Les histoires de Sarah et Franck

Est ce que quelqu’un a imaginer la grosse Sandrine ?
Contacter moi en privé svp

Merci à vous
Bise

Bonjour,
Si certains ou certaines ont des idées ou des demandes particulières pour des récits. Faites nous signe.
Bise

Bonsoir, j'ai bien aimé vous lire.

Bonjour,
Un grand merci à vous, nous adorons les retours sur nos écrits.
Bise

Beaucoup de sensualité et derotisme dans vos textes bravo

Merci à vous
Bise

Nouveau récit sur proposition d'un bobeur :

Je vais vous narrer une histoire que j'ai vécu hier.
Je suis un homme, la trentaine, célibataire, gérant d'un magasin de lingerie.
Habituellement, j'ai deux vendeuses mais hier avec la neige, elles n'ont pas pu venir travailler. J'ai donc été obligé de gérer les ventes mais avec le froid la journée fut calme.
Alors que j'allais fermer le magasin, une femme d'une quarantaine d'année, un peu forte se présente pour acheter des dessous. Je lui dis que je dois fermer mais qu'elle peut entrer si elle fait vite.
Elle entre et je verrouille la porte.
Elle sélectionne quelques modéles et va vite dans la cabine d'essayage. Comme elle fait vite, elle referme mal le rideau et j'ai une vue imprenable sur elle.
Je la vois se dévertir et essayer les modèles, elle a une paire de seins lourds et un cul que j'aurais trouvé trop gros il y a quelques mois mais, comme avec mon emploi du temps très chargé, je n'ai pas eu de relation, je le trouve très bandant.
Une érection commence dans mon caleçon.
Je vois ses fesses se dandiner pour entrer dans les modèles mais les culottes sont trop petites et les soutifs débordent.
Ses mamelles sont magnifiques.
Elle me sollicite, se cache derrière le rideau et passe la tête. Elle me tend un modèle très sexy, de couleur violette.
- Auriez vous ce modèle avec une taille de plus pour le soutient gorge et deux pour la culotte ?
- Ha c'est très dommage, il s'agit de grandes tailles et une cliente m'a reservé le modèle restant dans ces tailles.
Elle me sourit.
- Allez, vous ne pouvez pas me les vendre ?
- Non navré madame, c'est impossible.
- Même si je paie plus que le prix affiché ?
- Non, désolé.
- Zut l'ensemble me plait beaucoup, c'est la poisse.
- Ecoutez, j'ai peut être une proposition mais c'est un peu gênant...
- Dites toujours.
- Je suis seul depuis plusieurs mois, je serez prêt à mentir à mon autre cliente en échange d'une fellation. Qu'en dites vous ?
- Quoi ? Vous êtes fou... impossible.
- Dommage, vous venez de me dire que vous adorez le modéle, l'ensemble est à 180 euros. Je vous fait 50% ?
Elle semble réfléchir.
- Ok si vous me l'offrez ?
Je saisis l'opportunité et sors mon membre à demi tendu de mon pantalon.
Je me place face à elle.
- Ok pour le deal et vous.
Elle regarde mon sexe qui continu à se dresser
- Le deal me semble correct.
Elle regroupe ses cheveux et les passe derrière son dos en un geste très sensuel puis s'agenouille.
Elle prend alors ma bite en main, je frémis, les mois sans sexe se font sentir, mes jambes tremblent.
Elle commence à me branler doucement et place ma verge au chaud entre ses lèvres, c'est un délice, elle me suce lentement en passant sa langue partout sur mon membre, puis accélère le mouvement.
Mon abstinence fait que mon plaisir arrive d'un coup, je n'ai pas le temps de la prévenir, il premier jet atterri sur sa langue, elle est surprise et dirige les autres jets sur sa poitrine en continuant à me masturber.
Je râle et lâche :
- Ha oui, vide moi bien les couilles...purée c'est trop bon !
Je vis chaque jets comme une délivrance une quantité énorme de liqueur sort de ma queue avec des spasmes prodigieux, j'en ai mal tellement c'est bon.
Les seins de la dame sont vite brillants de l'excès de semence.
Je lui tend une boite de mouchoir, en la remerciant, je remonte mon pantalon et va lui préparer sa commande.
Elle se rhabille, je lui tend son paquet en lui disant :
- C'était divin, excusez moi pour les mots crus.
Elle quitte le magasin en m'embrassant sur la joue et me lance :
- Aucun problème. A très vite ! Bye.
Et me fait un clin d'oeil.
Je reste muet en la regardant partir...
Vive la neige.

