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Elle me tient la bite pour en diriger le jet contre le mur Film

Envoyé par Oncle-Julien 
Homme, 53 ans, France
Classe

Créations murales

Chers amis

Tous les soirs, à la fin de nos journées, ma "coquine" et moi, nous avons nos petites habitudes.
Pour les découvrir et en savourer la substantifique moëlle,il suffit de cliquer sur le lien ci-dessous :
[www.bobvoyeur.com]

Nous continuons donc notre rituel quotidien avec joie, célérité et application.
Le lecteur est invité, par ces petits récits amusants, à nous accompagner dans nos créations murales.

Hier soir, nous avons donc fermé notre lieu d'exposition pour dix neuf heure.
Nous avons pris la voiture pour nour rendre au petit port de plaisance.
Ma "coquine", peu vêtue avec ces chaleurs, est délicieusement belle et sexy.
Arrivés sur place, rapidement, nous sommes montés au vieux cimetierre par le chemin.

Là, au croisement des chemins, nous sommes livrés à notre création murale du jour.
D'abord, ma "coquine", accroupie au milieu du chemin, a dessiné une magnifique carte du Portugal.
Ensuite, debout contre le mur, me tenant la bite pour en diriger le jet en riant, elle a peint au pistolet.
Ces oeuvres ephémères, dont nous sommes très fiers, sont immortalisées grâce à ces belles photographies.

Nous découvrons, ci-dessous, notre création murale intitulée < Romantisme lyrique d'un soir d'été >

Une peinture au pistolet réalisée le lundi 20, par 30°, vers 19 h30



On peut cliquer sur l'image, si on veut...

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Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Il me faut, tout d'abord, remercier tous les visiteurs, amateurs d'Art, qui viennentici, découvrir nos créations murales.
Les gentils commentaires, souvent subtils et parfois spirituels, nous ravissent avec une certaine délectation.
C'est donc avec un certain plaisir que, chaque matin, ici-même, nous présenterons nos créations de la veille au soir.

Comme chaque jour, hier matin, nous avons ouvert pour dix heure. Une affluence presque continue.
La saison touristique bat son plein et cela va durer jusqu'aux environs du quinze août. Tant mieux.
Cette année, il semblerait que beaucoup de vacanciers privilégient les visites à l'intérieur des terre, fuyant les plages.

Dans notre espace d'exposition, ma "coquine", vêtue d'une jupette souvent claire, se promène sans culotte.
Aussi, à chaque fois que cela est possible, elle m'offre un petit spectacle de toute beauté.
Rusée et stratège, elle sait, en parfaite virtuose, m'offrir les plus belles vues, accroupie dans les coins.

Le soir, comme chaque jour, nous fermons à dix neuf heure pour filer, en voiture, au petit port de plaisance.
Une fois la voiture garée, nous marchons vite sur le chemin qui monte au vieux cimetierre. Il y a des promeneurs.
Arrivés en haut, ma "coquine", accroupie, nous dessine, sur le sol sec, la carte d'un département ou d'un pays.

Hier soir, restant dans la création cartographique, elle nous a réalisé la carte du Finistère. Très réussie.
Puis, en plasticienne avertie, elle m'a tenu la bite pour en diriger le jet contre le mur. Concentrée et riant aux éclats.
Nous découvrons donc, ci-dessous, notre création intitulée : < Le lyrisme romantique d'une soirée d'été >.

Notre oeuvre du mardi 21 juillet, par 30°, vers 19 h 30



On peut cliquer sur l'image pour l'agrandir, si on veut...
Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Tout d'abord, merci cher "Bitnik" pour vos appréciations ainsi que pour vos qualités d'esthète.
Mon souci constant étant de présenter les meilleures créations, ici, dans cette galerie virtuelle.
Aussi je m'applique à soigner tout particulièrement le lieu et son accueil. Nous sommes dans la maison de Bob.

Hier encore, les visiteurs sont venus en grand nombre. Le cumul des nuages menaçants dans le ciel grandissait.
Un semblant de fraîcheur donnait l'illusion d'une arrivée d'air salvatrice et réconfortante. Il n'en était rien.
Hier, en fin d'après-midi, ma "coquine" s'est fait draguer comme rarement. Un vrai "boulet", un pugnace.
Nous avons bien ri de l'obstination obséquieuse du quidam tombé sous les charmes de ma complice. Mais sur un os...

Nous avons fermé la boutique pour dix neuf heure. Les "affaires" nous ravissent. Direction le port de plaisance.
Nous avons garé la voiture puis nous sommes montés le long du chemin vers le vieux cimetierre.
En haut, comme chaque soir, nous nous sommes livrés à notre rituel pisseux du soir. Un grand moment !

Ma coquine, accroupie au milieu du chemin, nous a déssiné une carte d'Angleterre absolument magnifique.
Elle s'est même fait surprendre par un jeune couple qui s'est mis à rire après un < Bonsoir > très gentil.
Puis, debout contre le mur, me tenant la bite en riant pour en diriger le jet, ma complice a peint au pistolet.

Nous découvrons donc ci-dessous notre oeuvre intitulée < L'éphémère légèreté des choses fugaces de l'été >

Notre création du mercredi 22 juillet, par 28°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peu cliquer sur l'image. Si on veut...

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Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Comme chaque jour, je vous invite à visiter notre lieu d'exposition virtuel. Je vous en souhaite la bienvenue.
Nous sommes là pour passer du bon temps, pour nous amuser et nous offrir un peu d'évasion.
Gardons présent à l'esprit que le sexe sans humour, sans dérision et sans second degré, est d'une tristesse infinie.

Hier, comme chaque jour, ma "coquine" et moi, nous avons ouvert la galerie à dix heure.
Après notre jogging quotidien de huit heure et la douche salvatrice qui s'en suit. Comme nous le ferons ce matin.
Il y eu une forte affluence. Le flot touristique semble préférer, cet été, l'intérieur des terres plutôt que le littoral.

Ma "coquine", vêtue d'une de ses jupettes plissées, de son T-shirt et chaussée de ses "basket" est une attraction.
Une attraction supplémentaire qui attire le regard. Non pas seulement celui des mâles libidineux.
Quelques jeunes femmes, souvent avec un physique semblable, observent sa silhouette svelte et sportive.

A dix neuf heure, comme chaque soir, même si nous passons beaucoup de bon temps, nous avons fermé avec plaisir.
Direction le petit port de plaisance où nous avons garé la voiture. Nous sommes montés le long du chemin.
Nous avions en projet d'aller randonner jusqu'à la nuit sur le sentier côtier, au-dessus des falaises.

Au vieux cimetierre, là ou le chemin se divise en deux sentiers, nous avons sacrifié à notre rituel pisseux.
Ma "coquine", se livrant à sa tendance exhibitionniste, accroupie au milieu du chemin, fit un magnifique pissoux.
Cette fois, cambrée en avant, le jet se brisant loin devant elle, elle nous réalisa la carte de la Normandie.

Ma complice aime rester dans la création cartographique. Même si la géographie lui est étrangère, elle y excelle.
Puis, tous deux debouts devant le mur, me tenant la bite pour en diriger le jet, elle fit sa peinture au pistolet.
Nous découvrons donc, ci-dessous, notre oeuvre : < Saveur élégiaque de l'imminence du crépuscule >.

Notre création du jeudi 23 juillet, par 23°, vers 19 h30



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Post Scriptum
Ne manquez pas les épisodes de la saison 2 de Dédé-la-Lopette, ici, sur ce même superbe forum, dans la rubrique "Être exhib".
Bonne découverte.

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Modifié 2 fois. Dernière modification le 24/07/15 06:58 par Oncle-Julien.
Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Comment serait-il possible de commencer mon récit sans remercier "Bitnik". Cher "Bitnik", merci pour votre témoignage.
Je sais qu'il y a les visites de quelques esthètes avertis qui savent apprécier l'Art. Rares sont ceux qui en témoignent.
Aussi, je tiens ici, une fois encore à les remercier pour leurs visites dans cette galerie virtuelle. Le meilleur est à venir.

Cher "Bitnik", votre vision des choses est parfaitement exacte. Pourquoi ne pas ouvrir votre propre espace d'expression ?
Ici, sur ce superbe forum, vous pourriez présenter vos créations. Nul doutes qu'elles doivent êtres remarquables.
On ne peut pas être un tel esthète et ne pas, en secret, avoir un penchant pour la création artistique de qualité.

Comme chaque matin, nous ouvrons l'espace d'exposition pour dix heure. Ma complice est la plus impatiente.
Ce contact permanent avec des touristes de toutes provenances lui procure les plus suaves sensations.
J'apprécie de voir évoluer ma complice dans cet espace. Cette proximité constante éveille une addiction certaine.

Comme je me plaîs à le dévoiler, malgré son interdiction de façade, (car elle lit ce que j'écris), elle sait me séduire.
Souvent, lorsque je viens de quitter une conversation avec des visiteurs, je la découvre accroupie dans un coin.
Ou elle fouille un carton sous la table. ou elle fouille dans son panier. Ou elle réajuste la nappe. Autant de prétextes.

Entre midi et quatorze heure, tirant notre repas de nos Tupperwares, nous mangeons au petit port de plaisance.
Le soir, à dix neuf heure, lorsque nous fermons la galerie, nous revenons garer la voiture ici.
Puis, comme le lecteur le sait à présent, nous montons le chemin jusqu'au vieux cimetierre.

Là, au milieu du chemin, accroupie, ma "coquine" dessine une magnifique carte d'un département ou d'un pays.
Hier soir, avec cette virtuosité remarquable, elle nous a réalisé la carte du Périgord. Une belle réussite.
Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle se livre à la peinture au pistolet.

Nous découvrons donc, sur la photographie ci-dessous, notre oeuvre intitulée : < Evanescence fugace de l'éphémère >

Notre création du vendredi 24 juillet, par 30°, vers 19 h30



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Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Une fois encore, et pour notre plus grand plaisir, il me faut saluer "Bitnik" pour son commentaire. Merci cher ami virtuel.
Tout comme vous, j'apprécie de dessiner dans la neige. Je n'ai pas cette angoisse du créateur devant la surface blanche.
Je peux toujours y aller d'un premier jet ! Cet hiver, c'est sans doute avec ma complice que nous allons créer ainsi.

Comme tous les jours, entre midi et quatorze heure, avec ma "coquine", nous allons manger au petit port de plaisance.
Tirés de nos Tupperware, confortablement installés à la terrasse d'un café, nous dégustons nos préparations.
Parfois, après, nous allons baiser un peu dans les dunes de Sainte Anne la Palud. Nous y avons un petit coin.

Dans l'après-midi, souvent délicieusement salope, ma complice me fait quelques "show" qui me mettent en érection.
Hier encore, accroupit sous la table pour y fouiller dans un carton, cuisses écartées, elle m'a offert une vue magnifique.
Comme elle ne porte jamais de culotte dans des situations qui peuvent nous êtres profitables, c'est parfait.

Elle est poilue. Elle laisse pousser cette broussaille, non pas seulement dans un souci écologique, mais pour me plaire.
Je sais lui témoigner toute ma reconnaissance. Je vais explorer ce "fourré" et cette "vallée" avec fougue et passion.
Aussi, comme le ferait un explorateur, je parcours le sentier, je goutte à la source et je me baigne dans le petit lac.

Lorsqu'arrive l'heure de la fermeture, à dix neuf heure, même si nous adorons nos permanences, nous filons en vitesse.
Là, direction le petit port de plaisance, le parking, puis la montée du chemin jusqu'au vieux cimetierre.
Là, à l'endroit ou le chemin se sépare en deux sentiers, l'un à gauche, l'autre à droite, nous nous livrons à nos rituels.

Hier soir, appliquée, concentrée, espérant secrètement être vue, ma "coquine", accroupit, à réalisé un beau dessin.
Au milieu du chemin, elle nous a réalisé une carte de la Drôme. Une reproduction fidèle et remarquable.
La Drôme est si belle qu'elle reste le département le plus collant de France. En effet, la Drôme adhère...

Ensuite, se passant la langue sur les lèvres de sa bouche, ma "coquine" m'attrapa par le zob, braguette ouverte.
M'entraînant comme avec la laisse, elle m'attira devant la surface vierge de ce support de granit qu'est notre mur.
Me tenant par la bite, riant aux éclats, elle en dirigea le jet pour réaliser une magnifique peinture au pistolet.

Nous découvrons donc, émerveillés, ci-dessous, notre oeuvre < L'irrépressible instantanéité du devenir spontané >

Notre création du samedi 25 juillet, par 23°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, afin d'en admirer la subtilité, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

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En bonus track, ici même, à l'attention de mes nombreuses admiratrices, on peut découvrir l'ombre du créateur.



On peut également cliquer sur l'image, si on veut...

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Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Je remercie "crystalle" pour son très gentil commentaire. Chère "crystalle", vos suggestions sont très intéressantes.
Ma "coquine" s'est bien amusée à les découvrir, aussi, cette idée de carte de l'Hérault la séduit beaucoup.
C'est également vrai que le choix d'un intitulé, pour présenter une oeuvre, participe de l'intérêt qu'elle peut susciter.

Il fait beaucoup moins chaud. Les séquences ensoleillées se sont raréfiées. Le ciel est souvent voilé, sinon gris.
Ces conditions favorisent la découverte de l'intérieur des terres. L'affluence touristique devient "envahissante".
Hier, dimanche, il y avait souvent jusqu'à vingt personnes en même temps dans la galerie.

Ma complice et moi, dans ces situations, n'avons presque plus le temps de bavarder ensemble.
Chacun étant affairé et discutant pour répondre aux questions qui ne manquent pas. Les visiteurs sont très curieux.
C'est très intérêssant. Les gens qui lancent des conversations font souvent eux-même de la peinture.

Lorsqu'arrive l'heure de fermeture, en fin d'après-midi, nous sommes content de pouvoir respirer un peu.
Hier soir, vers dix neuf heure trente, sous un ciel gris, nous étions contents d'être en haut du chemin.
Là, accroupit au milieu du chemin, sous quelques gouttes rares de pluie, ma "coquine" s'est appliquée à dessiner.

Hélas, chère "crystalle", la carte tant attendue, de ce magnifique département de l'Hérault ne fut pas au rendez-vous.
Par contre, sous nos yeux ravis, se dessinait la carte de l'Italie. Magnifique. surtout la "botte" et la Sicile.
Ensuite, me tenant par la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" se livra à la peinture au pistolet.

Nous découvrons, ci-dessous, notre création murale intitulée < De la légèreté des apparences fugaces >

Notre création du dimanche 26 juillet, par 21°, vers 19 h30



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Chers amis

Bonjour
Je tiens à remercier, chaleureusement l'intervention de "bitnik dont les visions artistiques poussent à l'admiration.
Ce monsieur, certainement amateur d'Art, pose toujours un regard pertinent et juste sur les créations contemporaines.
Aussi, cette véritable chronique, écrite avec un à propos judicieux, reste un grand moment de lecture, ici, sur Bobvoyeur.

Cher "bitnik", c'est vrai que la conception de cette oeuvre du dimanche soir évoque le côté solennel du tryptique.
On y retrouve ce sentiment de profond recueillement mystique propre à toute réalisation métaphysique et spitituelle.
La grisaille du fond n'est pas sans rappeller cette unité de l'humanité devant l'irrationnel et l'inexplicable.

Je remercie "crystalle" pour son intervention et ses considérations quand à la création murale de dimanche.
C'est en effet une création exotique. Une admiratrice, dans son message privée, m'en a fait remarquer l'aspect tropical.
Par contre, la carte de l'Hérault présente une certaine difficulté d'éxécution lorsque la météo n'est pas favorable.

Toute la journée de hier, une fois encore, il y eut l'alternance de séquences ensoleillées et de périodes couvertes.
Ce climat pousse beaucoup d'estivants, qui ne l'ont pas encore fait, à se rendre à l'intérieur des terres.
Tout ce beau monde visite les endroits historiques, les monuments répertoriés ou encore les bourgs typiques du coin.

Malgré cette météo peu favorable, ma "coquine" reste vêtue de façon estivale. Jupe, sweat-shirt, sandalettes.
D'un teint naturellement mat, hiver comme été, sa peau présente en permanence cette douce couleur de la belle saison.
Malgré le grand nombre de visiteurs, espiègle et stratège, ma complice se débrouille pour tester mes sens.

Entre midi et quatorze heure, nous sommes allés manger au petit port de plaisance. Comme tous les jours.
Nous y avons nos habitudes à la terrasse d'un petit salon de thé ou nous pouvons déguster nos préparations.
La veille, au soir, dans des Tupperwares que nous plaçons au réfrigérateur, nous préparons nos repas du lendemain.

Assis à la terrasse, profitant du passage de quelques quidams solitaires, nous en profitons pour passer du bon temps.
Ma "coquine", les cuisses légèrement écartées, sous la table, offre quelquefois la vision de sa superbe touffe.
Aussi, lorsque le passant, observateur, se rend compte de ce qui offert à sa vue, il revient souvent sur ses pas.

Le soir, à la fermeture de notre espace d'exposition, avec la voiture, nous revenons ici, au petit port.
La montée du chemin jusqu'au vieux cimetierre, puis le choix des deux sentiers qui se divisent. Plage ou falaises.
Au milieu du chemin, accroupit, légèrement cambrée en avant, ma "coquine" a encore dessinée une belle carte.

Hier soir, avec le vent assez fort, il lui a fallu ruser pour ne pas s'en prendre sur les cuisses et les mollets.
Avec ces conditions difficiles, faisant appel à sa virtuosité, elle a malgré tout réussi à réaliser la carte de la Gironde.
Puis, me tenant par la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" a procédé à sa seconde création.

Nous découvrons donc, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés : < Onirisme langoureux d'un lyrisme éphémère >

Notre création du Lundi 27 juillet, par 20°, vers 19 h30



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Chers amis

Bonjour
Vous n'êtes pas sans êtres séduits par les interventions magistrales de notre chroniqueur, ce cher "bitnik".
Aussi, ici, je me dois d'apporter un vibrant hommage à sa plume, à sa finesse d'esprit et à l'acuité de son regard.
Cet intervenant mérite d'être lu, relu et lu encore. A chaque relecture, le plaisir va grandissant. Je m'en régale.

Merci cher "bitnik" pour votre vision des choses. C'est vrai que notre oeuvre commune prend un nouveau tournant.
Avec cette météo, plutôt maussade, il est difficile de peindre à l'extérieur. Il faut même se vêtir chaudement.
Pour des raisons d'adaptation, d'une "dure-lutte" contre les éléments, nos réalisations vont vers l'épure, l'écume.

Hier, avec la fraîcheur de ce curieux climat de juillet, il y eut une fréquentation record. Une "occupation" de l'espace.
Ayant déserté le littoral, le touriste envahit l'intérieur des terres. Il envahit tout. Même les commerces.
Il y a donc des individus, au comportement parfois insolite, qu'on ne voit jamais dans une galerie d'Art. Jamais !

