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Les chroniques de Super Zob - Le Zob Masqué - Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
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Les chroniques de Super Zob - Le Zob Masqué -

Chers amis, toujours sous l'égide de l'humour et de la dérision, découvrons
ensemble quelques amusantes déviances de nos contemporains.

Ces chroniques, tirées de faits divers biens réels, seront relatées
à la suite, les unes des autres, de ce premier sujet posté.
Chaque nouvel opus sera donc posté à la suite de celui-ci.
A chaque fois que ce dernier passera en page 2.

Gardons présent à l'esprit que le sexe, sans humour, reste d'une infinie tristesse.

Bien évidemment personne n'est obligé de lire ce qui ne l'intéresse pas...

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Il se masturbait devant les vaches du père Grégoire


Les gendarmes de Jouy-sur-Lucette ont procédé dimanche
à l'arrestation d'un exhibitionniste.
Ce dernier, le pantalon descendu, se masturbait devant les
vaches du père Grégoire.

Depuis quelques semaines, le père Grégoire avait constaté
que le lait de ses vaches tournait dès la traite du matin.
Désirant en avoir le cœur net, le père Grégoire s'est dissimulé
derrière l'étable dans l'enclos de ses 60 vaches.

Il a immédiatement prévenu les forces de l'ordre qui sont
intervenues toutes affaires cessantes.
D'après certains témoignages, l'individu se serait livré aux
mêmes agissements devant les chèvres de monsieur Seguin.

Une analyse ADN est en cours car les juments du centre
hippique ont une curieuse démarche depuis quelques temps.
Des témoins affirment que l'individu s'en prenait également
aux poules des poulaillers de la région.

Pour le moment, les truies de l'élevage industriel de porcs
de Saint-Martelin, ne présentent aucun signe d'agressions
sexuelles.

Lorsque la gendarmette s'est présentée, l'exhibitionniste,
écartant les pans de son déguisement de Dark Vador, s'est
exclamé : < Et un sabre laser comme celui-là, tu en as
déjà vu ma cocotte ? >.

L'individu a été déféré au parquet après dépôt d'une plainte.
La plainte est toujours près du parquet...
Notre exhibitionniste a été relaxé au bénéfice du doute.
En effet, aucun texte de loi ne sanctionne des faits
d'exhibitionnisme devant animaux.

Le père Grégoire, furax, s'est écrié : < Salop ! >
A la sortie de sa garde à vue, l'exhibitionniste à rigolé.

L'exhibitionnisme devant animaux n'est pas un délit.
Aussi, notre lascar a déjà été vu au jardin zoologique.

Madame Marthe, la boulangère, s'est écriée : < C'est une honte ! >

Le Zob Masqué


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Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/02/16 09:02 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
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Les Chroniques de Super Zob - Le Zob Masqué -

L'apparition de Saint Valentin rassure les villageois - (Les origines du mal) -


Dans le petit village de Jouy-sur-Lucette,
rien ne va plus. C'est une calamité terrifiante.
Les bêtes refusent de se reproduire...

Adieu, veaux, vaches, cochons, poules et lapins.
Une fatalité semble s'être abattue sur le bourg.
Les habitants ont perdu le sourire.

Le phénomène est apparut vers le début du printemps.
Le taureau refusait d'aller à la vache.
Le porc refusait d'aller à la truie.
Le lapin refusait la pine...

Josiane refusait la pipe aux moines du monastère voisin !

Même le coq, véritable partouzard, refusait les poules.
Le curé n'allait plus confesser les bonnes sœurs.
Même l'instituteur laissait la petite Emilie tranquille...

Tout semblait aller de travers au village.

C'est ce matin de mercredi que le miracle eut lieu.
Là, sur le haut de la colline, devant la chapelle,
apparut soudain un beau jeune homme. Radieux !

Vêtu d'une veste à rayures verticales,
d'un pantalon blanc, coiffé d'un canotier,
chaussé de souliers à guêtres, il se mit à chanter.

En entonnant "National 7" de Charles Trenet,
l'inconnu fit revenir le sourire sur les lèvres.
Même celles de madame Marthe, la boulangère.
Maurice, le boulanger, ouvrait déjà sa braguette.

Soudain, le taureau monta la vache.
Le porc montait la truie, le lapin la pine,
le coq retourna à ses partouzes, le cheval
monta la jument, le curé sa bonne et
monsieur le Maire fit venir Valentine dans son bureau...

Le beau jeune homme, qui faisait se pâmer les femmes,
chantant de sa voix archangélique, se présenta enfin :
< Salute les filles, je suis Saint Valentin ! Qui baise ? >

Il invita les jeunes filles intéressées à en savoir plus
et à le suivre dans sa caravane, garée derrière la chapelle.

Depuis ce jour, le bonheur est revenue dans le bourg.
Hosanah firent les archanges en soupirant dans le ciel.
Hallelujah répondirent les anges descendus sur terre,
pour rejoindre Saint Valentin dans sa caravane.

Les villageois, les uns dans les autres,
en pleine rue, observaient les mouvements
impressionnants que faisait la caravane...

Depuis ce jour Saint Valentin est fêté un peu partout...


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Si on clique sur l'image, on découvre un lieu superbe. Si on aime les lieux superbe. Clic à gauche...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 14/02/16 10:05 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
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A la Saint Claude, le 15 février, si tu aimes la saucisse de Morteau


Le petit village de Saint Claude


Si le lecteur regarde attentivement son calendrier,
il découvre, non sans une profonde émotion, que
le 15 février, nous fêtons la Saint Claude.

Et, après la Saint Valentin, la Saint Claude
trouve une véritable place de choix.
Tous les ans, aux mêmes dates...

Pour bien comprendre la passion que peut susciter
la Saint Claude, auprès de toutes celles qui aiment
marquer les évènements, il faut prendre connaissance
de l'anecdote suivante.

Saint Claude est un ravissant petit village du Jura.
C'est aussi un village ou se rencontrent des artisans du bois.
C'est dans ce village qu'on taille les meilleures pipes.

Le village de Saint Claude est la capitale de la pipe.
Et, pas loin, il y a la ville de Morteau.
Ah ! My Gode ! La saucisse de Morteau ! Un poème...

Les ignorants, les incultes ou encore les moins cultivés
ont longtemps cru que les meilleures pipes se taillaient
dans le Bois de Boulogne !

Que nenni !

Le bois de Boulogne occupe une partie du site
de l'ancienne forêt de Rouvray, à l'ouest de Paris.
Ce qui nous éloigne considérablement du Jura.

Les meilleures pipes ne se taillent pas dans
le bois de Boulogne mais dans la racine de bruyère.
Racine de bruyère que l'on trouve à foison sur
les belles chaumes des monts du Jura.

Il suffit de se baisser, à la fin de l'été,
en regardant avec attention qui est derrière nous,
pour ramasser de la belle racine de bruyère.

Comme cette période est également celle de la
cueillette des champignons, il faut rester méfiant.
En effet, c'est une fois baissé en avant que
la survenue d'un cueilleur de champignon peut
nous faire changer d'opinion sur certains de
nos congénères.

N'oublions pas que cette période voit également
l'ouverture de la saison de la chasse.

Un chasseur, froidement déterminé, désireux
de s'offrir une bonne pipe, peut perdre le
contrôle de sa gâchette et tirer n'importe quoi.

N'importe où ? Non, surtout à Saint Claude...


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Homme, 53 ans, France
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Gégé récupère des poils dans les toilettes publiques


Il possède plusieurs albums pour sa collection.
Ce sont de beaux albums reliés cuir de vachette.
C'est du plus bel effet. Chaque fois plus de 30 pages.

Sa collection est très originale et particulière.
Nous pouvons même prétendre qu'elle est unique.
Une collection qui s'étend sur quinze ans de "cueillettes".

Il fait ses courses dans les hypers marchés.
Là, discrètement caché dans les toilettes, il guette.
Il agit uniquement dans les toilettes "femmes".

Muni d'une loupe et d'une pince à épiler il scrute.
Il observe attentivement les lunettes des toilettes.
Il récupère ainsi quantité de poils de toute nature.

En une heure de "cueillette", il peut récupérer
jusqu'à cinquante poils d'origines diverses.
Il s'en saisit avec sa pince à épiler et avec soin.

Il dépose les poils récupérés dans une enveloppe.
Arrivé chez lui, il ouvre un album et commence ses collages.
Soigneusement datés les poils sont alignés et rangés.

Parfois, lorsqu'il a réussi à faire une photographie,
discrète, (et avec son smartphone), de la propriétaire
des poils, il colle le cliché au-dessus des poils.

Il leur donne d'amusant prénoms tout à fait fictifs.

Les photographies des propriétaires des poils pubiens
font l'objet d'un album spécial poétiquement intitulé :
< Poils de cul et poils de fions >.

Ses amis, lorsqu'ils viennent le visiter, lui demandent
toujours de leurs montrer sa magnifique collection.
Ses amis aiment à savoir où il en est...


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Pour découvrir les merveilleuses aventures de Gégé-la-Branlette, il suffit de cliquer sur ce lien : [www.bobvoyeur.com]

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Ci-dessous, nous avons un aperçu d'un dernier collage. Il suffit de cliquer sur l'image. Si on veut...



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Gégé mange du cassoulet avant d'aller à la messe


Tous les dimanches matins, il va à la messe.
Il ne croit pas du tout à toutes ces histoires.
Non, il va juste s'offrir un peu de bon temps...

La veille, le samedi, il va au supermarché.
Là, il fait l'acquisition d'une boîte de cassoulet.
Du cassoulet en boîte "premier prix".

Le cassoulet en boîte est une insulte au vrai cassoulet.
En plus, il réchauffe cette chose immonde au bain-marie.
Il ouvre la boîte qu'il dépose dans une casserole emplie d'eau.

Il mange ce plat immonde en buvant de la bière.
Une bière "premier prix", brassée en Chine.
Ensuite il mange des cacahuètes grillées à sec, (Made in China).

Toute la nuit, son intestin tente de digérer l'immonde.
Le lendemain matin, il se retient d'aller faire son caca.
Il s'habille es serrant les fesses pour aller à l'église.

Une fois installé au second rang, il garde les fesses serrées.
Cette contraction est douloureuse pour son ventre.
Il a envie de se déboutonner pour se décongestionner.

Puis, dès que le rituel commence, il se lâche, soulagé.
Il profite des chants pour passer à l'offensive.
Il émet son premier proute. Une vraie ignominie.

Rapidement l'odeur insoutenable se répand dans l'église.
Même l'officiant, devant son hôtel est incommodé.
Notre bougre lâche quelques "caisses" ignobles. Silencieuses.

La puanteur atteint son comble durant le sermon.
Le prêtre, du haut de sa chaire, cherche de l'oxygène.
Notre ami sévit alors en redoublant d'activité. Sournois.

Les effluves du cassoulet "Made in China" s'élèvent doucement.
Hosanna s'écrient les enzymes survivants de la digestion.
Hallelujah leurs répondent les bactéries incriminées.

La fin de la messe arrive enfin. La puanteur est à son apogée.
Notre larron s'est lâché comme un malade durant une heure.
Arrive le défilé des fidèles allant communier en psalmodiant.

Là, notre amateur de cassoulet donne dans le symphonique.
Il lâche quelques chapelets sonores du plus bel effet.
Souvent un Do, parfois en Si, il module longuement. Superbe.

Madame Marthe, la boulangère, en revenant, murmure :
< Petit saligaud, tu iras en enfer ! > dit-elle à son oreille.
Il répond : < Avec toute cette bande, ici, j'y suis déjà ! >

Pour enfoncer le clou, notre salopiot, se tournant vers Marthe,
s'écrie, en fin de rituel, à haute voix, devant tout monde :
< Tu pourrais t'abstenir de péter à l'église, salope ! >.

Heureusement que c'est la fin de la messe.
Tout le monde fait semblant de n'avoir rien entendu.
Les pratiquants sont contents de retrouver l'air frais.

Il a déjà tenté le Chili-con-carne, c'est efficace aussi.
Les raviolis gratinés au parmesan sont redoutables.
Il faut choisir avec soins. Toujours les premiers prix...


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Homme, 36 ans, France, Grand Est
Toc-toc Cas psychologique intéressant Mort de rire
Homme, 53 ans, France
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Les chroniques du Zob Masqué

Nous continuons à découvrir les blagues, les plaisanteries et les coups pendables de notre ami Gégé-la-Branlette.

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Gégé fait des trous avec son doigt dans les fromages

C'est la responsable du rayon "Frais" qui l'a surpris.
Depuis quelques semaines des clients venaient se plaindre.
Des caissières faisaient également remonter l'information.
La gérante du Super U a donc décidé de prendre des mesures.

Madame Josiane Frouchiez, la gérante a donné des consignes.
Denise Foutrar, la responsable du rayon fromage était prévenue.
Discrètement dissimulée derrière les congélateurs à glaces,
Denise Foutrar surveillait son rayon. Les boîtes de camembert.

L'individu est arrivé vers dix heure, ce matin de mardi.
Posant son sac à provisions, il tâtait quelques fromages.

Ouvrant les couvercles de chacune des boîtes, il sortait les fromages.
Puis, à l'arrière, il enfonçait son index profondément.

Chaque fromage, percé, marqué au cul, était remis dans sa boîte.
Le quidam refermait la boîte en y remettant le couvercle.
Il se reniflait le doigt en haussant les épaules et
en marmonnant. L'essuyant discrètement aux manteaux des clientes.