N'hésitez pas à envoyer un message ou laisser un commentaire.
Bise

Mmmh situation tres excitantes ! Heureusement madame était plutôt d’humeur coquine

Nous écrivons suivant demande.
Bise

Si des personnes sont interréssées.
N hésitez pas.
Bise



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/01/24 22:14 par SetF.

Nouvelle petite histoire.

Pendant les vacances de nos voisins, nous devons passr chez eux pour arroser leur jardin. Leur fils de 18 ans est présent mais ses parents ne lui font pas confiance pour l'arrosage.
Mon mari étant absent pour la matinée, je vais donc récupérer le tuyau d'arrosage près du garage.
Le garage n'est pas collé à la maison, il est indépendant et sa porte latérale est légèrement ouverte.
J'entends un bruit à l'intérieur et passe la tête. J'aperçois le banc de musculation avec des poids chargés et le fils du voisin qui me tourne le dos, je lui dis "bonjour", il me répond en tournant uniquement la tête.
Il me parait un peu bizarre mais peu importe, je lui dis que je vais arroser le jardin et pars me mettre à la tâche.
Alors que, vingt minutes, plus tard je repasse proche du garage, je constate que mon jeune voisin est toujours dans la même position et je l'entends pleurer.
J'entre dans le garage et lui demande ce qu'il ne va pas.
Il me dit toujours tourné :
- Non rien madame, juste un petit souci.
Et alors que je me prépare à repartir, il fond littéralement en larmes.
Il m'annonce :
- J'ai fait une bêtise.
Je lui demande :
- Quoi comme bêtise ?
- Je voulais savoir comment ça fait avec une fille. Et il se tourne.
Je vois son sexe en érection coincé dans le trou central d'un des poids de musculation, il n'est pas beau à voir.
- Depuis combien de temps, tu es comme ça ?
- Environ 30 minutes, j'ai essayé de me toucher mais avec le stress et la douleur, je n'arrive pas à venir.
- Il va falloir appeler les pompiers.
- Non s'il-vous-plaît.
- Tu ne peux pas rester comme ça ! C'est dangereux.
- Mais c'est la honte, j'ai des copains chez les pompiers.
Son pénis est quasiment tout bleu, je ne peux pas le laisser comme çà.
- Bon bah, est ce que tu permets que j'essaye ?
- Quoi ?
- De te masturber ?
- Si on n'appel pas les pompiers, ça me va.
Je m'approche de lui, prends son sexe en main et commence des va et vient avec douceur.
Sa verge toute bleue est bien large ce qui explique pourquoi il est coincé. Je la décallote à fond, cela me fait bizarre de toucher un autre engin que celui de mon homme.
Le petit réagit vite, j'accélère le mouvement avec ma main, il retient un cri en giclant fort sur le sol, il répand une quantité impressionnante de sperme.
Dire que ses parents le pensent mauvais pour l'arrosage !!!
Je continue de le branler jusqu'au moment où son sexe perd en consistance.
Il sort alors son pénis très marqué du poids.
Il me dit :
- Merci beaucoup.
Je vois son membre reprendre une couleur normale.
- Aucun problème mais ça reste entre nous. Je repasserais dans une heure pour voir si une visite aux urgences n'est pas nécessaire.
Je quitte le garage pour rentrer chez moi, je suis inquiéte que son sexe garde des séquelles, je téléphone à mon mari pour avoir son avis.