Il y a la présence permanente de gens qui bavardent entre eux, dont la progéniture met une pagaille invraissemblable.
Il faut donc faire preuve d'une certaine autorité et surveiller tout cela avec une grande attention.
Combien de fois ma "coquine" vient me voir, animée de véritables fous rires. Parce qu'il y a vraiment de tout.

Contrairement aux apparences, ce contexte n'est pas véritablement propice aux "affaires". Ce serait même le contraire.
Toute cette cohue fait fuir les esthètes, les collectionneurs et les amateurs d'Art. Les simpsons sont maîtres des lieux.
Ma complice, vêtue plus chaudement, ne manque pas de me donner de délicieux vertiges par de discrets "show".

En soirée, pour la fermeture de dix neuf heure, il y avait quelques gouttes. Vêtus de nos K-way, nous sommes partis.
La voiture garée sur le parking, nous sommes montés le long du chemin jusqu'au vieux cimetierre. Sous la bruine.
Une brume interdisait de contempler l'horizon sur l'océan gris. Nous n'allions pas nous attarder. Retour après les pissoux.

Descendant son pantalon, s'accroupissant au milieu du chemin, ma "coquine" nous dessina la carte de la Picardie.
Avec le sol déjà mouillé, il était difficile de dicerner les contours de cette magnique région. Impression de gâchi.
Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma complice fit sa peinture au pistolet. Malgré le vent.

Nous découvrons, ci-dessous, notre oeuvre réalisée sous la pluie < Impression suave de l'évanescence estivale >.

Notre création du mardi 28 juillet, par 16°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, afin d'en admirer la substantifique moëlle, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

Classe

Afin de réunir les photographies de toutes nos oeuvres de l'été, cet automne, je pense publier un album intitulé < Le Mur >. Vous découvrez donc, chers admirateurs, chers fidèles amateurs d'Art, ci-dessous, la pochette de cet album. Patience. A bientôt...



Classe
Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
C'est moi qui, chaque jour, prends un grand plaisir à lire la chronique de notre intervenant actif "bitnik". Le bienheureux.
Une fois encore, cet amateur d'Art, de par sa description, de par sa prose, de par son ressenti, a captivé mon attention.
Chacune de ces interventions est un réel bonheur de lecture. Pertinence, lucidité et perception aigüe sont présentes.

Aussi, cher nouvel ami, je tiens à vous remercier publiquement pour vos petites chroniques absolument captivantes.
Cher "bitnik", sachez que nous sommes sans doute nombreux à nous régaler de vos écrits que nous espérons réguliers.
Ma "coquine", même si elle trouve tout ça un peu stupide, m'avoue apprécier vos petits mots. Elle est sous sa douche.

Hier encore, dès dix heure du matin, à l'ouverture de notre espace d'exposition, ce fut l'affluence habituelle.
Avec cette météo, les commerces fonctionnent à plein rendement. Les commerçants s'en frottent les mains.
Le littoral étant déserté, les estivants se rabattent vers l'intérieur des terres. Ils y dépensent leur argent.

Nous vivons ce temps, qui passe si vite, à bavarder avec les visiteurs qui défilent toute la journée.
Il n'est pas rare que ma complice, animée de fous rires, vienne me conter une anecdote, me signaler un comportement.
Les Simpsons, très nombreux, nous amusent prodigieusement. Les "baskets" ont toutefois remplacé les tongs.

Hier, par exemple, une maman Simpson, s'adressant à son @#$%& de six ou sept ans, lui lance une phrase délirante.
< Arrête de lire partout, lâche ton bouquin et enlève tes lunettes, tu ressembles à un intello de la télé ! >.
Vivre tout cela, à longueur de journée, dans une galerie d'Art, est absolument délicieux, insolite. Un régal.

En soirée, à dix neuf heure, nous sommes quand même soulagés de pouvoir fermer. Direction le petit port de plaisance.
Ma complice, ravie de cette activité de galeriste, riant, continue à commenter les attitudes des uns et des autres.
Nous passons beaucoup de bon temps. Dans la voiture, nous sommes pliés de rire et ravis de la conjoncture météo.

Une fois la voiture garée, nous montons rapidement le chemin qui mène au vieux cimetierre. Hier, tout était sec.
Là-haut, avec cette vue magnifique sur l'océan, nous nous livrons à nos rituels pisseux du plus bel effet.
Hier soir, accroupit, pantalon descendu, cambrée en avant, d'un jet puissant, ma "coquine" à dessiné la Sarthe.

Nous avons observé longuement la réussite de cette création cartographique dans laquelle ma complice excelle.
Malgré un vent léger, le trait était net, précis. La parfaite reproduction, à l'échelle 1 / 250 millième, (1 cm = 2,5 Km)
Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" passa à sa seconde création.

Nous découvrons donc, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés < Vision philosophique d'une utopie réelle et surannée >.

Notre création murale du mercredi 29 juillet, pat 17°, vers 19 h30.



Pour l'agrandir, afin d'en apprécier toute la splendeur, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

Classe

Nous découvrons, ci-dessous, la photographie qui sera celle de la page 4 de couverture de l'ouvrage à venir.
Plus de cinquante pages de photographies en noir et blanc. Plus de cent cinquante pages de texte autobiographique.
Tous droits réservés - © - 2015 -



On peut également cliquer sur l'image, si on veut...

Classe
Homme, 60 ans, France, Occitanie
Bravo cher "LE-BRANLEUR" !!!

La poésie dans vos ardeurs créatives sont à l'excellence de ce que j'ai, discrètement, lu de vos
écrits.

L'artiste ne peut être ignoré et l'imaginaire dégagé des créations murales que nous pouvons nous approprier au travers de vos photos, en font pour chacun des images uniques personnelles...

D'autres ont dit :

De son joli lieu, il n'en fera plus qu'un rêve,
De son rêve, il n'en fera plus qu'un deuil,
De sa fortune il en fera de même,
Quand aux artistes idolatrés et son public adorés, il n'en fera plus que sa peine...

Soyez rassuré je fais partie de ce public qui reste sensible à vos manifestations pour soulager, si besoin était, votre peine.
Homme, 53 ans, France
Classe

Créations murales

Chers amis

Bonjour
Tout d'abord, je dois témoigner de mon immense plaisir devant la découverte de la chronique de "Bitnik".
Ce n'est pas seulement de la joie, chaque matin, mais c'est également un grand moment de lecture.
Cher nouvel ami, cher "bitnik", je me sent redevable. Oui, redevable devant tant de gentillesse de votre part.

Outre les fulgurances dont vous faites preuve, dans vos écrits, cher "bitnik", il y a, en filigrane, votre accuité visuel.
Ce n'est qu'un fin connaisseur qui peut ainsi, narrer, avec une justesse inouïe, la substantifique moelle d'une oeuvre.
De plus, la découverte de vos onomatopées, soigneusement notées chaque jour, en est une preuve irréfutable.

Ma complice, ravie, parcourt chaque matin votre prose en riant. Et vous n'êtes pas sans ignorer ce dicton populaire :
< Femme qui rit, femme dans son lit ! >. Même si elle ne fréquente que le mien, c'est un plaisir de la voir s'amuser.
Cher "bitnik", je vous souhaite beaucoup de succès pour vos projets littéraires et artistiques. Je suis à m'en réjouir.

Hier matin, comme chaque jour, nous avons ouvert notre espace d'exposition pour dix heure.
Une fois encore, malgré la fraîcheur automnale, la fréquentation alla crescendo toute la matinée. Et l'après-midi.
Ma "coquine" était vêtue d'une jupe de style "tailleur, d'un pull fin passé sur un chemisier. Chaussées de talons hauts.

Sa silhouette élançée, sublimée par un habillement strict, attire les regards. Cela fait plaisir à voir. Attractive et sexy.
Il y a même quelques individus, pourtant accompagnés de leurs femmes et de leurs @#$%&, qui draguent ouvertement.
Hier, il y en a même un qui est revenu seul après avoir laissé sa famille quelque part dans un salon de thé sans doute.

Tout cela nous amuse prodigieusement. Le type en question est repartit avec un petit tableau qu'il n'avait pas prévu.
Comme le dit ma complice : < Quand on a une bite à la place du cerveau, on a un porte-monnaie qui fuit ! >.
Nous l'avons regardé traverser la place lorsqu'il est partit rejoindre les siens, debouts devant les vitrines, en face.

A midi, avec cette météo plutôt automnale, nous allons manger dans le petit salon de thé au port de plaisance.
Devant un café, nous dégustons nos repas préparés la veille, tirés de nos Tupperwares. Avec l'accord de la patronne.
L'après-midi, pour quatorze heure, nous retournons nous amuser dans notre espace d'expositions.

En soirée, comme chaque jour, nous fermons pour dix neuf heure. Direction le port de plaisance et le vieux cimetierre.
Là, en plein milieu de ce fameux chemin, ma "coquine", accroupit, nous dessine la magnifique carte d'un département.
Hier soir, sous un léger vent, sa jupe relevée, cuisses écartées, elle réalisa la carte de la Creuse. Une réussite !

Même si, pour le moment, elle refuse de publier les photographies de ses oeuvres, elle me laisse en faire des clichés.
Ma "coquine" ne désire pas trop se mêler de mes anecdotes, ici, sur le forum, trouvant tout cela inutile et stupide.
Puis, debout devant le mur, me tenant la bite en riant pour en diriger le jet, elle se livra à sa peinture au pistolet.

Nous découvrons donc, ci-dessous, l'oeuvre extraordinaire : < Plénitude tempérée par l'illusion de la légèreté >

Notre création murale du jeudi 30 juillet, par 17°, vers 19 h30



Afin de l'agrandir, si on veut, on peut cliquer sur l'image...

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Chers amis

Bonjour
Je me dois tout d'abord, une fois encore, d'être profondément reconnaissant à notre nouvel ami "bitnik".
Ces interventions, par ses remarquables chroniques, sont devenues autant d'addictions. De grands moments de lecture.
Non seulement je m'amuse comme un fou, non seulement je prends un immense plaisir, mais je découvre un confrère.

Cher "bitnik", il me faut ici témoigner de ma stupeur devant vos révélations. Nous savons qu'une bonne idée est copiée.
Mais là, devant la photographie que vous avez eu la gentillesse de nous faire partager, c'est la consternation.
Ce côté "amateur" de la réalisation est flagrant. Vous avez raison de souligner tous ces points de défaillance créative.

La création, dans le domaine de < l'action painting >, demande une parfaite maîtrise du propos. Un savoir-faire.
On ne peut pas s'improviser, ainsi, plasticien de l'abstraction, sans une longue et sérieuse formation préalable.
Hors, visiblement, sur ce cliché, il n'y a aucune composition, aucune préméditation, aucune motivation artitistique.

L'amateur d'Art, que vous êtes, cher "bitnik", a le devoir de dénoncer les approximations et les tâtonnements inutiles.
Soyons toutefois rassurés. Les collectionneurs, désireux d'acquérir une Création Murale, sauront faire la différence.
On ne s'improvise pas ainsi, Créateur Mural", sans avoir fait ses preuves dans diverses expositions reconnues.

Comme chaque jour, hier matin, à dix heure, nous avons ouvert notre espace d'exposition. Nous réjouissant encore.
Avec cette météo, nous savions que la fréquentation serait importante. Ce fut au-delà de nos craintes. La folie !
Un défilé permanent de vacanciers. Si ces conditions météoroliques persistent, nul doute qu'aujourd'hui sera pire encore.

Les températures, aux meilleures heures, ne dépassant pas les 20°, imposent une tenue vestimentaire en adéquation.
Ma "coquine" porte donc en permanence son pull noir, de laine fine, passé sur un chemisier. Une jupe et des bas.
Chaussée de ses escarpins noirs, fermés et à talons haut, sa silhouette n'est pas sans évoquer quelques "hotesses".

Avec ruse, mettant en pratique des stratégies remarquables, ma complice sait stimuler mes sens par ses attitudes.
Il n'est pas rare de la surprendre, entre deux bavardages, accroupit, a fouiller dans quelques cartons ou sachet.
Lorsque ces talons hauts lui rappelle son dos, elle s'asseoit à la petite table ronde sur laquelle se trouve le jeu d'échec.

Voilà déjà un mois d'écoulé à une vitesse prodigieuse. Nous sommes presque au milieu de notre saison.
Nous aurons beaucoup de souvenirs communs. Ma "coquine" prend un grand plaisir à faire la galeriste chaque jour.
Aussi, lorsque vient l'heure de fermer, c'est toujours avec une pointe de nostalgie à la pensée des choses vécues.

Comme chaque jour, à la fermeture de midi, nous allons manger au salon de thé. Dans la voiture, on baise un peu.
En soirée, à la fermeture de dix neuf heure, nous nous dépêchons de retrouver les hauteurs du chemins.
Là, au milieu de ce chemin, accroupit, sa jupe relevée sur son porte-jaretelle, ma "coquine" pisse de bonheur.

Hier soir, avec cet élan de créativité qui lui est propre, elle nous a dessiné une magnifique carte de la Vendée.
Une netteté du tracé, une clareté du trait, à l'échelle 1 / 250 000, (1 km = 2,5 cm), qui permettent l'admiration totale.
Puis, me tenant la bite en riant, pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" a procédé à la peinture au pistolet.

Nous découvrons, sur le cliché ci-dessous, sous nos yeux émerveillés < Vision hallucinée de l'arrivée d'un crépuscule d'été >. Appelé également < Le grand biais > par les connaisseurs.

Notre création du vendredi 31 juillet, par 17°, vers 19 h30. - © -



Pour l'agrandir, afin d'en apprécier la composition, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

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Chers amis

Bonjour
Aujourd'hui, une fois encore, pour ce dimanche matin sans jogging, je découvre la chronique de notre ami "bitnik".
C'est donc d'excellente humeur que j'en relate l'agréable et hilarante découverte. Une fois encore un grand moment.
Oui, un grand moment de lecture ponctué de mes fous rires et de ceux de ma "coquine". Une vraie thérapie d'optimisme.

Cher "bitnik", je suis heureux de vous avoir rassuré. Votre inquiétude, tout à fait inutile, a tout de même servi d'alerte.
Je serais d'une grande vigilance. Mes textes et récits sont, pour la plupart, déposés. Leurs droits sont donc réservés.
J'indiquerais donc que mes clichés, images, dessins et photographies sont déposés par ce sigle - © - Plus de craintes.

Cher "bitnik", votre regard toujours juste, votre acuité visuelle, feraient de vous un parfait un commissaire priseur.
Vos compétences, en matière d'Art contemporain, classique, (et sans doute académique), abondent dans ce sens.
Je rajoute à tout cela vos qualités de chroniqueurs, étonnantes, qui vous permettraient de rédiger un ouvrage d'Art.

Une fois encore, il faut revenir sur ces artistes, admirateurs certains, qui tentent la copie ou la reproduction. Mal faite.
Tout cela respire un amateurisme qui prête à sourire. Mais n'est-ce pas la conséquence d'un talent que d'être imité ?
Pour cet automne, je vais continuer dans l'abstraction, dans le même esprit, mais sur un tout nouveau support.

Hier matin, comme tous les jours, nous avons ouvert notre espace d'exposition. Les "affaires" sont bonnes. Régulières.
Aussi, les cimaises commencent à se vider, laissant les murs de la galerie de plus en plus nus. Presque impudiques.
C'est la conséquence du succès, certes, mais il faut encore tenir plus d'un mois. Des murs vides ne sont accueillants.

Hier encore, les conditions météorologiques n'avaient rien d'estivales. C'est toujours l'incessant défilé de visiteurs.
Ma "coquine", toujours vêtue de façon très classique, évolue sous mes yeux avec sa grâce habituelle. Un vrai spectacle.
Le souvenir de cette saison sera emprunt de cette jeune fille qui m'aura accompagné chaque jour. Une grande première.

Sous la grande table de droite, il y a tous les cartons contenant des sachets, du papier, du scotch, des bouteilles d'eau.
La grande nappe de velours carmin cache tout ce capharnaüm aux yeux des touristes. Il y a la petite table ronde.
Deux fauteuils permettent de s'y asseoir devant le jeu d'échec posé sur la nappe de même velours.

Toutes ces "cachettes", permettent à ma "coquines" de splendides "show". Toutes sortes de prétextes se présentent.
Aussi, j'adore la voir accroupie, écartant légèrement ses cuisses, me faisant profiter de la vue sur sa touffe fournie.
Parfois, après m'avoir demandé de bien observer son "numéro", elle fait la même chose devant un quidam étonné.

Qui connait mon Blog, sait ses talents d'exhibitionniste virtuose. Cette séduction permanente de mes sens me ravit.
De plus, ma complice, connaissant parfaitement l'école hollandaise du XVII ème siècle, parle très bien de mon travail.
Lors de ses explications, devant mes toiles, elle sait captiver l'attention des regardants et les entraîner dans ses récits.

A midi, comme chaque jour, nous filons manger au salon de thé. Après, sur le retour, on baise parfois dans la voiture.
A quatorze heure, nous ouvrons à nouveau la galerie jusqu'à dix neuf heure. Opportunités de flatter nos libidos.
Le soir, à dix neuf heure, nous fermons. Direction le petit port de plaisance. Le parking, puis le chemin qui monte.

Là, arrivé à la fourche qui divise le chemin en deux sentiers, la vue sur l'océan est sublime. Par beau temps bien sûr.
Au milieu du chemin, sa jupe remontée, les cuisses écartées, désireuse d'être vue, ma "coquine" pisse par petits jets.
Virtuose, elle nous dessine une carte parfaite. Hier soir, sa réalisation représentait le département de la Sarthe. Belle !

Puis, me tenant la bite, en riant, pour en diriger le jet contre le mur, elle peint au pistolet. Seconde réalisation.
Hier soir, avec cette passion artistique qui la caractérise, penchée en avant, visant juste, elle a créé avec bonheur.
Nous découvrons, sous nos yeux éblouis, ci-dessous < Introspection abyssale des profondeurs relatives >

Notre réalisation du samedi premier août, par 18°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, afin de l'apprécier à sa juste splendeur, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

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Chers amis

Bonjour
Je ne peux commencer mon récit sans remercier "bitnik" pour sa chronique de hier, dimanche 2 août.
J'invite le lecteur à découvrir et à se régaler des ecrits magistraux de "bitnik". Car, cher "bitnik" vous avez été magistrale.
Chacune de vos proses sont un véritable petit délice d'écriture, d'humour et de dérision. Un exercice de style exemplaire !

Lorsque je vois, à mes côté, ma complice, pliée de rire en lisant votre nouvelle intervention, je suis ravi et enchanté.
Aussi, cela se rajoutant à mes découvertes personnelles et quotidiennes, est source d'un intense optimisme.
Je ne saurais donc trop vous remercier pour ce temps, cette énergie, cette imagination et, somme toute, ces cadeaux !

Hier, à dix heure du matin, sous un ciel à nouveau bleu, pur et limpide, nous avons ouvert notre espace d'exposition.
Enfin, avec le retour de la douceur, du soleil et des chaleurs, la fréquentation touristique est revenue à la normale.
Plus de bousculades presque perpétuelles. Plus de foule ne cherchant qu'à se divertir et à se mettre à l'abri.

