Me revoilà ...
Le nouveau du service compta n'arrête pas de venir prendre des renseignements, il est toujours dans mon bureau, comme il est plutôt compétent, j'en déduis que j'ai dû lui taper dans l'oeil, parce qu'il fait bien son taff tout le reste du temps.
je dois dire qu'il est assez craquant, plutôt bien foutu, un joli petit cul comme on les aime, la trentaine, châtain, plus ou moins un mètre 80, les yeux ténébreux.
Comme il passe au moins une fois par jour dans mon bureau, je décide d'en avoir le coeur net.
Ce qui devait arriver, arriva, on frappe :
- "Entrez !"
C'est lui qui a encore besoin de je ne sais quel document que je vais devoir lui sortir.
Il s'installe sur le fauteuil en face de mon bureau comme à son habitude.
Je commence à pianoter sur mon clavier pour lui trouver son document et là, une idée me traverse l'esprit, je pousse négligemment mon stylo qui tombe devant mon bureau.
Comme il se baisse pour le ramasser, j'écarte les cuisses pour qu'il puisse apercevoir mon string en dentelle blanc, je pointe les pieds du mieux que je peux dans mes talons, ma jupe déjà plutôt courte se relève le long de mes cuisses.
Mon bureau étant ouvert sur le devant, impossible qu'il loupe le spectacle.
J'en ai d'ailleurs la preuve lorsqu'il se redresse pour me rendre mon stylo, il est rouge comme une tomate trop mûre. Bingo, j'ai réussi mon coup !
Il bafouille, tout gêné, en me tendant mon stylo, complètement décontenancé, je jubile.
- "Je t'envoie le doc par intranet", presque tout le monde se tutoie dans la boite, en tout cas, j'ai tendance à tutoyer un peu tout le monde.
Je ne l'ai pas revu de la semaine, plutôt déçue, j'ai alors pensé être allée trop loin, voilà que je vais me retrouver harceleuse sexuelle.
En même temps, je n'ai pas prononcé un mot, c'est lui qui a les yeux mal placés.
Le lundi suivant, je reçois un message directement de son poste.
- "Bonjour Mila,
Je n'ai pas su comment interpréter ce qui s'est passé dans ton bureau la semaine dernière, j'étais pétrifié, je pense que tu t'en es rendue compte.
J'étais tellement gêné que les mots ne sont pas sortis de ma bouche, pourtant beaucoup de choses m'ont traversé la tête"
Evidemment, je m'empresse de répondre :
-"Bonjour Marco,
Je pensais y être allée un peu fort et t'avoir choqué.
J'espère que le spectacle était à la hauteur de tes espérances, tu avoueras que tu es souvent dans mon bureau et comme je n'ai rien à redire sur ton travail, tu es autonome et efficace, j'en ai déduis qu'il y avait une autre raison."
-"Une autre raison, oui, je l'avoue.
J'aime être dans ton bureau, respirer ton parfum, partager un instant.
Je crois que je fantasme sur toi depuis mon recrutement."
-"Et tu voudrais réaliser ce fantasme ou tu préfères en rester là ?"
Cette fois, j'ai attendu sa réponse une bonne heure.
-"Désolé pour cette réponse qui a tardé.
Très franchement, maintenant qu'on en a parlé, comment rester uniquement dans le fantasme ?"
-"Alors écoute, j'ai aussi de nombreux fantasmes, certains le resteront, d'autres pas.
Il est déjà plus de 11 h, je rentre chez moi à midi, je reviens à 13h30, je serai prête à t'offrir un nouveau spectacle, probablement sans culotte cette fois, pas besoin de mots, si je fais tomber mon stylo, tu n'auras qu'à te glisser sous mon bureau et après, libre à toi de repartir ou de t'approcher plus près, admirer, caresser, goûter…"
À midi, je déjeune avec mon homme en ne manquant pas de lui raconter toute l'histoire.
Je me prépare, quelques caresses sous la douche, je suis déjà toute excitée.
Comme prévu, je ne mets pas de culotte, j'ai une jupe floue, j'enfile des sandales sexy à talons.
Il est déjà 13 heures 15, je file au bureau.
Je commence à me pencher sur un dossier mais ma tête est ailleurs, impossible de me concentrer.
À 13h45, on frappe à la porte.
Cette fois, j'ai un peu moins d'assurance, c'est très excitant ce moment de fébrilité.
J'ai baissé les persiennes pour ne pas être aperçus de l'extérieur, mon bureau est assez isolé mais on n'est jamais trop prudent."
-"Entrez!"
Marco entre et vient s'asseoir encore tout gêné, il est tout rose, d'ailleurs, il est fort possible que je sois dans le même état.
-"Tu as besoin d'un dossier?"
-"Non, je suis venu ramasser ton stylo."
Alors là, il m'a cueillie, je le l'attendais pas cette réplique.
je m'avance sur le bout de mon fauteuil, j'écarte les cuisses et je pousse mon stylo en le regardant droit dans les yeux, le stylo tombe et Marco disparaît sous mon bureau.
Je sais qu'il est en train de mater ma chatte, j'aimerais que cet instant dure des heures, il ne se passe rien, la notion du temps m'échappe, j'attends.