Mon mari et moi sommes très proche, il comprend ce que j'ai fait et pourquoi je l'ai fait. Il me dit trouver ça un peu excitant et que j'ai raison de vouloir vérifier l'état de notre jeune voisin.

Une heure après, me voici de nouveau chez les voisins, notre jeune ami me montre son sexe, un peu gêné.
Son membre est au repos, il semble normal mais il reste une marque peu profonde. Rien d'inquiétant en apparence.
Je lui tends une crème cicatrisante que j'ai ramené et lui demande d'en mettre sur la marque.
Il prend le tube et commence à s'étaler de la crème sur la marque.
Je vois sa verge peu à peu se tendre, il s'excuse mais je lui dis que cela va permettre de voir si tout fonctionne bien.
Je lui demande de se masturber, il commence alors à se branler en rougissant.
- Tout te semble normal ?
- Quasiment, j'ai un peu mal au niveau de la marque et je suis engourdi.
- Ça ne semble pas trop grave, je te laisse, je repasserais demain pour voir si tout va bien.
- Ok, à demain.
Je rentre chez moi rassurée mais la culotte trempée.

On vous racontera la suite si beaucoup de bobeurs nous la demande...

La suite svp super histoire

Merci à vous.
Vote pris en compte.
Voyons si plus de demande.
Bise

Oh oui il faut une suite ! Voir s’il n’y a pas de séquelles post traumatique !!

Vote noté Occicuni, merci à vous.
Belle journée bise

Merci messieurs



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/01/24 21:42 par SetF.

Bonsoir,
Nous avons débuté la suite ;-)
Bise



Modifié 1 fois. Dernière modification le 28/01/24 21:41 par SetF.

Vivement la suite

La suite comme demandée. Espérons qu'elle soit à la hauteur des attentes.
Bise

Après avoir quitté notre jeune ami, comme je vous l'ai dit ma culotte était trempée.
J'ai expliqué à mon mari mon embarras, il m'a rassuré, nous avons discuté puis nous avons fait l'amour avec passion ce soir là.