Ma "coquine", soulagée, m'a donc offert, hier, quelques uns de ses "show" du plus bel effet. Vêtue légèrement.
A nouveau en jupette, en T-shirt et en "basket", il lui est tellement plus simple de me faire profiter de sa "plastique".
Comme je l'ai déjà précisé, quelques quidams, soigneusement choisis, ont le privilège d'assister à un "spectacle".

Les petites exhibitions, modestes et "calibrées" de ma complice sont un véritable ravissement. De chaque instant.
Elles sont également source d'excitations qui stimulent nos libidos. Cela rajoute à notre plaisir d'être ensemble.
On baise comme des fous, chez nous, parfois dans les dunes de Sainte-Anne ou encore dans la voiture.

Hier soir, pour dix neuf heure, nous avons fermé la galerie. Direction le petit port de plaisance. Pour y garer la voiture.
Puis, montée du chemin jusqu'au vieux cimetierre. Avec le beau temps, nous croisons à nnouveau des promeneurs.
Puis, en haut, face à la beauté et à l'immensité de l'océan, c'est le rituel fabuleux de nos pissoux "artistiques".

Accroupie au milieu du chemin, sa jupette plissée relevée, ma "coquine" nous a dessiné la carte de la Picardie.
Une parfaite réussite. Pour son plus grand plaisir elle s'est fait surprendre par un promeneur solitaire. Etonné et souriant.
Il s'est arrêté un peu plus loin pour engager la conversation. Puis, hélas, il s'est comporté en "boulet". Pitoyable.

Je suis donc venu rejoindre ma complice afin que l'inconnu passe son chemin et qu'il continue sa promenade.
Se relevant pour se blottir contre moi, ma "coquine" m'a entrainé vers notre support habituel, le fameux "mur".
Me tenant la bite, en riant, pour en diriger le jet, elle s'est livrée à sa seconde réalisation.

Nous découvrons donc, ci-dessous, notre oeuvre intitulée < Paroxysme d'un enchantement paradisiaque >

Notre réalisation du dimanche 2 août, par 23°, vers 19 h30



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Chers amis

Bonjour
Comme chaque jour je commence par remercier notre ami "bitnik" pour sa délicieuse chronique.
Une fois encore, assis l'un à côté de l'autre, ma "coquine" et moi, nous avons lu tout cela avec le sourire.
A propos de ce quidam, dont vous analysez très justement le comportement, cher "bitnik", c'est une constante.

En effet, une majorité de mâles, souvent avec une bite à la place du cerveau, ne peuvent pas seulement se contenter de regarder.
Ils s'imaginent que l'exhibition d'une ravissante créature serait comme une "invitation" à quelques égarements sexuels.
Alors que ce n'est qu'un plaisir personnel qui ne demande absolument pas, en retour, un comportement bêtement trivial.

Beaucoup de nos congénères masculins ont donc encore énormément de chemin à faire avant d'avoir de la raison.
L'égalité des sexes, devant le plaisir, demande encore beaucoup de réflexion, d'effort, de réserve et de savoir-vivre.
Vos appréciations, cher "bitnik" sont donc, une fois encore, pertinentes et bien senties. Nous vous en remercions.

Hier, comme tous les jours, nous avons ouvert pour dix heure. Avec le retour du soleil, la fréquentation s'est ralentie.
Enfin nous avons pu retrouver une "vitesse de croisière" plus viable et plus gérable. C'est bien plus agréable.
Dans le secteur particulier des galeries d'Art, il est préférable d'avoir des visites en qualité plutôt qu'en quantité.

A midi, comme chaque jour, fermeture pour aller manger à la terrasse du salon de thé, au petit port de plaisance.
Retour après une petite pipe pour quatorze heure. Ma "coquine", dans son cycle, est privée de baise encore deux jours.
Ce qui ne l'empêche pas de me dévoiler la petite ficelle qui pend depuis sa magnifique touffe fournie et noire.

En soirée, fermeture pour dix neuf heure. Direction le petit port de plaisance, le parking et le vieux cimetierre.
Arrivés en haut du chemin, devant l'immensité de l'océan, nous avons procédé à notre rituel pisseux quotidien.
Ma coquine, sa jupette relevée, accroupie au milieu du chemin, nous dessina la carte du Danemark. Superbe !

Avec cette nouvelle semaine, nous commençons le cycle des "Poésies". Aussi, ma "coquine", très littéraire se réjouit.
Me tenant la bite, afin d'en diriger le jet contre le mur, en riant, concentrée toutefois, elle fit sa seconde réalisation.
Une peinture au pistolet absolument magnifique. Une "perle" rare dans notre production abondante et inspirée.

Nous découvrons donc, ci-dessous, notre oeuvre intitulée : < Résurgence pathétique des souvenances idéales >

Notre réalisation du lundi 3 août, par 27°, vers 19 h30.



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En bonus track, voilà ci-dessous la photographie de la page 2 de couverture de l'ouvrage à venir "LE MUR"

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Chers amis

Bonjour
Comment pourrais-je commencer mon article sans évoquer la superbe chronique de notre ami "bitnik". Merci cher ami.
C'est impossible et chacun d'entre les intervenants du forum le sait bien. Puisque ses lecteurs son nombreux. Heureux.
Une fois encore, ce matin, ma "coquine" et moi, nous avons parcouru les écrits de "bitnik" avec des éclats de rire.

Cher "bitnik", après les faussaires, les importuns, vous soulignez les agissements des ignares et des incultes.
En évoquant la mythologie, quelques personnages épiques, Calliope, Clio, vous nous offrez un peu de culture générale.
Cet acte admirable est un effet de votre altruisme et de votre empathie pour les ignorants et les analphabètes.

Je tiens donc, une fois encore, ici, devant nos lecteurs admiratifs, tenus en haleine chaque jour, à vous remercier.
Vous n'êtes pas sans souligner les déclinaisons de mon oeuvre enchanteresse et vous les éclairez d'un jour nouveau.
Permettant ainsi aux regardants et aux amateurs d'Art, de pénétrer un peu de mon univers sans entrer dans la vulgarisation plumitive.

Hier, comme avant hier, comme aujourd'hui, comme demain, nous avons ouvert la galerie à dix heure du matin.
Avec le retour d'un ciel menaçant et quelques séquences pluvieuses, l'affluence touristique a redoublé. Difficile.
Toutefois, sous la douceur du climat, ma "coquine" a pu rester légèrement vêtue. Jupette, T-shirt et "basket".

Aussi, comme à sa délicieuse habitude, elle s'est livrée à ses jeux habituels pour notre plus grand plaisir.
Je suis souvent en état d'érection durant mes bavardages avec des visiteurs, amateurs de peinture. La bosse !
Il y a parfois un homme ou une femme qui remarquent les petits "manèges" de ma complice. Cela nous excite beaucoup.

A midi, nous sommes allés manger dans notre salon de thé au petit port de plaisance. Là aussi, elle s'amuse bien.
Croiser et décroiser ses longues jambes bronzées sous la table apporte souvent un petit côté "cabaret" à ce lieu neutre.
Ma "coquine" ne manque donc pas une occasion de faire admirer, aux clients attentifs, sa plastique avantageuse.

Retour pour quatorze heure après une pipe juteuse mais non achevée. Je préfère toujours conserver mon excitation.
Beaucoup de visiteurs. Beaucoup de bavardages. Beaucoup d'explications. Les rares fois ou nous pouvons converser ensemble sont donc des instants privilégiés.
Fermeture pour dix neuf heure. Direction le petit port de plaisance puis le chemin qui monte au vieux cimetierre.
Là, au milieu du chemin, sous les yeux d'un couple étonné et admiratif, ma "coquine", accroupit au milieu du chemin, nous a fait sa réalisation cartographique.

Il me faut ici m'adresser à notre ami "bitnik" pour lui assurer que cette carte, dessinée hier soir, fut admirable.
J'ai la photographie de chacune d'entre elles. Aussi, cet hiver, pour nous rappeller les beaux jours, elles seront publiées. Avec la permission de ma belle.
Hier soir, ma complice a produit une merveilleuse carte de la Scandinavie. Il y avait même les fjord si typiques.

Ensuite, pressée de poursuivre cet élan créatif qui me ravit, ma "coquine" s'est emparée de mon chibre.
M'entraînant fermement devant notre mur, me tenant la bite pour en diriger le jet, elle fit sa peinture au pistolet.
Sa main virtuose, son touché ferme mais délicat, ses capacités d'anticiper les giclées, tout suscite mon admiration.

Nous découvrons, sous nos yeux émerveillés, ci-dessous < Vision métaphysique d'une introspection heureuse >

Notre oeuvre du mardi 4 août, par 23°, vers 19 h30



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Chers amis

Bonjour
Quel ne fut pas notre plaisir, à ma "coquine" et à moi, de découvrir la nouvelle chronique de notre ami "bitnik".
Cette étude de moeurs du monde antique, ces connaissances mythologiques, ce savoir livresque, nous ont étonné puis ravi. Merci cher ami.
Tant d'érudition laisse d'abord perplexe puis admiratif. Falus et Clito, méritent qu'on les découvre encore et encore. Sans évoquer Hannus.

Aussi, cher "bitnik", je tiens à vous remercier pour cette nouvelle contribution à la culture générale de nos contemporains.
Tant d'intervenants, tant de lecteurs et tant de membres découvrent, chaque jour, ravis, vos chroniques vibrantes.
Tant de nos amis, la larme à l'oeil, reconnaissants, sont devenus vos fidèles et inconditionnels admirateurs. Nous en sommes.

Hier matin, comme tous les jours, nous avons ouvert pour dix heure. Avec le retour des chaleurs et du soleil, la fréquentation était gérable.
Moins de visiteurs. Moins de touristes. Moins d'estivants. Mais plus de qualité au détriment de la quantité. Préférable et nécessaire.
Ma complice, vêtue légèrement de sa jupette, de son T-shirt et chaussée de ses "basket", a pu se livrer à ses activités ludiques habituelles.

En soirée, comme chaque soir, nous avons fermé pour dix neuf heure. Direction le parking du petit port de plaisance pour y garer la voiture.
Montée du chemin jusqu'au vieux cimetierre. Là, pressés de nous livrer à nos rituels pisseux, nous avons marqué une pose avant la randonnée.
Ma "coquine", accroupit au milieu du chemin, jupette relevée, cuisses écartées, nous a dessiné la carte de la Suisse. Une réussite.

Puis, me saisissant par le chibre, de sa main toujours ferme mais délicate, telle un petit chien en laisse, elle m'a emmené devant le mur.
Là, debouts l'un à côté de l'autre, me tenant la bite pour en diriger le jet, elle se livra à la peinture au pistolet.
Nous découvrons ci-dessous < Approche humaniste d'un atavisme générationnel >, merveilleuse création murale, par 24°, vers 19 h30.

Notre oeuvre du mercredi 6 août, par 24°, vers 19 h30.



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Cher amis

Bonjour
Merci à notre ami "bitnik" pour sa chronique pertinente portant un regard acéré sur les réalités les plus évidentes.
Une fois encore, ce matin, ma "coquine" et moi, nous nous sommes beaucoup amusés à la lecteure des écrits de "bitnik".
Cher "bitnik", ma complice reçoit vos compliments avec un plaisir, doublé d'une émotion, qui laissent ravit, heureux et pantois.

Hier encore, comme chaque matin, nous avons ouvert notre espace d'exposition avec impatience et fébrilité.
Avec le retour des grosses chaleurs, ma "coquine", légèrement vêtue, est à se réjouir des visiteurs de qualité.
Rien ne lui est plus pénible que ces arrivées massives de Simpsons fuyant la grisaille en envahissant tous les lieux.

Jusqu'au 15 août, c'est la dernière ligne droite. En effet, la fréquentation touristique va décliner après cette date.
Aussi, il nous faut nous faire une raison des fréquentations peu qualitatives de cette première quinzaine d'août.
Ma "coquine", vêtue de sa jupette, de son T-shirt et chaussée de ses "basket", affronte ces chaleurs dans les meilleures dispositions.

Hier après-midi, entre deux couples de visiteurs, elle n'a pas arrêté de m'allumer avec son tempérament méridionale et sanguin.
M'embrasser, me tripoter, me chuchoter des cochonneries, parfois me raconter des anecdotes amusantes, tels sont ses petites occupations ludiques.
Accroupie à chaque opportunité ou assise, cuisses écartées pour me présenter sa magnifique et abondante touffe noire, je suis son inconditionnel.

A midi, repas à la terrasse du salon de thé du petit port de plaisance. Puis, baise dans les dunes de Sainte-Anne.
Le soir, fermeture à dix neuf heure. Direction le chemin du vieux cimetierre. Puis montée du chemin jusqu'aux sentiers.
Là, dans la brise de la soirée chaude qui s'annonce, nous nous livrons, insouciants, à nos rituels pisseux et artistiques.

Hier soir, sous le regard d'une jeune femme promenant son chien, à une centaine de mètres, ma "coquine" à réalisé sa première oeuvre.
Accroupie, jupe relevée, ne se doutant pas d'être vue, mais le souhaitant, par plusieurs jets nets et précis, elle nous a dessiné la carte du Portugal.
Son portugal d'origine, représenté là, dans sa majesté absolue, avec la finesse et le talent habituels. Un enchantement.

Relevée, ouvrant la braguette de mon bermuda, m'en sortant le chibre, elle s'en saisit pour m'entraîner devant le mur.
Là, de sa poigne ferme, douce, agile, me tenant la bite pour en diriger le jet, elle créa une de ces nouvelles fresques murales qui nous ravissent.
Je dois préciser que ma participation se limite à fournir le liquide. L'action créative, le trait magnifique, sont le fait de ma "coquine".

Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ébahis < Archaïsme médiéval de la mystique Cathare >.

Notre réalisation du jeudi 6 août, par 27°, vers 19 h30



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Chers amis

Bonjour
Il est obligatoire de commencer cette rubrique par le témoignage admiratif de la découverte de la chronique de "bitnik".
En effet, notre ami "bitnik" nous apporte, par son savoir livresque et culturel, une approche historique indéniable.
Notre ami avance jésuitiquement dans la foule en distribuant de la connaissance, de la culture et de l'érudition.

Cher ami, cher "bitnik", sachez que ma "coquine" et moi faisons partie de vos admirateurs et de vos inconditionnels.
Le jour où vous n'aurez plus le temps de nous offrir vos chroniques quotidiennes sera d'une infinie tristesse. Difficile.
Aussi, c'est avec bonheur, avec cet appétit pour les beaux écrits, que, chaque jour, nous savourons vos remarquables interventions.

Votre présentation du drame cathare, causé par l'ignoble Simon de Montfort, comte de Toulouse est riche d'enseignements.
Simon de Montfort, bras armé du roi de France Philippe III, dit Philippe le Hardy, agissant pour le Pape Innocent III, fut le criminel que l'on sait.
Inutile de revevenir sur la terreur de l'inquisition, des Dominicains et de leurs crimes abominables contre les hérétiques.

En fait, il était question d'asseoir l'autorité de l'église de Rome en manipulant le roi de France pour empêcher l'indépendance de l'Occitanie.
Il fallait trouver un prétexte pour mettre un terme à l'exemplaire extention économique de l'Occitanie de l'époque.
Il fallait éradiquer ces idées d'indépendance de la pensée, de la réussite personnelle et surtout du libre-arbitre.

Cher "bitnik", vous développez tout cela avec votre admirable sémantique habituelle. Avec votre érudition exemplaire.

Hier, à dix heure du matin, comme chaque jour, ma "coquine" et moi, avons ouvert notre espace d'exposition.
Avec cette météo, à nouveau caniculaire, la fréquentation touristique est retombée à un rythme plus gérable.
Vêtue de sa jupette, de son T-shirt, chaussée de ses "basket", ma "coquine" exprime à la perfection la légèreté estivale.

Assumant à la perfection ce délicieux côté "salope" dont je raffole, ma complice sait tourmenter mes sens avec raffinement.
Elle sait également tourmenter les sens de certains quidams qu'elle choisit comme "victimes" de ces petits jeux exhibitionnistes.
Hier encore, accroupie à côté de la petite table ronde, faisant semblant de fouiller dans son panier, elle offrait des vues magnifiques.

A la fermeture de midi, nous sommes allés au petit port de plaisance pour manger à la terrasse du salon de thé.
Ouverture à quatorze heure après la baise dans les dunes de Sainte-Anne. Un peu de sable collant aux trous de nos culs.
En soirée, fermeture pour dix neuf heure. Direction le port de plaisance, le chemin et le vieux cimetierre.

Arrivés la-haut, à la croisée des chemins, ma complice, à nouveau accroupie au milieu du chemin, nous réalisa une oeuvre superbe.
Cette fois ci, elle dessina la Corse. Et chacun sait la difficulté de représenter la Corse. De plus, elle rajouta la Sardaigne !
Une telle virtuosité relève du prodige. Un trait fin, régulier, exécuté à l'échelle 1 / 250 000, (1 km = 2,5 cm). Sublime réalisation.

Puis, se relevant, m'attrapant par la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle se livra à sa seconde création.
De sa poigne douce mais ferme, avec ce tracé remarquable, ma "coquine" nous offre cette nouvelle réalisation.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux admiratifs < Illusion fragmentaire d'une approche tantrique >.

Notre chef-d'oeuvre du vendredi 7 juillet, par 27°, vers 19 h30.



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Chers amis

Bonjour
Il me faut commencer mon intervention par mes compliments ainsi que mes remerciements à notre ami "bitnik".
En effet, une fois encore, ma "coquine" et moi, sous l'emprise de notre admiration pour ses proses, nous nous devons d'en témoigner.
Cher "bitnik", outre le plaisir de vous lire, il y a la satisfaction culturelle que procurent vos savoirs divers et variés.

Votre chronique de hier, cher "bitnik", une fois encore, éclaire de sa lumière habituelle, ce que nous supputions.
Votre approche de des philosophies très "Feng Shui", montre votre profonde connaissance de toutes ces disciplines orientales.
Vous aussi, sans doute, avez eu l'occasion de vous gausser de toutes ces théories, plus farfelues les unes que les autres.

C'est donc en pensant à vous, en relisant votre chronique exemplaire consacrée à ces pratiques, que j'ai intitulé mon œuvre de hier.
En effet, cet intitulé < Extase prosaïque d'une chimère fataliste > est un hommage, certes maladroit, mais sincère au développement de votre thèse.
Veuillez en trouver le témoignage d'une profonde reconnaissance. Nous qui volons, chaque jour, loin au-dessus des prosaïsmes humains.

Hier, matin, comme tous les samedis matin, avant d'ouvrir notre espace d'exposition, nous sommes allés à notre banque.
Comme chacun d'entre nous, il nous faut de l'argent liquide pour assurer la logistique de nos existences durant la semaine.
Nous sommes donc "tombés", sans nous faire le moindre mal, sur Chantal Mouyet, la gentille femme de ménage de la banque.

