notre Dédé. Il se rendit donc au rayon voisin des fers à repasser pour constater qu'il était toujours surveillé par le grand vigile noir. Celui-ci était accompagné d'un deuxième individu en costume noir. Il était temps de se rendre aux caisses. Dédé-la-Lopette, poussant son caddie, se dirigea doucement vers la sortie de l'espace commercial.

La caissière de la caisse No 8, toute souriante et aimable, faisait passer les achats de Dédé-la-Lopette devant le scanner. Scanner dont le rayon lumineux faisait résonner un "bip" à chaque passage d'article. Nous le connaissons bien notre Dédé. La présence d'une belle jeune fille, souriante de surcroît, et voilà notre priapique ami dans tous ses états. Ce qui ne manqua pas d'entraîner, une fois encore, un comportement condamnable. Se touchant le sexe au travers du tissus de son pantalon, notre vicelard souriait à la caissière d'une façon salace.

Dédé-la-Lopette, sortant sa carte bleue, paya ses achats. Il replaça tous les articles dans son caddie. Il commença à le pousser en sifflottant lorsque le grand vigile noir et l'autre homme en costume noir, lui demandèrent de les suivre. Dédé, interloqué, étonné, n'ayant absolument pas l'impression d'avoir fauté, suivit les deux employés. Ces derniers l'entraînèrent dans un bureau.

Là, deux policiers en uniformes lui signifièrent que les caméras de surveillance du magasins avaient relevées sont comportement. Qu'une plainte allait être déposée par une jeune femme pour exhibitionisme et que la direction de l'hypermarché allait sans doute faire de même.

Dédé-la-Lopette, derrière la vitre du véhicule de police qui l'emmenait vers le commissariat, regardait sa Clio rouge qui attendrait sans doute un long moment avant de revoir son propriétaire. La pluie tombait avec une certaine violence...


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Dédé se croit à la "Branlette Academy"

Dédé-la-Lopette, toujours soucieux de montrer sa biroutte et dans toutes les occasions, a décidé de prendre sa carte de membre dans un club naturiste. C'est donc tout heureux que notre exhibitioniste se rendit à son premier week-end naturiste dans la propriété du président du club.

Dédé-la-Lopette arriva pour quatorze heure en ce samedi après-midi de printemps. Il gara sa Clio rouge sur le parking parmis une dizaine d'autres véhicules de toutes marques. Vêtu d'un pantalon en toile beige, d'une chemise hawaïenne et chaussé de "Stan Smith", notre ami se saisit de sa valise dans le coffre de sa voiture.

Sur le perron il y avait déjà quelques personnes qui discutaient. Dédé-la-Lopette fut accueillit par le maître des lieux. Un monsieur grand, à l'allure distinguée. Les tempes grisonnantes, une veste claire sur une chemise déboutonnée. Il serra longuement la main de notre Dédé. Au bout de quelques minutes, tout le monde fut invité à découvrir les chambres mises à la disposition des convives. Transformées en dortoirs de six lits chacun.

Tout le monde fut invité à se rendre dans le grand salon pour assister à la conférence d'accueil. Sur les trentes personnes présentes, cinq étaient de nouveaux membres du club. Il n'y avait que des couples. Dédé-la-Lopette était le seul célibataire. Dix minutes plus tard, tout le monde prenait place sur des chaises pliables, devant une table et un tableau noir. Tout le monde dans le plus simple appareil. A poil...

Nous le connaissons bien notre Dédé. Nous savons ses motivations profondes. La symbiose avec la nature, retrouver les sensations du corps dans l'élément naturel, tous ces concepts chers aux naturistes, passent très largement au-dessus de la tête de notre coquin. Sans même l'effleurer. Ce qui importe à notre ami Dédé-la-Lopette, c'est de montrer sa bite. Donc, dans sa tête, pas de place pour des considérations d'éthiques "abstraites".

Aussi, dès le début de la conférence, donnée par une belle naturiste d'une trentaine d'années, Dédé-la-Lopette bandait comme un taureau en mâtant les miches de la conférencière. Cela pouvait sembler amusant aux autres nouveaux. Cela amusait également les anciens qui se doutaient des "émotions" des novices devant la nudité. Mais là, de voir le petit nouveau qui se pignollait sur sa chaise, il y avait comme un malaise.

Personne n'a rien dit. La conférence dura une demi-heure. Une demi-heure où furent exposés les motivations des membres, la charte en vigueur dans le club et les projets à venir pour l'été. Puis, tout le monde fut invité à faire un tour dans le parc. Afin que les nouveaux puissent entrer en contact avec les membres du club et avec les éléments. Il faisait beau et doux. Un soleil chaud et radieux brillait haut dans le ciel.

Dédé-la-Lopette, dans un état d'erection permanent amusait beaucoup les membres du club. Ce n'était pas seulement la taille du "cric" qui prêtait à sourire, mais l'air contrit et gêné de notre bandeur. S'en était trop. Une fois de plus, se dissimulant derrière une statue de Diane chasseresse, Dédé se mit à pratiquer son activité préférée. Branlette-party...

Le Maître des lieux, s'avançant vers notre exhibitionniste lui proposa de retrouver ses esprits avec une bonne douche, puis de rentrer tranquillement chez lui après ce premier contact. Il fut proposé à notre coquin de revenir le week-end suivant pour la prochaine session. Ainsi, avec la semaine, Dédé pourrait se préparer psychologiquement.

Une fois dans la voiture, Dédé-la-Lopette prit conscience que le naturisme ce n'était pas pour lui. Un club naturiste n'a strictement rien à voir avec la "Branlette Academy". Mais cette courte expérience lui laissa le souvenir de quelques belles nudistes qui ne l'avaient pas laissé indifférent. En fait, ce qui lui plaît dans la pratique du naturisme c'est d'exhiber son chibre. Dédé prit conscience que, pour "ça", il pouvait garder ses vêtements...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

L'ascenseur -

Cet après-midi là, Dédé-la-Lopette avait un rendez-vous chez son proctologue. Dédé, animé par le soucis constant de sa santé, avait pris rendez-vous chez ce spécialiste suite à la lecture d'un article sur l'impuissance masculine. Dédé ne souffrait absolument d'aucun mal. Seulement voilà, notre hypocondriaque développait une paranoïa à toute occasion.

Un simple petit rhume et notre ami est convaincu d'avoir le cancer du nez. Une simple coupure de rasoir, le matin, devant le miroir, et voilà notre héros persuadé d'avoir le tétanos. Lors d'une simple crampe du mollet, à la piscine, notre copain est convaincu qu'il sera amputé de la jambe le jour suivant. Comme on peut le deviner, pour Dédé, c'est pas "gagné". Son existence est un perpétuel challenge...

Dédé-la-Lopette gara sa voiture sur le parking, au bas de l'immeuble du praticien. Le protologue exercait au huitième étage d'un immeuble résidentiel. Nous étions au mois de novembre, la fraîcheur du climat imposait d'être vêtu chaudement. Notre ami portait son manteau. Il sortit de la voiture pour venir sonner chez le docteur.

Dans le hall, Dédé s'approcha de la porte d'un des deux ascenseurs pour appuyer sur un bouton. Quelques instants plus tard le double battant s'écarta pour laisser passer le visiteur. L'ascenseur se mit à monter pour s'arrêter presque immédiatement. Le double battant s'écarta une nouvelle fois pour laisser entrer une jeune femme. Celle-ci, souriant à notre héros, lui fit : < Bonjour >.

Nous le connaissons bien, notre Dédé. Et le lecteur qui ne le connait pas est invité à découvrir ses aventures précédentes dans les épisodes la saison 1. La proximité d'une jeune femme, belle de surcroît, met la tête de notre ami à l'envers. En effet, Dédé pense avec son sexe. Sexe qui est situé à la place de son cerveau. Cerveau pas du tout reptilien mais "sexilien". Que le lecteur me pardonne ce néologisme absurde et surréaliste mais il est tout à fait de circonstance.