Le lendemain matin, après une bonne douche chaude, j'enfiles une petite robe puis mon époux et moi nous rendons chez les voisins, je ne l'avais pas précisé mais ils habitent un plein pied.
Le jeune homme est debout dans le salon et à l'air très fatigué.
Je lui demande :
- Tout va bien ?
- Ouais.
- Qu'est ce qu'il se passe ?
Il rougit.
- Rien.
- Si la présence de mon mari te gêne, n'est pas peur, il sait tout.
- Bah depuis hier, je n'arrive pas finir.
- Ejaculer tu veux dire ?
Il hoche la tête, il semble nerveux.
- Tu veux qu'on te conduise à l'hôpital ?
- Non, surtout pas.
Ma moitié demande :
- Tu veux que la miss jete un coup d'œil ?
Le petit devient écarlate :
- j sais pas...
- Regardes s'il te plaît ma chérie, je sors 5 minutes, il sera plus détendu, fais ce qu'il faut !
Et mon homme sort de la pièce en refermant la porte.
- Allez montres moi l'état de ta baguette...
Notre estropié sort alors délicatement son sexe de son pantalon, son membre est au repos mais à l'air beaucoup mieux qu'hier.
- Tu attends quoi, tripotes toi !!!
Il commence alors à se branler doucement, sa queue prend rapidement du volume jusqu'à atteindre sa taille optimale.
Au bout de deux minutes, d'allers retours intensifs, je lui demande :
- Tu sens que ça vient ?
- Non et c'est comme ça depuis hier après je débande.
- Pourtant tu as éjaculé hier...
- Oui mais j'avais jamais été touché par une fille alors quand vous avez mis votre main ...
- Tu veux que je recommence pour voir ?
- Oui. Il me l'annonce avec un tel sourire que je ne peux pas faire marche arrière.
Je m'approches puis saisie sa verge, elle est de taille normale mais vraiment large, ma petite main arrive à en prendre seulement les 3/4 mais je commence des va et vient réguliers. Notre ami tressaillit, pour le motiver afin d'écourter, je lui dis :
- Ça te plaît ?
Il fait oui de la tête.
J'accélère le mouvement en le branlant énergiquement, il pousse des petits cris mais rien ne sort. Je commence à m'inquiéter pour lui.
C'est à ce moment que mon mari refait son apparition et dis :
- Ne t'acharnes pas trop ma princesse, je viens de comprendre pourquoi il n'arrive pas à gicler, sa porte de chambre était ouverte. En entrant, j'ai retrouvé çà, !
Et il tend une feuille imprimée d'une des photos qu'on avait faites avec nos voisins à la plage sauf qu'elle est zoomée sur ma poitrine. La feuille est gluante.
- Il y a en a plusieurs dans sa chambre.
J'ai arrêté de masturber notre jeune voisin mais lui tiens encore la queue, lui est tout rouge, il ne sait pas quoi dire.
- Tu t'es branlé combien de fois, lui demande mon mari.
- Je ne sais pas, plusieurs fois répond notre jeune tomate.
Je suis flattée et surprise.
- Ma femme t'a aidé, je pense qu'elle a le droit à une récompense pour son abnégation ?