Cette dernière, heureuse de nous voir, me dit comme ça : < Extase prosaïque ? Ne serait-il pas plus juste de préciser extase prostatique ? >.
Contente de son bon mot, riant toute seule de sa plaisanterie, Chantal Mouyet continua à passer l'aspirateur sous nos regards dubitatifs.
C'est vrai que le fait de pisser debout sollicite la prostate. Mais de là à en faire une plaisanterie, il n'y a que Chantal Mouyet pour la tenter !

A midi, comme chaque jour, avec ces grosses chaleurs, nous sommes allés manger à la terrasse du salon de thé.
Ma "coquine", toujours aussi peu vêtue, a encore pu se livrer à ses petites exhibitions pour le plus grand plaisirs de quelques inconnus.
Inconnus tout de même choisis avec soin. Quidams ravis qui, souvent bêtement repassent une seconde fois pour regarder encore.

En soirée, à dix neuf heure, fermeture pour filer au parking du petit PORC de plaisance. Puis montée au vieux cimetierre.
Là, accroupie au milieu du chemin, ma complice nous a gratifier d'une œuvre majeure. La carte de la Dordogne. Magnifique.
Puis, se relevant, me saisissant par la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle se livra à sa seconde création.

Nous découvrons, ci-dessous, cette œuvre extraordinaire < Extase prosaïque d'une chimère fataliste >
Une œuvre dédiée à notre ami "bitnik", faut-il le rappeler à nos admirateurs émerveillés ?

Notre création murale du samedi 8 août, par 27°, vers 19 h30



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En cliquant sur l'image ci-dessous, on découvre ce qu'affirme cette admiratrice sur la feuille de papier qu'elle nous présente.



Bonne journée à toutes et à tous...

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Chers amis

Bonjour
Il est impossible de commencer ce récit sans évoquer la chronique de notre ami "bitnik". La chronique dominicale.
Cher "bitnik", je souhaite d'abord, et de tout cœur, que votre manifestation de hier a connu le succès qu'elle méritait.
J'ai pensé à vous. Comme toujours, lorsque la cause est juste, les médias refusent d'en parler. Refus évident d'informer.

J'imagine ce départ, depuis les WC publics, devant la Mairie du village. Les participants, porteurs de pancartes et de banderoles.
Je pense à l'émotion qui a du animer les esprits lors de ce défilé jusqu'aux murs du cimetierre pour la célébration.
J'imagine toutes ces créations qui ont du en décorer la pierre, les briques et le ciment encore frais des préparatifs.

Aussi, une fois encore, je me joins à vous, par l'esprit et par la profonde motivation qui nous anime tous deux.
< Activisme spirituel d'une méditation transcendantale >, trouve ici toute sa signification, lourde de sens.
Car, dans la protection des traditions créatives sur fresques murales, il faut un activisme, spirituel, certes, mais physique également.

Hier, avec ma "coquine", observant une certaine gravité, nous avons ouvert notre galerie à neuf heure quarante cinq.
Ce quart d'heure d'avance était notre façon de marquer notre soutien à votre cause, cher "bitnik". Une commémoration.
Il a fait chaud toute la journée malgré un ciel gris, lourd et couvert. Une journée à marquer de la pierre de tous les murs.

A midi, comme chaque jour, nous sommes allés manger, assis à la terrasse du salon de thé, au petit port de plaisance.
Ma "coquine", légèrement vêtue d'une de ces jupettes, a redoublé d'activisme, toujours dans un esprit de soutient.
Croisant et décroisant ses jambes, à la peau mate, avec des exagérations propres à toutes les vraies exhibitionnistes.

Un quidam, sur sa bicyclette, s'arrêta même sur le trottoir d'en face, faisant mine de regarder la vitrine des pompes funèbres.
En fait le bougre utilisait le verre de cette même vitrine, comme le reflet d'un rétroviseur, pour scruter l'activisme de ma "coquine".
Après s'être rincé l'œil, longuement, il s'en est retourné, manquant de renverser un petit vieux qui, tenant son chien, mâtait, lui aussi.

Après la petite baise, dans les dunes de Sainte-Anne, nous sommes retournés ouvrir la galerie pour quatorze heure.
Allumée par son activisme transcendant, ma complice s'est choisi quelques "victimes" parmis les rares visiteur de l'après-midi.
En soirée, à dix neuf heure, pressés de filer au petit PORC de plaisance, nous avons fermé la boutique. Fébriles.

En montant le chemin qui mêne au vieux cimetierre, nous avons croisé quelques rares promeneurs dont le vieux monsieur au chien.
L'occasion rêvée, pour ma "coquine", d'enfoncer le clou et d'offrir un de ses magnifiques spectacles pisseux.
Acrroupie au milieu du chemin, les cuisses écartées, elle nous dessina la carte de la Normandie. Avec l'aiguille de la falaise !

Le promeneur de chien, s'étant arrêté à une cinquantaine de mètres, derrière le muret, observait cet acte créatif avec attention.
Ma "coquine", jamais aussi heureuse que lorsqu'elle se sait observée, s'est donc livrée à une démonstration artistique absolument fabuleuse.
Moi, caché derrière la petite chapelle, pour "sécuriser" l'instant et "l'action painting", je m'amusais à surveiller tout cela.

Après sa réalisation cartographique, elle s'est relevée pour venir me rejoindre. De là, nous pouvions voir le vieux entrain d'étudier la Normandie.
Me tenant la bite, afin d'en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" se livra à sa seconde création.
Nous découvrons donc, ci-dessous, sous nos yeus ébahis, < Activisme spirituel d'une méditation transcendantale >.

Notre œuvre du dimanche 9 août, par 26°, vers 19 h30 (Une œuvre également appellée < Les six bourgeois de Calais >).



Pour l'agrandir, si on veut, on peut cliquer sur l'image.

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Chers amis

Bonjour
Ce matin, pour notre plus grande joie, ma "coquine" et moi, nous avons découvert la chronique de notre ami "bitnik".
Tout d'abord, cher ami virtuel, cher "bitnik", laissez moi, une fois encore, et devant tout le forum, vous remercier.
Vous remercier pour ces petits moments de plaisirs raffinés, toujours subtils, que vous nous offrez chaque jour.

Ma complice se joint également à moi pour vous témoigner de notre admiration pour votre superbe avatar.
Sans doute un des plus beaux avatars de tout le forum. Une symbiose parfaite entre le symbole de l'image et le pseudo.
C'est une sorte de concept qui reflète le soucis d'être en parfaite adéquation entre le message et son intention.

Nous savons que tout cela n'aura qu'un temps, aussi, volant loin au-dessus du vulgus pecum, nous savourons vos interventions.
Mais, tout ça, vous le savez déjà, alors pourquoi le répéter, me demanderez-vous, légitimement, en vous haussant du col.
Parce qu'on ne dit jamais assez, cher "bitnik", aux gens qu'on aime, qu'on les aime. Aussi, voilà une occasion supplémentaire de le faire...

Hier matin, comme chaque jour à dix heure, avec impatience, nous avons ouvert notre espace d'exposition.
Ce temps plutôt étrange, un ciel de plomb, sec, sans pluie mais menaçant, une grande douceur mais rafraîchissante.
Tout cela offrant la certitude de voir défiler nombre d'estivants ne sachant choisir entre les plages et les terres.

Effectivement, la fréquentation alla crescendo toute la journée. La matinée fur riche en échanges picturaux avec nombre d'amateurs souvent éclairés.
A midi, nous avons fermé pour nous dépêcher d'aller manger à la terrasse du salon de thé, au petit PORC de plaisance.
Légèrement vêtue, ma "coquine" a pu se livrer à ses penchants naturels pour la plus grande joie des "élus" et de la notre.
Ensuite, avec une fougue rare, dans la voiture, toutes fenêtres ouvertes, ma belle m'a taillé une de ces pipes mémorables.

Nous avons ouvert pour quatorze heure. Encore animés des vertiges de cette fellation, nous avons reçu les visiteurs.
Les après-midi voient défiler ces familles de Simpson's qui nous amusent tant. Hier encore, il y eut une famille méritant la "médaille".
Nous avons bien ri du comportement des quatres membres, mangeant des cônes glacés, sans gêne, en laissant dégouliner partout.

En soirée, pour dix neuf heure, pressés d'aller randonner au-dessus des falaises, nous avons fermé la galerie.
La voiture garée sur le parking de la capitainerie du petit PORC de plaisance, nous sommes montés au vieux cimetierre.
Quelques promeneurs qui descendaient, nous croisaient en nous saluant. Pas de quidam seul. Pas de promeneur de chien.

Arrivée à la croisée des chemins, avec joie et célérité, nous avons procédé, soigneusement, à nos rituels pisseux.
Ma "coquine", jupette relevée, cuisses écartées, offrant la vision d'une merveilleuse salope, pissa de quelques jets puissants.
Maîtrisant le propos avec cette admirable virtuosité dont elle est coutumière, elle nous dessina la carte de l'Irlande.

< Ah ! L'Irlande ! > préciserons les connaisseurs. Cette côte finement découpée au Nord de Dublin. Du grand Art.
Puis, après sa création étonnante, ma "coquine" s'empara de mon chibre, me tenant par la bite pour en diriger le jet contre le mur.
Nous découvrons donc, ci-dessous, cette œuvre magnifique < Emotion suintante d'un épanchement granitique >

Notre réalisation du lundi 10 août, par 23°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

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Nos amis, amateurs d'Art, pourront découvrir ici, sur ce magnifique cliché, la première œuvre de la série des "Emotions".
Emotions diverses qui nous accompageront tout au long de cette nouvelle semaine...

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Chers amis

Bonjour
Assis l'un à côté de l'autre, ma complice et moi, sourire aux lèvres, une fois encore, nous avons pris beaucoup de plaisir.
Beaucoup de plaisir à lire la chronique de notre ami "bitnik". Une fois encore devant un écrit admirable et passionnant.
Cher ami "bitnik", à la verve plumitive exemplaire et unique, nous vous remercions pour cette nouvelle prose.

Certes, la plupart de nos amis lecteurs, curieux et assoiffés de savoir, viennent sur ce site pour des études anatomiques.
Comme vous le précisez, cher "bitnik", tous ces jeunes gens viennent parfaire leurs connaissances en physiologie.
L'étude de tous ces comportements humains nous ravissent, nous émeuvent et suscitent bien des interrogations.

Longtemps, nos considérations intellectuelles, nos observations "analytiques", m'ont poussé à me dire < Pourquoi > ?
Comme vous, cher "bitnik", j'ai hésité avant de m'aventurer dans des sujets et des considérations plus culturels.
Etait-ce bien le lieu ? Etait-ce bien l'endroit ? N'était-il pas préférable de rester dans l'écume des choses, dans le superficiel de la culotte sale ?

De révéler ainsi, avoir découvert le fondement de mes création murales, m'enchante. Je ne suis plus l'artiste incompris.
Rares sont les intervenants à bien comprendre ce que symbolise ce mur sur lequel, tous les jours, je viens épancher mon ressenti.
C'est souvent à la lecture des innombrables sujets postés que je trouve l'inspiration pour créer, ainsi, avec une telle profusion.
Question inspiration, ce forum n'est à nul autre pareil. J'invite tous les artistes à venir y trouver inspiration, motivation.

Hier, avec ma "coquine", comme chaque jour, nous avons ouvert notre espace d'exposition pour dix heure. Il faisait déjà lourd.
Un temps orageux, chaud et presque oppressant. Heureusement, la fréquentation fut très aléatoire, les estivants préférant les plages.
Ce fut donc des visites de qualité. Principalement des couples de retraités au pouvoir d'achat évident, appréciant la belle peinture.

A midi, comme toujours, nous avons partagé notre repas à la terrasse du salon de thé, au petit PORC de plaisance.
Comme toujours, légèrement vêtue, ma "coquine" s'est livrée à ses amusements ludiques en précisant : < Show must go on > !
Nous avons eu la surprise de revoir le vieux monsieur au chien, admirateur de la cartographie géographique instantanée.

Après la baise, dans les dunes de Sainte-Anne, nous avons ouvert la galerie pour quatorze heure. Il faisait très chaud.
Les "affaires" vont bon train. Les collectionneurs choisissent les bons moments en se mettant à l'abri du soleil.
Le soir, fermeture à dix neuf heure et direction le parking de la capitainerie du PORC de plaisance. Montée du chemin.

Arrivée au vieux cimetierrre, à la croisée du chemin, quelle ne fut pas notre surprise de revoir notre vieux passionné de géographie.
Se tenant à distance, le quidam promenait son petit chien. Un animal évoquant une longue saucisse et qui imitait mes créations avec zèle.
Ma "coquine", profitant de l'aubaine, accroupie, les cuisses écartées, réalisa avec cette spontanéité désinvolte habituelle, une merveille.

Au sol, lorsqu'elle se releva, sous nos yeux ébahis, nous pouvions découvrir la carte de la Colombie Britanique !
Lorsque ma "coquine" est venue me rejoindre, nous avons pu regarder, cachés, le vieux monsieur entrain d'observer la carte.
Il scrutait avec attention, observant avec le soin d'un ethnologue, pendant que son chien reniflait l'œuvre d'une concurrente.

Puis, me tenant la bite, pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine se livra à la peinture au pistolet, pour sa seconde réalisation.
Je dois le préciser. L'émotion est intense. Surout lorsque j'admire sa poigne douce et fermme secouer les dernières gouttes.
Pour parfaire une courbe, pour achever un galbe, pour terminer un trait lyrique, je peux la voir secouer ma bite avec passion.

Nous découvrons donc, ci-dessous < Emotion subliminale de la mystique Templière >

Notre œuvre du mardi 11 août, par 27°, vers 19 h30



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Chers amis lecteurs

Bonjour

Nous voilà arrivés à la fin de la première page.
Nous allons passer en page 2

Pour marquer cet évènement, il me faut remercier ici tous nos amis lecteurs, bien sûr, mais également Bob.
C'est grâce à Bob et à son forum à nul autre pareil que nous pouvons nous amuser ainsi.

Merci Bob pour cet espace de liberté, cet espace de créativité, cet espace de convivialités et de renconctres parfois.
Souhaitons que ce forum perdure, rencontre encore plus de succès et anime Internet d'une originalité et d'une qualité unique.

Je vous retrouve dans le haut de la page 2 pour la suite de mon sujet < Elle me tient la bite pour endiriger le jet contre le mur >.



Votre obligé

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Chers amis

Bonjour
Comme chaque matin, pressé d'en témoigner, je tiens à remercier notre ami "bitnik" pour la qualité de sa chronique de hier.
Cher "bitnik", votre érudition n'a d'égale que la qualité de votre plume. Je recommande votre résumé de l'historique Templière.
Votre approche, qui est une fausse vulgarisation de cette histoire obscure, est un remarquable condensé de savoir.

Vous précisez toutes les choses fondamentales. Ces chevaliers-guerriers, dont la mission véritable, restée secrète, est devenue un mythe.
Leurs inventions multiples dans tous les domaines. Et tout particulièrement dans le domaine financier. L'invention de la banque !
A l'époque, on pouvait déposer 100 pièces d'or dans la commanderie de Calais. En échange nous recevions une lettre de change.
Arrivés à la commanderie de Carcassonne, sur simple remise de cette lettre de change, nous pouvions récupérer nos cent pièces d'or...

Sans évoquer la gestion des terres, leurs irrigation, l'invention des moulins destinés à réguler les niveaux des marécages.
Leurs connaissances architecturales, ramenées de contrées lointaines, qui ont permis l'édification des cathédrales.
L'exploitation des premières industries, l'élaboration des stratégies administratives pour gérer les villes et communes.

Et, pour appuyer vos écrits, cher "bitnik", je rajouterais cette curieuse anecdote. Lous XVI, roi de France est condamné à mort.
Lorsque sa tête tombe, le 21 janvier 1793, un aristocrate, élégamment vêtu, jaillit de la foule. Rapidement, il s'avance.
Trempant son mouchoir dans le sang encore chaud du monarque, il s'écrit : < Jacques de Molley, tu es vengé ! >.

Malgré la dissolution de l'ordre du Temple, ordonnée par Fifi, (Philippe-le-Bel), cet ordre aurait donc continué d'exister en secret.
Aurait-il perduré sous le nom des fameux "Illuminés de Bavière" ? Serait-il devenu la Franc-Maconnerie ? Autant de supputations.
Comme on peut s'en rendre compte, l'ordre du Temple, comme nous l'apprend notre ami "bitnik", est emprunt de mystère.

Hier, en soirée, à dix neuf heure, encore tout amusés et retournés par les écrits de "bitnik", nous avons fermé la galerie.
A toute vitesse, mais en la respectant sur la route, ma "coquine" et moi sommes arrivés au petit PORC de plaisance.
Voiture garée sur le parking de la capitainerie du PORC, nous sommes montés au vieux cimetierre. Le petit vieux était là.

Le quidam, promeneur de chien, a sans doute repéré notre petit manège. Amateur de cartographie, il commence une collection.
Aussi, ma complice, toujours soucieuse de servir son prochain, avec cet altruisme admirable, se mit en position créative.
Accroupie au milieu du chemin, par plusiers jets puissants, ma "coquine" réalisa une slendide carte de la Lorraine.

Dès que ma belle vint me rejoindre dans ma cachette, nous pouvions découvrir que le petit vieux admirait la carte avec attention.
Pendant ce temps, me tenant par la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" réalisa sa seconde création.
Nous découvrons, ci-dessous, en hommage aux vieille croyances mysthiques Templières :
< Emotion olfactive d'une résurgence méphitique >

Notre création du mercredi 12 août, par 28°, vers 19 h30



En cliquant sur l'image afin de l'agrandir, nous pouvons découvrir cet hommage au passage du style Roman au style Gothique...

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Chers amis

Bonjour
C'est toujours le même plaisir, chaque matin, pour ma "coquine" et moi, de parcourir la chronique de notre ami "bitnik".
Une fois encore, le sourire aux lèvres, (de la bouche), ma complice m'a fait remarquer à quel point l'écrit est unique.
Et c'est vrai que l'expression écrite est la toute première qualité des textes de notre meilleur ami virtuel "bitnik".

Hier matin, comme chaque matin, nous avons ouvert la galerie pour dix heure. Avec ces grosses chaleurs, peu de visiteurs.
Nous avons donc le privilège d'avoir des touristes réellement intéressés par l'art, la peinture et les belle jeunes filles.
Ma "coquine", légèrement vêtue, est une attraction supplémentaire. Comme les cimaises se vident, c'est appréciable.

A midi, fermeture. Nous nous dépêchons de nous rendre au petit port de plaisance. C'est beau un port Breton.
Là, assis à la terrasse habituelle de notre salon de thé, nous dégustons notre repas tiré de nos Tupperware.
Nous avons remarqué que, depuis quelques jours, le petit vieux, promeneur de chien, passe sur le trottoir d'en face.

Le bougre s'arrête toujours au même endroit, entre la boîte aux lettres jaune et la vitrine des pompes funèbres.
Là, en louchant, au risque de se déboîter les globes oculaires, notre retraité mâte avec l'attention d'un entomologiste.
Ma "coquine", toujours soucieuse de faire plaisir, joue donc de ces jambes sous la table. Me faisant du coude en riant.