Ce qui parut rapidement étrange au personnel, c'était la marque de camembert choisie.
Toujours la même. Jamais une autre.

En effet, ce n'était qu'une seule et même marque qui semblait être la cible du quidam :
les camemberts "Président".

Lorsque Denise Foutrar intervint pour demander à l'inconnu
s'il comptait acheter les fromages troués de son doigt, ce
dernier, comme outré, scandalisé, se mit à hurler !

Reprenant son sac à provisions, il quitta le rayon en gueulant :
< Le Président, je lui mets le doigt ! >

Josiane Frouchiez, cachée derrière les panières, observant la scène, reste sans voix...

Aux dernières nouvelles, le quidam a une "spécialité".

Avant de pratiquer ses actes de terrorismes fromagers,
il se rend toujours aux toilettes du supermarché.
Là, dans la solitude carrelée, bercé par la musique lénifiante,
il s'enfonce le doigt dans le cul. Profondément en tournant.

S'étant laissé poussé l'ongle de l'index plus que de raison,
il peut ainsi consciencieusement racler son intimité.
Sous son ongle long, il y a suffisamment de miasmes,
de petites "parti-cul" ou de molécules pour "contaminer".

Ce stock de petites "choses" sous l'ongle, bien collées au doigt,
il peut assurer une dizaine de trous avant de retourner au WC.
C'est Denise Foutrar, la responsable du rayon fromage
qui l'a suivi tout au long du processus créatif qui l'affirme.

Il va "recharger" son doigt tous les dix camemberts.


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Homme, 53 ans, France
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Gégé-la-Branlette continue de faire ses blagues douteuses.

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Gégé met son sperme dans des yaourts avec une seringue


C'est la troisième cliente à ramener ses yaourts.
Des packs de six d'une marque bien connue.
La gérante écoute et observe avec attention.

La réputation du supermarché est plutôt bonne.
Dans le guide du routard, ils en disent du bien.
Le soucis de la gérante est de conserver ses étoiles.

Le yaourt du milieu a été marqué d'un petit trou.
Un trou minuscule sans doute fait avec une aiguille.
En décollant l'opercule, c'est la surprise.

Un liquide visqueux et jaunâtre flotte en surface.
L'odeur fait penser à du poisson, du thon.
La gérant décide de renvoyer les yaourts.

Le fabricant reçoit les retours avec surprise.
Il est décidé de soumettre le produit à l'analyse.
C'est un laboratoire indépendant qui s'en charge.

Les résultats de l'analyse sont sans appel.
C'est du liquide séminal ainsi que du sperme.
Substances provenant d'un seul et même individu.

Le supermarché est prévenu. Plainte est déposée.
Entre temps quatre autres packs ont été ramenés.
Même madame Marthe, la boulangère a ramené le sien.

Josiane Frouchiez, la gérante, se cache au rayon pain.
Denise Foutrar, responsable des yaourts se cache aussi.
Les deux femmes guettent les allées et venues.

C'est vers neuf heure quinze, que notre lascar arrive.
Discrètement, de son cabas, il sort un pack de yaourts.
Il le change contre un autre. Il continue ses courses.

La gérante prévient le vigile. Un grand Black balaise.
Ce dernier intercepte l'individu à la caisse No 8.
Il l'invite à le suivre dans le local des fouilles.

Là, posés sur le bureau, il y a sept packs de yaourts.
La gérante arrive, soulagée d'avoir solutionné le soucis.
< Il faut consulter un psychiatre ! > fait la dame.

Pour toute réponse le quidam garde le silence.
La police arrive et embarque notre salopiot mutique.
Au poste, interrogé, il commence enfin à s'expliquer.

< Je déteste les yaourts "natures", alors je "parfume" ! >.
Il sera poursuivit pour dégradation de yaourts.
L'agent qui tape la déposition, précise < Au sperme ! >


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Homme, 53 ans, France
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Il braque la boulangerie, braguette ouverte


C'est à la boulangerie que le braqueur s'est fait prendre.
C'est la jeune vendeuse qui a reconnu Benoît Chauzemolle.
Le braqueur, ayant oublié de fermer sa braguette,
était occupé à récupérer les petits pains au chocolat.

Debout, sur la pointe des pieds, pour attraper les
petits pains, Benoît Chauzemolle n'a pas fait attention.

Dans son effort, son sexe a soudain jaillit !
Les clientes de moins de 25 ans étaient admiratives.
Les autres ont préféré détourner les yeux.
Toutes ont vu le membre du braqueur. Très moyen...

C'est à ce moment là que la jeune vendeuse a reconnu
Benoît Chauzemolle.
En effet, Benoît, sur son sexe a un tatouage.
Un tatouage qui est familier à la jeune vendeuse.

Découvrant l'ancre de marine, tatouée juste au-dessus
de la formule " A Lulu pour la vie", la jeune vendeuse
s'est rappelée s'être amusée avec l'objet, samedi soir.

Malgré son masque de Dark Vador, la jeune vendeuse
a donc bien reconnu Benoît Chauzemolle.
La gendarmerie n'a donc eu aucun mal à mettre
la main sur l'individu. La gendarmette était ravie.

La totalité du butin a pu être récupéré.
160 pains au chocolat. 170 pains au pudding.
Par contre, les croissants ont tous été mangés.

Le braqueur a été placé en garde à vue...

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LE POIL DE CUL DU CHEF - Danser
Sunday 28 February 2016 08:59

Oncle-Julien
Homme, 53 ans, France
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Elle met ses poils de cul dans les assiettes des clients - (Vendée 2014)

Le service d'hygiène de la ville, alerté par madame
Josiane Frouchiez, s'est déplacé ce mardi, à midi.
Madame Josiane Frouchiez et sa meilleure amie, madame
Denise foutrar ont l'habitude d'aller manger au restaurant.

Dans cet établissement, où les deux amies ont leurs
ronds de serviettes, elles dégustent les spécialités
mitonnées avec amour par un Chef réputé.

C'est en novembre, en même temps que l'ambiance du lieu,
que les choses ont commencé à changer. A se dégrader.

Depuis la cuisine des cris se faisaient parfois entendre.
Parfois même on entendait des insultes biens senties !
Qualité moindre, goûts édulcorés, odeurs désagréables,
tous les symptômes indéniables d'un changement rédhibitoire.

C'est mardi, en dégustant leur gratin toulousain
que les deux femmes découvrirent, avec horreur, des poils !
En effet, sur le gratin toulousain, composé de haricots
"lingots" et de saucisses, tout se voit. Pellicules, poils, etc...

En échangeant leurs impressions avec des voisins de table,
quelle ne fut pas leur stupéfaction. Les autres clients
trouvaient également des poils dans leurs assiettes.

Le chef, alerté, vint se rendre à l'évidence. En effet, dans
tous les plats, de tous les clients, flottaient des poils !

La commission d'hygiène, prévenue, vint faire des prélèvements.
Les agents, à l'aide de petites pinces, plaçaient les poils
avec précautions, dans de petits flacons réservés à cet usage.

L'après-midi même, le restaurateur fut prévenu des résultats.
Le laboratoire était formel, les analyses indéniables.

C'étaient des poils de cul !

La plupart d'entre eux, encore maculés de matières fécales,
présentaient des petits "grelots" collés aux racines !

La police, prévenue, vint faire, sur commission rogatoire
du juge chargé de l'enquête, des prélèvements ADN sur le
personnel.

Le lendemain, les résultats, imparables, dénonçaient la
coupable. Madame Chantal Mouyet, la patronne ! Femme du patron !
En larme, au commissariat, Chantal Mouyet avouait être
profondément jalouse de la maîtresse de son mari. Reniflant.

Pour se venger de Natacha Passesky, sa rivale, et faire "couler"
le restaurant, depuis plusieurs semaines, elle agissait ainsi.
Elle pratiquait cette vieille tradition Cul-inaire et
gastronomique connue sous la formule amusante de :

LE POIL DE CUL DU CHEF

Donnant un luxe de détail sur cette pratique ancestrale, Chantal Mouyet avouait récupérer des poils de cul dans des WC publics. Les
toilettes "à la Turc" avaient toutes ses préférences...

Certaines de ces amies étaient sollicitées pour faire don de
leurs poils de cul. Surtout si elles étaient atteintes de
gastro-entérites, de mycoses anales ou encore d'hémorroïdes.

Placée en garde à vue, Chantal Mouyet avouait ne rien
regretter. Précisant aux policiers qui prenaient sa déposition :

< C'est bien fait pour ce salop ! Je lui ai donné les plus belles années de ma vie ! >

Le cheveu qu'elle avait sur la langue, la faisant zozoter,
elle rajouta, sournoise : < c'est une histoire merdique ! >


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Homme, 53 ans, France
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Des glaçons au sperme dans son congélateur


Gégé-la-Branlette, aime à concocter des glaçons au sperme.
Glaçons au sperme qu'il conserve dans son congélateur.
Lorsque Gégé est invité à des soirées "étudiantes",
dans une glacière, il emmène avec lui ses fameux glaçons.

Arrivé sur place, il demande à mettre ces glaçons au frais.
Il se propose de s'occuper du bar. En bénévole bien sûr.
Là, tranquillement, Gégé peut agir à sa guise. Barman !
Amusé, il écoute les conversations des filles. Etonnantes.

Gégé-la-Branlette, sournoisement, oriente les conversations.
Il évoque parfois les rapports génitaux buccaux. La fellation.
Amusé, il entend des filles prétendre que jamais, oh non
jamais, elles ne pratiquent ce genre de choses...

Gégé, ravi, observe alors longuement ces jeunes filles.
Il les regarde déguster leurs boissons contenant les glaçons.
Souvent, ce sont les plus frimeuses qui consomment le plus.
Coca, jus de kiwi, nectar de mangue et toujours les glaçons !

Pour la fabrication de ses glaçons, Gégé suit sa recette.
Toujours la même. Dans un gobelet contenant de l'eau,
notre ami se masturbe tranquillement. Puis il verse le
contenu du gobelet dans le bac à glaçons du congélateur.

Les glaçons se conservent indéfiniment avec leur contenu.
Gégé garde jalousement ce secret car il lui procure
d'incroyables fous rires et des moments étonnants.
En écoutant toutes ces étudiantes bon-chic et bon-genre.

Les glaçons au sperme, une spécialité très appréciée.
Tant par les barmans plein d'humour que par les farceurs.
C'est d'ailleurs une "pratique" assez fréquente. Tant dans
les soirées étudiantes que dans les "Clubs" parties !


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Il pisse dans les plantes du concierge de l'immeuble


Depuis quelques jours l'odeur, dans le hall d'entrée
de l'immeuble "Le Printemps", devient pestilentielle.

Madame Marthe, du quatrième étage, se plaint
depuis plusieurs jours auprès du concierge.
Monsieur Maurice, retraité de la SNCF, habitant au
troisième étage, sent l'odeur depuis l'ascenseur.

Denise Foutrar, la dame du cinquième étage, se
pince le nez en passant dans le hall d'entrée.
Benoît Chauzemol, lorsqu'il rentre de son jogging,
le soir, est incommodé jusqu'à l'envie de vomir.

Josiane Frouchiez, la jeune femme du second étage,
lorsqu'elle rentre le soir, est prise de nausées.
Le concierge de l'immeuble résidentiel veut
en avoir le cœur net. D'où peut bien venir cette odeur ?

Une odeur méphitique, âcre, qui imprègne les vêtements.
Quelle peut donc être la cause de cette réelle puanteur ?
Le concierge se cache dans la montée de l'escalier.
De là, entre les deux battants de la porte, il guette.

Il est dix heure du matin lorsque arrive, en sifflant,
Kevin Pissandlove, du sixième. (Le gars qui fume des pétards
et qui jette les mégots de ses joints depuis son balcon).
Bref, le parasite de l'immeuble résidentiel "Le Printemps".

Kevin Pissandlove, regardant furtivement autour de lui,
se débraguette et se met à pisser dans les jardinières.
Ces pots rectangulaires ou le concierge fait pousser
les magnifiques plantes qui ornent le hall d'entrée.

Tout en lâchant un chapelet de proutes sonores et puants,
Kevin Pissandlove vise soigneusement les beaux Yukas.
Il éclabousse le mur, le carrelage et en met partout.

Surgissant de sa cachette le concierge se précipite.
Remballant son tuyau d'arrosage, mouillant son slip
et son pantalon, le petit salop essaie de se sauver.

Trop tard, monsieur Jean-Paul, qui revient des courses
son cabas à la main, bloque le salopard par le bras.
Kevin Pissandlove, pris en étau entre les deux hommes
se met à gueuler comme le porc qu'il est. Il hurle.

Le concierge lui demande de changer la terre des pots
et de remettre tout en état. Sinon, c'est dépôt de plainte !
< Je vais te donner tout le matériel, gros dégueulasse ! >
Kevin Pissandlove, honteux, jure qu'il fera le nécessaire.

Le salopiot s'y engage. Madame Marthe arrive à ce moment.
Regardant la coulure de pisse sur le pantalon du bougre,
la Dame comprend immédiatement qu'il y a eu flagrant délit.
Kevin Pissandlove est prié de s'exécuter de suite...

Tout le monde, dans l'immeuble, sait maintenant qui est
l'auteur des nuisances olfactives du halle d'entrée.
Personne ne le salue plus et Kevin Pissandlove a changé son
comportement. Surtout après la visite de la police !