Soudain je l'aperçois entre mes cuisses, je pose ma main sur sa nuque et je l'approche doucement de ma fente, je crois bien que je suis en train de mouiller mon fauteuil.
Je sens sa langue entre mes lèvres, ma respiration s'accélère.
Il glisse un doigt en moi et commence des petits mouvements circulaires, mmmmm
Il aspire mon clitoris en enfonçant un 2ème doigt.
-"Oui, vas-y, comme ça, c'est bon."
Il sait s'y prendre, il est à la fois doux et fougueux, il cachait bien son jeu.
Je ne peux pas dire combien de temps il m'a léchée avant de jouir sur sa bouche.
À peine les contraction de mon vagin terminées, je le sens se retirer par là où il est venu, il se redresse et vient de mon côté du bureau.
Il déboutonne son pantalon, il le fait glisser et je peux apercevoir qu'il bande fort au travers de son boxer noir.
Je me tourne vers lui, toujours dans mon fauteuil, les cuisses écartées, il s'approche et sort sa queue.
Sa bite set assez épaisse et pas très longue, je commence à sucer son gland du bout de ma langue, il coule tant il est excité.
Je commence à le branler en aspirant son gland, il est vraiment très excité. Il fait un petit mouvement en arrière.
-"Doucement stp, sinon je vais pas tenir"
-"Tu veux me prendre sur mon bureau?"
Je le vois récupérer une capote dans son pantalon tandis que je m'installe sur le bureau, les fesses bien au bord, je dégouline.
Il enfile sa capote et vient se placer entre mes cuisses.
-"mmmm oui, vas-y, baise moi comme une pute !"
Il insère sa bite en moi et c'est vrai qu'elle est épaisse, je le sens bien passer.
Il pousse à peine et je sens qu'il a déjà tout mis, je suis tellement mouillée que je n'offre aucune résistance.
Il commence à me pilonner, je sens ses couilles cogner entre mes fesses en rythme.
Il soupire
-"Oh putain, t'es bonne !"
J'écarte au maximum pour qu'il me baise à fond, comme j'aime et brusquement, il stoppe net tout contre ma chatte et je sens les contraction de sa bite en moi, il jouis en gémissant.
-"Désolé, t'es trop excitante"
- "Je suis sûre que je peux te rallumer"
Il se retire, la capote remplie pend légèrement de sa queue qui débande.
-"Vas t'essuyer aux toilettes et reviens me voir"
J'ai encore très envie de cette queue…
Il s'exécute.
Je m'installe dans mon fauteuil en me caressant pour que mon excitation ne retombe pas.
je repense à sa bite et à ma grosse envie de le sucer à nouveau et je jouis avant même qu'il ne revienne.
Le voilà qui frappe à nouveau.
-"Viens !"
Cette fois, c'est moi qui dégrafe son pantalon et qui descend son boxer.
je retrouve sa bite telle que je l'ai laissée, demie molle.
Je l'enfourne et commence à le sucer goulument. J'adore faire durcir une bite dans ma bouche, quel pouvoir, c'est super excitant.
Il reste assez mou un moment, toujours cette fameuse période réfractaire chez les hommes.
J'aspire le reste de son éjaculation précédente, je sens qu'il coule en moi.
Mais mon application à le faire bander ne tarde pas à porter ses fruits et je retrouve sa bite large et bien dure.
-"Tu veux gicler dans ma bouche?"
J'astique son manche comme une folle en aspirant son gland, il est encore à ma merci.
il saisit ma tête et commence des petits vas et viens dans ma bouche, les rôles s'inversent tout à coup, c'est moi qui suis à sa merci. Que c'est bon de se faire prendre la bouche.
Nous continuons ce coït buccal, qui porte un nom qui m'échappe, un instant.
je sens qu'il va jouir d'une seconde à l'autre.
Il se déverse dans ma bouche, je sens ses profondes giclées me remplir littéralement, je sens ses contractions multiples près de ses couilles, incroyable quantité pour une 2ème éjaculation, j'aspire jusqu'à la dernière goutte.
il se retire et j'attrape ma tasse de thé pour y mettre son sperme mélangé à ma salive.
On gère le "après" du mieux qu'on peut, presque sans un mot et je me retrouve à nouveau seule dans ce bureau qui doit sentir le sexe.
Je suis encore tellement excitée que je décide de me caresser à nouveau dans mon fauteuil.
J'ai dans mon sac un gode réaliste qui va m'être très utile.
Je commence à frotter très vite mon clitoris, ça me chauffe.
Me vient alors l'idée de me caresser avec le contenu de ma tasse.
Je la saisis et je fais couler une partie du contenu sur ma chatte, que c'est bon.
j'enfile mon gode qui rentre tout seul.
je me masturbe avec son sperme encore chaud mélangé à ma salive, j'adore ça.
Je suis trempée, je vide tout ce qui reste de la tasse en continuant les mouvements du gode, je suis lubrifiée au possible avec sa semence qui me pénètre.
J'écoute ce bruit si caractéristique de ma chatte dégoulinante, des petits bruits liquides. je jouis instantanément, ma chatte se resserre tellement que j'expulse le gode en même temps qu'une partie de mon lubrifiant de circonstance.
je me retrouve haletante, la fente toute ouverte, dégoulinante.
Quelle baise ! j'ai adoré.