Après la baise dans les dunes de Sainte-Anne, nous retournons ouvrir pour quatorze heure. Les visites reprennent.
Nous bavardons avec les regardants qui nous posent toujours beaucoup de questions sur mon travail. C'est plaisant.
Entre deux visiteurs, ma complice se plonge dans la lecture d'un livre et moi, devant mon chevalet, je dessine ou je peins.

En soirée, à dix neuf heure, nous fermons pour nous dépêcher de nous rendre au port de plaisance. C'est beau un port Breton.
Nous garons la voiture sur le parking de la capitainerie du port. C'est si beau un port Breton, le soir, au couché du soleil.
Puis nous gravissons le chemin qui monte au vieux cimetierre. De là-haut, la vue sur l'océan ou le port, est magnifique.

Quelle n'est pas notre surprise, depuis quelques soirs, de voir le vieux promeneur de chien se promener là-haut.
Le bougre à repéré notre petit manège. Depuis ma cachette, je peux le voir, dissimulé derrière un bosquet. Il mâte.
Hier soir, il avait même amené une de ces petites paires de jumelles. Armé de cet accessoire, il peut parfaitement scruter.

Ma "coquine", accroupie au milieu du chemin, jupette relevée, nous a dessiné une magnifique carte du Gers. Superbe !
Comme toujours, elle marque l'emplacement exacte du chef-lieu du département à l'aide d'un bout de papier-torché.
Lorsqu'elle vient me rejoindre, nous pouvons voir le petit vieux, absorbé par l'observation médidative de la carte.

Puis, avant de partir pour notre randonnée au-dessus des falaises, ma complice me saisit le chibre pour sa seconde création.
Debout devant le mur, me tenant la bite pour en diriger le jet, virtuose de la peinture au pistolet, elle dessine.
Nous découvrons, sous nos yeux ébahis : < Emotion philosophique d'un dilettantisme Breton >.

Cette œuvre illustre notre séjour dans cette merveilleuse région de ma chère Bretagne. Même s'il faut "assurer", c'est plaisant.
L'amateur d'Art pourra découvrir, dans cette nouvelle construction artistique, le coup de main extraordinaire de ma "coquine".
C'est une émotion de la voir diriger le jet, de la voir secouer les dernières gouttes pour affiner la dernière courbe.

Notre création murale du jeudi 13 août, par 24°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image, si on veut...

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C'est beau un PORC Breton, le soir, dans le soleil couchant, à marée basse...

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Chers amis

Bonjour
Que pourrais-je rajouter à la chronique de "bitnik" ? Tout est dit. Tout est clair. Tout est net. Une fois encore.
Cher "bitnik", même si votre propos reste pertinent, force est de constater qu'il reste plein de cet humanisme plaisant.
Chacun pourra donc se faire une idée très juste du sujet developpé. Surtout lorsque vous en évoquez les origines.

C'est vrai que ma démarche artistique peut, au premier abord, susciter une bien légitime interrogation chez le regardant.
C'est un peu l'Art des origines. Tel l'homme des origines, utilisant la paroie de sa caverne, j'utilise un support naturel.
Même si je ne crois pas un seul instant à l'histoire tel qu'on nous l'impose, je reste proche de cette approche pariétale.

C'est exclusivement avec des substances primaires, naturelles et écologiques que je réalise mes créations murales.
Tel le peintre à fresques, j'envisage la surface à remplir avec un à propos comparable à celui de l'artiste de la Renaissance.
Un peu dans l'idée des mosaïques romaines du XI ème siècle avant J.C.D. (Jean-Claude Decaux), retrouvées à Pompéi ou au Colisée.

Il me faut donc ici, cher "bitnik", tout comme vous, rassurer nos jeunes lecteurs, d'abord intéressés par l'anatomie.
Il n'est pas rare que dans un message privé, une jeune lectrice me demande un renseignement ou un conseil artistique.
Je sais alors, par mes recommandations, guider sa recherche spirituel, orienter ses penchants créatifs et l'aider dans sa quête.

Hier, avec cette météorologie détestable, nous avons vu notre espace d'exposition littéralement envahi de touristes.
C'était l'avant dernier jour des vacances de la plupart d'entre eux et, avec ce temps médiocre, il leur fallait s'occuper.
C'est donc toujours, pour ma "coquine" et moi, une épreuve redoutable. Nous ne sommes ni "Tour-Opérators" ni animateurs.

Aujourd'hui, c'est le retour à la maison pour beaucoup de vacanciers. Inéluctablement, la saison tire vers sa fin.
Pour moi, lorsque s'achève le tour de France cycliste, se termine également une partie de l'enchantement paradisiaque de mon été.
Lorsque nous dépassons la date fatidique du 15 août, se terminent également les craintes et les angoisses artistiques.

Les affaires ont été excellentes. C'est donc avec cette émotion extatique que je suis envahi d'une sérénité sprituelle.
Il nous fallait, à ma complice de cette saison et moi, marquer cette émotion avec une nouvelle œuvre observable ci-dessous.
Aussi, malgré le temps déplorable, sous le fameux crachin Breton, profitant d'une accalmie, nous sommes montés au vieux cimetierre.

Le sol étant trempé, ma "coquine", frustrée, n'a pas pu réaliser une de ses merveilleuses reproductions cartographiques.
C'est donc, comme pour une catharsis qu'elle s'est emparée de mon zob, le tirant de son étui, trouvant ainsi l'exutoire idéal.
Sous le parapluie, qui nous abritait de la bruine, me tenant la bite pour en diriger le jet, elle décora ce mur miraculeusement sec.

Nous découvrons, ci-dessous, cette œuvre emprunte de profondeur : < Emotion extatique d'une sérénité spirituelle >

Notre création du vendredi 14 août, par 20°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, si on veut, on peut cliquer sur l'image.
L'intensité dramatique de l'ensemble sera immédiatement perceptible. Je m'en excuse auprès du lecteur...

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Chers amis

Bonjour
En ce dimanche 16 août, sous ce ciel et bleu lumineux revenu, j'écris ces lignes à l'attention de notre ami "bitnik".
J'écris également ces lignes à l'attention de tous nos lecteurs. Ce sujet < Elle me tient la bite > a été ouvert plus de 2 900 fois !
Ce n'est pas rien. En quatre semaines de parution, d'une régularité métronomique, c'est donc un franc succès. Merci Bob !

Cher "bitnik", votre manière d'attrapper le ballon au vol et d'en faire votre propre développement est remarquable.
Aussi, aujourd'hui encore, je vous tends une perche qui saura susciter votre inspiration pour notre plus grand plaisir.
Avec notre création de hier, samedi, < Emotion transcendante de l'irrationnel suranné >, nous pénétrons l'ésotérisme.

Là-haut, sur la lande bretonne, tout autour du vieux cimetierre, le spectacle grandiose du paysage est époustouflant.
Avec la brume de ces derniers jours, l'ambiance aurait pu inspirer un Charles Dickens ou encore un Bram Stoker.
Il n'est donc pas rare de dicerner, le soir, à la tombée de la nuit, au retour de nos randonnées, des formes étranges.

Cet endroit est réputé être hanté. Sans doute l'esprit des "dormants" du vieux cimetierre qui se réveillent pour la nuit.
Aussi, avec ma "coquine", nous accélérons le pas, vers vingt deux heure quinze, en passant à côté du fameux mur.
Nos créations sont-elles dignes de tous ces revenants désireux de venir danser une Laridé de Locminé dans la nuit ?

Sans évoquer l'Ankou et sa faux, venu du royaume des ombres, pour attrapper quelques promeneurs égarés sur la lande.
Parfois, nous entendons rire les Korrigans qui, eux aussi, profitent de la nuit pour venir faire quelques espiègleries.
Les Korrigans, ces lutins malicieux qui doivent apprécier nos créations murales, en collectionnant sans doute leurs images.

Comme vous pouvez le constater, cher "bitnik", en ce beau dimanche, ce ne seront pas les sujets qui manqueront.
Je n'évoque même pas la légende de la ville d'Ys, sous la baie de Douarnenez, la ville du roi Gradlon engloutie sous les flots.
Le diable ayant séduit la fille du Roi, ce dernier, s'empara des clés de la porte de la cité, laissant s'y engouffrer l'océan.

Comme le lecteur pourra le constater, ces histoires anciennes sont les compagnes de nos réflexions durant nos promenades.
Il n'est pas rare que ma "coquine", se livrant à quelques show exaltants, n'évoque les fantômes du sentier des falaises.
C'est souvent d'un jet trenblant qu'elle trace alors la carte de quelques chasses aux trésors typiquement Bretonnes.

Hier, comme tous les matins, nous avons ouvert la galerie pour dix heure. Le flot des touristes a fait place à de simples visites.
Pour l'immense majorité des estivants, les vacances sont terminées. Nous aurons à présent des visiteurs de qualité.
Des retraités, des collectionneurs et des amateurs d'Art qui vont se faire de plus en plus nombreux, jusqu'au début septembre.

A midi, en ce samedi ensoleillé, nous sommes allés prendre notre repas, tirés de nos Tupperwares, au salon de thé.
Avec le retour du soleil, ce fut également le retour du petit vieux, promeneur de chien et amateur de belles jeunes filles.
Aussi, avec une certaine empathie pour les "anciens", ma "coquine" lui a proposé quelques vues imprenables sous sa jupette.

Après la petite baise, où nous nous sommes secoués dans notre cachette des dunes de Saint-Anne, ouverture pour quatorze heure.
En soirée, fermeture à dix neuf heure. Retour au petit port de plaisance. Voiture garée sur le parking de la capitainerie.
Montée sur le chemin sec jusqu'au vieux cimetierre. Nous croisons quelques promeneurs. Le petit vieux promène son chien.

Le retraité, promeneur de chien, comme à son habitude, nous a vu venir. A présent, ma "coquine" lui fait un "coucou" de la main.
Elle lui fait le même "coucou" qu'à midi, lorsque nous sommes assis à la terrasse du salon de thé. Le bougre est tout content.
Là-haut, faisant semblant de s'en aller, il se planque derrière les bosquets, sort ses petites jumelles et mâte comme le vieux salop qu'il est.

Là, pleine de cet altruisme que nous lui connaissons bien, ma "coquine" se met en pause-pipi, au milieu du chemin.
Hier soir, avec cette virtuosité coutumière, elle nous a dessiné la carte de la Bauce. Belle région de l'Eure-et-Loire.
Après m'avoir rejoint, nous avons observé le manège du retraité. Comme chaque soir, il est venu scruter cette réalisation cartographique.

Amusés, nous l'avons observé durant toute son étude. Le petit vieux tourne autour du dessin, son chien, lui, renifle la flaque concurrente.
Tout en regardant depuis notre cachette, ma "coquine" m'ouvre la braguette pour en extraire mon braquemard turgescent.
Il faut alors la voir, amusée, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur. Comme je bande, il lui faut fournir quelques efforts.

Nous découvrons, ci-dessous, cette magnifique œuvre ésotérique < Emotion transcendante de l'irrationnel suranné >

Notre création murale du samedi 15 aout, par 23°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image, si on veut...

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Chers amis

Bonjour
Cela fait plaisir de découvrir, chaque matin, les écrits des uns et des autres. Assis devant l'ordinateur, après le petit déjeuner.
Ma "coquine" et moi en éprouvons toujours une grande satisfaction. Notre chroniqueur et ami, ce cher "bitnik" sait nous faire sourire.
Tout comme il fait sourire nombre de lecteurs qui découvrent, chaque jour, sa prose étonnante et captivante. Merci.

Hier matin, à dix heure, sous le soleil revenu, nous avons ouvert notre espace d'exposition avec impatience.
La fréquentation touristique a considérablement baissé. C'est perceptible et bien visible. La place est souvent déserte en matinée.
Je n'ai plus grand chose à présenter et les cimaises se sont vidées. Il me faut encore tenir au moins jusqu'au 6 septembre.

En matinée, durant nos permanences, nous gêrons notre temps avec plaisir. Nous nous retrouvons souvent longuement seuls.
En effet, entre deux visites, nous avons du temps à nous consacrer. Aussi, téméraire et toujours "entreprenante", ma "coquine" sait me surprendre.
Elle a sa rentrée le lundi 31 août. Cette échéance professionnelle est également source de réjouissances et de surprises.

A midi, nous fermons. Le lecteur sait que nous partons pour le petit port de plaisance. C'est si beau un port Breton.
Avec la météo, nous prenons notre repas, tiré de nos Tupperwares, à l'intérieur du salon de thé. On nous voit dans la vitrine.
Aussi, ma "coquine" peut, tout à loisir, donner, discrètement, quelques show à des quidams passant dehors, dans la rue.

Après m'avoir taillé une superbe pipe, dans les dunes de Sainte-Anne, ma "coquine" et moi, nous ouvrons pour quatorze heure.
Les visites sont plus nombreuses. Comme j'évite d'éjaculer, je reste, grâce à cette pipe, très excité une grande partie de l'après-midi.
En soirée, direction le petit port de plaisance. C'est si beau un port Breton, le soir, au soleil couchant et à marée basse.

La voiture garée sur le parking de la capitainerie nous montons le long du chemin, les trois cent mètres, jusqu'au vieux cimetierre.
Le lecteur sait à présent tout cela mais il est toujours préférable de bien situer le lieu pour en partager les charmes.
Il ne faisait pas très chaud, hier soir. Aussi, ma "coquine", vêtue d'un pantalon et d'un sweat-shirt , affronte une certaine fraîcheur.

Le vieux promeneur de chien n'était pas là. Par contre, un jeune homme, seul, faisait voler un cerf-volant dans le vent.
Ma "coquine", me demandant de me cacher à l'endroit habituel, commenca par attirer l'attention de l'inconnu, à cent mètres.
A plusieurs reprises, il tourna la tête pour remarquer la "promeneuse". Il put donc la voir, accroupie, le pantalon à mi-cuisses.

Dessinant une magnifique carte de l'Oise, ma "coquine" concentrée, louchait toutefois en direction du jeune homme.
Ce dernier, s'étant rapproché, était entrain de se masturber entre les bosquets et la petite chapelle de pierre.
Sensible à ce témoignage d'un spectacle réussi, ma complice força le trait afin de bien définir les limites départementales.

Depuis ma cachette, je pouvais regarder et surveiller cette approche et même entendre le jeune homme s'écrier : < Vous seriez tentée par une pipe ? >
Ma "coquine" restant dans la position créative, releva la tête pour répondre : < Non merci, j'attends mon ami qui arrive bientôt ! >
Ces mots sont toujours dissuasifs et permettent de tempérer les ardeurs de certains messieurs ayant peu de réflexion.

Le jeune homme, regardant à gauche à droite, se rapprochant encore, devenait un peu trop entreprenant. Il fallait réagir.
Je sortait de ma cachette. Je faisais semblant d'arriver. A ma vue, l'inconnu se réajusta et disparu rapidement, tête basse.
Cette attitude masculine, assez fréquente, même si elle est pénible, reste quand même assez rare. Il y a quand même beaucoup de voyeur "tranquilles".

Debouts devant le mur, tous deux concentrés, ma "coquine", me tenant la bite pour en diriger le jet, nous réalisions un chef-d'œuvre.
Peinte au pistolet, nous découvrons ci-dessous, cette création dédiée aux korrigans, aux lutins et aux égrégores hantant la lande.
Cette création admirable restera un grand moment dans nos souvenirs communs. Liée à tout jamais à un cerf-volant.

Notre œuvre, intitulée < Emotion métaphysique des égrégores inspirés > est peinte d'un seul jet. Ce qui est rare.

Notre réalisation du dimanche 16 août, par 19°, vers 19 h30



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C'est beau un PORC Breton, le soir, au soleil couchant, à marée basse.

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Homme, 53 ans, France
Danser

Créations murales

Chers amis

Bonjour
Cette semaine sera placé sous l'égide des créations extatiques. Nous avons quitté, dimanche soir, le cycle des "Emotions".
Ces extases, souvent mystiques, seront toutefois d'intenses créations murales, développées jour après jour.
J'invite donc les amateurs d'Art à me suivre dans cette nouvelle et exaltante aventure créative.

Comme chaque année, à la même époque, la fréquentation touristique a considérablement baissé. C'est une fatalité.
Après le 15 août, il en va toujours ainsi. C'est inéluctable. Avec le retour du soleil, les estivants profitent du littoral.
Dans notre galerie, ma "coquine" et moi, nous sommes à nouveau dans une sorte de douce et appréciable quiétude.

Vêtue d'une de ses jupettes, d'un sweat-shirt fin et chaussée de ses "baskets", ma complice est attractive.
Le lecteur sait que cette grande jeune fille est une véritable "coquine". Aussi, sa présence, tout l'été, aura été sublime.
Nous aurons passé, tous deux, des moments uniques, parfois grandioses, mais toujours extrèmement qualitatifs.

Comme chaque jour, à midi, nous fermons la boutique. Direction le petit port de plaisance et notre salon de thé.
Lorsque la météo est clémente, nous mangeons, sur la terrasse, nos repas tirés de nos Tupperwares. Repas préparés la veille au soir.
Ensuite, nous allons nous livrer à quelques ébats sulfureux dans notre cachette située dans les dunes de Sainte-Anne.
Nous ouvrons pour quatorze heure pour fermer à dix neuf heure. L'après-midi, en fonction de la météo, étant plus ou moins "agitée".

Hier soir, comme chaque soir, nous avons garé la voiture sur le parking de la capitainerie du port de plaisance.
Nous sommes montés le long du chemin jusqu'au vieux cimetierre. Là, à la croisée des chemins, la vue sur l'océan est magnifique.
Il y a quelquefois des promeneurs que nous croisons sur les sentiers. Celui qui surplombe les falaises ou celui qui mène aux plages.

Il y avait notre vieux promeneur de chien. Le bougre a repéré notre petit manège. Nous le saluons en le croisant.
Hier soir, nous avons même bavardé un peu. Le vieux lorgne ma "coquine" avec gourmandise tout en ayant des propos salaces.
Il nous a fait rire en nous racontant quelques très courtes anecdotes. Nous trouvons rapidement un prétexte pour nous défiler.

Une fois seules, tous les deux, nous sommes retournés entre le muret et la petite chapelle. Là, au milieu du chemin, ma "coquine" se mit à la tâche.
En effet, il était temps de se livrer à sa création quotidienne. Accroupie, jupette relevée, elle nous dessina la carte de la Mayenne.
Une réussite parfaite sous l'œil du petit vieux, planqué un peu plus loin, derrière les bosquets. De ma cachette, je pouvais le voir mâter.

Lorsque ma "coquine" vint me rejoindre, nous avons pu, une fois encore, le voir venir scruter, avec une attention scientifique.
Il observait méticuleusement cette flaque dans laquelle se reflétait un ciel légèrement nuageux. Son chien la reniflait.
Tout en riant, ma complice me sortit le zob pour le secouer et m'entraîner devant notre mur, devant notre support créatif.

Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine", virtuose de la peinture au pistolet se mit à créer.
Nous découvrons donc, ci-dessous, sous nos yeux étonnés < Extase métaphysique d'une absorption suintante >
Notre création murale du lundi 17 août, par 20°, vers 19 h30



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Premier opus de la série des "Extases".

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Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Nous voilà dans la dernière ligne droite de cette seconde quinzaine d'août. Chaque jour, la fréquentaion diminue.
C'est visible, presque palpable et certainement inéluctable. Nous passons donc des moments très agréables.
Ma "coquine" et moi, dans notre espace d'exposition, nous prenons vraiment le temps de recevoir les amateurs d'Art.

A midi, fermeture de la galerie pour filer au petit port de plaisance. Assis à la terrasse de notre salon de thé.
Vêtue plus chaudement que ces derniers jours, ma complice porte jupe, pull et reste chaussée de ses escarpins.
Ce qui attire les regards masculins et lui permet de se livrer, en toute innocences, à ses jeux habituels.

Une fois encore, le petit vieux, promeneur de chien, est passé. Nous saluant depuis le trottoir d'en face.
Il a le tact de ne pas venir nous casser les pieds, de nous laisser manger et de continuer son chemin. En mâtant.
Après la petite baise dans notre cachette des dunes de Sainte-Anne, nous retournons ouvrir la boutique.

Hier soir, à dix neuf heure, après la fermeture, nous avons filé pour rejoindre notre lieu de créations habituel.
Une fois encore, le petit vieux, planqué, à regardé, à l'aide de ses jumelles, ma "coquine" entrain de dessiner.
Accroupie, cuisses écartées, par plusieurs jets, elle nous a réalisé la carte parfaite de la Bourgogne. Une réussite.

Puis, me tenant par la bite, pour en diriger le jet contre le mur, grâce à mon érection, elle a pu peindre au pistolet.
Moi aussi, contrôlant mes jets multiples, je permettais ainsi, à mon artiste, de réaliser une nouvelle œuvre unique.
Nous découvrons, ci-dessous, notre nouveauté < Extase sensorielle d'une anamorphose préraphaélite >

Notre œuvre du mardi 18 août, par 18°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

En observant attentivement, nous pouvons découvrir la délicatesse des courbes traçées d'un seul mouvement.
Il s'en dégage immédiatement cette impression de profonde sensualité sensorielle. Une caresse pour le regard.
Nul doute que l'artiste connaît ses classiques car, à partir d'une impulsion première, elle insuffle un modernisme évident.

Nous pouvons également découvrir que l'usage des nuances devient, jour après jour, une composante supplémentaire.
Cela est sans doute la résultante de ce jaunissement sous jacent du support. Ce phénomène participe de la beauté des tons.
L'espace utilisé ici, sur cette création unique, est d'un équilibre parfait. Entrant dans sa période "jaune", l'artiste maîtrise son propos.

Nous remarquons que cette nouvelle création murale tire vers l'épure, vers une simplification qui en subliment le trait et l'allure.
Il est certain qu'en fin de saison, les œuvres proposées à nos regards émerveillés, trouveront une sorte d'apothéose artistique.
De l'écume des choses, < Extase sensorielle d'une anamorphose préraphélite >, nous transporte vers la conscience du monde qui nous entoure...



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Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Les journées de suivent et se ressemblent plus ou moins. C'est du moins ce que pourrait penser le lecteur.
Que nenni. Chaque journée nous apporte son lot de surprises et de nouveautés. Des originalités, aussi.
Surtout qu'avec cette fréquentation redevenue gérable et des plus agréables, le contact avec les touristes est qualitatif.

Les affaires ont "marché" au-delà de mes espérances les plus folles. Donc, nous rapprochant de l'échéance, tout "baigne".
Nous sommes déjà le 20 août. Avec ma "coquine", il nous reste neuf jours à être ensembles toute la journée.
Aussi, nous savons savourer chaque instant avec de rares raffinements et de grandes attentions toutes particulières.

Hier soir, pour dix neuf heure, comme chaque jour, nous avons fermé la boutique. Direction le port de plaisance.
La voiture garée sur le parking de la capitainerie du port, nous sommes montés le chemin menant au vieux cimetierre.
Le petit vieux promeneur de chien, dans le lointain, était là, tirant sur sa pipe. De loin, nous lui fîmes un "coucou".

J'allais me dissimuler derrière la petite chapelle. Ma "coquine" alla s'accroupir au milieu du chemin. L'heure du pissou.
Je vis rappliquer le petit vieux qui se planqua à l'arrière des bosquets. Sortant ses jumelles, il se mit à mâter.
Ma "coquine", avec cette aisance de trait, nous dessina la carte de l'etat du Connecticut. Un dessin aux traits parfaits.

Puis, revenant me rejoindre, comme à chaque fois, nous vîmes le petit vieux se rapprocher pour admirer la carte.
Me saisissant par le zob, ma "coquine" m'entraîna devant le mur. Debouts, concentrés, nous allions nous livrer à notre création commune.
Me tenant par la bite, pour en diriger le jet contre le mur, elle nous fit une magnifique peinture au pistolet.

Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux admiratifs < Extase spontanée d'une illumination soudaine >.

Notre création du mercredi 19 août, par 19°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

Les connaisseurs et les amateurs d'art éclairés pourront s'apercevoir que l'équilibre des surfaces est remarquable.
Une fois encore, il faut souligner la virtuosité du traçage des courbes et le parfait des contours bien délimités.
Le dessin est ferme, direct et réalisé avec une virtuosité évidente. Pas l'ombre de la moindre hésitation ou tremblement.

Il est dommage que l'odeur se dégageant du support ne soit pas perceptible avec les admirateurs, ici, sur ce forum.
En effet, comme nous sommes dans la réalisation d'œuvres contemporaines, nous mêlons odeurs et images.
Depuis presque deux mois, une certaine fermentation rend les environs immédiats très odorants. Remarquable !

Nous découvrons l'harmonie générale qui se dégage de l'œuvre représentée. Une nouvelle et merveilleuse réussite.
L'arrondi délicat du haut retrouve son parfait équilibre avec l'aplat de gauche. Sans évoquer les "dentelles" de droite.
Finement ciselés, les bords et les contours, nous entraînent vers l'idée de ces fines broderies bretonnes et folkloriques.

Classe
Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
A chaque jour suffit sa peine. Ce dicton populaire trouve ici sa parfaite traduction. Nous allons le découvrir.
Hier, comme chaque matin, nous avons ouvert notre espace d'exposition pour dix heure. Peu de monde.
Le soleil étant présent, le ciel étant principalement bleu, c'est donc le littoral qui a attiré les estivants.

Ma "coquine" m'a fait part d'une certaine tristesse qui l'anime à l'idée que le compte à rebours a commencé.
En effet, il reste neuf jours avant sa rentrée. Une belle aventure prend fin. Surtout pour elle.
Jouer à la galeriste est pour elle une expérience nouvelle, unique et riche d'enseignement. Un souvenir se prépare.

A midi, repas au petit port de plaisance. Assis à la terrasse de notre salon de thé. Un petit "coucou" au petit vieux.
Petit vieux qui, tout en faisant pisser son chien, nous salua depuis le trottoir d'en face. Ma "coquine" lui fit un "cadeau".
Un petit écarté de cuisses bien senti qui semblait ravir notre vieux salopiot. Puis baise dans les dunes de Sainte-Anne.

Ouverture pour quatorze heure. Après-midi avec des visiteurs sympathiques et souvent à la recherche d'Art.
Fermeture à dix neuf heure. Voiture garée sur le parking de la capitainerie du port. Montée vers le vieux cimetierre.
Là haut, ma "coquine" se livra à sa pulsion créatrice, accroupie au milieu du chemin. Carte de la Sologne. Magnifique.

Le petit vieux, planqué, mâtait avec ses jumelles. Puis, il vint admirer de près cette belle carte de la Sologne.
Depuis notre cachette, ma "coquine" ayant sorti mon zob et le secouant doucement, nous pouvions l'observer.
Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet, ma complice procéda à sa seconde création contre notre mur.

Nous découvrons, ci-dessous, notre œuvre < Extase complotiste d'un rituel reptilien >

Notre création du jeudi 20 août, par 19°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Extase complotiste d'un rituel reptilien >

Les amateurs d'Art éclairés ainsi que les connaisseurs avertis remarqueront immédiatement l'équilibre général.
Il ressort, à la vue de cette création murale, un parfait répartissement des aplats de nuances.
Il y figure ces déliés et ces élans du trait qui laissent cette impression floue d'être devant un œuvre qui interpelle.

De plus en plus souvent la "signature" caractéristique de l'artiste se détache de l'ensemble sous forme d'une tache.
Cette tache, isolée de la surface de l'œuvre, en fait pourtant partie. Elle en est une personnalisation évidente.
Evoquons ces magnifiques coulures qui s'imprègnent dans la matière du support jaunissant. Jour après jour.

Une authentique création naturelle, écologique, réalisée à la main, dans l'insouciance d'une pulsion créative.
Une fois encore il faut souligner la virtuosité évidente de la réalisation. Le côté "dentelière" qui s'en détache.
Le trait est vif, constant. Le propos est maîtrisé. L'intention est perceptible. Un grand moment de peinture.



Bonne journée aux amateurs d'Art...

Classe
Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Simon Kussoney, dans son message privé, hier, me demandait, avec cet humour potache dont il est coutumier :
< Alors ? C'est l'année prochaine que tu vas nous mettre les photographies de tes chiures ? >.
Il me faut rassurer Simon Kussoney. Il me faut tempérer ses plaisanteries. Jamais, de ma part, il n'y aura de tels égarements.

Plus que huit jours avant la rentrée. Ma "coquine" me l'a encore fait remarquer à l'instant, juste avant d'aller à la douche.
Chaque jour qui passe prend donc une certaine préciosité. Il nous faut vivre l'instant avec une perçeption aigüe.
Je vais assurer seul la permanence jusqu'au 10 septembre. En soirée, elle viendra me rejoindre ainsi que le week-end.

Hier, la fréquentation réduite mais qualitative nous a fait faire la connaissance d'un vieux couple de plaisancier.
Après m'avoir délesté d'une de mes dernières toiles, ils nous ont raconté leurs périples en bateau. Départ de Nice en juin.
Tour de l'Ecosse, de l'Irlande. Arrêt au port de plaisance de Tréboul. Ils sont sur le chemin du retour par Gibraltar. Nous avons mangé avec eux à midi.

En soirée, nous avons fermé à dix neuf heure. Direction le parking de la capitainerie du port. Montée vers le vieux cimetierre.
Là-haut, à la rencontre des trois chemins, nous avons procédé à nos rituels artistiques et pisseux. Il faisait beau.
Il n'y avait personne. Ma "coquine", consciencieuse et appliquée, accroupie au milieu du chemin, nous fit sa création.

Hier soir, elle nous dessina une splendide carte des Côtes d'Armor. On pouvait deviner les rives découpées de Paimpol.
Le Port de Saint-Malo se devinait parfaitement par cette anse qui le définit si bien vu du ciel. Une réussite mémorable.
Puis, me rejoignant, ma "coquine" se saisit de mon chibre qu'elle avait extrait de ma braguette. Elle m'entraîna devant notre mur.

Nous découvrons donc, ci-dessous, sous nos yeux ébahis < Extase émerveillée d'un environnement bucolique >

Notre œuvre du vendredi 21 août, par 20°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Extase émerveillée d'un environnement bucolique >

Une fois encore, le connaisseur averti ou l'amateur éclairé trouveront, à la vision de cette œuvre, un sentiment de plénitude.
Il se dégage de l'ensemble, cette intense impression de sérénité, de calme et de recueillement si caractéristiques.
Cette approche rassurante impose immédiatement cette idée d'un environnement bucolique et retiré du monde.

Nous remarquons le parfait équilibre de la réalisation. Les aplats sont réalisés avec un mouvement ample et large.
Il y a toujours cette utilisation raffinée des nuances. Nous pouvons en découvrir les délicates tendances mordorées.
Le tracé est parfait, rigoureux et précis. C'est d'une main virtuose que l'artiste s'est livrée là à sa création sublime.

Bonne journée à toutes et à tous

Le Créateur Mural

Classe
Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Il y a une certitude absolue. Le compte à rebours, inéxorablement, nous rapproche de l'échéance finale.
Ma "coquine" me fait remarquer, juste avant d'aller prendre sa douche, me laissant seul devant l'ordinateur, qu'il reste sept jours.
Sept jours avant sa rentrée. Même si elle est à se réjouir pour cette date du 31 août, il y a la fin d'une belle aventure.

Comme je n'ai presque plus rien à proposer, que les cimaises de la galerie sont presque vides, il devient stupide d'assurer nos permanences.
Aussi, nous allons nous offrir quelques journées de véritables vacances. Demain, lundi, nous n'ouvrons qu'en matinée.
L'après-midi sera consacrée à une virée à bicyclette. En cas de météo défavorable, nous irons nous promener à Quimper.

Hier, midi, comme chaque jour, fermeture pour filer au petit port de plaisance. Terrasse du salon de thé pour y manger.
Passage du petit vieux qui nous salua. Superbe pipe dans les dunes de Sainte-Anne. Ouverture pour quatorze heure.
Quelle ne fut pas notre surprise, vers seize heure, de voir le petit vieux entrer dans notre espace d'exposition !

< C'est donc "ça" que vous faites ! > nous fit-il avant de rajouter à mon encontre : < C'est votre femme ou votre fille ? >
Comme nous avons droit à cette question, au moins une fois par jour, nous nous contentons, ma "coquine" et moi, de sourire.
Outre le fait que nous n'avons pas à satisfaire les curiosités, nous savons, tous deux, que je suis un peu de tout cela ! ! !

En soirée, fermeture pour dix neuf heure. Direction le parking de la capitainerie du port. Montée jusqu'au vieux cimetierre.
Là, notre vieux salopiot promenait son chien. Ma "coquine" me fit : < Attends, je vais faire une expérience ! >
Sortant une petite culotte de son petit sac à dos, l'enfilant, elle me laissa dans ma cachette. Position pipi au milieu du chemin.

Là, accroupie, cuisses écartées, jupe relevée, de quelques jets précis, elle nous dessina la carte du Morbihan. Superbe réussite.
Ma "coquine" retira sa culotte qu'elle avait à mi-cuisses. Elle la jeta à côté de la flaque de pisse. Puis elle vint me rejoindre.
De notre planque, nous vîmes le vieux se rapprocher. Il ramassa la culotte, se mit à la renifler et à l'éxaminer.

< Tu vas voir, après l'avoir reniflé, éxaminé, il va la lêcher avant de se mettre à aboyer ! > me fit ma complice en riant.
Nous avons observé le vieux salopiot en riant comme des fous ! < J'aurais du lui mettre du camembert au fond ! > me fit ma farceuse.
Me saisissant par le zob qu'elle avait extrait de ma braguette, ma "coquine" m'entraîna devant notre mur.

Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, mon artiste préférée se livra à la peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, cette réalisation fantastique < Extase positiviste issue d'une certitude cartésienne >.

Notre œuvre du samedi 22 août, par 21°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Extase positiviste issue d'une certitude cartésienne >

L'amateur d'Art éclairé ainsi que le connaisseur avéré peuvent découvrir l'étonnante maturité de cette nouvelle création murale.
Il y a ce mouvement généreux, large et ample qui, tout en restant d'une finesse remarquable, caresse immédiatement le regard.
La surface peinte, harmonieuse et équilibrée, propose, aux yeux des admirateurs, une régularité stupéfiante.

Une fois encore, en observant avec attention, nous découvrons une qualité du trait qui laisse admiratif.
Le tracé est net, clair et précis. Les aplats sont parfaits. L'utilisation d'un mouvement maîtrisé est immédiatement perceptible.
Le souci de partage de l'artiste est visible dès le premier regard. Le désir d'offrir une vue nouvelle sur la < certitude > est évident.

Aujourd'hui, en ce dimanche, ce sera la fin de la série des < Extases >. Dès demain, lundi, nous passons au cycle des < Enchantements >.
Il est important de préciser que ces cycles différents, se renouvelant chaque semaine, restent toutefois dans la même démarche artistique.
Il y aura toutefois un retour aux fondamentaux. Fines ciselures, applications des aplats plus raffinés et études des détails.

Bonne journée à toutes et à tous.

Le créateur mural

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Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Ce dimanche se déroula sous un climat maussade et souvent pluvieux. En Bretagne, il fait beau plusieurs fois par jour.
Mais il arrive qu'il ne fasse pas beau du tout. Certes, c'est d'une extrême rareté, mais cela peut nous tomber dessus.
Il y eut donc une fréquentation plus dense. Plus rien à voir avec la densité du début du mois d'août toutefois.

Aujourd'hui, il semblerait, en regardant par la fenêtre, que cette journée soit une copie parfaite de celle de hier.
Cet après-midi, nous irons, ma "coquine" et moi, nous promener à Quimper. Au programme : Le Musée des Beaux-Arts.
Par contre, par acquis de conscience, nous ouvrons notre espace d'exposition ce matin de dix heure à midi.

Hier, pour midi, nous sommes allés manger dans notre petit salon de thé. Avec la météo, nous sommes restés à l'intérieur.
Il y avait un peu de monde. Principalement des plaisanciers dont les bateaux sont à quai dans le port de Tréboul.
Après la petite baise dans les dunes de Sainte-Anne, dans la voiture, nous avons ouvert pour quatorze heure.

En soirée, fermeture à dix neuf heure. Direction le petit port de plaisance puis la montée au vieux cimetierre.
Il ne pleuvait plus. Par contre le sol était détrempé. Heureusement notre chemin est constitué de terre "stabilisée".
Arrivés à la croisée des sentiers, ma "coquine", accroupie au milieu du chemin, réalisa une splendide carte du Pas-de-Calais.

Il n'y avait personne. Aussi, c'est avec désinvolture que ma complice s'empara de mon zob délicatement extrait de ma braguette.
Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle se livra à la peinture au pistolet.
Nous découvrons donc, ci-dessous, notre œuvre < Extase mystique d'une vision métaphysique >

Notre création murale du dimanche 23 août, par 17°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Extase mystique d'une vision métaphysique >

En contemplant cette merveilleuse création murale, le regardant est immédiatement saisit d'une émotion profonde.
Le connaisseur averti, ainsi que l'amateur éclairé, pourront découvrir tout le mystère profond des landes Bretonnes.
L'évocation d'un Dolmen, mystérieux édifice de pierre, vient flatter le désir de chacun de pénétrer les arcanes du passé.

Nous découvrons une interprétation très personnel d'un vieux mythe druidique, sacrificiel et emprunt de mystère.
Dans cette représentation d'un Dolmen, il y a l'idée d'un secret partagé. L'idée d'une confidence préhistorique.
Les temps anciens jaillissent du passé, emmenant avec cette œuvre leur cortège de croyances, de légendes et de frissons.

Le traitement de cette œuvre majeure nous séduit par la magnificence de son exécution, par son éloquence.
Le trait est fin, régulier et tracé d'une main sûre. C'est une réalisation d'une virtuosité remarquable et évidente.
Une fois encore, l'équilibre des surfaces et le répartissement des aplats sont au services d'une représentation lumineuse.

