Récemment dans un échange en messagerie privée, j’ai plaisanté un peu en faisant référence à mon 90ème anniversaire. Les femmes n’aiment pas dire leurs âges c’est bien connu, surtout passé la quarantaine. Le demi-siècle est en ligne de mire et les rides avec. Cette blagounette me permet de m’en abstenir. Toutefois, le commentaire d’un de mes fidèle et sympathique suiveur me comparait à Jeanne Calmant.
Ma réponse fût que je lui préfère Jeanne d’arc, et que j’aurais aimé être attachée au poteau du bûcher toute nue devant une foule de gardes avec la quequette au garde à vous. C’est que justement j’ai achevé en début d’année la lecture d’un livre sur la pucelle d’Orléans. Cette nuit j’ai rêvé à son histoire qui pourrait être revue par John Biroute chez Dorcel. J’en serai l’héroïne. A la pucelle d’Orléans se substituerai la salope de bob-voyeur city.
En voilà le scénario presque fidèle au passé de Jeanne.
Je précise que toute ressemblance à des évènements connus ne seraient que pures coïncidence, a part celle de Jeanne bien sûr.
Nous sommes au XXIème siècle, la France est envahie, non pas par les anglais mais par les barbus salafistes. Ils avaient été chassés en 732 par Charles Martel mais ils sont revenus en 747 grâce à Boeing. Lorsque j’étais jeune et vierge, j’ai entendu la voie de St Jean Marie Lepen qui me disait de reprendre St Denis dans le 93, assiégée comme l’avait été Jérusalem au temps des croisades. Je rappelle que la basilique de St Denis abrite les tombeaux et gisants de nombreux rois de France. Le stade de France temple de la victoire de 1998 étant également occupé.
Les voies m’ont dit d’aller proposer mes services au nouvel empereur Bardella Ier plébiscité par les français. Après l’avoir rejoint à Chinon (comme Jeanne avec Charles VII). La cour doit alors vérifier si je suis bien une grosse cochonne.
Un comité de vieux schnocks se réuni dans ce but. Ils sont plusieurs. 5 fonctionnaires de l’état au regard lubrique se frottant les mains à l’idée de faire une vérification de mon sexe et de ma connaissance du kamasoutra. Je suis convoquée à cette fin dans le donjon du club échangiste local. Habillée d’une jupe courte, une culotte en dentelle rouge et d’un chemisier blanc échancré. Je me retrouve les bras enchainés dans le dos face à eux. Derrière moi, l’un deux ouvre mon chemisier, ma poitrine nue s’offre aux autres. Puis, un peu violement, le même me déchire la jupe par le côté.
Fâché de constater que je porte une culotte il la baisse jusqu’à mes chevilles. Ainsi me voilà nue devant ces 4 inspecteurs du fisc, grands professionnels du dépouillage. Je suis à leurs merci, chacun leurs tours ils doivent vérifier que je ne suis plus vierge. Alors ils me portent comme un saucisson jusqu’à la table de gynéco, me jette dessus, sur le dos, m’écartent les cuisses. Pour vérifier que je suis bien la salope de bob city, après m’avoir ouvert le sexe en grand avec un écarteur et regardé à l’intérieur, ils me feront une tournante où ils passeront leurs énormes bites de cheval chacun leurs tours et en même temps de ma bouche à ma main, de ma main à ma chatte pour la défoncer.
Pour finir, ils me retourneront comme une crêpe au sucre (et surtout pas une au Sarrazin) et me prendront le cul. Une douche de sperme dans la gueule clôturera la séance. J’en ai même avalé de travers ce qui me provoquera une toux difficile à arrêter. Une note de service informera Bardella Ier que je suis bonne pour le service (et pas que… dès fois qu’il veuille me tester).
Un corps d’armée à 3 divisions blindées et une d’infanterie me sera confiée pour libérer St Denis. Plus un régiment du génie pour franchir la Seine. 30 000 hommes sous mes ordres. Mon chef d’état-major sera le général De Villiers, frère de Philippe, viré jadis par Macron LE FELON. Je confis la 10ème DB où avait autrefois servi mon mari, à l’arrière-petit-fils du général Guderian grand maître d’œuvre de la blitz krieg. Pour le motiver et lui donner l’assurance que Dieu est avec nous, je lui suce à mort son gros dard poilu avant le départ au combat. Je passe les troupes en revue avec les nichons à l’air. Ils bandent tous. Je leurs promets une semaine de congé au Cap d’Agde avec moi après la victoire et une entrée gratuite aux chandelles. Deus vult (Dieu le veut en latin).