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Il éjacule dans les boîtes aux lettres des femmes

Josiane Frouchiez est allée au commissariat de police.
C'est la troisième lettre maculée de sperme cette semaine.
Denise Foutrar a été porter plainte vendredi dernier.

Dans l'immeuble un type éjacule dans les boîtes aux lettres.
Ce sont toujours les femmes seules qui en sont victimes.
Madame Marthe, la boulangère n'en peut plus. Douze fois !

Ces faits ont lieux trois à quatre fois par semaine.
Cela a commencé en décembre de l'année dernière.
Les enveloppes des factures et du courrier sont tachées.

Le concierge a été prévenu par les agents de police.
Aussi, ce dernier installe une mini caméra dans le hall.
Cet appareil minuscule fonctionne depuis lundi matin.

Ce sont les images de mardi qui sont révélatrices.
On y voit un type, style caillera, encapuchonné.
L'individu se place contre les boîtes aux lettres.

Sur le film, on aperçoit les agissements du type.
Il est droitier. Il a un mouvement "mécanique" du bras.
Cela ne dure guère plus d'une trentaine de secondes.

Le concierge regarde les images avec attention. Perplexe.
Les deux policiers font un rapport. L'un d'eux précise :
< Nous avons affaire à un éjaculateur précoce ! >.

Le lendemain les policiers se cachent derrière une porte.
L'inconnu arrive. Même scénario. Il se débraguette.
Il introduit son sexe dans une des fentes horizontales.

Les deux policiers surgissent. C'est un flagrant délit.
L'individu est emmené au poste. Garde à vue de 24 h !
Il est interrogé par le commissaire Deburne.

Il ne peut apporter aucune explication à ses agissements.
Il se déclare simplement < Défenseur des libertés >.
Aucune loi n'interdit l'éjaculation en boîtes aux lettres.

Il est donc invité à consulter un psychiatre.
Il devra pointer au commissariat une fois par semaine.
Il est prié de ne pas recommencer sous peine de poursuites.

Dans l'immeuble, personne ne lui dit plus bonjour.
Sauf la petite brune du troisième qui lui fait des sourires.
Dans l'escalier, elle lui fait même des clins d'œil.

Dans l'ascenseur elle lui a dit, en regardant sa braguette :
< J'ai le courrier d'un con de huissier dans ma boîte ! >
Elle a rajouté : < Je vous en prie, faites vous plaisir ! >


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Il défèque dans des bocaux confiture vides


C'est la gérante du supermarché qui a été prévenue. Josiane Frouchiez était à présent informée.
Le responsable du rayon confitures a fait la découverte, hier, sur les rayons, parmi les bocaux de confitures.

Déposés derrière les pots de confitures, le responsable a découvert quantité de bocaux contenant des cacas.
Oui ! Des cacas bien enroulés sur eux-mêmes. Des "créations" en bocal. Artistiquement présentées.
Des cacas, tous déposés dans des bocaux de... confiture ! Comme les < Merda Artista > de Piero Manzoni (Voir Google).

Artistiquement enroulés dans des bocaux de confiture.
Que le lecteur se rende compte de la consternation du personnel.

Ce sont des clientes qui, depuis quelques jours, se sont aperçues que quelque chose était étrange.
Les cacas, parfaitement déposés dans des bocaux soigneusement étiquetés, n'attiraient pas l'attention.

La découverte des bocaux étiquetés "Caca-Pizza", "Caca-Lasagne" ou encore "Caca-Ravioli" était stupéfiante.
Le responsable, qui a voulu en avoir le cœur net, a prévenu sa hiérarchie. Josiane Frouchiez était écœurée.

Dissimulés derrière le rayon du pain, la gérante et le responsable guettaient l'arrivée du "déposant".
Mercredi après-midi, enfin, ils tombèrent sur le "chieur". Une histoire merdique allait trouver son terme.

Un quadragénaire, très bien de sa personne s'arrêta là.
Sortant un bocal de son cabas, il le déposa derrière les pots de confiture.
Regardant à gauche et à droite, certain de ne pas avoir été vu, il s'en alla rapidement.

La gérante et le responsable se précipitèrent au rayon.
Là, ils découvrirent un nouveau bocal. Encore tiède !
Portant l'étiquette "Caca-Boudin-choux-fleur", le pot venait d'être déposé à l'insu de tout le monde.
En apparence...

La gérante téléphona au vigile pour le prévenir. Pour lui donner le signalement du type à intercepter.

Le vigile, prévenu, invita le quidam, à le suivre après l'avoir laissé payer ses achats à la caisse.
Il le fit rentrer dans le bureau. Le local où on fouille les voleurs.

Dans une armoire métallique, dont il ouvrit les portes, il montra à notre homme plus de trente bocaux.
Trente bocaux trouvés au rayon des confitures ! Trente "œuvres" déposées sur les étagères.

< C'est toi l'auteur de tout ça ? > Demanda t-il.

Il y avait là "Caca-Frite", "Caca-Saucisse", "Caca-Paëlla", "Caca-Glace", "Caca-Couscous" ou encore "Caca-Cassoulet" !

< C'est chiant des mecs comme toi ! Tu emmerdes le monde !> lui fit le vigile.
Le vigile, un grand black, balaise et patibulaire, invita le quidam à s'asseoir.
< Assieds-toi, et ne fais pas chier ! > lui précisa encore le grand balaise.

Plainte avait été déposée. La police arriva pourembarquer l'inconnu.
En partant, ce dernier se retourna. Il lança en l'intention de la gérante :
< Ah vous, hein ! Vous êtes vraiment chiante à me chercher des merdes ! >...


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Elle colle ses crottes de nez partout aux murs


Josiane a une passion. Elle y consacre son temps.
Josiane adore l'ambiance des salles d'attente.
Pas un jour sans qu'elle n'en fréquente une ou deux.

Que ce soient les salles d'attente des médecins,
des dentistes, des vérinaires ou des kinésithérapeutes,
Josiane aime à les hanter, à les "vivre", à les habiter.

Josiane aime feuilleter ces vieux magazines
qu'on y trouve. Les pages écornées, pleines de
miasmes, de microbes et de glaviots divers
lui procurent de délicieux frissons.

Lorsque Josiane est seule, elle peut tout à loisir
satisfaire un impérieux besoin qui remonte à
son adolescence perturbée par un père, curé du village.

Josiane se cure le nez. Soigneusement, avec l'index
dont elle a laissé pousser l'ongle au-delà du
raisonnable, elle se fouille les narines.

Parfois, avec ce sentiment de victoire bien compréhensible,
Josiane retire un véritable petit étron. Une merveille
qu'elle colle alors à un des murs de la salle d'attente.
Elle prend une photographie dès que possible.

Josiane sait les salles d'attente où il n'y a pas
grand monde. Médecins pourraves, vétérinaires alcooliques,
dentistes atteints d'un parkinson ou encore kinés agités
de tic et victimes de troubles obsessionnels compulsifs.

Partout où attend Josiane, les murs sont maculés
d'adorables petites croutes sèches. Collées avec élégance
ces petites crottes de nez font rires les gamins.

Josiane, depuis peu, se cure le nez dans les bus.
Là aussi, elle peut coller ses petits "Mickey"
sur les sièges, les fenêtres où encore sur les vêtements
des gens assis devant elle. Les gosses rigolent.

Josiane éprouve une aversion profonde pour la société.
De tendance radicale socialiste, Josiane a développé
quelques tendances anarchistes. Elle a même voté
François rien que pour faire chier le monde.

Animée de ce profond désir d'en découdre, elle
profite de ses rhumes pour en coller les coulures
partout où elle le peut. La narine au vent.

Partout, avec son smartphone, elle prend
ses chef-d'œuvres en photo.
Sa collection emplie trois albums.

Elle a cessé de manger ses crottes de nez pour en faire profiter les autres...


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Ci-dessus, une crotte de nez au bout du doigt de Josiane...

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Il se déguise en curé pour confesser les femmes

Il s'est introduit de nuit dans le presbytère de l'église St Nibar
Là, dans une armoire, il a dérobé une vieille soutane noire.
< C'est toujours ça qu'un pédophile n'aura pas ! > s'est-il dit.

Samedi après-midi, à l'heure de la confession, il est à l'église.
Il entre dans un des confessionnals avec son smartphone.
L'appareil règlé sur la fonction "enregistrement". < Record >.
Parmi les deux, il a choisi le confessionnal de gauche.

Il attend les confessions des jeunes femmes du bourg.
Il est quatorze heure, le vrai curé s'installe dans la seconde cabine. A droite.
Les premiers fidèles arrivent. Ils ont un air culpabilisateur et craintif.
Sept jeunes femmes, plutôt mignonnes, trois vieux mecs déglingués.

Il attend, le cœur battant l'arrivée de la première pêcheresse.
Dix personnes sont assises sur les bancs de l'église St Nibar.
Mais c'est Maurice Lamolle, 60 ans, qui entre dans le confessionnal.
Il est obligé d'écouter les branlettes et les saloperies de Maurice.

Il lui préconise de faire un avé et deux pater et de rester peinard.
Puis, arrive Benoît Chauzemol, 65 ans, retraité des postes.
Là aussi, il est obligé d'écouter les confessions du préposés des postes.
Il s'entend raconter les tournées libidineuses du facteurs.
Les pipes de Josiane, la veuve, lorsqu'il lui emmenait les mandats.

Enfin, il arrive à faire sortir Benoît. < Deux Avé et Trois pater ! > lui fait-il.
Puis arrive Laurent Gina, 71 ans, retraité de la fonction publique.
Là aussi, il doit se farcir les confessions consternantes du larron.
Les mains au cul à la nièce. Troussage de jupon à la salle polyvalente.
Promotion canapé qu'il imposait aux jeune filles stagiaires.

La confession cesse. Toutes les femmes sont allés chez le vrai curé.
En fait, il ne savait pas cette règle immuable et ancestrale.
Les femmes se confessent à droite, les hommes se confessent à gauche...


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Serait-ce notre ami voyeur Gégé-la-Branlette ?

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Il met des photos de cul dans les livres, à la bibliothèque


Pour quelques sous, il achète des vieux magazines.
Des magazines danois des années soixante dix.
Des photographies explicites et plutôt dénudées.
On y voit des gens pratiquer le kamasutra en "live".

A l'aide d'une paire de ciseaux, chez lui, il découpe.
Ses magnifiques découpages sont remarquables de soins.
On y voit des dames et des messieurs en "positions".
C'est direct, hard, en couleur et bien photographié.

Il est rapidement en possession d'une trentaine de clichés.
Il les dépose soigneusement dans un porte-feuilles.
Les jours de pluie, il s'empare de ce porte-feuilles.
Il se rend à la bibliothèque municipale de sa ville.

Là, discrètement installé devant les rayonnages, il lit.
Du rayon "cuisine", au rayon "sciences", rien ne lui échappe.
Au hasard des pages d'un ouvrage, il dépose une photographie.
Un de ces clichés pornographiques soigneusement découpé.

Lorsqu'il a déposé ses trente photos, il se met à l'écart.
Il observe les femmes. Celles qui feuilletent un livre "marqué".
Son smartphone à porté de main, il est prêt. Vicelard.
Ce sont les réactions des lectrices qui suscitent sont intérêt.

Il arrive qu'une jeune femme tombe sur un livre "marqué".
Il filme alors la scène. La jeune femme feuillette.
Soudain, là, du bouquin tombe une des photographies.
La dame découvre donc la position dite du "Bœuf congolais".

Parfois, la lectrice consternée découvre la "Brouette javanaise".
Il arrive encore qu'en remettant la photo en place, elle sourit.
Lorsque la lectrice scrute avec attention, notre ami filme.
Car il y a quelques petites coquines que cela intéresse beaucoup.

Hélas, il arrive aussi qu'il tombe sur une "coincée. Pénible.
Une de ces lectrices sans humour, une "peine-à-jouir". Vilaine.
Il la voit se rendre à l'accueil pour montrer le livre.
Vicieuse, elle montre la photo aux responsables consternés.

Notre découpeur a déjà "marqué" plus de cinq cent bouquins !
Il est possesseur d'une dizaine de films "évocateurs".
Les "actrices" sont souvent superbes et "jouent" très bien.
Par contre, il sait qu'a été mise en place une surveillance.

Pour rire, il a filmé une de ces acariâtres, "fait-la-tronche".
Il rit comme un fou à la voir ramasser la "pipe" de Saint Claude.
Cette photographie ou on comprend la valeur de la poésie orale.
Cela semble révulser la dame qui se précipite à l'accueil...

Il regarde le fruit de son labeur sur l'écran de son téléviseur.
Parfois, il fait des montages très adroits et très habiles.
On voit ce que découvre la lectrice et on voit la photographie.
En fondu enchaîné du plus bel effet.
Avec Windows Movie Maker...

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Il urine dans des bouteilles de soda

Tous les jour, au supermarché, il achète du soda.
Un de ces sodas célèbres et de marque américaine.
Il en prend une bouteille en plastique de deux litres.

Arrivé chez lui, il verse un peu de ce soda dans ses WC.
C'est un excellent déboucheur et un bon détartrant.
Il y verse un litre et laisse un litre dans la bouteille.

Durant la journée, il urine dans la bouteille.
Il réajuste ainsi le niveau initial. Deux litres !
Le lendemain, il retourne dans son supermarché.

Discrètement, il replace la bouteille parmi les autres.
Il en prend une autre et s'en retourne tranquillement.
Ce manège dure maintenant depuis deux semaines.