Bonne journée à toutes et à tous.

Le créateur mural

Classe
Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Le compte à rebours se fait sous une météo maussade et sous un ciel pluvieux. Nous portons des pull-overs.
Il reste six jours avant la rentrée du 31 août, lundi prochain. Ma "coquine" est attristée. Je sais la consoler.
Cet après-midi, nous allons nous promener sur Camaret et dans la presqu'île de Crozon où nous sommes invités.

Par acquis de conscience, nous ouvrons notre espace d'exposition ce matin de dix heure à midi. Il ne me reste plus rien.
Sept toiles, dont cinq déjà acquises depuis la fin du mois de juin, et trois tableaux qui trouveront leurs propriétaires en septembre.
Avec si peu de choses à proposer, et une saison qui a été absolument gratifiante, nous n'avons aucun scrupule à déserter les lieux.

A midi, nous irons manger à Crozon. Nous sommes invités par un couple de collectionneurs. Chez qui nous ramenons déjà une toile.
En soirée, nous reviendrons pour notre balade sur le sentier au-dessus des falaises. Sans doute équipés de vêtement de pluie.
Hier après-midi, nous avons visité le Musée des Beaux-Arts de Quimper. Magnifique exposition sur le Symbolisme de Pont-Aven.

En soirée, nous avons profité de l'accalmie de la météo pour monter le chemin qui mêne au vieux cimetierre.
Là, accroupie au milieu du chemin, son pantalon à mi-cuisses, ma "coquine nous a réalisé une somptueuse carte départementale.
Avec plusieurs jets, nets, puissants et précis, à l'échelle 1/250 000, (1 cm = 2,5 kms), elle nous a dessiné le Limousin.

Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma complice fit sa merveilleuse peinture au pistolet.
Nous découvrons ci-dessous, sous nos yeux ravis < Enchantement dithyrambique d'une illumination sereine >
Notre œuvre du lundi 24 août, par 16°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Enchantement dithyrambique d'une illumination sereine >

Le regardant, qu'il soit connaisseur ou simplement amateur d'Art, découvre une œuvre majeure.
Le connaisseur avéré pourra y dicerner l'élégance d'un ensemble flatteur et parfaitement maîtrisé.
L'amateur d'Art averti pourra y ressentir cette émotion recherchée et souhaitée.

En ce lundi, le lecteur aura découvert, émerveillé, la première réalisation de ce nouveau cycle.
En effet, nous proposons, pour toute cette semaine, cette nouvelle série des < Enchantements >
Comment pourrait-on dénommer de tels chef-d'œuvres sans en dénaturer le propos ?

Dans cette première œuvre de la série des < Enchantements > nous découvrons cette virtuosité appuyée.
La finnesse d'exécution n'a d'égale que la délicatesse du trait. Ce dernier esr franc, fin et minutieux.
Les aplats sont un véritable exemple d'équilibre. Les nuances mordorées apportent un véritable émerveillement.

Comme on peut le constater, le jaunissement du support, depuis deux mois de réalisations quotidiennes, s'affirme.
Par transparence des couches supérieures, telle une couche d'impression, le mur jauni apporte cet éclat particulier.
Nul doute que, d'ici la fin de la saison, les réalisations offriront, soir après soir, ces effets de "dorures" qui s'affirmeront encore.

Bonne journée à toutes et à tous.

Le créateur mural

Classe
Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Le compte à rebours est aujourd'hui de six. Il n'y aura aucune façon de s'y soustraire. Il sera impossible d'y échapper.
Ma "coquine", attristée, me le fait savoir à l'instant en allant prendre sa douche. Je la console de quelques bises.
La rentrée aura lieu lundi prochain. Ma complice viendra me rejoindre le soir, après dix sept heure et le week-end.

Hier, comme chaque jour, nous avons ouvert à dix heure du matin. Quelques visiteurs dans la galerie jusqu'à midi.
Nous avons fermé pour partir à Crozon. Nous avons emmené une toile appartenant à son propriétaire depuis fin juin.
Quelques personnes nous laissent leurs acquisitions jusqu'à la fin de la saison. Ainsi les cimaises ne se vident pas trop vite.

Nous avons partagé un délicieux repas de fruits de mer. Des retraités heureux, plutôt fortunés et très sympathiques.
En sortant de table, vers quatorze heure trente, nous sommes partis nous promener à Camaret. Visiter la tour Vauban.
La petite église de Saint Rocamadour, l'embarcadère, la jetée, et les vieux bateaux échoués participent de la beauté du bourg.

En soirée, sous une météo maussade mais sêche, nous sommes revenus au petit port de plaisance. Montée vers le vieux cimetierre.
Le lieu, parfaitement désert, offrait une ambiance d'automne. Il est évident que cette fin août est loin d'être ensoleillée.
Accroupie au milieu du chemin, son pantalon à mi-cuisses, ma "coquine" nous dessina la carte de la Dordogne. Magnifique.

Puis, m'ayant sorti le zob et m'entraînant devant le support habituel, elle nous mit en position de créativité intense.
Me tenant la bite, afin d'en diriger le jet contre le mur, ma "coquine", en riant, se livra à sa peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés < Enchantement paradisiaque d'une création ludique >.

Notre œuvre du mardi 25 août, par 16°, vers 19 h30



Afin de l'agrandir, on peut cliquer sur l'image, si on veut...

DESCRIPTIF

<Enchantement paradisiaque d'une création ludique >

A la vue de cette œuvre, le regardant pourra se sentir emporté par un profond sentiment de romantisme exacerbé.
Qu'il soit connaisseur ou amateur d'art, le spectateur sera immédiatement saisi par l'émotion qui se dégage de l'ensemble.
En effet, tout le pathos de cette fin août morose, éclate au grand jour dans une apothéose enchanteresse. Fabuleuse.

Nous remarquerons, une fois encore, la méticulosité et la préciosité qui illustrent cette nouvelle réalisation.
Le dessin, d'un trait fin, précis et net est une remarquable réussite. Peut-on évoquer la grâce presque divine des courbes ?
Il y a ce côté "enlevé" qui inspire immédiatement à la légèreté de l'ensemble. La virtuosité le dispute à la maîtrise parfaite.

Evoquons également ces nuances d'un ravissement certain qui illuminent la création d'une merveilleuse lumière dorée.
Le support, jauni depuis presque deux mois de créations quotidiennes, offre, par transparence, cet aspect mordoré.
Les aplats équilibrent parfaitement les surfaces. Nous pouvons admirer cette œuvre sous tous ses angles, c'est une réussite. Un grand moment de création.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural
Homme, 53 ans, France
Classe

Créations murales

Chers amis

Bonjour
Il est impossible de commencer cette chronique sans évoquer le fameux compte à rebours. Il reste cinq jours.
Cinq jours à êtres ensemble vingt quatre heure sur vingt quatre. Aussi, ma "coquine" et moi, savourons chaque instant.
Nous n'ouvrons la galerie qu'en matinée, de dix heure à midi. L'après-midi, nous partons faire les touristes.

Hier, après avoir fermé à midi, nous sommes partis à Pont-Aven. Nous avons mangé dans un petit restaurant "routier".
Vers quatorze heure, nous avons parcouru les rues de la capitale bretonne de la peinture. Quantité de galeries offrent parfois du bon.
L'immense majorité des galeries offrent, toutefois, du moins bon, voire du médiocre. A Pont-Aven, c'est un gros business.

C'est sous notre grand parapluie que nous avons déambulé dans les rues. Vers seize heure, nous avons dégusté une spécialité.
Confortablement assis dans un salon de thé, devant des chocolats fumants, nous savourions nos galettes de Pont-Aven.
Pour dix neuf heure, nous étions de retour au petit port de plaisance. Quelques coins de ciel bleu invitaient à la promenade.

En montant le chemin qui mène au vieux cimetierre, nous avons aperçu le petit vieux qui promenait son chien.
Lorsqu'il nous vit il nous fit un signe de la main. A notre tour nous l'avons salué. Arrivés au départ des sentiers, je me suis mis en "poste".
Ma "coquine", accroupie au milieu du chemin, se livra à sa réalisation cartographique. De quelques jets nets, courts et précis.

De ma cachette, je pouvais voir le petit vieux, armé de ses jumelles, dissimulé derrière des bosquets et qui mâtait.
Lorsqu'elle eut terminée sa première création, ma "coquine vint me rejoindre. Nous avons observé les agissements du quidam.
Penché au-dessus de cette superbe carte du Morvan, le petit vieux en scrutait les détails. Son chien reniflait la flaque.

Après m'avoir ouvert la braguette pour en extraire le zob, ma complice m'entraîna devant notre support habituel.
Me tenant la bite en riant, pour en diriger le jet contre le mur, mon "artiste" préférée réalisa sa secontre œuvre.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ébahis < Enchantement merveilleux d'une fin de parcours >

Notre création murale du mercredi 26 août, par 18°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Enchantement merveilleux d'une fin de parcours >

Le regardant, qu'il soit amateur éclairé ou connaisseur avéré, une fois encore, sera, à la contemplation, envahit d'une forte émotion.
En effet, c'est d'un sentiment intense que l'observateur sera pénétré. Par l'admiration inévitable mais aussi par la beauté de la création.
Il est impossible d'échapper à cette immédiate sensation de plénitude, de calme et de sérénité toute bucolique qui se dégage de l'œuvre.

Une fois encore, nous somme subjugués par la qualité évidente de la réalisation. Il faut évoquer la virtuosité.
Le dessin est fin, délicat. Le trait est pondéré, léger et presque aérien. Il s'en dégage une plénitude sensuelle.
Les aplats sont appliqués avec cette maîtrise qui laisse admiratif. L'aspect mordoré est la résultante du jaunissement du support.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Le compte à rebours indique quatre. Quatre jours avant la rentrée du lundi 31 août. Cela attriste considérablement ma"coquine".
Je la raisonne, je la console et je lui rappelle qu'il y aura une saison 2016. Et ce, dès l'année prochaine. Temps qui passera très vite.
Aussi, nous n'ouvrons la galerie qu'en matinée de dix heure à midi. L'après-midi est consacré au port du parapluie en milieu humide et Breton.

Hier, en fermant, à midi, nous sommes partis sur Landevennec. Nous voulions y visiter les ruines et pour y découvrir le Musée.
Les ruines de l'ancienne abbaye valent la peine d'êtres visitées. Nous y étions pour quatorze heure, après le restaurant.
Retour en soirée pour garer la voiture sur le parking de la capitainerie du port et montée jusqu'au vieux cimetierre.

Une accalmie, malgré une pluie presque continue, toute la journée, nous a permis de venir pratiquer nos rituels pisseux.
Accroupie au milieu du chemin, par plusieurs jets nets, précis, ma "coquine nous dessina la carte de la Charente maritime.
Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma délicieuse complice se livra à sa peinture au pistolet.

Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux enchantés < Enchantement féerique d'une création magnifique >

Notre œuvre du jeudi 27 août, par 16°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image, si on veut...

DESCRIPTIF

< Enchantement féerique d'une création magnifique >

Le regardant, qu'il soit connaisseur, spécialiste ou simplement amateur d'art, restera pantois devant ce vrai chef-d'œuvre.
Cette création murale est sans doute la plus belle réalisation de la saison. Même le néophyte restera admiratif devant tant de magnificence.
Une réussite magistrale, grandiose, éloquente qui trouvera sa place entre les Maîtres de la Renaissance et les impressionnistes.

Nous découvrons cette beauté du trait qui donne cette aspect aérien une légèreté inouïe à l'ensemble. Un rêve éveillé.
Tant de grâce et de sensualité procurent une profonde émotion. Il y a cette équilibre parfait qui donne le vertige.
Une boucle, une véritable ciselure celtique, réalisée avec finesse et le souci de laisser respirer le support. Jauni.

C'est une réalisation virtuose. Pour réussir un tel dessin, avec une telle finesse, cela relève tout simplement du surnaturel.
Et nous ne pouvons qu'évoquer le surnaturel en imaginant la précision diabolique avec laquelle tout cela a été tracé.
Cette œuvre restera une histoire unique de l'humanité. La "Joconde Bretonne" en quelque sorte. Une "Joconde" contemporaine.

Bonne journée à toutes et à tous.

Le créateur mural

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Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Le compte à rebours affiche aujourd'hui le chiffre trois. Il ne reste plus que trois jours avant ce fatidique lundi 31 août.
Ma complice s'est à présent raisonnée avec cette fermeté toute féminine. C'est la fatalité et impossible de s'y soustraire.
Après tout, elle viendra me rejoindre en fin d'après-midi. Nous pourrons continuer nos créations en soirée et au même endroit.

Nous n'ouvrons qu'en matinée de dix heure à midi. Hier il y eut la visite d'un collectionneur venu chercher sa toile.
A midi, nous sommes allés manger dans un petit restaurant de Saint-Guénolé avant d'aller nous promener dans les rochers.
Le temps, avec ces multiples éclaircies, nous a permis d'apprécier cette virée dans toute sa mesure. Puis, visite du phare d'Eckmühl.

En soirée, après avoir garé la voiture sur le parking de la capitainerie du port, nous sommes montés au vieux cimetierre.
Quelques rares promeneurs sur ce chemin qui monte au lieu habituel de nos réalisations artistiques. Il y avait le petit vieux.
Ce dernier, de loin, tout en promenant son chien, nous salua de la main. Nous lui rendîmes son salut des deux mains.

Le pantalon à mi-cuisses, accroupie au milieu du chemin, ma "coquine" nous dessina la carte des Cévennes. Une perfection.
Comme à chaque fois, le petit vieux est venu admirer cette splendide réalisation à l'échelle 1/250 000, (1 cm = 2,5 kms).
Puis, me sortant le zob, ma "coquine" m'entraîna devant notre support habituel afin d'y procéder à sa seconde création.

Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, tout en riant, ma complice se livra à sa peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés < Enchantement raisonné d'une totale maîtrise de l'instant >.
Notre réalisation du vendredi 28 août, par 19°, vers 19 h30.



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Enchantement raisonné d'une totale maîtrise de l'instant >

Le regardant, qu'il soit le connaisseur avéré que nous savons ou le simple amateur d'art que nous apprécions, sera émerveillé.
En effet, une fois de plus, nous avons devant nous une œuvre majeure. Cette série de créations magistrales nous laisse admiratifs.
Il nous faut reprendre notre souffle pour ce second jour consécutif devant tant de beauté, d'esthétisme et d'originalité.

Le trait léger est "enlevé". Nous devinons cette main habile mais ferme de l'artiste devenu maître de son élan créatif.
Le tracé est délicat. Nous imaginons les mouvements amples et minutieux qui ont permis ce dessin sensuel et émotif.
Il y a une intention éidente qui saute immédiatement aux yeux ravis du spectateur. Un acte parfaitement prémédité.

L'utilisation des aplats est ici subtile. Nous découvrons ces surfaces ajustées avec une virtuosité stupéfiantes.
Les nuances diaphanes laissent remonter en surface, par transparence, le jaune d'un support utilisé toute la saison.
Cet aspect mordoré, prononcé, permet d'offrir à l'artiste une couche d'impression d'une très grande qualité.

Bonne journée à toutes et à tous.

Le créateur mural

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Homme, 53 ans, France
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Chers amis

Bonjour
Le compte à rebours affiche deux. Faudrait-il être plus exacte en précisant que c'est aujourd'hui le dernier jour.
C'est aujourd'hui la dernière journée de ces deux mois où, ma "coquine" et moi, avons passé tout notre temps ensemble.
Vingt quatre heure sur vingt quatre. Cela prend fin demain. Terminé. The end. C'est la pré-rentrée des professeurs.

Hier, nous n'avons ouvert qu'en matinée. De dix heure à midi. L'après-midi, nous avons fait du tourisme.
Nous sommes allés nous promener au Conquet, réserver nos billets pour Ouessant, avant de monter juqu'à Portsal en passant par Lanildut.
Aujourd'hui, nous partons pour l'île d'Ouessant. Bateau à dix heure. Donc la galerie restera fermée.

Hier soir, comme chaque jour, nous sommes montés au vieux cimetierre afin d'y sacrifier à nos rituels pisseux.
Ma "coquine", accoupie au milieu du chemin, jupe relevée, nous a dessiné la carte de l'Autriche. Formidable réussite.
Sortant de sa cachette, le petit vieux est venu admirer cette réalisation avec son attention habituelle. Son chien reniflant la flaque.

Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma complice réalisa sa peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ravis < Enchantement divin d'une fulgurance onirique >
Notre création murale du samedi 29 août, par 23°, vers 19 h 45



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Enchantement divin d'une fulgurance onirique >

Le regardant, qu'il soit cet amateur d'art éclairé, que nous savons, ou le connaisseur averti, que nous devinons, seront enchantés.
Ils seront enchantés par cette continuité dans l'excellence. En effet, un peu comme pour une trilogie, c'est la troisième œuvre magistrale.
La troisième œuvre absolument unique qui pourrait trouver sa place entre un Titien et un Rembrandt sans dénoter.

Nous découvrons la délicatesse d'un trait ferme. Nous observons la légèreté d'un dessin évanescent et suggestif.
Il apparaît clairement, sous notre regard scrutateur, que cette similitude avec une fine dentelle bretonne est un acte délibéré.
Nous y retrouvons la "signature" du Maître. "Signature" devenue un "classique" que l'on peut à présent dicerner sur chaque production.

Les aplats sont l'évidence d'un travail de réflexion fait longtemps en amont de la réalisation. C'est là, également, un acte réfléchi.
Le support jauni par deux mois de réalisations quotidiennes, offre, par transparence, à l'œuvre, cette chatoyance mordorée si caractéristique.
L'équilibre parfait des surfaces, avec ce petit élan de gauche, qui suggère l'évasion, forcent l'admiration du profane comme du collectionneur.

En bonus track, ci-dessous, nous découvrons une œuvre réalisée sur un support de bois.

En cliquant sur l'image ci-dessous, nous découvrons, époustouflés, < Les saveurs de juillet >



La peinture sur bois demande une approche différente. En effet, ce support, par nature beaucoup plus absorbant, demande une vélocité d'éxécution.
Il faut toute la virtuosité de l'artiste, entraînée toute une saison, pour diriger le jet avec une rapidité aussi précise et aussi nette.
Mon artiste préférée nous montre donc ici toute l'étendue de sa grande maîtrise de la création murale. Même sur cloisons de bois.

Bonne journée à toutes et à tous.

Le créateur mural

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Homme, 53 ans, France
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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Voilà ce lundi 31 août, tant redouté. Ma "coquine" se prépare pour sa pré-rentrée. Elle commence à huit heure ce matin.
Elle revient me rejoindre à midi pour recommencer à quatorze heure. Puis, nous serons à nouveau ensemble après dix sept heure trente.
Pour elle, comme pour moi, ce sera une épreuve. Mais il faut savoir se raisonner et ranger la fatalité de notre côté.