Je ne vois pas où il veut en venir.
- Oui, je vais chercher ma tirelire.
- Non, ce n'est pas ça, enlèves ta culotte ma chérie s'il te plait et assis toi sur le canapé enfin si ça tente ?
Je suis excitée donc j'obtempère, je veux voir où cela nous mène.
Après avoir ôté mon dessous, je m'assois sur le canapé, mes jambes tremblent d'excitation.
- Je pense que tu ne verras pas d'inconvénient à embrasser sa petite chatte ?
- Non, répond notre homard.
- Alors mets toi à genoux et mets toi au travail.
Notre ami prend position et commence à embrasser maladroitement mon entrejambe. Il s'y prend mal mais cela me fait mouiller, j'avance mon bassin afin de lui faciliter la tâche.
- Ça te plaît mon amour ? Me demande mon homme.
- C'est plutôt bon, je dois le reconnaître.
- Attend c' est le début ! Et jeune homme quand on embrasse, on met la langue !
Le convalescent obéit immédiatement, je sens sa jeune langue fouiller mon intimité, c'est un délice.
Sa technique est loin d'être parfaite mais le fait qu'une langue étrangère lappe mon clito et l'entrée de mon vagin me procure des sensations divines.
Je ferme les yeux et savoure.
Quand je les rouvre, j'aperçois la bite de mon mari dressé devant ma bouche. Pas besoin d'explication, je la gobe sans discuter.
Je prends mon pied à sucer le pieu de mon amour pendant qu'un autre me lêche la chatte.
J'alterne les vitesses et les mouvements de masturbation sur son membre, il semble apprécier le traitement.
- Chérie, voudrais tu que notre compagnon te prenne ?
- Humm, comme tu veux... et je continue de le pomper, j'ai coupé mon cerveau.
- Tiens, j'ai trouvé ça dans ta chambre, enfiles là. Et il tend une capote mon lécheur qui stoppe et récupère l'étui.
Son sexe est toujours en érection, il galère à sortir le préservatif et n'arrive pas à le mettre.
Je m'arrête un peu pour l'aider à le placer, je suis terriblement mouillée et pressée qu'il me prenne.
Je reprend la fellation pendant que notre coquin présente son sexe gonflé devant l'entrée de ma petite grotte. Il pousse un coup et me pénètre, sa queue large me comble entièrement, il fait des mouvements.
Une minute me suffit pour me faire jouir, j'adore ce que je ressens, j' entend mon mari qui me dit qu'il va gicler.
Habituellement, je suis réticente à réceptionner sa semence mais là, je prend son jus en bouche avec bonheur, je recrache discrètement le surplus en continuant de le sucer.
Notre ami me lime encore avec l'ardeur et la fougue de la jeunesse.
Il crie, sa bite prend encore du volume, les parois de mon vagin le ressentent, des jets de sperme viennent percutés le latex dans le fond de ma chatte. Il ralentit puis sort.
Nous nous rhabillons et nous donnons rendez-vous pour un dîner que notre ami se propose de nous préparer.