C'est une mère de famille qui a été alertée par le goût.
L'absence de bulles et l'insipidité ont attiré son attention.
Elle a ramené la bouteille et a demandé des explications.
La gérante est restée dubitative et évasive.

Depuis huit jours, huit bouteilles ont été ramenées.
Madame Marthe la boulangère s'est plainte d'avoir vomi.
Monsieur Jacques, le pharmacien a procédé à une analyse.

Pour en avoir le cœur net, un laboratoire a été contacté.
Les résultats sont sans appel, il y a de l'urine dans le soda.
La gérante a donc porté plainte au commissariat.

Une policière, en civile, est restée dissimulée au rayon pain.
La gérante restait cachée au rayon des gâteaux apéritifs.
Notre lascar arriva enfin. Procédant à l'échange habituel.

Ce fut donc sous le coup d'un flagrant délit qu'il fut arrêté.
Intercepté à la caisse No 8 par un vigile black et balaise.
Sur le bureau, huit bouteilles soigneusement alignées.

< Pourquoi pisser dans du soda d'origine américaine ?>
Demanda la policière à notre salopiot assis au bureau.
Il regardait les bouteilles en gardant un silence obstiné.

< C'est de l'anti américanisme primaire ! > dit-il enfin.
< Pardon ? > lui demanda la policière consternée.
< Oui, je pars en guerre contre Monsanto ! > dit-il encore.

C'est au poste qu'il déposa ses motivations profondes.
< J'ai fais des examens d'urine, tout va bien ! > assura t-il.
Il n'y a aucune loi contre la pisse en bouteille.

Notre anarchiste pisseur fut donc relâché dans l'après-midi.
Avec obligation de se soigner. Tout de même !
Si votre soda présente un goût curieux, maintenant vous "savez" !


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Il dérobe les petites culottes sales des étudiantes

Tous les jeudis, en fin de matinée, il visite sa mamie.
Sa mamie est gardienne d'un des immeubles de la faculté.
L'immeuble résidentielle des étudiantes en sciences.

Il arrive en général vers midi moins le quart.
Il emmène le dessert. Toujours un gâteau au chocolat.
A cette heure-ci, l'immeuble est presque désert.

Les filles, après les cours, mangent au restaurant.
Le restaurant universitaire qui est situé juste à côté.
Sa mamie profite de sa présence pour faire ses courses.

Il est donc seul pendant une demi heure. Elle est au Lidl.
Il est censé surveiller les pizzas au four. A la mozzarella.
Il s'empare alors du trousseau de clefs. Lourd et encombrant.

A ce trousseau est accroché le fameux "passe-partout".
Il monte au troisième et dernier étage. Il vérifie bien.
Il est certain qu'il n'y a personne. Il écoute aux portes.

Dans chaque couloir, il y a huit chambres d'étudiantes.
Il ouvre chacune des portes et s'introduit dans les lieux.
Il se saisit des culottes sales dans les paniers à linge.

Sa préférence va aux petites culottes portées deux jours.
Les plus négligées portent leurs culottes trois jours.
Avec sa spatule en bois, il aime à en racler les fonds.

Il fait les trois étages car il connaît les lieux.
Rapidement il a son petit sac à dos plein de culottes.
Lorsque sa mamie revient il a préparé la table.

Ce petit manège dure depuis trois semaines.
Les mamans des filles se posent bien des questions !
< Tu n'as plus de culottes à laver ? > demandent-elles.

Les filles inventent des prétextes du genre :
< Ne t'inquiète pas maman, je les lave à la main ! >.
Ou encore : < Maman, mes culottes sèchent à la piaule ! >

Pourtant, les filles commencent à en parler entre elles.
Ces mystérieuses disparitions alimentent les conversations.
Les étudiantes ont décidé de s'organiser. Elle veulent savoir !

A tour de rôle, une fille assure le guet à un étage.
Elles ont compris que les choses se passent le jeudi.
Ce jeudi, elles sont deux, planquées dans un placard.

Notre salopiot arrive sur la pointe des pieds. Prudent.
Il pénètre la chambre où sont cachées les filles. Silencieux.
Il soulève le couvercle du panier à linge. Il renifle un peu.

La première fille surgit du placard smartphone à la main.
Elle photographie notre fétichiste en mode "répétition".
Notre larron, fait comme un rat, s'enfuit. Trop tard.

Les filles des étages inférieurs bloquent les issues.
L'une d'entre elles téléphone au commissariat.
La mamie arrive et découvre le lascar entouré de filles.

Dans les cris et une certaine fureur, la mamie fait :
< Tu fais "célèbre" maintenant, entouré de toutes ces filles ?>.
La police arrive. La mamie regarde notre ami se faire embarquer.

Les filles lui expliquent la raison de ce chahut.
La mamie, consternée, apprend la vérité. Elle s'assoit.
Ainsi son "visiteur" est un collectionneur de petite culottes!

Les plus négligées, contentes de récupérer leur bien se disent :
< Ouf, l'honneur est sauf ! Personne n'en saura rien ! >
Les autres auront du linge sale pour leur maman attendrie...


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Il se prétend grand Serge Lama Tibétain du Népal

Il se promène vêtu d'une toge rouge et ample sous laquelle il est nu.
Il s'est rasé le crâne et affiche en permanence un sourire de crétin.
Il s'est bridé les yeux avec de la colle forte UHU et instantanée.

Il se promène dans les rues du centre ville une main levée vers le ciel.
Il a passé son autre main sous sa toge où il se tripote discrètement.
Comme le nom "Dalaï Lama" est déjà pris, il a cherché un autre pseudo.

Le nom de "Mathieu Ricard" est également déjà pris par un autre Lama.
Il a donc choisi le pseudonyme de Maurice Pastis pour faire Lama.
Il avance jésuitiquement dans les rues en psalmodiant < ÔMMMM >.

Il attire l'attention amusée des filles qui le suivent du regard en riant.
Maurice Pastis s'arrête parfois pour faire des courbettes, mains jointes.
Il se courbe ainsi devant les belles jeunes femmes qui s'en réjouissent.

Maurice Pastis, grand Lama tibétain n'est jamais sorti de son département.
Il vit dans le magnifique département enchanteur de la Seine-et-Garonne.
Il habite dans un appartement qu'il a entièrement décoré en monastère.

Sur un hôtel qu'il veut "sacré, au WC, il a placé la statue du Boudin assis.
Le Boudin a toujours inspiré Maurice Pastis. Pas sa sagesse. Par son allure.
Et la sagesse du Boudin se voit dans sa pose, assis en position du Lotus.

Il s'est d'ailleurs fait tatouer un Boudin assis sur sa fesse gauche.
Le Boudin marque la vie de Maurice Pastis jusque dans ses pensées intimes.
Il rêve de glisser du Boudin partout chez les autres. Surtout chez les filles.

Il a étudié les préceptes du Boudin et connaît toute son histoire.
Boudin Shakyamuni est né dans une famille royale en 624 av. J.C.
Qui était le Boudin ? Un sage ? Un guerrier ? L'équivalent de J.C. (Van Damme).

Il se courbe devant une ravissante jeune femme au coin de la FNAC.
Le mec de la gonzesse arrive par derrière et lui met son pied au cul !
< Aïe ! > crie t-il avant de partir en ayant perdu une de ses tongs bleues.

Maurice Pastis pense à changer de style. Il envisage de faire Lama Delon.
< Lama Delon, viens nous servir à boire ! > chantent ses autres amis Lamas.
Nul doute que la pensée profonde du Boudin l'ha-BITE...

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Il met ses poils de cul dans les pâtisseries

Cela fait maintenant trois jours que cela dure.
Des clients ramènent leurs pâtisseries en râlant.
Ils en ont assez d'y trouver quantité de poils.

Même Josiane Frouchiez a ramené ses Paris-Brest.
La dame de la pâtisserie a prévenu son mari.
Ce dernier découvre lui aussi les poils collés.

En effet, il y a des poils collés dans la crème.
Des poils collés sur les éclairs à la vanille.
Des poils collés sur les torches aux marrons.

Comme tout cela est-il bien possible ? C'est le soucis.
Aussi, le pâtissier demande à son apprentie de se cacher.
Là, derrière le rideau, la jeune fille peut surveiller.

Derrière le rideau qui sépare le magasin du salon de thé.
C'est vers dix heure du matin qu'il arrive. Notre bougre.
Il commande un café et deux croissants. Il lit son journal.

La jeune fille guette. Il ne sait pas qu'il est observé.
Il met sa main dans son slip et en ressort des poils.
Il fait pareil devant, il fait pareil derrière...

Rapidement, dans la petite assiette, il y a plein de poils.
Il se lève en ayant pris les poils dans sa main.
Il profite que la vendeuse soit occupée pour agir.

Il vient commander un troisième croissant.
C'est toujours le même rituel. Un simple prétexte.
C'est juste pour faire ses saloperies.

Discrètement, il tend la main et parsème ses poils.
Il les dispose en pluie sur les pâtisseries derrière la vitre.
Personne n'a rien vu, il est habile. Du moins le croit-il !

La jeune fille court prévenir son patron. Ce dernier rapplique.
Il se dirige dans le salon de thé où l'affreux lit son journal.
Il vient de manger son autre croissant. Il a tout payé.

< Espèce de salopard, c'est toi qui fout tes poils partout! >
C'est en hurlant ainsi que le pâtissier saisit notre salopiot.
Le tirant de sa chaise, il l'emmène au font de la réserve.

< Téléphone aux flics, je le garde au chaud !> fait le type.
Il maintient fermement notre lascar par son colbac.
Notre larron sent bien qu'il est fait comme un rat !

la police arrive et embarque notre glabre des couilles.
Le bougre monte dans le fourgon, assis entre deux policiers.
C'est au poste qu'il est prié de s'expliquer. Et vite !

Bien sûr, il n'a aucune explication à ses conneries.
Aussi, il se contente de secouer la tête comme un autiste.
Il lui est signifié qu'il sera poursuivi en justice.

C'est un peu la récompense pour "Le poil de cul du Chef".
Finalement, il trouve des mots pour expliquer ses méfaits.
< C'est pour rendre service aux grosses et aux gourmandes ! >

Il dit cela avant de rajouter < Elles sont écœurées ! >
Il conclut : < Cela évite qu'elles ne s'empiffrent ! >
Un agent lui rétorque : < En fait tu es nutritionniste ! >

Le policier dit : < C'est pour le bien-être des autres, alors ?>
< Oui, j'agis par humanisme ! > répond notre dépoilé du cul.
< Tu l'expliqueras au juge ! > conclu l'officier...


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Il se prétend gardien de pute à l'Olym-Pipe de Marcel

Il est passé maître dans l'art de nous faire prendre sa vessie pour une lanterne.
Aussi, c'est avec méfiance que nous découvrons chacune de ses assertions.
Un jour il se prétend curé, l'autre jour il se prétend entomologiste, etc...

Aujourd'hui, il prétend qu'il est un grand sportif et qu'il joue au foot-ball.
Comme si le fait de jouer au foot-ball faisait de quelqu'un un sportif !
Il aurait sévi en tant que gardien de pute dans l'Olym-Pipe de Marcel.

Josiane Frouchiez, grande supportrice de l'Olym-Pipe ne se souvient pas.
En effet, grande sportive, Josiane pratique le 100 mètres "Talon-Aiguilles".
Elle n'a pas le souvenir d'un gardien de pute qui ressemblait à notre héros.

Marcel, lui non plus. Pourtant Marcel porte en permanence une plume.
Cette plume rose qui dépasse de la ficelle arrière de son string à paillettes.
Denise Foutrar ne se souvient pas non plus de ce gardien de pute.

Aussi, c'est dubitatifs et plein de réserve que nous resterons méfiants.
Dans l'attente d'une preuve, d'une image ou encore d'un reportage.
Lui, il soutient qu'il a été gardien de pute entre 2006 et 2008. Deux ans !

A l'Olym-Pipe de Marcel, personne ne se rappelle de lui...


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Elle prétend que son sex-toy est hanté

Josiane Frouchiez s'est confiée, hier, à sa meilleure amie Denise Foutrar.
Josiane lui a fait part de phénomènes étranges ayant cours chez elle.
Cela commence à sérieusement l'interroger, voire à l'inquiéter.

Josiane possède un sex-toy ancien, en ivoire, de la période Ming.
Un expert aurait même daté l'objet. Il remonterait à la troisième dynastie.
C'est un cadeau que lui a fait un ancien amant chinois souvent absent.

Jusqu'à présent, tout allait plutôt bien dans la vie de Josiane.
Une petite solitude, un petit désir, hop, il y avait son sex-toy.
Toujours fidèle, toujours disponible, toujours performant.

Seulement voilà, depuis deux semaines rien n'est plus comme avant.
Lorsque Josiane range l'objet dans sa table de nuit, il disparaît.
Elle le retrouve dans le tiroir des culottes en bas de l'armoire !

Au début, Josiane pensait avoir l'esprit "ailleurs" après s'en être servie.
Elle mettait les disparitions sur le compte de son inattention.
Mais les choses ont encore empirées de façon étranges et irréelles.

Josiane était convaincue d'avoir rangé son sex-toy dans la table de nuit.
Elle en était certaine car il dégoulinait encore dans le mouchoir.
Hors, le moment d'après, elle le retrouve dans le réfrigérateur !