L'ascenseur montait avec une lenteur désespérante. Aussi, notre "drôle", se tournant vers les boutons du tableau de commande, ouvrit son manteau pour dégraffer sa braguette. Sortant son sexe, il rabattit les pans de son manteau afin de le dissimuler. Il se retourna. Avec ce sourire niais, qu'affiche ce genre d'individus, notre Dédé dévisageait la belle jeune femme. Cette dernière dut avoir la perception d'un "truc" pas net. Un tel sourire de crétin !

< Je monte chez le proctologue, au huitième étage, et je me mets en condition !> fit notre salopiot en écartant les pans de son manteau. La jeune femme, découvrant le machin raide et ridicule qui pointait vers le plafond, consternée, répondit : < Ce n'est pas d'un proctologue dont vous auriez besoin, mais d'un psychiatre ! >. Dédé-la-Lopette, ne comprenant pas l'allusion, se mit à se palucher. En plus ! ! !

L'ascenseur s'arrêta au huitième étage. La jeune femme s'était retournée pour se coiffer dans le miroir. Notre ami, comme pour une dernière "prestation", secoua son sexe dans la direction de l'inconnue. Le double battant se referma. Notre drôle entra chez le proctologue. Dans la salle d'attente, Dédé-la-Lopette feuilletait un "Paris-Match" jauni, pas très récent, relatant la mort de Georges Pompidou.

Dans le cabinet du docteur, Dédé fut invité à descendre son pantalon devant le praticien moustachu qui enfilait un gant en coutchouc. < Le monsieur va monter sur la table et prendre la position du "petit chien" ! >. Derrière lui, notre ami pouvait entendre la respiration du docteur qui l'encula de son index en demandant : < Le monsieur va tousser plusieurs fois, s'il vous plaît ! >.

Il vaut mieux deux doigts de Porto qu'un doigt de procto ! Dans sa nuque, Dédé-la-Lopette pouvait sentir le souffle du praticien. Dédé fit : < On se connaît pas bien, tout de même, aussi, cette soudaine intimité me gêne un peu ! >. Le docteur fit : < Eh bien ! Tout va très bien pour le petit monsieur ! Sa prostate fonctionne et est toute petite !>. Dédé, ricanant, se releva et réajusta son pantalon. < Le petit monsieur reviendra dans deux ans pour un petit contrôle de routine ! > fit encore le docteur en remplissant le formulaire de la CPAM.

Dédé-la-Lopette reprit le chemin de l'ascenseur. Cette fois, pour la descente, pas de belle jeune femme à incommoder. Pas de délicieuse inconnue à importuner. Notre héros, un peu déçu, se réjouissait quand même à l'idée de ne pas avoir de soucis de prostate. Sa vie pouvait continuer dans l'insouciance prostatique de sa sexualité débridée.

C'est en sifflotant "Yellow submarine" que Dédé-la-Lopette sortit de l'ascenseur. Là, debout devant la porte d'accès au hall de l'immeuble, deux policiers en uniformes invitèrent notre ami à les suivre. Derrière eux il y avait la jeune femme qui fit : < Oui, c'est lui ! >. C'est dans une voiture de police que notre pitoyable coquin quitta le parking. Il regarda sa Clio rouge qui resterait sans doute là pour plusieurs heures...

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NOTE DE L'AUTEUR
Chers amis

Aux dernières nouvelles, Dédé-la-Lopette va bien.Il est resté au commissariat jusqu'au soir.
La dame n'a pas désiré porter plainte mais s'est contenté de remplir le formulaire de la main-courante.
Cette triste aventure va t-elle servir de leçon à notre drôle ? Il n'est pas tiré d'affaire.
Même s'il n'était pas sur la voie publique, son comportement est sanctionné par la loi.

Souhaitons à notre ami de faire l'acquisition d'un logiciel "Prise de conscience"...

Bientôt la suite des aventures de Dédé-la-Lopette, ici, sur ce prodigieux forum !


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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Le parking

Ce mardi après-midi pluvieux d'octobre était plutôt frais et désagréable. Dédé-la-Lopette avait mis à profit cette journée maussade pour aller faire quelques démarches en ville. A cet effet, il avait garé sa voiture dans un des nombreux parkings souterrains du centre. Parking payant et protégé par une vidéo-surveillance.

Dédé-la-Lopette gara sa Clio rouge dans le deuxième sous-sol. Là, en réunissant ses affaires, fouillant dans la boîte à gants, l'attention de notre héros fut attirée par une voiture qui vint se garer à côté de la sienne. Au volant, une ravissante rousse aux cheveux longs. Une belle jeune femme qui lui fit un sourire rapide et fugace.

Beaucoup de lecteurs de ce fabuleux forum commencent à bien le connaître notre Dédé. Immédiatement, à la vue de la belle jeune femme, le sang de notre ami ne fit qu'un tour. Mais quel tour ! Louchant vers la belle inconnue, notre salopiot ouvrit sa braguette, poussé par ses pulsions d'homme des cavernes. Homme de néandertal au cerveau pas encore tout à fait développé, toutefois.

La jeune femme sortit de sa Mercedes pour en faire le tour. Affairée dans le coffre ouvert, l'inconnue ne vit pas immédiatement Dédé-la-Lopette sortir à son tour de sa bagnole. Ce dernier, debout, la portière de sa voiture ouverte, était entrain de se masser la turbe, sans gêne, dans l'attente d'être vu.

Lorsque la jeune femme revint à la portière de sa voiture, elle pouvait découvrir notre "drôle" entrain de se palucher. Dédé-la-Lopette, avec ce sourire niais, caractéristique à ce genre d'individu, lança à la belle inconnue : < Et des comme "ça", vous en avez déjà vu ? >. La jeune femme, sans se démonter, répondit : < Oui, ce matin même, celle de mon mari, mais qui est beaucoup mieux quand même ! >. Puis, d'un pas rapide, haussant les épaules, elle s'en alla, laissant notre exhibitionniste à sa triste occupation.

Dédé-la-Lopette rangea son "truc", récupéra sa sacoche, ferma la portière de sa voiture à clé et s'apprêta à quitter le parking par l'ascenseur. Devant la porte, deux hommes de hautes tailles l'entourèrent. L'un d'entre eux sortit une carte qu'il lui montra en disant : < Police ! >. Les deux agents en civil invitèrent Dédé-la-Lopette à le suivre à leur véhicule banalisé.

< Alors ? On est en mal d'amour ? On drague avec le sexe dans les courants d'air ? > fit un des deux individus. Dédé-la-Lopette, assis à l'arrière du véhicule qui remontait vers le commissariat de police, n'en menait pas large, aussi, l'air penaud, il dit : < Mais, c'était juste pour rire ! J'ai rien fait à la dame ! >. Un des policiers se retourna pour répondre : < Oui, c'était pour rire. Mon ami et moi, nous avons d'ailleurs bien ri. Pour faire rire également nos collègues, au poste, on vous emmène au commissariat ! >.

Dédé-la-Lopette, pendant sa déposition, se vit confirmer le fait que les caméras de vidéo-surveillance avait bien enregistré sa "blague" à la dame, dans le but de la faire rire. C'est après sa garde à vue, quatre heures après, que notre salopiot pu prendre le bus pour aller récupérer sa voiture dans le parking. Il sera convoqué prochainement...

Qu'est-ce qu'ils ont rigolé, ce jour là, au commissariat !

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Dédé en bagnole

Par cette chaude matinée de juin, Dédé-la-Lopette avait pris sa voiture pour aller se promener un peu. Il roulait à faible allure sur cette petite route de campagne qui menait aux pieds des montagnes voisines. La musique à forte puissance, fumant un de ces gros cigares, Dédé-la-Lopette prenait un grand plaisir à chanter, en beuglant, avec Mylène Farmer, dont il écoutait le CD.