Bonjour à vous
Un texte demandé par un bobeur est en cours de validation par le monsieur.
Il sera publié par la suite.

On attend également des retours sur la dernière histoire.

Merci de nous motiver.

Bise

Magique ! Bravo

Merci à vous

Super

Merci
Bise

Une histoire demandée par un bobeur, il se reconnaîtra.

Je me réveille, je me sens nauséeux, j'entends de voix lointaines, je tente de comprendre ce que disent les voix mais j'ai du mal à lutter contre l'envie de dormir mais c'est très dur.
Je perçois juste les paroles d'une femme :
- J'étais en salle d'opération, avec les filles on a halluciné, il a un sacré beau morceau entre les jambes le monsieur.
J'essai d'ouvrir les yeux, la femme qui parle continu mais s'éloigne, je ne comprend plus les mots, le sommeil m'appel, je vois juste un badge sur une blouse proche de moi mais je perds connaissance, je vais rendre visite à Hypnos et Morphée...

Je me réveille à nouveau doucement, je suis dans une chambre à l'hôpital, je tente de remettre mes pensées en ordre.
Je suis venu pour une opération du genou, d'ailleurs celui-ci se rappel à moi avec des douleurs légères.
Les heures s'écoulent lentement et le personnel hospitalier prend soin de moi.
On m'a demandé de ne pas bouger et de rester alité.
Une jeune infirmière très jolie entre dans ma chambre, elle me présente un pistolet à urine, je l'informe que je vais essayer mais que deux de ses collègues me l'ont déjà donné malheureusement je n'arrive pas à uriner.
Je teste mais rien, j'aperçois alors son badge sur lequel est noté "Eva", cela me parle mais impossible de me souvenir.
Elle ressort en me disant qu'elle revient immédiatement, elle est de retour avec deux autres infirmières 2 minutes après.
Eva me dit qu'il va falloir me mettre une sonde, elle me demande si elle peut me la poser car qu'il s'agit de sa dernière pose avant sa validation et que ses collègues doivent l'assister.
Je lui donne mon accord, elle enlève le drap, prépare le matériel puis saisie ma verge, ses collègues lui demande de positionner mon sexe d'une certaine façon puis de décalotter, elle met mon membre dans la position demandée et dégage le gland avec douceur.
D'un coup, je me souviens où j'ai vu ce badge, c'est en salle de réveil et une autre femme lui parlait de la taille de ma bite.
Une terrible érection me prend, ma queue devient énorme, les deux autres lui demande de stopper le processus car il ne faut absolument pas mettre une sonde sur un corps érectile.
Elles lui demandent de rester jusqu'à ce que la situation redevienne normale puis qu'elle fasse la pose seule, elles lui disent que toutes les précédentes étaient parfaitement effectuées.
Elles s'excusent auprès de moi car elles ont beaucoup de travail et demande à Eva de ne pas trainer car le manque d'effectif se fait sentir puis quittent ma chambre.
Eva est à côté de moi, mon pieu est toujours au garde à vous, elle m'explique qu'elles sont en sous effectif et qu'elle a même dû venir me récupérer au bloc par manque de personnel.
Mon érection ne me quitte pas, elle me demande si elle peut agir, elle rougit légèrement, elle me rappelle qu'elle est pressée. Je dis "oui" sans comprendre.
Elle prend de nouveau ma bite en main mais cette fois fait de grands va et vient rapides, elle me branle énergiquement, elle reste très sérieuse mais très sensuelle dans ses gestes
La situation et ses mouvements précis, vifs mais délicats font que mon éjaculation arrive quasi-immédiatement, elle récupère mon sperme avec le champ stérile présent sur le lit, elle continue les mouvements pendant que les jets sortent, puis me nettoie avec des compresses.
Elle repose un nouveau champ stérile et après m'avoir désinfecté, elle pose la sonde... je n'ai pas eu le temps de comprendre...
Elle sort en me lançant :
- jolies giclées, me sourit et me fait un clin d'œil.
L'après-midi, je lui fait passé le message que je ne serais pas contre un nouveau massage, elle m'a dit qu'elle y réfléchissait en rigolant.
Puis elle est arrivée le lendemain pour enlever ma sonde, ce fût un peu douloureux.
Elle me taquine avec :
- Pas d'érection aujourd'hui ?
- Apparemment non...
- Dommage... j'avais prévu le matos...
Et elle me montre un préservatif.
Je ne sais pas si ma bite à compris mais elle a prit instantanément du volume, elle voulait un braquemard, le voilà.
Elle m'enfile la capote, me demande de me lever doucement avec mon genou, elle se penche sur le lit, remonte sa blouse et écarte sa culotte puis me dit.
- Dépêches toi, j'ai pas beaucoup de temps.
Je ne me fais pas prier, j'insère ma queue dans sa petite chatte et commence les va et vient.
- Va y bourrines moi bien, elle est bonne ta grosse bite.
Elle m'excite, j'accélère le mouvement.
- Tu me défonces bien comme j'aime.
Vas y tu vas me faire jouir...hahaha.
Je sens sa vulve se contracter autour de ma verge, je décharge au fond de vagin en criant :
- Ha oui c bon.
Je refais quelques ondulations puis ressort mon membre.
Elle ôtes le latex de mon pieu qui ramollit doucement et me dit :
- Merci, c'était excellent mais je dois partir, je te laisse mon numéro pour les soins à domicile...