Josiane est donc confronté à l'irrationnel, à l'inexplicable. Elle a peur.
De plus, depuis quelques jours, l'objet semble bouger tout seul !
Comme si le sex-toy était agité, animé de sa vie propre. Indépendant.

Denise Foutrar, soudain très intéressée, demande à l'essayer aussi.
< Pas question ! > lui fait Josiane qui n'est pas prêteuse avec ses trucs.
Aussi, Josiane a décidé d'enfermer son sex-toy dans un coffre-fort.

Voilà que maintenant, la nuit, il y a des coups dans le coffre-fort.
Josiane entend même une respiration forte et régulière. En chinois.
Aussi, c'est résolue, qu'elle a décidé de se débarrasser de l'objet.

Sur le "Bon Coin" on peut donc découvrir cette annonce singulière :
Vends Gode en ivoire, période Ming, troisième dynastie. Peu servi.
Etat neuf. Faire offre raisonnable. Paiement en liquide...

Denise Foutrar est sur les rangs. Un truc qui bouge tout seul...


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Il porte son slip un mois avant de l'abandonner

Il porte un slip "kangourou",(avec la poche devant).
En coton épais, blanc, ce sous-vêtement est confortable.
Ample, il permet un parfait transport du "paquet".

Il aime tellement porter ce slip qu'il en est ravi.
Il le porte une semaine, deux semaines, un mois.
Il y est tellement bien qu'il oublie d'en changer.

Il n'est pas rare qu'il porte ce slip plus d'un mois.
Au bout d'une semaine, il est jaunâtre sur le devant.
Derrière, et au fond, le tissus est tout brunâtre.

Il y a des coulures qui évoquent l'Art contemporain.
Au bout de deux semaines, le tissus a durci. Rigide.
Il présente alors cette consistance d'un carton épais.

L'odeur, au travers du tissus du pantalon, est forte.
Les couches brunes du fond se sont superposées.
Chacune, bien sèche, permet à la suivante de s'accrocher.

Au bout de trois semaines, cela devient du "solide".
Par capillarité le pantalon absorbe les "jus" du slip.
Ces derniers n'étant plus absorbés par le "carton".

Au bout de quatre semaines, le brun du fond est dur.
Le jaune du devant est devenu une croûte étanche.
Cela a une incidence sur la démarche de notre héros.

Aussi, au début de la cinquième semaine, il en change.
Il prend le vieux slip adoré et l'abandonne au supermarché.
Le plus souvent il le cache derrière les slips propres.

Il l'a exceptionnellement abandonné dans le bac à glace.
Sous les pots de glace à la vanille, tout au fond.
Bien conservé, le slip a vu sa durée de vie prolongée.

La gérante a découvert le cinquième slip à la boulangerie.
C'est ce jour-là qu'elle a déposé plainte pour slips sales.
Depuis, le personnel est aux aguets. Ils veulent le coincer...


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Elle contacte des hommes sur des sites

Josiane Frouchiez est une habituée de certains sites.
Tout particulièrement les sites de rencontres gratuits.
Josiane a également ses habitudes sur des sites de cuisines.

Josiane n'ose pas tenter des contacts dans la vie réelle.
Un homme s'intéresse à elle, dans la rue, elle s'en détourne.
Un homme lui fait un sourire, elle fait la gueule.

Josiane préfère tenter le contact virtuel de Internet.
Lorsqu'elle a un contact, elle échange par M.P.
Cela l'excite davantage que dans le monde réel.

Aussi, jeudi, elle a rencontré "Le-Magicien" sur un site.
"Le-Magicien" pose devant une villa avec piscine.
De quoi faire rêver n'importe quelle andouille.

Sur une autre photo "Le-Magicien" pose devant sa bagnole.
Un coupé Mercedes devant lequel il est en short.
Tout musclé, tout bronzé, bien coiffé, les yeux de braise.

Josiane entreprend donc des échanges rapidement passionnés.
Un rendez-vous est finalement fixé dans la "vraie vie".
Josiane est couverte de frissons, (et de sueur).

Durant les trois jours qui précèdent, Josiane est fébrile.
Elle doit changer de petite culotte deux fois par jour.
Elle ne mange plus que des oranges et suce des glaçons.
Sur le site, le pseudo de Josiane est "Beauté-Fatale".

Josiane vit un véritable calvaire. "Le-Magicien" la hante.
Elle ne dort plus. Elle s'inflige des épreuves. Jogging.
Elle tente de perdre ces huit kilos et cette cellulite.

Le jour "J" arrive enfin. Josiane s'est mise sur son "31".
Evitant au passage le Pernod 45 et le Pastis 51.
Stoppant complètement sa Kro préférée, la fameuse 1664...

Josiane attend dans ce hall d'hôtel l'arrivée du "Héros".
Un petit mec chauve, bedonnant, arrive en trottinant.
< "Beauté-Fatale" ? La fille du site ? > lui demande t-il.

Josiane, interloquée, regarde de haut cet énergumène.
< Pardon ? > fait-elle encore avec son air hautain.
< Je suis "Le-Magicien" ! On baise ? > fais le mec...

Là, s'en est vraiment trop pour Josiane !
Cette dernière se met en colère, insultant le pauvre type.
< Tu t'es regardé minable ? Mythomane va ! > crie t-elle...

< Et toi, grosse vache, tu t'es regardée ? > fait-il.
Les deux protagonistes se regardent en silence.
Josiane a le choix. Fondre en larmes ou s'enfuir...

Mais, le petit chérubin qui passait par là, eut une idée.
Il décocha une de ses flèches dans le cœur de chacun.
Josiane Frouchiez tomba dans les bras de Maurice Lamolle.

Tous les deux, bras dessus, bras dessous sortirent.
C'est dans la vieille 106 rouge qu'ils s'en allèrent.
Parfois, les sites de rencontres, ça sert aussi à "ça"...


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Homme, 53 ans, France
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Il fait son caca discrètement, au supermarché

C'est Denise Foutrar qui a fait la "découverte".
Elle est responsable du rayon vêtements, hommes.
Ce jeudi, c'est le troisième caca depuis lundi.

La crotte est toujours déposée au même endroit.
Dans la dernière cabine d'essayage, au fond.
Juste sous la banquette. L'odeur est épouvantable.

Ce sont les clients incommodés qui préviennent.
Trois feuilles de P.Q. sont posées à côté.
Le caca est tout frais et suinte encore. Fumant.

Denise Foutrar a prévenu Josiane Frouchiez, la gérante.
Cette dernière, est bien décidée de faire cesser cela.
Aussi, elle demande au vigile de rester dans le coin.

Le vigile est un grand black balaise, il se cache.
Cette histoire le fait un peu chier, c'est son boulot.
Par un petit trou, il mâte l'intérieur de la cabine.

Un type arrive avec deux pantalons sous le bras.
Il s'enferme pour essayer les vêtements neufs.
Une fois dans la cabine, il retire son pantalon.

Là, les bras en appuis sur la banquette, il défèque.
Prévoyant, il a apporté des feuilles de papier cul.
Ces derniers, parfumés Lilas, sont rapidement maculés.

Une fois sa crotte déposée, son cul torché, il sort.
Comme s'il avait essayé les deux pantalons neufs.
Le vigile s'approche, il bloque notre lascar.

Le black demande < Ils sont trop petits ou trop grands ? >
Notre gaillard a été pris en flagrant délit.
Il est emmené au bureau en attendant la police.

Josiane Frouchiez, la gérante, dépose plainte.
La police emmène l'individu au commissariat.
Au poste, un agent rigolard prend la déposition.

< Tu fais ta chiure dans ce supermarché depuis quand ? >
Demande le policier hilare en tapant à la machine.
Le chieur répond : < Ce magasin m'a toujours fait chier ! >

< Est-ce une raison pour y déféquer ? > dit l'agent.
Notre salopiot se voit signifier une garde à vue.
Il passera en comparution immédiate dès cet après-midi.


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Homme, 53 ans, France
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Il fait son jogging nu avec un masque de Mickey

Il a garé sa voiture au début du parcours sportif.
Il s'est déshabillé, se mettant entièrement nu.
Pour tout vêtement, il porte son masque de Mickey.

Par précaution il a dissimulé un autre masque.
Il l'a caché avant la sortie du parcours sportif.
Il se met à courir au petit trot à son rythme.

Il croise des promeneurs consternés, étonnés.
Il croise de belles joggeuses qui lui sourient.
Seules les moches lui font la gueule...

Il va, heureux, par les chemins balisés.
Il accélère son rythme à petite foulée.
Une vieille promeneuse de chien prend l'air écœurée.

Il croise une belle cavalière qui éclate de rire.
A présent, il court à bonne vitesse, il virevolte.
Il est si heureux de se sentir enfin libre.

Deux gendarmes arrivent sur le bord du chemin.
Sans doute prévenus par une conne ou une mal baisée.
Lui, à poil, il esquive et accélère au maximum.

Un des gendarmes se met à hurler : < Arrêtez ! >
L'autre se met à siffler dans son sifflet strident.
Rien à faire, notre joggeur n'en a "queue" faire.

Ses parties génitales battent la mesure en liberté.
Elles virevoltent dans tous les sens grâce à la course.
Il va arriver à la sortie du parcours sportif.

Là, il s'arrête, le cœur battant. Il entend des voix.
Il regarde par les fourrés, ce sont d'autres gendarmes.
Il retire son masque de Mickey pour mettre celui de Donald.

Il se met à courir, les gendarmes cette fois l'intercepte.
< Comment m'avez-vous reconnu ? > demande t-il, étonné.
Les gendarmes le couvre d'une couverture. La vieille est là.

C'est la vieille promeneuse de chien qui les a prévenu.
La vieille, jalouse du ravissement des filles, l'a dénoncé.
Il monte dans la camionnette des gendarmes. Tête basse.

Le gendarme lui demande si ça le prend souvent !
Notre joggeur naturiste répond : < Je ne comprends pas ! >
En effet, il avait pris la précaution de partir en Mickey.

En cas de soucis, ce serait un Mickey qui serait recherché.
Hors là, ils coincent un Donald. Où est passé le Mickey ?
Devant cette évidence, il est relâché immédiatement.

La vieille pouffe au clébard avait dénoncé un Mickey.
En passant il écarte les pans de la couverture et dit :
< Regarde un peu, vieille délatrice, ce que tu n'auras jamais plus ! >


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Homme, 53 ans, France
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Elle se masturbe en regardant Laurent Delahousse

Josiane Frouchiez attend le week-end avec impatience.
Car c'est le week-end qu'il y a Laurent Delahousse.
Et Josiane Frouchiez voue un culte à son téléviseur.

Du lundi au jeudi, il faut se farcir David Pujadas.
Aussi, Josiane est obligé de se rabattre sur Nagui.
Mais c'est le vendredi soir que son clito s'enflamme.

Josiane se prépare pour la grande messe du 20 h de Fr2.
Vautrée dans son canapé elle est juste vêtue d'un peignoir.
Elle a préparé des chips, du soda, du chocolat et des gâteaux.

Enfin, il y a le générique du "journal" télévisé.
Laurent apparaît enfin. Josiane se tripote le petit bouton.
Elle a prévu une serviette pour ne pas tacher les coussins.

Tout cela pourrait rester dans le domaine de l'anecdote.
Tout cela pourrait nous amuser, voire nous faire rire.
C'est sans compter avec la bande de voyous d'en face.

En effet, dans l'immeuble d'en face, Benoît Chauzemol filme !
Lui et ses potes, Laurent Gina et Gégé-la-Branlette filment.
Ils mettent les vidéos en lignes sur des sites de cul...

Bien sûr, ils ont flouté le visage de Josiane Frouchiez.
Mais on devine une quadragénaire un peu grassouillette.
Les cheveux gras et le clitoris turgescent devant sa télé.

Ces trois saligauds ont même fait des montages.
On y voit Josiane jouir devant Laurent Delahousse.
Elle se moque des mensonges de Laurent, elle veut le "frisson".

C'est Denise Foutrar qui a conseillé Josiane Frouchiez.
< Ferme ton volet, le soir, lorsque tu te doigtes ! >
Lui a t-elle recommandé, il y a des vrais mecs dehors.

On peut voir les orgasmes de la petite grosse sur des sites.
On la voit s'empiffrer de chips, de gâteaux et de soda.
Josiane, à son insu, est devenu une célébrité sur Youporn.

La gloire...


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Homme, 53 ans, France
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Il importune les femmes dans les transports en commun

Il meuble sa solitude sur des sites pornographiques.
Tout particulièrement sur des sites japonais.
Des trucs déviants et terriblement cochons.

Ses capacités de réflexions en sont encore diminuées.
Il croit que ce qu'il voit est vrai et authentique.
Il croit que ces choses arrivent dans la réalité !

Il ne lui vient pas à l'esprit que c'est de la fiction.
Il croit que des gens peuvent se comporter ainsi !
C'est tout excité qu'il prend les transports en commun.

Il repère une belle jeune femme assise ou debout.
Il tente de reproduire ce qu'il a vu dans les films.
Il se frotte. Il tente la main qui frôle. Il déconne !

La réaction de la dame n'a rien à voir avec celle du film.
Au lieu de comprendre, ce sinistre individu insiste, lourdement.
La jeune femme, excédée, descend à l'arrêt suivant.

Il jette son dévolu sur une autre "victime" au hasard.
Tiens, celle-là, là bas, assise au fond du bus, en jupe.
Il s'approche, il ouvre sa braguette et lui présente "Popaul" !