Dédé arriva aux abords d'un petit village typique de la région. Ralentissant encore, il pût constater qu'il arrivait en pleine préparation d'un vide-grenier. Des gens s'affairaient un peu partout. Quantités de camionnettes, toutes portes ouvertes, étaient garées dans tous les coins. Des tréteaux étaient déjà en place. En ce samedi matin, toutes ces personnes préparaient les festivités de l'après-midi.

Dédé-la-Lopette, prudent et ne désirant pas se retrouver bloqué, fit demi-tour sur la place de l'église. Il était temps car un grand nombre d'automobiles arrivaient en contre-sens. C'est en quittant le village par la petite route qui montait vers le col de Chemise, à 900 mètres d'altitude, que Dédé croisa un certain nombre de personnes, vêtues en costumes flokloriques. Des jeunes filles, des jeunes femmes et quelques rares messieurs marchaient sur le bord de la route.

Au bout d'environ cinq cent mètres, Dédé-la-Lopette comprit le pourquoi de cette affluence. Il y aurait une procession qui viendrait, en fin de matinée, jusqu'à la chapelle Saint Faunic. Ici, dans le pays, Saint Faunic est le saint patron des musiciens de la commune. Il sera fêté aujourd'hui par une célébration religieuse. Ce qui expliquait tout ce monde qui marchait en bord de route.

Dédé-la-Lopette pouvait admirer quelques belles jeunes filles qui discutaient, riaient, en groupes, aux abords de la chapelle qu'il dépassa à très faible vitesse. Notre automobiliste se gara un peu plus loin dans un chemin qui partait vers la forêt. De là, dans son rétroviseur, il pouvait observer la route et l'entrée du chemin. Des cyclistes en VTT croisaient notre ami en le saluant de la main. Il y avait même des cavaliers...

Dédé-la-Lopette tirant sur son cigare, enfumant l'intérieur de son véhicule malgré la fenêtre ouverte, vit arriver, dans son rétroviseur, une jeune femme qui promenait un gros chien. Nous commençons à bien le connaître notre Dédé. L'occasion, une fois encore, lui permettrait de faire le larron. Rapidement, il ouvrit sa braguette pour en extraire son sexe. Se massant la turbe, il resta ainsi. La jeune femme arriva à sa hauteur. Elle regarda à l'intérieur de la voiture et salua notre "drôle" avant de se rendre compte de ce qu'il faisait !

Immédiatement elle détourna le regard. Elle accéléra son pas en tirant sur la laisse de son clébard. Chien qui était entrain de pisser contre la roue arrière de la Clio rouge de Dédé. Satisfait de son initiative, notre exhibitioniste faisait de grands ronds de fumée. Tout en se pignollant de plus belle. Quelques minutes plus tard, il y eut une autre jeune femme. Cette dernière, comme la précédente, promenait son chien. Un caniche d'une laideur affligeante et fraîchement tondu. Elle s'engagea dans le chemin.

Et voilà notre Dédé-la-Lopette qui se remet à se masturber à grands coups de poignets. Même scénario. La jeune femme arrive à sa hauteur, regarde dans la voiture et découvre le "spectacle". Pareil. Elle tire sur la laisse du caniche qui pissait contre la même roue arrière que l'autre clébard. Elle accèlère le pas et disparaît derrière les bosquets, cinquante mètres plus loin. Notre salopiot était excité comme une puce. On le connaît bien, le bougre...

Dédé-la-Lopette, concentré sur le rétroviseur, tirant sur son cigare, scrutait avec attention dans le miroir. Notre coquin ne vit donc pas arriver la camionette de la gendarmerie qui staionna devant sa voiture. C'est lorsque son attention fut attirée par le claquement d'une portière que notre coquin releva la tête pour voir une gendarmette amusée s'approcher. Elle était suivit par un gendarme à l'air beaucoup plus sévère.

Les deux représentants de la loi firent sortir notre vicelard de sa Clio. Il eut juste le temps de descendre son T-shirt pour cacher son sexe. La grosse bosse ne laissait aucun doute quand aux activités du quidam. Les gendrames apprécièrent en contrôlant l'identité et les papiers de Dédé-la-Lopette. Il n'y eut toutefois pas de flagrant délire constaté. Mais il fut demandé à Dédé de venir dans la camionette afin d'être confronté aux deux promeneuses de chiens qui s'y trouvaient déjà.

Là, en entrant dans la camionnette, accompagné des deux gendarmes, Dédé-la-Lopette pût voir le gros chien renifler le cul du caniche avant de tenter de l'enfiler...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

La Cantatrice

Ce lundi matin, Dédé-la-Lopette s'était vu remettre par son employeur son enveloppe trimestrielle. Dans cette enveloppe, il y avait des billets d'entrées à différents spectacles, des invitations à diverses manifestations culturelles. Tout cela proposé par le Comité d'entreprise. Dédé avait une préférence pour les concerts de Rock ou pour des chanteurs de "caractère" comme Francis Cabrel, Alain Süshi ou encore pour Laurent Voulzon. Grace au Comité d'entreprise, Dédé-la-Lopette pouvait bénéficier de réductions importantes et même souvent d'une totale gratuité d'accès.

Dans son bureau, Dédé ouvrit l'enveloppe de papier kraft. Il y avait des billets pour le spectacle de Sansévérino, pour les ballets de Moscou, pour Miosec et même pour le grand spectacle donné par une cantatrice Allemande à l'Opéra. Cantatrice accompagnée par l'orchestre philarmonique de Munich. C'est la photographie sur le billet qui attira l'attention de notre ami. Une belle femme, ravissante et d'un physique de cantatrice. Grande et plutôt attractive. Le spectacle aurait lieu ce samedi soir, pour vingt et une heure.

Le samedi soir arriva enfin. Dédé-la-Lopette, qui, pour la première fois de sa vie allait se rendre à l'opéra, s'habilla de son plus beau costume noir. Un nœud papillon noir sur une chemise blanche et des souliers vernis noirs achevaient de donner à notre Dédé une allure de gentleman. Même s'il lui était impossible de cacher son ventre, Dédé-la-Lopette faisait des efforts pour le rentrer. Retenant sa respiration et se tenant bien droit, notre ami arriva au guichet à vingt heures quarante cinq.

Il lui fut attribué la place No 17, au premier rang, au dessus de la fosse d'orchestre, juste sous la scène. Dédé prit possession de sa place. A sa droite, il y avait un homme très âgé accompagné de sa femme. A sa gauche, c'était une femme très âgée accompagnée de son mari. A vingt et une heures, les lumières s'éteignirent. Un projecteur illumina soudain la belle jeune femme de la photographie. C'était la cantatrice. Debout, seule dans l'obscurité. Il y eut un profond silence. Même s'il y en a toujours un qui tousse quelque part dans le noir de la salle. Le "tousseur" du soir...

Brisant le silence, la première note longuement tenue de l'Avé Maria de Schubert résonna avec une profondeur irréelle. De la fosse d'orchestre, il y eut la sonorité du piano d'accompagnement. Une émotion parcourue la salle. C'était un peu comme dans le merveilleux film de Jean-Jacques Beinex, "Diva". Lorsque la cantatrice qui intèrprète Cynthia Hawkins, Wilhelmenia Wiggins Fernandez, commence à chanter. Une pure perle dans un bijou d'or. Même notre Dédé, de nature plutôt frustre, fut parcouru de frissons.

Pourtant, le physique de la cantatrice commençait à émoustiller notre homme. Et nous le connaissons bien Dédé-la-Lopette. Une érection vint perturber notre auditeur en costume noir. Ce phénomène gênait quelque peu notre ami. En effet, tordu au fond du slip, le sexe de Dédé provoquait une situation presque douloureuse. Il avait beau se tortiller discrètement dans son fauteuil, rien y faisait. Cela gâchait un peu la fête. Le syndrome de la bite coincée menaçait...