Une histoire demandée par un bobeur, il se reconnaîtra.

Je me réveille, je me sens nauséeux, j'entends de voix lointaines, je tente de comprendre ce que disent les voix mais j'ai du mal à lutter contre l'envie de dormir mais c'est très dur.
Je perçois juste les paroles d'une femme :
- J'étais en salle d'opération, avec les filles on a halluciné, il a un sacré beau morceau entre les jambes le monsieur.
J'essai d'ouvrir les yeux, la femme qui parle continu mais s'éloigne, je ne comprend plus les mots, le sommeil m'appel, je vois juste un badge sur une blouse proche de moi mais je perds connaissance, je vais rendre visite à Hypnos et Morphée...

Je me réveille à nouveau doucement, je suis dans une chambre à l'hôpital, je tente de remettre mes pensées en ordre.
Je suis venu pour une opération du genou, d'ailleurs celui-ci se rappel à moi avec des douleurs légères.
Les heures s'écoulent lentement et le personnel hospitalier prend soin de moi.
On m'a demandé de ne pas bouger et de rester alité.
Une jeune infirmière très jolie entre dans ma chambre, elle me présente un pistolet à urine, je l'informe que je vais essayer mais que deux de ses collègues me l'ont déjà donné malheureusement je n'arrive pas à uriner.
Je teste mais rien, j'aperçois alors son badge sur lequel est noté "Eva", cela me parle mais impossible de me souvenir.
Elle ressort en me disant qu'elle revient immédiatement, elle est de retour avec deux autres infirmières 2 minutes après.
Eva me dit qu'il va falloir me mettre une sonde, elle me demande si elle peut me la poser car qu'il s'agit de sa dernière pose avant sa validation et que ses collègues doivent l'assister.
Je lui donne mon accord, elle enlève le drap, prépare le matériel puis saisie ma verge, ses collègues lui demande de positionner mon sexe d'une certaine façon puis de décalotter, elle met mon membre dans la position demandée et dégage le gland avec douceur.
D'un coup, je me souviens où j'ai vu ce badge, c'est en salle de réveil et une autre femme lui parlait de la taille de ma bite.
Une terrible érection me prend, ma queue devient énorme, les deux autres lui demande de stopper le processus car il ne faut absolument pas mettre une sonde sur un corps érectile.
Elles lui demandent de rester jusqu'à ce que la situation redevienne normale puis qu'elle fasse la pose seule, elles lui disent que toutes les précédentes étaient parfaitement effectuées.
Elles s'excusent auprès de moi car elles ont beaucoup de travail et demande à Eva de ne pas trainer car le manque d'effectif se fait sentir puis quittent ma chambre.
Eva est à côté de moi, mon pieu est toujours au garde à vous, elle m'explique qu'elles sont en sous effectif et qu'elle a même dû venir me récupérer au bloc par manque de personnel.
Mon érection ne me quitte pas, elle me demande si elle peut agir, elle rougit légèrement, elle me rappelle qu'elle est pressée. Je dis "oui" sans comprendre.
Elle prend de nouveau ma bite en main mais cette fois fait de grands va et vient rapides, elle me branle énergiquement, elle reste très sérieuse mais très sensuelle dans ses gestes
La situation et ses mouvements précis, vifs mais délicats font que mon éjaculation arrive quasi-immédiatement, elle récupère mon sperme avec le champ stérile présent sur le lit, elle continue les mouvements pendant que les jets sortent, puis me nettoie avec des compresses.
Elle repose un nouveau champ stérile et après m'avoir désinfecté, elle pose la sonde... je n'ai pas eu le temps de comprendre...
Elle sort en me lançant :
- jolies giclées, me sourit et me fait un clin d'œil.
L'après-midi, je lui fait passé le message que je ne serais pas contre un nouveau massage, elle m'a dit qu'elle y réfléchissait en rigolant.
Puis elle est arrivée le lendemain pour enlever ma sonde, ce fût un peu douloureux.
Elle me taquine avec :
- Pas d'érection aujourd'hui ?
- Apparemment non...
- Dommage... j'avais prévu le matos...
Et elle me montre un préservatif.
Je ne sais pas si ma bite à compris mais elle a prit instantanément du volume, elle voulait un braquemard, le voilà.
Elle m'enfile la capote, me demande de me lever doucement avec mon genou, elle se penche sur le lit, remonte sa blouse et écarte sa culotte puis me dit.
- Dépêches toi, j'ai pas beaucoup de temps.
Je ne me fais pas prier, j'insère ma queue dans sa petite chatte et commence les va et vient.
- Va y bourrines moi bien, elle est bonne ta grosse bite.
Elle m'excite, j'accélère le mouvement.
- Tu me défonces bien comme j'aime.
Vas y tu vas me faire jouir...hahaha.
Je sens sa vulve se contracter autour de ma verge, je décharge au fond de vagin en criant :
- Ha oui c bon.
Je refais quelques ondulations puis ressort mon membre.
Elle ôtes le latex de mon pieu qui ramollit doucement et me dit :
- Merci, c'était excellent mais je dois partir, je te laisse mon numéro pour les soins à domicile...

Bise



Modifié 1 fois. Dernière modification le 01/02/24 07:57 par SetF.

Toujours une lecture emplie de sensualité et d’érotisme! merci pour ces récits très excitants !

Merci à vous messieurs.
Bise

J'adore ces histoires bandante

Merci Ptinours

Nouvelle histoire réclamé par un bobeur :