La jeune femme, écœurée par ce comportement, se lève.
Au passage, elle lui assène une bonne gifle, bien sonore.
Elle parle au chauffeur malgré l'interdiction de le faire.

Le chauffeur s'arrête à la station suivante, il téléphone.
La première jeune femme a déjà prévenu la police.
Trois agents sont là. Ils viennent "cueillir" le salop.

Les policiers entrent dans l'autobus. Ils ont le signalement.
Ils invitent notre salopard à les suivre au commissariat.
Il lui est signifié que c'est un délit pénal. Correctionnelle.

Il risque cinq ans de prison et 30 000 euros d'amande.
Ce qui n'est pas cher payé pour emmerder ainsi les femmes.
Les filles emmerdées, souhaitent que le juge se montre sévère...


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Homme, 53 ans, France
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Il se prétend bisexuel car il a une relation avec deux femmes

Il y a Solène, sa meilleure amie depuis plus de dix ans.
Il y a Josiane, sa femme depuis plus de sept années.
Il entretient avec les deux femmes une relation.

Solène sait recevoir. Lorsqu'il vient la voir surtout.
Elle est vêtu de son tailleur stricte et de son chemisier.
Sa veste blaser, chaussée de ses soulier noirs à talons hauts.

Elle n'a pas sa pareille pour lui changer les idées.
Surtout avec les lèvres pulpeuses de sa bouche.
< Ma ventouse adorée ! > lui dit-il souvent dans l'oreille.

Aussi, il se réjouit pour les vendredis soirs avec elle.
Josiane, sa femme est au club couture le vendredi soir.
Elle donne des cours de couture à des jeunes migrantes.
Josiane est socialo et a des penchants à "gauche". Pas lui.

Parfois, Josiane lui dit : < Je ne me sens pas désirée avec toi ! >
Lui, invariablement, il répond : < Mais qui donc est ce Désiré ? >.
Assis à la table, il la regarde alors longuement dans la cuisine.

Elle est vêtue de son survêtement de jogging un peu élimé.
Elle porte ses claquettes et une de ses chaussettes part en vrille.
< Qui pourrait bien désirer une "chose" pareille ! > se dit-il.

Il assume donc parfaitement, et en secret, sa prétendue bisexualité.
Plus il contemple la "chose", plus il pense à vendredi soir. A Solène.
Le club couture sera exceptionnellement fermé vendredi soir !

Josiane vient s'asseoir sur ses genoux. Les 9O kilos pèsent lourdement.
90 kilos pour 1,67 m ! < Tu me fais l'amour vendredi soir ? > dit-elle.
Il se sent vaciller. Cela fait six ans qu'il ne peut plus toucher la "chose" !

Aussi, mercredi soir, en allant chercher ses clopes, il s'arrête chez Lucette.
Lucette est sa confidente. Il paie 50 euros pour pouvoir lui parler 30 mn.
C'est le tarif des "ooccasionnelles" et il paie sans rechigner. Thérapie.

Lucette lui conseille de cesser de rester bisexuel et de faire un choix.
Mais il est un peu lâche. Il a également beaucoup de pitié pour Josiane.
Comment lui avouer ? Il a peur qu'elle "craque", qu'elle ne devienne violente.
Pire encore, il redoute qu'elle ne fasse une de ces fameuses dépressions.

Aussi, comme ils n'ont pas de chiards, il projette de "disparaître".
Il veut se refaire une nouvelle vie. Sans avoir à affronter l'ancienne.
Comme des centaine d'individus, chaque année, il "disparaît".

Il vit à présent à plus de 700 km, avec sa chère Solène. Heureux.
Il savoure la compagnie de sa "ventouse adorée". Une nouvelle vie.
Ce dimanche matin, soudain, ça sonne. Il regarde par la fenêtre.

Put-Hein, c'est Josiane...

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Homme, 53 ans, France
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Il se prétend "Garçon Coiffeur" en tortillant du cul

Il fréquente un bar en ville. Il s'y rend tard la nuit. Régulièrement.
Il y rencontre souvent d'autres "Garçons Coiffeurs" pour discuter.
Ils évoquent leurs "Salons de Coiffure" et échangent des anecdotes.

Lui, il adore la "Bicyclette". Il aime pédaler la nuit, dans les rues.
Il a une petite lumière qui clignote derrière lui pour se signaler.
Ainsi les automobilistes le repère facilement et font attention.

Toutes ces virées nocturnes font de lui un habitué de la nuit.
Par contre, les matins sont souvent très difficiles au travail.
< Alors ? Heureuse ? > lui fait son patron très compréhensif.

Lui, il a encore un peu la tête dans le cul. La tête, ça le change !
Il se prétend "Garçon Coiffeur". En fait, il fait les shampoings.
Spécialisé dans les shampoings aux œufs, il en est un virtuose.

Les shampoings aux œufs, il aime tant ça qu'il fait des "Extras".
Il n'hésite pas à faire des shampoings aux œufs à domicile.
C'est marqué sur sa trottinette à pédale en lettres fluorescentes.

Ses amis "Garçons Coiffeurs" savent qu'il excelle dans la discipline.
Aussi, parfois, ils l'invitent à venir pratiquer son art dans des groupes.
Lui, ivre de plaisir, fait des shampoings aux œufs à toute la bande.

Son patron, qui ne pratique pas la bicyclette, le trouve travailleur.
Aussi, dans son carnet d'adresses, il a quelques "pointures" à coiffer.
Il leur envoie donc son spécialiste du shampoing aux œufs.

Il a des rendez-vous même le dimanche. Il pratique même en forêt.
Il apporte son nécessaire dans un petit sac à main très élégant.
Il lui arrive même de faire des shampoings aux œufs à des chauves.

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Il fait des trous dans les murs des toilettes femmes

Il a repéré les endroits les plus "glauques" de la ville.
Il s'est spécialisé dans les toilettes publiques.
Bord d'autoroute, parcs ou arrières cours de bistrots.

Là, il s'entoure de multiples précautions.
Il a sur lui un petit modèle de perceuse à pile.
Il porte également un jeu de vrilles manuelles.

C'est un petit modèle de chez Black & Decker.
Il vaut mieux l'avoir blanche et raide que Black & Decker.
Dans les toilettes femmes, il perce des petits trous.

Il mâche du chewing-gum et prépare son smartphone.
Dès qu'une femme vient faire son pissou il est prêt.
Il colle son smartphone avec le chewing-gum sur le trou.

En mode "caméra", il immortalise la scène en haute définition.
De retour chez lui, après son "safari" il télécharge.
Il possède plus d'une centaine de petits courts métrages.

Cet après-midi là, il s'était dissimulé dans les WC du parc.
Des vieux WC, puants, sordides et bien crades. Glauques.
De jeunes curieuses, voyeuses, exhib, y viennent parfois.

Il colle son smartphone au trou à l'aide de son chewing-gum.
Cette formule lui permet d'avoir les mains libres.
Il contrôle sur l'écran, le bon déroulement des choses.

Il est là à mâter. Il se masse la turbe. Sourire niais.
Soudain, le chewing-gum se décolle. Tout se casse la gueule.
Le smartphone tombe au fond du trou des WC à la "turque".

La jeune fille attirée par le bruit, remonte sa culotte.
Elle se précipite dans le couloir pour venir voir. Curieuse.
Notre saligaud, la main dans la merde cherche son appareil.

La fille a déjà vu pas mal de déviants et de pervers par ici.
Mais des malades, main dans la merde, à quatre pattes, jamais!
< C'est bon ? > demande t-elle avant de s'en aller en riant.

Rien à faire, le smartphone est certainement hors d'usage.
Cette histoire merdique arrive pour la première fois.
Il en sera quitte pour acheter un nouvel appareil.

Mais cette perte constitue offre une "pièce à conviction"...


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Il prétend éjaculer à plus de trois mètres.

Cela fait beaucoup rire ses amis, au Bar-Tabac chez "Momo".
Bien sûr, personne n'y croit. Deux mètres, encore, à la rigueur !
Même Denise Foutrar, qui en connait un rayon, doute.

Bon, certes, il a encore picolé et a le besoin de faire son intéressant.
Mais son histoire d'éjaculation laisse tout le monde perplexe.
Même Chantal Mouyet qui a connu quelques "spécimens" rares.

Chantal Mouyet dit avoir connu un marin qui remplissait un verre !
A chaque éjaculation, le matelot emplissait un verre à moutarde.
Les autres filles écoutent avec un certain intérêt, dubitatives.

Il prétend qu'en éjaculant à plus de trois mètres c'est mieux !
Ainsi sa partenaire peut sentir l'effet du jet dans son intimité.
Il prétend que cela peut la projeter au plafond d'un coup !

Tout le monde se marre dans le Bar, même le clébard de Gérard.
Josiane Frouchiez s'écrie : < Vous pouvez pas parlez d'autres choses ! >
Nous savons bien que Josiane est coincée, mais quand même...

Gilbert annonce que lui, il éjacule à cinq mètres et emplit une bouteille !
Tout le monde rigole et s'amuse en cœur avec toutes ces conneries.
< Il est une heure du matin, on ferme ! > fait Momo le patron.

Momo le patron qui n'en peut plus d'entendre toutes ces conneries.
Tous les soirs...

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Il fait des photocopies de ses organes génitaux

Dès le lundi matin, au bureau, il va à la photocopieuse.
Cette dernière est située dans un local peu fréquenté.
Il s'y trouve également la machine à café. (Mauvais).

Il ouvre le couvercle de la photocopieuse en marche.
Avec précaution, il monte sur un petit tabouret bas.
Il descend son pantalon et son slip sale de cinq jours.

Il se cambre pour disposer ces organes génitaux.
Il les dépose délicatement sur la vitre et reste immobile.
Puis, du doigt il met en marche. Toujours 20 copies.

Lorsque tout est terminé, il examine son travail.
La qualité est au rendez-vous. C'est très professionnel.
Les contrastes permettent de se faire une idée précise.

Ces photocopies "intimes", lui servent de papier à lettres.
C'est la-dessus qu'il écrit et tiens sa correspondance.
Bien sûr, ce sont toujours des lettres anonymes.

Il écrit à des ennemis qu'il s'invente et à des voisins.
Ce sont les mêmes insultes qu'il utilise sur les forums.
Il y a une constante. Il signe du pseudo "Anne Honyme".

Il a un compte à régler avec lui-même et sa vie de merde.
Il a un contentieux marqué avec son existence misérable.
Aussi, c'est de cette façon qu'il se venge. Sa revanche !

Madame Marthe, la boulangère, reçoit régulièrement des lettres.
Les infirmières de la clinique sont "abonnées" malgré elles.
Ses "ex" ont également droit à ses "portraits" intimes.

Parfois, par ennui, il poste ses missives à des inconnues.
Toujours des femmes. Il les repère dans la rue et les suit.
C'est un peu ses "déclarations" d'amour enflammées.

Il va finir par se faire toper, c'est sûr. Mais quand ?


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Il se prétend "Gourou Yogi" pour attirer les filles

Il a loué un petit chalet sur les pentes de la montagne.
Il a passé des annonces partout sur les forums.
Il affirme qu'il peut soigner les maux de l'âme et du cœur.

Rapidement, tout ce que Internet compte de paumés a répondu.
Josiane Frouchiez, Denise Foutrar, Benoît Chauzemol, etc...
Tout le monde désire soigner ses petites douleurs intimes.

C'est sur la bêtise de ses contemporains qu'il spécule. L'enfoiré.
Il a déjà 50 inscrits. Son business s'annonce très prometteur.
Il répond à tous ces naïfs en encaissant les premiers chèques.

Le week-end de "soins" commence. Tout le monde est là.
Il s'est déguisé en "Gourou Indien". C'est du plus bel effet.
Tout le monde est assis au sol autour de lui. Il est sur un trône.

Très rapidement notre salop repère deux belles jeunes filles.
Après le discours, il invite les participants à aller dans leurs chambre.
Il invite les deux filles à le suivre dans son "hashram".

Là, il leur explique que c'est par la sexualité qu'elles vont progresser.
L'une des deux est très naïve. Elle se fait donc tripoter sans retenue.
Elle est convaincue que le "Mahesh Yogi" va guérir ses tourments.

L'autre fille, beaucoup moins stupide veut sortir pour donner l'alerte.
Notre salopard a fermé la porte à clef. C'est par la fenêtre qu'elle fuit.
Une fois dehors, elle téléphone à la police qui s'empresse d'arriver.

Notre "Gourou" est emmené, à poil, par deux agents, au poste.
Les autres "curistes de l'âme", assistent à la scène depuis les fenêtres.
Notre "Gourou Yogi" refuse de rembourser l'argent déjà "placé".

Josiane Frouchiez et Denise Foutrar sont terriblement déçues.
< Il avait l'air si gentil ! > fait Josiane. < Oui, si beau ! > rajoute Denise.
Benoît Chauzemol tente de consoler les deux femmes.
< Si vous voulez, moi, je peux faire "Gourou" aussi, j'en ai une "grosse" ! >
< Pauvre type ! > lui répondent-elles en quittant le chalet...


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Il poste des photos de sa femme sur des sites de cul

Il fréquente des sites de cul assez glauques et plutôt vicelards.
Les mecs y postent des photographies de leurs "exploits".
Tout cela évoque le plus souvent une vitrine charcutière.

On y découvre les jambons de Sylviane en vacances à la mer.
On peut y voir la saucisse noire de Jamie, pseudo "Blackos".
On peut admirer les miches à Sophie alias "Beauté-Fatale".