Dédé-la-lopette regarda discrètement sur sa droite. L'homme âgé dormait ou écoutait les yeux fermés. Sur la gauche, pareil, la dame avait les yeux fermés. Notre larron ouvrit sa braguette. D'une main habile, il réajusta sa turgescence afin qu'elle se dresse vers le haut. Afin qu'ainsi elle ne soit plus douloureusement tordue. Dédé s'apprêta à refermer son pantalon. C'est à ce moment là que la cantatrice semblait regarder ce que "bricolait" notre ami. Du moins, dans l'illusion de ces sens confus, notre drôle le croyait-il.

Dédé-la-Lopette, en surveillant sur sa gauche et sur sa droite, profitant du faible éclairage et de sa braguette ouverte, secouait son sexe bien raide en direction de la cantatrice. A chaque fois qu'elle dirigeait son regard dans la direction de notre exhibitionniste, celui-ci se secouait la tige en le tenant à sa base. La cantatrice se rendait-elle compte des agissements de notre "drôle" ? Toujours est-il que Dédé avait l'impression qu'elle voyait ce qu'il faisait. Nous le connaissons bien, le salopiot, nous imaginons sans peine dans quel état il s'était encore mis.

Cela dura ainsi une bonne demi-heure. Entre les légers ronflements de la dame de gauche et l'assoupissement certain du vieillard de droite, notre larron pouvait s'en donner à cœur joie. Le bougre se masturbait à chaque fois que la cantatrice se déplaçait dans sa direction. Elle semblait même consternée par le spectacle auquel elle avait droit. Sans commettre la moindre fausse note. Nul doute que dans sa vie d'artiste lyrique, une telle situation ne s'était jamais présentée à elle. Elle assura en parfaite professionnelle.

Ce fut l'entracte. Dédé-la-Lopette ferma son pantalon en même temps que s'allumèrent les lumières de la salle. Afin de se détendre les jambes, notre ami se rendit dans le petit hall. Là, sur une longue table, il y avait des chips, des petits salés, des cacahouetes, des jus de fruits dans des gobelets en plastique. Dédé s'approcha. Prenant un gobelet à la main, discrètement, de sa main libre, il se remplissait les poches de cacahuètes, de noix de cajou et autres petits salés. Ses poches, déformées par les quantité de victuailles dérobées, lui donnaient l'allure d'un épouvantail.

Un monsieur vêtu d'un costume noir vint trouver Dédé-la-Lopette. < Pourriez-vous me suivre s'il vous plaît ? > fit-il. Dédé, surpris, suivit l'homme qui l'entraîna vers la sortie. Là, s'arrêtant dans le hall d'entrée, il dit encore : < Monsieur, au vu de vos agissements dans la salle, votre présence à la deuxième partie du spectacle n'est pas souhaitable ! Je vous demanderais donc de quitter les lieux sous peine de faire intervenir la police ! Nous vous avons observé avec les caméras de surveillance ! >. Notre salopiot, soudain couvert de sueur, ne répondit pas. Tournant le dos, il dévala l'escalier pour disparaître rapidement dans la nuit...

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Dédé-la-Lopette fait du sport - Danser
Monday 19 September 2016 13:41

Oncle-Julien
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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Dédé au parcours sportif.

Cet après-midi de mai, chaud et ensoleillé, Dédé-la-Lopette s'était enfin décidé à bouger un peu sa carcasse. Son médecin lui avait fait remarquer, depuis plusieurs mois, que la cigarette, la bière, les chips et les pizzas surgelées, rajoutés à une vie sédentaire, n'étaient pas l'idéal pour sa surcharge pondérale. Dédé avait tendance à faire du gras. Dédé avait même un peu de bide...

Vêtu d'un short noir "Camel" en lycra, d'un T-shirt "Heineken" bleu et chaussé de "Nike" toutes neuves, notre ami s'était rendu au parcours sportif à l'extérieur de la ville. Certes, le corps de Dédé n'avait rien de la silhouette d'un athlète, mais notre ami était bien décidé à faire un effort pour retrouver la ligne pour ses vacances d'août. Dédé avait garé la voiture sur le parking de départ, à l'orée de la forêt.

Après avoir écrasé le mégot de sa dernière cigarette (avant la prochaine), vidé le cendrier dans l'herbe, sous la voiture, notre Dédé se mit à marcher sur le sentier qui menait au départ du parcours sportif. Dans une petite banane, attachée autour de la taille, il déposa les clefs de la voiture et ses papiers. Arrivé au premier agrès, Dédé-la-Lopette, après avoir lâché un pêt profond et sonore, pris une grande respiration et se mit à trottiner.

Il n'avait pas fait deux cent mètres qu'il rencontra la première "station". L'agrès No 1. Les fameuses < rotations du buste >. Dédé-la-Lopette, déjà bien essoufflé, se posa devant le panneau représentant l'exercice. Ecartant les jambes comme le personnage du pictogramme, notre Dédé se mit à faire une série de mouvements peu académiques qui eurent pour effet de manquer de lui décoller la plèvre ! C'est en toussant, au bout d'une dizaine de rotations, que Dédé-la-Lopette décida de stopper cette première torture.

Marchant quelques mètres, récupérant quelque peu, notre ami se remit à trottiner. Au bout de trois cent mètres, "notre sportif" arriva à la "station" No 2. L'agrès du < Moulin à vent >. Ecartant une nouvelle fois les jambes, courbé en avant, notre "champion" touchait alternativement le pied gauche avec la main droite et le pied droit avec la main gauche. Là, s'en était trop pour notre "athlète". Se redressant, il n'arrivait plus à retrouver son souffle au bout du huitième mouvement. Dédé crachait, râlait et souffrait.

Dédé se sentait un peu lopette...

Après une minute de récupération, au prix d'un grand effort, notre ami se remit à trottiner. Il faisait chaud. Dédé transpirait comme un forçat. Il arriva à la "station" No 3. L'agrès des < Sauts latéraux en relevant les bras >. Prenant tout son courage, la mine défaite, ruisselant de sueur, Dédé-la-Lopette se mit à faire n'importe quoi en essayant de soulever le poids de son corps par de petits sauts désordonnés. Bozo-le-Clown arriva à faire quatre sauts avant de s'effondrer au sol ou il resta assis de longues minutes. Haletant, essoufflé, râlant et toussant, notre "Médaillé Olympique" tentait de récupérer. Il restait dix sept "stations", autant dire, la mort assurée au cinquième agrès !

C'est là qu'arriva une superbe jeune femme, svelte, athlétique, qui fit les exercices avec une facilité déconcertante et une légèreté exemplaire.

- Il y a un problème, monsieur ?
fit-elle à notre lamentable, assis au sol, essayant de retrouver un visage humain.

- Non, non, je manque un peu d'entraînement et je récupère c'est tout !
fit notre drôle, vautré sur son gras.

La jeune femme tourna les talons en faisant < Au revoir et bonne récupération ! >...

Dédé-la-Lopette n'était pas très fier. Il se sentait même un peu minable. Ainsi, ces belles jeunes femmes, qu'il croisait un peu partout, s'entraînaient pour entretenir leurs magnifiques silhouettes ? Ce n'était pas un "cadeau du ciel" ? Cette révélation acheva de tétaniser notre ami. Pour être "belle", pour être "beau", il fallait fournir des efforts. Dédé-la-Lopette, encore sous le coup de cette révélation se releva. S'appuyant contre le tronc d'un arbre, il reprit ses esprits.