Hier, nous sommes partis avec le bateau de dix heure, en matinée, pour Ouessant. Une aventure insulaire inoubliable.
Je connais bien l'île sur laquelle je me suis rendu souvent. La météo était plutôt favorable. Nous avons passé du bon temps.
Nous sommes revenus pour vingt et une heure trente. Nous sommes montés au vieux cimetierre pour y procéder à nos rituels pisseux.

Me tenant la bite, pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" s'est livrée à sa peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés < Enchantement Gothique de l'abandon du Roman >
Notre création du dimanche 30 août, par 23°, vers 21 h45



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Enchantement Gothique de l'abandon du Roman >

Le regardant, qu'il soit connaisseur ou profane, découvre, avec cette œuvre, une plongée historique dans la création murale.
En effet, cette réalisation illustre le passage de l'art Roman à l'art Gothique. C'est le Gothique flamboyant dans toute sa splendeur.
La vue de cette œuvre est la cause d'un profond bouleversement et ne laisse personne indifférent. C'est une révélation évidente.

Le trait est enlevé. Le dessin est d'une finesse prodigieuse. La courbe, quasi parfaite évoque la voute céleste.
Ce sont les coulures, sous l'arche qui, d'un mouvement Gothique magnifique, permettent cette plongée dans le passé.
Les aplats sont tout simplement exquis. La répartition des équilibres est stupéfiante. Les nuances sont fabuleuses.

Dès aujourd'hui, pour marquer le début de ce nouveau cycle, nous quittons les Enchantements pour nous lancer dans les Sortilèges.
Les admirateurs pourront donc découvrir les créations murales de cette nouvelle période, dès demain matin, mardi.
Que le lecteur se rassure, il y a du stock et la source créatrice n'est pas prête de se tarir. Notre plaisir restera intacte.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Créations murales - Les Sortilèges

Chers amis

Bonjour
J'ai passé ma matinée seul. J'ai donc exécuté les affaires courantes. Les collectionneurs sont venus chercher leurs biens.
A midi, ma "coquine" est venue me rejoindre. Nous sommes allés manger au salon de thé du petit port de plaisance.
Une petite pipe dans les dunes et dans la voiture à cause d'une météo déplorable. J'ai ouvert pour quatorze heure.

Il ne me reste plus rien. Je vais donc ramener les trois toiles qui me restent chez une amie, galeriste à Pont-Aven.
Hier soir, ma complice est venue me rejoindre pour dix sept heure trente. Elle m'a aidé à faire un ménage succinct.
Pour dix neuf heure, nous avons fermé la boutique. Dans l'après-midi, il y eut quelques visiteurs. Les "septembriers".

Il ne pleuvait plus depuis quelques heures. Nous avons garé la voiture sur le parking de la capitainerie du port.
Nous sommes montés au vieux cimetierre. Tout cela a encore un air de vacances. Mais juste l'air. L'ambiance est étrange.
Il n'y avait personne. Ma "coquine", sa jupe relevée, accroupie au milieu du chemin, réalisa la carte de la Moselle.

Puis, me sortant le zob, avec une certaine nostalgie, elle m'attira devant notre support habituel.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle réalisa, au pistolet, la première œuvre de la série des "Sortilèges".
Vous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ébahis < Sortilège enivrant d'un rituel ancien >

Notre œuvre du lundi 31 août, par 18°, vers 19 h30 - (Réalisée avec une certaine tristesse)



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Sortilège enivrant d'un rituel ancien >

Le regardant, qu'il soit le connaisseur sympathique ou l'amateur éclairé, retrouve une certaine continuité.
Rassuré par la découverte d'une réalisation qui s'inscrit dans la tradition, l'admirateur peut vivre ces émotions habituelles.
La série des "Sortilèges", qui suit la série des "Enchantements", reste donc dans une constante artistique certaine.

Nous découvrons un trait léger. Nous devinons un mouvement aérien. Nous observons un tracé délicat.
L'application des aplats s'inscrit, elle aussi, dans la tradition à laquelle nous a habitué l'artiste dans toutes ces réalisations.
Les surfaces sont distibuées avec ce souci d'équilibre qui reste une caractéristique fidèle aux créations antérieures.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Créations murales - Les Sortilèges -

Chers amis

Bonjour
Hier, mardi, fut la seconde journée de permanence. Seul dans mon espace d'exposition à présent bien vide.
Tout est parti. Le dernier collectionneur, venu chercher sa toile, en dépot depuis juin, a raflé les deux restantes.
Je vais donc consacrer cette dernière matinée de ce mercredi à tout nettoyer. Cet après-midi, remise des clefs.

Ma délicieuse complice, ne pouvant plus venir manger avec moi à midi, se dépêche de me rejoindre en soirée.
Hier, cette douce et tendre personne est venue me retrouver vers dix sept heure trente. Fermeture à dix huit heure.
Nous sommes allés garer la voiture sur le parking de la capitainerie du petit port de plaisance. Balade dans Tréboul.

Nous sommes montés au vieux cimetierre. Il n'y avait pas grand monde. Une météo sèche mais maussade n'invitait pas à la promenade.
Le petit vieux, promenant son chien, nous fit signe de la main. Nous lui rendîmes son "coucou" de loin.
Ma "coquine", désireuse de s'adonner à la création se mit en position. Accroupie, pantalon à mi-cuisses, au milieu du chemin.

De ma cachette, je pouvais observer le petit vieux dissimulé dans la sienne, derrière les bosquets, jumelles sur les yeux.
Ma complice, par plusieurs jets nets et puissants, réalisa une magnifique carte de la Slovénie. A l'échelle 1/250 000.
Lorsqu'elle vint me rejoindre, nous vîmes le petit vieux entrain de sctruter cette superbe réalisation cartographique.

Puis, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma "coquine" se livra à la peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ravis < Sortilège angélique d'un soulagement imminent >.
Notre œuvre du mardi 2 septembre, par 18°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Sortilège angélique d'un soulagement imminent >

Nous découvrons ici une œuvre majeure. Les amateurs d'arts ainsi que les connaisseurs seront enchantés.
L'artiste renoue là avec l'excellence. Nous savons, dès à présent, que la série des "Sortilèges" sera sans précédentes.
Les collectionneurs sauront se frotter les mains devant tant de merveilles. Et ce n'est surement que le tout début.

Observons la finesse excquise de l'ensemble. La délicatesse surhumaine qui se dégage de l'œuvre est renversante.
Le trait est d'une légèreté jamais atteinte. Le tracé est irréel tant sa douceur angélique évoque l'évanescence.
Les surfaces, petites, sont réalisées avec un souci du détail qui laissent songeur. Les nuances sont stupéfiantes de beauté.

En Bonus Track, nous découvrons, ci-dessous, une nouvelle réalisation sur bois < Les saveurs d'août >



Le regardant peut ainsi faire la différence entre une création murale "classique" et une création murale sur bois.
Le support de bois, étant par son essence, beaucoup plus absorbant, nous imaginons la difficulté de réalisation.
Il faut peindre à grande vitesse. Il faut diriger le jet avec une précision inouïe, dans une vélocité qui laisse admiratif.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Créations murales - Les Sortilèges -

Chers amis

Bonjour
Hier matin, j'ai rangé et nettoyé mon espace d'exposition. La saison s'étant arrêtée dix jours avant l'échéance prévue.
L'après-midi, libre pour les enseignants, ma complice est venue me rejoindre pour midi vingt. Contente et heureuse.
Nous avions donc cette seconde partie de la journée pour nous. La météo, alternant soleil et nuages serait agréable.

Nous sommes allés manger dans notre salon de thé au port de plaisance. Nous aimons tant ce petit bourg de Tréboul.
Par contre, nous sommes restés assis à l'intérieur à déguster nos repas, préparés la veille, tirés de nos Tupperwares.
Le petit vieux, promenant son chien, vint scruter par la vitrine. Lorsqu'il nous vit, il nous fit un signe de la main.

Pour quatorze heure quinze, nous étions à Quimper. Ma compagne, passionnée par ses nouvelles fonctions, m'en parlait avec animation.
Nous avons déambuler dans la ville. Visitant la cathédrale, marchant le long de l'Odet, heureux de cet après-midi de détente.
En soirée, nous sommes retournés au port de plaisance. Ce lieu est, pour nous, porteur d'une certaine magie.

Nous sommes montés le long du chemin jusqu'au vieux cimetierre. Là où le parcours se transforme en deux sentiers.
Le petit vieux était là. Promenant son chien en fumant sa pipe. Lorsqu'il nous vit, il alla discrètement se planquer.
De là, derrière les bosquets, avec ses jumelles, depuis ma cachette, je pouvais le voir mâter avec attention.

Ma "coquine", accroupie au milieu du chemin, pantalon à mi-cuisses, s'adonna donc à sa création cartographique.
De quelques jets nets et puissants, elle nous dessina la carte du Loir-et-Cher. Une réalisation magnifique. Unique !
Lorsque ma complice revint me rejoindre, nous vîmes le petit vieux s'approcher de la flaque pour la scruter. Son chien reniflant.

Me sortant le zob, après m'avoir débraguetté, ma "coquine" m'entraîna devant notre support habituel.
Là, me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, elle se livra à sa seconde réalisation. La peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux émerveillés < Sortilège merveilleux d'une féerie enchanteresse >

Notre œuvre du mercredi 2 septembre, par 19°, vers 19 h30



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DESCRIPTIF

< Sortilège merveilleux d'une féerie enchanteresse >

Devant cette nouvelle œuvre enivrante, le regardant, qu'il soit amateur d'art ou connaisseur, reste admiratif.
Comment ne pas succomber aux charmes enchanteurs de cette véritable merveille. Cela reste improbable. Grandiose.
Une création murale qui pourrait trouver une place de choix entre un Renoir et un Gustave Courbet. Au Musée du Louvre.

La finesse invraissemblable n'est pas sans évoquer une de ces miniatures japonaises, mystérieuse et insolite.
Le tracé, témoin d'une vélocité rare, nous entraîne vers une analyse picturale qui pousse à l'introspection. Cérébrale.
Le trait, aérien et léger, attire immédiatement le regard du spécialiste ou du néophyte. Exercant une sorte d'hypnose.

Peut-on évoquer une simple virtuosité ou faut-il parler de génie ? Sans doute un savant mélange des deux définitions.
En découvrant ces nuances mordorées, créés par le jaunissement du support, nous restons ébahis. Transis peut-être.
En observant les aplats, suaves et évocateurs, nous découvrons également un répartissement des surfaces parfaitement équilibrées.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Créations murales

Chers amis

Bonjour
Je retourne doucement à mes activités. Ma "coquine" étant aux siennes. Nous nous retrouvons en fin d'après-midi.
Hier soir, elle est venue me rejoindre vers dix sept heure trente. Elle me tombe longuement dans les bras.
J'aime à l'entendre me murmurer des choses incompréhensibles mais susurrées avec tant de passion. C'est beau.

Vers dix neuf heure, nous avons pris la voiture pour nous rendre au petit port de plaisance. Il faisait plutôt beau.
Nous nous sommes garés sur le parking de la capitainerie. Puis, nous sommes montés au vieux cimetierre.
Le petit vieux, fidèle à son poste, promenait son chien. Lorsqu'il nous vit, il nous fit son habituel signe de la main.

Depuis ma cachette, je pouvais voir notre promeneur de chien, armé de ses jumelles, dissimulé dans la sienne.
Ma "coquine", accroupie, jupe relevée, de plusieurs jets puissants dessina la carte du Gard. Une vraie réussite.
Lorsqu'elle vint me rejoindre, nous vîmes le petit vieux se rapprocher pour admirer cette œuvre cartographique.

Me sortant le zob, après m'avoir débraguetté, ma complice m'entraîna devant notre support habituel.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, avec cette peinture au pistolet dont elle est virtuose, elle procéda à sa secondre création.
Nous découvrons donc, ci-dessous, sous nos yeux larmoyants < Sortilège envoûtant d'un mystère de septembre >

Notre œuvre du 3 septembre, par 20°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Sortilège envoûtant d'un mystère de septembre >

Le connaiseur avéré ou l'amateur d'art éclairé, pourront, une fois encore, admirer cette splendide réalisation.
Cette œuvre unique saura caresser les regards des spécialistes comme des néphytes. Pénétrer l'univers de l'artiste.
D'une simple vision onirique, rapidement, ce sera la découverte d'un univers particulier et pourtant bien réel.

Le dessin de cette nouvelle création murale est réalisé d'une main sûre. Le trait est fin et régulier.
Nous devinons un mouvement créatif ample et généreux. L'application des aplats, larges et dispersés, laisse pantois.
Les nuances mordorées sont la résultante de cette sous-couche naturelle dues au jaunissement du support.

Cette création murale, absolument divine, rappelle ces fines ciselures de l'art Celtique ou ces dentelles bretonnes.
L'œuvre pourrait trouver sa place entre un Manet et un Vélasquez, tant l'écart entre classissisme et modernisme est infime.
Nous pouvons découvrir, ravis et émus, une approche lente mais certaine vers l'excellence absolue et universelle.

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Chers amis

Bonjour
Ma complice, pourrais-je préciser, ma compagne, est venue me rejoindre hier, en fin d'après-midi, vers dix sept heure.
Après sa journée de travail. Moi, à la maison, je prépare mon séjour Ecossais du 13 septembre au 30 septembre.
Nous ne pourrons pas y aller ensemble. Même si cela l'attriste, elle sait que l'avenir, dès mon retour, sera radieux.

Il faisait plutôt beau. Même si la température n'invitait pas vraiment à flâner, à dix neuf heure nous sommes partis.
Nous avons garé la voiture sur le parking du petit port de plaisance. De là, nous sommes montés au vieux cimetierre.
Il n'y avait personne. Ma "coquine", accroupie au milieu du chemin, pantalon à mi-cuisses, nous fit la carte du Doubs.

Puis, me sortant le zob, elle m'entraîna devant notre support habituel. Nous nous mettions en position de création.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, ma complice procéda à sa création, la peinture au pistolet.
Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ébahis < Sortilège mystérieux d'un onirisme lyrique >

Notre œuvre du vendredi 4 septembre, par 18°, vers 19



Pour l'agrandir, il suffit de cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Sortilège mystérieux d'un onirisme lyrique >

Le regardant, qu'il soit l'amateur d'Art éclairé ou le connaisseur avéré, seront émerveillés par la vue de cette œuvre.
Une fois encore, l'infinie délicatesse de cette réalisation saura susciter cette effet hypnotique sur l'admirateur.
Cette création murale, de par sa beauté intrinsèque, trouvera sa place entre un Léonard de Vinci et un Vermeer.

Nous découvrons un trait fin et régulier. Il y a cette signature délicate sur la gauche de l'œuvre. Et son rappel sur la droite.
Nous découvrons un dessin d'une finesse inouïe. Cette légèreté incroyable. Ce sentiment aérien et éthéré est présent.
Les aplats sont appliqués avec ce souci d'opalescence permettant au support jauni de transparaître à travers la surface.

Les nuances mordorées sont de plus en plus appuyées. Nous sommes devant une création de tout premier ordre.
Il y a une impression de facilité qui vient masquer la virtuosité évidente de la réalisation. C'est du grand Art.
Est-il besoin d'évoquer le génie, le savoir-faire ou encore le professionalisme sans tomber dans le cliché trompeur ?

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

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Créations murales - Les sortilèges -

Chers amis

Bonjour
Hier, samedi, nous avons enfin pu passer toute la journée ensemble. Le matin nous avons commencé par notre jogging.
Ensuite, après la douche, vers neuf heure, nous sommes allés au marché du bourg. Crudités, fruits et salades à profusion.
Puis ce fut l'expédition redoutable du supermarché. La logistique imposant de remplir le réfrigérateur; nous n'avions pas le choix. Pousser le Caddie...

L'après-midi, nous étions à Quimper. Sous un ciel principalement bleu, nous nous sommes promenés le long de l'Odet.
En soirée, nous nous sommes rendus au petit port de plaisance et nous sommes montés au vieux cimetierre.
Le petit vieux promenait son chien. Lorsqu'il nous vit, de loin, comme à son habitude, il nous fit un signe de la main.

Ma complice, espiègle et amusée, accroupie au milieu du chemin, pantalon à mi-cuisses, procéda à sa première création.
De quelques jets, nets et précis, elle nous dessina la carte de la Savoie. Une remarquable réussite. Fidèle et parfaite.
Réalisée à l'échelle 1/250 000, (1 cm = 2,5 kms), cette création cartographique attira notre petit vieux et son chien.

Revenue me rejoindre, tous deux, depuis notre cachette, nous pouvions voir le vieux entrain de scruter la carte.
En même temps, après m'avoir sorti le zob, ma "coquine", me tenant comme à la laisse, m'entraîna devant notre support habituel.
Me tenant la bite pour en diriger le jet contre le mur, à la peinture au pistolet, ma complice procéda à sa seconde réalisation.

Nous découvrons, ci-dessous, sous nos yeux ravis < Sortilège Breton offert par un Korrigan malicieux >

Notre création murale du samedi 5 septembre, par 19°, vers 19 h30



Pour l'agrandir, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Sortilège Breton offert par un Korrigan malicieux >

Une fois encore, les regardants, qu'ils soient connaisseurs ou amateurs d'Art, seront subjugués par l'œuvre.
Comment pourrait-il en être autrement devant une telle richesse artistique ? Une telle création flatte les sens.
Que l'on soit le simple néophyte ou le spécialiste avéré, notre émotion, mise à nue, est soudain vive. Ardente.

Le dessin si parfait qu'il en devient irréel nous entraîne vers une de ces scènes mythiques de l'antiquité.
C'est certainement cette raison qui a poussé les spécialistes à évoquer cette œuvre sous le nom de "Les Légions Romaines".
Le trait, d'une finesse invraissemblable, évoque en effet le profil de ces soldats de l'empire, alignés pour la bataille.

Les aplats, déposés avec cette délicatesse habituelle, sont , cette fois-ci, surprenants de douceur éthérée.
Les nuances, grace au support jauni, sont proprement supéfiantes. Par transparences la couleur initiale s'en trouve sublimée.
Les surfaces sont distribuées avec cette virtuosité qui nous laissent, de plus en plus, contemplatifs par leurs éclats surnaturels.

En bonus track, ci-dessous, nous découvrons une œuvre réalisée dans un autre lieu, sur un support en bois.
< Soir d'Août > fut une de ces créations "sauvages" que nous aimons à réaliser au cours de nos pérégrinations.
Laissant ainsi, pour une durée fort éphémère, une trace artistique de notre passage en ces lieux. Très appréciable.



Là aussi, si on veut contempler cette œuvre, on peut cliquer sur l'image. Si on veut...

DESCRIPTIF

< Soir d'Août >

Peindre au pistolet, un peu à la façon de l'aérographie, sur bois, demande une virtuosité incroyable.
L'artiste a donc encore, une fois de plus, sous nos yeux émerveillés, réalisé une œuvre magistrale.
Avec notre altruisme habituel, nous avons ainsi distribué de nombreuses créations sur différents supports, un peu partout.

Nous avons même essayé le support en métal, le support en plastique ou encore le support en placo, (BA-13).

Bonne journée à toutes et à tous...

Le créateur mural

Classe
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