Le colonel Rocco Siffredi, chef de corps du régiment de commandement de de soutien organise le départ de mon unité. Lui aussi aime la rentrée comme il dit.
Malheureusement lors d’un vol de reconnaissance, mon avion est abattu et tombe en territoire ennemi sur la commune de Trappes. Comme Jeanne devant Compiègne, je suis faite prisonnière. Trappes où le député LFI, chef de la tribu locale, traitre à la nation et soumis aux barbus me vend à la commission Européenne et sa cheffe Van Der La Hyenne. Me voici aux mains des gauchistes de Bruxelles complices des envahisseurs qui m’emprisonnent à Rouen, Comme Jeanne autrefois.
Un procès en sorcellerie pour elle, pour abus de bien social et détournement de fonds publics pour moi. C’est une habitude chez eux, les procès de Moscou sont leur ADN. Un juge rouge corrompu surnommé l’abbé Cauchon préside la cour de justice. A plusieurs reprises, il vient m’interroger dans ma cellule. J’y suis là encore attachée nue. N’ayant pas pu m’épiler le pubis depuis plusieurs semaines, j’ai la chatte poilue. Ça le fait rire. Il se sert de son martinet pour me faire parler, me fouetter et m’enfoncer le manche dans le vagin et dans le cul. Il me pince les tétons avec une clé à pipe de 12. Trop large, pour mes petits nénés, il lui faudrait du 8 ou du 10 à minima. Je n’avoue rien, il croit me torturer mais j’aime ça, c’est trop bon. Il ne sait pas que je suis une salope et que les clés à pipes, rien que le nom me fait bander le clitoris.
Jeanne ne sera pas brûlée pour sorcellerie mais pour relapse après avoir remis des habits d’homme. Moi pareil, rien ne prouve les faits qui me sont reprochés, mais après avoir remis ma robe rouge de salope sexy et sucé 2 de mes gardes juste par plaisir, je suis condamnée pour non port du voile en territoire perdu de la république. Je serais brûlée vive sur le bucher. Mon exécution sera publique.
Tant mieux, au poteau, j’y serais entièrement nue. Ayant couché avec un allemand (Guderian) j’aurais la chatte tondue. Ils veulent m’humilier. Seigneur, ils ne savent ce qu’ils font car en vérité je vous le dis, ça m’excite, je mouille comme une folle si bien que ça me coule le long de la cuisse lorsque je suis attachée au poteau à poils, le sexe lisse devant tous les soldats. Ma vulve est toute dilatée à la vue perçante de la soldatesque en rut devant le spectacle que je leur offre. Ils ont tous le gourdin. Certains transpirent. Je croise leurs regards, je vois qu’ils veulent me prendre. L’un deux n’en tenant plus lâche son AK47, se précipite à mes genoux et me lèche la moule non sans avoir remonté ma cuisse avec sa langue pour avaler ma mouille. D’autre suivent pour me sucer les tétons, Un autre me met son majeur dans l’anus. Je commence à jouir car sa langue me rentre dans la foufoune humide. Celui qui me suçait les tétons rentre maintenant sa langue dans ma bouche pour me rouler une dernière pelle.
Le chef de tribu hurle pour les faire revenir, mais bite qui bande n’a pas de conscience. Ils n’écoutent plus. Leurs cerveaux ne réfléchit plus, il n’est plus irrigué, tout le sang disponible est parti gonfler a bloc leurs chibres tout dur. Soudain, ayant le feu au cul, le bucher s’allume accidentellement. La chaleur était telle que l’embrasement a été instantané. Je m’envole en fumée. Morte en martyr pour le pays, je retrouverai peut-être au paradis 72 puceaux pour me baiser. Ou on se rejoint tous au Valhalla du cochon et de la cochonne. Voilà de toute façon de quoi bien s’amuser. Dieu est grand. Ainsi soit il.