Une nouvelle joggeuse arriva. Encore plus belle que la précédente, elle fit ses exercices avec cette célérité, cette virtuosité qui enchantèrent Dédé-la-Lopette. Soudain, dans la tête de notre ami, surgit cette pulsion dont il était coutumier. Ne pouvant s'empêcher de faire le con dans de telles situations, il ne laissa pas passer cette nouvelle opportunité. Sortant discrètement son sexe, le laissant dépasser du short, Dédé fit la seule chose où il excellait en parfait "virtuose" : < Vous auriez l'heure ? > demanda t-il à la jeune fille qui terminait ses sauts latéraux.

Cette dernière remarqua le sexe de notre lopette et lui fit : < Vous n'avez pas honte, ça ne vous gêne pas un peu de vous exhiber sur le parcours sportif ? C'est dégueulasse ! >. Dédé-la-Lopette, le sourire niais, tenant sa turgescence de la main droite, ne savait quoi répondre. La jeune femme s'empara d'un téléphone portable qu'elle portait suspendu à son cou. Soudain, Dédé, pensant à son entraînement, se mit à dévaler le chemin pour retourner au parking avant les nouveaux ennuis qui n'allaient pas tarder. Dédé-la-Lopette venait sans doute, à l'insu de son plein gré, de battre un record du cinq cent mètres !

Notre pitoyable sportif du dimanche, essoufflé, haletant, à la limite de l'apoplexie, fit démarrer sa Clio. Il fit crisser les pneus de la petite auto et fila sans demander son reste. Sur la petite route, il croisa un véhicule de la gendarmerie qui montait à grande vitesse. Dédé-la-Lopette l'avait encore échappé belle...

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Dédé prend le bus

Tous les matins, à sept heure quinze, Dédé-la-Lopette prend le bus sur la ligne 19. Ce parcours de trente cinq minutes le mêne à son bureau. Là, Dédé prend son travail d'aide-comptable pour une société fiduciaire de la place. Fonction qu'il occupe depuis plus de dix sept ans. Par empathie pour notre ami Dédé-la-Lopette, nous lui donnerons l'amusant sobriquet de "Ravioli".

Dédé se met toujours à l'arrière du véhicule. Cette position stratégique lui permet de voir monter les belles jeunes femmes. La plupart d'entre elles, élégantes et ravissantes, se rendent à leur travail. Ce sont donc souvent des habituées. Dédé-la-Lopette en a repéré deux ou trois à qui il expliquerait bien quelques théories comptables. En abscisse et en ordonné, sur un beau graphique ascendant...

Notre ami est toujours installé au fond, à droite.

Dans le secret espoir que l'une d'entre elles vienne s'assoir à l'arrière du bus, Dédé cherche, depuis de longs mois, une stratégie efficace. Cette espoir n'est pas déçu. Au huitième et avant dernier arrêt, monte, du lundi au vendredi, cette ravissante brunette qui vient s'assoir sur le siège juste devant, mais à sa droite. Parfois, elle tourne la tête. Dédé-la-Lopette lui lance un léger sourire auquel la belle inconnue répond timidement. Hélas, comme notre ami descend au neuvième arrêt, cette compagnie ne dure, au mieux, que cinq minutes.

Cela faisait trois mois que ce même scénario se déroulait de façon immuable. Depuis, une dizaine de jours, Dédé-la-Lopette, discrètement, sortait son sexe juste avant l'arrivée de la belle brune. Se le tripotant en secret sous son attaché-case, Dédé attendait l'arrivée de la jeune femme. Depuis quatre jours, la jeune femme, tournant sa tête pour regarder par la fenêtre du bus, avait surpris le manège de notre larron. Depuis, la semaine suivante, elle avait cessé de sourire à notre exhibitionniste. Elle ne dépassait plus le cinquième rang de sièges.

Dédé-la-Lopette se retrouvait bien triste et à nouveau seul à l'arrière du bus. Finies les petites masturbations discrètes avec l'attente du regard de la belle inconnue. Tout cela était bien terminé. La semaine s'acheva ainsi.

Ce lundi matin, notre ami, déjà confortablement installé, vit monter, au second arrêt, une belle blonde, grande et athlétique. Cette dernière vint s'assoir directement dans le fond du bus, se plaçant contre la fenêtre de gauche, à quelques sièges de notre ami. L'occasion fait le larron, nous le savons bien. Et tout particulièrement pour les "activités" ludiques de notre Dédé-la-Lopette.

Ni une, ni deux, voilà notre salopiot, braguette ouverte, se tripotant discrètement sous son attaché-case posé sur ses cuisses. Dans la vitre, comme dans un rétroviseur, il pouvait voir la jeune femme tourner discrètement sa tête vers lui. Pour mâter. Dédé, étant obligé de descendre au neuvième arrêt, laissa la belle blonde partir pour son destin.

Le mardi matin, quelle ne fut pas la surprise de notre exhibitioniste de voir remonter la belle jeune femme. Même scénario, assise au même endroit, elle mâtait les agissements de notre ami. Celui-ci, devenant plus téméraire, laissait poindre le "chauve au col roulé" entre l'attaché-case et son manteau. Pas d'équivoque possible, la masturbation était évidente. Dans ces situations, notre héros avait tendance à perdre ses capacités de réflexion. Dédé se mettait donc à faire le con avec une énergie rare.

Au neuvième arrêt, notre ami descendit du bus pour rejoindre son travail, laissant la dame à son transport urbain.

Le mercredi matin, à la plus grande joie de Dédé-la-Lopette, la belle femme revint s'assoir à gauche de notre coquin.
Dédé, déjà "prêt", se livra à son sport préféré dans la minute même. Et comment qu'il agitait son poignet, le vilain, sous le regard assez dubitatif de la dame. Une fois de plus, il lui fallu descendre au neuvième arrêt, abandonnant sa "prestation" inachevée.

A sa plus grande surprise, notre ami vit la dame se lever à sa suite. Dans sa tête, notre ami se dit qu'il avait peut-être un "ticket-gagnant" avec la belle inconnue. C'est donc avec le coeur battant la chamade, plein d'idées coquines dans la tête que Dédé-la-Lopette marcha dans l'allée entre la rangée de sièges. Tout lui semblait soudain très beau et excitant. Pour un peu, notre ami se serait mis à chanter "Belle Île en mer" de Laurent Voulzon et Alain Süshi...

C'est là, qu'à la descente du bus, deux policiers bloquèrent le larron pour lui signifier qu'il devait les suivre au commissariat tout proche. Se retournant, Dédé-la-Lopette vit la belle jeune femme qui lui tendait, sous le nez, sa carte de police.

C'était encore un cas de flagrant délire...

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Une aventure de Dédé-la-Lopette

Dédé au cinéma

Cet après-midi là, Dédé-la-Lopette avait jeté son dévolu sur ce cinéma de quartier très bien situé dans une petite rue excentrée. Il était quatorze heures et la séance commençerait à quatorze heures trente. Le cinéma "Odéon" proposait une petite salle de trois cent places. La plupart du temps étaient projettés des films "d'art et d'essai".

Dédé-la-Lopette, gourmant, aime dévorer deux cônes avant chaqe scéance à laquelle il assiste, une fois par semaine. Il vient donc toujours en avance pour manger ses glaces à la vanilles aux pépites de chocolat. C'est toujours le mardi après-midi, jour de son congé, que notre ami se rend au cinéma. Cet après-midi, c'était pour voir un film romantique.

Dédé aime les films romantiques au cinéma pour une raison bien particulière. En effet, durant la projection de ces films, les après-midi de semaine, dans la salle, il y a toujours un nombre considérable de femmes seules. Rien n'est plus agréable à Dédé-la-Lopette que de s'enivrer des odeurs délicates des parfums les plus divers qu'utilisent ces dames.

La stratégie qui consiste à venir en avance ne permet pas seulement à Dédé de manger des glaces, mais aussi de faire son "choix". Parmis les belles jeunes femmes, souvent élégantes, qu'il voit payer à la caisse, notre nouvel ami peut faire son "marché". Le film romantique constitue donc pour notre héros un genre qu'il apprécie tout particulièrement.