Je suis plombier et aujourd'hui, je suis appelé pour un problème de douche.
J'arrive chez le client avec mon collegue François, nous travaillons parfois ensemble pour des problèmes sérieux.
La dame est seule, elle se nomme Sarah.
Elle nous montre la salle de douche, nous préparons nos affaires et elle revient avec deux cafés bien chaud.
Pendant que nous prenons nos cafés nous discutons, elle est habillée sexy avec un ptit haut blanc, et l'on devine qu'elle ne porte pas de soutien gorge.
Elle nous explique que le problème vient de l'arrivée d'eau, qu'elle souhaiterait transformer cette douche en douche à l'italienne mais qu'elle n'en a pas les moyens.
Nous nous mettons doucement au travail en reluquant la miss de temps en temps, elle porte une jupe courte et nous nous rinçons l"oeil.
Un peu trop d'ailleur puisque François merdouille avec un tuyau et fait péter la soudure.
Un geiser d'eau inonde la petite salle d'eau, je parviens à atteindre rapidement le robinet d'arrêt mais il y a plein d'eau au sol et nous sommes trempés tous les trois.
Le seul avantage est que le haut blanc de la miss est maintenant quasiment transparent laissant voir une magnifique poitrine.
Nous mettons des serviettes au sol pour absorber l'eau.
Et la miss se propose d'aller nous chercher des vieux vêtements de son homme pour nous changer.
Au bout de cinq minutes, elle revient avec les fringues, elle s'est déshabillée et a juste enfilé un petit peignoir.
Nous commençons à nous dévêtir mais la dame ne quitte pas la pièce, comme je ne porte pas de sous vêtement depuis plusieurs années, je lui en fais part.
Elle me répond qu'elle en a vu d'autres donc je retire mon pantalon laissant apparaître ma bite légèrement gonflée par la situation et Sarah ne la lâche pas des yeux.
Alors que nous allions prendre les vêtements de rechange, elle nous informe s'être trompée et repart avec pour en chercher d'autres.
Nous attendons à poil dans la petite pièce, mon sexe est toujours un peu gonflé.
François me dit :
- Beau morceau. Et commence à se branler.
Je le vois astiquer sa verge.
Il me demande :
- Tu veux que je t'aide ?
Et comme je suis sans voix, il saisit ma queue et effectue des va et vient avec les deux pénis.
Je dois l'avouer, la situation m'excite beaucoup, je ne connaissais pas François sous cet angle.
Tellement concentré sur nous, on avait pas entendu la dame revenir.
- Je ne vous gêne pas ?
François lui répond :
- C'est vous la cause de tout ça, vous avez aguiché mon pauvre collègue avec vos tenues.
- Je suis navrée, je n'avais pas prévu l'eau !
- Et bien carresses nous les couilles pour te faire pardonner.
Incroyable, elle ne discute pas et vient prendre nos couilles en mains pendant que François nous branle.
Elle carresse nos boules délicatement.
- Ça vous va ?
- C' est parfait !
- Je mouille un peu, votre ami à les mains libre, il pourrait me carresser le clito ?
Je sors de ma torpeur et commence à carresser la chatte de notre cliente.
Elle ondule sous mes doigts et je lui saisie un sein avec mon autre main.
Nos deux queues sont maintenant très raides
François demande :
- Ça te tente que mon copain te baise pendant que tu me suces ?
- Ok mais enfilez des capotes, y en a dans ce tiroir.
Je n"en reviens pas. Comment en est on arrivé là.
Mais je ne me fais pas prier. On enfile les préservatifs.
La miss commence à sucer François pendant que je me place derrière elle.
Je pénètre sa petite chatte très facilement et commence à la labourer d'abord doucement puis plus vite.
J'alterne les rythmes.
Je la vois faire une magnifique fellation à mon pote.
Je la bourrine de plus en plus, son plaisir commence à augmenter par vague jusqu'au moment ou elle jouit.
Ma teub se retrouve serrée dans son vagin.
J'entends François dire :
- Allez pompes bien je vais venir. Il tient la tête de la dame et lui baise la bouche.
Il crie très fort et je crie également, nous giclons simultanément.
François lance une réplique mémorable :
- Merci à vous Madame, vous savez accueillir.
Nous terminons nos travaux et annonçons à Sarah que nous ferons un devis sympa pour une installation de douche à l'italienne.
Belle journée de travail, on a encore bien bossé ensemble avec François.

Bise

Magnifique récit