Lui, comme il veut faire pareil, il poste des photos personnelles.
On peut y voir sa femme, à poil, sur la plage de Deauville.
On peut l'admirer toute nue faisant de l'escalade à la cuisine.

Il y a d'autres internautes qui donnent des appréciations.
Certains donnent même des notes sous leurs commentaires.
Il est tout fier d'exhiber ainsi sa belle et délicieuse compagne.

Seulement voilà, sa compagne n'est absolument pas informée.
Aussi, l'autre jour, à la boulangerie, un inconnu l'accoste.
< T'as de superbes nibards ma cochonne ! > fait l'inconnu.

La jeune femme, ne comprend pas les félicitations dont elle est l'objet.
En effet, au supermarché, à la boucherie, partout des mecs la félicitent.
Même son gynécologue, pourtant habitué à tout et au pire, la félicite.

Lui, un peu con, excité par les échanges sur le site, a donné des noms.
Il a donné des indications : < Si tu veux croiser ma femme ! >. La ville !
Il propose d'envoyer les culottes de sa femme à d'autres "collègues".

Lorsqu'elle découvre les convoitises dont elle fait l'objet, elle est consternée.
Rapidement elle découvre les agissements de son mari. Elle tombe de haut.
Lorsqu'elle demande le divorce et intente un procès, il prend conscience.

Ayant violé le droit à l'image, il comparait, l'air con, en correctionnelle.
Il se voit signifier que la divulgation d'informations privées est passible de prison.
Sans même évoquer les 30 000 euros d'amende puis les dommages et intérêts.

Le con ! Il est mal barré. Ses "collègues" lui demandent d'autres photos.
Il y en a même un qui lui propose de niquer sa femme à son insu !
Sa femme, écœurée, est obligée d'affronter ses collègues de travail.

Elle est même confrontée aux opinions de sa famille.
Lui, il s'est désinscrit du site...

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Elle prétend ne jamais se masturber - Nous rions -

Josiane frouchiez affirme être "normale" et ne jamais se masturber !
Parce que pour sa vision des choses, se masturber est "anormale" !
Elle prétend même, à qui veut l'entendre, qu'elle trouve "ça" sale...

Lorsqu'elle tombe par hasard sur des sites suggestifs, elle surfe.
Vite, elle change de site. De You Porn elle passe à "Marmiton".
< Ouf ! > se dit-elle, avant de rajouter : < Je l'ai échappé belle ! >

Lorsque Denise Foutrar, sa meilleure amie vient la voir, elles bavardent.
Denise lui conseille des sites bien cochons afin de voir ce qui s'y passe.
< A titre informatif ! > prétend t-elle sans rire et avec le plus grand sérieux.

Josiane Frouchiez, qui a un contentieux avec sa sexualité, est très gênée.
Pour elle, les choses du sexe sont "sales", inutiles et dégradantes.
Son éducation sans doute, mais aussi ses profondes inhibitions.
Josiane a toujours été coincée, gênée et complexée, côté cul...

Ce n'est pas qu'elle n'a aucun désir, qu'elle n'a aucune envie ou ni aucune pulsion !
Non, simplement Josiane les évite. Elle lutte contre elle-même. Elle "bloque".
Elle chasse ces "choses là" de sa tête dès qu'elles apparaissent. En apparence...

Parfois, en secret, essayant de garder la tête froide, elle regarde des "trucs".
Elle se dit : < Put-Hein ces mecs, tous les mêmes ! > . Elle sait que c'est faux !
Chacun, comme chacune, est unique. Ses sens vacillent à la vue du porno.
< Mais c'est bestial ! > s'écrie t-elle ayant choisi les films les plus stupides.

Denise Foutrar lui parle de ses Sex-Toys manuels ou à piles (deux piles AAA).
Parfois deux piles LR 5...
Josiane Frouchiez prétend que cela ne l'intéresse pas. Se mentant à elle-même.
Elle dévie donc la conversation sur la recette de la Flamiche Picarde aux poireaux.

< Le poireau ! C'est ce qui te manque ! Un bon poireau ! > lui fait Denise.
Josiane une fois seule, se sert un verre de Martini avant d'aller se coucher.
Son sexe la chatouille, la brûle ! Oh ! Et puis merde, elle se fait un doigt.
Personne ne le sait, croit-elle ! Mais tout le monde s'en doute bien.
Et tout le monde s'en contre fout...

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Il veut tout plaquer pour aller vivre en slip dans une grotte

Après vingt ans dans la même boîte, il vient de se faire licencier.
Il a les "boules", il est très en colère, la boîte fait des bénéfices.
Il ne comprend donc pas pourquoi il est viré sans ménagement.

Il a encore dix ans de traites sur sa baraque, cinq sur la voiture.
Il apprend qu'il aura six mois d'indemnité et puis ce sera finit.
Il a le moral au fond des godasses et sa santé lui joue des tours.

Sa femme menace de le quitter. Ses vieux copains ne lui causent plus.
Personne ne l'invite plus. Un chômeur, ça fait tâche dans les soirées.
Ses deux gosses l'appellent "papa-chômeur" en se foutant de lui.

Il a reçu un commandement à payer d'un cabinet de huissiers.
Il y a les impôts de l'année écoulée qui arrivent sans prévenir.
EDF - GDF menacent de lui couper le gaz et l'électricité.

Son banquier a cessé d'être sympathique et pratique le vouvoiement.
Gégé, le patron du Bar Tabac refuse de lui faire une ardoise.
Sa belle-mère lui téléphone pour l'insulter et le traiter de minable.

Son beau-frère menace de lui casser la gueule très bientôt.
Sa femme lui impose de dormir sur le canapé avec le chien.
Même la voisine a cessé de faire sa cochonne dans le jardin.

Il en a vraiment marre. < Plein le cul ! > précise t-il à son pote.
< Je vais me barrer et aller vivre dans une grotte avec juste un slip ! >
Son vieux pote l'écoute. Il reste toutefois dubitatif et s'interroge.

< Ce n'est pas pour la grotte que je m'inquiète, mais pour le slip ! > lui fait son pote...

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Homme, 53 ans, France
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Il poste des photos de saucisses sur des sites "Cuisines"

Il s'est inscrit sur nombre de sites "Cuisines", innombrables sur le Web.
Il privilégie ces sites qui proposent des recettes faciles et alléchantes.
On y trouve tous les grands moments culinaires de nos terroirs.

Pour lui, le mot "Culinaire" a une toute autre connotation. "CUL-inaire".
Aussi, sous le pseudo "LE-GOÛTEUR", il fréquente ces sites avec régularité.
Toujours tôt le matin, pour surprendre et pour avoir un accès facile.

Sur les forums de ces sites culinaires, il intervient par des petits mots.
Il propose d'améliorer telle ou telle recette en y rajoutant ses ingrédients.
Il illustre son propos par une belle photographie très suggestive.

Pour la recette du gratin de saucisse, il met une photo de la sienne.
Pour la recette de la Moule fricassée, il met la photo de celle de Josiane.
Pour la recette de l'Asperge, il poste la photographie de la sienne...

Bien évidemment, les modérateurs suppriment rapidement ses excès.
Mais, de 6 h du matin jusqu'à 10 h du matin, il y a beaucoup de vues.
Aussi, nombre d'intervenantes font des messages de plaintes diverses.

< Il n'est pas tolérable de laisser de telles choses ! > écrit Denise Foutrard.
< C'est une honte ! C'est dégoûtant ! > écrit madame Marthe, la boulangère.
< Il faudrait supprimer ce profil ! Radier ce membre !> écrit Chantal Mouyet.

Il s'est déjà fait expulser de nombreuses fois mais revient sous d'autres pseudos.
Il fait des montages photographiques très adroits et assez remarquables.
Dans les patates on peut discerner une zigounette et ses roupettes, par exemple.

Dans un panier d'endives fraîches, on distingue sa biroutte et ses burnes poilues.
Sur un plat de champignons, on découvre, au milieu, son pénis fièrement dressé.
Là où il décroche le pompon c'est avec ces fameuses pizzas avec le trou au milieu.

Dépêchons-nous vite d'aller découvrir les recettes qu'il se propose de transformer.
Il y a le cassoulet avec la saucisse. Il y a la pizza à la saucisse. La potée à la saucisse.
Le choix proposé est vaste et à la mesure de son imagination prolifique et créative.

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Homme, 53 ans, France
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Il fait sécher les crottes de son chien au barbecue

Le soir, il promène son chien-berger Allemand, dans le quartier.
En bon citoyen, il emmène son chien chier dans les canisettes.
Contrairement à Josiane Frouchiez qui le laisse chier n'importe où.

Avec une petite pelle à litière, il récupère la crotte de son chien.
Dans un petit sachet en papier, il ramène cette déjection chez lui.
Il l'entrepose au garage dans une cagette, à côté des dizaine d'autres.

Le samedi soir, il allume son barbecue et y installe une grille fine.
Sur cette fine grille, il dépose une vingtaine de cacas de son chien.
A feux doux, il fait griller les crottes pour bien les assécher.

Une vingtaine de minutes et les crottes évoquent de belles merguez.
Avec un soin maniaque, il retire les beaux petits cacas biens secs et durs.
Il dépose chacun d'eux dans un bel emballage de papier sulfurisé.

Il a poussé sa conscience du travail bien fait jusqu'à apposer un logo.
" La bonne saucisse" figure donc, en haut à droite de l'emballage.
Il place tout cela dans son cabas à commission et le laisse à la cave.

Le lundi matin, il va au supermarché. Là, il va déposer les emballages.
Il en met discrètement dans le rayon des produits frais et charcutiers.
Il en dispose habilement sur l'étal du rayon des saucisses et saucissons.

Ce sont des clients, interpellés par le goût qui ont ramené les saucisses.
Denise Foutrard, la gérante, est restée dubitative. Le produit est inconnu.
Référencés nulle part, les saucissons "La Bonne Saucisse" sont un mystère.

Des clients se plaignent du manque de goût des saucisses et les ramènent.
Certains prétendent qu'à la cuisson, les saucisses partent en poudre.
D'autres prétendent que ces saucisses donnent un goût âcre à la purée.

Denise Foutrard prévient donc la centrale et demande une expertise.
Un laboratoire indépendant découvre la nature des saucissons secs.
Plainte est déposée. Denise Foutrard surveille et épie les clients pour le repérer.

Lui, prudent, (et dégueu), préfère changer de supermarché régulièrement...

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Il colle son papier toilette maculé dans des magazines

A côté de la cuvette de ses toilettes, il a posé un sac en plastique.
Dedans, chaque jour, il dépose les feuilles de papier toilette utilisées.
Ce sont les feuilles maculées de caca avec lesquelles il s'est torché.

Que l'on se rassure, il ne commence pas une nouvelle collection.
Non. Lorsque le sac en plastique est plein, il va chez les buralistes.
Là, discrètement, dans les magasines "Pipoles", il colle une de ses feuilles.

Il donne sa préférence à ces magazines qui s'adressent à des idiots.
Des magazines avec des filles anorexiques sur la première page.
Des magazines avec des couples princiers qui font rêver les petites gens.

Il s'amuse beaucoup à faire de telles farces. Rien ne le fait tant rire.
Surtout, lorsqu'il est dissimulé, il peut voir qui achète de telles âneries !
Il appuie fort des deux mains sur les deux pages pour bien faire coller.

Lorsqu'il a vidé son sac, il fait semblant de feuilleter Marie-Patch.
Il louche sur les individus capables d'acheter les magazines "Pipoles".
Le plus souvent des dames, quadragénaires ou quinquagénaires.

C'est lorsqu'elles tentent de décoller deux pages qu'il est prit de fou rire.
Là, soudain, horrifiée, la dame tombe sur la feuille maculée de caca.
La feuille colle le plus souvent à la page du haut, celle qui est soulevée.

Il ne sait pas encore fait choper, il fait hyper gaffe, il est très prudent.
Il filme en cachette avec son smartphone les meilleures moments.
Il envisage de tenter les magazines de beauté et de mode.
Le salopiot...

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Il fait pipi dans l'eau, à la piscine. Tout le temps !

Il arrive à la piscine le mardi matin et le jeudi matin. Ce sont ces jours de piscine.
Le rituel est toujours un peu le même. Il se déshabille en cabine et puis se douche.
Il a un petit maillot de bain bleu saillant, de style "Moule-Burnes" du plus bel effet.

Il se promène un peu autour du bassin pour se préparer psychologiquement.
Il n'y a jamais beaucoup de monde. Souvent des séniors qui font des longueurs.
Parfois des classes d'écoles, de collèges ou encore de lycées. Là, c'est moins drôle.

Il apprécie ces moments aquatiques de détente, de retour au calme, de sérénité.
Il descend dans le petit bassin, doucement, pour habituer et adapter son corps.
La température de l'eau est strictement la même que celle de l'air. Illusion de froid.

Là, avec la fraîcheur illusoire de l'eau, il ne peut pas s'en empêcher, il pisse, discret.
Lorsqu'il voit une petite vieille ou un petit vieux, il s'approche pour pisser à côté.
L'effet du courant chaud attire l'attention des individus ainsi ciblés. Ils le sentent.

Il aime bien le faire près des groupes de filles qui pataugent avec de grands cris.
Ces groupes de filles hurlantes qui se pincent le nez en sautant dans l'eau. Bruyantes.
Là, il passe tout près, à presque les frôler, et il pisse comme un salop. Longuement.