Dédé-la-Lopette aime les films romantiques. Même au-delà des porno qu'il mâte chez lui, le soir, croyant que ce qu'il voit sur l'écran de son ordinateur existe réellement. Notre ami reste persuadé qu'il existe quelque part des individus pouvant se comporter ainsi. Gratuitement et par pur plaisir. Dédé est naïf. Mais c'est pour ça que nous l'aimons bien.

Ce mardi là, notre Dédé put admirer l'élégante silhouette de cette belle petite brune, très maniérée, qui achetait son ticket pour voir "Le Docteur". "Le Docteur" de Francis Ford Copula. Il était quatorze heures vingt cinq, il fallait penser à aller choisir une place et s'y installer. Dédé-la-Lopette, s'étant essuyé les mains avec son mouchoir en papier, suivit la belle brunette qui marchait devant lui. Il y avait bien quelques gentlemen, mais une majorité de femmes étaient déjà assises dans la salle.

La belle brune alla s'assoir en milieu de pente. Notre ami Dédé, discrètement, s'installa à ses côtés. Il y avait bien d'autres places libres dans cette rangée d'une dizaine de fauteuils, mais notre héros, avec un certain culot, se mit donc à gauche de la dame. Au bout de quelques minutes, les lumières s'éteignirent, plongeant la salle dans l'obscurité.

Nous commençons à bien le connaître le Dédé. Le feu aux tempes, le sang à la tête, dans de telles situations, il a toujours une certaine tendance à faire le con. Ce qui ne manqua pas d'arriver cette fois encore. Et assez rapidement. Sortant un mouchoir en papier de sa poche, Dédé-la-Lopette le posa, déplié, sur sa cuisse droite. Le film n'avait pas commencé depuis dix minutes que la braguette de notre petit salopiot était déjà ouverte. Au bout d'un quart d'heure, c'est Popol qui prenait l'air...

Le Mister Bean de la masturbation était à l'œuvre !

L'intrigue du film, assez somnifère, avait pour cadre une clinique privée, pour riches. L'histoire était d'un classisisme lénifiant. Une infirmière s'était éprise du Docteur. L'homme de médecine, marié avec deux chiards, tombait lentement dans le piège de l'amour, tendu par l'employée en blouse blanche. Le Docteur luttait contre ses sentiments naissants tout en essayant de tempérer les ardeurs sentimentales de l'infirmière. Bref, pas de quoi ramasser un César sur la croisette. Et certainement aucun prétexte à une masturbation quelconque...

C'était pourtant ce qu'était entrain de faire notre drôle depuis cinq minutes. Lorsque la lumière d'une image particulièrement lumineuse éclairait la salle, notre "praticien", se secouait avec une certaine vigueur. Ce qui ne manqua pas d'attirer l'attention de la dame. Cela dura ainsi une bonne dizaine de minutes. Au bout de ce laps de temps, la dame se leva. Mettant son manteau elle s'éloigna rapidement pour aller s'assoir trois rangées plus haut. Dédé qui, dans ces moments là ne ratait jamais une occasion de faire le "boulet", se leva à son tour pour aller s'assoir derrière la jeune femme.

L'emmerdeur pathétique dans toute sa splendeur !

Là, confortablement assis, il recommença son activité avec une certaine vigueur. Dédé-la-Branlette se débrouilla même pour rendre son occupation "sonore". Un virtuose ! La dame se retourna à quelques reprises pour constater que l'exhibitionniste sévissait juste derrière elle, décalé d'un fauteuil. Notre ami y allait franco, braguette largement ouverte, son chibre à la main, appliquant un gracieux mouvement de va et vient sans équivoque. Sans se gêner le moins du monde...

Une fois de plus, la dame se leva. S'emparant de son manteau, elle dévala l'escalier qui menait à la sortie. Dédé-la-Lopette, terriblement frustré, éjacula dans son mouchoir en papier. A l'écran, le Docteur embrassait sa femme sous l'œil larmoyant de l'infirmière juste avant que n'apparaisse le mot "FIN". Le générique défilait dans l'indifférence générale. Les personnes présentes quittaient la salle. Dans une musique sirupeuse...

Dédé-la-Branlette, gourmand comme il est, ayant acheté un nouveau cône, dégustait sa glace tout en passant sous le portique "sortie". Là, il se retrouva dans la ruelle de derrière. Quelle ne fut pas sa surprise de voir la dame. La belle dame, brune, entourée de deux agents de police. Dédé entendit distinctement la belle dame dire, en le montrant du doigt, aux deux fonctionnaires : < Oui, c'est bien lui >.

Les deux agents de la force publique invitèrent notre ami à les suivre dans leur véhicule. Direction le commissariat du quartier.

C'était encore un cas de flagrant délire...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette - (Alias "Ravioli") -

Dédé au Parc

Cet après-midi de printemps, Dédé-la-Lopette était venu se promener dans ce petit parc situé un peu en périphérie de la ville. Il était quatorze heures, il faisait beau, il faisait presque chaud en cette fin de mois d'avril. Dédé avait avisé ce banc légèrement en retrait, près du petit pont en bois. Ce pont, jété au dessus du ruisseau qui venait se déverser dans le petit étang, achevait de donner un délicieux aspect bucolique à ce charmant endroit.

De ce point de vue, il était possible de voir le petit cabanon abritant les toilettes publiques. On pouvait également voir qui arrivait sur le petit chemin en terre stabilisée. C'était l'endroit stratégique que choisissait Dédé-la-Lopette à chaque fois qu'il venait méditer dans le calme de cet endroit charmant. Et les méditations de Dédé tournaient toujours autour du même sujet...

Au bout d'un quart d'heure, voilà que notre ami vit arriver une jeune femme promenant son chien. Un teckel court sur pattes qui n'était pas sans évoquer une longue saucisse. C'est sans doute cette association d'idée qui mit le feu aux tempes de Dédé-la-Lopette. La jeune femme était vêtue d'un jean bleu qui moulait agréablement ses jambes et ses hanches. Un pull carmin à col roulé moulait tout autant son buste et sa poitrine sympathiques. Le col roulé ! Voilà encore une association d'idée qui mit le sang de notre héros en ébullition. La saucisse et le col roulé, s'en était trop !

Nous commençons à bien le connaître, notre ami Roro. Un endroit isolé, une jeune femme, et le voilà qui se met à déconner. La promeneuse de chien était à une cinquantaine de mètres. Debout, faisant pisser son chien contre le tronc d'un arbre, derrière des bosquets dont les branches, encore vides de feuillages, permettaient une vue nette et précise, en toute discrétion. Roro ouvrit donc sa braguette et, en état d'érection, cacha sa turgescence sous son sweat-shirt bleu.

Arrivée à la hauteur du pont, la jeune femme tomba, sans se faire le moindre mal, sur le salopiot entrain de se toucher le braquemard au travers le tissus de son vêtement. Regardant furtivement à gauche puis à droite, Dédé s'enhardi quelque peu, laissant dépasser sa virilité. La jeune femme, faisant semblant de ne s'être aperçue de rien, passa devant notre vicelard en regardant dans la direction opposée. Réflexe féminin bien à propos qui évite les situations "gênantes". Dédé, que nous savons à présent assez "primaire", se masturbait sans vergogne et surtout sans prudence.

Dédé-la-Lopette ne ratait jamais une occasion de faire le zouave...

La jeune femme, tenant son chien à la laisse s'était déjà éloignée. Notre ami retouvait lentement ses esprits lorsqu'il aperçu, trop tard, cette dame en uniforme "brigade verte" qui le regardait sans doute depuis quelques minutes, un téléphone portable à l'oreille. Le sang de notre exhibitionniste ne fit qu'un tour. Mais un tour pendable. Il se leva rapidement pour se rendre à la seule et unique entrée (et sortie) du parc.

Là, acceuilli par deux agents de la force publique, notre ami fut prié de monter à l'arrière de la voiture. C'est au commissariat, durant sa garde à vue, que Dédé-la-Lopette se rendit compte qu'il aurait dû mettre une petite laine, la fraîcheur du soir était assez pénible...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette

Dédé-la-Lopette piégé par sa Web-Cam

Dédé-la-Lopette a pour habitude de visiter quelques sites de rencontre gratuits. Ces sites ne sont pas toujours très biens fréquentés. Il arrive même que des individus aux pratiques douteuses y pêchent des naïfs, des crédules ou encore quelques "Dédé".

Ce soir-là, Dédé, après s'être mis en appétit sur notre forum préféré, dans la rubrique "Exhib", s'est connecté sur "JeBaise-TuBaises". Là, notre ami découvre un message privé qui lui est adressé. Fébrile, impatient, la main tremblante, Dédé-la-Lopette ouvre sa messagerie. En même temps que sa braguette.

Une certaine < Doudou-75 > propose à Dédé-la-Lopette d'échanger quelques idées générales tournant autour de la sexualité. Très rapidement, Dédé répond. Il a de la chance, car < Doudou-75 > est en ligne. Les échanges sont donc rapides. Très vite, au bout d'un quart d'heure d'échanges coquins et fripons, < Doudou-75 > propose à notre ami, un "plan" Web-Cam.

Dédé-la-Lopette fait fonctionner sa Web-Cam et découvre < Doudou-75 >. Une belle jeune femme apparaît à l'écran. Le sang de notre ami ne fait qu'un tour, et quel tour ! L'érection est immédiate. La fille lui montre ses petits seins mignons et fermes. Dédé lui montre son sexe bien dure et pointé vers le plafond.

La soirée se passe ainsi, plaisante et plutôt "animée", laissant Dédé-la-Lopette épuisé vers une heure du matin. Du sperme un peu partout. Sur la souris, sur le clavier et même sur le coussin de la chaise. Notre ami, vidé et repu, va donc se coucher après le dernier pipi. Rendez-vous est donné pour le lendemain, via la Web-Cam, avec < Doudou-75 >.

Le soir de cette nouvelle journée arrive enfin. Dédé-la-Lopette, en slip, se connecte sur son site préféré. < Doudou-75 > n'éxiste plus sur le site, son profil ayant été suprimé. Quelle n'est pas la tristesse de notre ami ! Sans même évoquer sa profonde frustration...

A tout hasard, ayant donné son adresse mail à la jeune femme, il ouvre sa messagerie officielle. Là, notre héros découvre ce message rédigé dans un style narratif étrange, plein de fautes et, il faut bien le préciser, inquiétant. Je cite (en corrigeant les fautes) :
_________________

< Monsieur Dédé-la-Lopette >

< Nous avons en notre possession un film vidéo ou on peut vous voir vous livrer à des actes masturbatoires devant une personne du sexe féminin.
Nous avons la possibilité de diffuser ce film sur divers sites d'Internet en livrant votre identité à la police.
Afin de garder cette affaire entre nous, de suprimer cette vidéo, nous vous conseillons de faire un virement de la somme de cinq mille euros sur le compte que nous allons vous donner suite à votre réponse qui, nous n'en doutons pas un seul instant, sera positive et constructive.

Veuillez recevoir, monsieur Dédé-la-Lopette, l'assurance de notre profonde motivation à ne pas vous causer de tort.

Des amis qui vous veulent du bien
___________________

Inutile de décrire l'effet de douche froide sur le sexe (et la psyché) de notre Dédé. Une fois de plus, le sang de notre ami ne fit qu'un tour. Mais quel tour !

Le lendemain matin, après une nuit sans sommeil, pleine d'angoisse et de terreur, Dédé-la-Lopette prit la décision la plus sage en se rendant au commissariat de police de son quartier pour y raconter sa mésaventure.
Là, avec un certain soulagement, il découvrit qu'il n'avait commis aucun délit et que de nombreux naïfs se font ainsi piéger par des voyous sans scrupules. Des individus agissant le plus souvent depuis des pays lointains et à qui il ne faut surtout pas donner suite.

Il était suggéré à Dédé-la-Lopette de contacter son opérateur afin de changer l'intitulé de son adresse E-mail. Exercer une sévère vigilance quand aux contacts sur "Jebaise-TuBaises". Ne plus ouvrir de messages provenant de ce contact.
Et, surtout, de cesser d'avoir un sexe à la place du cerveau.

Une fois dans la rue, soulagé, Dédé-la-Lopette se rendit dans un salon de thé pour y prendre un grand café avec quatre croissants.

La jeune serveuse était vraiment mignonne. Nous commençons à bien le connaître notre Dédé, mais cela fera l'objet du prochain récit...

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Les aventures de Dédé-la-Lopette - (Alias "Ravioli") -

Dédé fait son "numéro" exhib au salon de thé

C'est en sortant du commissariat, soulagé d'avoir été compris puis conseillé après sa mésaventure "web-cam", que ce cher Dédé-la-Lopette avisa ce salon de thé où il se rendait de temps à autre. Cela faisait bien six mois qu'il n'y avait plus mis les pieds. Notre Dédé y entra donc, plutôt de bonne humeur. Il s'installa au fond, dans le salon désert.

Au bout de quelques minutes, la serveuse de la boulangerie-pâtisserie vint prendre sa commande. Dédé opta pour un grand café, deux croissants et deux petits pains aux amandes. La serveuse, une ravissante jeune fille d'environ vingt ans, prit la commande avec le sourire. La serveuse, plutôt grande, brune, mince, ne laissa pas notre héros insensible à ses charmes.

Elle revint avec le plateau sur lequel étaient disposés, la grande tasse de café, un pot de crème les croissants et les pains aux amandes. Dédé admirait cette silhouette avec son regard libidineux habituel et en pareille circonstance. La serveuse déposa délicatement la commande sur la table sans manquer de constater que Dédé-la-Lopette se touchait sous la table. La jeune fille, un peu gênée, lui fit un sourire avant de retourner servir une cliente du magasin.

Nous le connaissons bien, à présent, notre Dédé. Il ne rate jamais une occasion de faire le zouave. Ce qu'il fit encore une fois. En effet, à peine sorti d'une série d'angoisses due à sa mésaventure "web-cam", notre ami avait déjà son sexe à l'air sous la table et se massait la turbe avec un certain culot. D'une main c'était les petits pains, de l'autre c'était le "manche". Guettant les regards inquisiteurs de la serveuse.

Au bout d'un quart d'heure, un couple âgé vint prendre place au salon. Cette arrivée obligea Dédé-la-Lopette à observer une plus grande discrétion. La serveuse vint prendre la commande, remarquant au passage la turgescence qu'agitait sous la table notre exhibitionniste fou. Au bout de quelques minutes la jeune fille ramena la commande du couple. Notre ami se secouait la tige comme un dément. Faisant quand même attention à ne pas se faire remarquer par les personnes âgées qui discutaient sans lui porter attention.

Dédé-la-Lopette en profita pour appeler la jeune fille et lui commander un expresso accompagné d'un autre croissant. Ses activités "sportives" lui ouvraient sans aucun doute l'appétit. La serveuse, sous la table, pouvait apercevoir le sexe dressé de notre exhibitionniste. Elle ne souriait plus du tout. Elle prit la commande et tourna rapidement des talons presque en fuyant. Notre Dédé se la secouait "grave" et à "donf". Complètement perdu dans son excitation folle.