Parfois, pour en rajouter une louche, il se met sur le dos pour faire "la planche".
Il est en érection "sévère". Il passe ainsi, en se laissant flotter, sous le nez des filles.
Les plus gênées détournent la tête. D'autres encore regardent le plafond. Il bande !

Ce ne sont que les plus éveillées qui observent, admiratives, la turgescence glorieuse.
Toutefois, celles qui ont plus de 25 ans, en général, font semblant d'êtres indifférentes.
Lui, il passe, il repasse, et revient encore, comme pour provoquer la libido des coquines.

Le Maître Nageur l'a bien repéré. Mais notre héros est balaise, le maître ne dit trop rien.
Il y a même madame Marthe, la boulangère qui est allé dénoncer notre ami érectile.
Par atavisme. Dans la famille de Marthe, on dénonce. Cela remonte à la guerre de 39.

Il s'amuse ainsi, comme un fou, à susciter les émois, les ressentis et les excitations.
D'autres mecs, assez jaloux de sa magnifique bosse, le regarde méchamment. Agressifs.
Lui, comme il est hyper balaise, plutôt dissuasif, il les emmerde et leur pisse à la raie.

Il a en projet de chier dans l'eau comme il le fait à la mer, au bord des plages , en vacances.
Mais il doit encore trouver la bonne stratégie. Il faut chier "dur", consistant et dense. Un art !
Sinon, la tache brune s'agrandit et le caca part en déliquescence, se désagrégeant dans l'eau.

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Il fait caca dans l'eau, à la plage, au bord de la mer

Il va en vacances aux "Sables Blancs" au bord de la mer, en Bretagne.
Il y va tous les ans, en été, du 2 août au 16 août. Toujours en location.
Il a là ses habitudes chez Madame Marthe, qui loue des chambres.

Il va à la plage le matin entre onze heure et midi. Il y retourne à 14 h.
C'est toujours le matin qu'il fait ses besoins dans l'eau bleue et claire.
Il prépare toujours soigneusement sa création artistique. La veille.

Le soir, il mange du riz sec. Il prépare son riz à l'eau sans sauce, sans sel.
Il mange du pain sans beurre, sans confiture ou sans charcuterie.
Grâce à ce régime "sec", ses chiures sont denses, dures et consistantes.

Il procède toujours de la même manière. Il repère un groupe de touristes.
Il se rapproche subrepticement. Là, dans l'eau, il descend son maillot de bain.
Il porte la marque "Petit Bateau" parce qu'elle supporte bien les grands mâts.

Discrètement, il se laisse un peu aller, relâchant ses viscères bien pleines.
Le cylindre, long et d'une seule pièce, s'échappe dans une sorte d'orgasme.
Il est soulagé, heureux. Le caca coule pour remonter au bout de deux minutes.

Il s'éloigne un peu en frottant sa raie du tranchant de sa main. Pour nettoyer.
Il regarde flotter sa création. Un colombin d'environ quarante centimètres.
C'est impressionnant. On discerne bien les petits grains de céréale du pain.

Le caca flotte au gré des vagues. C'est à la fois émouvant et pathétique.
Souvent, la crotte vient se coller dans la nuque d'une nageuse toute surprise.
Elle ne sait pas tout de suite ce que c'est. Avec la main elle repousse la "méduse".

Il est écroulé de rire avec sa bouée autour de la taille. Il barbote en sautillant.
Parfois, le caca vient se coller contre le ventre d'un nageur qui le repousse.
C'est l'odeur qui permet aux touristes de comprendre rapidement ce que c'est.

Avec cet entraînement quotidien, il va tenter la même chose en piscine. Au retour.
Parfois, pour permettre une bonne dissolution, il tente le Chili-con-carne.
Il en mange une boîte le soir d'avant. Le lendemain sa chiure est immonde.

Il mange de la paëlla, du couscous ou encore des spaghettis à la bolognaise.
Le lendemain le résultat est probant. Le caca se délite dans une auréole brune.
Cela se répand dans un cercle brunâtre qui va en s'élargissant rapidement.

Les baigneurs qui sont surpris par sa création sont assez rapidement écœurés.
Aussi, les nageurs sont obligés d'aller se rincer un peu plus loin, dans le propre.
Toutes ses expériences le rassurent. En piscine, à son retour, l'effet sera garanti.

Le surveillant de plage l'épie avec sa grosse paire de jumelles, (Cathy et Sophie).
Il a découvert que l'auréole brunâtre et pestilentielle est toujours près de lui.
Il a compris mais il doit réussir à coincer notre héros en flagrant délit de chiure...

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Au chômage, il veut créer son élevage de poulettes

Au chômage depuis plus d'un an, il n'a plus le choix.
Ses allocations vont êtres suspendues bientôt.
Il connaît le marché de l'emploi et ses chicanes.

Pour cesser d'être humilié, il va créer son entreprise.
Il est en train de monter un dossier "béton" dans ce sens.
Créer son entreprise est déjà un boulot à plein temps.

Il a une très sérieuse expérience dans le jardinage.
Il s'est déjà ramassé tellement de râteaux dans sa vie.
Avec le stock qu'il a, il pourrait monter un JARDILAND !

Il a également une solide expérience dans l'élevage lagomorphe. (Voir dictionnaire)
En effet, avec tous les lapins qu'on lui a posé, il a rempli sa cave.
Ce qui l'a obligé à se mettre à la culture de la carotte. (Sex-Toy)

Cette proximité avec le monde agricole lui a donné une idée.
Il a le désir profond de créer son propre élevage de poulettes.
Il sait que la poulette reste une denrée très recherchée.

Plus jeune, il s'était spécialisé dans la volaille. Les poulaillers.
Il avait déjà un élevage clandestin à Pigalle qui a très mal tourné.
On lui reprochait de fournir de la viande avariée et de provenance douteuse.

Aussi, il étudie des croisements génétiques possibles. Avec un soin maniaque)
En effet, il veut proposer de la poulette de haute qualité. Le Top du top !
Dans la poulette, le succès est souvent associé à la cuisse.

Il veut proposer de la poulette dodue et charnue là où il faut.
Sa sensibilité pour l'agriculture raisonnée oriente son choix vers le Bio.
Rien de meilleur que de la poulette Bio servie et cuite à point. Nature.

A la Chambre de Commerce, son dossier est étudié avec soin.
Ce qui pose toutefois problème, ce sont les différents intitulés.
L'administration aimerait avoir quelques éclaircissements.

Que signifie < Poulette fermière Topless > ou < Poulette au jus > ?
< Poulette à la cuisse légère > par exemple laisse les agents perplexes.
Tout comme l'intitulé < Poulette réchauffée > qui laisse dubitatif.

Il garde toutefois espoir car il aimerait embaucher des migrantes.
De préférences des travailleuses venant des pays de l'Est.
Il prétend qu'elles n'ont pas leurs pareilles pour emballer. A la chaîne...

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Sans humour, il met des commentaires stupides

Il fréquente quelques forums de tous genres et de tous styles.
Des forums généralistes, des forums spécialisés des forums de cul.
Sur la plupart d'entre eux, il a le même réflexe, la même attitude.

Même lorsqu'il ne comprend pas un sujet, il met un commentaire.
C'est souvent un commentaire désobligeant, parfois blessant.
Comme il n'a aucun humour, ce sont des commentaires stupides.

Ses commentaires ne sont pas sans rappeler des déjections canines.
Des déjections canines que l'on rencontre aux bas des réverbères.
Aussi, il aime à déféquer un peu partout. Déposer ses cacas...

il s'exprime souvent par des phrases maladroites, mal ficelées.
Son expressions écrite le ridiculise devant les autres intervenants.
Fautes d'orthographe, de grammaire ou de conjugaison obligatoires !

Parfois, par atavisme, il dénonce. Il écrit en MP aux modérateurs.
Il aime dénoncer. Surtout ce qu'il ne comprend pas. Un délateur.
Un corbeau ! C'est de famille. Ses grands-parents déjà dénonçaient.

Heureusement, les modérateurs connaissent ce genre d'individus.
Ce sont souvent des nouveaux inscrits qui roulent un peu des mécaniques.
Des intervenants qui n'ont pas bien compris le fonctionnement du site.

Comme il est totalement dépourvu d'humour, il rage, il se fâche.
Son humour de caniveau ne lui permet pas d'appréhender la dérision.
Notre héros vient même de se faire jeter d'un forum "Foot-Ball". C'est dire !

Pour lui, la liberté d'expression est un concept abstrait. Inconcevable.
Il aimerait que tout soit lisse, calibré et formaté. Mais à son niveau.
Niveau "Gardiennage deuxième année"...

Heureusement, sur BobVoyeur, des individus de ce genre, ça n'existe pas...

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Modifié 1 fois. Dernière modification le 12/05/16 16:48 par Oncle-Julien.
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Panique à l'aéroport - Pas de nique à l'aéro Porc ?

Panique dans la tour de contrôle vers trois heure du matin.
Un Airbus A380 tourne depuis deux heures autour de la piste.
Restant à une altitude constante de 800 pieds,(250 mètres),
l'avion décrit un cercle autour de l'aire d'atterrissage.

Les opérateurs de la tour de contrôle ne parviennent pas
à établir un contact avec le pilote ou avec le co-pilote.
Il est tout simplement impossible d'avoir une réponse.
Par contre, de curieux gargouillis se font entendre.

Ce qui ressemblerait à des gémissements ou encore à des
gloussements résonne de façon régulière dans les haut-parleurs.
L'inquiétude est à son comble au sol. Les secours sont là.
L'Airbus transporte plus de 450 passagers. Il y a une angoisse.

C'est vers quatre heure du matin qu'enfin l'avion atterrit.
Tout semble en ordre et les passagers sortent dans le calme.
Les derniers à sortir de l'avion sont le pilote et l'hôtesse.
Le pilote ferme sa braguette et l'hôtesse s'essuie la bouche.

Convoqués le lendemain au bureau de la direction, le pilote
et l'hôtesse ont avoué s'être offert un peu de bon temps.

< J'avais envie de planer en avion ! > aurait avoué le pilote.
< On voulait s'envoyer en l'air ! > aurait confié l'hôtesse.

La compagnie décidera de la suite à donner à cette affaire...


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Ma compagne est jalouse de mon "ex" - Episode 1 -

Chères amies lectrices
Chers amis lecteurs

Il me faut ici vous entretenir d'un problème récurrent qui empoisonne mon existence depuis quelques mois.
Jocelyne et moi sommes ensembles depuis le mois de septembre 2014. Depuis le 6 septembre, très exactement. Jusqu'au début janvier 2016, tout fonctionnait plutôt bien.

Vers le début décembre, de temps en temps, j'invitais Caroline, mon "ex", à venir manger à la maison. Jocelyne, à chaque fois, me faisait la gueule. Elle refusait même de nous préparer à manger. J'ai trouvé cette attitude déplorable et déplacée.

Caroline est venue deux fois. A chaque fois, Jocelyne avait des répliques sèches et lapidaires. Cela vexait quand même un peu Caroline, chacun peut le comprendre, ce n'est pas très sympathique. C'est à la troisième visite que les choses ont commencé à dégénérer.

Comme il pleuvait, j'ai proposé à Caroline de dormir à la maison. Elle n'allait tout de même pas rentrer en mobylette sous une pluie battante. Et bien, Jocelyne, faisant preuve de son mauvais caractère habituel, a carrément commencé à gueuler. Egoïste et ne pensant qu'à elle, Jocelyne a même refusé que Caroline dorme dans notre lit !

J'allais quand même pas laisser mon "ex" dormir par terre. C'est lorsque j'ai tendu un de ses pyjamas japonais à Caroline, que Jocelyne a carrément pété un câble ! Caroline n'allait tout de même pas dormir nue ! Bref, je découvrais que Jocelyne était jalouse. Hors, ces beaux pyjamas japonais, c'est moi qui les achète !

Caroline est revenue dormir deux ou trois fois à la maison. A chaque fois, avec Jocelyne, c'était l'enfer. Il n'y a vraiment pas de quoi en faire toute une histoire. A part deux petites fellations, assez rapides et plutôt bâclées, il ne s'est rien passé depuis le début de l'année 2016 !

Jocelyne estime que je l'ai trompé. J'ai beau lui expliquer que ce ne sont pas deux malheureuses petites pipes de rien du tout qui allaient me détourner de son amour. Un amour que je découvre possessif et inquiétant. Dimanche dernier, par exemple, Jocelyne a même refusé de faire la vaisselle et de laver la cuisine après le repas, pendant que Caroline et moi étions sur le canapé, au salon, à regarder un DVD porno.

Non, au lieu de rire et de s'amuser avec nous, Jocelyne fait la gueule en permanence. Caroline et moi, nous envisageons de lui demander de quitter la maison si elle ne change pas d'attitude.

Si certaines personnes ont déjà été confronté à de telles situations, et à des individus capables de pourrir ainsi la vie des gens, qu'elles n'hésitent pas à donner leurs avis. Je tiendrais compte de chacun d'entre eux.
D'avance merci.

Régulièrement, je viendrais publier la suite de ces aventures épiques et conjugales...

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Homme, 45 ans, France, Nouvelle-Aquitaine
Tu as raison ta compagne à vraiment une attitude déplacée être jalouse à ce point ce n'est pas possible ....je te souhaite bien du courage, à toi et à cette pauvre et bien innocente caroline
On est de tout coeur avec toi
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