Deux minutes passèrent avant qu'un grand gaillard, costaud, moustachu et jovial ne vienne apporter la commande. C'était certainement le patron. Il se pencha vers notre héros pour lui murmurer :
< Tu as deux minutes pour payer et te casser, vite fait ! Passé ce délai, j'ai deux options. Où je te fout dehors avec ma main dans ta gueule et mon pied à ton cul ! Ou je fais venir la police ! Peut-être même les trois en même temps ! C'est clair ? >

Dédé-la-Lopette est toujours étonné de toutes ces réactions plutôt violentes autour de lui lorsqu'il est surpris. Il ne comprend pas ce que ses attitudes peuvent avoir de rédhibitoires. Tout cela le dépasse. Notre gaillard, rangeant rapidement ses "affaires", sorti son porte-monnaie pour payer. Sans vraiment comprendre la portée de ses actes délirants, il se leva, mit sa veste et fila sans demander la monnaie de son billet de 20 euros qu'il laissa sur la table...

Une fois de plus, notre ami Dédé s'était illustré d'une manière pas très futée.

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Les aventures de Dédé-la-Lopette - (Alias "Ravioli")

Dédé en forêt

En ce magnifique après-midi de la mi-mai, Dédé-la-Lopette avait garé sa voiture sur le bord de la petite route. Par ces premières chaleurs, Dédé avait pris l'initiative de se rendre dans la forêt à quelques kilomètres de chez lui. Vêtu d'un bermuda kaki, d'une chemisette hawaïenne et chaussé de "baskets", notre ami s'était mis à marcher sur le chemin qui s'enfonçait dans les bois.

Dédé-la-Lopette se promène souvent dans le coin. Il connaît bien l'itinéraire. Le chemin balisé mène à un étang. Le paysage bien vert de ce printemps radieux était le cadre idéal pour une petite randonnée pédestre dans cette nature enchanteresse. Dans un petit sac à dos, Dédé avait des petits gâteaux, une bouteille d'eau, un T-Shirt de rechange et une seconde casquette identique à celle qu'il porte. Sauf que, celle du sac est beige et celle qu'il porte est bleu pâle.

Au bout d'une heure de marche, dans cette ambiance bucolique, Dédé arrive à l'étang. Quelques pêcheurs, assis au bord de l'eau, surveillent, en silence, leurs cannes. Le chants des oiseaux, incessant et mélodieux, rajoute encore à l'enchantement de ce délicieux après-midi. Notre ami avise un banc légèrement en retrait. Sortant un magasine de son sac à dos, Dédé s'assoit tranquillement.

- 2014 -'un quart d'heure, son attention attirée par des voix féminines, Dédé regarde à droite, à gauche et derrière lui. Là-bas, venant du sentier, arrivent deux jeunes femmes qui discutent en riant. Rapidement conscientes qu'il faut respecter le silence des lieux, elles se mettent à parler à voix basses. Elles s'assoient sur un banc situé de l'autre côté de l'étang, légèrement à l'ombre.

Nous le connaissons bien à présent notre Dédé. A cette vue, son sang ne fait qu'un tour ! Et quel tour, une fois de plus ! Pour voir les jeunes femmes, Dédé-la-Lopette est obligé de se pencher en avant, dans une situation inconfortable. Une position pas très propice pour permettre de prendre du bon temps. Il se lève pour se placer derrière un buisson. Sortant les petites jumelles de son sac à dos, Dédé observe longuement.

Dans sa petite tête, rapidement, l'opportunité de se "manifester" se fait jour. Dédé réfléchit à la façon la plus idéale de se faire "remarquer" selon sa "spécialité". Rapidement, il avise des bosquets épais, sous les grands chênes, juste derrière un des deux bancs où sont assises les jeunes femmes. Subrepticement, à la manière d'un Indien du Far-West, avec quantités de ruses, notre ami contourne l'étang sans se faire voir. Au bout d'un quart d'heure d'une manœuvre de Sioux, il arrive derrière les bosquets convoités.

Là, comme toujours, devant cette nouvelle occasion de faire le zouave, Dédé-la-Lopette ouvre la braguette de son bermuda. Se tripotant un peu, au bout de quelques minutes, il ne manque pas de sortir son membre turgescent. Quelques insectes virevoltants, sans doute attirés par les "phéromones" printaniers de notre Dédé, se posent sur son sexe. Ce qui avait pour effet d'énerver notre masturbateur qui fait de grands gestes pour les chasser. C'est donc dans cette situation surréaliste que notre ami se fait surprendre par un vieux pêcheur venu pisser par là, à l'abri des regards : < Alors mon gars, tu t'amuses ? > fait le quidam.

Dédé-la-Lopette tourne des talons pour faire semblant de s'éloigner, se dissimulant simplement un peu plus loin. Il vient de comprendre que c'est derrière ces bosquets, dont le sol est jonché de mouchoirs en papier, que les utilisateurs, les promeneurs, les pêcheurs viennent faire leurs besoins. Ce qui explique, au passage, la présence des mouches. Piqué par des moustiques affamés, Dédé revient se poster comme précédemment en se grattant les tibias et les mollets.

De sa cachette, notre ami peut entendre parler les deux jeunes femmes. Regardant en l'air, Dédé a l'idée de grimper dans le vieux chêne. Grimpant sur les branches basses, rapidement, il se retrouve en altitude, presque au-dessus du banc ou sont assises les deux personnes. Une telle occasion de faire le con ne peut pas échapper à notre Dédé. Quitte à prendre quelques risques, il n'allait pas la laisser filer...

Là, se masturbant comme un dément, ayant à nouveau perdu tout sens de la mesure, se tenant à une branche de la main gauche, Dédé-la-Lopette se secoue de la main droite. Regardant les jeunes personnes assises presque en dessous de lui, à quelques deux mètres. Elles ne se doutent pas un seul instant qu'au-dessus de leurs têtes, un "équilibriste" se livre à un numéro de cirque !

Excité par la situation, notre Dédé a un orgasme, éjaculant n'importe où et un peu n'importe comment. Son sperme tombe sur l'épaule d'une des deux jeunes femmes. Intriguée par cette "chose", la prenant pour une déjection de quelques oiseaux, la "victime" leve la tête pour apercevoir Dédé-la-Lopette qui essaye de retrouver son équilibre. Hélas pour lui, glissant sur la branche, notre ami tombe lamentablement dans les fourrés, juste derrière le banc. Heureusement sans se faire le moindre mal.

Les deux jeunes femmes, plutôt consternées, regardent Dédé, les quatre fers en l'air, emmêlé dans les ronces qui ont amortis sa chute. La braguette encore ouverte et le sexe qui en dépasse ! C'est ridicule et surréaliste. Dédé a réussi son coup au-delà de ses espérances. Une des deux jeunes femmes se redresse, se levant elle traite Dédé de petit "salaud". L'autre femme se lève à son tour pour entraîner sa compagne vers le sentier du retour.

Au bout de cinq minutes d'une lutte farouche, égratigné de partout, notre Dédé se retrouve debout devant le banc. Sortant un mouchoir en papier de sa poche, le mouillant avec la bouteille d'eau, il se met à nettoyer ses égratignures sanguinolentes. C'est là que la voix rauque du vieux pêcheur de tout à l'heure se fait entendre derrière lui : < J'ai tout vu mon gars. Des cons j'en ai déjà vu pas mal, mais des comme toi, jamais ! Tu décroches le pompon mon gars ! >

Ses jambes et ses bras picotant de partout, Dédé-la-Lopette prend le chemin du retour. Marchant très vite. Arrivé à sa voiture, il voit un véhicule 4X4 garé. Un couple d'agents des "brigades vertes" s'approche : < Vous faites "ça" souvent ? Ejaculer sur les gens depuis les arbres ? > fait la femme avec un sourire narquois. < Vous avez une pièce d'identité, monsieur ? > fait le grand gaillard moustachu.

Une fois de plus, Dédé-la-Lopette était pris en flagrant délire...

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